El coyote
19/10/2005, 22h41
Istanbul Park est l’un des rares circuits du Championnat du Monde dont le tracé tourne dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
La configuration du tracé devrait compliquer la tâche des mécaniciens à l’heure de définir la mise au point des machines : le circuit alterne virages rapides que les pilotes devraient pouvoir passer à plein gaz et des virages beaucoup très lents dans lesquels les premiers rapports seront sollicités. Les dénivellations devraient aussi soumettre les suspensions à rude épreuve.
Au bout de la ligne droite des stands, le premier virage est un gauche assez lent promettant de violents freinages, Il est suivi par un très long droit qui devrait se révéler comme l’une des portions cruciales du tracé : d’après les simulations, les pilotes entreront en seconde pour ressortir à fond de quatrième, tout en restant sur l’angle, ce qui devrait être très éprouvant pour les pneus. Suit une séquence de trois virages, dont deux devraient se négocier en première.
Il y a ensuite une ligne droite en descente qui mène à un autre virage très lent, et qui marque le début de la partie ‘montante’ du circuit – un passage qui devrait favoriser les dépassements. Après cette montée, suit un triple-gauche très similaire à l’enchaînement du deuxième secteur de Losail. Ensuite une portion en descente mène à une première ligne droite suivie d’un impressionnant droit qui devrait déterminer la vitesse de pointe atteinte sur ce circuit. Ce virage à droite se passant en quatrième ou en cinquième, les MotoGP devraient atteindre les 320 km/h sur la ligne droite de 700m qui suit.
Après cette ligne droite, il ne reste plus qu’un virage en seconde et une série de trois virages marqués par deux changements de direction.
En raison des freinages violents et de la chaleur, il se peut que les teams soient amenés à utiliser des disques freins surdimensionnés.
Source motoGP
La configuration du tracé devrait compliquer la tâche des mécaniciens à l’heure de définir la mise au point des machines : le circuit alterne virages rapides que les pilotes devraient pouvoir passer à plein gaz et des virages beaucoup très lents dans lesquels les premiers rapports seront sollicités. Les dénivellations devraient aussi soumettre les suspensions à rude épreuve.
Au bout de la ligne droite des stands, le premier virage est un gauche assez lent promettant de violents freinages, Il est suivi par un très long droit qui devrait se révéler comme l’une des portions cruciales du tracé : d’après les simulations, les pilotes entreront en seconde pour ressortir à fond de quatrième, tout en restant sur l’angle, ce qui devrait être très éprouvant pour les pneus. Suit une séquence de trois virages, dont deux devraient se négocier en première.
Il y a ensuite une ligne droite en descente qui mène à un autre virage très lent, et qui marque le début de la partie ‘montante’ du circuit – un passage qui devrait favoriser les dépassements. Après cette montée, suit un triple-gauche très similaire à l’enchaînement du deuxième secteur de Losail. Ensuite une portion en descente mène à une première ligne droite suivie d’un impressionnant droit qui devrait déterminer la vitesse de pointe atteinte sur ce circuit. Ce virage à droite se passant en quatrième ou en cinquième, les MotoGP devraient atteindre les 320 km/h sur la ligne droite de 700m qui suit.
Après cette ligne droite, il ne reste plus qu’un virage en seconde et une série de trois virages marqués par deux changements de direction.
En raison des freinages violents et de la chaleur, il se peut que les teams soient amenés à utiliser des disques freins surdimensionnés.
Source motoGP