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Beckham à l’AC Milan jusqu’à la fin de la saison
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Image © Keystone
David Beckham
L’AC Milan et les Los Angeles Galaxy, qui négociaient depuis plusieurs semaines, ont finalement trouvé un accord pour étendre le prêt au club lombard de l’Anglais David Beckham jusqu’à la fin de la saison, assure La Gazzetta dello Sport sur son internet dimanche.
le 08 mars 2009
LeMatin.ch & les agences
L’ex-capitaine de l’équipe d’Angleterre retournera ensuite en juillet en Californie pour disputer la deuxième moitié de la saison du Championnat américain (MLS).
"Je suis reconnaissant envers les deux clubs qui ont permis à ce rêve de devenir réalité", a assuré Beckham, cité par la Gazzetta.
"Je vais pouvoir jouer dans la même saison à l’AC Milan et au Galaxy, avec la possibilité de maintenir mon engagement pour la Major League Soccer (MLS) et pour le développement du football aux Etats-Unis, quelque chose qui me tient à coeur", a-t-il ajouté.
Initialement, l’ex-capitaine de l’équipe d’Angleterre, arrivé fin décembre à Milan, ne devait rester que jusqu’au 9 mars. Mais le club, très vite séduit par les performances de l’ex-vedette de Manchester United et du Real Madrid, a souhaité le conserver jusqu’à la fin de la saison, le 31 mai.
Une opportunité à ne pas manquer pour l’Anglais, 33 ans, qui a très vite exprimé le souhait de demeurer en Italie, sachant qu’il a plus de chances d’être sélectionné pour le Mondial-2010 avec l’Angleterre s’il reste jouer en Italie, surtout aux yeux du sélectionneur Fabio Capello.:content::content::content:
Tir groupé des SEAT
Le champion du monde 2008, Yvan Muller, a remporté la course 1 du meeting de Curitiba, dimanche. Le Français a devancé ses coéquipiers Jordi Gené, Rickard Rydell et Gabriele Tarquini. Nicola Larini (Chebvrolet) réalise une belle course (5e). Andy Priaulx termine aux portes des points (9e).
Quoi de mieux pour débuter la saison en tant que champion du monde que de s'offrir une victoire! Yvan Muller l'a parfaitement compris en s'imposant lors de la course 1 du meeting de Curitiba, première manche de la saison 2009. Le pilote alsacien a réussi une course parfaite. Parti depuis la position de pointe sur la grille de départ, Muller a parfaitement contrôlé ses adversaires dès les premiers virages pour prendre quelques secondes d'avance sur ses coéquipiers Jordi Gené, Rickard Rydell et Gabriele Tarquini. "Je n'ai jamais pensé au scenario de la course. J'ai préparé mon départ et je me suis concentré sur mon pilotage en essayant d'économiser mes pneumatiques. Nous avons plus de couple que les autres voitures mais notre vitesse de pointe n'est pas meilleure", indiquait Muller à l'issue de la course.
Seule l'intervention de la voiture de sécurité au sixième tour a redonné un peu de piment à cette course. Car sinon, le cavalier seul des voitures espagnoles n'a fait que renforcer les certitudes entrevues au début du week-end; les SEAT semblent bien reparties pour jouer les premiers rôles. En dépit d'une réglementation qui a évolué et qui leur a fait perdre 18 chevaux, les SEAT sont toujours devant. Derrière, les autres constructeurs ont essayé de s'accrocher.
Priaulx seulement 9e
Le premier pilote "non espagnol" est Nicola Larini (Chevrolet). L'Italien est parvenu à accrocher une belle cinquième place après avoir notamment dépassé Augusto Farfus (BMW Allemagne) au 10e tour et Tiago Monteiro (SEAT Sport) au 14e tour. En revanche ses coéquipiers Alain Menu et Rob Huff ont connu des fortunes diverses. Le premier est sorti de la piste au 3e virage du premier tour lors d'un contact avec Jörg Müller (BMW Allemagne). Quand au second, il s'est arrêté sur le bord du circuit dès la 5e boucle, victime d'un problème mécanique.
Du côté des pilotes BMW, ces derniers n'ont pas réussi à contenir la puissance des Leon à moteur diesel. Le premier d'entre eux est le local de l'épreuve, le Brésilien Augusto Farfus qui termine 6e. Celui-ci s'est fait dépasser successivement par Monteiro et Larini au 10e tour juste après que la voiture de sécurité soit rentrée aux stands. Enfin, Andy Priaulx a réalisé la plus mauvaise opération de cette course 1. Le Britannique, parti en 3e ligne, s'est fait piéger au 1er tour lorsque Jörg Müller est venu le taper. Au final il ne prend que la 9e place. Il ne profitera donc pas de la grille inversée sur la course 2, réservée au huit premiers pilotes. Dans le trophée des Indépendants, Félix Porteiro (Proteam) s'est montré le plus rapide (10e au général) et a devancé Tom Coronel (Sunred).
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YEAH !!!! De bonne augure pour la 2ème course, à 20H00 !
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Yvan Muller caracole en tête !
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Y.Muller devant J.Gené, R.Rydell et le vice champion G.Tarquini !
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Le départ vue de face...
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... et vue de dos !
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L'accident entre A.Menu et J.Müller.
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Non, non ce n'est pas une oeuvre d'art ! C'est S.D'Aste qui a eu un accident !
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R.Huff qui a fini 3ème du championnat l'an dernier abandonne et faisant un signe au spectateurs.
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Victoire pour le Français !
Senna dans une Courage-Oreca
Le Brésilien Bruno Senna, neveu d'Ayrton et vice-champion 2008 de GP2, a roulé dimanche dans un prototype Courage-Oreca lors de la 1ère journée des essais officiels du championnat Le Mans Séries, sur le circuit Paul Ricard.
Longtemps pressenti pour piloter cette saison l'une des ex-Honda F1 de l'écurie japonaise rachetée cette semaine par Ross Brawn, Senna, 25 ans, a dû abandonner cet espoir quand le contrat de son compatriote Rubens Barrichello a été reconduit. Senna a bouclé plusieurs tours à la mi-journée, sans souci majeur. Il devait encore reprendre le volant d'ici la fin de ces essais prévus jusqu'à lundi soir au Castellet, avec notamment une simulation longue durée au programme de certaines équipes jusqu'à dimanche minuit.
"C'est une surprise de dernière minute, une sacrée belle surprise !, a confié Hugues de Chaunac, le patron de l'équipe. Tout s'est finalisé au dernier moment. Je suis ravi que Bruno ait accepté de nous rejoindre pour ce test. On connaît ses qualités de pilote ; l'an dernier, il était le vainqueur potentiel du GP2. C'est donc une bonne opportunité pour le Team ORECA-Matmut de compter un pilote talentueux de plus dans ses rangs. C'est un essai important dans l'optique des 24 Heures du Mans, même si aucune décision n'est arrêtée."
Le jeune Brésilien est également "en discussions" avec Mercedes pour piloter une voiture allemande dans le Championnat allemand des voitures de tourisme (DTM), "mais il n'y a pas encore eu de décision", a expliqué cette semaine Norbert Haug, le patron de Mercedes Sport. Une petite trentaine de voitures étaient inscrites pour ces essais LMS officiels, dimanche et lundi, dont trois protos Courage-Oreca et trois Lola-Aston Martin dans la catégorie-reine, celle des LMP1. La saison 2009 d'endurance débutera aux 1000 km de Barcelone, le 5 avril.
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J'suis content pour lui !
Contador déjà au top
Grand favori de Paris-Nice, Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml) s'est déjà installé en tête du classement général. L'Espagnol a remporté la 1re étape dimanche, un contre-la-montre de 9,3 kilomètres disputé à Amilly. Il a devancé Bradley Wiggins (Garmin) et Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)).
Alberto Contador est incroyable. Annoncé comme le grandissime favori de cette 63e édition de la Course au Soleil, l'Espagnol était surtout attendu vendredi sur les pentes de la Montagne de Lure où les observateurs le voyaient tuer la course de sa pédalée aérienne et explosive. Mais voilà, le vainqueur du Tour de France 2007, auteur l'an dernier d'un historique doublé Giro-Vuelta, n'entendait pas attendre six jours pour rappeler à tous qu'il est bien le patron du peloton. Sur un parcours dénué de toute difficulté, le Castillan a en effet posé les jalons d'une déjà probable deuxième victoire dans Paris-Nice. Certes, le leader de la formation Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml) est encore loin d'avoir gagné mais la manière dont il a remporté, sous la pluie, un chrono qui favorisait pourtant les purs rouleurs, résonne comme un coup de semonce ne laissant aucun doute sur sa condition avancée.
Vainqueur il y a un peu plus de deux semaines du Tour d'Algarve après avoir construit son succès dans l'exercice solitaire de l'épreuve, l'Espagnol a confirmé ses progrès contre-la-montre en dominant cette première étape de la tête et des épaules. En tête dès le point de chronométrage intermédiaire, Contador s'est ensuite payé le luxe de battre le champion olympique de poursuite Bradley Wiggins (Garmin-Slipstream) pour 7 secondes. L'Allemand Tony Martin (Team Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml)) et l'Ecossais David Millar (Garmin-Slipstream), autres spécialistes de l'effort solitaire, respectivement devancés par Contador de 11 et 14 secondes, devaient pour leur part se contenter des 4e et 5e rangs. C'est dire la portée de la performance de l'Espagnol sur les routes d'Amilly... "C'est une surprise pour moi de gagner, surtout par rapport aux spécialistes et sur un parcours plat. (...) L'explication, c'est qu'aujourd'hui j'ai eu de très bonnes sensations", a-t-il modestement déclaré une fois descendu du podium protocolaire.
Déjà des écarts
Parmi les autres postulants à la "gagne" sur la Promenade des Anglais, l'Espagnol Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne), vainqueur en février du Tour Méditerranéen, est de ceux qui s'en sortent le mieux. N'accusant au final qu'un débours de 9 secondes sur son compatriote, le vainqueur de l'étape d'Aurillac sur le dernier Tour de France, peut estimer avoir limité la casse ce dimanche en se classant 3e de ce chrono pluvieux. A son image, Antonio Colom (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14515.shtml) (Team Katusha) a également réalisé un bon contre-la-montre qui lui permet de se placer en embuscade à l'aube d'une semaine de course dont le parcours pourrait lui convenir. Le vainqueur du classement général officieux du récent Challenge de Majorque qui s'était ensuite offert le scalp d'un certain Alberto Contador lors de l'arrivée en altitude du Tour d'Algarve, ne concède que 19 secondes au nouveau maillot jaune et peut espérer réitérer son exploit portugais lors de l'étape de vendredi.
L'addition est en revanche plus salée pour Cadel Evans (Silence-Lotto (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea2910.shtml)), 19e à 31 secondes, ou pour le champion olympique Samuel Sanchez (Euskaltel) et le très prometteur Tchèque Roman Kreuziger (Liquigas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4594.shtml)) qui perdent tous deux 33 secondes sur le coureur d'Astana quand Frank Schleck (Saxo Bank), pourtant très bien parti, accuse au final un retard de 36 secondes sur le nouveau leader de l'épreuve. Victime d'une chute, l'Américain Christian Vandevelde (Garmin-Slipstream), 5e de la Grande Boucle 2008, a pour sa part perdu presque tout espoir de bien figurer sur la course en chutant sur la chaussée glissante et en achevant ce chrono en 141e position à 1 minutes et 15 secondes de Contador.
Les Français dans le coup
Dans cette soupe à la grimace généralisée où certains regretteront déjà que la course ait livré un verdict s'apparentant à une sentence quasiment sans appel, deux coureurs peuvent avoir le sourire. Les Français Sylvain Chavanel (Quick-Step) et Rémi Pauriol (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81515.shtml) (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)) ont en effet tous deux réalisé une belle opération dans les rues d'Amilly. Pour le Poitevin, 7e après avoir été longtemps leader provisoire, comme pour l'Aixois surprenant 10e de chrono malgré sa condition avancée, cette première journée de course est une réussite. Respectivement pointés à 19 et 22 secondes de l'ogre d'Astana, les deux Tricolores demeurent à portée de fusil au général. Pour Thomas Voeckler (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs16496.shtml) (35e à 38''), Sandy Casar (41e à 44'') et David Moncoutié (83e à 51''), les pertes sont plus importantes sans que rien de rédhibitoire n'ait pour autant été enregistré.
Dans ces conditions, pour les coureurs français comme pour les autres, il faudra parier sur une course de mouvement dans les jours à venir pour mettre en difficulté Contador. Lucide, le maillot jaune sait ce qu'il attend et ne perd pas de vue son objectif final: "il faudra rester attentif mais le plus important, c'est d'avoir le maillot jaune dimanche prochain à l'arrivée à Nice." Le leader espagnol devrait pouvoir compter sur le concours des formations de sprinter lors des étapes de lundi et mardi. En revanche, son équipe, amputée des Américains Levi Leipheimer et Chris Horner (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14792.shtml), pourrait être mise en difficulté par des assauts à répétition d'adversaires qui feraient cause commune. Alberto Contador ayant frappé si fort ce dimanche, il faudra sans doute au moins cela pour l'empêcher de triompher dimanche prochain sur la Côte d'Azur.
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Je l'aime pas mais bon il est bien parti pour gagner une seconde fois Paris-Nice !
Toro Rosso présente la STR4
La Scuderia Toro Rosso a officiellement présenté la STR4, ce matin sur le circuit de Barcelone. Un nouveau tandem de ‘Seb’, Bourdais/Buemi et non plus Bourdais/Vettel, s’est chargé de lever le voile reposant sur le taureau rouge Italien dont l’ADN est grandement similaire à celui de la Red Bull Racing RB5. Les deux sœurs partagent le même châssis, conçu par Adrian Newey via Red Bull Technology, mais pas la motorisation : Toro Rosso roule en Ferrari, RBR en Renault.
Cette petite formalité accomplie, Toro Rosso a entamé le développement de sa STR4 en confiant à Sébastien Bourdais le soin de marteler le bitume Catalan sur les coups de 9h. « En 2008, nos performances ont dépassé nos attentes et il sera dur d’être au même niveau cette année » a déclaré le directeur de l’écurie, Franz Tost, en anticipant une chute de performance probable (Toro Rosso avait signé sa première victoire en Grand-Prix à Monza 2008) et le cortège de critiques que ne manquerait pas de remâcher la presse à l’encontre du ruminant Transalpin s’il venait à décevoir en 2009.
« Nous pouvons compter sur une certaine stabilité au sein de l’écurie, notamment celle de Red Bull Technology. Depuis les premiers essais de Red Bull Racing à Jerez il est clairement apparu que le châssis est compétitif et qu’Adrian Newey et son équipe avait conçu un package prometteur. Cette année sera la 4è de notre collaboration avec Ferrari qui, tant d’un point de vue technique que humain, fonctionne très bien. »
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Je préfère l'ancienne déco y'avait pas le sigle Red Bull !
SEAT poursuit sa moisson
Gabriele Tarquini (SEAT Sport) s'est imposé lors de la course 2 du meeting de Curitiba, dimanche. Comme lors de la course 1, le constructeur espagnol a placé quatre voitures aux avant-postes. Par ailleurs, Jörg Müller (BMW Allemagne) est remonté de la 20e à la 5e place.
SEAT Sport est décidément au-dessus du lot en ce début de saison. Vainqueur de la course 1 avec Yvan Muller, la firme catalane a réédité sa performance en remportant la deuxième course avec Gabriele Tarquini. Partis au delà de la troisième ligne à cause de la règle de la grille inversée sur une piste détrempée, les pilotes SEAT Sport ont d'emblée imposé un rythme soutenu pour se débarrasser des BMW. Tour après tour, les pilotes du constructeur allemand ont vu leur avance fondre et les Leon les doubler un à un.
"La voiture était fantastique, très performante. Je devais surtout surveiller l'usure de mes pneumatiques parce que dans ces conditions c'est ce qu'il faut faire. J'ai essayé d'être le plus rapide possible dans les premiers tours lorsqu'il y avait pas mal d'eau et ça a marché" , déclarait Tarquini en sortant de sa voiture.
L'Italien a d'ailleurs réalisé une superbe manoeuvre à l'entame du 4e tour pour prendre la deuxième place (voir photo). Il a profité d'une belle vitesse en sortie de courbe pour prendre le meilleur sur les deux pilotes BMW Andy Priaulx et Sergio Hernández. Tarquini s'est faufilé au milieu des deux bolides dans la ligne droite des stands pour se retrouver juste derrière Porteiro (Proteam).
Jörg Müller remonte de la 20e à 5e place
La course a été par ailleurs perturbée par la pluie, qui s'est abattue juste avant le départ, ce qui a valu aux pilotes de s'élancer derrière la voiture de sécurité avec 15 minutes de retard. Après le déclassement de Nicola Larini (Chevrolet) et Tiago Monteiro (SEAT Sport) pour avoir dépassé Augusto Farfus (BMW Allemagne) juste après le départ de la voiture de sécurité lors de la course 1, c'est Félix Porteiro (Proteam) qui s'est retrouvé en pole-position au côté d'Andy Priaulx (BMW Team UK).
Le triple champion du monde a malheureusement connu une mésaventure (touchette) qui l'a fait perdre de nombreuses places et le fait seulement terminer à la neuvième place. Son adversaire de la première ligne a lui réalisé une course solide et pris la première place des Indépendants, la septième globale. L'autre performance de la course est à mettre au crédit de Jörg Müller (BMW Allemagne) qui est remonté de la 20e à la 5e place. L'Allemand qui avait vu sa course 1 stoppée après seulement quelques virages a parfaitement réagi et inscrit quatre précieux points.
Au classement général, SEAT Sport fait bien évidemment la bonne opération du week-end en inscrivant le maximum des points au classement constructeurs (36). Les deux vainqueurs du jour se partagent quant à eux la place de leader du championnat à égalité (15 points) juste devant leurs coéquipiers Gené et Rydell (14 points). Le prochain rendez-vous aura lieu dans quinze jours à Puebla au Mexique. Ce sera la dernière course sans les compensations de poids qui arriveront à Marrakech début mai. Une règle qui sera sans doute la bienvenue pour rééquilibrer les forces en présence dans l'intérêt du championnat.
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Quand je vous disait qu'il pleuvait je n'éxagérai pas !
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Le départ !
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Superbe double dépassement de Tarquini sur le triple champion du monde A.Priaulx à gauche et sur S.Hernandez à droite !
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L'enfant du pays A.Farfus en bagarre avec F.Porteiro ! Y.Muller suit de près cette bataille !
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Tarquini roule vers la victoire suivi comme son ombre de R.Rydell !
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S.D'Aste suivi par les débutantes Lada et Chevrolet Cruze de J.Van Lagen et d'A.Menu.
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ET PLOUF !!!
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Ca a séché vraiment vite !
Toro Rosso présente la STR4
La Scuderia Toro Rosso a officiellement présenté la STR4, ce matin sur le circuit de Barcelone. Un nouveau tandem de ‘Seb’, Bourdais/Buemi et non plus Bourdais/Vettel, s’est chargé de lever le voile reposant sur le taureau rouge Italien dont l’ADN est grandement similaire à celui de la Red Bull Racing RB5. Les deux sœurs partagent le même châssis, conçu par Adrian Newey via Red Bull Technology, mais pas la motorisation : Toro Rosso roule en Ferrari, RBR en Renault.
Cette petite formalité accomplie, Toro Rosso a entamé le développement de sa STR4 en confiant à Sébastien Bourdais le soin de marteler le bitume Catalan sur les coups de 9h. « En 2008, nos performances ont dépassé nos attentes et il sera dur d’être au même niveau cette année » a déclaré le directeur de l’écurie, Franz Tost, en anticipant une chute de performance probable (Toro Rosso avait signé sa première victoire en Grand-Prix à Monza 2008) et le cortège de critiques que ne manquerait pas de remâcher la presse à l’encontre du ruminant Transalpin s’il venait à décevoir en 2009.
« Nous pouvons compter sur une certaine stabilité au sein de l’écurie, notamment celle de Red Bull Technology. Depuis les premiers essais de Red Bull Racing à Jerez il est clairement apparu que le châssis est compétitif et qu’Adrian Newey et son équipe avait conçu un package prometteur. Cette année sera la 4è de notre collaboration avec Ferrari qui, tant d’un point de vue technique que humain, fonctionne très bien. »
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Je préfère l'ancienne déco y'avait pas le sigle Red Bull !
elle est pas trop mal !!:)
tiens soyons un peu chauvin :yes:
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De nouvelles couleurs pour les C4 de Loeb et Sordo
Citroën Sport devient Citroën Racing et arborera pour l’occasion de nouvelles couleurs à partir du Rallye de Chypre. Poursuivant la dynamique engendrée par le succès des nouveaux produits lancés au cours des dix dernières années, la marque a présenté le 5 février dernier sa nouvelle dynamique de Marque. Pour le Citroën Total World Rally Team, le changement le plus visible concerne la décoration des C4 WRC, enrichie de blanc. Cette nouvelle décoration a été présentée en exclusivité cette semaine au Salon de Genève.
Deux questions à Xavier Chardon
Directeur Marketing et Communication de Citroën
Quelle est la signification de la signature ‘Créative Technologie’ ?
« La créativité alliée à la technologie, c’est ce que Citroën fait depuis toujours. Citroën ne recherche pas le pur exploit technologique, mais des technologies au bénéfice des utilisateurs. Les mots Créative Technologie résument à eux seuls l’identité de la marque. L’engagement de la Marque en Rallye découle de la même logique. La créativité de Citroën Racing a permis à la C4 WRC d’accumuler les victoires et les titres. Citroën Racing, Sébastien Loeb et Daniel Elena ont effectivement multiplié les succès ces dernières années. »
Quel est leur apport à l’image de la Marque ?
« L’engagement de Citroën en Rallye et la dynamique de ces dix dernières années sont indissociables. Aux quatre coins du Monde, sur asphalte, sur terre ou sur neige, la C4 WRC a remporté les deux tiers des rallyes auxquels elle a participé ! Ce chiffre illustre à la fois la performance, la fiabilité et la polyvalence de nos produits. Comment ne pas associer Sébastien et Daniel à cette collection de victoires. Simples et accessibles, déterminés et volontaires, ils sont nos meilleurs ambassadeurs. »
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Commence à y avoir trop de couleurs !
Crashed Ice
La piste prend forme
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Image © Keystone
Lausanne accueillera samedi soir une course spectaculaire. Soixante-quatre patineurs dévaleront un couloir de glace au coeur de la ville sur une piste agrémentée de virages, de sauts et de bosses. Les premiers cristaux de glace se sont formés se sont déjà formés sur le tracé. Photos.
le 10 mars 2009
LeMatin.ch & les agences
Cette compétition est une discipline baptisée Ice Cross Downhill ou "patinage de descente extrême". Elle a vu le jour en l'an 2000 à Stockholm, à l'instigation de la marque de boissons Red Bull. D'autres éditions se sont tenues à Québec, Stockholm et Helsinki.
La première suisse a eu lieu à Davos, l'an dernier. En 2009, ce sera Lausanne. "Nous avons cherché une ville qui aime le hockey et qui soit en pente", a expliqué lundi à l'ATS Fabio Svaizer, responsable de la communication.
100, puis 64
Après des qualifications aux quatre coins de la Suisse, les organisateurs ont sélectionné 80 candidats prêts à dévaler le couloir glacé. Une vingtaine de personnes, qui ont pris part aux précédentes éditions, ont reçu une "wild card". "Il y a des Suisses, des Scandinaves, mais aussi des Tchèques", a expliqué M. Svaizer.
Vendredi, dès 19h00, une centaines de patineurs, équipés comme des hockeyeurs, s'élanceront un à un de la place du Château pour une manche individuelle de qualifications. Les 64 meilleurs seront retenus pour la finale du samedi soir, dès 19h00.
A 60 km/h
Ils dévaleront la piste quatre par quatre, à une vitesse qui pourra atteindre les 60 km/h. Les deux premiers arrivés en bas - sur la place de la Riponne - seront qualifiés pour l'étape suivante. Aucune femme ne sera au départ. "Il n'y a pas eu de fille cette année aux qualifications", a expliqué M. Svaizer.
J'habite à deux pas, je vais pas manquer ça.......:content:
Liverpool et Chelsea confirment la suprématie des clubs anglais
Champion's league | Pour la quatrième fois en cinq ans, Liverpool sera fidèle au rendez-vous des quarts de finale de la Ligue des champions. Devant leur public d’Anfield Road, les Reds ont battu le Real Madrid 4-0 grâce à des buts de Torres (16e), Gerrard (28e/47e) et Dossena (88e), après avoir déjà remporté le match aller 1-0.
SI | 11.03.2009 | 03:02
http://www.24heures.ch/files/imagecache/312x468/story/17_2_102113_YAT011_5bee50f9.jpg © AFP | Gerrard - Torres, auteurs de trois des quatre buts des Reds.
Sans plusieurs arrêts remarquables de Casillas, de loin le meilleur élément de son équipe, le Real serait reparti avec une véritable correction. Car Liverpool a maîtrisé son sujet avec une autorité jamais prise en défaut.
La malédiction continue donc pour le Real: le club qui détient le record de titres en Ligue des champions (9) échoue pour la 5e fois consécutive dès les 8es de finale. Les Madrilènes ont successivement été sortis par la Juventus, Arsenal, Bayern, AS Rome et Liverpool hier.
ESSIEN REVIENT À POINT
Chelsea a obtenu son billet en arrachant le nul 2-2 (aller 1-0) sur le terrain de la Juventus. Gravement blessé en septembre dernier - rupture des ligaments croisés antérieurs d’un genou -, Michael Essien est revenu à point pour permettre à Chelsea d’espérer encore glaner un titre que désire plus que tout Roman Abramovitch. le joueur africain de l’année 2008 a parfaitement suivi une frappe de Frank Lampard, déviée sur la transversale par Buffon (45e) pour égaliser à 1-1. Ce n’était alors que justice pour des Londoniens qui avaient certes concédé l’ouverture du score à l’issue d’un une-deux d’école entre Trézéguet et Iaquinta (19e), mais qui s’étaient vu refuser un but valable de Didier Drogba. Le coup franc de l’Ivoirien avait en effet été stoppé par le gardien «bianconero» derrière la ligne. L’expulsion de Chiellini ainsi que le 2-1 de Del Piero sur penalty, ont égayé une fin de rencontre bouclée par un but de… Drogba.
VILLAREAL CONTINUE
Le club espagnol peut espérer revivre une épopée telle que celle de qui l’avait emmené jusqu’en demi-finale de l’édition 2006 grâce à sa victoire en Grèce contre le Panathinaïkos.
Coup double pour Sébastien Chavanel à Paris-Nice
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Sylvain Chavanel (Quick Step) a dépossédé l'Espagnol Alberto Contador des commandes de Paris-Nice, mardi à Vichy, où le Français a enlevé la troisième étape sous la pluie et endossé le maillot de leader. Un coup de force de l'équipe Rabobank, à quelque 45 kilomètres de l'arrivée de cette étape de plaine de 178 kilomètres, a déstabilisé Contador, désormais 6e du classement général. La quasi-totalité de la formation néerlandaise (six sur sept coureurs en lice) s'est projetée à l'avant du peloton pour accélérer brutalement.
Après quelques instants, Contador, absent de ce premier groupe, a tenté de revenir seul, puis avec l'aide du Français Christophe Moreau, alors que l'écart était encore inférieur à une trentaine de secondes. Mais le vainqueur du Tour de France 2007 et grand favori de cette édition de la "course au soleil" n'a pu que se rapprocher à 15 secondes sur les routes du centre de la France battues par la pluie.
Il a vu s'éloigner ensuite le groupe conduit par les Rabobank qui travaillaient pour leur leader espagnol Juan Manuel Garate et par Chavanel, disposant d'un coéquipier, Kevin Seeldrayers, un jeune et prometteur grimpeur de 22 ans. Contador, esseulé, a vu grandir l'écart au fil des kilomètres.
A l'arrivée des 178 kilomètres, l'avance s'est élevée à 1 minute et 9 secondes, une note qui a souligné la vulnérabilité de son équipe privée avant le départ de trois des titulaires prévus à cause de blessures (Leipheimer, Horner, Vaitkus). "Le moral gonflé à bloc" A l'avant, Chavanel a relayé puissamment les trois derniers rescapés de l'équipe Rabobank (Flecha, Langeveld, Garate).
Son petit groupe a récupéré les coureurs de l'échappée lancée dès la première demi-heure de course (Roelandts, Augé, Le Mével, Veelers, ainsi que Bodnar, distancé ensuite) pour se présenter finalement à sept dans les faubourgs de Vichy après une crevaison de l'Allemand Marcus Burghardt dans le final.
Chavanel a attaqué une première fois sous la flamme rouge du dernier kilomètre pour revenir sur le Néerlandais Sebastian Langeveld puis a livré un duel pour le succès d'étape à l'Espagnol Juan Antonio Flecha qu'il a devancé en puissance. Le numéro un français, âgé de 27 ans, a signé son premier succès sous les couleurs de Quick Step, la formation belge qu'il a rejoint à l'intersaison.
"C'est typique de Paris-Nice, il y a souvent des coups de bordure", a-t-il commenté tout en restant prudent à propos de ses chances de victoire finale dimanche prochain à Nice par rapport à Contador désormais 6e à 1:03. L'année passée, l'aîné des frères Chavanel avait également pris le pouvoir dans Paris-Nice. Mais il avait perdu son maillot jaune le lendemain sur les pentes du Mont Ventoux, à l'arrivée au Mont Serein.
"Je suis en meilleure condition que l'an dernier, a cependant signalé le nouveau leader. J'ai regardé les pourcentages de la Montagne de Lure (l'arrivée de l'étape de vendredi). Je sais que je peux faire quelque chose si je suis en forme. J'ai le moral gonflé à bloc." Mercredi, la quatrième étape relie Vichy à Saint-Etienne (173,5 km). (afp/chds)
10/03/09
Augé il est originaire de Pau donc j'suis très heureux de sa perf' !
El Farès, c'est effarant !
A la surprise générale, Julien El Farès (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)) a remporté la 1re étape de la course des deux Mers, entre Cecina et Capannori. Le Français de 23 ans a dominé au sprint son compagnon d'échappée, l'Ukrainien Vladimir Duma. Daniele Bennati (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25076.shtml) a réglé le peloton devant Alessandro Petacchi (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14603.shtml) et Tom Boonen (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs24520.shtml).
Tirreno-Adriatico a débuté mercredi par un coup de tonnerre bien plaisant pour le cyclisme français, avec la victoire inattendue du tout jeune Julien El Farès. Inattendue, non pas parce que le coureur de l'équipe Cofidis manque de talent. Mais pour sa deuxième saison chez les pros, décrocher la première victoire de sa carrière sur une course aussi relevée que Tirreno relève de l'exploit. Surtout sur un parcours sans réelle difficulté, que l'on croyait taillé pour les sprinters. El Farès, lui, est plutôt catalogué dans la catégorie des grimpeurs de poche.
Contador contre-attaque
Alberto Contador n'a pas tardé à répliquer après la prise de pouvoir de Sylvain Chavanel. Le Madrilène a attaqué dans le final de la 4e étape mercredi. Résultat, il reprend près de 30 secondes au Français, qui a tout de même sauvé son maillot à Saint-Etienne, où Christian Vandevelde s'est imposé.
Il faut toujours se méfier de l'orgueil d'un champion. Alberto Contador était sans doute vexé d'avoir été piégé mardi. Pris dans une cassure, l'Espagnol avait cédé son maillot jaune de leader et, potentiellement, son statut de patron. 24 heures plus tard, s'il n'a pas repris la tête du classement général, l'espagnol a montré qu'il restait l'acteur principal de la pièce. Et ce 4e acte lui a été beaucoup plus favorable que le précédent. En passant à l'attaque dans la côte de Rochetaillé, dernière des six ascensions de troisième catégorie au menu du jour, le leader d'Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml) a impressionné. Surtout, il a comblé une partie de son retard sur Sylvain Chavanel en reprenant 27 secondes au Français.
Revenu à la quatrième place du classement, Contador fait à nouveau office de grand favori. Vendredi, en haut de la Montagne de Lure, juge de paix annoncé de ce Paris-Nice, il semble largement en mesure de gober Chavanel et tous les autres. Au lendemain de son coup de force, le Poitevin a accusé autant le contre-coup de ses efforts que la contre-attaque de Contador. Il a eu le mérite de ne pas s'affoler. "Je n'ai jamais paniqué car je savais que j'avais une petite marge au général, a confié le coureur de l'équipe Quick Step à l'arrivée. Quand Contador attaque, c'est toujours très franc et je ne voulais pas me mettre dans le rouge. Dans la tête, je n'ai pas lâché. Mais dans la descente, avec la cassure, c'était difficile de revenir." Pour six petites secondes, il a tout de même sauvé son maillot devant son dauphin, Juan Manuel Garate (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs16481.shtml). Mais c'est bien un autre Espagnol qui restera comme l'homme fort de cette 4e étape.
La plus belle de Vandevelde
L'homme fort, mais pas le vainqueur, puisque c'est Christian Vandevelde qui a apposé son nom à la longue liste des lauréats à Saint-Etienne. La cité forézienne a accueilli la Course au Soleil pour la 58e fois de son histoire mercredi. Un classique, donc, et une victoire de prestige pour Vandevelde, dont le palmarès n'est pas si fourni. A bientôt 33 ans, l'Américain, 5e du dernier Tour de France, ne compte en effet que six victoires en carrière. Celle-ci est, de loin, la plus belle. Il est allé la chercher d'abord en se glissant dans la bonne échappée. Après un début de course très nerveux, le bon coup est parti à environ 110 kilomètres de l'arrivée, à l'initiative de Samuel Dumoulin (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)). Outre Vandevelde, on trouvait là notamment Xavier Flornecio (Cervelo) ou Nicolas Roche (AG2R).
Jamais ce groupe n'a réussi à prendre une marge suffisante sur le peloton, qui s'est toujours tenu à portée de fusil, l'écart n'excédant jamais les deux minutes. Dans le final, vandevelde a donc tenté sa chance en solitaire. Un tout pour le tout indispensablen, et finalement salvateur. L'Américain a résisté à tout. A la contre-offensive lancée par trois Français, Pierre Rolland (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs114083.shtml) (Bouygues), Christophe Le Mével (Française des Jeux (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea309.shtml)) et Geoffroy Lequatre (Agritubel). Puis, surtout, au démarrage fulgurant d'Alberto Contador, qui a tout de même repris 45 secondes en moins de deux kilomètres dans la dernière bosse.
En bas de la descente, dans Saint-Etienne, Vandevelde a conservé 14 secondes sur la ligne. Cela suffit à son bonheur. Contador, lui, avait été repris par un groupe d'une vingtaine d'hommes, au sein duquel figuraient donc Garate, mais aussi Frank Schleck, David Moncoutié, Christophe Moreau, ou le jeune Jonathan Hivert (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81513.shtml), d'Agritubel, qui s'est payé le luxe de régler ce joli monde au sprint. Sylvain Chavanel, lui, n'était pas parmi ces hommes forts. Les jours passent, et les temps changent. Le Poitevin a eu la confirmation aujourd'hui que Contador "ne voulait pas lâcher ce Paris-Nice comme ça." Le message est clair, au moins...
http://img9.imageshack.us/img9/2514/5053334079873317238.jpg (http://img9.imageshack.us/my.php?image=5053334079873317238.jpg)
Déterminé à gagner ce Paris-Nice, Contador !
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L'Américain sera un outsider lors du prochain Tour de France !
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Personnellement, je pense que Chavanel n'a pas les épaules pour gagner dimanche !
Clichés officiels : L'Audi R15 sous toutes les coutures !
Elles sont arrivées sur les serveurs ! Voici enfin les photos officielles détaillées de la nouvelle arme d'Audi Sport, la R15 TDI ! Nous vous livrons 10 clichés dans cet article et vous retrouverez la totalité des clichés officiels dans cette galerie (http://www.endurance-info.com/version2/photos-endurance.html?page=41&np=0). Une première analyse très rapide des clichés permet de voir que certaines retouches ont été apportées à la voiture vue en essais à Vallelunga. Mais il nous faudra la voir de près pour pouvoir prendre la mesure du choc qu'apporte l'Audi R15 par sa conception très novatrice...
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Je trouve l'avant assez aplati par rapport à la R10 et me rappelle la F1 !
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J'aime pas trop les couleurs.
Nigel Mansell va tester la Formula Le Mans !
Après Bruno Senna au volant de la Courage-Oreca, place à Nigel Mansell dans le baquet de la Formula Le Mans ! Le Britannique, Champion du monde de F1 en 1992, va prendre le volant de la FLM09 le 25 mars prochain sur le circuit Paul Ricard HTTT. Nigel Mansell effectuera ce test en compagnie de ses deux fils, Leo et Greg, à l'occasion de la première séance d'essais du championnat. La famille Mansell pourrait s'engager dans la discipline, se partageant les commandes de l'auto à tour de rôle.
Dans deux semaines, Nigel, Leo et Greg se relayeront au volant du châssis de développement, qui va passer la barre symbolique des 5000km ! D'autres pilotes intéressés par la Formula Le Mans Cup vont d'ailleurs profiter de cette session pour découvrir le proto conçu par Oreca. Plusieurs teams engagés dans la série seront également présents. Ils effectueront ainsi leurs premiers tours avec leurs FLM09, la livraison ayant débuté au début du mois.
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La Formula Le Mans, c'est ça !
Premières photos de la Lola Aston Martin LMP1 !
Voici les premières photos de la (Lola) Aston Martin LMP1. Première constatation, le design est particulièrement fidèle aux esquisses présentées fin janvier par Aston Martin. La partie avant a été sérieusement revue depuis l'an dernier, avec une calandre qui n'est pas sans rappeler les modèles de série de la firme britannique.
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MA-GNI-FIQUE !!
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Voila pour la page Endurance ! Passons à la F1 !
Barcelone – J3 : Brawn GP est musclée !
En Anglais, Brawn désigne la partie charnue, musclée des membres. Depuis ses débuts, cette semaine à Barcelone, près de 2 mois après les premiers lancements 2009, Brawn GP a fait honneur à sa signification. Après avoir bousculé la hiérarchie les 2 premiers jours avec un 3è et un 4è meilleurs temps, l’écurie de Brackley a musclé les débats en signant aujourd’hui la référence 2009 du circuit Catalan ! Jenson Button s’est chargé de rejeter la concurrence à 1 seconde, un véritable gouffre qui laisse planer le doute quant aux performances intrinsèques de la BGP-001. Brawn GP garde le secret sur la teneur de son programme et les spéculations vont bon train dans le paddock au sujet de la quantité d’essence embarquée par la monoplace blanche. Button a allié l’assiduité et la fiabilité à la performance en bouclant 124 tours du Circuit de Catalunya.
Felipe Massa offre à Ferrari la 2è place devant BMW Sauber et Toyota alors que McLaren Mercedes continue de fermer la marche. Lewis Hamilton a été l’une des 3 victimes d’une sortie de piste (dans la grande courbe Renault), avec son plus sérieux rival la saison dernière, Felipe Massa, ainsi qu’avec Sebastian Vettel.
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Notez la forme du bas de l'aileron arrière !
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Comment appeler cet objet aérodynamique autour du pilote ?
Toyota a l'intention de rester jusqu'en 2012
Le constructeur japonais Toyota souhaite rester en Formule 1 après 2012, malgré un palmarès pour l'instant vierge, a déclaré le président de Toyota Motorsport, John Howett, mercredi à Barcelone, où les écuries de F1 procèdent à des essais d'avant-saison.
"Nous sommes désignés comme la seule équipe qui s'en ira si elle ne gagne pas. Mais si vous observez le climat économique général, toutes les écuries doivent être examinées avec minutie. Et toutes ont besoin d'être très performantes, ce qui leur met la pression", a déclaré M. Howett à l'AFP.
"Toyota à l'intention de rester (en F1) jusqu'en 2012, et peut-être plus tard encore. Mais en même temps il y a une pression forte sur le marché. Nous devons donner de la valeur à l'entreprise. Je suis confiant : si nous faisons une forte saison, nous resterons", a-t-il affirmé à l'AFP.
L'objectif semble à la portée de Toyota, après des essais à Bahreïn, Jerez et Barcelone où la TF109 a collectionné les places d'honneur. "Nous semblons plus compétitifs que nous l'avons été à cette période de l'année", a estimé John Howett. http://horyzonix.sdv.fr/5/www.racing-live.com/cc/1353683735/x03/Horyzon/C6_CITROENC3_RCLIVE_PAVEV_0309/C6_CINTORENC3.html/35373634346131303439313565313730?http://ww147.smartadserver.com/clic/countgo.asp?436549;36773;8867356410860239771;16871 63243;S;2090690;URL=&_RM_EMPTY_
Bonne nouvelle donc !
pierminator
11/03/2009, 20h24
l'aston martin LOLA est magnifiqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
l'aston martin LOLA est magnifiqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Que dire de plus... Sont toutes belles , meci Medol;)
Victoire du Français Jérémy Roy à la 5e étape de Paris-Nice
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Le Français Jérémy Roy (Française des Jeux) a remporté la 5e étape de Paris-Nice (HIS), disputée jeudi sur 204 km entre Annonay et Vallon-Pont-d'Arc. Roy, 25 ans, a décroché sa première
victoire professionnelle en s'imposant avec quelques mètres d'avance sur ses deux compagnons d'échappée, son compatriote Thomas Voeckler et l'Allemand Tony Martin, respectivement 2ème et 3ème.
Sortis du peloton au 13ème km, les trois hommes ont franchis les sept difficultés répertoriées de la journée en tête, s'octroyant jusqu'à 6:40 d'avance à mi-course sur le peloton, qui a finalement fini à 2:33 du trio.
Le maillot jaune est resté sur les épaules du Français Sylvain
Chavanel (QuickStep), vainqueur de la 3e étape mardi.
Vendredi la 6e étape conduire les coureurs sur 182,5 km entre
Saint-Paul-Trois-Châteaux et l'arrivée au sommet de La Montagne de Lure dans les Alpes de Haute Provence.
Svindal brise le rêve de globe de cristal de Cuche et Defago
Finales de Coupe du monde | Svindal a fait le malheur des deux Didier lors du super-G à Are (Su). Deuxième derrière l'Italien Heel, le Norvégien a raflé le globe de la spécialité que convoitait Défago (8e) et définitivement distancé Cuche (15e) au classement général.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/468_1196.jpg © afp | Aksel Lund Svindal en action.
SI | 12.03.2009 |
En six jours, Défago aura tout perdu. Le titre samedi en descente à Kvitfjell (No), puis celui du super-G jeudi à Are. Pour Svindal, c'est l'inverse. Comme lors des finales de Lenzerheide en 2007 (3 succès), le Norvégien se fait l'auteur d'un dernier rush impressionnant. Vainqueur la veille en descente, Svindal s'est contenté d'une deuxième place en super-G pour s'assurer le globe de la spécialité. Il s'agit de son cinquième trophée (super-G en 2006, géant, combiné et général en 2007), à 26 ans seulement. Svindal a aussi fait une bonne opération dans l'optique d'un triomphe au classement général. Alors qu'il reste deux épreuves, le coureur de Kjeller compte 102 points d'avance sur l'Autrichien Benjamin Raich, surprenant quatrième du super-G. Pour Cuche, les carottes sont cuites. Le Neuchâtelois accuse un retard de 150 unités. Il tentera de se consoler vendredi en enlevant le titre en géant, discipline dont il est l'actuel leader.
Quant à Werner Heel, il a remporté la troisième victoire de sa carrière à Are (après la descente de Kvitfjell en 2008 et le super-G de Val Gardena cet hiver). Les autres Italiens ont aussi brillé avec Christof Innerhofer 3e et Peter Fill 5e.
Finales de la Coupe du monde à Are (Su). Résultats: 1. Werner Heel (It) 1'13''41. 2. Aksel Lund Svindal (No) à 0''07. 3. Christof Innerhofer (It) à 0''20. 4. Benjamin Raich (Aut) à 0''21. 5. Peter Fill (It) à 0''74. 6. Carlo Janka (S) à 0''79. Puis les autres Suisses: 8. Didier Défago. 15. Didier Cuche. 22. Ambrosi Hoffmann. 23. Silvan Zurbriggen.
Darren Cahill renonce à l'offre de Federer
TENNIS | Roger Federer est toujours sans coach. L'Australien Darren Cahill a décliné l'offre du Bâlois. Les deux hommes s'étaient entraînés ensemble la semaine dernière à Dubaï.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/federer_9.jpg © - | -
SPORTINFORMATION | 12.03.2009 |
«Après l'Open d'Australie, Darren m'a appelé pour me demander si j'étais toujours intéressé par une collaboration, explique Roger Federer. Nous nous sommes retrouvés à Dubaï. Mais après cette expérience, nous avons décidé de ne pas pousser plus loin». Vivant à Las Vegas avec sa femme et ses deux enfants, l'ancien mentor d'Agassi et de Hewitt ne se voyait sans doute pas collaborer avec un joueur qui passe son temps entre la Suisse et les Emirats.
A Indian Wells où il jouera son premier tour ce week-end contre le vainqueur du match entre Simone Bolelli et Marc Gicquel, Roger Federer pourra toujours compter sur le concours du fidèle Severin Lüthi. Le Bâlois a répété qu'il ne recherchait pas à tout prix un coach. «C'est Cahill qui m'a appelé, précise-t-il. Si je garde toujours un oeil ouvert, je ne vois pas des raisons de tout changer. Je suis content avec mon «team» actuel. Severin Lüthi a fait un travail fantastique depuis une année et demie».
Forfait en Coupe Davis pour soigner son dos, Roger Federer se dit aujourd'hui prêt à engager à nouveau le fer. «Je serai capable de suivre le programme que j'ai établi pour ces six prochains mois, lâche-t-il. J'en suis convaincu !»
Le soleil réchauffe le toboggan de glace
LAUSANNE | La météo trop clémente pèse sur les entraînements du Red Bull Crashed Ice. Le spectacle de samedi soir est toutefois assuré.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/ice-paysage.jpg © PATRICK MARTIN | Les 400 mètres de piste n’attendent plus que les patineurs. Les parties surélevées du tracé sont équipées de barrières transparentes pour améliorer la vision des spectateurs.
Sylvain Muller | 12.03.2009 | 00:04
http://www.24heures.ch/files/images/imce/ice-portrait.jpgLes abords du toboggan glacé qui relie la place du Château à celle de la Riponne ressemblent à une fourmilière. Des dizaines de monteurs s’activent pour installer les dernières infrastructures du premier Red Bull Crashed Ice lausannois, un événement qui fait des remous jusqu’au Conseil communal lausannois.
Si la partie principale du spectacle aura lieu samedi soir de 19 h à 22 h, les occasions de voir les concurrents dévaler la pente seront nombreuses. Des entraînements sont prévus demain de 13 h à 16 h et samedi de 14 h à 16 h. «Ces horaires sont toutefois provisoires, avertit Bernhard Spahni, le manager sport et events de la marque aux deux taureaux. S’il fait vraiment trop chaud, nous pourrions les avancer dans la matinée.» Des épreuves qualificatives seront également disputées demain soir de 19 h à 21 h, pour départager la centaine de concurrents sélectionnés et retenir les 64 meilleurs, qui se mesureront samedi soir.
Pour le reste, les 20 000 spectateurs attendus bénéficieront d’un spectacle haut en couleur. Le montage de la piste est achevé et les derniers à-côtés (écrans géants, stands de boissons, WC) sont en cours de montage. Les parties surélevées du parcours sont équipées de barrières transparentes pour une meilleure visibilité. A noter que les spectateurs situés au carrefour de la rue Pierre-Viret et de l’avenue de l’Université bénéficieront d’une vision sur près de la moitié du parcours.:content:
Barcelone – J4 : Le big bang Brawn GP
La dernière journée d’essais privés réunissant l’ensemble du plateau du championnat du monde de Formule Un s’est conclue sur un coup de tonnerre, celui déclenché par un moteur Mercedes. L’origine du big bang n’est pas celle attendue au sortir du championnat 2008 qui a consacré l’écurie McLaren Mercedes. Le cœur de la déflagration se trouvait dans la BGP 001 de Rubens Barrichello, qui prenait part aujourd’hui à sa 4è journée de roulage officiel depuis sa naissance.
Le Brésilien a fait voler en éclat la barrière des 1:19 et se positionne près d’une seconde devant son plus proche rival du jour, Nico Rosberg. Le 3è meilleur performeur, Timo Glock est dans le bas de la fourchette des 1:20 dans laquelle on retrouve également Massa, Vettel, Kubica et Lewis Hamilton, dont les progrès dans la hiérarchie et au niveau chronométrique sont substantiels sans être totalement rassurants pour le champion du monde en titre. Si McLaren Mercedes avait entamé un travail de fond en prévision de Melbourne, il lui était obligatoire de jauger son package 2009 dans sa configuration du GP d’Australie lors de l’ultime répétition de l’intersaison. Sans le phénomène Barrichello, l’impression générale laissée serait un peloton de ténors se tenant dans un mouchoir de poche : moins de 0,2 seconde sépare Massa 4è d’Hamilton 7è.
La référence 2009 du Circuit de Catalunya en dit long sur les progrès de l’écurie de Brackley. En Novembre 2008, elle prenait part à ce qui était la dernière séance d’esais de feue Honda Racing. Alexander Wurz, au volant d’un package hybride 2008/09, avec des pneus slicks mais une aéro plus léchée que celle de cette saison, avait tourné 1:21.198, soit à plus de 2 secondes de Barrichello aujourd’hui ! Dans le même temps, la plus rapide des flèches d’argent avait tourné en 1:21.140 (avec KERS, aéro 2009 et pneus slicks).
Du côté de Renault, la journée s’est brutalement interrompue peu après 14h30, lorsque la R29 de Fernando Alonso est sortie dans le virage, ô ironie, baptisé Renault.
Ben dis donc, quelle surprise !
http://img10.imageshack.us/img10/6809/barrichellotestz1410030.jpg (http://img10.imageshack.us/my.php?image=barrichellotestz1410030.jpg)
http://img10.imageshack.us/img10/4352/diapo105l.jpg (http://img10.imageshack.us/my.php?image=diapo105l.jpg)
Pour Bourdais c'est quitte ou double !
Proton rejoint le championnat
Un nouveau constructeur va rejoindre l'Intercontinental Rally Challenge à partir de 2009. Il s'agit de Proton. Le constructeur malais devient le 7e à participer à l'IRC. Il fera son apparition avec la Satria Neo.
C'est désormais officiel, Proton va faire son apparition en IRC dès cette saison. Le constructeur malais, qui a lancé sa nouvelle Satria Neo S2000, est le septième constructeur à rejoindre le championnat IRC après Abarth, Honda, Mitsubishi, Peugeot, Skoda et Volkswagen.
"L'IRC est une plateforme idéale pour les constructeurs qui veulent montrer leur produit à travers le monde. Nous sommes très excités à l'idée de rejoindre l'IRC cette saison, au côté de de nombreux constructeurs de pointe. Même si nous sommes toujours en phase de développement avec la Proton, l'IRC nous apportera une opportunité de jauger la compétitivité de la voiture" , a déclaré Datuk Syed Zainal, le directeur de Proton.
Le constructeur a déjà participé à de nombreuses compétitions automobiles, remportant même le championnat du monde Production en 2002 avec le Proton PERT. "Nous sommes absolument enchantés d'accueillir Proton dans la famille IRC qui se renforce encore davantage. La Satria Neo S2000 s'est déjà montré prometteuse. Je n'ai aucun doute sur la capacité à Proton à rencontrer le succès avec des pilotes clients sur les événements IRC", s'est enthousiasmé Marcello Lotti, le manager général de l'IRC.
http://img24.imageshack.us/img24/8024/5057044086401317238.jpg (http://img24.imageshack.us/my.php?image=5057044086401317238.jpg)
Une belle opération pour l'IRC mais un coup dur pour le WRC !
Petacchi est bien de retour
Alessandro Petacchi (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14603.shtml) (LPR) a confirmé son retour au premier plan en remportant au sprint la 2e étape de Tirreno-Adriatico. Le revenant italien s'est imposé devant son compatriote Daniele Bennati (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25076.shtml) (Liquigas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4594.shtml)). Le Français Julien El Farès (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)), vainqueur la veille, conserve le maillot de leader.
A 35 ans, Alessandro Petacchi n'a pas perdu grand chose de sa légendaire pointe de vitesse. En s'imposant à Marina de Carrara au terme des 177 kilomètres du jour, le sprinter italien a en effet obtenu son troisième bouquet de la saison après son succès sur le GP de la Côte Etrusque et sa victoire d'étape à Cagliari sur le Tour de Sardaigne. Pas mal pour un coureur que beaucoup, parmi les observateurs, qualifie de vieillissant.
Suspendu durant six mois l'an dernier par le Comité Olympique National Italien pour une concentration trop élevée de salbutamol, le Spézian, licencié sur le coup par le Team Milram (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4592.shtml), s'était défendu en expliquant soigner son asthme avec des bronchodilatateurs. Une fois sa suspension purgé, Petacchi avait trouvé refuge au sein de la formation LPR-Brakes de Danilo Di Luca (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs6971.shtml) et n'avait pas attendu longtemps pour retrouver l'ouverture (5 victoires pendant les mois de septembre et d'octobre sous ses nouvelles couleurs).
http://img24.imageshack.us/img24/5182/5057094086486317238.jpg (http://img24.imageshack.us/my.php?image=5057094086486317238.jpg)
la relève est là Norton !
Tu vas pouvoir t'offrir des vacances... bravo Medol !
la relève est là Norton !
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;)Super Medol:content:
Cyprus Rally : Sordo signe le meilleur temps au shakdown
Sport (http://www.come4news.com/index2.php?option=com_authorrss&no_html=1&task=viewCategoryRss&category=106)
Cette année, le rallye de Chypre va se disputer sur deux terrains différents, il commencera vendredi sur asphalte, puis les deux jours suivants seront sur terre. C'est une première depuis le rallye Sanremo de 1996. Et ce matin, c'est Dani Sordo qui signe le meilleur temps sur asphalte au Shakdown.
Cette troisième épreuve de WRC 09 à une grande particularité. Les écuries n'ont droits seulement aux pneus Pirelli Scorpion. Ce sont des pneumatiques à gomme dure spécialisés pour les spéciales sur terre.Ce choix sera surement parfait pour les deux jours sur terre, mais sera sans doute plus délicat ce vendredi sur asphalte pour tous les équipages.
Dani Sordi et son copilote Marc Marti ont réalisé une chrono de 3'33''0 pour ce shakedown.
Le pilote affirme "Tous s'est bien passé ce matin. J'apprécie beaucoup ces spéciales sur asphalte, qui me rappellent la Catalogne. Cela dit, nous ne pourrons pas les aborder de la même façon qu'un rallye asphalte traditionnel. Plus qu'ailleurs, il faudra conduire avec la tête pour gérer les pneus et les freins".
Sébastien Loeb et Daniel Elena ont eux aussi été bien satisfaits : " Les conditions sont les même pour tout le monde. Avec ces pneus sur asphalte, nous n'avons pas beaucoup de grip et ça ne va pas trés vite, mais la C4 WRC reste trés agréable à conduire. Nous avions quelques inquiétudes sur l'usure des pneus, mais le règlement nous autorise désormais à chausser des pneus neufs au refuelling. C'est une bonne chose pour l'interêt sportif".
Peter Solberg signe le deuxième meilleur temps, suivi de Sébastien Ogier et son copilote Julien Ingrassia.Le jeune pilote explique : "Nous n'avons fait que deux passages car le feeling étais bon d'entrée de jeu. Dès lors, nous avons préféré économiser la voiture. De plus, cette spéciale n'étais pas trés représentative de celles que nous emprunterons demain".
Classement des meilleurs temps Shakdown du Cyprus Rally :
1 - Sordo (Citroën) 3'33''0
2 - Solberg (Citroën) +0'3
3 - Ogier (Citroën) +1'0
4 - Loeb (Citroën) +1'5
5 - Latvala (Ford) +1'7
6 - Novikov (Citroën) +2'1
7 - Hirvonen (Ford) +2'3
8 - Rautenbach (Citroën) +2'8
Ce week end, pour ce Cyprus Rally, on espère toujours un doublé de Citroën comme au rallye d'Ireland des deux Sébastien !
http://www.ffsa.org/images/news/260_20090312034807.jpg
Merci pour vos compliments !
Contador tue la course
Alberto Contador n'a pas fait mentir les pronostics en s'imposant avec facilité au sommet de la Montagne de Lure. Si Luis-Leon Sanchez et Frank Schleck et, à un degré moindre, Sylvain Chavanel ont bien résisté, le Castillan, nouveau leader de l'épreuve, a presque course gagnée.
Le scénario était presque écrit d'avance. Alberto Contador, malmené mardi sur les routes venteuses qui menaient à Vichy, devait remettre les pendules à l'heure sur les pentes de La Montagne de Lure. Certes, certains parmi les 147 rescapés de la Course au soleil continuaient de croire en leur chance mais, dans les faits, ni les homonymes Sanchez (Luis Leon de la Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml) et Samuel de chez Euskaltel), ni Frank Schleck et encore moins Sylvain Chavanel n'ont été en mesure de contrarier les desseins du vainqueur du Tour de France 2007 dans le final de cette 6e étape.
Dans l'ascension de cette montée finale inédite, Alberto Contador a en effet tenu son rang. D'abord patient au pied, le leader de la formation Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml), bien calé dans la roue de son coéquipier ukrainien Yaroslav Popovych avait dans un premier temps laissé le vétéran allemand Jens Voigt croire en ses chances. A une dizaine de kilomètres du sommet, il avait placé une première banderille en répondant à une accélération de Vladimir Efimkin. Voyant les difficultés rencontrées par ses adversaires directs pour reprendre son sillage, il avait décidé d'insister quelques hectomètres plus loin. Frank Schleck et Toni Colom firent alors illusion pendant quelques instants... Mais Contador était trop fort.
Chavanel résiste bien
A quelque 5 kilomètres du sommet enneigé de cette belle ascension, c'est ainsi presque sans le vouloir que le Castillan s'en est allé seul cueillir les lauriers qui lui semblaient promis. Assis sur sa selle, il balayait les ultimes résistances et allait dès lors s'évertuer à creuser l'écart dans son style si caractéristique. Derrière lui, Franck Schleck et Luis Leon Sanchez, qu'on savait en forme depuis le Tour Méditerranéen mais qu'on ne connaissait pas si bon grimpeur, limitaient la casse et franchissaient la ligne avec un débours de 58 secondes. Sans surprise, au terme d'une étape qui a enregistré des écarts conséquents, les deux hommes se replacaient au général (L'Espagnol est 2e et le Luxembourgeois 4e).
Intercalé au classement entre ces deux coureurs, Sylvain Chavanel a bien résisté sur une ascension un peu trop dure pour lui. En difficulté sur la deuxième attaque de Contador, le Poitevin, alors encore vêtu de son maillot jaune, ne s'était pas désuni et avait géré la seconde moitié de l'ascension. Douzième au sommet à 1'24" de l'intouchable Contador, le vainqueur d'étape de Vichy pouvait raisonnablement être satisfait de son ascension.
http://img525.imageshack.us/img525/154/5044444065972317238e.jpg (http://img525.imageshack.us/my.php?image=5044444065972317238e.jpg)
C'était sûr mais je m'attendais à une grosse défaillance de Sylvain !
La MP4-24 n’est pas assez rapide, avoue McLaren Mercedes
De bonne foi, McLaren Mercedes ne pensait pas noyer le poisson au début du mois en expliquant qu’elle s’était jetée à corps perdu sur un hameçon, celui de la performance à long terme et non sur celui des essais hivernaux. Aujourd’hui, l’hameçon est dur à avaler : oui la MP4-24 a des lacunes, non elle ne fraie pas avec le banc de tête, McLaren Mercedes en convient…
« Les premiers essais de la MP4-24, qui a d’abord roulé dans une configuration aérodynamique hybride, étaient en accord avec nos attentes en matière de développement. Cette semaine, la voiture a roulé à Barcelone avec une évolution de son package aéro, comme c’était prévu de longue date, et un trou dans la performance a été identifié. Nous devons travailler d’arrache-pied pour le résoudre » avoue Martin Whitmarsh, directeur de McLaren Mercedes et successeur de Ron Dennis.
L’héritage du patron historique de McLaren – qui a comme prévu tiré sa révérence avec des flèches d’argent plantées dans le mille – semble déjà lourd à porter mais Whitmarsh se retranche dans le palmarès et le savoir-faire de son écurie… « Lewis est le champion du monde en titre, il l’a été sur l’une de nos voitures et tout autre résultat que le succès ne serait donc pas satisfaisant pour nous, pour nos partenaires, pour les médias et pour les fans. Cela étant dit, McLaren a pris le départ de 648 GP. Nous en avons gagnés 162 et avons terminé à 431 reprises sur le podium. Nous avons foi en nos ingénieurs et en leur capacité à faire de la MP4-24 une voiture capable de compléter ces statistiques » poursuit Whitmarsh.
Les résultats bruts de McLaren Mercedes lors des 2 dernières sessions d’essais, à Jerez de la Frontera et à Barcelone, où la MP4-24 n’a jamais pu prétendre aux premiers rôles ? Whitmarsh les prend à son compte, sans concession. « C’est une combinaison de facteurs. Notre moteur Mercedes est bon, on l’a vu l’année dernière, et le trou dans les performances de la MP4-24 est donc le fait du châssis. Inévitablement, dans la F1 du XXIè siècle, c’est dans l’aéro d’une voiture que l’on trouve les bons forts et les points faibles. C’est ce qui doit être le cas dans la MP4-24. Mais les ingénieurs peuvent faire de grandes choses lorsqu’ils sont sous pression. »
http://img3.imageshack.us/img3/1773/diapo180z.jpg (http://img3.imageshack.us/my.php?image=diapo180z.jpg)
AÏE ! C'est mauvais signe pour eux mais attendons le début de saison qui approche à grands pas !
Chypre – ES 6 : Loeb augmente son avance avant la pluie
Le Rallye de Chypre s’est poursuivi cet après-midi avec un second passage sur les trois spéciales déjà disputées ce matin. Au moment de quitter le parc assistance, les équipages notait que les conditions commençaient à changer sur l’île : les températures enregistrées étaient plus fraîches qu’en début de journée et des nuages menaçants couvraient le soleil.
Sébastien Loeb a repris la route en remportant l’ES 4 (Panagia 2) avec en temps de 22’06.8, plus lent de 5s par rapport à ce matin. Mais la véritable nouveauté c’est la présence de Mikko Hirvonen au 2ème rang de cette spéciale : le Finlandais a choisi de quitter l’assistance en pneus usés, un choix qui s’est avéré payant puisqu’il n’a cédé que 8.1s à Loeb contre 13.9s ce matin sur le même tracé. Au contraire, Loeb, Sordo et Latvala ont débuté l’après-midi avec un mélange de pneus neufs et usés. « Je n’avais des pneus usés qu’à l’avant, ce qui fait que l’arrière glissait beaucoup. Je pense qu’il y avait un peu trop de différence entre l’avant et l’arrière, » expliquait Loeb.
Dani Sordo a signé le 3ème temps de cette ES 4 (+14.3s), suivi par Jari-Matti Latvala (+15.7s) et Petter Solberg (+16.3s) équipé de nouvelles suspensions. Plus distancé et malgré un choc avec une barrière, on retrouvait Evgeny Novikov en 6ème position à l’arrivée de ces 30 km, devant son coéquipier chez Citroën Junior, Conrad Rautenbach. Quant à Sébastien Ogier, il a perdu un peu de temps en calant au départ puis en partant en tête à queue pendant la spéciale.
C’est encore et toujours Loeb qui s’est imposé sur l’ES 5 (Mylikouri 2), d’une longueur de 7,37 km. Le Français s’avouait soulagé au moment où il franchissait la ligne d’arrivée de cette spéciale car c’est exactement le moment qu’a choisi la pluie pour s’abattre sur Chypre. « Je pense que ça va aller, » déclarait le pilote Citroën, alors crédité d’une avance de 44s au général. « Mais ça va dépendre de la météo. Peut-être qu’une avance d’une minute n’est pas suffisante pour aborder les deux jours restants sur terre, mais je suis content parce que je crois qu’il va pleuvoir demain. »
Jari-Matti Latvala a signé le deuxième temps de cette spéciale, la plus brève du rallye. Le Finlandais a concédé 5.9s à Loeb et était suivi au classement par Dani Sordo (+7.2s), Mikko Hirvonen (+8.8s) et Petter Solberg (+9.3s). Ogier s’est rattrapé en signant le 6ème temps, suivi par Wilson, Novikov, Al Qassimi et Rautenbach.
La journée a pris fin avec les 29,40 km de l’ES 6 (Gerakies 2). Loeb a cédé les honneurs du temps scratch à son coéquipier, Dani Sordo qui l’a emporté en 21’18.0. Le Français a signé le 2ème temps à 2.2s, suivi de près par Latvala (+2.5s) et Hirvonen (+3.5s). Les 4 hommes ont fini dans un mouchoir de poche, tandis que leurs poursuivants cédaient à nouveau de grosses poignées de secondes : Evgeny Novikov a décroché le 5ème temps à 23.7s de Sordo, suivi par Ogier (+30.5s), Solberg (+44.4s), Rautenbach (+1’00.4), Villagra (+1’03.6) et Wilson (+1’12.0).
Au terme de cette première étape, Sébastien Loeb possède une avance de 41.8s en tête du rallye. Dani Sordo occupe la deuxième position depuis ce matin et devance Mikko Hirvonen de 18.4s. Le Finlandais est lui-même suivi par son coéquipier Jari-Matti Latvala qui pointe à 8.1s du podium virtuel. Petter Solberg s’accroche à la 5ème place, suivi à 36.2s par Ogier et à 48.9s par Novikov. Le top 10 provisoire est complété par Wilson, Rautenbach et Villagra.
http://img5.imageshack.us/img5/9242/5044444065972317238.jpg (http://img5.imageshack.us/my.php?image=5044444065972317238.jpg)
J'trouve que c'est trop facile pour Loeb ! On s'ennuie et Loeb gagne d'entrée ! Il n'y a plus de suspense !
http://img5.imageshack.us/img5/1581/diapo019.jpg (http://img5.imageshack.us/my.php?image=diapo019.jpg)
Après l'effort le réconfort !:D:p
Grange au sommet de son art
Cocorico ! Jean-Baptiste Grange (3e) a remporté le globe de cristal du slalom après celui des finales mondiales d'Are, remporté par l'Autrichien Mario Matt. Julien Lizeroux est monté lui aussi sur le podium (2e). A la lutte pour le globe, le Croate Ivica Kostelic n'a pris que la 12e place.
Il l'a fait ! Après la terrible désillusion des finales de Bormio de mars 2008, après des Mondiaux de Val d'Isère au goût amer, Jean-Baptiste Grange est allé chercher ce petit globe tant attendu. Troisième du dernier slalom de l'hiver, à Are, le Français s'est adjugé le précieux cristal. Sous la menace d'Ivica Kostelic et de Manfred Pranger après la première manche, le skieur de Valloire a tout lâché lors de la seconde. Meilleur chrono du run final, Grange s'est classé troisième de ce slalom suédois. Comme en 2007 lors des Championnats du monde qui l'avait vu décrocher la médaille de bronze à seulement 22 ans.
Deuxième l'hiver dernier derrière l'Italien Manfred Moelgg, le Tricolore termine cette fois-ci au sommet du classement. Victorieux du premier slalom de la saison à Levi, il a mené tout l'hiver, portant fièrement le dossard rouge sur ses épaules à chaque sortie entre les piquets serrés. Pour retrouver un Français à pareille fête, il faut remonter à 1996 et le sacre de Sébastien Amiez. Il y a treize ans, "Bastoun" avait résisté à la pression mise par Alberto Tomba à Hafjell, en Norvège. Ce samedi, chez le voisin suédois, Jean-Baptiste Grange a tenu bon. Souriant le matin, il a rayonné en début d'après-midi. Avec respectivement 49 et 92 points de plus qu'Ivica Kostelic et Manfred Pranger avant ce slalom d'Are, Grange savait pourtant que son avance pouvait rapidement être rabotée par le Croate et le fougueux autrichien, champion du monde en février dernier.
Lizeroux, encore 2e !
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Finalement, ce sont ses deux adversaires qui ont craqué. Cinquième et quatrième de la première manche, Pranger (10e) et Kostelic (12e) n'ont pas tenu la distance. Devant absolument gagner et espérer une sortie de piste de Grange, l'Autrichien savait déjà, au moment de s'élancer, que ses chances de victoire finale s'étaient envolées. Quant au Croate, excellent vendredi lors du géant, il a paru emprunté lors du second passage. Pour le plus grand bonheur de Grange. Sur sa planète depuis la fin du mois de janvier, Julien Lizeroux a confirmé la donne actuelle. Le vice-champion du monde de Val d'Isère n'est pas passé loin d'un troisième succès cet hiver, après ceux glanés à Kitzbuehel et à Kranjska Gora. Le Plagnard, qui termine 3e au général du slalom, a clôturé sa saison par une nouvelle 2e place, à neuf petits centièmes de Mario Matt.
La "Gaestrappet" réussit décidément bien à l'Autrichien, médaillé d'or des Mondiaux d'Are il y a deux ans sur cette même piste. Son compatriote Benjamin Raich n'a pas eu la même veine ce samedi. Dossard un de la première manche, "Benni" a enfourché à mi-parcours de celle-ci, offrant sur un plateau (en or) le gros globe à Aksel Lund Svindal. Déjà sacré en 2007 et pour deux points (1 009 contre 1 007 à Raich), le Norvégien succède ainsi à l'Américain Bode Miller, qui a mis fin à sa saison prématurément. Pour la quatrième fois, la troisième consécutive, Benjamin Raich termine à la 2e place du général. Célébrant son globe sur les épaules de Joël Chenal dans l'aire d'arrivée, Jean-Baptiste Grange a mis fin à la série plus rapidement, lui...
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J'suis vraiment heureux pour lui !
Farrar crée la surprise
L'Américain Tyler Farrar (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81503.shtml) (Garmin) a créé la surprise en coiffant sur le fil le Britannique Mark Cavendish (Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml)) au terme de la 3e étape de Tirreno-Adriatico. Le Français Julien El Fares (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)), vainqueur de la première étape mercredi, reste leader du général.
Mark Cavendish semblait sur le point de décrocher sa cinquième victoire de la saison. Cette belle ligne droite d'arrivée à Santa Croce sull'Arno allait consacrer sa pointe de vitesse. Il ne pouvait en être autrement tant il semblait facile. Et pourtant, le véloce Britannique, qui eut peut-être le tort de relâcher imperceptiblement son effort face au vent contraire dans les 100 derniers mètres, a vu l'Américain Tyler Farrar faire parler sa puissance et le dépasser sur sa gauche juste avant la ligne.
Une fois le protocole satisfait, le sprinter de l'équipe Garmin, heureux de décrocher sa sixième victoire chez les professionnels, n'en revenait pas d'avoir accroché la bombe de l'île de Man à son tableau de chasse: "Cavendish est le meilleur sprinter du monde. Tout le monde veut le battre. Aujourd'hui, c'est une énorme satisfaction pour moi car j'étais à la recherche d'une victoire contre des coureurs de ce calibre depuis quelques années." L'ancien coureur de l'équipe Cofidis, deux fois dans les cinq premiers d'arrivées massives sur le récent Tour de Californie, n'oubliait pas non plus de remercier ses coéquipiers: "Je suis en bonne forme et j'ai une équipe très forte avec moi. Julian Dean et tous les autres ont fait un énorme travail pour moi".
Les choses sérieuses commencent
Avant ce final en fanfare, l'étape n'avait pas pourtant pas franchement été animée. L'Américain William Frischkorn (Garmin-Slipstream), l'Ukrainien Yuriy Krivtsov (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25150.shtml) (Ag2r La Mondiale (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea306.shtml)) et le Néerlandais Lieuwe Westra (Vacansoleil) avait occupé le devant de la scène pendant la quasi-totalité de l'étape mais le peloton, vigilant depuis le coup réussi lors du premier jour de course, ne leur avait jamais accordé un avantage supérieur à 5'30" et les avaient avalé sans pitié à dix kilomètres de l'arrivée.
Bien au chaud au sein du peloton, Julien El Farès a passé une journée tranquille et conserve son maillot bleu de leader. Plutôt bon grimpeur, il peut même rêver tenir le coup samedi lors de la 4e étape de la Course des deux Mers qui s'achèvera au sommet de la terrible côte de Montelupone. Cette ascension que les coureurs devront gravir à deux reprises propose en effet des pourcentages avoisinant les 20%. A n'en pas douter, les postulants à la victoire finale et les puncheurs s'en donneront à coeur joie sur cette espèce de Mur de Huy italien.
http://i.eurosport.fr/2009/03/13/506004-4091146-317-238.jpg
Bon ça c'était vendredi !
Rodriguez l'abonné
Joaquim Rodriguez (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)) s'est imposé comme l'an dernier au sommet de la côte de Montelupone au terme de la 4e étape de Tirreno-Adriatico. Julien El Farès (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)), excellent 6e ce samedi, ne cède son maillot bleu de leader à l'Espagnol que pour six petites secondes.
Déjà vainqueur l'an dernier à Montelupone, Joaquim Rodriguez semble avoir pris un abonnement avec la victoire sur les hauteurs de cette pittoresque commune des Marches. Outsider plus que favori au départ de cette 4e étape de la Course des deux Mers, l'Espagnol ne s'est pas raté dans la seconde ascension du jour de cette courte mais si difficile montée que beaucoup comparent au Mur de Huy. Tant mieux pour ce grimpeur-puncheur qui a fêté ses 30 ans jeudi et qui a fait des classiques ardennaises son grand objectif de la saison.
A un peu plus de cinq semaines du début de la campagne limbourgo-wallonne qui l'avait vu finir l'an dernier l'Amstel Gold Race, la Flèche Wallone et Liège-Bastogne-Liège à une même 8e place, l'ancien champion d'Espagne affiche déjà une condition avancée. A un peu moins de 500 mètres de l'arrivée, c'est en effet avec une "grinta" qui ne trompe pas sur ses aptitudes du moment que le Catalan s'est dressé sur les pédales pour creuser un écart irréversible sur ses adversaires du jour.
El Farès résiste
Quelques dizaines de mètres derrière lui, Davide Rebellin (Serramenti-Diquigiovanni) avait longtemps fait illusion mais à 200 mètres du but, il s'était soudainement rassis sur sa selle, résignée par l'insistance de Rodriguez à faire le trou. Sur la ligne, le vétéran italien, tenant du titre de Paris-Nice jusqu'à dimanche, se contentait donc de la deuxième place à 6 secondes du vainqueur du jour juste devant Thomas Lokvist (Team Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml)), plus que jamais favori de l'épreuve à la veille du chrono de Macerata, Danilo Di Luca (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs6971.shtml) (Serramenti-Diquigiovanni), Stefano Garzelli (Acqua & Sapone) et un certain Julien El Farès.
Admirable de combativité, accrocheur jusqu'au bout, le vainqueur de la première étape de l'épreuve transalpine ne voulait pas lâcher son maillot bleu de leader sans s'être mis les tripes à l'air. Echouant à 21 secondes de Rodriguez au sommet de la bosse d'arrivée, le coureur de l'équipe Cofidis se rendait les armes à la main. Certes, il se voyait dépossédé de son élégante tunique pour 6 secondes mais il pouvait se dire avec certitude qu'un cap manifeste avait été franchi ces quatre derniers jours. Fort de cette belle expérience transalpine, Julien El Farès s'est révélé à lui-même et pose les jalons d'une belle carrière. A 23 ans, il a tout l'avenir devant lui.
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L'incroyable scénario
Contre toute attente, Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml) (Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml)) s'est écroulé dans le final de la 7e étape de Paris-Nice, samedi. L'Espagnol, victime d'une terrible défaillance, cède son maillot jaune de leader à son compatriote Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)), brillant vainqueur à Fayence.
L'image était saisissante. Il restait un moins d'un kilomètre à parcourir avant l'arrivée sur les hauteurs de Fayence et Alberto Contador, pourtant impérial vendredi sur les pentes de la Montagne de Lure, était repris et laissé sur place par ce qu'il restait du peloton. Quelques kilomètres plus tôt, dans l'ascension du Col de la Bourigaille, le Castillan avait pourtant sauté avec son habituelle facilité dans le sillage du très combatif Antonio Colom (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14515.shtml). Sans forcer Contador contrôlait et tout le monde, parmi les observateurs, considéraient déjà que le leader de l'équipe Astana allait encore se jouer de ses adversaires.
Un homme ne l'entendait toutefois pas de cette oreille. Revenu à l'énergie sur ses deux compatriotes en compagnie de Frank Schleck à un peu plus de 30 kilomètres du terme, Luis Leon Sanchez était loin de s'avouer vaincu. Après le retour sur la tête au prix d'une descente kamikaze dont il a le secret d'un excellent Sylvain Chavanel, accompagné du vétéran Jens Voigt, Luis Leon Sanchez profitait d'un moment de flottement dans le groupe maillot jaune pour se faire la belle.
Sanchez impérial
Habile à négocier les virages serrés, puissant dans ses relances et suffisamment sûr de son fait pour ne jamais se retourner, le coureur de la Caisse d'Epargne, véritable spécialiste de la Course au Soleil (3e en 2007, 5e en 2008), creusait régulièrement l'écart. S'il semblait parti pour signer une 3e victoire d'étape sur Paris-Nice après ses succès à Cannes en 2007 et à Nice en 2008, le protégé d'Eusebio Unzue était alors encore loin du maillot jaune. Puis ce qui semblait impossible arriva: Alberto Contador, le regard hagard, le souffle court et les jambes, si bien huilées la veille, soudainement cotonneuses, craqua subitement.
Certes, le Castillan n'était pas paru au mieux dans la longue descente vers Callian mais on ne s'attendait pas à le voir subir une défaillance aussi spectaculaire. A seulement trois kilomètres de l'arrivée, le vainqueur du Tour de France 2007, incapable de répondre aux accélérations combinées de ses compagnons de route, s'est ainsi subitement retrouvé seul sur la route. Une solitude qui rappelle la dureté d'un sport où les vérités d'un jour, fussent-elles implacables, peuvent être violemment contredites dès le lendemain.
Une folle étape
Dans l'aire d'arrivée, le vainqueur de l'étape du jour, révélé au grand public l'an dernier sur le Tour de France où il avait fait parler son sens tactique pour triompher à Aurillac, n'en revenait presque pas de sa démonstration. Au terme d'une étape menée tambour battant où les dix échappées du jour (Sébastien Joly (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs13275.shtml), Christophe Riblon (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs73592.shtml), Stéphane Augé, Alexandre Pichot (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs77849.shtml), Maxime Bouet, Juan Antonio Flecha, Joan Horrach (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs15368.shtml), Roman Kreuziger, Karsten Kroon et Martin Velits) n'ont jamais compté plus de 3'20" d'avance, le peloton n'a jamais fait relâche. Autant dire que sur les routes jamais planes de l'arrière pays-varois, il fallait être sacrément costaud pour réaliser un tel numéro. "On a vécu une sacrée étape! Très rapide avec beaucoup de difficultés, des défaillances dans le final", a expliqué Sylvain Chavanel, encore essouflé, au sommet de la côte de Fayence.
Précédant ses poursuivants sur la ligne de 50 secondes, le vainqueur du Tour Méditerranéen qui avait annoncé la couleur avant le départ d'Amilly, dispose d'une marge au général de 1'09" sur Chavanel et de 1'21" sur Schleck. Contador, 33e de l'étape à 2'53", est encore 4e du général à 1'50" du leader. De quoi augurer d'une dernière étape très animée sur les pentes des Cols de la Porte, de la Turbie et d'Eze car, sans doute vexé de son infortune imprévue, Alberto Contador devrait avoir à coeur de réparer l'affront. Une sacré bagarre en perspective...
http://i.eurosport.fr/2009/03/14/506211-4095468-317-238.jpg
Quelle étape ! Je suis resté scotché à ma télé ! Vivement demain !
Chypre – Etape 2 : Loeb gère son avance dans la boue et la poussière
Les conditions dans lesquelles se dispute le Rallye de Chypre sont pour le moins changeantes : après le bitume hier, les équipages ont disputé aujourd’hui cinq spéciales sur terre, alternant boue le matin et routes poussiéreuses l’après-midi. Pas simple dans ces conditions d’ouvrir la route et, effectivement, Sébastien Loeb n’a pas été aussi à l’aise qu’hier. Mais il possède assez d’avance pour voir venir.
Ford retrouve des couleurs, Loeb mène toujours
La variabilité du sol s’est ressentie dans l’irrégularité des performances aujourd’hui. Moins sous pression que ses adversaires directs, Sébastien Loeb n’a pas commis d’erreurs et a pu compter sur les prestations en dents de scie des pilotes Ford pour maintenir sa place de leader et augmenter son avance. « Je ne perds du temps que dans les quelques portions très boueuses, où je fais la trace pour mes poursuivants, » expliquait le Français après la 1ère boucle. « Par exemple, dans Anadiou Diam (ES 7) j’ai perdu 10s sur 2 km, je n’avais aucune motricité ! La spéciale suivante, Pano Panagia, s’est plutôt bien passée. Mais c’est dans Orkontas (ES 9) que j’ai eu les meilleures sensations : j’avais un bon rythme et j’ai attaqué fort. » L’après-midi a été plus délicat, notamment à cause de problèmes de freins. « Quelque chose s’était déréglé au niveau de la répartition. L’écart avec nos poursuivants est tel que j’ai pu gérer sans prendre de gros risques, » soulignait Loeb qui garde une avance très confortable. « 49s d’avance sur Mikko ce soir, c’est très bien. Demain, il sera 2ème sur la route et il sera lui aussi handicapé par le balayage. »
Dani Sordo a moins facilement géré l’instabilité du terrain que son coéquipier et il a cédé sa 2ème place à Mikko Hirvonen. « Le rythme est difficile à trouver dans ces enchaînements incessants d’épingles en première ou deuxième, » admettait l’Espagnol. « C’est un euphémisme, mais la journée ne s’est pas aussi bien passée que nous l’aurions voulu. Petter Solberg est revenu très fort cet après-midi, mais nous allons nous battre pour conserver notre place sur le podium. »
Le plus proche poursuivant de Loeb ce soir est donc Mikko Hirvonen, mais le Finlandais compte un retard de 49s sur le leader, ce qui s’annonce bien difficile à combler en seulement trois spéciales demain. Même s’il a battu Loeb sur 4 des 5 spéciales du jour et s’il a signé un temps scratch (ES 8), Mikko n’est pas parvenu à reprendre plus qu’une poignée de secondes au champion en titre. « Les conditions changeaient si fréquemment ce matin qu’il était difficile de trouver un bon rythme, » regrettait le pilote Ford. « A cause de la boue, ma position de départ ne m’a offert aucun avantage ce matin, mais les routes ont séché si vite que ça a tourné en ma faveur cet après-midi. L’écart entre moi et Loeb est trop important pour que je prenne de gros risques demain, mais il reste deux longues spéciales alors je vais essayer de trouver un bon rythme et de garder un œil sur les temps intermédiaires. Ca sera dur. »
Hirvonen est le seul représentant de l’équipe BP Ford Abu Dhabi en haut de classement depuis la sortie de route ce matin de son coéquipier Jari-Matti Latvala, victime de notes imprécises sur l’ES 8 alors qu’il venait de remporter la spéciale précédente. « C’est une grosse déception pour moi et l’équipe, » reconnaît-il. « C’est la première fois que je viens à Chypre et je n’aurais peut-être pas dû essayer de me battre avec les leaders. » Reparti avec un lourd retard, le Finlandais reste toutefois dans le rythme des meilleurs.
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Solberg mène la charge des poursuivants
Sordo reconnaît ce soir qu’il doit garder un œil sur Petter Solberg, particulièrement en vue sur cette 2ème étape. Au volant de sa vieille Xsara, le Norvégien a signé deux arrivées dans le top 3 ce matin, avant de remporter les 2 spéciales de l’après-midi. Il occupe la 4ème place au général, à 15.9s de Sordo. « 2 victoires ça n’est pas si mal ! Ce fut vraiment amusant aujourd’hui et demain je prévois d’attaquer très fort. Tout est possible ! »
Huitième hier soir, Matthew Wilson enregistre la plus belle progression du jour puisqu’il apparaît désormais au 5ème rang. « Cette journée a été super ! » se réjouissait ce soir le Britannique qui regrettait pourtant la longueur et la lenteur des spéciales. Et ce sont encore de longs tracés qui l’attendent demain ! « Ce sera une journée difficile. La spéciale la plus longue s’est avérée très délicate lors des reconnaissances et, après la pluie tombée hier soir, il pourrait y avoir des zones boueuses. »
Les équipages Citroën Junior réalisent un tir groupé entre la 6ème et la 8ème place, emmenés par Sébastien Ogier, pourtant parti en tonneau sur l’ES 8. « Entre la boue qui recouvrait le pare-brise et le soleil, je me suis fait surprendre à l’abord d’un virage et nous avons fait un tonneau, » expliquait le Français. « Je me suis senti à l’aise sur des routes sèches. Nous avons profité des conditions plus favorables pour faire de bons temps dans la seconde boucle. Demain, nous allons essayer d’aller chercher la cinquième place. »
Enfin sur sa surface de prédilection, Evgeny Novikov a bien progressé sur cette journée, signant notamment un 3ème temps. « J’ai préféré assurer en début de journée et la suite a été très bonne. Nous avons fait des modifications sur les réglages, notamment au niveau du différentiel. Je suis satisfait de nos performances. Demain, nous allons continuer sur ce rythme. »
Conrad Rautenbach a quant à lui fait son entrée dans le top 8 après la sortie de Latvala. S’il a maintenu sa position au cours de la journée, il a tout de même cédé 38s à Novikov qu’il suit au classement. « La Citroën C4 WRC est efficace mais il m’a fallu un peu de temps pour trouver de bonnes sensations sur des revêtements différents et très glissants. Demain, nous allons essayer de prendre des points qui seraient une belle récompense. »
A noter que Federico Villagra et Khalid Al Qassimi complètent le top 10.
Au programme dimanche – Seules trois spéciales sont au programme de la 3ème et ultime étape du Rallye de Chypre, demain. Toujours dans la montagne, il faudra tout d’abord affronter deux longs tracés de 30 et 40 kilomètres, avant de revenir à Anadiou Dam pour un second passage sur le tracé qui accueillait la première spéciale de cette journée de samedi. « Cette dernière journée sera intéressante, car le profil des spéciales est un peu plus rapide, » annonce Sébastien Loeb.
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FUN
Crashed Ice: Lausanne dévalée par des fines lames de l'extrême
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Image © Sabine Papilloud
La manifestation a attiré la grande foule sur la Place de la Riponne avec plus de 40 000 spectateurs.
Le show a attiré des milliers de personnes à Lausanne, malgré la polémique déclenchée autour de l'événement
Julian Pidoux - le 14 mars 2009
Le Matin Dimanche
Le Red Bull Crashed Ice a finalement eu lieu. La polémique autour du caractère peu écologique de la manifestation et la grogne des habitants importunés par le montage de la grande rampe n'ont pas découragé les spectateurs.
Hier soir, plus de 40 000 personnes, selon les organisateurs, ont fait le déplacement le long du parcours, pour assister aux finales de cette compétition extrême. Après les qualifications de vendredi, 64 patineurs avaient été retenus. Partis par groupe de quatre depuis la place du Château, les descendeurs ont dévalé les 400 mètres du toboggan de glace, jusque sur la Place de Riponne.
C'est finalement le Suédois Jasper Felder qui s'est imposé.
:content:C'était SUPER, chaude l'ambiance.............:amoureux:
Rallye de Chypre: Loeb remporte sa 50e victoire
CHAMPIONNAT DU MONDE | Le Français Sébastien Loeb et son copilote monégasque Daniel Elena (Citroën C4) ont remporté à Chypre leur 50e victoire en Championnat du monde des rallyes (WRC), dimanche à Limassol, devant Mikko Hirvonen (Ford Focus) et Petter Solberg (Citroën Xsara).
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/988af43_1.jpg © AFP | La Citroën de Sébastien Loeb, le 13 mars 2009 lors du rallye de Chypre
AFP | 15.03.2009 | 13:37
C'est la 50e victoire de la carrière du tandem Loeb-Elena, dont quatre d'affilée à Chypre (2004 à 2006, 2009) et quatre consécutives en WRC (Grande-Bretagne fin 2008, puis Irlande, Norvège et Chypre début 2009).
"C'est incroyable et 50 c'est vraiment un joli nombre", a dit Loeb à l'arrivée de la 14e et dernière épreuve spéciale. "Je suis très heureux de ce qu'on est en train de réussir et je n'ai pas l'intention de m'arrêter là.".
Au départ de cette dernière spéciale (Anadiou Dam 2, 11,70 km), Loeb n'avait plus que 26 secondes d'avance sur Hirvonen, auteur du meilleur temps dans les deux premières spéciales de la matinée en reprenant six secondes dans Foini (ES12), puis 17 secondes dans Anadiou (ES13), la plus longue du rallye (40,54 km).
Cette 3e et dernière journée de course a aussi permis à Petter Solberg, dans sa Xsara privée, de prendre la 3e place à Dani Sordo sur l'autre C4 officielle. C'est le premier podium du Norvégien, champion du monde 2003, depuis sa 2e place en Grèce l'an dernier, quand il était encore chez Subaru.
:diable:Top fort:content:
FUN
Crashed Ice: Lausanne dévalée par des fines lames de l'extrême
Petite série de photos (Pas de moi)
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Sanchez a tenu bon
Harcelé par Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml) tout au long de la dernière étape enlevée sur la Promenade des Anglais par Antonio Colom (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14515.shtml) (Katusha), Luis Leon Sanchez ne s'est pas affolé. L'Espagnol de l'équipe Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml) remporte ce Paris-Nice 2009. Frank Schleck et Sylvain Chavanel l'accompagnent sur le podium.
Il a fallu de sacrés nerfs à Luis Leon Sanchez pour ne pas se laisser gagner par la panique dans la montée du Col de Porte. Attaqué par Alberto Contador dont la réaction d'orgueil attendur a tenu toutes ses promesses, le maillot jaune de Paris-Nice a joué de malchance en subissant deux crevaisons en l'espace de moins de 10 kilomètres. Malmené par les faits de courses, mis en danger par le panache et la combativité retrouvée du vainqueur du Tour de France 2007, le nouvel homme fort de la Caisse d'Epargne réintégrait tranquillement le peloton et amorçait la poursuite, bien calé dans le sillage de sa garde noire et rouge, avec un retard sur Contador se chiffrant déjà à plus d'une minute et trente secondes. "Je m'attendais à l'attaque de Contador. (...) Même quand l'écart a dépassé les deux minutes, je n'ai pas été inquiet car j'avais mon équipe autour de moi et je savais aussi que l'équipe de Frank Schleck allait se mettre à rouler", a ainsi expliqué le vainqueur final de la Course au soleil à l'arrivée de cett ultime étape.
A l'avant le coureur de l'équipe Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml), sans doute marqué par les critiques acerbes de son coéquipier Lance Armstrong et de son manager Johan Bruyneel, se démenait pour creuser l'écart sur le groupe maillot jaune. Sa pédalée souple et nerveuse rappelait davantage la démonstration de la Montagne de Lure que la subite défaillance rencontrée samedi sur les routes du Haut-Var. Rattrapant puis dépassant un groupe de 25 coureurs qui avait pris la poudre d'escampette à l'occasion du sprint intermédiaire de Plan du Var, le Castillan imposait un rythme tel que seuls pouvaient l'accompagner Sandy Casar (Française des Jeux (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea309.shtml)), Rein Taaramae (Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml)), Aitor Hernandez (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81546.shtml) (Euskaltel) et l'envoyé spécial de Sanchez, David Lopez Garcia (Caisse d'Epargne).
Le numéro de Contador
Sans s'affoler, le maillot jaune laissait ses coéquipiers monter le Col de la Porte à leur main. Peu après le sommet, l'écart avec Contador, alors leader virtuel, montait à 2'24" mais Sanchez, passé expert dans la gestion de cette dernière étape de la Course au soleil qu'il avait remportée l'an dernier, savait que les 30 kilomètres séparant le haut du Col de la Porte du pied de la Turbie favoriserait largement le peloton. Comme prévu, l'avantage de Contador se réduisait comme neige au soleil dans l'intervalle. Le travail de sape de la Caisse d'Epargne, rapidement relayée par les coureurs de chez Saxo Bank et Quick Step, portait ses fruits au point qu'au bas de la deuxième ascension du jour, le groupe Contador était en vue (18").
Décidément intenable quant la route s'élève, le vainqueur de l'édition 2007 de Paris-Nice reprenait du champ et continuait d'attiser les passions de supporters qui l'ont vu souffler le chaud et le froid tout au long de cette semaine de course. Dès lors, ne comptant toutefois jamais plus d'une minute de marge sur Sanchez, le Castillan, qui ne pouvait plus espérer reconquérir le maillot jaune, continuait de rêver à une troisième victoire d'étape qui aurait pu ponctuer sa semaine de la plus belle des manières.
Chavanel perd une place
Lâchant un par un ses quatre compagnons d'échappée, Contador y croyait mais, aussi combatif et volontaire fut-il, il ne put endiguer le retour dans la descente du Col d'Eze de Toni Colom (Katusha) et de Frank Schleck (Saxo Bank). Le Luxembourgeois se démenait comme un beau diable, lui qui pouvait voler à Sylvain Chavanel la 2e place au général. Colom, pour sa part, s'estimant sans doute mal servi par cette huitaine de course, voulait sa part du gâteau sur la Promenade des Anglais. A l'arrivée sur le front de mer, c'est lui qui gicla du sillage de Schleck. Résistant au déboulé désespéré d'un Contador qui a sans doute pris une nouvelle dimension dans la défaite, le coureur de l'équipe Katusha signait son troisième succès de l'année après sa gagne à Majorque et son succès d'étape en Algarve.
Frank Schleck, 3e de cette ultime étape, atteignait son objectif en détrônant Chavanel et expliquait sitôt la ligne franchie qu'il ne pouvait guère espérer mieux: "vu la course, c'était impossible pour moi de gagner". Le Poitevin, desservi par une chute dans les premiers lacets de la descente du Col d'Eze sur "une route grasse, comme souvent dans lé région", pouvait regretter sa malchance mais sa belle semaine de course (une étape, trois jours en jaune, une 3e place et le maillot vert au final) confirmait le cap franchi en arrivant à la Quick Step. De son côté, Luis Leon Sanchez faisait un vainqueur heureux. Coureur très intelligent, admirable dans sa gestion de course ce dimanche, il est loin de faire tâche au palmarès de Paris-Nice au terme d'une épreuve haletante jusqu'au bout sur laquelle les Français (2 victoires d'étapes et 5 représentants dans les 15 premiers) ont confirmé leur regain de résultats de début de saison.
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Belle victoire grâce à sa magnifique attaque de samedi !
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Les porteurs de maillots !
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Les 3 premiers du général !
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Le sprint !
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Contador joue son va-tout en vain !
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Sanchez contrôle.
Jerez – J2 : Barrichello bat le record du tour
Brawn GP enfonce le clou ! Ses 9 rivales du championnat du monde de Formule 1 constatent, impuissantes, que l’écurie de Brackley enregistre des performances inversement proportionnelles à son temps de roulage. Présentée officiellement il y a une semaine, la BGP 001 s’est appropriée le record du tour de Barcelone d’une monoplace 2009. Un véritable pied de nez aux écuries de pointe et à leurs budgets stratosphériques.
L’auteur du méfait, Rubens Barrichello, a doublé la mise ce matin à Jerez de la Frontera. Dans la dernière ligne droite de sa préparation à la saison 2009 – il passera le relais à son équipier, Jenson Button, à la mi-journée – le Brésilien a fracturé la porte des 1:19 dont il s’était approché hier au point de menacer le record détenu par Sebastian Vettel (1:19.236 contre 1:19.055 pour l’Allemand). Les statistiques du pilote Red Bull Racing appartiennent bien au passé après un tour stupéfiant du Pauliste, à l’issue duquel il a arrêté le chronomètre sur 1:18.398.
Barrichello devance Alonso d’une seconde pleine. L’Espagnol se positionne devant Lewis Hamilton qui a entamé les derniers essais McLaren Mercedes avec un nouvel aileron dont l’écurie de Woking attend beaucoup pour corriger les défauts de son aérodynamique – le maillon faible de la MP4-24.
A noter que moins de 5 pilotes étaient en piste !
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Grande incertitude : Brawn GP sera-t-il dans les premières places en début de saison ?
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Une Williams F1 un poil modifié comme le démontre ce nouveau nez avant !
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Tout comme la Renault R29...
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...Et la McLaren MP4-24 !
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L'aileron arrière tant attendu par McLaren !
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Alonso...
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...contre Barrichello : quel est le plus beau casque ? Alonso pour moi !
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La Williams.
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La Renault.
Toyota doit gagner !
Toyota, le dernier constructeur japonais encore en lice en F1 et toujours en quête d'un premier succès, sera amené à "réduire encore son budget" en 2010 si ses résultats sportifs ne s'améliorent pas, a déclaré lundi son directeur d'écurie, Tadashi Yamashina.
"Nous subissons une pression, non pas parce que nous sommes la dernière équipe nippone mais surtout parce que nous n'avons jamais décroché une victoire" en Grand Prix, a-t-il ajouté.
"Si les résultats demeurent ce qu'ils sont, notre engagement en Grand Prix n'aura plus de valeur", a-t-il ajouté.
Présent en Formule 1 depuis 2002, le constructeur japonais n'a jamais réussi à engranger le moindre succès sur piste. Au championnat constructeur 2008, Toyota a terminé à la 5e place sur 11 écuries engagées tandis que Jarno Trulli et Timo Glock occupaient respectivement en fin de saison les 9e et 10e place du classement pilotes. http://horyzonix.sdv.fr/5/www.racing-live.com/cc/2007986902/x05/Horyzon/B2_GROUPAMA_RCLIVE_PAVE_0309/B2_GROUPAMA_ACLICS_MBAN_0309.html/35373634346131303439313565313730?http://ww147.smartadserver.com/clic/countgo.asp?437802;36773;8867356410860239771;13890 04354;S;2107629;URL=&_RM_EMPTY_
"Si la situation n'évolue pas l'an prochain, nous aurons à réduire encore un peu plus notre budget, mais, en tant qu'entrepreneur, je suis déterminé à poursuivre l'expérience en F1 quelle qu'en soit sa taille", a-t-il ajouté sans précisé la hauteur des coupes budgétaires déjà réalisées pour la saison 2009.
Chez les constructeurs japonais, la crise économique et financière a obligé Honda à vendre son écurie de F1 à son ancien directeur technique, Ross Brawn, et Super Aguri, en grosses difficultés financière, a renoncé à la compétition faute de moyens financiers cette saison.
Ce n'est pas près de se terminer, cette histoire !
Bon y'a quelqu'un ? plus personne répond ici !
Jerez – J2 : Alonso détrône Brawn GP !
La 2è journée d’essais de Jerez de la Frontera – la dernière avant que la Formule Un n’écrive le 1er chapitre de son 60è championnat du monde, le 29 Mars prochain à Melbourne – s’est achevée sur une prise de pouvoir de Fernando Alonso et de Renault, au détriment de Brawn GP et de ses deux duettistes, Rubens Barrichello et Jenson Button. C’est au terme d’un traditionnel ultime run court, en fin d’après-midi, que le double champion du monde a dépossédé Barrichello (qui a cédé la place à Button à la mi-journée) du record du tour 2009 de Jerez de la Frontera.
La progression d’Alonso – 1 seconde pleine par rapport à son meilleur temps précédent – démontre qu’en ce début d’année les packages 2009 peuvent être très hétérogènes en performance et que les pilotes peuvent faire des pas de géant plus que des sauts de puce comme c’était le cas l’année dernière. Avec des spécifications Bridgestone plus tranchées dans leurs plages d’exploitation, l’interdiction de couvertures chauffantes, le KERS et la nouvelle aérodynamique (qui comprend notamment un aileron avant réglable), les pilotes disposent d’une grande marge de manœuvre en essais privés – ce sera probablement moins le cas en compétition lorsque chacun aura pris ses marques.
Jenson Button, qui a été victime d’un problème nécessitant la sortie des drapeaux rouges, enregistre le premier revers de Brawn GP depuis le baptême de la piste de la BGP 001, il y a une semaine. Un problème de boîte de vitesses à mis un terme brutal à son programme. Le Britannique s’est emparé de la 3è meilleure performance du jour en l’espace d’une dizaine de tours seulement, mais échoue à 0,5 seconde de son équipier. Il n’en devance pas moins le champion du monde en titre, Lewis Hamilton, qui s’est concentré sur les réglages du nouveau package aérodynamique McLaren Mercedes (l'écurie qualifie ses retouches de "subtiles" et non radicales), censé combler les lacunes de la MP4-24. L'Anglais a procédé par longs runs et concède au final plus d’une seconde à Alonso. Nico Rosberg, qui s’est offert le record de l’assiduité, ferme la marche.
Brawn GP, Renault et Williams termineront leurs préparatifs demain, McLaren Mercedes les prolongera jusqu’à Mercredi soir.
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Officiel: Les victoires décideront du Champion
Le Champion du Monde 2009 sera le pilote ayant totalisé le plus de victoire au cours de la saison : telle est la décision de la Fédération Internationale de l'Automobile, réunie aujourd'hui à Paris.
Le Conseil Mondial du Sport Automobile a retenu l'idée de la FOM (donc de Bernie Ecclestone) : le nombre de victoires décidera du lauréat 2009. Néanmoins, contrairement au souhait de Bernie Ecclestone, les pilotes ne se verront pas remettre des médailles. En cas d'égalité, la régularité primera en se référant... au barème de points actuel ! Ce nouveau système concerne uniquement la lutte pour le titre. Les autres pilotes se départageront aux points.
Le championnat des constructeurs ne sera pas touché par cette révolution et continuera à se jouer selon l'ancien système. 10 pour une victoire, 8 pour une seconde place, 6 pour la troisième, puis 5-4-3-2-1 jusqu'au huitième.
La FOTA (Association des écuries de F1) avait proposé le 5 mars dernier un nouveau système d'attribution des points (12 pts pour le 1er, 9 pour le 2nd, 7 pour le 3ème) : la FIA ne l'a finalement pas choisi.
je pense que c'est une bonne nouvelle, les pilotes vont attaquer encore plus !
Button reprend le commandement à Jerez
C'est la Brawn de Jenson Button qui a signé le meilleur chrono de la journée, aujourd'hui à Jerez. Le Britannique est le seul aujourd'hui à avoir bouclé un tour en moins de 78 secondes.
La Williams de Nico Rosberg, deuxième aujourd'hui, semble aussi très compétitive, il faudra encore qu'elle confirme cela à Melbourne, comme la Brawn.
Mais comme ce fut le cas hier pour Alonso, Rosberg est sorti dans le virage nº 8, provoquant le seul et unique drapeau rouge de la journée. Rosberg a touché le mur de protection latéralement, mais il n'est heureusement pas blessé.
Chez McLaren, on a poursuivi les évaluations aérodynamiques grâce au fameux fluide vert qui sert à visualiser l'écoulement de l'air sur la monoplace et en particulier au niveau du diffuseur arrière. Cela semble aller un peu mieux cette semaine pour la MP4-24 qui a un diffuseur modifié, mais elle est encore assez loin de la concurrence. http://horyzonix.sdv.fr/5/www.racing-live.com/cc/801331315/x03/Horyzon/C6_CITROENC3_RCLIVE_PAVEV_0309/C6_CINTORENC3.html/35373634346131303439313565313730?http://ww147.smartadserver.com/clic/countgo.asp?436549;36773;8867356410860239771;24802 54978;S;2090690;URL=&_RM_EMPTY_
C'était la dernière journée d'essais privés pour les équipes Brawn GP et Renault. Quant à Williams et McLaren, elles devraient encore tourner mercredi et jeudi.
Jerez 17/03/09
1 . J. Button - Brawn Mercedes GP 001 - 1'17"844 - 114 tours
2 . N. Rosberg - Williams Toyota FW31 - 1'18"041 (+ 0"197 ) - 66 tours
3 . N. Piquet - Renault R29 - 1'18"382 (+ 0"538 ) - 128 tours
4 . L. Hamilton - McLaren Mercedes MP4-24 - 1'19"121 (+ 1"277 ) - 118 tours
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Notez qu'à côté de Hamilton il y a marqué MBE (Member of the British Empire) car Lewis a été reçu par la reine il y pas longtemps !
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La nouvelle déco du casque à Jenson !
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Et celle de Barrichello !
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Un casting sans grande surprise
Les organisateurs du Tour de France ont retenu 20 équipes pour disputer la prochaine Grande Boucle. 17 des 18 formations du Pro Tour ont été sélectionnées. Comme prévu, seule Fuji-Servetto (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea5139.shtml) est recalée. Les trois formations invitées sont Cervelo (avec Carlos Sastre), Agritubel et Skil-Shimano.
Comme en 2008, il y aura cette année 20 équipes au départ du Tour de France au mois de juillet. La liste définitive des formations retenues pour la grand messe estivale n'a pas réservé de très grosse surprise. Sur les 187 équipes estampillées Pro Tour, 17 ont obtenu leur billet, règlement oblige. Seule Fuji-Servetto a été recalée après avoir porté préjudice à l'épreuve l'an dernier sous les couleurs de Saunier Duval. Fuji s'était déjà vu écartée de paris-Nice la semaine dernière, pour les mêmes raisons. "Nous ne voulons pas de la présence de l'ex-équipe Saunier Duval sur nos épreuves", a déclaré le directeur du Tour, Christian Prudhomme. "Notre discours n'a pas changé et ne changera pas ". Autre grande absente, l'équipe Barloworld, qui avait brillé en 2007 avec le grimpeur Mauricio Soler, lauréat du maillot à pois.
Outre les équipes du Pro Tour, il restait donc trois invitations à décerner. La première est revenue à Agritubel. C'est tout sauf surprenant puisque la formation poitevine fait désormais partie des meubles sur la Grande Boucle, les hommes de Manu Hubert ont d'ailleurs pris la bonne habitude de justifier amplement leur sélection, comme avec la victoire d'étape de Juan Miguel Mercado en 2006 ou le maillot jaune porté pendant une journée par Romain Feillu l'année passée. Agritubel porte donc à cinq le contingent des équieps français, rejoignant Bbox Bouygues Telecom (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea6076.shtml), Cofidis (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea304.shtml), Française des Jeux (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea309.shtml) et AG2R La Mondiale (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea306.shtml).
Skil-Shimano, merci Hivert ?
Le tenant du titre, Carlos Sastre, sera bien présent lui aussi avec les hommes en noir de Cervelo, qui n'ont pas tardé à s'imposer en ce début de saison comme une des formations phare du peloton. Avec Sastre en leader pour le général, Thor Hushovd et Heinrich Haussler pour les étapes et le maillot vert et des hommes rompus aux grands tours comme Cuesta, Klier, Gustov ou Gerrans, Cervelo, équipe à la fois expérimentée et capable de briller sur tous les terrains, a les moyens de jouer un rôle majeur dès sa participation. "C'est très rare de prendre une équipe tout juste constituée ", a relevé Christian Prudhomme en remarquant que le groupe suisse avait été "maître du vent" au Tour du Qatar en début de saison. "Peut-être fera-t-il de même du côté de la Grande-Motte", dans l'étape camarguaise de la première semaine du Tour.
Finalement, la seule petite surprise vient de la désignation de la dernière wild-card, la plus ouverte il est vrai, attribuée par ASO à la petite formation néerlandaise Skil-Shimano. Déjà candidate l'année dernière, elle avait été recalée. Cette fois, c'est donc la bonne. Le fort contingent français de l'effectif batave a sans doute pesé dans la décision des organisateurs. On songe notamment à Jonathan Hivert (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81513.shtml), billant sur Paris-Nice, dont il a pris la huitième place. Un résultat qui a peut-être pesé chez ASO à l'heure du choix... "Sportivement, elle a sa place dans le Tour de France", estime Prudhomme en citant plusieurs coureurs (Veelers, Hivert, Lemoine, Rooijakkers).
LES 20 EQUIPES DU TOUR 2009
France: Agritubel, AG2R La Mondiale, Bbox Bouygues Telecom, Cofidis, Française des Jeux
Pays-Bas: Rabobank (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea318.shtml), Skil-Shimano
Belgique: Quick Step,Silence-Lotto (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea2910.shtml)
Espagne: Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml), Euskaltel-Euskadi (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea2458.shtml)
Etats-Unis: Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml), Garmin-Slipstream
Italie: Lampre (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4593.shtml), Liquigas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4594.shtml)
Kazakhstan: Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml)
Allemagne: Milram (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4592.shtml)
Danemark: Saxo Bank
Russie: Katusha
Suisse: Cervelo
Bonne nouvelle donc pour la petite équipe Skill-Shimano !
Cavendish finit fort
Mark Cavendish (Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml)) était venu sur Tirreno-Adriatico pour remporter une étape. Le Britannique a rempli son contrat in extremis en enlevant la dernière étape mardi à San Benedetto del Tronto, au terme d'un sprint sans accroc. L'Italien Michele Scarponi remporte le classement final.
Mark Cavendish commençait à s'impatienter. Souverain au Qatar comme en Californie, il n'était toujours parvenu à faire mouche depuis sur les routes de Tirreno-Adriatico. Après deux premières étapes trop difficiles sur lui, le Britannique avait du s'incliner jeudi face à l'Américain Tyler Farrar (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs81503.shtml) (Garmin) sur la chaussée de Santa Croce sull'Arno. Sans doute trop optimiste face au vent ce jour là, le quadruple vainqueur d'étape sur le dernier Tour de France avait juré qu'on ne l'y reprendrait pas et avait dès lors tourné son entière attention vers l'ultime journée de course à San Benedetto del Tronto.
Dans cette élégante station balnéaire de l'Adriatique, la bombe de l'île de Man a remis les pendules à l'heure. Au bout de la longue droite finale, il n'y a d'ailleurs pas eu besoin de photo finish pour désigner le vainqueur de cette dernière étape de la Course des Deux Mers. Parfaitement lancé par ses coéquipiers, le sprinter du Team Columbia a pris sa revanche sur Farrar qu'il a laissé à plusieurs longueurs. Encore derrière, l'Australien Baden Cooke (Vacansoleil), 3e, était déjà content de s'inviter à pareil fête et de devancer un garçon comme Daniele Bennati (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25076.shtml) (Liquigas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4594.shtml)).
En pensant à la Classissima
Pour Cavendish, cette 5e victoire de la saison arrive à point nommée. A trois jours de Milan-San Remo dont il a fait son premier objectif de la saison, le Britannique a ainsi fait le plein de confiance. Dans la perspective de la Prilmavera. Toutefois, pour enlever samedi la Classissima, le sculptural coureur du Team Columbia sait qu'il lui faudra franchir non loin des meilleurs le difficile enchaînement Cipressa, Poggio.
Capable sur ce qu'il a montré durant cette semaine de course d'utiliser ces capi comme tremplin, Michele Scarponi, lauréat de cette 44e édition de Tirreno-Adriatico, ne suscite pas l'enthousiasme habituel en cas de victoire italienne sur le premier grand rendez-vous de l'année dans la botte. Les tifosi savent assurément que ce coureur, naguère sous les ordres de Manolo Sainz chez Liberty Seguros, sort à peine d'une suspension de 18 mois pour son implication dans l'affaire Puerto. Gêné par tant de pudeurs à son égard, le coureur de Serramenti jure à qui veut l'entendre qu'il a tiré les leçons de ses errements. Vraiment ?
http://i.eurosport.fr/2009/03/17/507109-4110735-317-238.jpg
Le WRC poursuit sa mue
Alors que de nombreuses voix s'élevaient pour obtenir une poursuite des réductions de coûts, la FIA a adopté toute une série de mesures allant dans ce sens, mardi lors du Conseil Mondial de la FIA.
Avec un championnat du monde qui ne compte plus que deux constructeurs (Citroën et Ford (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea8655.shtml)), le rallye avait besoin de mesures radicales pour retrouver un certain allant. Mardi à Paris, le Conseil Mondial de la FIA a entériné plusieurs décisions qui vont modifier le WRC en profondeur. La première mesure adoptée à laquelle s'attendait l'ensemble du plateau est l'introduction des Super 2000 dès 2010 appelées à remplacer définitivement les WRC en 2011. Elles seront autorisées à marquer des points au championnat au même titre que les WRC. L'introduction des S2000 dès 2010 permettra aux constructeurs de peaufiner leur voiture dans l'optique de la saison 2011 où les WRC disparaîtront.
A partir de 2011 et ce, pour deux saisons, le championnat du monde sera donc basé uniquement sur des S2000 auxquelles sera ajouté un kit aérodynamique. "Ce que nous recherchons est une voiture distincte. Ce à quoi ressemble la voiture est un paramètre important de l'ADN du championnat", avait ainsi déclaré Simon Long, le directeur d'ISC, promoteur du WRC sur le site officiel. C'est dans cette optique que les voitures seront agrémentées d'un "habillage" pour donner aux S2000 un aspect plus imposant.
Les voitures seront également soumises à une règle spécifique pour contrôler les coûts à travers une restriction des changements moteurs, des transmissions et autres composants. La limite à 8500 tours/minutes des moteurs est maintenue pour toutes les WRC et S2000. Après des années de transition, le championnat du monde devrait se tourner à partir de 2013 vers des S2000 avec un moteur turbo 1.6 litres. Cette règle est cependant encore sujette à changement.
http://i.eurosport.fr/2009/03/15/506425-4100404-317-238.jpg
Red Bull
18/03/2009, 16h29
Le champion du monde de Formule1 2009 ne sera pas celui qui terminera premier au général, mais celui qui aura remporté le plus de courses ! En cas d'égalité au niveau des succès, les points entreront alors en ligne de compte.
http://www.crash.net/Formula+One/News/144145/1/most_wins_to_decide_2009_f1_world_championship.htm l
Pour ceux qui ne comprennent pas l'Anglais :
http://www.eurosport.fr/formule-1/saison/2009/revolution-en-f1_sto1878275/story.shtml
La Formule1 s'enfonce de plus en plus dans sa connerie ! :diable::diable:
Red Bull
18/03/2009, 16h55
Voici un artilce sur GP One qui résume la situation.
http://www.gpone.com/news/News.asp?NNews=3657
En gros, si l'on applique le système de la F1, le titre de Hayden en 2006 est annulé ... comme le premier et le dernier titre d' Eddie Lawson, à savoir 1984 et 1989 !! On peut également citer ceux d'Haruchika Aoki en 1996, Kazuto Sakata en 1998, Loris Capirossi en 1998, Emilio Alzamora en 1999, Olivier Jacque en 2000, Manuel Poggiali en 2001, et Gabor Talmacsi en 2007. Si l'on élargit au Superbike, même sentance pour Scott Russel en 1993, Andrew Pitt en 2001, Colin Edwards en 2002, et James Toseland en 2004.
:non::non::non::diable::diable: Dire que les dirigeants de la MotoGP s'inspirent de la F1 ...
Effectivement d'un côté c'est vachement nul quand même !:langueŽ::diable: Exemple : Felipe Massa gagne 2 GP et déçoit beaucoup dans les autres GP mais il est devant un Robert Kubica appliqué qui ne gagne que 1 GP mais finit toujours bien placé !
La FOTA marque sa désapprobation
En adoptant plusieurs règlementations révolutionnaires (techniques et sportives) sans concertation avec les écuries du championnat du monde de Formule Un (lire nos articles du jour), la FIA aurait pu faire croire qu’elle avait soit commis une erreur de jugement soit avait procédé de telle sorte qu’elle montrait la porte de sortie aux constructeurs automobiles. Il s’agit au contraire d’une position mûrement réfléchie destinée à asseoir son autorité à l’heure où les écuries ont fait cause commune sous l’égide de la FOTA. Alors qu’elles pensaient pouvoir peser sur la destinée de la F1, la FIA les a renvoyées à leurs chères études.
« La FOTA voudrait exprimer sa déception par rapport aux décisions prises aujourd’hui par le Conseil Mondial de la FIA. Elle s’inquiète du fait qu’elles aient été adoptées de manière unilatérale » expliquent les 10 écuries du championnat du monde dans un communiqué conjoint, « Le cadre des réglementations tel que défini par la FIA et qui serait appliqué en 2010 comporte le risque de modifier l’essence même de la F1 et ce qui en fait un sport aussi populaire et apprécié. »
« Etant donné le laps de temps durant lequel ces modifications ont été adoptées, ainsi que la manière dont elles ont été adoptées, nous pensons nécessaires d’étudier la situation et de faire notre possible, surtout en ces temps difficiles, pour maintenir une certaine stabilité dans les règlements et pour éviter un changement perpétuel qui n’apporte que confusion et perplexité aux constructeurs, aux écuries au public et aux sponsors. »
Le (nouveau) bras de fer entre écuries et FIA étant engagé à l’initiative de cette dernière, il appartient désormais aux équipes de prendre des décisions tranchées pour être admises à la table des négociations, ou de tirer les conclusions de la politique de la FIA.
No comment ...:diable:
Jerez – J4 : McLaren se découvre des ailes
L’avant-dernière journée d’essais privés de l’intersaison a rasséréné les hommes de McLaren Mercedes, passablement inquiets après avoir constaté que leur premier package aérodynamique n’était pas la réussite escomptée. Abonnée jusqu’à présent aux derniers rôles et aux temps médiocres – à Barcelone il y a 10 jours comme cette semaine à Jerez de la Frontera –, les flèches d’argent ont eu la partie facile pour pointer aujourd’hui en haut de la feuille des temps puisque seule Williams tentait de lui donner la réplique.
Au-delà de la domination de McLaren Mercedes, c’est l’écart creusé avec sa rivale et la qualité du chronomètre enregistré par Heikki Kovalainen (dans le bas de la fourchette des 1:18) qui force le respect et remet en selle la formation de Woking à 2 semaines de l’ouverture de la saison. Soucieuse de passer au crible les réglages de la MP4-24 avant de chercher à se positionner parmi les écuries les plus véloces cet hiver, McLaren Mercedes a enfin forcé l’allure pour effectuer une simulation de qualification et évaluer ses temps au tour. Kovalainen a également effectué la distance d’un premier relais de course avec succès. Heikki conclura les essais des flèches d’argent demain.
Bonne nouvelle !
http://images.gpupdate.net/large/120040.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=120044&catID=4172)
Heikki Kovalainen attendu au tournant cette année !
http://images.gpupdate.net/large/120042.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=120039&catID=4172)
Kazuki Nakajima
Michael Schumacher hostile aux nouvelles règles de la FIA
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Le septuple champion du monde de Formule 1, l'Allemand Michael Schumacher, a fait part jeudi de son incompréhension après la décision de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) d'attribuer le titre mondial de F1 en fonction du nombre de victoires en Grand Prix.
"Je ne peux pas comprendre en quoi ce nouveau règlement, en particulier le classement du Championnat du monde des pilotes, va aider la F1 à se développer", a expliqué "Schumi" sur son site internet.
"Je ne comprends pas la décision qui fait qu'on aura peut-être un champion du monde qui totalisera moins de points que son second, même si je suis d'accord pour donner plus de valeur à une victoire", a-t-il poursuivi.
"C'est étonnant qu'un tel changement ait lieu si près du début de la saison", a-t-il regretté.
Schumacher, conseiller spécial de Ferrari depuis qu'il a mis un terme à sa carrière en 2006, rejoint ainsi le concert de lamentations que suscite cette mesure.
Son compatriote Nick Heidfeld et l'Espagnol Fernando Alonso notamment ont déjà critiqué la décision de la FIA.
La FIA a annoncé mardi que serait déclaré champion du monde le pilote qui aurait remporté le plus grand nombre de Grands Prix durant la saison. Ce n'est qu'en cas d'égalité entre pilotes que les points gagnés selon le système classique viendraient départager les ex aequo.
Si ce système avait été utilisé l'an passé, l'issue du championnat aurait été différente puisque le champion du monde 2008 Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a remporté seulement cinq Grands Prix, contre six à son dauphin Felipe Massa (Ferrari).
DTM: Senna en essai avec Mercedes
Bruno Senna, pour l'instant sans volant, a réalisé hier des essais en DTM pour Mercedes, après avoir testé l'Oreca-Courage sur le circuit du Castellet il y a deux semaines.
Essai positif
C'était sur le circuit d'Hockenheim que s'est déroulé le test, un tracé connu de Senna qui y a roulé durant sa saison de GP2. L'occasion pour Mercedes de se rendre compte de plus près du potentiel du Brésilien dans une voiture de tourisme. Senna a, lui, ajouté une autre discipline à son expérience, après ses tests en F1 et en LMS. "Les essais vont continuer lors d'une deuxième journée, après quoi nous aurons l'opportunité de discuter avec Norbert Haug. C'était amusant et j'étais content de voir que j'étais dans le rythme aussi rapidement", déclare-t-il.
LMS et DTM?
Senna, sans programme sportif pour 2009 après sa décision de ne pas "redoubler" en GP2, est très courtisé. En LMS, Hugues de Chaunac n'a pas caché son envie de voir courir le neveu d'Ayrton dans son équipe, tandis que Haug précise toutefois que ce test ne signifie pas que Senna sera intégré à la marque. Participer à temps plein à la saison de LMS et DTM ne sera pas possible car une des manches de chaque discipline se déroule le 2 août (Portugal et Oschersleben). Mais on peut imaginer une saison mixte DTM/ALMS avec la présence du vice-champion GP2 aux 24H du Mans.
Un Senna déjà dans une Mercedes
Petit clin d'oeil, Ayrton Senna avait piloté une Mercedes sur un circuit, c'était lors du lancement de la 190E: la marque à l'étoile avait organisé des courses sous forme de coupe et chaque pilote avait son nom inscrit sur le pare-brise.
http://pix.crash.net/motorsport/360/AU477053.jpg
Ah ! Enfin une bonne nouvelle !
F1: Les réactions au remodelage de la FIA
Les décisions prises par le conseil mondial de la FIA, suscite des réactions plutôt négatives. Petit tour d'horizon.
Pour
"Tout ce qui est proposé, et cela, les équipes l'oublient toujours, c'est dans l'intérêt de la course. Ils disent qu'ils ont réduit leur budget de 50%. Très bien, mais celui qui dépensait 300 millions, en dépense désormais 150. Celui qui en dépense 80 en dépense maintenant 40. il y a toujours une énorme différence. Nous allons réduire les budgets mais nous allons donner aux équipes des avantages technologiques."
Bernie Ecclestone
Contre
"Nous avons vraiment besoin de nous assoir et de comprendre tout cela car les écuries ont vraiment fait des efforts pour réduire les coûts. La F1 est quelque chose de compliqué. Parfois, lorsqu'on essaie de réduire les coûts, en fait, on les augmente. Nous avons besoin de stabilité et de travailler en concertation avec la FIA."
Flavio Briatore - BBC - A propos des budgets capés à 30 millions
"Je pense que le public aura du mal à comprendre pourquoi un pilote qui a marqué 60 points pourra devenir champion à la place de celui qui en aura obtenu 100. Mais je comprends la logique derrière et je trouve cela intéressant. C'est sûr, c'est une initiative pour privilégier la victoire mais c''est aussi risqué. Après neuf courses, on pourra se retrouver avec un pilote qui sera champion du monde et pourra aller manger une glace, alors que le deuxième au classement ne se trouvera qu'à 18 points."
Jenson Button - Gazzetta Dello Sport - A propos de l'attribution du titre au nombre de victoires
"J'ai l'impression que beaucoup de choses changent constamment. Durant les dernières années, il y a déjà eu de nouvelles choses. On dirait qu'ils essaient désespérément de rendre la F1 plus populaire et plus intéressante. Peut-être devraient-ils laisser les choses telles qu'elles sont et laisser les spectateurs s'y habituer."
Adrian Sutil - RTL
"Je ne comprends pas ce besoin de changer les règles de ce sport continuellement. Je crois que ce genre de décision sèmera le trouble dans l'esprit des fans. La F1 existe depuis plus de 50 ans grâce aux écuries, sponsors, pilotes et surtout, grâce aux fans du monde entier et aucun d'entre eux ne s'est trouvé devant la FIA pour exprimer leur avis. Je m'inquiète non pas parce que ces règles vont affecter la saison qui est sur le point de commencer, mais surtout la compétition des prochaines années. J'espère que certaines de ces mesures seront reconsidérées dans un avenir proche."
Fernando Alonso
En gros personne n'aiment ça parmi les pilotes !
Renault roulera avec le KERS en Australie
C'est décidé : Renault utilisera le KERS (système de récupération d'énergie cinétique) en Australie, théâtre du premier Grand Prix de la saison. L'écurie au Losange a longuement hésité mais est finalement convaincue par les performances du système.
Un véritable casse-tête s'est offert aux écuries pendant la trêve hivernale, qui devront être certaines de leur coup : Vaut-il mieux présenter sur la grille une monoplace allégée de quelques kilos (25 à 40) ou un bolide rendant quelques dixièmes mais à la puissance moteur accrue (environs 80 chevaux pendant 6,6 secondes par tour) ? Renault semble avoir fait son choix.
http://images.gpupdate.net/small/75294.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=75294)Pat Symonds
« Avant Noël, j'aurais dit qu'il y avait peu de chance de nous voir nous en servir en Australie. » a déclaré le directeur de l'ingénierie de Renault, Pat Symonds à GP Week. « Je ne savais pas vraiment à quel moment nous serions capables de l'utiliser, mais après Noël, nos principaux problèmes ont été l'un après l'autre rapidement résolus. Depuis que le KERS est installé sur notre voiture, nous n'avons eu que de très légers ennuis. »
http://images.gpupdate.net/small/82030.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=82030)Bob Bell
« La plus grande surprise avec le KERS est que nous nous attendions à rencontrer plus de problèmes. » ajoute le directeur technique, Bob Bell. « En réalité, tout s'est très bien passé. »
« Nous pensons bien évidemment qu'il procure un avantage en performance car si ce n'était pas le cas, nous ne l'utiliserions pas. » reprend Symonds. « Je pense que cela met en valeur la force des hommes dont nous disposons chez Renault : ils se sont lancés dans un tout nouveau projet, documentés sur les nouvelles technologies - car aucun n'avait de connaissances sur ce système électronique - ils ont fait des découvertes et ont, je crois, parfaitement réussi. »
On verra si c'est une bonne décision !
Dernière journée d'essais hivernaux à Jerez
Kazuki Nakajima pour Williams et Heikki Kovalainen pour McLaren participait aujourd'hui à Jerez à la dernière journée d'essais privés avant le Grand Prix d'Australie.
Les deux pilotes n'ont pas fait dans la dentelle au niveau des chronos puisque Nakajima a tout simplement signé le meilleur chrono de la semaine alors que Kovalainen est lui aussi descendu sous les 78 secondes sur un tour, probablement grâce au nouveau diffuseur arrière de la MP4-24.
Décidément, les essais d'hiver n'auront jamais été aussi difficiles à déchiffrer. On pensait que la Brawn allait survoler la concurrence, mais la Williams a tourné aujourd'hui encore plus vite et la McLaren a finalement signé un chrono très comparable à celui que Button avait réussi mardi en 1'17"844
Il ne nous reste plus qu’à attendre les premiers essais libres du Grand Prix d'Australie, le vendredi 27 mars. Nous devrions avoir droit à de petites et grandes surprises à Melbourne...
Jerez - 19/03/2009
1 . K. Nakajima - Williams Toyota FW31 - 1'17"494 - 102 tours
2 . H. Kovalainen - McLaren Mercedes MP4-24 - 1'17"946 (+ 0"452 ) - 84 tours
Seulement 2 voitures en piste ! Ils ne se sont pas foulés !
http://images.gpupdate.net/large/120077.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=120074&catID=4190)
http://images.gpupdate.net/large/120078.jpg (http://f1.gpupdate.net/fr/photolarge.php?photoID=120075&catID=4190)
Interview de Philippe Gurdjian
Philippe Gurdjian, proche du grand argentier de la Formule 1 Bernie Ecclestone, actuellement en charge du circuit en construction d'Abu Dhabi et gestionnaire du Grand Prix de Barcelone, a déclaré à l'AFP que la F1 était "plus un media qu'un sport."
Abu Dhabi accueillera pour la premier fois de son histoire un Grand Prix de Formule 1, le 1er novembre, sur le circuit Yas Marina.
Q: Pourquoi organiser un Grand Prix de Formule 1 à Abu Dhabi?
Philippe Gurdjian: La F1 est le media le plus important dans le monde d'un point de vue promotionnel. Abu Dhabi veut devenir un +hub+ (plateforme) en terme de tourisme, d'affaires, de culture, d'art et de sport. L'ambition des dirigeants est de promouvoir le pays à travers la F1, qui est plus un media qu'un sport. Parler du Louvre régulièrement va être difficile, alors que la F1, on en parle tous les deux jours.
Q: La F1 permettrait donc à elle seule de promouvoir un pays?
PG: Avant, on ne savait pas où se trouvait la Malaisie. Aujourd'hui, il est rare de trouver quelqu'un qui ne sache pas la localiser. C'est complètement grâce à la F1. Et c'était l'objectif recherché. Après les jeux Olympiques et la Coupe du monde de football, la F1 est le troisième évènement sportif le plus suivi au monde.
Q: Quelle est la philosophie du projet d'Abu Dhabi?
PG: On a voulu faire un circuit totalement novateur, qui combine technologie, art et architecture; un circuit unique au monde. Comme la F1 est un sport télégénique, il fallait absolument que, dès les premières images, on reconnaisse Abu Dhabi, pour imposer la marque Abu Dhabi. Cela peut paraître évident, mais ça ne l'a jamais été sur aucun Grand Prix. Quand vous regardez une course aujourd'hui, et que vous coupez l'image et le son, vous êtes incapable de dire où elle se passe.
Q: Qu'est-ce qui différencie Abu Dhabi des autres circuits?
PG: La taille du projet déjà. A Bahreïn ou en Malaisie (ndlr: circuits dont il a supervisé la construction), j'avais quatre bâtiments à construire. Là, j'en ai quarante. C'est aussi le premier circuit dédié aux spectateurs, qui auront d'autres sensations que devant leur télévision. Les tribunes sont couvertes pour qu'ils soient plus sur l'action. Je ne comprends d'ailleurs pas qu'on fasse un circuit moderne avec des tribunes non couvertes. Et le jour où il pleut? Le public est résistant quand il paie sa place 50 euros, pas 300.
Oh NON ! La F1 c'est avant tout un SPORT ,non ?
Sebring lance les hostilités
Pour la première fois de la saison, Peugeot et Audi vont s'affronter lors des 12 Heures de Sebring les 21 et 22 mars. L'occasion pour les deux équipes de peaufiner leur préparation en vue du Mans.
C'est donc en Floride sur le circuit de Sebring que Peugeot et Audi vont s'affronter pour la première fois en 2009. Si cette mise en action progressive est avant-tout destinée à préparer au mieux le grand rendez-vous annuel du Mans, on ne peut s'empêcher de penser que l'un comme l'autre tentera d'imposer son prototype et voudra marquer les esprits.
Vainqueur à huit reprises entre 2000 et 2007, Audi lancera également sa nouvelle R15 TDI tandis que Peugeot étrennera sa 908 HDi modifiée à cause de la nouvelle règlementation. Le constructeur allemand poursuit sa tradition de faire débuter ses nouvelles montures sur le circuit américain. En 1999, la firme d'Ingolstadt avait pris la troisième place avec la R8 (Michele Alboreto, Dindo Capello et Stefan Johansson) qui remporta par la suite 62 victoires en LMP1 faisant de ce prototype le plus titré de l'histoire. En 2006, Dindo Capello, Tom Kristensen et Allan McNish ont fait triompher la R10 lors de sa première sortie. Les trois pilotes, qui seront une fois de plus alignés ensemble cette saison, auront donc le privilège de faire débuter la R15.
Quesnel : "Nous ne bouderons pas la victoire"
"Sebring est un test important dans l'optique des 24 Heures du Mans. L'expérience montre que le circuit est très dur et révèle tous les problèmes que possède une voiture. C'est pourquoi il est important de courir avec une voiture nouvelle en phase de développement ici. Il va sans dire que nous espérons jauger des performances de notre nouvelle R15 TDI en course, et cela vous pouvez le faire lorsque vous courez contre vos adversaires" , a indiqué le Dr. Wolfgang Ullrich, le directeur de l'équipe.
Les adversaires présents à Sebring, Peugeot et Acura entre autres, veulent également se tester. Pour le constructeur français, il s'agit de la première des deux courses avec Spa-Francorchamps auxquelles il participera avant Le Mans. "Beaucoup d'éléments font de Sebring une étape importante et représentative des contraintes des 24 Heures du Mans. C'est d'autre part la plus longue épreuve après celle du Mans, donc un excellent test pour l'encrassement et le vieillissement de la voiture. Nous avons un programme technique bien défini à suivre, chargé de surcroît. Nous amasserons une grande quantité d'informations en raison de l'engagement de deux voitures, contre une l'an passé. Nous allons notamment pouvoir éprouver la climatisation et le nouvel aéro imposés par la règlementation 2009", souligne Bruno Famin, le directeur technique de Peugeot Sport.
Et Olivier Quesnel de conclure. "Il n'est pas question de tout miser sur une pole position, un meilleur tour ou de prendre des risques inconsidérés en course (...) mais bien entendu nous ne bouderons pas la victoire si elle s'offre à nous ! ". Après deux premiers tests, lundi et mardi, Audi et Peugeot se sont partagé le sommet de la feuille des chronos. La Audi R15 TDI s'est montrée la plus rapide lundi avant que Nicolas Minassian au volant de la 908 HDi ne réponde mardi. En revanche, Sébastien Bourdais a endommagé la seconde 908 après être sorti de la piste. Il n'a pas pu réaliser de chrono convaincant.
http://i.eurosport.fr/2009/03/18/507336-4115136-317-238.jpg
Je déteste les Diesels mais je préfère Audi ! Et c'est à suivre samedi à 15 H sur Motors TV !
Direction Puebla
Après la manche inaugurale à Curitiba, le championnat du monde WTCC poursuit sa route à travers le continent américain et va faire étape à Puebla au Mexique où se dérouleront deux courses le 22 mars.
Curitiba marquait le début de la saison 2009. Comme la saison dernière, Puebla s'impose comme la deuxième manche au championnat du monde WTCC. Après une première épreuve qui a vu les SEAT dominer outrageusement et deux de ses pilotes s'imposer (Yvan Muller et Gabriele Tarquini), l'ensemble du paddock se dirige un peu plus au nord pour la quatrième fois de l'histoire du championnat du monde des voitures de tourisme.
Après avoir pris part aux deux premières éditions (2005 et 2006), Puebla ne figurait pas au programme de la saison 2007 mais dès l'année suivante, faisait de nouveau son apparition juste après la manche brésilienne. Les courses 3 et 4 de la saison se dérouleront donc sur l'Autodrome Miguel E. Abed, d'une longueur de 3,2 km et situé à 30 km à l'est de Puebla.
Le circuit, qui a déjà bien réussi aux SEAT en 2008 avec les victoires de Jordi Gené et Tiago Monteiro, pourrait une fois de plus se montrer accueillant pour les moteurs turbo diesel qui s'acclimatent mieux que les autres à l'altitude. Car c'est une donnée à ne pas négliger, le circuit se situe à 2304 m au dessus du niveau de la mer. "Puebla est toujours un tracé piégeux où les conditions de piste peuvent changent rapidement, a indiqué Rob Huff (Chevrolet). Parfois la piste est très glissante et c'est comme piloter sur la glace."
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J'ai hate de voir ça !
Red Bull
19/03/2009, 20h21
Interview de Philippe Gurdjian
Philippe Gurdjian, proche du grand argentier de la Formule 1 Bernie Ecclestone, a déclaré à l'AFP que la F1 était "plus un media qu'un sport."
Il a hélas raison ....
Red Bull
19/03/2009, 20h22
Oh NON ! La F1 c'est avant tout un SPORT ,non ?
A la base, oui. A la base ...
100e Milan - San Remo
Les Italiens favoris
La 100e édition de Milan -San Remo se disputera samedi sans Fabian Cancellara, vainqueur l'an dernier.
http://www.20min.ch/images/content/1/0/1/10149307/2/1.jpg
En cas d'arrivée au sprint en Ligurie, Alessandro Petacchi fera figure de grand favori.
Au terme de la 99e course entre Milan et San Remo, Cancellara était parvenu à voler la victoire aux sprinters dans le final. La préparation du coureur bernois pour les Classiques du printemps a été entravée par une chute à l'entraînement et par une angine. Le champion olympique du contre-la-montre pourra se montrer heureux s'il atteint le niveau de forme escompté au départ du Tour des Flandres le 5 avril.
En 2008, Cancellara avait mis un terme à une traversée du désert de 21 ans pour les Suisses sur cette course de prestige. Le dernier succès helvétique était revenu au Lucernois Eric Mächler en 1987.
Depuis de longues années, Milan - San Remo fait la part belle aux sprinters. Seuls Cancellara l'an dernier et le Belge d'origine russe Andrei Tchmil en 1999 ont réussi, en tant que non spécialistes du sprint, à enlever l'épreuve dans un passé récent. Les Italiens qui possèdent le plus de chances de s'imposer cette année sont Daniele Bennati, Alessandro Petacchi et Filippo Pozzato.
Petacchi (2005) et Pozzato (2006) restent les seuls participants au centenaire de la Classicissima à avoir déjà inscrit leurs noms au palmarès. Le double lauréat espagnol Oscar Freire (2004 et 2007) a dû déclarer forfait, il souffre des côtes. Sur le parcours de 298 km, l'Américain Lance Armstrong fêtera pour sa part son retour sur les routes européennes.
Frank Schleck forfait
Le Luxembourgeois Frank Schleck est forfait pour la classique Milan-San Remo de samedi. Le coéquipier chez Saxo Bank de Fabian Cancellara, a fait une mauvaise chute à l'entraînement.
Le Luxembourgeois a dû se faire poser sept points de suture au menton et souffre d'une grosse contusion au poignet gauche. Il reprendra la compétition le 28 mars lors du Critérium international.
199e Milan - San Remo (samedi, 298 km). Edition 2008: 1. Fabian Cancellara (S). 2. Filippo Pozzato (It) à 0'04. 3. Philippe Gilbert (Be). 4. Davide Rebellin (It). 5. Mirco Lorenzetto (It). 6. Anthony Geslin (Fr). 7. Rinaldo Nocentini (It). 8. Oscar Freire (Esp), tous même temps. 9. Thor Hushovd (No) à 0'05. 10. Kurt Asle Arvesen (No), même temps.
Les vainqueurs entre 1998 et 2007. 1998: Erik Zabel (All). 1999: Andrei Tchmil (Be). 2000: Zabel. 2001: Zabel. 2002: Mario Cipollini (It/3. Markus Zberg). 2003: Paolo Bettini (It). 2004: Oscar Freire (Esp). 2005: Alessandro Petacchi (It). 2006: Filippo Pozzato (It). 2007: Freire.
Les Suisses engagés: Aurélien Clerc, Martin Elmiger (AG2R-La Mondiale). Grégory Rast, Michael Schär (Astana). Patrick Calcagni (Barloworld). 200 coureurs inscrits.
Le Bec-des-Rosses, pyramide indécise
20 mars 2009 - FLORENT MAY -
XTREME DE VERBIERLa face bagnarde n'a pas encore donné son feu vert pour accepter les riders sur ses contours. La compétition devrait avoir lieu demain
Chaque hiver, c'est la montagne qui a le dernier mot. Fière et droite, c'est elle seule qui accepte ou rejette les funambules du freeride. Le Bec-des-Rosses va bientôt s'exprimer. Hier, il restait pourtant encore muet alors qu'une poignée de riders l'apprivoisait de la jumelle depuis le col des Gentianes. Une chose est sûre: la compétition aura bien lieu! Mais la pyramide de roche et de neige est encore indécise pour accepter la venue de ses disciples un samedi ou... un dimanche. «On n'est pas sûr pour samedi. Il y a beaucoup de vent annoncé pour vendredi et samedi. On va attendre jusqu'à demain matin 10 heures (réd: ce matin) pour confirmer le samedi ou repousser la compétition à dimanche», expliquait Nicolas Hale-Woods, le «Big Boss» de l'Xtreme, hier sur le balcon des Gentianes.
Lire sur les lèvres du Bec-des-Rosses est un exercice ardu, subtil et jamais complètement maîtrisable. L'année passée, la montagne avait dit non en se dérobant au dernier moment. Déchirée de haut en bas par une avalanche, elle n'avait eu qu'un manteau brut et à grosses mailles à offrir aux skieurs et snowboarders. C'était même la première fois en treize éditions qu'elle n'avait pas desserré ses crocs. Les organisateurs avaient alors dû se rabattre sur le Mont-Gelé voisin. Ce week-end, le Bec-des-Rosses devrait s'offrir mais sous des contours travaillés par le vent. «On a une configuration assez nouvelle. Il y a eu beaucoup de neige et de vent cet hiver. Par contre la neige est assez saine, compacte, sans gros sel et il reste beaucoup de poudreuse. L'exercice de lecture des lignes reste assez fin et on va voir qui sont les vieux renards...», poursuit Nicolas Hale-Woods.
Des Valaisans en lice
Le terrain de jeu s'annonce donc plutôt ludique pour les riders même si l'on a déjà vu un Bec-des-Rosses davantage gavé de poudreuse par le passé. Le spectacle sera en tout cas au rendez-vous avec les meilleurs spécialistes du moment, tant en ski qu'en snowboard. Finale du Freeride World Tour depuis l'année passée, l'Xtreme est LA compétition la plus relevée de l'année. Seuls les huit meilleurs hommes et les trois meilleures femmes du classement mondial sont qualifiés automatiquement. Ils seront accompagnés de quelques riders invités, ainsi que des athlètes qualifiés lors de la Nendaz Freeride qui a eu lieu dimanche passé sur les pentes du Mont-Gond.
En snowboard, le Français Xavier de Le Rue est d'ores et déjà assuré de conserver sa couronne mondiale. Vainqueur de la Freeride de Tignes il y a une semaine, le Pyrénéen a encore impressionné cet hiver avec des runs très engagés et rapides. Côté valaisan, on s'attend à de belles prestations de la part du Sierrois Jonas Emery (voir encadré) et du Nendard Alex Coudray, respectivement 2e et 3e au classement du Freeride World Tour en snowboard. En ski, le Bedjui Raphy Gillioz, au bénéfice d'une wild card, aura à coeur de briller sur une face qu'il connaît très bien. Autre skieur invité, Phil Meier, qui peut créer la surprise avec son gros bagage d'expérience. Domicilié à Cries, il a le Bec-des-Rosses de visu quasiment depuis sa fenêtre...
Le retour de Géraldine Fasnacht
En snowboard féminin, cette édition sera l'occasion d'un grand retour pour Géraldine Fasnacht sur le Bec-des-Rosses. Victorieuse à Tignes dernièrement, la snowboardeuse domiciliée à Champsec compte bien récidiver sur une montagne avec laquelle elle a tissé des liens très forts depuis pas mal d'années. «C'est une montagne qui a beaucoup d'images positives pour moi et je m'y sens bien dedans», s'enthousiasme la locale de l'étape. A noter que les femmes ne s'élanceront pas depuis le sommet du Bec-des-Rosses mais depuis une petite plateforme située sur l'épaule droite du roc bagnard. «Les filles pourront produire un meilleur spectacle sur cette face où il y aura aussi moins de traces», explique Nicolas Hale-Woods. Pour l'organisateur de l'Xtreme, cette séparation hommes-femmes aura tendance à se généraliser sur la plupart des événements. «Aujourd'hui, le niveau moyen chez les femmes nous dicte d'aller sur ce sommet-là. En ski alpin, les femmes ne descendent pas Kitzbühel. Elles ont leur descente où elles peuvent s'exprimer pleinement...», poursuit Nicolas Hale-Woods. Une décision qui chagrine un peu Géraldine Fasnacht. «On est trop mauvaises (rires)... Je mentirais de dire que ça ne m'embête pas de ne pas partir du sommet. En même temps, je comprends l'organisateur. Ce n'est pas une montagne facile et accessible pour des filles qui n'ont pas trop l'habitude de rider du raide. Il faut jouer la sécurité et la beauté du sport.»
Federer retrouvera Murray en demi-finale
Indian Wells | Roger Federer a passé l’obstacle de l’Espagnol Fernando Verdasco, tête de série N.10, qu’il a dominé 6-3, 7-6 (7/5), pour se qualifier pour les demi-finales du tournoi d’Indian Wells où il rencontrera demain Andy Murray.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/190635_JG038_7c13c451---1501.0.247049147.jpg © AFP |
Le numéro 2 mondial, qui dispute dans le désert californien son premier tournoi depuis sa défaite en finale de l’Open d’Australie face à Rafael Nadal, n’a pas eu besoin de beaucoup plus d’une heure et trente minutes pour dominer l’un des joueurs en forme du moment, demi-finaliste à Melbourne (contre Nadal) et dont c’est seulement la troisième défaite de la saison (en seize matches).
Federer n’a pas brillé de mille feux et a assuré d’une prestation sérieuse, sans fioritures.
"J’ai bien joué pendant un set et demi et ensuite Fernando a montré quel super joueur il est, a indiqué Federer. Je pense que je ne mérite pas vraiment de gagner ce second set mais c’est ça aussi le tennis..."
"Ce n’était pas le meilleur tennis de ma vie mais c’était quand même une prestation solide, pas de quoi être super content mais c’est OK", a résumé le Bâlois, qui dit avoir eu "un peu de mal avec le rythme de (son) revers".
Il a également commis trois doubles fautes, choses extrêmement rare chez lui. "J’ai été éloigné du circuit pendant six semaines (pour soigner un dos douloureux) alors c’est normal que tout ne clique pas parfaitement quand il le faut. Il faudra que je serve mieux contre Murray."
Après une première manche assez facilement remportée par Federer, et un break rapide en début de deuxième manche, Verdasco a pris le dessus pour breaker le Suisse par deux fois et mener 6 jeux à 5 service à suivre.
Mais malgré deux balles de set dans le jeu suivant, Verdasco n’a pas su capitaliser et Federer a débreaké pour ouvrir la voie au jeu décisif.
Dans cet exercice très exigeant pour les nerfs, Federer s’est montré bien meilleur, pour mener 6-2 grâce notamment à un premier service retrouvé. Il a toutefois dû attendre sa quatrième balle de match pour empocher son billet.
L’obstacle qui se dresse désormais devant lui est de taille. L’Ecossais Murray, 21 ans, a en effet remporté leurs trois dernières confrontations (à Madrid et au Masters fin 2008, à Doha début 2009).
"Cela va être vraiment dur, a dit le Suisse. C’est un joueur qui monte et qui a beaucoup progressé ces dernières années. C’est vrai qu’il m’a battu ces derniers temps mais j’ai quand même gagner notre rencontre la plus importante, en finale de l’US Open (2008). Il faudra que je rejoue de la même façon."
Murray s’est qualifié pour les demi-finales en battant le Croate Ivan Ljubicic 7-5, 7-6 (8/6) sans faire grande impression.
Le tournoi d’Indian Wells est le premier ATP 1000 (ex Masters Series) de la saison, soit le plus relevé depuis l’Open d’Australie.
Les écuries de F1 contestent le nouveau système d’attribution du titre
Automobilisme | Dès 2009, le titre de champion du monde des pilotes sera remporté par celui qui comptera le plus de victoires et non en fonction des points marqués.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/20032009/f684952.jpg © KEYSTONE | Le pilote anglais Lewis Hamilton, champion du monde en titre, effectue des essais sur le circuit espagnol de Jerez.
L’Association des écuries de formule 1 (FOTA) a mis en cause vendredi le nouveau système d’attribution du titre mondial des pilotes à partir de 2009, adopté mardi par la fédération internationale de l’automobile (FIA), selon le site autosport.com (http://www.autosport.com/).
"A la suite de la décision prise le 17 mars par le Conseil mondial de l’automobile de changer les conditions d’attribution du titre mondial des pilotes, les équipes se sont réunies et ont décidé de remettre en question la validité de cette décision", indique le site, citant un communiqué de la FOTA.
La FOTA espère travailler avec la FIA à une modification de l’attribution des points pour la saison 2010.
Le Conseil mondial de l’automobile, entité de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), a décidé mardi d’attribuer le titre de champion du monde de Formule 1 au vainqueur du plus grand nombre de courses dès 2009 et non plus à celui ayant le plus grand nombre de points.
"Si deux pilotes ou plus terminent la saison avec le même nombre de victoires, le titre sera attribué à celui qui a le plus grand nombre de points", au barème actuel de 10, 8, 6, 5, 4, 3, 2, 1, selon le nouveau règlement de la FIA.
Le reste du classement, de la deuxième à la dernière place, sera calculé par rapport au nombre de points, comme cela se faisait jusqu’alors.
Le premier Grand Prix de la saison est programmé le 29 mars à Melbourne (Australie).
Un duel Henry-Ribéry en quart de finale de la Ligue des champions
FOOTBALL | Le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, vendredi à Nyon, a réservé un duel Barcelone, avec Thierry Henry, contre Bayern Munich, où évolue Franck Ribéry.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/20032009/4477a35.jpg © AFP | L'ancien footballeur italien Bruno Conti est l'ambassadeur de la finale à Rome.
Bruno Conti, ancien champion du monde italien, a également tiré un alléchant Liverpool-Chelsea, duel anglo-anglais qui était presque inévitable avec quatre clubs de Premier League présents à ce stade de la compétition.
Le dernier représentant du "Big Four" en lice, Manchester United, a hérité d'un des "petits" de cette compétition avec Porto.
Les Français, qui n'ont plus de club engagé après la sortie de Lyon, éreinté par le Barça (1-1, 5-2), pourront donc se consoler avec l'affrontement direct de deux Bleus expatriés, «Titi» et «Francky».
Exilé sur le côté gauche, cohabitant intelligemment avec deux autres artistes (Messi et Eto'o), Henry, qui a atteint contre l'OL la barre symbolique des 50 buts inscrits en C1, espère ajouter une Ligue des champions à son impressionnant palmarès.
Quant à Ribéry, moteur à réaction du Bayern depuis deux saisons, il n'a jamais caché que les performances des Bavarois dans la plus prestigieuse des coupes d'Europe détermineront son avenir, alors qu'il est courtisé par les plus grandes formations européennes.
Lui qui rêve de bien figurer un jour au classement du Ballon d'Or pourra se mesurer à des joueurs de classe mondiale face au Barça. Robert Pires a certainement eu un petit pincement au coeur en voyant le tirage au sort opposer à son "Sous-marin jaune" son ancien club, Arsenal, toujours emmené par Arsène Wenger, qui avait fait de Pires un de ses "Frenchies" de Premier League (2000-06). Cette fois, Pires, s'il joue, aura en face de lui les nouveaux "french Gunners", Nasri, Gallas, Diaby, Clichy...
Personne ne voulait de Liverpool, l'épouvantail, après ses récentes démonstrations contre le Real Madrid (4-0 en 8e de finale retour de la C1) et contre Manchester United en Premier League (4-1). Et c'est finalement Chelsea, finaliste l'an passé, qui en hérite. Nicolas Anelka aura donc fort à faire avec en face de lui Fernando Torres et Steven Gerrard.
Enfin, le Manchester de Patrice Evra peut se féliciter d'avoir récupéré un des clubs les moins huppés du plateau, avec Porto. Cette formation portugaise reste toutefois un mauvais souvenir pour le manager mancunien, Sir Alex Ferguson.
Manchester United avait été éliminé en 2003-04 par Porto en 8e de finale de la Ligue des champions. Et cette saison là, Porto avait remporté la finale. Mais c'était une autre époque. Sur le banc cette année là à Porto, il y avait Jose Mourinho (à l'Inter Milan aujourd'hui) et sur le terrain, un joueur exceptionnel, Deco. L'effectif portugais fait aujourd'hui moins peur.
Un club anglais est assuré d'aller en demi-finales, stade de la compétition où pourraient s'affronter deux autres clubs anglais entre eux, Manchester United, tenant du titre, et Arsenal, à condition de remporter leurs quarts respectifs.
Le programme des quarts de finale
(Matches aller les 7/8 avril, matches retour les 14/15 avril)
Match 1: Villarreal - Arsenal
Match 2: Manchester United - Porto
Match 3: Liverpool - Chelsea:content:Va faire mal.....
Match 4: Barcelone - Bayern Munich
Demi-finales (aller 28/29 avril, retour 5/6 mai)
Vainqueur match 2 contre vainqueur match 1
Vainqueur match 4 contre vainqueur match 3
Finale le 27 mai à Rome
:content:
Daniel Albrecht se porte mieux
SANTÉ | Il est encore trop tôt pour dire si le Valaisan pourra reprendre un entraînement de sportif d'élite.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/20032009/383d399.jpg © KESYTONE | Le skieur suisse va de mieux en mieux.
SI | 20.03.2009
Victime d'une chute terrible le 22 janvier dernier à Kitzbühel, Daniel Albrecht poursuit sa rééducation à l'hôpital de l'Ile à Berne. Le skieur a déjà effectué la moitié du programme de rééducation destiné à la récupération de ses capacités de coordination et de mouvement.
Semaine après semaine, Daniel Albrecht a pu intensifier sa rééducation et a pu constamment élargir l'éventail d'exercices thérapeutiques lors de séances de physiothérapie, d'ergothérapie et d'autres disciplines. Son état permetta désormais de procéder à une opération à la cage thoracique.
Il est encore trop tôt pour dire si le Valaisan pourra reprendra un entraînement de sportif d'élite.
A qui la centième édition de Milan-Sanremo?
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Milan-Sanremo, la première et plus longue classique cycliste, s'offre à toutes les convoitises, samedi, pour sa 100e édition privée d'un favori unique après une cascade de forfaits. Qui des sprinters ou des baroudeurs auront le dernier mot?
La course, plus que centenaire puisque créée en 1907, monte en puissance chaque année à l'approche du Poggio, le tremplin qui domine Sanremo. C'est là, sur cette colline envahie par les serres en surplomb de la mer Ligure, que se joue traditionnellement la "classicissima", la classique chérie des Italiens une nouvelle fois favoris sur leurs terres.
Sans Freire et Cancellara
L'absence des deux derniers vainqueurs, le sprinter espagnol Oscar Freire (blessure) et le baroudeur et rouleur suisse Fabian Cancellara (méforme), élargit le cercle des ambitieux, catégorie qui ne concerne pas l'Américain Lance Armstrong venu accomplir une formalité dans la perspective du Giro. "Un coup publicitaire parfait pour la centième", a commenté l'Italien Filippo Pozzato dans les colonnes du journal organisateur, la Gazzetta dello Sport.
Même dans ses grandes années, le Texan n'a jamais brillé dans la Primavera qui marque cette année son retour en Europe. La dernière apparition en course d'Armstrong sur le sol européen date de juillet 2005, année de sa septième et dernière victoire dans le Tour de France.
Le profil de la Primavera -la plus longue course de l'année avec ses 298 kilomètres-, l'approche matinale dans la plaine du Pô, la procession sur la Via Aurelia le long du littoral, les inévitables bousculades, et enfin la succession des "capi" (collines) jusqu'à Sanremo, décourage la plupart des coureurs de grands tours actuels. A l'inverse d'Eddy Merckx, qui rejeta à jamais l'accusation d'une course-loterie en la gagnant... sept fois entre 1966 et 1976.
Boonen en rival de Bennati
Plus récemment, Erik Zabel s'imposa à quatre reprises à Sanremo. L'Allemand gagna à chaque fois au sprint, après avoir résisté aux attaques lancées sur la Cipressa et surtout le Poggio, les deux dernières difficultés du parcours dans les 25 derniers kilomètres.
Depuis l'année passée, l'introduction de la côte de la Manie, un obstacle située à près de 100 kilomètres de l'arrivée, complique encore un peu plus la tâche des purs sprinters. S'ils veulent se disputer la victoire sur le Lungomare Calvino, où est installée désormais la ligne d'arrivée de préférence à l'historique Via Roma, ils doivent éviter de laisser des forces dans cette courte ascension de 4,6 kilomètres.
Très ouvert
Leurs deux premiers représentants, Alessandro Petacchi (vainqueur en 2005) et surtout Daniele Bennati ("la Manie joue en ma faveur", déclare-t-il), s'en estiment capables. A priori bien mieux que Mark Cavendish, le Britannique -conseillé par Zabel- qui va découvrir la Classissima.
Les deux Italiens connaissent leurs rivaux. Ils ont pour nom Thor Hushovd, le puissant Norvégien (3e en 2005), Tom Boonen, déjà dans le Top-10 à trois reprises ou encore l'Allemand Heinrich Haussler, un représentant de la jeune génération des sprinters.
"Une équipe à ma cause"
"J'ai prouvé que je peux gagner à Sanremo" estime Tom Boonen, très confiant. "La condition est en tous cas très bonne. Et pour la première fois j'aurai à mes côtés une équipe entièrement dévouée à ma cause. Elle ne devra plus tenit compte de Paolo Bettini. Le scénario de rêve serait de pouvoir me caler dans la roue de Chavanel dans le Poggio et d'ainsi lâcher tous les autres sprinters."
Quant aux attaquants, ils viennent d'Italie surtout. On citera les puncheurs (Rebellin, Garzelli, Scarponi) à qui Tirreno-Adriatico a mis l'eau à la bouche, et plus encore Filippo Pozzato, qui sait comment gagner à Sanremo (2006). Mais les hommes en forme de Paris-Nice, l'Espagnol Luis Leon Sanchez et le Français Sylvain Chavanel, deux descendeurs de qualité, ont le droit de rêver. (belga/chds)
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Cavendish au rendez-vous
Le Britannique Mark Cavendish (Team Columbia (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea314.shtml)) a tenu le coup dans la Cipressa et le Poggio et s'est présenté pour la gagne sur le Lungomare Calvino où il a réglé sur la ligne l'Allemand Heinrich Haussler (Cervelo). Lloyd Mondory (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs73591.shtml) (AG2R - La Mondiale), 11e à San Remo, termine premier français.
A l'arrivée, l'image était symbolique. Soulagé d'avoir surmonté les Capi, la Cipressa et le Poggio sur lesquels beaucoup lui promettaient l'enfer, Mark Cavendish est tombé dans les bras d'Erik Zabel, recruté à l'intersaison par le Team Columbia pour lui enseigner la science de la Classissima. Le jeune retraité allemand, quadruple vainqueur de la Primavera (1997, 1998, 2000, 2001), s'est acquitté de sa mission avec une réussite sur laquelle peu d'observateurs pariaient avant la course. "C'est le plus beau jour de ma vie ! Je ne m'attendais pas à gagner, je ne pouvais pas rêver mieux", s'est exclamé le héros du cyclisme britannique, sans doute heureux d'avoir fait taire ceux qui ne croyaient pas en lui. Imbattable en vitesse pure, Cavendish, quadruple vainqueur d'étape sur le Tour 2008, suscitait en effet bien des réserves sur sa capacité à digérer la distance marathon de l'épreuve (298 km) et les ascensions du final de la course, qui plus est pour une première participation sur un monument de cette ampleur.
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Un temps en difficulté dans la Cipressa sur laquelle le vainqueur de Tirreno-Adriatico Michele Scarponi (Serramenti) avait tenté de dynamiter la course, le sprinteur de l'île de Man ne s'est pas affolé. Parfaitement épaulé par ses coéquipiers Thomas Lövkvist et Georges Hincapie, le jeune Britannique est progressivement revenu se placer aux avant-postes à la faveur de la descente. "Toute l'équipe est restée avec moi dans les montées" , a-t-il à ce propos apprécié à l'arrivée. Sur la route du Poggio, les accélérations successives de Davide Rebellin (Serramenti) et de Filippo Pozzato (Katusha) n'ont pas inquiété plus que cela un peloton qui faisait bonne garde. A ce moment de la course, il semblait en effet déjà improbable que cette 100e édition de Milan - San Remo échappe à une arrivée massive.
Un homme de parole
En tête du peloton, Lorenzo Bernucci (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs50128.shtml) (LPR) et Vicenzo Nibali (Liquigas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4594.shtml)) s'appliquaient en effet à verrouiller le paquet pour leurs sprinteurs respectifs Alessandro Petacchi (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14603.shtml) et Daniele Bennati (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25076.shtml). L'ultime tentative du vainqueur de la Course au soleil Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)) à deux kilomètres du terme n'allait rien y changer, la course se jouerait dans les 500 derniers mètres du Lungomare Calvino. Auparavant, les Français Sébastien Turgot (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs137769.shtml) (BBox Bouygues Telecom (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea6076.shtml)) et Christophe Le Mével (Française des Jeux (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea309.shtml)) avaient pourtant tenté crânement leur chance en se lançant dans une échappée matinale de onze coureurs qui comprenaient des clients comme Bernhard Eisel (Columbia) ou Mikhail Ignatiev (Katusha). Prise au sérieux par le peloton, cette fugue initiale qui ne compta jamais plus de 5'20" d'avance, pris fin au pied de la Cipressa où Anthony Geslin (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25139.shtml) (Française des Jeux), 6e l'an dernier, montra de belles dispositions. Sylvain Chavanel (Quick Step), quant à lui, sacrifia ses chances personnelles au profit de ses sprinteurs Alan Davis et Tom Boonen (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs24520.shtml). Sans succès.
Dans l'ultime ligne droire, Heinrich Haussler (Cervelo) qu'on risque de voir régulièrement jouer les premiers rôles sur les classiques, lançait l'emballage de très loin avec son coéquipier Thor Hushovd dans sa roue mais assez vite, il apparut que le Norvégien ne pourrait le remonter. Haussler, avec la puissance dont il avait fait preuve à La Chapelle-Saint-Ursin sur le dernier Paris-Nice, semblait parti pour s'imposer mais un homme, revenue du diable vauvert, allait contrarier ses rêves de gloire. D'une incroyable détermination dans les derniers hectomètres, Cavendish, vainqueur mardi dernier de la dernière étape de la Course des deux Mers, s'employait avec la vista qui caractérise un coup de rein travaillé avec ardeur sur les vélodromes.
A dix mètres de la ligne, il était encore derrière Haussler mais dans un ultime élan de volonté et de lucidité, il lançait son vélo pour dépasser son adversaire du jour sur le fil. "Quand Haussler a lancé le sprint à toute vitesse, j'ai eu peur. La victoire est encore plus belle", a-t-il analysé une fois descendu du vélo. Pour son coup d'essai, Cavendish a réussi un coup de maître. Lui qui clamait haut et fort en début de saison son intention de décrocher la Primavera a tenu parole en battant Haussler, donc, mais également Hushovd, Davis et Petacchi qui se partagent les places d'honneur. La marque des plus grands...
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Je l'écoutais sur RMC et ils disaient que ça c'était joué à un boyau ! J'suis content pour lui !
;)Cavendish Medol, aussi content pour lui.
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Ski nordique
Dario Cologna, le phénomène suisse que le fond attendait
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Image © Keystone
Le Grison s'est fait l'auteur d'une démonstration lors de la poursuite 20 km de Falun (Su), remportant sa première victoire en Coupe du monde et accomplissant un pas sans doute décisif vers la conquête du gros globe de cristal.
le 21 mars 2009
LeMatin.ch & les agences
Cologna a fait preuve d'un brio exceptionnel. Toujours àl'offensive, aussi bien sur les 10 km en classique qu'en skating, il a usé son rival norvégien Petter Northug au fil des kilomètres. A chaque passage dans la terrible montée de 700 m pour 60 m de dénivellation près du tremplin, il se détachait pendant que le Scandinave ahanait.
Ce travail de sape a porté ses fruits et Cologna s'est présenté seul en tête dans la stade pour couper la ligne en 54'59, avec 1''7 d'avance sur le Suédois Marcus Hellner et 2''4 sur l'Allemand Tobias Angerer, ancien vainqueur de la Coupe du monde. Northug est arrivé 20e à 32''.
Avec le jeu des bonifications, Cologna abordera dimanche l'ultime étape de cette finale de la Coupe du monde, un 15 km avec départ handicap, avec 1'20'' d'avance sur le Norvégien, à quoi s'ajoutent plus de 50 points d'avance au classement général virtuel de la Coupe du monde. Sauf accident ou défaillance improbable, Cologna remportera donc à la fois cette finale et le général. Dans une course avec départs individuels comme celle de dimanche, il n'a en effet pas grand chose à craindre, avec une telle avance, d'un athlète comme Northug, avant tout à l'aise dans les arrivées au sprint après départs en ligne.
Le Grison deviendrait le premier Suisse à gagner le général de la Coupe du monde. Seulement 37e l'an passé, pour ses débuts, il a accompli cette saison une progression fulgurante, matérialisée déjà par son succès en janvier au Tour de Ski (sans victoire d'étape toutefois). Il y avait précédé un certain Northug.
:amoureux:
L'Xtreme de Verbier décalé au dimanche 22 mars
Freeride | Un vent glacial venu du nord souffle en rafales sur les crêtes du Bec des Rosses, empêchant le déroulement régulier et en toute sécurité de l'épreuve.
http://www.tdg.ch/files/imagecache/468x312/story/Xtreeme1.jpg © KEYSTONE | L'Américain Cody Townsend, avant de prendre le départ de l'Xtreme de Verbier, le 15 mars 2008.
Le Bec des Rosses arbitre d’une bataille de géants du freeride
PIERRE NUSSLÉ | 20.03.2009 |
Comme ils l'avaient laissé entrevoir en milieu de semaine, les organisateurs ont décidé vendredi matin de décaler les compétitions de l'Xtreme de Verbier du samedi 21 au dimanche 22 mars. En effet, un vent glacial venu du nord souffle en rafales sur les crêtes du Bec des Rosses, empêchant le déroulement régulier et en toute sécurité des finales du Nissan Freeride World Tour 2009. Toute la tribu des skieurs et snowboardeurs qualifiés se retrouveront donc dimanche matin dès 10 heures sur leur terrain de prédilection face au Col des Gentianes d'où le public pourra observer les exploits des plus prestigieux riders du monde.
;)Dommage, donne pas à la télé, sont fous:fou:
BMW se rebiffe
Dominé par SEAT lors des entraînements, BMW a répliqué en plaçant la 320si d'Augusto Farfus en pole devant celle d'Andy Priaulx, samedi à Puebla. Amer déception pour Yvan Muller, qui n'a pu défendre ses chances suite à une erreur de timing. Le champion du monde français partira 5e.
BMW a joué carte sur table, samedi à Puebla, et SEAT a péché par orgueil en pensant que la qualification n'échapperait pas à la règle de sa domination instaurée en test la veille avec Yvan Muller, et poursuivie en essais libres avec Rickard Rydell. Augusto Farfus en pole, Andy Priaulx à l'extérieur de la 1ère ligne : tel est le verdict inattendu qu'a livré la 2e séance de qualification de la saison de WTCC, au Mexique.
Presque logique… En effet, l'espoir brésilien avait survolé plus tôt en 1:37.981 la Q1 de 20 minutes ; un chrono meilleur que le record de la piste établi en 2008 par l'Espagnol Jordi Gené (SEAT), en 1:38.138. Pourtant, le Sud-Américain n'avait pas exactement été seul : l'Italien Gabriele Tarquini (SEAT) avait également battu l'ancienne marque de l'Ibère, en 1:38.047. En Q2, le natif de Curitiba a donc eu le mérite d'améliorer sa prestation, en 1:37.682, à mi-session.
Dans les ultimes secondes de la 10e minutes, le triple champion du monde Andy Priaulx passa à 0.045 sec de l'exploit. Juste après lui, Gabriele Tarquini, le vice-champion du monde 2008, en fut près lui aussi : il possédait 0.231 sec d'avance après le 1er temps intermédiaire, 0.148 sec encore après le 2e lorsque le dernier tiers valida l'inflexion. 3e, à 0.111 sec.
Muller piégé par le timing
"Si on m'avait demandé où se qualifierait aujourd'hui, je vous aurais dit en 6e position, derrière les cinq SEAT", a avoué Augusto Farfus. "Mais je n'ai fait que 50% du travail, car l'autre moitié a été réalisée par l'équipe. On sait à que point ce championnat en difficile. Je suis content qu'il y ait deux BMW en 1ère ligne, spécialement ici, à Puebla. Le départ lancé ne va peut-être pas nous aider, mais on verra. On va aborder les difficultés pas à pas. Ce qui est pris n'est plus à prendre".
Au final, deux BMW 320si devancent quatre SEAT Leon puisque derrière Gabriele Tarquini on retrouve Rickard Rydell, Yvan Muller et Tiago Monteiro. Si Rickard Rydell et Tiago Monteiro n'ont pas grand-chose à redire sur la trame des événements, Yvan Muller est apparu assez chiffon à sa descente de voiture. Premier poleman de la session, le champion du monde français n'a pu défendre ses chances jusqu'au bout. Son équipe était en train de changer ses quatre roues à deux minutes tout juste du drapeau à damier et il lui manqua quelques secondes pour s'élancer dans un dernier tour chrono.
BMW et SEAT engagés dans un duel qui reste indécis, tant les Diesel espagnols devraient avoir la part belle sur deux fois 12 tours dimanche en altitude, Chevrolet n'aura pas échappé au scenario presque écrit de ses difficultés entrevues il y a deux semaines au Brésil. Avec Nicola Larini, Rob Huff et Alain Menu condamnés aux 12e, 14e et 15e rangs en Q1, aucun exemplaire de la nouvelle Cruze ne fut convié à participer aux dix minutes les plus excitantes de l'après-midi.
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J.Gené avec au fond le volcan Iztacihuatl (????!!!!!).
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Qualif' complètement loupé pour les "Chevy" .
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Maximum Attack pour Tom Coronel sans succès car il partira 15ème !
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La joie d'Augusto Farfus !
Federer éliminé en 1/2 finale par Murray à Indian Wells
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Le Suisse Roger Federer, N.2 mondial, a été éliminé samedi en demi-finale du tournoi d'Indian Wells par le Britannique Andy Murray, 6-3, 4-6, 6-1.
Dimanche en finale, l'Ecossais Murray rencontrera l'Espagnol Rafael Nadal ou l'Américain Andy Roddick, qui devaient jouer samedi.
Marseille s'installe en tête de la Ligue 1
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Marseille s'est installé en tête du championnat de France après sa victoire face à Nantes 2-0 samedi lors de la 29e journée, mettant une pression supplémentaire sur Lyon, relégué à deux points avant d'accueillir Sochaux dimanche.
Tout le peuple marseillais attendait ce moment depuis dix ans et l'OM a été pour une fois fidèle au rendez-vous, réussissant enfin à déloger le septuple champion de France lyonnais de sa première place. Deux buts de Civelli et de Brandao en seconde période ont suffi aux Olympiens pour dominer de bien pâles Nantais et retrouver ainsi le sommet du championnat, une première depuis la saison 1998-99.
Une semaine après avoir terrassé le Paris SG au Parc des Princes (3-1), l'OM a prouvé qu'il était bel et bien le plus sérieux concurrent de Lyon pour l'obtention du titre en fin de saison.
Mais en attendant la réception de Sochaux par l'OL et le choc entre Toulouse et Paris, Bordeaux s'est également invité aux premières loges (2e) en allant l'emporter 3-0 chez des Havrais qui semblent promis à la relégation.
Dès la 10e minute, un exploit individuel de Yoann Gourcuff a placé les Bordelais sur la voie du succès avant que Diawara et Wendel ne corsent l'addition après la pause.
Le réveil de Gourcuff
Ce n'est sûrement pas un hasard si le réveil de Bordeaux après une période de disette au mois de février correspond à celui de son meneur de jeu. Fatigué après avoir été très sollicité lors de la première partie de la saison, Gourcuff a trouvé un second souffle. Une bonne nouvelle également pour le sélectionneur de l'équipe de France Raymond Domenech à une semaine d'un double affrontement crucial contre la Lituanie sur la route du Mondial 2010.
L'autre bonne affaire a été réalisée par les Lillois. Sans Cabaye ni Obraniak, suspendus après avoir été exclus par l'arbitre Tony Chapron mardi en Coupe de France contre Toulouse, le Losc (4e) a réussi un quasi sans-faute contre Grenoble (2-1) avec un nouveau festival de Bastos, buteur et passeur. Ce qui devrait soulager son entraîneur Rudy Garcia, très remonté contre M. Chapron et inquiet de l'absence de deux de ses pièces maîtresses.
Rennes, rapidement réduit à dix après une agression de Mangane sur Lacourt (saison terminée avec une fracture tibia-péroné), a en revanche buté sur des Valenciennois qui n'ont plus perdu depuis 12 rencontres et peuvent désormais sereinement envisager leur maintien parmi l'élite (0-0). Les Bretons, 7e, n'en finissent pas de laisser filer des points précieux dans la course à une qualification européenne.
En bas de tableau, Nancy, 15e et battu à domicile par Monaco (1-0), est en grand danger avec un petit point d'avance sur le premier relégable, Saint-Etienne, qui se déplace dimanche à Lorient. L'entraîneur Pablo Correa, qui avait proposé sa démission la semaine dernière, n'a toujours pas trouvé la clé pour relancer son équipe.
La situation est aussi préoccupante à Caen malgré le nul ramené de Nice (2-2). Les Normands, qui n'ont plus gagné depuis le 22 novembre, restent avant-derniers.
Enfin, Auxerre a confirmé face au Mans (2-0) l'exploit réussi la semaine dernière à Lyon (2-0) grâce à ses deux Polonais Jelen et Dudka, et prend place pour de bon dans la première partie de tableau (9e).
La Juventus ne faiblit pas, la Roma stagne
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La Juventus, bien plus solide et réaliste que son adversaire, s'est imposée 4 à 1 aux dépens d'une Roma fatiguée et totalement débordée en seconde période, samedi dans la capitale en match avancé de la 29e journée du Championnat d'Italie.
Une semaine après un déjà large succès face à Bologne (4-1), l'équipe turinoise a confirmé qu'elle était en grande forme. Au classement, elle consolide sa 2e place et revient provisoirement à 4 points du leader, l'Inter. Cependant, cet écart risque fort d'être à nouveau de 7 points dimanche puisque l'Inter doit affronter chez elle la Reggina, la lanterne rouge.
Mais au moins la Juve a-t-elle montré qu'elle ne faiblissait pas en l'emportant largement sur la pelouse de la Roma.
Cette dernière, handicapée avant même le coup d'envoi avec pas moins de onze joueurs absents - 4 suspendus et 7 blessés -, stagne au classement (6e) et demeure toujours à distance de son objectif, la 4e place (actuellement occupée par le Genoa avec deux points de plus).
La pause de quinze jours due aux matches internationaux devrait en tout cas lui faire du bien, tant elle a parue "cramée" et sans ressort. Cela fait maintenant un mois qu'elle n'a plus gagné en championnat (3 nuls et 1 défaite).
Le grand artisan de la victoire de la Juve aura été Vincenzo Iaquinta. Au cours d'une première période plutôt ennuyeuse, l'attaquant champion du monde fut le seul à s'illustrer en ouvrant le score par une frappe croisée du droit (34e).
Puis, alors que la Roma était parvenue, non sans un peu de chance, à égaliser grâce à Loria, oublié par la défense sur un corner de Menez (48e), il redonna logiquement l'avantage aux siens, plus prompt que Mexès à capter de la tête un centre dévié de Grygera pour tromper Doni (55e).
Ce deuxième but coupa totalement les jambes des Romains, qui avaient déjà bien du mal à être dans le coup. Une aubaine pour les Bianconeri, qui en profitaient pour saler l'addition grâce à Mellberg, buteur de la tête à la suite d'un corner de Del Piero (68e), puis à une belle frappe du gauche de Nedved (74e) qui venait d'entrer en jeu.
Manchester United rechute, Chelsea rate le coche
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Chelsea, défait 1-0 à Tottenham, a manqué l'occcasion de revenir à un point du leader Manchester United, de nouveau battu (2-0 contre Fulham), samedi lors de la 30e journée du Championnat d'Angleterre.
Une semaine après sa déroute 4-1 contre Liverpool, le doute semble s'être immiscé dans l'esprit de Manchester United, qui s'est incliné pour la quatrième fois de la saison en Premier League. Les Reds Devils n'avaient plus concédé deux défaites d'affilée en championnat depuis près de quatre ans.
Un penalty de Danny Murphy et un but de Zoltan Gera ont permis à Fulham de battre ManU à Craven Cottage pour la première fois depuis 1964.
Mais les Mancuniens, réduits à neuf, ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes.
Paul Scholes, exclu dès la 18e minute en raison d'une main volontaire dans la surface, a permis à Murphy d'ouvrir le score sur penalty. Puis Rooney, entré en jeu en deuxième mi-temps, a subi le même sort en fin de match (88e) après avoir pris un deuxième jaune pour avoir contesté une décision de l'arbitre.
Manchester battu, Chelsea avait l'occasion de revenir à un point des Red Devils en cas de victoire dans le derby londonien à Tottenham. Au lieu de ça, Guus Hiddink a subi sa première défaite à la tête de Chelsea après un but du Croate Luka Modric.
Manchester United reste donc leader avec quatre points d'avance sur son dauphin Chelsea (avec un match de plus à jouer).
C'est à Liverpool, remonté à bloc après son succès sur Manchester la semaine passée, d'en profiter dimanche. Les hommes de Rafael Benitez, qui vient de prolonger son contrat jusqu'en 2014, peuvent reprendre seuls la 2e place, à un point du leader, en battant Aston Villa et ainsi mettre la pression sur ManU.
Dans les autres matches, Arsenal se déplaçait à Newcastle en soirée avec pour objectif de défendre sa quatrième place, qualificative pour la Ligue des Champions, acquise lors de la dernière journée.
En bas de classement, Stoke est sorti de la zone de relégation grâce à sa victoire 1-0 sur l'avant-dernier Middlesbrough, tandis qu'un doublé de Peter Crouch a assuré à Portsmouth une précieuse victoire 2-1 contre Everton.
En revanche, les chances de la lanterne rouge West Bromwich de sauver sa tête en Premier League se sont considérablement amoindries après son match nul 1-1 contre Bolton.
Hertha Berlin chute, le Bayern revient à un point
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Le Hertha Berlin s'est incliné 2 à 0 sur le terrain de Stuttgart samedi lors de la 25e journée du Championnat d'Allemagne, permettant ainsi au Bayern Munich, pâle vainqueur de Karlsruhe (1-0), de revenir à un point de la première place.
Si Berlin n'a plus rien à envier à personne à domicile avec ses dix victoires de suite au stade olympique, le club de la capitale allemande voyage encore mal.
Contre Stuttgart, les hommes de Lucien Favre ont pris l'eau en début de seconde période sur un but du Brésilien Cacau (47), imité quatre minutes plus tard par Sami Khedira (51) pour sceller la deuxième défaite de l'année 2009 du Hertha.
Ce revers du leader fait les affaires du Bayern qui, dans le même temps, est venu à bout de la lanterne rouge, Karlsruhe. Revigoré par le retour de Franck Ribéry, les Bavarois ont rapidement pris les choses en main, présentant pendant un quart d'heure un visage séduisant, avant de se laisser endormir par le KSC.
Ribéry, qui avait manqué les trois dernières sorties de son club sur blessure (tibia), a fini par trouver la solution: à la 34e minute, il a distillé sa septième passe décisive de la saison d'une remise astucieuse pour Jose Ernesto Sosa dans le dos de la défense adverse pour l'unique but de la rencontre.
Grafite leader
Chahuté en seconde période en l'absence en attaque de Miroslav Klose, blessé, et de Luca Toni, convalescent, le Bayern a assuré l'essentiel, à défaut de convaincre ses supporteurs qui ont sifflé sa sortie du terrain.
Mais il n'est pas seul à revenir sur les talons de Berlin.
Wolfsburg ne compte également qu'un point de retard sur le leader après sa victoire à Bielefeld (0-3), avec le 18e but de la saison du Brésilien Grafite qui rejoint en tête du classement des buteurs Vedad Ibisevic, blessé depuis janvier.
Le club du constructeur automobile Volkswagen a gagné ses sept dernières rencontres et a bien l'intention d'enquiller un huitième succès le 4 avril lors de la 26e journée où il reçoit... le Bayern.
Le champion en titre doit également se méfier d'Hambourg qui peut le rejoindre avec 48 points dimanche à condition de s'imposer sur la pelouse de l'imprévisible Schalke 04.
La belle histoire d'Hoffenheim commence en revanche à tourner à l'aigre. Le promu, sacré champion d'automne à la surprise générale, ne parvient plus à gagner: il a concédé contre Hanovre (2-2) son cinquième nul de suite.
:content::content::content:
Coupe du monde - Falun
Ski de fond: le globe de cristal pour Dario Cologna!
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Image © Keystone
Dario Cologna a réalisé un exploit historique en devenant le premier Suisse à remporter le classement général de la Coupe du monde de fond.
le 22 mars 2009
Le Grison a été en démonstration lors des deux épreuves du week-end à Falun (Su), distançant irrémédiablement son rival norvégien Petter Northug.
Avant ce week-end, Cologna avait surtout brillé par sa régularité sur le circuit, ses coups d'éclat ayant été rares en dehors de sa victoire au général du Tour de Ski en janvier. Mais à Falun samedi, il a fait preuve de panache, fêtant son premier succès d'étape de Coupe du monde à l'occasion de la poursuite sur 20 km, avant de se montrer à nouveau impérial dimanche lors de la course handicap sur 15 km, même s'il a préféré assurer en restant assez loin du meilleur temps.
Parti premier de cette dernière étape de la finale de la Coupe du monde avec 58'' d'avance sur le Russe Alexander Legkov et 1'20'' sur Northug, le seul qui pouvait encore le menacer au général, Cologna n'a jamais été rattrapé. Il coupait la ligne avec 41'' d'avance sur le Français Vincent Vittoz, 1'05 sur Legkov et 1'10 sur Northug et s'adugeait la victoire au terme des quatre étapes cette finale.
Les 200 points de bonus ainsi récoltés permettent au Grison de remporter haut la main le classement général de la Coupe du monde. C'est un exploit historique pour le fond helvétique. Le meilleur classement d'un Suisse au général de la Coupe du monde jusqu'à présent était la 7e place d'Andy Grünenfelder en 1984. Chez les dames, Evi Kratzer avait terminé 5e en 1985.
Dario Cologna a réussi à rebondir là où plus grand monde ne l'attendait. Rentré prématurément des Mondiaux de Liberec le mois dernier sans y avoir remporté de médaille, le Grison avait vu Northug, triple médaillé d'or en République tchèque, fondre sur lui puis le dépasser au classement général à mi-mars. Mais Northug a fini par craquer au moment où le Grison retrouvait toutes ses sensations pour les quatre étapes finales, dans un enchaînement d'efforts qui lui convient parfaitement.
:amoureux:Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iii
tennis
Masters 1000 à Indian Wells: une finale Nadal - Murray
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Le numéro un mondial Rafael Nadal tentera de remporter pour la deuxième fois le tournoi ATP Masters 1000 d'Indian Wells. Il aura cependant fort à faire face à sa bête noire des six derniers mois, Andy Murray.
le 22 mars 2009
LeMatin.ch & les agences
L'Espagnol, lauréat de l'épreuve californienne en 2007, s'est défait en demi-finale de l'Américain Andy Roddick, septième mondial, en deux manches 6-4 7-6.
Même s'il affrontera le numéro un incontesté du classement mondial, le Britannique devrait aborder la finale confiant puisqu'il reste sur deux victoires consécutives contre Nadal. Il l'avait éliminé l'année dernière en demi-finale de l'US Open, seul titre du Grand Chelem qui manque désormais au palmarès du Majorquin, et l'a de nouveau battu en finale à Rotterdam en février, lui infligeant même un 6-0 au troisième set décisif. En cas de succès, Murray remporterait son troisième tournoi de l'année après ses victoires à Rotterdam et à Doha.
Le gaucher espagnol s'est montré solide, à défaut de briller face au chouchou du public américain Andy Roddick. Auteur du premier break au septième jeu de la première manche, il l'a conclue en 40 minutes. Après un break de chaque côté dans le second set, le scénario s'est répété lorsque le Majorquin a pris la mise en jeu de Roddick, mais il a flanché à 5-4 alors qu'il servait pour le gain du match. Nadal s'est finalement repris dans le jeu décisif, qu'il a facilement gagné
FREERIDE
Xtreme de Verbier: des conditions dantesques
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Plus sélectif que jamais, le Bec-des-Rosses a mis à l'honneur les athlètes les plus complets de la saison, à l'image d'Ane Enderud
Ducroz et De Le Rue ont remporté l'Xtreme de Verbier. Egalement champions du monde 2009, les deux Français n'avaient jamais ridé un Bec-des-Rosses aussi farouche
Claude-Alain Zufferey - le 22 mars 2009,
Le Matin
L'Xtreme de Verbier n'a jamais aussi bien porté son nom que lors de cette édition 2009. Balayé par le vent, le Bec-des-Rosses avait perdu une grande partie de son manteau neigeux avant même le début de la compétition. Cette face mythique a donc fait de la résistance en offrant à la fois des passages très caillouteux sur le haut, et une neige de piètre qualité sur le bas. «Les conditions n'étaient vraiment pas bonnes, confirme Aurélien Ducroz, champion du monde 2009 et vainqueur hier à Verbier en ski. Malgré une couche très dure en surface, j'ai pu suivre mes plans et réaliser un gros saut en bas de ma ligne.» Ces conditions extrêmes ont rendu les concurrents encore plus méfiants et surtout beaucoup plus prudents. Conséquence: un manque de fluidité dans les runs a caractérisé cette journée en montagne. «J'ai tout de même été surpris de la qualité du spectacle proposé dans cet environnement plus que particulier, commente le président du comité d'organisation, Nicolas Hale-Woods. Cela prouve bien que le niveau des skieurs et des snowboarders s'élève chaque année.»
Favoris au rendez-vous
Question plaisir, tous les athlètes n'y ont pas trouvé leur compte. Face au stress engendré par cette neige capricieuse, le but premier était surtout d'arriver en bas en un morceau. «Pour ma part, j'ai tout de même réussi à m'éclater lors de la descente. Je suis resté très concentré dans la partie critique, il fallait oser y aller, surtout en snowboard. Et je me suis lâché sur le bas», enchaîne Xavier De Le Rue, qui était déjà champion du monde avant cette épreuve, mais qui s'est fait un point d'honneur d'inscrire son nom au palmarès de cet Xtreme 2009. Avec les victoires chez les dames d'Ane Enderud (ski) et de Géraldine Fasnacht (snowboard), le Bec-des-Rosses a finalement mis à l'honneur les athlètes les plus complets de la saison: trois «numéros un mondiaux» et une Suissesse qui l'aurait certainement été si elle avait pu participer à toutes les épreuves du circuit 2008-2009.
classements
Xtreme Verbier 2009
Ski messieurs: 1. Ducroz (Fr); 2. Barkered (Su); 3. Gillioz (S).
Snowboard messieurs: 1. De Le Rue (Fr); 2. Toelderer (Aut); 3. Annetts (EU).
Ski dames: 1. Enderud (Su); 2. McMillan (EU); 2. Persson (Su).
Snowboard dames: 1. Fasnacht (S); 2. Pekarek; 3. Mol (USA).
Classement final du Freeride World Tour 2009
Ski messieurs: 1. Ducroz (Fr) 4900 pts; 2. Barkered (Su) 4510; 3. Liliequist (Su) 3795.
Snowboard messieurs: 1. De Le Rue (Fr) 5600 pts; 2. Coudray (S) 3510; 3. Zipser (Aut) 3460.
Ski dames: 1. Enderud (Nor) 4900 pts; 2. Persson (Su) 4800; 3. McMillan (EU) 4600.
Snowboard dames: 1. Mol (EU) 4900 pts; 2. Bock (All) 4700; 3. Fasnacht (S) 4000.
23/03/2009 02:04 http://www.lequipe.fr/css/img/abus_Tennis.gif
Tennis - Indian Wells - Nadal : «Fantastique !»
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Rafael Nadal (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_2862.html) était sur un nuage après son deuxième titre majeur de la saison et reconnaissait avoir certainement bien mieux géré les conditions de jeu qu'Andy Murray (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_3233.html). Ce dernier ne s'est pas fait prier pour admettre la supériorité de son vainqueur. Du côté des femmes, Vera Zvonareva (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJF_2767.html) s'est montrée émue et soulagée d'avoir enfin remporté un titre majeur et Ana Ivanovic (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJF_3196.html) s'est résigné sur son incapacité du jour à maîtriser la balle. Les réactions.
Rafael Nadal (ESP/ Vainqueur du tounoi) : «Les conditions étaient difficiles mais je me suis bien adapté. Andy a été plus gêné que moi. J'ai joué le match qu'il fallait, toujours en mouvement au centre du court, ça a été la clé. Peut-être que j'étais un peu plus préparé que lui pour jouer dans ces conditions, je les ai mieux acceptées que lui, j'avais une attitude peut-être plus positive. Je n'ai pas cherché les coups gagnants, car c'est difficile dans le vent, mais j'ai cherché à faire des balles basses. Gagner ici c'est vraiment un sentiment fantastique. C'était déjà un rêve de gagner l'Open d'Australie, mais enchaîner avec une victoire ici c'est également spécial. J'adore vraiment jouer ici.»
Andy Murray (ECO/Battu en finale) : «Ce n'était pas facile, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas joué dans des conditions venteuses comme celles-là. Rafa les a très bien gérées, il a joué de façon plus propre et a su se mettre de meilleures situations que moi. Dans ces conditions, c'est à celui qui sera dans la meilleure position pour frapper la balle avec sécurité et je n'ai pas su le faire. Il a dicté la plupart des points. Je n'étais pas dans mon meilleur jour mais je vais m'en remettre facilement. Je ne retrouverai pas ces conditions tous les jours. Je ne suis pas si déçu que cela parce que je ne pensais pas faire une aussi bon tournoi, j'ai décroché de belles victoires, pas nécessairement attendues. Du coup, je vais être mieux préparé que ce que je pensais pour Miami.»
Vera Zvonareva (RUS/Victorieuse en finale) :«C'est incroyable ! Gagner un si grand tournoi est quelque chose de formidable. Je regardais déjà cette épreuve à la télévision quand j'étais enfant vous savez. C'est quasiment un des plus gros tuornois après ceux du Grand Chelem. Cette victoire veut dire beaucoup pour moi car je suis souvent passée tout près de gagner de grands titres par le passé et aujourd'hui j'ai finalement été capable d'en gagner un et après avoir battu de très bonnes joueuses. Les conditions étaient terribles aujourd'hui, mais j'ai su me battre sur chaque point et adapter mon jeu. Je pense que je m'en suis bien sortie même si j'ai fait des fautes et perdu des points frustrants à cause du vent. C'était très important de rester concentrée et d'essayer de remettre le plus de balles possible dans le court, de rester patiente et de continuer de bien servir. Si j'y arrive aujourd'hui, c'est que je suis plus mûre, que j'ai finalement appris à rester concentrée plusieurs matches à la suite et que j'ai maintenant une certaine expérience. Avant, je n'étais pas prête pour ce genre de titres. Je crois que ce tournoi va m'aider pour les prochains tournois du Grand Chelem.»
Ana Ivanovic (SER/Battue en finale) : «Je n'avais jamais joué dans des conditions aussi difficiles. Aujourd'hui, c'était à celle qui allait savoir s'adapter aux conditions et Vera a été plus forte que moi mentalement, elle a su le faire. Je ne pouvais pas jouer mon jeu normal. C'était très frustrant. Pendant les échanges, ce n'était pas facile de savoir où la balle allait rebondir et où elle allait partir après la frappe. Il y a eu beaucoup de coups inventés aujourd'hui. Il faut en rire parfois mais ce n'est pas toujours marrant de savoir que tu as l'air ridicule sur le court... Je crois toujours que j'ai un jeu pour battre n'importe qui. Il faut juste que je sois consistante, que je continue à avoir confiance en mon jeu, comme en ce moment. Je sais que je peux gagner un autre grand chelem (après Roland-Garros 2008), je l'ai fait dans le passé, je sais que je peux le refaire.» (Avec AFP)
Fracture pour Armstrong ?
Victime d'une chute sur la 1re étape du Tour de Castille-et-Leon, Lance Armstrong s'est blessé au bras droit. Le septuple vainqueur du Tour de France, qui pourrait souffrir d'une fracture de la clavicule, a été transporté à l'hôpital en ambulance. Sa participation au prochain Giro est incertaine.
L'Américain Lance Armstrong, l'un des leaders de l'équipe Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml) avec l'Espagnol Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml), a été victime d'une chute lundi près de l'arrivée de la 1re étape du Tour de Castille-et-Leon à Baltanas et a été contraint à l'abandon.
Assis dans l'herbe sur le bas-côté de l'étroite route, après avoir enlevé son casque, l'Américain de 37 ans se tenait le bras droit à la suite d'une chute à une vingtaine de kilomètres de l'arrivée. Il est ensuite monté dans une ambulance qui devait le transporter vers un hôpital de la ville voisine de Palencia, a indiqué un membre de l'organisation de la course.
Censé disputer le prochain Tour d'Italie, dont le départ sera donné le 9 mai prochain, et désireux d'atteindre son pic de forme en juillet pour le Tour de France (4 au 26 juillet), Lance Armstrong pourrait souffrir d'une fracture de la clavicule ou du poignet. Sa participation au Giro, la première de sa carrière, est d'ores et déjà compromise. La première étape a été remportée par l'Espagnol Joaquin Sobrino Martinez (Burgos Monumental). L'Espagnol, qui s'est imposé au sprint, a devancé ses compatriotes David Vitoria (Rock Racing) et Jose Joaquin Rojas (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs73584.shtml) (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)).
Plus d'infos à suivre...
Je suis trop dégoûté pour mon Lance, c'est mon coureur préféré avec Cadel Evans ! (Eh oui vous avez trouvé le SEUL fan Français d'Arsmtrong !
Le nouveau barème sera effectif en 2010, affirme Ecclestone
Le nouveau barème d’attribution du titre de champion du monde de Formule 1 que la FIA a tenté de faire passer au forceps au soir de la tenue du Conseil Mondial du Sport Automobile, le 17 Mars – le nombre de victoires prévaut contre les points, qui ne deviennent qu’une source de différenciation en seconde main – n’a pas été avalisé par les écuries, qui opposent à la FIA le Code Sportif International pour justifier son illégalité (lire notre article daté du 20 Mars). Le patron de la Formula One Management, qui est à l’origine du système novateur, affirme cependant que la F1 recule pour mieux sauter et que le barème issu de son cerveau fécond entrera en vigueur en 2010.
« Il sera soutenu par la FIA et il sera inclus dans les règlementations » affirme Ecclestone au Telegraph, « Lorsque les gens s’inscriront au championnat du monde, la réglementation sera celle-ci. Pour apporter des changements aux règlements lorsque les inscriptions ont déjà été faites nécessite l’unanimité de toutes les parties concernées. Il apparaît que certaines écuries n’aiment pas cette idée. » [NDLR : l’unanimité était du côté de la FOTA, avec un rejet total du nouveau barème].
Et Ecclestone de faire un nouveau mélange des genres en comparant un sprint unique (100 mètres des Jeux Olympiques) et un calendrier de 17 courses (le championnat du monde de Formule 1), et de laisser sous entendre que c’est le champion du monde en titre lui-même qui lui aurait donné l’envie de modifier le système… « C’est logique. Lorsque vous allez voir de l’Athlétisme vous n’êtes intéressé que par le vainqueur, personne ne s’intéresse au 2è. Dans la plupart des sports, les gens regardent qui est le vainqueur. C’est simple, lorsque les gens s’alignent dans une course je souhaite qu’ils veuillent gagner. Je ne veux pas qu’ils soient le coude à la portière, ce que Lewis Hamilton a fait, très bien d’ailleurs, plusieurs fois l’année dernière. Il m’a même avoué qu’il aurait pu gagner. Mais il n’en avait pas besoin alors pourquoi aurait-il pris le risque d’endommager sa voiture ou de sortir de la piste pour marquer 2 points supplémentaires ? »
On ne fait que reporter l'échéance mais c'est déjà ça de pris !
Tous les jours je mettrais un preview de chaque équipe de F1 avant le GP de Melbourne !
McLaren Mercedes prétend avoir du retard
Vainqueur à Melbourne l’année dernière pendant que Ferrari enregistrait un double échec cuisant, McLaren Mercedes refuse d’endosser le rôle de favori qui sied au porteur du numéro 1. Les chiffres bruts des essais hivernaux plaident en sa faveur : les flèches d’argent ont rarement pointé aux avant-postes. Rarement n’est pas jamais et c’est sur cette subtile différence que Bernie Ecclestone base son argumentaire en affirmant que l’écurie de Woking cache son jeu.
Du côté de McLaren Mercedes, tous les discours sont à l’unisson. Pour prendre les devants en cas de déroute en Australie. Pour ne pas mettre de pression sur les épaules de leur champion du monde dont la gestion des évènements en piste avait été le talon d’Achille en 2008. « Nous prenons le départ de la saison en ayant parfaitement conscience que nous ne disposons pas encore du package technique qui permettra à nos pilotes de se battre aux avant-postes » avance le directeur de l’écurie, Martin Whitmarsh, en introduction de sa présentation du GP d’Australie, « Etant une écurie qui vise la victoire et la lutte pour le titre mondial, nous nous rendons à Melbourne avec des objectifs réalistes. »
« McLaren Mercedes n’a peut-être pas les mêmes possibilités de se battre devant comme nous l’avions fait en 2007 et 2008, mais toute l’équipe travaillera sans relâche pour nous aider à retrouver les avant-postes » surenchérit Lewis Hamilton dont l’équipier, Heikki Kovalainen, entonne également le chant du déclin, « Tout le monde est très motivé au sein de l’équipe et si nous ne commencerons probablement pas la saison en tant que favoris, nous travaillerons pour les devenir. »
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Mouais... Je pense que c'est un peu de bluff mais aussi un peu de vérité !
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Le beau casque d'Hamilton !
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Le casque de Kova !
Le nouvel horaire bénéficie au GP d’Australie
Bernie Ecclestone a lutté bec et ongles pour repousser l’horaire du départ du Grand-Prix d’Australie. Son interlocuteur, les organisateurs de l’évènement, ont tout d’abord eu une réaction épidermique et se sont opposés au changement, avant de revenir vers de meilleurs sentiments. Le patron de la FOM a obtenu un départ différé à 17h heure locale (7h heure Française) destiné à ne pas (trop) effaroucher le berceau des téléspectateurs de la Formule 1, situé en Europe.
Un horaire qui ravit les organisateurs du Grand-Prix… « L’intérêt que le GP suscite ne s’érode pas » se félicite Drew Ward, directeur de l’Australian Grand Prix Corporation, « Il y a un grand intérêt pour le sponsoring et la vente de billets se porte très bien pour les admissions générales ainsi que pour les tribunes. Il y a une grande excitation grâce aux nouvelles réglementations. »
« C’est le plateau F1 le plus relevé depuis des années et les V8 Supercars n’ont jamais été aussi populaires. Cette combinaison associée aux loisirs en dehors du circuit fait que l’intérêt pour les simulateurs et toutes les attractions n’a jamais été aussi grand. Je pense que l’horaire aura un impact positif sur le nombre de spectateurs car il colle à leur comportement. Le nouvel horaire est tel que les 4 jours l’action en piste débutera à l’heure du déjeuner pour se terminer avec le coucher du soleil… et si vous analysez le comportement des clients, cet horaire y correspond tout à fait. Beaucoup de gens viennent de loin pour assister à cet évènement, de l’étranger ou d’une autre province, ça leur permettra de sortir tout en ayant un début de journée relaxant. »
12H Sebring : Audi impose la R15 TDI dès sa première course !
D'emblée, elle avait impressionné. Dès ses premiers tours de roues. Et comme l'Audi R8 en 2000, comme l'Audi R10 en 2006, l'Audi R15 TDI s'impose dès sa première course… En établissant un tout nouveau record à la distance pour les 12 Heures de Sebring : 2280,114 km. Incroyable ! Surtout pour une voiture qui n'a fait ses premiers tours de roue qu'avant Noël dernier ! Et quelle victoire ! Il a fallu aller la chercher face à des Peugeot 908 HDi FAP offrant de nouveau une résistance acharnée. Mais encore une fois, pour triompher des quatre anneaux, il aurait fallu un sans-faute au Lion. Las, avant même le départ, la n°08 s'infligeait un handicap d'une bonne vingtaine de secondes en partant de la ligne des stands suite à un changement de pompe hydraulique. Puis Sébastien Bourdais perdait une quinzaine de secondes dans un tête à queue dans le Turn 17. Enfin, une crevaison au soleil déclinant coûtait définitivement la victoire à la Peugeot n°08. Malgré un choix payant de doubler les relais avec les pneumatiques en début de course. La seule question qui reste posée est de savoir si un changement de pneus lors du dernier pit-stop aurait changé la donne et permis de réduire cet écart final de 22 secondes. Rien n'est moins sûr et refaire la course est de toute façon inutile. Mais vue de l'extérieur, la stratégie du clan Peugeot semblait être sans faille ce week-end. Ca n'a pas suffi…
Car la n°07, elle, avait déjà perdu toute chance avec un problème de climatisation ayant coûté 8 tours après 3H30 de course… De toute façon, Pedro Lamy dans la dernière heure était contraint de garer sa voiture dans l'échappatoire du Turn 7. La deuxième 908 ne finirait pas la course...
Face à ces pépins, la voiture la plus récente et la moins éprouvée signait une course sans le moindre soucis mécanique. Certes, Ralf Jüttner, le directeur technique d'Audi Sport, nous avait prévenu qu'il n'avait pas d'inquiétude particulière quant à la fiabilité mais à ce point là, c'est proprement ahurissant ! Quelle qualité dans la conception, la validation et la préparation de tous les éléments de la voiture… Si la n°1 a connu deux tous petits incidents en piste, la R15 n°2, tout comme la R10 du même numéro au Mans l'an passé a connu la course absolument parfaite. Chapeau bas messieurs McNish, Capello et Kristensen, chapeau très bas… Et si la R15 reste légèrement en retrait de la 908 sur le plan des meilleurs tours en course, elle a peut-être été plus constante sur la longueur d'un relais. Reste qu'en début de course, les pilotes ne parvenaient pas à tenir un double-relais avec les même pneumatiques et que cela devra être résolu pour Le Mans. C'est bien là, le seul point faible visible de cette auto…
Des points faibles, par contre, l'Acura ARX-02a en a montré. Toute neuve, elle aussi, elle a été loin de montrer la fiabilité de la R15 TDI. Tout d'abord, le début de course prouvait que l'on avait vu juste lors des qualifications. Même sans trafic lors des tous premiers tours, les Acura ne pouvaient pas lutter avec la puissance des diesels. L'écart s'est très vite creusé. Les safety-cars ont toutefois longtemps permis aux ARX-02a de rester dans le coup mais David Brabham a connu deux incidents de piste avec la Highcroft ce qui a peut-être générer les problèmes futurs de transmission conduisant à son abandon à la nuit tombée.
Pour la voiture du team de Ferran, la démonstration aura été un peu plus courte même si la n°66 semblait un peu plus dans le coup. Un problème de suspension éliminait cette Acura aux deux tiers de la course. Il va falloir maintenant fiabiliser cette auto et souhaiter que Audi ne décide pas de revenir jouer aux USA cette année. Sinon, le titre, même sur des circuits lents, ne serait pas assuré en P1... Face à une telle opposition, les deux Lola LM P1 n'ont joué aucun rôle comme on pouvait s'y attendre. Elles ont d'ailleurs abandonné.
Le LM P2 a donné lieu à une course malheureusement assez fade comme on pouvait s'y attendre. Non contente de ne pas être au niveau de l'Acura ARX-01b du Fernandez Racing, les deux Lola Mazda B09/80 du Dyson Racing n'ont pas non plus fait preuve de fiabilité, abandonnant toutes les deux avant la mi-course. Ce qui n'a pas empêché leurs pilotes de monter sur le podium aux côtés de Luis Diaz et Adrian Fernandez sans toutefois être officiellement classé… Etonnant ! Dans ce contexte, la victoire de l'Acura est un peu dévaluée. Sa course a été relativement claire avec toutefois de légers problèmes de surchauffe.
La rivalité entre les deux Corvette a tourné à l'avantage de la n°3 pour la victoire en GT1. Fiables comme elles le sont la plupart du temps, les deux C6.R ont très longtemps roulé roues dans roues. Elles finissent séparées par 23 secondes à l'avantage de Magnussen-O'Connel et Garcia. Vivement l'après Le Mans pour Corvette Racing, histoire de retrouver un peu de concurrence en ALMS mais dans la catégorie GT2.
Cette catégorie GT2 a offert des bagarres inattendues. Grâce à quelques artifices réglementaires quelque fois, certes. Notamment pour ce qui concerne la Panoz, auteur d'une très belle course mais dont on n'oubliera pas que certaines largesses du législateur lui ont permis de retrouver un niveau de performance digne en ne lui imposant pas les restrictions 2009. Contrairement aux Porsche ou aux Ferrari. La marque italienne qui triomphe de nouveau après avoir dû laisser Porsche s'imposer l'an passé.Risi Competizione comme Audi Sport, a connu une course parfaitement claire. Aucun ennui n'est venu troubler la course de la 403 GT n°62 et la victoire était au bout. D'autant plus méritoire que la voiture était partie en fond de grille… Jaime Melo et Mika Salo s'offrent donc un nouveau succès en GT2 à Sebring après la mémorable victoire de 2007...
Ils devancent de deux tours la Ferrari Advanced Engineering peut-être un peu moins bien conduite et de trois la Panoz qui a été au cœur de l'un des seuls véritables accrochages de cette course. La Porsche du Flying Lizard de Marc Lieb était parvenue à déborder par l'intérieur l'Esperante de Ian James mais les deux pilotes se touchèrent dans une manœuvre ou l'on peut dire que les responsabilités sont partagées. Lieb, ayant pris un museau d'avance sur James, décida de le tasser sur l'extérieur mais James ne lâcha pas et les deux autos se touchèrent, fatalement. La Panoz n'en subissait aucune conséquence et poursuivait sa route sans conséquence ni même un ralentissement. La Porsche par contre tapait le mur de l'avant et crevait à l'arrière droit perdant ainsi ses chances de podium. Après réparation, la Porsche n°45 parvenait tout de même en fin de course à doubler la petite sœur, la n°44. Un bon point dans l'optique du championnat.
La Ferrari du Krohn Racing termine à la sixième place juste devant la valeureuse Doran Ford GT-R, qui a connu plusieurs incidents dont le tout droit destiné à éviter l'Acura de Brabham en début de course et qui a causé la première des trois (courtes) neutralisations. La dernière voiture roulante est la Porsche n°87, rapidement éloignée de la course à la victoire par un problème de différentiel.
Signalons la course difficile des BMW. La n°90 a connu de multiples problèmes l'empêchant de prendre le départ avec le reste du peloton. Elle n'a couvert que 27 tours en tout. La n°92 a dû quant à elle se retirer en raison d'une fuite d'huile. Son début de course avait pourtant été intéressante puisqu'elle occupait la seconde place au tiers de la course. La voiture semble donc bien née. Un brin de performance en plus, une bonne dose de fiabilité et Ferrari et porsche trouveront à qui parler. En attendant l'arrivée de Corvette !
Voilà, le rideau est tiré sur cette 57ème édition marquée par la neuvième victoire d'Audi Sport. Si la firme allemande venait à s'imposer au Mans, elle y enregistrerait également son neuvième succès. Un chiffre mythique qui permettrait de rejoindre une certaine firme italienne au cheval cabré. Reste à savoir si le Lion parviendra cette fois-ci le sans-faute absolu. Au vu de la course de ce week-end, il s'agira d'une absolue nécessité…
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Le départ !
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La magnifique bagarre Audi-Peugeot !
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Premier essai peu concluant pour les BMW !
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Pitit tête-à queue sans conséquance pour l'équipage totalement Allemand de chez Audi !
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Un ennui profond pour Corvette !
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Belle déco mais cela ne suffit pas à éblouir Audi !
Armstrong, la tuile
Victime d'une chute sur la première étape du Tour de Castille-et-Leon, Lance Armstrong s'est fracturé la clavicule droite. Même si selon son manager, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication, l'Américain ne pourra pas participer au prochain Tour d'Italie.
L'Américain Lance Armstrong souffre d'une fracture à la clavicule à la suite d'une chute lundi dans la première étape du Tour de Castille-et-Leon, a indiqué l'organisation de la course dans un communiqué. "Lance Armstrong souffre d'une fracture dans la partie centrale de la clavicule, une blessure confirmée par les radiographies effectuées à l'Hôpital de Valladolid" , indique ce communiqué.
Selon le manager de l'équipe Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml), Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication. Cette blessure va contrarier la préparation de Lance Armstrong, de retour au sein des pelotons après trois ans et demi d'absence. Avant cette chute, le programme de Lance Arsmtrong, qui restait à préciser pour le mois d'avril, était basé sur une participation au Tour d'Italie, puis au Tour de France, dont le départ sera donné le 4 juillet à Monaco.
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AH terrible !!!
L'INTERVIEW
Sébastien Buemi: «Je me drogue Au pilotage»
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Image © Keystone
Grâce au pilote automobile vaudois , la Suisse retrouvera dimanche une place en formule 1.
Jean-Claude Schertenleib - le 23 mars 2009
Le Matin
Vous êtes sur les circuits depuis votre plus jeune âge. Vous manque-t-il quelque chose?
Mais non, j'ai toujours été très heureux de faire cela. Si j'avais pu rouler chaque jour, j'aurais dit oui.
Et les copains, oubliés?
Bien sûr qu'il y a eu des moments plus difficiles; alors oui, quand ça marchait moins bien sur la piste, j'aurais voulu avoir plus de temps avec mes copains.
Jamais envie d'aller en boîte? De s'offrir une bonne fête?
Quand les courses et les séances d'essais s'enchaînent, il y a bien sûr des instants où on a besoin de se relaxer. Je les prends.
Donc une grosse fête, c'est possible?
Une ou deux fois par année, pourquoi pas. Mais attention, en tout temps, il faut garder ses objectifs en tête et ne pas faire la chose stupide qui peut effacer en un instant des années de travail.
A vous entendre, le pilote moderne est un ascète qui renonce à tout?
Je n'ai pas dit cela. Pour être efficace, il faut être heureux dans sa vie professionnelle - pour moi, en pilotant une F1 - mais aussi en dehors. Mais il faut, surtout, toujours se rappeler le but qu'on s'est fixé.
On parle souvent du plaisir de la vitesse. Ça fait du bien où d'aller vite? Dans le bide?
C'est très difficile à expliquer. Une F1, c'est la voiture la plus rapide du monde; alors, réussir à la piloter et qu'elle réagisse à tout ce que vous exigez d'elle, c'est un vrai plaisir intérieur.
Un rapport de domination?
C'est cela: faire ce que tu veux, comme tu le veux, quand tu le veux, avec une voiture unique.
Avec tous les dangers que cela comporte, comme l'accoutumance...
Eh bien oui. Cette année, pour des questions d'économie, les essais sont diminués. Quand je ne roule pas, j'ai l'impression d'être en manque.
Sébastien gamin jouait aux petites voitures?
Je n'ai pas passé par ce cap, ni par celui de la voiture télécommandée. J'ai reçu mon premier karting quand j'étais très jeune ( 5 ans) et j'ai tout de suite voulu le conduire. Plus rien d'autre n'avait d'importance.
La F1 est un monde impitoyable et froid. N'êtes-vous pas trop normal pour y vivre?
Je fais ce qui me plaît, c'est l'important. Il y a ma vie dans le paddock et l'autre, j'ai besoin qu'elles soient différentes. Car dès qu'il y a une pause, il faut pouvoir immédiatement décompresser, sortir du milieu.
A quel moment avez-vous su que vous seriez pilote de course?
C'est arrivé petit à petit. Il n'y a pas eu un jour J, une heure H à laquelle je me suis dit: «Sébastien, tu seras pilote.» En revanche, dès que je me suis rendu compte que j'avais autant de plaisir à faire cela, les choses étaient claires dans ma tête, le but précis: la F1, un jour.
Votre famille, depuis votre grand-père Georges Gachnang, a beaucoup sacrifié pour votre carrière. Comment pouvez-vous lui rendre ce qu'elle vous a donné?
Mon grand-père a rêvé de F1, il y arrive désormais à travers moi. C'est une jolie histoire. Ce sont mes parents qui ont fait le plus de sacrifices et la plus belle récompense que je peux leur offrir, c'est d'obtenir de bons résultats. Que l'aventure puisse continuer.
C'est quoi, le plus dur: vous retrouvez sur la grille de départ aux côtés d'Hamilton ou d'Alonso ou d'être devenu un pion médiatique que l'on déplace à l'envi?
J'ai bien sûr un immense respect pour Hamilton et Alonso, mais c'est à moi d'aller plus vite qu'eux. Le pilotage d'une F1 par rapport à ce que j'ai fait jusqu'à présent, c'est une évolution que je qualifierais de normale. Les médias, en revanche...
Eh bien quoi, les médias?
Jusqu'à l'an dernier, ils n'étaient que peu nombreux à s'intéresser à moi. Désormais, c'est différent.
Et vous devez vous adapter?
Je dois faire attention à tout ce que je dis, à qui je le dis et quand je le dis.
Même à vos copains?
Par chance, j'ai gardé des vrais amis. Qui se comportent aujourd'hui avec moi comme ils l'ont toujours fait lorsque nous étions à l'école.
Mais la F1, cela attire des convoitises, non?
C'est vrai qu'il y a plus en plus de gens qui disent être mes amis...
Vous vous imaginez comment, à 45 ans?
J'ai le temps de penser à cela, vous ne croyez pas?
Oui, mais le temps passe vite...
Mon but est de m'installer pour plusieurs années en F1. Mais je m'intéresse à beaucoup d'autres choses.
Comme?
L'économie, les marchés, la crise financière actuelle. Un de mes oncles travaille dans la banque et on parle beaucoup de ces choses-là ensemble.
Sébastien Buemi en complet cravate qui manie des millions?
D'abord, Sébastien Buemi qui a un but principal et unique: réussir en formule 1. Mais je veux garder le maximum d'autres portes ouvertes.
Depuis la confirmation de votre engagement chez Toro Rosso, on vous parle souvent des stars suisses du passé, Siffert, Regazzoni. Ces noms vous disent-ils quelque chose?
Bien sûr, parce que je me suis toujours intéressé à l'histoire de la course automobile. Désormais, c'est à moi d'écrire un petit bout de cette grande histoire: la Suisse et la F1.
La nationalité suisse, cela correspond à quoi pour vous?
Je me sens profondément Suisse. Même si je sais qu'avec un autre passeport j'aurais certainement bénéficié de plus d'aides ces dernières années.
Mais cela ne vous empêche pas d'habiter à Manama (Bahreïn)...
Ce n'est pas un choix exotique: mon oncle Humbert y habite avec les siens et c'est un endroit où je me sens très à l'aise, entouré par mes proches. Comme il y fait toujours beau, c'est aussi idéal pour parfaire ma condition physique.
FICHE BIO
NOM: Buemi
PRÉNOM: Sébastien
NAISSANCE: le 31 octobre 1988, à Aigle.
PROFESSION: pilote automobile.
ÉTAT CIVIL: Célibataire.
TAILLE: 176 cm.
POIDS: 63 kg.
Stoner27
24/03/2009, 10h22
Armstrong, la tuile
Victime d'une chute sur la première étape du Tour de Castille-et-Leon, Lance Armstrong s'est fracturé la clavicule droite. Même si selon son manager, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication, l'Américain ne pourra pas participer au prochain Tour d'Italie.
L'Américain Lance Armstrong souffre d'une fracture à la clavicule à la suite d'une chute lundi dans la première étape du Tour de Castille-et-Leon, a indiqué l'organisation de la course dans un communiqué. "Lance Armstrong souffre d'une fracture dans la partie centrale de la clavicule, une blessure confirmée par les radiographies effectuées à l'Hôpital de Valladolid" , indique ce communiqué.
Selon le manager de l'équipe Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml), Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication. Cette blessure va contrarier la préparation de Lance Armstrong, de retour au sein des pelotons après trois ans et demi d'absence. Avant cette chute, le programme de Lance Arsmtrong, qui restait à préciser pour le mois d'avril, était basé sur une participation au Tour d'Italie, puis au Tour de France, dont le départ sera donné le 4 juillet à Monaco.
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AH terrible !!!
l'avait plus l'habitude de prendre ses pillules???:D
l'avait plus l'habitude de prendre ses pillules???:D
Arrête ce n'est pas drôle surtout de rire d'une blessure !:bad:Sachez que c'est mon cycliste préféré alors arrêtez de vous moquer de lui ! Et pis cette année il fait pas le tour pour le gagner donc il se dopera pas :diable:
On continue aujourd'hui avec BMW !
L'équipe BMW Sauber favorite à Melbourne ?
L'équipe BMW Sauber a commencé très tôt la préparation de cette saison 2009 et il se dit dans le paddock que c'est probablement l'équipe la mieux préparée pour ce début de saison.
"J'attends le Grand Prix d'Australie avec impatience - affirme Robert Kubica - Je suis content que la saison commence enfin afin que toutes les spéculations de cet hiver s'arrêtent. Il sera intéressant de découvrir le réel niveau de compétitivité de chaque équipe."
"En général, j'aime bien les circuits en ville et celui de l'Albert Park est l'un de mes préférés. C'est une piste qui demande beaucoup de précision, car il faut toujours rester sur le côté propre de la piste. Cette grande précision sera encore plus importante cette année, notamment dans le premier virage, juste après le départ. C'est là que nous livrerons notre première bataille avec nos ailerons avant très larges. Je suis persuadé que cette course sera très intéressante. En outre, Melbourne est une ville très intéressante. Les habitants de cette ville créent une ambiance très agréable pour nous tous en F1," ajoute le pilote polonais.
"J'attends ce début de saison en Australie avec une immense impatience - déclare Nick Heidfeld - Il est enfin temps que toutes ces spéculations cessent. A partir de maintenant, seuls les faits compteront. Un certain nombre de choses ont changé depuis l'année dernière et cela signifie qu'il y a encore beaucoup de questions dont nous n'avons pas encore la réponse."
"Quels effets auront le système KERS et l'aileron avant ajustable? Que se passera-t-il dans le premier virage avec nos ailerons avant très larges? Les dépassements seront-ils plus faciles comme nous l'avons entrevu lors des séances d'essais privés? L'année dernière, les essais d'hiver ne s'étaient pas très bien passés pour nous, mais nous avions pourtant surpris tout le monde par nos performances en Australie. Cette fois-ci, cela s'est mieux passé pour nous et j'espère que nous allons confirmer cela à Melbourne," conclut Nick Heidfeld.
Nick Heidfeld et Robert Kubica pourraient utiliser le système KERS de récupération de l'énergie du freinage à Melbourne, ce qui leur offrira une puissance supplémentaire de 82 CV pendant 6,6 secondes, et ce, lors de chaque tour de la course. Mais la décision d'utiliser ce système en course n'a pas encore été prise par l'équipe.
Chaque année ils ont atteint les objectifs fixés ! Quid de cette année où ils briquent une (deux) couronne(s) mondiale(s) ? Ce qui est sûr c'est que ce sera plus dur cette année !
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Robert Kubica qui est l'un des favoris au titre !
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Nick Heidfeld qui est un bon pilote mais qui a fait une saison 2008 en demi-teinte !
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Le casque de "Kubi" au couleurs de la Pologne !
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Le nouveau casque d'Heidfeld ! Personnellement, j'adore surtout les sortes de "gribouillages" !
Tennis - WTA Miami
24/03/2009 - 17:23 Nadal: "Quand t'es dans le désert"
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DPPI
http://layout.eurosport.fr/i/icon/arrow_bot_dark.gifClassement ATP du 23 mars (http://www.eurosport.fr/tennis/atp/standing_sea76.shtml)Dans l'oasis ATP d'Indian Wells, Rafael Nadal a prouvé qu'il pouvait faire le vide autour de lui. L'Espagnol, assoiffé de titres, fonce vers Miami où l'on attend beaucoup des Français, invisibles en Californie, de Federer et Djokovic. Davydenko, tenant du titre, est forfait. Le point sur le top 10.
+ EN HAUSSE
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. Rafael Nadal (ESP/N.1)
Derrière Rafael Nadal, c'est le désert. A Indian Wells, on peut comprendre, le tournoi se joue en plein désert. Ailleurs on peut comprendre aussi, l'Espagnol est seul sur son oasis de points ATP, et sur le court, il est irrésistible. Même David Nalbandian (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs1195.shtml) et ses cinq balles de match n'ont pas réussi à le stopper.
STATS : 21 victoires pour deux défaites, c'est le nouveau ratio de Rafael Nadal cette saison, soit une victoire de plus qu'Andy Murray. L'espagnol a remporté Indian Wells pour la deuxième fois en trois ans, soit son 13e titre en Masters 1000. C'est son deuxième titre cette saison après l'Open d'Australie.
RAPPEL : Nadal est devenu le premier Espagnol à remporter l'Open d'Australie et le 3e joueur à cumuler trois titres du Grand Chelem différents à 22 ans. Il n'a perdu aucun de ses 12 derniers matches en Coupe Davis.
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. Andy Murray (GBR/N.4)
A 21 ans, Andy Murray est sur le point d'imiter les plus grands. A la différence de Rafael Nadal et Novak Djokovic, il n'a pourtant pas encore décroché de titre du Grand Chelem. Sur le circuit, il est le joueur le plus performant depuis la finale de l'US Open... Avec Rafael Nadal. L'Espagnol, blessé à Rotterdam et battu par l'Ecossais, vient de remettre les pendules ATP à l'heure à Indian Wells. A cause du vent, souligne Murray, qui doit encore apprendre à gérer la météo.
RAPPEL : Avec 20 victoires et 2 défaites, Murray est resté sur le rythme de sa formidable fin de saison 2008. Il n'est désormais qu'à 570 points du podium, c'est-à-dire de Novak Djokovic. Une des marques de la progression de l'Ecossais, c'est son service : il a, par exemple, gagné 47 des 50 jeux de service à Doha. Après trois mois de compétition, sa signature c'est le retour : Andy Murray est le meilleur relanceur du circuit. Il a remporté 59% de points en retour sur des premières balles, et 38% sur secondes balles. Nadal n'a pas fait mieux (59% et 36%).
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. Andy Roddick (USA/N.6)
L'Amérique peut compter sur Andy Roddick en 2009. Mardy Fish (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs1143.shtml), finaliste à Indian Wells l'an passé, a chuté trop rapidement face à Chardy, mais "A-Rod" a réussi son tournoi, cédant tête haute face à Nadal après avoir sorti Djokovic.
STATS : 23 victoires pour 4 défaites, c'est un ratio de top 5 pour l'Américain cette saison. C'est d'ailleurs deux victoires de plus que Nadal, soit le meilleur total du circuit. Il compte 27 titres ATP depuis son succès à Memphis, seuls Federer (57) et Nadal (33), joueurs encore actifs sont devant lui. N.9 il y a quinze jours, il est N.6 avant Miami.
RAPPEL : L'Amérique peut compter sur Roddick pour bien la réprésenter sur le circuit et pour la défendre en Coupe Davis. Avec 31 victoires dans l'épreuve, dont deux face à la Suisse (4-1) récemment, il n'est qu'à 10 victoires du total record de John McEnroe.
= STAGNE
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. Roger Federer (SUI/N.2)
Après une absence de six semaines due à des problèmes de dos, Federer a fait chuter Fernando Verdasco (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs22638.shtml), annoncé comme le joueur à suivre du tournoi, avant de tomber dans les filets d'Andy Murray. C'est la 28e fois qu'il atteignait les demi-finales d'un Masters 1000 (ex-Series).
RAPPEL : Toujours pas de titre pour le Suisse, comme l'année dernière au mois de mars (il avait attendu le tournoi d'Estoril). Il possède un ratio de 13 victoires pour 3 défaites. Sa défaite en cinq sets devant Rafael Nadal en finale de l'Open d'Australie est sa première défaite en 9 finales d'un tournoi du Grand Chelem jouées sur dur.
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. Juan Martin del Potro (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs80229.shtml) (ARG)
On commence tellement à s'habituer à sa grande carcasse longiligne que voir Del Potro (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs80229.shtml) balayé par Nadal donne comme un sentiment de déception. Et pourtant, le jeune argentin ne venait d'accéder, à Indian Wells, qu'à son second quart de finale en Masters 1000 (ou Series).
RAPPEL : Juan Martin est le plus jeune joueur du top 10. A 20 ans, il vient d'enchaîner 15 victoires pour 4 défaites seulement, un record personnel jusqu'ici, avec un 5e titre ATP à Auckland.
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. Fernando Verdasco (ESP/N.9)
On l'attendait ferme depuis son formidable Open d'Australie. Fernando Verdasco était de retour à Indian Wells, bras foudroyant façon Nadal et coiffure iroquois en bonus. Richard Gasquet (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs22653.shtml) a compris sa douleur quand il a croisé la route du gaucher au 3e tour. Et puis Roger Federer a bercé le taurillon avec son coup droit en quart de finale (6-3, 7-6).
RAPPEL : Verdasco avant Las Vegas et sa rencontre avec Gil Reyes et Andre Agassi, c'était un bras gauche branché sur alternatif. Après, c'est un monsieur qui se préserve. Il n'a joué que 15 fois cette saison, avec un titre (Brisbane), et une demi-finale à Melbourne dans la besace. Une longue demi-finale on s'en souvient, puisque c'est le match le plus long de l'histoire du tournoi (5h14). Entre Melbourne et Indian Wells, il y a eu un mois d'entraînement avec Gil Reyes !
- EN BAISSE
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. Novak Djokovic (SRB/N.3)
Indian Wells pour Novak, c'était un peu particulier. C'est là où il s'était révélé au grand public en 2007 et il y avait toujours été à l'aise... Sauf contre Andy Roddick cette année où il a déclaré avoir fait "le plus mauvais match de sa carrière". Le N.3 mondial devra se réveiller à Miami car il est désormais à portée d'Andy Murray.
RAPPEL : 17 victoires mais 7 défaites, c'est le résumé du début de saison du Serbe. Son premier titre de l'année, à Dubaï, était sa 12e victoire en finale sur 18 disputées. Il donne une impression mitigée, celle d'un joueur qui doit digérer sa progression fulgurante des deux dernières saisons.
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. Nikolay Davydenko (RUS/N.5)
La saison de la grande impasse pour le Russe ? A cause d'un talon d'Achille douloureux, Nikolay a dû renoncer à la plupart des grands rendez-vous : l'Open d'Australie (alors qu'il restait sur 29 tournois du Grand Chelem consécutifs), la Coupe Davis, Indian Wells, et Miami, dont il était tenant du titre. Malgré tout, il possède un matelas de points qui lui permet de rester dans le top 10.
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. Gilles Simon (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs32565.shtml) (FRA/N.8)
Que se passe-t-il dans la tête de Gilles Simon ? Depuis l'Open d'Australie, le N.1 Français au classement ATP semble sur la corde raide. Le bizutage en Coupe Davis (deux défaites) n'a certes pas aidé, c'est un trouble pourtant plus ancien qui gêne son tennis. A Dubaï, il atteint la demi-finale et perd honorablement face à Novak Djokovic mais il estime qu'il joue mal. En Coupe Davis, il ne trouve pas les solutions face à Berdych et Stepanek, et néanmoins, il lance à chaud qu'il a joué "un des meilleurs matches de sa carrière." A Indian Wells, il patauge face à Ivan Ljubicic. A Miami, il devra peut-être se coltiner Lleyton Hewitt d'entrée. Une occasion de retrouver la lucidité qui le caractérise, dans le "combat".
RAPPEL : 12 victoires, 8 défaites, de la constance plutôt que des grosses perfs, le N.8 mondial a fait sa place dans le top 10. A condition de ne pas trop cogiter inutilement, son printemps peut être lumineux en termes de points. A noter : un problème actuel avec les jeux décisifs (sur six sets perdus, quatre étaient des tie-breaks).
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. Gaël Monfils (http://www.eurosport.fr/tennis/person_prs32547.shtml) (FRA/N.10)
Faire des allers-retours entre le continent américain et européen, c'est bien, ça dépayse mais ça puise aussi beaucoup. Gaël Monfils, passé d'Acapulco au Mexique (tournoi ATP, finale) à Ostrava (République tchèque, Coupe Davis), puis à Indian Wells (Californie), est arrivé mal préparé. Bilan : une défaite dès son premier match. Il est le seul joueur du top 10 qui a subi cette "infamie" à Indian Wells. De quoi motiver pour Miami ?
RAPPEL : Gonflé à bloc par Roger Rasheed, son entraîneur australien, Gaël a débuté la saison en fanfare avec une victoire sur Nadal à Doha. Depuis, il alterne le fragile (abandon à Melbourne) et le costaud (finale à Acapulco). Pas beaucoup de points à défendre avant Roland-Garros, qui est son grand objectif de l'année.
Coup double pour Leipheimer
Levi Leipheimer (Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml)) a remporté la 2e étape du Tour de Castille-et-Leon, un contre-la-montre de 28 kilomètres autour de Palencia. L'Américain, qui a devancé son coéquipier Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml) de 16 secondes, en a profité pour prendre la tête du classement général.
L'équipe Astana a retrouvé le sourire sur le Tour de Castille-et-Leon mardi avec la victoire de Levi Leipheimer et la deuxième place d'Alberto Contador lors de la 2e étape, au lendemain de l'abandon sur blessure de Lance Armstrong. Leipheimer, favori de ce contre-la-montre, s'empare de la première place du classement général, propriété jusqu'ici de l'Espagnol Joaquin Sobrino (Burgos Monumental), devant Contador (2e). Ce dernier, l'un des favoris pour la victoire finale après ses victoires en Castille-et-Leon en 2007 et 2008, avait dit avant la course que tout se jouerait probablement lors de ce contre-la-montre.
"Je viens avec une grosse envie de courir mais cette édition me semble très difficile parce qu'elle va se jouer lors du contre-la-montre de 28 km, vu que les fins d'étape en hauteur sont faites pour arriver groupé", avait-il assuré. "Je ferai un test le jour du chrono (du contre-la-montre, ndlr) et on verra mais en principe ce parcours favorise plus Leipheimer" , avait ajouté le coureur espagnol.
"Une autre optique"
Contador, en tête lors d'un point intermédiaire à un peu plus de la moitié du parcours, a finalement terminé à 16 secondes de son équipier américain. "Le vent a changé un peu et était moins fort à la fin", a analysé le manageur de l'équipe Astana Johan Bruyneel. Leipheimer, qui a terminé plus fort, est désormais le favori de la course alors qu'il était jusqu'ici dans l'ombre des deux leaders d'Astana, Lance Armstrong et Alberto Contador. Alors que ses équipiers luttaient contre le vent sur la route, Armstrong s'envolait lui mardi pour rentrer chez lui, à Austin (Texas, Etats-Unis).
Johan Bruyneel a estimé possible mardi matin sa participation au Giro en mai et certaine celle au Tour de France en juillet, malgré la fracture de la clavicule droite dont souffre le coureur américain après sa chute lundi lors de la 1re étape. "Personnellement je pense que c'est encore possible d'être au départ du Giro", a déclaré Bruyneel à des journalistes avant la 2e étape, ajoutant que son éventuelle participation se ferait dans "une autre optique", car Armstrong allait "quand même perdre un peu de condition physique". "On va décider maintenant dans les prochains jours s'il y a une opération ou pas. Après ça on verra bien le temps de récupération", a ajouté le manageur d'Astana.
Senna avec Oreca
Hugues de Chaunac vient de transformer un joli essai en s'assurant les services du médiatique Bruno Senna pour les 24 Heures du Mans. Montmelo et Spa seront au programme de préparation de l'espoir brésilien.
Econduit par Ross Brawn, qui a préféré garder Rubens Barrichello pour lancer sa nouvelle écurie en Formule 1 ce week-end en Australie, Bruno Senna aura a son agenda 2009 les 24 Heures du Mans et la Le Mans Series, aussi. Le Brésilien a été officialisé mardi par Oreca dans le rôle de titulaire de la plus grande course d'endurance du monde, disputée les 12 et 13 juin prochains, ainsi que les 1000 km de Catalunya et les 1000 km de Spa-Francorchamps, courues respectivement les 5 avril et 10 mai sur les circuits des Grands Prix d'Espagne et de Belgique.
Pour les courses de répétition en Le Mans Series, l'équipe varoise associera Bruno Senna au Monégasque Stéphane Ortelli, vainqueur des 24 Heures du Mans 1998 sur Porsche, sur son proto LMP1 N.10, les Français Olivier Panis et Nicolas Lapierre se partageant la N.11.
A 25 ans, Bruno Senna fera donc ses grands débuts dans la Sarthe au sein de l'équipe de Signes. Le vice-champion GP2 2008 et postulant à un baquet en F1 avait fait ses premiers pas en prototype à l'occasion des essais officiels de la Le Mans Series, au Castellet.
Oreca a indiqué qu'elle dévoilerait prochainement les noms des deux pilotes qui complèteront chaque trio au Mans
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C'est vraiment génial pour lui !
;)Il va vite revenir si la fracture n'est pas grave l'Armstrong
Nadal au tournoi de Miami pour rejoindre les plus grands
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Après ses victoires à l'Open d'Australie et à Indian Wells, Rafael Nadal va tenter de signer au tournoi de Miami, qui commence mercredi, un triplé que seuls les plus grands ont réussi avant lui.
Depuis vingt ans, ils n'ont été que trois à remporter à la suite les trois gros rendez-vous du début de saison: Pete Sampras (1994), Andre Agassi (2001) et Roger Federer (2006).
Souvenirs
Même s'il ne s'y est jamais imposé, le Majorquin garde de bons souvenirs des courts en dur de Floride. C'est là qu'il avait battu Federer pour la première fois en 2004, et là aussi qu'il avait joué -et perdu en cinq sets- son premier match de légende contre le Suisse en finale l'année suivante.
Tout semble réuni pour que Nadal aille cette fois-ci au bout et s'octroie son 14e "Tournoi 1000", nouvelle appellation des "Masters Series", les tournois les plus prestigieux après les Grands Chelems, ce qui lui permettrait de rejoindre à 22 ans Federer, son aîné de cinq ans.
Peu de concurrence
La concurrence peine à réagir devant la domination du N.1 mondial, que ce soit le Suisse, de nouveau défait la semaine dernière en demi-finale d'Indian Wells par Andy Murray, l'Ecossais, lui-même sèchement remis à sa place en finale (6-1, 6-2), ou Novak Djokovic qui s'englue dans une méforme persistante.
Quant au Russe Nikolay Davydenko, vainqueur de Nadal l'année dernière en finale, il est forfait à cause d'une blessure à un talon. Nadal n'a pas manqué de souligner après son succès en Californie l'évidence qu'il est "très difficile de jouer à son meilleur niveau toute l'année" et il se pourrait que son corps ou sa tête -ce serait plus étonnant- éprouvent le besoin de dire stop en prévision des travaux d'Hercule à venir.
Sommet
En quatre mois, de mi-avril à fin juillet 2008, le Majorquin avait remporté huit tournois sur neuf disputés, dont deux Grands Chelems (Roland-Garros, Wimbledon), accumulant une quantité colossale de points qu'il doit défendre pour garder de la marge au sommet de la hiérarchie mondiale.
Dans le tournoi féminin, l'éventail des candidates à la victoire est plus large, d'autant que les soeurs Serena et Venus Williams reprendront la compétition après avoir boudé Indian Wells, comme chaque année.
La Russe Vera Zvonareva, dans la foulée de sa victoire dans le désert californien, la finaliste serbe Ana Ivanovic, de retour en forme, ou encore la Bélarusse Victoria Azarenka, révélation du début de saison, sont les plus attendues.
Cyclisme
Armstrong, une fracture plus sérieuse que prévu
25.03.2009 13:21
http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2009/swisstxt20090325_10495433_7.jpg
Le Texan reste serein: "c'est une blessure courante pour un cycliste". [Reuters]
Après 2 à 3 heures d'opération, Lance Armstrong devra se reposer totalement durant 72 heures. Sa fracture de la clavicule droite est plus sérieuse que prévu, mais l'Américain affirme que le Giro reste faisable.
La fracture de la clavicule droite de Lance Armstrong est "un peu plus sérieuse" et moins nette que prévu, ont indiqué l'Américain et son équipe Astana. Le septuple vainqueur du Tour de France a été opéré mercredi matin à Austin (Texas).
"La clavicule est brisée en un peu plus de morceaux que nous pensions à l'origine", a indiqué Armstrong sur le site internet de son équipe. Le Texan, qui s'est blessé lundi en chutant lors de la 1ère étape du Tour de Castille-et-Leon, a précisé que l'opération devait durer entre deux et trois heures et qu'il ne pourrait ensuite "absolument rien faire pendant 72 heures". "A ce moment-là, je serai de nouveau examiné et peut-être que 34 jours après, je pourrais faire du vélo d'intérieur", a poursuivi l'Américain.
"Le Giro reste faisable"
Si cette blessure compromet son retour au premier plan après trois ans d'absence, Armstrong pense que le Tour d'Italie est "encore très faisable". "C'est une blessure très courante chez le cycliste et on sait que des coureurs ont repris le vélo après deux semaines, d'autres après deux mois. Et même si j'allais au Giro mal préparé et que je m'en servais de préparation pour d'autres courses, ça m'irait très bien aussi", a-t-il ajouté.
F1 - Melbourne - Menaces de boycott ?
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Et une polémique de plus ! Après les vives réactions négatives des écuries et des pilotes face au changement du système d'attribution du titre mondial, changement auquel la FIA a officiellement renoncé mardi, voici que les écuries menacent de ne pas prendre le départ du Grand Prix dimanche à Melbourne. La raison ? Le non versement, par Bernie Ecclestone (photo L'Équipe), d'une partie des droits télévisés à chacune des écuries inscrites au Championnat du monde.
Réunis le week-end dernier à Londres, Bernie Ecclestone, détenteur des droits commerciaux de la F1, Flavio Briatore (Renault), Ron Dennis (McLaren) et John Howett (Toyota), représentants de la FOTA (association des écuries) n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur le montant et la date de versement des droits télés que Bernie Ecclestone est censé effectuer. C'est en tout cas ce que rapportaient nos confrères du Times, sur le site du journal britannique. Les patrons d'écuries, mécontents de ne pas être entendus par le grand argentier de la F1, ont alors menacé de ne pas courir le Grand Prix d'Australie.
Pour l'heure, toutes les écuries, tous les pilotes et toutes les voitures sont bien à Melbourne. Contacté par nos soins, Jean-François Caubet, patron de la communication de l'écurie Renault, se montrait optimiste «car les écuries et Bernie Ecclestone se retrouveront jeudi sur le circuit de l'Albert Park à Melbourne pour trouver une issue». La saison débute décidément sur fond de polémiques. Après le système d'attribution du titre, cette menace de boycott en rajoute un peu à l'ambiance orageuse qui semble régner en F1. Et ce n'est peut-être pas fini. Car certaines écuries envisagent à présent de porter réclamation - avant même l'ouverture vendredi de la piste- contre Brawn GP, Toyota et Williams qui disposent de diffuseurs non conformes selon les détracteurs, parfaitement légaux selon les créateurs. C.P.
:diable:Belle pomme ce Bernie................
pierminator
25/03/2009, 18h17
Ca tombe vraiment mal pour lance,j'espere qu'il va vite se retablir,vivement le tour de france:yes:
Ca tombe vraiment mal pour lance,j'espere qu'il va vite se retablir,vivement le tour de france:yes:
+1 Le pauvre, déjà qu'il n'a qu'une couille, en plus il n'a pas de cul :D
:sors et je suis déjà très loin...
Van Impe succède à Chavanel
Le Belge Kevin Van Impe (Quick Step) a remporté "A Travers La Flandre" après avoir battu au sprint son compatriote et compagnon d'échappée, Niko Eeckhout (An Post-Sean Kelly). La Belgique signe un triplé puisque Tom Boonen (Quick Step) a pris la 3e place.
Le Belge Kevin Van Impe (Quick Step) a remporté la semi-classique cycliste A travers les Flandres mercredi à Waregem (nord-ouest) où il a devancé au sprint son compagnon d'échappée et compatriote Nico Eeckhout. Un autre Belge, Tom Boonen, a pris la 3e place à une quinzaine de secondes du vainqueur, devant l'Allemand Heinrich Haussler, 4e.
Haussler, 2e de Milan-Sanremo samedi, est à nouveau apparu très en forme. A l'aise dans les monts et sur les pavés flamands, le coureur de la formation Cervelo a placé plusieurs démarrages dans le final mais sans pouvoir tromper la vigilance de la formation Quick Step, très représentée en tête de course (avec Boonen, Chavanel et Devolder). Van Impe, qui a profité du marquage entre les sprinteurs Boonen et Haussler, a placé son attaque décisive à 20 kilomètres de la ligne emmenant dans son sillage le seul Eeckhout.
Kevin Van Impe, 27 ans, remportait aisément le sprint pour succéder au Français Sylvain Chavanel vainqueur en 2008, diminué mercredi par un refroidissement et finalement 7e. L'an dernier, Van Impe avait fait parler de lui après avoir subi un contrôle antidopage alors qu'il se trouvait dans un crématorium afin de régler des formalités à la suite du décès de son fils. Cet événement avait provoqué des protestations dans le peloton. "Ce succès, c'est pour mon fils décédé", a d'ailleurs dit le coureur après sa victoire, la plus belle depuis le début de sa carrière.
http://i.eurosport.fr/2009/03/25/509075-4145627-317-238.jpg
Belle victoire !
+1 Le pauvre, déjà qu'il n'a qu'une couille, en plus il n'a pas de cul :D
:sors et je suis déjà très loin...
:D:Ddure mais bonne
Valverde le plus fort
L'Espagnol Alejandro Valverde (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)) a remporté mercredi la 3e étape du Tour de Castille-et-Leon longue de 156 km avec une arrivée au Puerto San Isidro. L'Américain Levi Leipheimer (Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml)) reste leader au général.
L'Espagnol Alejandro Valverde (Caissed'Epargne) a remporté mercredi la 3e étape du Tour de Castille-et-Leon, entre Sahagun et la station de San Isidro (156,9 km), à l'issue d'un sprint autoritaire dans les derniers mètres de l'ascension du col de San Isidro. L'Américain Levi Leipheimer (Astana), leader depuis le contre-la-montre individuel remporté mardi, conserve la première place du classement général, devant l'Espagnol Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml).
Valverde, dans le collimateur de la justice italienne pour son implication présumée dans le scandale de dopage Puerto, a voulu se montrer sur la route. D'autant que sa présence avait été jusqu'ici éclipsée par le "show" Astana, avec la folle journée vécue par Lance Armstrong lundi (chute, clavicule cassée et abandon) et le doublé de l'équipe kazakh mardi, avec la victoire de Leipheimer et la deuxième place de Contador.
La 3e étape s'est courue très rapidement, avec plus d'un quart d'heure d'avance sur l'horaire le plus optimiste des organisateurs, soit une arrivée à 16h19 avec une moyenne de 42 km/h. Une échappée, avec notamment Paco Mancebo (Rock Racing) et Ricardo Serrano (Fuji), a été reprise à seulement deux kilomètres de l'arrivée. Jeudi, se court l'étape reine de la 24e édition du Tour de Castille-et-Leon, avec deux cols de première catégorie au programme. Sans doute la dernière occasion pour Contador, vainqueur de l'épreuve en 2007 et 2008, de remporter une étape voire de s'emparer de la première place au classement général.
http://i.eurosport.fr/2009/03/25/509079-4145679-317-238.jpg
PFF !! Valverde, Serrano et Mancebo !! Que des dopés Espagnols ! Bravo aux organisateurs qui invitent des dopés !:bad::diable:
Agritubel, dernière saison
L'équipe Agritubel, engagée en Continental Pro cette saison, a officialisé par communiqué de presse le retrait de son équipe du peloton à la fin de l'exercice 2009.
"Cette année devrait conclure en beauté la belle aventure sportive de notre entreprise avec des résultats positifs à la fois au plan sportif (maillots jaune, blanc et à pois sur le tour de France) mais également économique (développement de notre notoriété ainsi que de notre chiffre d’affaires)", peut-on lire sur le site agritubel.com.
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Mauvaise nouvelle !:bad:
Armstrong reprend espoir
Opéré de sa clavicule droite mercredi à 07H00 locales à Austin (E-U), soit 13H00 françaises, Lance Armstrong n'a pas tiré un trait définitif sur le Tour d'Italie.
"Certains coureurs ont mis deux semaines pour se remettre après leur fracture, d'autres deux mois. Il faudrait voir pour la récupération : de quatre à six semaines, ça me paraît déjà long, mais seul le temps le dira", a expliqué le septuple vainqueur du Tour de France, lors d'une téléconférence organisée par le New York Times.
Le Texan n'exclut donc pas d'être au départ du Giro, le 9 mai, à Venise. "Ça me semble faisable. Si l'opération se passe bien et que la plaque métallique se fixe sans problème, je ne pense pas que les choses puissent être plus compliquées que je ne l'avait imaginé au début".
ça fait plaisir à savoir !!
Une nouvelle saison qui s'annonce bien
Le coup d’envoi du championnat du monde de F1 sera donné en Australie, dans les allées de l’Albert Park de Melbourne.
Après avoir effectué 21 jours d'essais - et parcouru près de 10.000 kilomètres depuis sa première sortie officielle, le 19 Janvier, la Toyota TF109 est prête pour le début des hostilités.
Ces tests ont donné des résultats très prometteurs !
Trulli a fait ses débuts en F1 à Melbourne en 1997. Son meilleur résultat est la 5ème place obtenue en 2003 avec Renault. Il s’y était qualifié sur la première ligne avec Toyota en 2005.
« Melbourne est un lieu touristique et le Grand Prix d'Australie est toujours un plaisir. Comme chaque pilote de F1, vous voulez vraiment faire la course, et je suis heureux que la saison commence enfin. Je suis très motivé pour cette saison et je suis très confiants sur nos chances » affirme le pilote italien.
« La TF109 est la meilleure Toyota que j'ai piloté lors des essais d’intersaison. Elle est stable et met le pilote en confiance, mais plus important encore, elle semble être très rapide, même s'il est difficile de juger en se basant uniquement sur nos tests hivernaux » reconnaît-il.
« Nous avons fait un grand pas en avant l'an dernier. Nous avons prouvé que nous pouvions nous battre pour les podiums et terminer régulièrement dans les points. J’espère donc que nous pourrons faire encore mieux cette saison. Nous avons maintenant plus d'expérience et l'équipe a travaillé très dur, pendant un long moment, sur la TF109. Nous sommes prêts pour le combat » insiste Jarno.
Glock a débuté sa carrière chez Toyota en Australie l’an dernier. Un Grand Prix qui s’était terminée par une spectaculaire sortie de piste du pilote allemand. Timo parait beaucoup plus confiant cette année !
« C'est très excitant de se rendre à la première course cette année, parce que les grands changements de règlement pour 2009 nous offre une bonne occasion de nous battre à l'avant du peloton » se réjouit-il. « C’est vraiment difficile de prédire ce qui va se passer, parce que vous ne savez jamais véritablement sur quoi les autres équipes travaillent lors des tests - mais je sais que notre programme et les résultats que nous avons eu sont très encourageants. »
« J'ai un bon sentiment avec la nouvelle voiture. C'est une émotion différente pour moi car c’est ma deuxième année avec Toyota. Par rapport à 2008, je suis maintenant s beaucoup plus familier avec l'équipe et je crois pouvoir vraiment commencer la saison au top » assure Timo.
« L'année dernière, ça m’a pris quelques courses pour trouver la bonne direction en termes de set-up – ça ne sera plus un problème cette saison. L'Australie est de toute façon l'un de mes circuits favoris – je suis donc impatient d’être sur la grille à Melbourne et que la saison commence » concluait-il.
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Pour Jarno trulli comme pour Toyota, cette année c'est quitte ou double !
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Timo Glock qui se doit de faire une bonne saison, encore meilleure que l'an dernier !
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Le casque tout en chrome de Trulli !
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Pour Timo Glock à peu près tout change sauf la drapeau Allemand !
David Beckham, prends garde à toi!
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Victoria Beckham va être ravie de l'apprendre. Une vingtaines d'Italiennes ont décidé de faire succomber David Beckham à leurs charmes.
Ces jeunes femmes, qui écument les boîtes où les joueurs du Milan AC se rendent pour se détendre après leurs matchs, envisagent la drague comme un véritable sport. La plupart d'entre elles ont déjà couché avec des joueurs de l'équipe.
Une source confie au magazine Grazia: "Elles considèrent David comme le plus important." Les jeunes femmes se sont mises d'accord: celle qui aura la chance de coucher avec David empochera 22.000 euros.
:DEnfin du sport:fou:
Tournoi de Miami
Roger Federer affrontera Kevin Kim
Le numéro deux mondial Roger Federer rencontrera Kevin Kim au deuxième tour du tournoi ATP 1000 de Miami.
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Roger Federer rencontrera l'Américain Kevin Kim. (Photo: Keystone)
Le Bâlois n'a jamais rencontré cet Américain de trente ans, qui pointe actuellement au 107e rang de la hiérarchie.
Kim, d'origine coréenne, est professionnel depuis 1997. Son meilleur classement est une 63e place à l'ATP, atteinte en mars 2005. Son plus grand «succès» à ce jour reste une défaite au 3e tour de l'Open d'Australie. Il s'était alors incliné face à Thomas Johansson (Su). L'Américain a franchi le 1er tour en profitant de l'abandon de Michael Llodra. Le Français, victime d'une blessure à un muscle abdominal, s'est retiré alors qu'il avait pourtant remporté la première manche (6-3).
«Ma défaite contre Andy Murray à Indian Wells n'a pas encore été analysée, mais j'ai tiré un trait dessus», a lancé le Suisse. Federer n'a toujours pas parlé de cette rencontre avec Severin Lüthi. «Il savait qu'il ne devait pas m'en parler trop tôt. Je peux toujours gagner contre Murray, mais pour cela il faut que je joue bien. Contre Rafael (réd: Nadal) c'est un peu différent, actuellement c'est clairement lui le numéro un mondial».
Mais le but avoué du quintuple vainqueur de Wimbledon et de l'US Open est toujours de chiper le trône à l'Espagnol: «mais je ne suis pas pressé, l'écart est aujourd'hui de près de 4000 points». S'il venait à battre le Majorquin une nouvelle fois, la roue pourrait alors tourner. Ainsi, Federer lorgne sur le titre à Miami. Il faut dire que depuis le Masters 2007, l'US Open est le seul tournoi important à être tombé dans son escarcelle. «Un trophée, juste avant la saison sur terre battue qui plus est, serait naturellement un beau succès», a-t-il avoué.
Egalement exemptée du premier tour, Patty Schnyder (WTA 18) sera pour sa part confrontée à la Tchèque Lucie Safarova (WTA 48). La Suissesse s'était inclinée en 2006 à Gold Coast (6-4 6-3), lors de la seule rencontre entre les deux femmes. Jeudi déjà, Timea Bacsinszky (WTA 88) jouera contre Alexa Glatch (EU/WTA 124), avec en point de mire un affrontement contre la no 1 mondiale Serena Williams.
Cyclisme - Piste - ChM - «Ça rappelle les Jeux»
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Grégory Baugé (France, champion du monde de vitesse par équipes) : «On ne voulait pas laisser filer le titre comme ça! Je n'étais pas seul dans ce cas, les autres aussi étaient motivés. Je comprends ce qu'a vécu Michael d'Almeida, j'ai connu ça en 2004, en pire même.»
Mickaël Bourgain (France, or de la vitesse par équipes) : «Les rôles étaient inversés cette fois. J'étais remplaçant et je me demandais si je n'allais pas rentrer à l'hôtel... J'imagine ce qu'a pu ressentir Michael (d'Almeida, remplacé pour la finale). Sur le podium, on ne peut être que trois. Mais il ne faut pas oublier que c'est lui qui a qualifié l'équipe pour la finale. On a couru à quatre!»
Kévin Sireau (France, or de la vitesse par équipes): «J'ai ressenti plus d'émotions que l'an dernier. Ça rappelle forcément les Jeux, les confrontations toute l'année 2008 avec les Britanniques. Mais l'essentiel était de gagner.»
Benoît Vêtu (France/entraîneur): «C'est bien parti ! Les ambitions sont surtout individuelles mais ce titre reflète le travail qui est accompli dans les deux pôles (Hyères et INSEP). Cela lance bien les compétitions. Pour Mickaël (Bourgain), c'est très bien. Il a réalisé un excellent temps, qui prouve qu'il répond présent quand il le faut. C'est un grand!»
Gérard Quintyn (directeur du sprint français): «On a fait un changement judicieux. Mickaël (Bourgain) est allé plus vite que tout le monde. C'est bien pour l'équipe, pour les entraîneurs aussi.» (AFP)
Auto - Formule 1
Incertitude sur les résultats des 2 premiers GP
26.03.2009 16:40
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Le nouveau règlement aérodynamique pose des problèmes à la FIA. [Keystone]
Les deux premiers GP de la saison se disputeront dans l'incertitude quant à la validité des résultats: un litige sur l'interprétation du nouveau règlement aérodynamique ne sera pas tranché avant le 5 avril.
La saison de Formule 1 débute mal avant même les premiers coups d'accélérateur. La réclamation de Renault, BMW Sauber et Ferrari contre Brawn GP, Toyota et Williams, qui seraient coupables d'avoir mal interprété le nouveau règlement aérodynamique, a certes été rejetée par la FIA.
Mais ce chapitre n'en est pas clos pour autant. Les plaignants ont décidé d'interjeter appel de cette décision, et cet appel sera simplement examiné après le Grand Prix de Malaisie (dimanche 5 avril) ! Les deux premières épreuves de l'exercice se disputeront donc dans l'incertitude la plus totale concernant la validité des résultats.
Les équipes incriminées en tête des essais
Le point litigieux concerne les extracteurs, visibles à l'arrière des monoplaces, qui servent à faire circuler l'air et donner plus d'appuis aux Formule 1. La Fédération internationale (FIA) avait déclaré conformes ceux de Brawn GP, Toyota et Williams, trois équipes régulièrement en tête durant les essais d'avant-saison, au grand mécontentement des plaignants.
La FIA a logiquement réaffirmé jeudi que les trois écuries mises en cause "se conformaient au règlement technique 2009".
"Nous sommes heureux de la décision des commissaires de course mais nous préférons ne pas commenter plus en avant la situation", a déclaré dans un communiqué le président de Toyota F1, Tadashi Yamashina. L'audition s'est tenue pendant six heures au circuit de Melbourne.
"Certaines équipes n'ont pas eu la même interprétation du règlement que les autres. Ce n'est pas à moi mais à la FIA de décider si c'est légal ou pas", avait expliqué Mario Theissen, le directeur de BMW Sauber.
Sports d'hiver, Biathlon
Bjoerndalen, ce géant (http://www.sport24.com/autres-sports/sports-d-hiver/actualites/bjoerndalen-ce-geant-250062/#)
http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/autres-sports/sports-d-hiver/actualites/bjoerndalen-ce-geant-250062/4464606-1-fre-FR/bjoerndalen-ce-geant_actus.jpg Ole Einar Bjoerndalen a remporté son 6e titre mondial (Reuters) 2e du sprint de Khanty-Mansiysk en Russie, Ole Einar Bjoerndalen entre encore un plus dans la légende du biathlon en décrochant le sixième gros Globe de sa carrière.
par , le 26-03-2009
Il est bien loin le temps des luttes homériques en biathlon entre Raphaël Poirée et Ole Einar Bjoerndalen. Depuis le retrait du Français fin 2007, le Norvégien règne en maître incontesté sur sa discipline. 2e derrière l’Allemand Arnd Pfeiffer du sprint de Khanty-Mansiysk en Russie, jeudi, le natif de Drammen s’est d’ailleurs adjugé un nouveau gros Globe. Son plus sérieux rival, le polonais Tomasz Sikora, dans l’obligation de réaliser pratiquement un sans faute lors des dernières épreuves de la saison en Russie pour maintenir un espoir de titre, n’a pas résisté à la pression et termine à la 18e place. Le Norvégien fait même coup double avec ce podium puisqu’il s’adjuge la Coupe du Monde de la spécialité. Et la moisson n’est probablement pas finie, l’homme de 35 ans étant leader également du classement général de la Mass Start et de la Poursuite.
Une légende vivante
Après un début de saison compliqué, marqué par des problèmes de santé, Bjoerndalen a réalisé un deuxième acte remarquable (7 victoires et deux podiums en 13 courses) pour refaire son retard. Ce nouveau succès le fait rentrer encore un peu plus dans la légende des sports d’hiver puisqu’avec six gros Globe (1998, 2003, 2005, 2006, 2008 et 2009), il rejoint au panthéon du biathlon la Suédoise Magdalena Fosberg, sextuple vainqueur elle aussi. Ce titre vient également gonfler un palmarès exceptionnel : neuf médailles olympiques dont cinq d'or, quatorze titres mondiaux dont quatre obtenus cette année en Corée du Sud et 88 victoires en Coupe du monde. Il a d’ailleurs dépassé le Suédois Ingemar Stenmark (86 victoires) au classement des athlètes les plus titrés dans une discipline hivernale. Et il n’est pas près de s’arrêter : «Je veux rester le meilleur, je suis très motivé pour la saison prochaine et les JO 2010», a déclaré le biathlète après sa course.
:amoureux:Ce géant, moi je dit cette MONTAGNE:content::content:
GP d'Australie: Bourdais en fin de peloton des essais libres
Il y a 2 heures
MELBOURNE, Australie (AFP) — Sébastien Bourdais, sur sa Toro Rosso, a signé les 19e et 16e temps des premières séances d'essais libres du Grand Prix d'Australie, première épreuve du Championnat du monde de Formule 1, vendredi sur le circuit de l'Albert Park à Melbourne.
"C'était déjà bien que nous n'ayons pas de problème aujourd'hui. Nous avons pu poursuivre notre travail, même si nous savions que nous ne pourrions pas être assez rapides, car il nous manque quelques développements", a estimé le Français.
"Au final, ce n'est pas trop mal. Nous ferons de notre mieux. Mais nous devrons nous battre pour nous placer en Q2", la deuxième session des qualifications, après l'écrémage des monoplaces les plus lentes en Q1, a-t-il poursuivi.
Son coéquipier, le Suisse Sebastien Buemi, a de son côté accroché les 15e et 20e chronos lors des deux premières séances d'essais libres.
Jeudi, le pilote français, qui entame sa deuxième année de F1, après un championnat 2008 décevant lors duquel il n'avait marqué que quatre points, avait expliqué que la saison à venir ne s'annonçait "pas simple".
"Si on se retrouve bien qualifié, ça veut dire soit qu'on aura trouvé quelque chose auquel on ne s'attendait pas, soit que les autres se seront trompés", avait-il notamment commenté.
La saison de Formule 1 débute dimanche avec le Grand Prix d'Australie à Melbourne.:)pas mal le Chtit Suisse pour ses débuts...........
Grand Prix d'Australie F1
Buemi meilleur que Bourdais aux essais
En Australie, le Vaudois a pris les 15e et 20e rangs des essais libres.
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Sébastien Buemi après les premiers essais de Melbourne: «Pour ces premiers tours de roues en F1, j'avais de nombreuses choses à apprendre». (Photo: Keystone)
Les spécialistes s'attendaient à des surprises en tête du peloton et ils n'ont pas été déçus! Nico Rosberg (All/Williams-Toyota) a en effet remporté les deux séances.
Le seul «rookie» du plateau 2009 a très vite trouvé ses marques. «Pour ces premiers tours de roues en F1, j'avais de nombreuses choses à apprendre», a avoué le pilote Toro Rosso. «Ce n'était pas trop mal, nous avons essayé divers réglages et la voiture s'est améliorée tout après tour. Etant donné notre manque de connaissances de la monoplace (réd: seulement quatre jours d'essais avant d'arriver en Australie), ce vendredi nous a permis d'en apprendre beaucoup sur son comportement et sur quoi travailler pour qu'elle soit meilleure demain», a-t-il enchaîné.
Lors des premiers tests à Melbourne Park, Buemi s'est même permis le luxe de devancer Lewis Hamilton (GB/McLaren-Mercedes). Le Champion du monde en titre, à l'agonie avec sa «Flèche d'argent», a dû se contenter du 16e temps le matin, avant de prendre la 18e place dans l'après-midi. Le Suisse a également pris le meilleur sur son coéquipier Sébastien Bourdais (Fr) lors de cette première séance.
La donne a clairement changé avec le nouveau réglement de la FIA. Ainsi, ce sont les Williams-Toyota et les Brawn GP qui semblent avoir le mieux travaillé cet hiver. Premier tout au long de la journée, Rosberg a créé la sensation, tandis que Rubens Barrichello (Bré/4e et 2e) et Jenson Button (GB/6e et 5e) ont toujours figuré en haut de la fiche des temps aux volants de l'ex- Honda.
Buemi était aux commandes d'un bolide qui n'était pas muni du fameux KERS, comme la majorité du plateau. Ce système, qui permet de gagner 82 chevaux pendant 6,6 secondes par tour, a été utilisé uniquement par les écuries McLaren, Ferrari et Renault, ainsi que par la BMW-Sauber de Nick Heidfeld. L'Allemand a, à chaque fois, devancé son coéquipier polonais Robert Kubica.
:)Ok, un peu chauvin comme d'autres:content:
D'un côté comme de l'autre on dira c'est Seb qui a fait le meilleur résultat:p:D:sors
D'un côté comme de l'autre on dira c'est Seb qui a fait le meilleur résultat:p:D:sors
MDR:D:D:D
Leipheimer jusqu'au bout
A l'issue de la 5e et dernière étape remportée par l'Espagnol Alejandro Valverde (Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml)) vendredi, l'Américain Levi Leipheimer (Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml)) a remporté la 24e édition du Tour de Castille-et-Leon.
L'Américain Levi Leipheimer (Astana) a remporté la 24e édition du Tour de Castille-et-Leon à l'issue de la 5e et dernière étape vendredi, son équipier Espagnol Alberto Contador (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs28739.shtml), deuxième du général, ayant fait impression en montagne et lors du contre-la-montre.
La dernière étape du Tour de Castille-et-Leon, marqué le premier jour par la chute et l'abandon (clavicule droite cassée) de l'Américain Lance Armstrong (Astana), a été remportée à Valladolid par l'Espagnol Alejandro Valverde (Caisse d'Epargne), très facile dans le sprint final, comme lors de la 3e étape mercredi. Contador, vainqueur de l'épreuve en 2007 et 2008, avait prédit que l'édition 2009 se jouerait lors du contre-la-montre individuel de mardi, long de 28,2 km, et il avait raison.
Contador en progrès
Leipheimer, plus fort dans cet exercice que Contador, a devancé l'Espagnol de 16 secondes, un écart qui se retrouve au classement général. Mais Contador a semblé en net progrès en contre-la-montre, pointant même en tête à un peu plus de la moitié du parcours. Il a seulement un peu fléchi sur la fin. Ses entraînements en soufflerie début novembre aux Etats-Unis semblent en tous cas porter leurs fruits.
Contador, l'un des grands favoris pour le Tour de France, s'est aussi montré très à l'aise lors des deux étapes de montagne en Castille-et-Leon mais a choisi de travailler pour Leipheimer, comptant sans doute plus tard dans la saison sur l'aide de son lieutenant américain. Lors du Tour de France par exemple.
http://i.eurosport.fr/2009/03/27/509557-4153950-317-238.jpg
C'est mérité !
ATP/wta tour Key Biscayne (EU)
Federer express
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/federer_12.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/federer_12.jpg)
Image © Keystone
Roger Federer a un seul objectif: soulever son premier trophée pour 2009
Le Bâlois se qualifie pour le 3e tour en battant l'Américain Kevin Kim 6-3 6-2. Son prochain adversaire: Nicolas Kiefer
le 27 mars 2009,
Le Matin
Exempté de 1er tour comme l'ensemble des têtes de série, le No 2 mondial s'est imposé 6-3 6-2 face au qualifié Kevin Kim (ATP 107). Il affrontera l'Allemand de 31 ans Nicolas Kiefer (No 28) en 16e de finale. Le Bâlois n'avait pas grand-chose à craindre d'un joueur qui est la seule victime en date de Michael Lammer sur le circuit principal (1er tour de l'US Open 2005). Kevin Kim n'a d'ailleurs remporté que deux matches en 2009 sur le front de l'ATP Tour, à Acapulco et à Miami, profitant à chaque fois de l'abandon de son adversaire!
Federer honoré à Miami
Roger Federer a, surtout, négocié à la perfection les points importants d'une rencontre qui ne durait que 65'. Il convertissait trois de ses cinq opportunités à la relance, écartant les cinq balles de break que son adversaire se procurait. Kevin Kim ratait le coche dans le premier jeu de la partie, où il menait 15/40.
Roger Federer paraît à l'abri d'une mauvaise surprise au 3e tour. Nicolas Kiefer reste sur une série de dix défaites face à lui (11-3 au total). Blessé à la cheville gauche lors de la Hopman Cup en janvier, l'ex numéro quatre mondial dispute simplement son deuxième tournoi officiel de la saison.
Roger Federer a reçu deux nouveaux «oscars» du tennis en marge du tournoi. Le No 2 mondial a reçu le prix Stefan Edberg récompensant la sportivité pour la cinquième année d'affilée. Les fans en ont même fait leur joueur préféré pour la sixième fois de rang. Les autres «awards» de l'ATP ont été remis à Rafael Nadal (joueur de l'année), Daniel Nestor/Nenad Zimonjic (meilleur double), James Blake (engagement caritatif), Rainer Schüttler (comeback), Jo-Wilfried Tsonga (progression) et Kei Nishikore (révélation). Chez les dames, les récompenses ont été enlevées par Serena Williams (simple), Cara Black/Liezel Huber (double), Dinara Safina (progression), Jie Zheng (comeback), Caroline Wozniacki (révélation), Ana Ivanovic (engagement caritatif) et Elena Dementieva (fairplay).
En sets
Miami, Floride (EU). Tournois ATP Masters 1000 et WTA (9 millions de dollars/dur)
Simple messieurs
1er tour: Montanes (Esp) bat Koubek (Aut) 6-4 7-6 (7/2). Troicki (Ser) bat Devilder (Fr) 6-2 6-3.
2e tour: Federer (S/2) bat Kim (EU) 6-3 6-2. Djokovic (Ser/3) bat Dancevic (Can) 6-3 6- 2. Monfils (Fr/9) bat Russell (EU) 6-2 6-7 (5/7) 6-3. Blake (EU/13) bat Benneteau (Fr) 6-4 6-4. Robredo (Esp/15) bat Hernych (Tch) 6-4 6-4. Dent (EU) bat Almagro (Esp/19) 2-6 6-2 7-6 (9/7). Safin (Rus/22) bat Hernandez (Esp) 6-4 2-6 6-1. Kendrick (EU) bat Soderling (Su/23) 6-4 6-2. Tursunov (Rus/25) bat Kukushkin (Kaz) 3-6 7-6 (7/4) 6-3. Kiefer (All/28) bat Santoro (Fr) 5-7 7-6 (7/5) 6-2.
Simple dames
1er tour: Peer (Isr) bat Hendler (Be) 6-1 7-6 (7/5). Tanasugarn (Thaï) bat Dechy (Fr) 6-3 7-5.
2e tour: Schnyder (S/18) bat Safarova (Tch) 4-6 6-1 6-4. Safina (Rus/2) bat Johansson (Fr) 6-1 6-3. Dementieva (Rus/4) bat Pivovarova (Rus) 6-0 3-6 6- 3. Kuznetsova (Rus/8) bat Paszek (Aut) 2-6 7-5 6-1. Yakimova (Bié) bat Bartoli (Fr/12) 6-4 6-3. Pennetta (It/15) bat Kirilenko (Rus) 6-4 7-5. Mauresmo (Fr/20) bat Rybarikova (Slq) 6-3 1-6 6-2. Chakvetadze (Rus/22) bat Hantuchova (Slq) 6-3 6-1. Kleybanova (Rus/24) bat Voskoboeva (Kaz) 6-2 6-4. Szavay (Hon/25) bat Schiavone (It) 2-6 6-4 6-2. Stosur (Aus) bat Bammer (Aut/27) 6-1 6-1. Vaidisova (Tch) bat Bondarenko (Ukr/28) 6-1 6-0.
Formule 1
GP d'Australie: Buemi frôle "Q2"
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/buemi_3_0.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/buemi_3_0.jpg)
Image © Keystone
Sébastien Buemi (Toro Rosso-Ferrari) partira en 16e position sur la grille de départ du Grand Prix d'Australie. Le Suisse a manqué de peu la qualification pour "Q2".
le 28 mars 2009
LeMatin.ch & les agences
Il n'a manqué que 49 centièmes à Buemi pour passer le cap de la première séance. Pour cette marge infime, il a dû céder devant Lewis Hamilton (GB/McLaren-Mercedes). Le Champion du monde en titre, auteur d'un décevant 15e temps, partira au final du fond de la grille (pénalisé pour avoir changé de boîte de vitesses).
Le Vaudois a fait mieux que tenir le comparaison avec son coéquipier français Sébastien Bourdais. Le seul "rookie" de la saison 2009 de F1 a collé plus de quatre dixièmes dans la vue au quadruple champion de ChampCar.
Comme prévu après les essais hivernaux, la "surprise" est venue des Brawn GP. Très à leur aise à Albert Park, les ex-bolides Honda ont survolé les qualifications et n'ont laissé aucune chance à la concurrence. Quelle belle revanche pour une écurie à l'agonie voici quelques semaines et pour Rubens Barrichello, longtemps en balance avec son compatriote Bruno Senna pour le 2e baquet. Button a pour sa part fêté sa 5e pole-position en carrière. Le Britannique s'est imposé une seule fois en F1, lors du GP de Hongrie en 2006.
Les favoris ont quant à eux flanché. En plus d'Hamilton, Fernando Alonso (Esp/Renault), 12e, n'est pas parvenu à se hisser en "Q1". Les Ferrari n'ont pas été à la fête non plus, devant se contenter des 7e et 9e temps de Felipe Massa (Bré) et de Kimi Räikkönen (Fin). Les BMW-Sauber ont connu des bilans contrastés. Robert Kubica (Pol) a pris une belle 4e place sur la grille, tandis que Nick Heidfeld (All) a dû se contenter d'un 11e rang bien terne.
Melbourne. Grand Prix d'Australie. La grille de départ après la 3e
séance de qualifications (Q3):
1 Jenson Button (GB), Brawn GP-Mercedes.
2 Rubens Barrichello (Bré), Brawn GP-Mercedes. 3Sebastian Vettel (All),
Red Bull-Renault. 4 Robert Kubica (Pol), BMW-Sauber. 5 Nico Rosberg
(All), Williams-Toyota. 6 Timo Glock (All), Toyota. 7 Felipe Massa
(Bré), Ferrari. 8 Jarno Trulli (It), Toyota. 9 Kimi Räikkönen (Fin),
Ferrari. 10 Mark Webber (Aus), Red Bull-Renault.
Eliminés lors de la 2e séance de qualifications (Q2):
11 Nick
Heidfeld (All), BMW-Sauber. 12 Fernando Alonso (Esp), Renault. 13
Kazuki Nakajima (Jap), Williams-Toyota. 14 Heikki Kovalainen (Fin),
McLaren-Mercedes. 15 Lewis Hamilton (GB), McLaren-Mercedes.
Eliminés lors de la 1re séance de qualifications (Q1):
16. Sébastien
Buemi (S), Toro Rosso-Ferrari. 17 Nelson Piquet (Bré), Renault. 18
Giancarlo Fisichella (It), Force India-Mercedes. 19 Adrian Sutil (All),
Force India-Mercedes. 20 Sébastien Bourdais (Fr), Toro Rosso-Ferrari.
Formule 1 - GP d'Australie
28/03/2009 - 15:30 Bourdais : "Relativement optimiste"
http://i.eurosport.fr/2009/03/28/509703-4156408-317-238.jpg
Toro Rosso - Gepa
Le pilote français Sébastien Bourdais (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs24503.shtml) (Toro Rosso (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea6824.shtml)) s'est montré optimiste samedi malgré sa mauvaise place de grille (dernier avant les pénalités de Hamilton, Glock et Trulli) aux qualifications du Grand Prix d'Australie qui se dispute dimanche à Melbourne (http://www.eurosport.fr/formule-1/venue_ven463.shtml).
Etes-vous déçu par votre mauvaise place ?
Sébastien Bourdais : "Ça ne fait jamais plaisir. Tout s'est joué sur le dernier run de qualification, où tout le monde a amélioré ses temps. Moi, je prends Nakajima sur mon tour de sortie (des stands), qui me fait faire un tour très lent. Du coup, je n'arrive pas à chauffer les pneus. Et sur le seul tour qui me reste (en fin de la première phase de qualifications, ndlr), je perds quatre dixièmes sur la première moitié de piste, que je rattrape sur la fin. Mais ce qui est perdu est perdu. C'est dommage, parce qu'on pouvait terminer mieux."
Vous finissez près d'une demi-seconde derrière votre coéquipier Sebastien Buemi (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs121123.shtml), qui débute en Formule. Est-ce frustrant ?
S.B. : "Sebastien a du potentiel. Il va vite. Il n'est pas là par hasard. Mais les quatre dixièmes et demi ne sont pas représentatifs de l'écart qu'il y a eu entre Seb et moi sur cette qualif ou sur le reste du week-end. Bien sûr, c'est un peu décevant. Mais 16e ou 20e, ça ne change pas la face du monde."
Vous semblez peu déçu malgré cette contre-performance ...
S.B. : "On savait que niveau performance, on n'espérait pas entrer en Q2, très clairement. Le point positif est qu'on n'est pas aussi loin qu'on le pensait. Mais on ne pouvait pas espérer mieux que ça. Il y a des bonnes évolutions à venir, à Barcelone pour nous. Une fois que les quatre premières courses seront passées, il y a de quoi être relativement optimiste.
Mais pour un premier week-end, sachant que Sebastien n'a passé que deux jours dans la voiture et moi un seul, on n'est pas un wagon derrière. C'est un peu rassurant."
La hiérarchie semble avoir complètement explosé samedi en qualifications. Qu'en pensez-vous ?
S.B. : "Je pensais que les Toyota (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea2973.shtml) (avant leur disqualification) seraient mieux que cela. Que Brawn (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea12815.shtml), clairement, ce n'était pas une farce, à Barcelone où elles avaient dominé des essais mi-mars. Que McLaren (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea321.shtml) n'est pas très bien. Que Ferrari (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea322.shtml) n'est pas non plus au top. Et que nous, on souffre comme on savait qu'on souffrirait, mais peut-être un peu moins que ce qu'on pouvait penser."
Espérez-vous refaire la même course que l'an passé, où vous aviez terminé 7e pour vos débuts en F1 ?
S.B. : "Une course comme l'année dernière demain, ça ne serait pas mal. L'année dernière, au bout de trois virages, ils commençaient à se mettre des coups de roues et il y en avait partout. Je regardais ça d'un peu loin. Je voulais voir le drapeau à damier pour ma première course. Ca ne s'est pas passé comme ça." (il a abandonné, mais a tout de même été classé 7e)
Quel est votre avis sur le problème des diffuseurs ?
S.B. : "Williams (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea325.shtml), Brawn et Toyota sont décriés car les autres écuries sont agacées de ne pas y avoir pensé. Ils ont fait du bon boulot, en pensant peut-être à quelque chose auquel les autres n'avaient pas pensé, ou d'une autre façon. Et leur voiture marche. Alors bravo à eux. Et aux autres de travailler pour trouver à leur tour quelque chose qui marche bien. La FIA a approuvé. Je ne comprends pas pourquoi ils portent réclamation."
ELIMINATOIRES MONDIAL 2010 MOLDAVIE - SUISSE 0-2
Mission accomplie
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Image © Sébastien Féval
Alexander Frei a inscrit un vrai but de renard des surfaces, son 38e sous le maillot de l’équipe nationale
Menant 1-0 grâce à Alex Frei, la Suisse s'est longtemps fait très peur, tremblant jusqu'à la délivrance signée Fernandes dans les arrêts de jeu. Souvent chahuté, le visiteur a néanmoins réussi à décrocher cette victoire qui le place en position idéale avant la deuxième manche, mercredi à Genève
Nicolas Jacquier - le 28 mars 2009
Le Matin Dimanche
Ce n'est ni la victoire la plus prestigieuse de ces 10 dernières années, ni la plus belle que la Suisse a obtenue sur sol moldave. Mais c'est à coup sûr l'une des plus importantes, celle qui lui permet de se replacer dans la course au Mondial 2010. Après des succès contre la Lettonie et la Grèce en automne, elle a signé une troisième victoire de rang. Voilà qui autorise désormais tous les espoirs pour une équipe pointant depuis hier soir en tête de son groupe, à égalité avec la Grèce...
Mais avant de lever les bras en signe d'allégresse et de s'autoriser au coup de sifflet final un minitour d'honneur pour aller saluer ses supporters, le visiteur aura tremblé, passant par tous les états d'âme. Après une première période bien négociée, le visiteur allait mystérieusement abandonner l'initiative du jeu, acceptant dès lors la pression que lui imposait son adversaire. On songe encore à ce ballon naviguant d'un côté à l'autre des seize mètres alors que la Suisse s'accrochait à son maigre avantage. C'était bien après le 38e but d'Alex Frei, juste avant celui de la libération, oeuvre de Gelson Fernandes, le remplaçant valaisan fêtant son entrée en jeu par son premier but en sélection. On ose à peine imaginer les conséquences que ce recul helvétique après la pause aurait pu provoquer face à un adversaire plus inspiré que ne le fut le matricule 98 de la FIFA. Si la Suisse a failli tout perdre, c'est aussi parce que ses joueurs n'ont pas su faire le break et marquer plus rapidement ce deuxième but qui aurait mis fin au suspense plus rapidement. Mais ni Nkufo, ni Frei, ni Barnetta, ni aucun autre ne purent convertir des ballons de contre trop souvent mal négociés, la Suisse ne se créant pas moins de cinq grosses occasions dès la reprise...
Benaglio en sauveur
En Moldavie, la Suisse savait qu'elle allait souffrir et elle ne s'est pas trompée dans ses pronostics: elle a bel et bien souffert. Mais elle a pu compter sur un Diego Benaglio impeccable, réussissant l'arrêt du match, en tout cas celui qu'il fallait, sur une frappe pleine lucarne du camarade Bugaiov, un sacré manieur de ballon. Dans une ambiance très bon enfant, permettant au public local de copieusement huer le président Voronin, leader de la petite République, lorsque le speaker annonça la présence du chef de l'Etat dans les fauteuils VIP, l'équipe d'Ottmar Hitzfeld aura eu le mérite de ne jamais renoncer, de s'accrocher à son fragile bonheur, peu importe après tout comment. Résultat: la défense paniqua plus souvent qu'à son tour, le milieu du terrain ne fit pas toujours le boulot que l'on aurait pu espérer - dans le rôle de dépositaire du jeu helvétique, Inler demeure une énigme - et ses attaquants furent boudés par la réussite. A l'opposé, le trublion Padalino s'imposa comme la révélation du début de soirée.
Il n'empêche qu'à l'arrivée, ce succès de Chisinau, conjugué au match nul entre Israéliens et Grecs à Tel-Aviv, permet à la Suisse de s'installer ex aequo en tête du groupe 2. On ne pouvait rêver un meilleur samedi sur la planète en crampons. Un bonheur qu'il s'agira de faire fructifier dès mercredi à Genève, à l'occasion du match retour...
MOLDAVIE - SUISSE 0-2 (0-1)
Stade Zimbru, 10 500 spectateurs (guichets fermés).
Arbitre: M. Douglas McDonald (Eco).
Buts: 33e Frei 0-1. Sur une passe de Nkufo, lui-même servi par Magnin, l'attaquant s'arrache et efface son défenseur, mis dans le vent, avant de croiser impeccablement son tir. Du 100% pur Frei.
93e Gelson Fernandes 0-2. Sur le dernier corner suisse tiré par Frei, l'homme de Manchester City délivre - enfin! - les visiteurs en venant placer une tête rageuse pour son premier but sous le maillot national. Ouf...
Moldavie: Namasco; Savinov, Lascencov, Armas (86e Manaliu), Golovatenco; Ionita, Epureanu, Gatcan (56e Cebotaru), Calincov; Bugaiov, Alexeev. Entraîneuir: Dobrovolski.
Suisse: Benaglio; Lichtsteiner, Senderos, Grichting, Magnin; Padalino (79e Fernandes), Inler, Huggel, Barnetta (93e Djourou); Frei, Nkufo (79e Derdiyok). Entraîneur: Hitzfeld.
Notes: la Suisse sans Behrami, Spycher (blessés). Le gardien Leoni, Almen Abdi et Patrick Müller sont dans les tribunes.
Avertissements: Armas (38e, faute sur Frei), Epureanu (62e, pour avoir bousculé Benaglio), Savinov (63e, faute sur Nkufo).
Coups de coin: 7-3 (3-0).
éliminatoires mondial 2010
Ribéry libère la France
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Image © Keystone
Franck Ribéry (à g.) a inscrit son sixième but avec les Bleus
Le joueur du Bayern inscrit le but de la victoire
le 28 mars 2009
Le Matin Dimanche
L'équipe de France de football a retrouvé des couleurs grâce à une victoire 1-0 hier en Lituanie qui la replace en bonne position dans le groupe 7 des éliminatoires à la Coupe du monde 2010.
Si les Bleus arrivent mercredi au Stade de France à battre une nouvelle fois les Baltes, ils doubleraient cet adversaire au classement pour se replacer définitivement dans le bon sens de la marche concernant la qualification pour le Mondial en Afrique du Sud.
Plus forts techniquement que des adversaires brillants surtout pour leur solidarité et leur ténacité, les vice-champions du monde l'ont emporté grâce au sixième but en sélection de Franck Ribéry, inscrit en deuxième période d'une frappe du gauche limpide (67e).
La surprise du chef venait de la titularisation en attaque de Peguy Luyindula, préféré à Karim Benzema par Raymond Domenech.
Thierry Henry évoluait en pointe, Franck Ribéry à gauche, Luyindula à droite et Yohann Gourcuff en soutien.
La première mi-temps était un remake de Fort Alamo. Les Baltes cantonnés dans leur camp subissaient les assauts des Bleus. Luyindula avait l'occasion d'ouvrir le score bien servi par Jérémy Toulalan mais sa frappe croisée était interceptée par le gardien Zydrunas Karcemarskas (8e).
Les hommes du Portugais José Couceiro pliaient sans rompre en devant sauver des occasions chaudes sur une pelouse pelée aux rebonds incertains. A la 44e minute, sur un corner, Thierry Henry remettait de la tête pour Toulalan dont la frappe du gauche à bout portant était sauvée par le gardien alors que le but semblait tout fait. Puis Luyindula recevait une balle lobée de Thierry Henry, mais voyait une nouvelle fois sur son tir le gardien s'interposer (45e).
A la mi-temps, les Français menaient largement aux points, les Lituaniens n'ayant eu aucune occasion franche. Sur coup franc, Steve Mandada avait eu l'occasion de placer ses poings sans dommage (10e).
En début de deuxième mi-temps, les Bleus avaient une occasion d'ouvrir le score. Sur une passe millimétrée de Toulalan, Luyindula lancée dans le dos de la défense poussait trop son ballon et était contré seul face au gardien, manquant ainsi son deuxième but pour sa cinquième sélection.
Le sixième but pour sa 35e sélection du meneur de jeu du Bayern de Munich soulageait les Bleus.
Les Lituaniens, 52es au classement mondial de la FIFA, n'ont pas désarmé pour autant.
GP D'AUSTRALIE
Sébastien Buemi: «Tout va très vite»
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Image © Keystone
Sébastien Buemi n'était pas loin de se hisser dans la deuxième phase des qualifications en concédant 5 centièmes au champion du monde en titre Lewis Hamilton. Après déclassement de ce dernier, Buemi est parti 13e ce matin
Le jeune Vaudois s'est montré extraordinaire de maturité à l'heure d'aborder sa première séance qualificative de F1. Il confie au «Matin» comment il l'a vécue
Luc Domenjoz - le 28 mars 2009
Le Matin Dimanche
C'était peut-être le moment le plus difficile du week-end. La première séance qualificative de Formule 1, pour Sébastien Buemi, c'était l'étape à ne pas rater. Celle où il roulait pour la première fois de sa carrière devant des millions de téléspectateurs, répartis dans le monde entier. Celle du véritable début en F1, celle du stress de ces impitoyables trois phases de qualification, celle où la moindre erreur se traduit par une place en fond de grille.
Vingtième et dernier vendredi, Sébastien Buemi n'avait pas passé une très bonne nuit au moment de quitter son hôtel, hier matin. Son père Antoine et son oncle Humbert, qui ont fait le déplacement de Melbourne, n'étaient guère mieux lotis. Pour toute la famille, cette journée de samedi comptait parmi ces moments-clés qui marquent une carrière.
Après des mois d'essais privés menés à son propre rythme, et après trois séances d'essais libres qui ne comptaient pas pour la course, les «qualifs» se posaient comme une véritable épreuve du feu pour Sébastien Buemi. Une épreuve qui s'est très bien terminée: si le Vaudois a été éliminé dès la première séquence de qualification, baptisée «Q1», il s'est classé à un cheveu, soit 49 millièmes, du chrono qui lui aurait permis de passer en «Q2». 49 millièmes? Un souffle, un rien, l'équivalent de 3.5 mètres après un tour développant 5303 mètres de long!
Pour Sébastien Buemi, c'était le soulagement: il avait réussi haut la main son examen de passage, il avait signé un chrono très satisfaisant, et il était presque une demi-seconde plus rapide que son coéquipier, Sébastien Bourdais - ce dernier affirmait avoir eu du mal à chauffer ses pneus au moment de sortir des stands.
Dans l'écurie, la performance du Vaudois n'est pas passée inaperçue: Giorgio Ascanelli, le sévère directeur technique de Toro Rosso - qui n'a pas le compliment facile -, a qualifié de «très bonne pour un débutant» la première séance de qualification de Sébastien.
Plus tard dans la soirée, on apprit que Lewis Hamilton était déclassé, et que les deux Toyota voyaient leurs chronos de qualification supprimés (lire par ailleurs). Du coup, le Vaudois a grimpé de la 16e à la 13e place sur la grille de départ.
Pour toute la famille Buemi, la belle conclusion de cette journée a soulagé le stress. Et marqué le retour d'un grand sourire sur le visage de Sébastien. Qui s'est confié au «Matin» entre deux réunions techniques:
Sébastien, racontez-nous comment vous avez vécu cette première séance qualificative?
Je dois avouer que le rythme d'une séance de qualification de F1 est terriblement rapide! Vous sortez des stands, vous revenez, vous changez de pneus, vous ressortez à nouveau et vous recommencez... il faut rester relax au milieu de tout ça! En 20 minutes, je suis sorti en piste avec des pneus neufs à trois reprises.
A chaque fois, il faut chauffer les gommes, en les brusquant un peu, puis attaquer sur un tour sans faire de faute.
Vous n'avez pas rencontré trop de trafic? Au moment de signer votre meilleur chrono, on comptait 19 monoplaces en piste...
Non, les ingénieurs de l'écurie prennent garde à nous élancer en piste au meilleur moment. Avec mon deuxième train de pneus, j'ai été ralenti et je n'ai pas pu suffisamment chauffer les gommes dans mon tour de sortie. Mais tout à la fin, quand j'ai fait mon meilleur chrono, la piste était dégagée.
Vous avez le 16e temps, vous partez 13e sur la grille: c'est satisfaisant?
Je pense qu'on a fait un bon travail avec le matériel dont nous disposions. Je suis assez satisfait, parce que ces derniers jours furent une sorte de séance d'essais pour l'équipe. Et effectivement, au cours de la nuit, nous avons réussi à beaucoup améliorer la voiture comparé à ce qu'elle était vendredi matin. Il faut continuer dans cette voie. Il ne faut pas oublier que nous avions très peu testé la STR4: j'avais à peine roulé pendant un jour et demi à Barcelone...
Vous manquez de bousculer Lewis Hamilton et passer en Q2, pour moins de 5 centièmes. Une petite déception?
Bien sûr, quand on regarde le résultat net et que l'on pense à ces 49 millièmes, c'est une petite déception. Cela aurait été bien de passer en Q2. Mais au final, cela ne m'aurait fait gagner qu'une seule place sur la grille, donc ce n'est pas si grave...
Quel est votre objectif pour cette première course?
Il ne faut pas se faire d'illusion. Mon but se limite à terminer la course. Après, on verra! En terminant la course, il y a une petite chance de marquer des points, vu le taux d'abandons que l'on constate sur ce circuit. Je suis relax. La pression est retombée, elle reprendra avant la course...
Les Diables s'écroulent face à la Bosnie
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Grand moment de solitude pour les Diables et tous leurs supporters suite à cette cuisante défaite face à un adversaire qui semblait à la portée des Belges.
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Dzeko n'a pas tardé à ouvrir le score (7'), coupant les jambes des Diables jusqu'en seconde période.
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Les Bosniaques ont très bien joué le coup ce soir, faisant preuve de plus de concentration, d'agressivité et de motivation.
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Stijnen n'a pas grand chose à se reprocher mais s'est retourné à quatre reprises ce soir.
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Les supporters bosniaques ont démontré l'étendue de leur fair-play ce soir, interrompant le match à coups de feux de Bengale alors que lesDiables revenaient dans la partie...
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... provoquant une interruption de la rencontre de quelques minutes.
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Ce streaker bosniaque aura eu droit à son moment de "gloire".
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Dembele avait ravivé la flamme de l'espoir belge quelques minutes après l'heure de jeu.
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Comment Vandereycken va-t-il réussir à recoller les morceaux?
7S7 mise à jour Les Diables rouges ont subi un revers très douloureux ce soir à la Cristal Arena, battus 2-4 (mi-temps 0-1) par la Bosnie, suite à un match émaillé d'incidents dûs au "supporters" bosniaques.
Les hommes de Vandereycken trouveront difficilement le sommeil ce soir, étant en grande partie responsables de cette défaite, manquant de concentration dans les moments cruciaux, en fin de match, et ayant été peu convaincants en première période. L'Afrique du Sud s'éloigne pour l'équipe belge, qui compte désormais deux points de retard sur la Bosnie, pointant à la quatrième place du groupe.
Les Diables ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes
Si certains stigmatiseront (comme d'habitude) l'arbitrage parfois tolérant avec les tacles bosniaques, voire inattentif sur la faute de main qui a repoussé le coup franc de Defour à la 49e minute, d'autres souligneront l'attitude déplorable des supporters bosniaques qui, en jetant des feux de Bengale sur la pelouse alors que les Diables revenaient dans le match. Mais les hommes de Vandereycken sont coupables d'inattention, d'immaturité, de passivité ou de manque de concentration sur chacun des quatre buts bosniaques. Autant de points qui résonneront certainement dans les oreilles de Simmons et de ses partenaires dans les jours qui suivent. Car le match de mercredi s'annonce décisif pour l'avenir sud-africain des Diables.
Pourtant les premières secondes de la rencontre s'annonçaient prometteuses. Les Diables mettaient le turbo tout de suite, Dembele obtenant un premier corner dès la première minute de jeu. Mais leurs bonnes intentions vont vite être mises à mal par un but de Dzeko (7'), sur la première occasion bosniaque, leur seule occasion sérieuse en première période. C'est le début d'un calvaire terrible. Les Diables et la Cristal Arena sont sonnés, mais Wesley Sonck hérite d'une superbe occasion à la 14e minute. Malheureusement, son envoi heurte le montant. De Camargo aura également l'occasion de ramener les Diables dans le match, mais sa reprise de la tête (sur un corner donné par Defour) passe peu à côté du cadre.
L'efficacité et le réalisme bosniaques ont fait mouche
Peu avant la demi-heure de jeu, les Diables mettent la pression sur la défense bosniaque, mais celle-ci ne sera pas sérieusement inquiétée, jusqu'à ce que Fellaini se mette en évidence de la tête, obtenant un corner qui ne donnera malheureusement rien. Deux minutes plus tôt, le Belge d'Everton avait écopé d'un carton jaune discutable, sa faute ne méritant pas le bristol, contrairement à plusieurs interventions bosniaques clairement sanctionnables, les deux pieds en avant et décollés du sol. Les Bosniaques n'ont pas la réputation d'être des tendres.
De Camargo ne finira pas la mi-temps, victime d'une blessure, et sera remplacé par Eden Hazard en toute fin de première période. Il ne se passera plus grand-chose avant le retour aux vestiaires, exception faite d'une tentative à distance de Mudingayi, hors cadre à la 40e minute de jeu. Les Diables auraient pu faire preuve de plus de caractère et d'intelligence de jeu pendant ces 45 premières minutes.
L'espoir renaît, ...
Au retour des vestiaires, l'équipe belge fait preuve de volonté et obtient via Dembele un coup franc intéressant dès la 49e minute. Tiré par Defour (qui sera peu après remplacé, on ne sait pourquoi, par Pocognoli), celui-ci sera repoussé par le coude d'un défenseur bosniaque, détail qui échappe à l'arbitre. Face à des Bosniaques très agressifs, la bonne volonté ne suffit pas et Stijnen sauvera même, provisoirement, les meubles à l'heure de jeu en repoussant un tir de Dzeko, suite à un mauvais contrôle de Simmons. Quelques minutes plus tard, toutefois, Dembele égalisait sur un centre de Swerts, bien servi par une belle passse en profondeur de Sonck. L'espoir renaît dans le camp belge.
C'est à ce moment-là, alors que les Diables reviennent dans la partie, que les « supporters » bosniaques, lamentables ce soir, interrompent la rencontre en projetant des feux de Bengale sur le terrain. Le match reprend, mais le rythme que les Belges avaient imprimé se perd, peut-être en même temps que leur concentration. Ne parvenant pas à concrétiser leurs rares demi-occasions, les Belges boivent la tasse à la 76e minute lorsque, sur un coup franc consécutif à une faute inutile de Pocognoli, Jahic redonne l'avantage à ses couleurs, devant une défense belge passive et médusée. La débandade s'annonce déjà.
... pas pour longtemps
La montée de De Sutter à la place de Daems n'y changera rien. À la 81e, devant un public belge incrédule, Swerts discute une décision arbitrale alors que la Bosnie joue rapidement le coup franc pour profiter de la désorganisation défensive tricolore. Bajramovic se retrouve isolé dans le rectangle et hérite du ballon, n'ayant aucune pitié pour Stijnen, qui encaisse un troisième but.
Quatre minutes plus tard, alors que peu de supporters y croyaient encore, Misimovic se joue de Simmons et plante une quatrième rose dans les filets du portier brugeois. Sonck aura beau se faire justice sur penalty suite à une faute commise sur lui par Mravac, la défaite est inéluctable. Eden Hazard fera encore vibrer le cadre bosniaque dans les arrêts de jeu, sans rien changer au désastre.
Les Diables ont perdu le match dans leur tête
Les Diables auront tout perdu dans le dernier quart d'heure. Désorganisés, multipliant les erreurs personnelles, Sonck, Hazard and Co ont vraiment bu le calice jusqu'à la lie. Bien que tout soit encore possible, une force de caractère telle que celle dont ont fait preuve les Espoirs aux Jeux sera indispensable pour remonter une pente très savonneuse. Vandereycken peut remercier la sélection espagnole, qui a battu la Turquie ce soir (1-0), offrant la possibilité, en cas de victoire en Bosnie mercredi et d'une nouvelle défaite de la Turquie face à l'Espagne, de revenir à la deuxième place du groupe.
Le plus dur sera alors de conserver cette deuxième place jusqu'à la fin de l'épreuve qualificative. Sans parler des barrages qui s'en suivraient. Espérons que les retours de Big Dan et Vince the Prince mercredi galvaniseront les troupes et rendront un brin d'espoir à un football national que l'on croyait en train de remonter la pente. Un match à ne pas oublier, ni à reproduire. Sous aucun prétexte.
Adriano et Robinho font la fête avec un transexuel
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Fabiana Andrade aurait eu une relation avec Diego Maradona.
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Patricia Araujo,le transexuel le plus connu du Brésil.
Au Brésil, des rumeurs ont éclaté au sujet d'une fête entre des joueurs de l'équipe nationale. A quelques heures des rencontres contre Pérou et l'Equateur, les "Européens" et plus précisément Adriano et Robinho ont fait la "fiesta" dans la maison du premier cité, à Barra de Tijuca. Arrivés à 17 heures lundi, ils ont évacué la pression jusqu'aux petites heures de la nuit.
Araujo
Les footballeurs ont fait les choses en grand puisque plusieurs femmes étaient également conviées à cette fête, dont notamment Fabiana Andrade (qui aurait eu une relation avec Diego Maradona) et Veronica Araujo (l'ex d'Adriano). Selon d'autres témoins, Patricia Araujo, le transexuel le plus connu du Brésil, aurait quitté les lieux vers 4 heures du matin.
Entraînement
Mardi matin, Adriano et Robinho étaient attendus avec la "Seleçao" pour le premier entraînement de la semaine. Dans quel état physique étaient-ils? (chds)
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Veronica Araujo, l'ancienne compagne d'Adriano.
Super entraînement les brésiliens.............:D:D:D
:DPit de Hamilton et Raikkonen, aussi ! Hamilton retourne en piste derrière Hamilton, qui lui claque la porte.
Lu à l'instant sur Eurosport............
Sont nombreux ces hamilton:D
Victoire de Button devant Barrichello. 1er gp, 1ère victoire pour Brawn. Podium pour Trulli (Toyota).
Auto - Formule 1
Premier point pour Buemi, Button s'impose
29.03.2009 09:42
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Buemi. [Keystone]
Sébastien Buemi signe son premier point lors de sa première course en F1. Le Vaudois termine à la 8e place d'un GP d'Australie remporté par Jenson Button sur sa Brawn devant son coéquipier Rubens Barrichello.:content::content::content:
:content:
Melbourne, GP d'Australie, classement final
1.Button GBR/Brawn GP
2.Barrichello BRA/Brawn GP
3.Trulli ITA/Toyota
4.Hamilton GBR/McLaren
5.Rosberg GER/Williams
6.Alonso ESP/Renault
7.Glock GER/Toyota
8.Buemi SUI/Toro Rosso
C'est un bon dimanche:D
Quel GP !! Franchement, Vettel est le grand fautif de cette manoeuvre !
Slimdean
29/03/2009, 09h52
En tout cas... com' d'hab' : la poisse pour Raikonen et le bol pour Hamilton ! Ca, ça n'a pas changé !
Quel GP !! Franchement, Vettel est le grand fautif de cette manoeuvre !
Ouaip, il s'est manqué grave:DFait partie de la course......
manu94600
29/03/2009, 10h45
C'est quoi ce résultat ? :fou:
Pas une seul Ferrari :)
Oui c'est fou comment il à trop de chance Hamilton :diable:
Red Bull
29/03/2009, 11h29
:content:
Melbourne, GP d'Australie, classement final
1.Button GBR/Brawn GP
2.Barrichello BRA/Brawn GP
3.Trulli ITA/Toyota
4.Hamilton GBR/McLaren
5.Rosberg GER/Williams
6.Alonso ESP/Renault
7.Glock GER/Toyota
8.Buemi SUI/Toro Rosso
C'est un bon dimanche:D
:mdr:, c'est pas l'ancienne écurie Honda ? :D:D
Tous les commentaires sur la F1, n'ont rien à faire dans ce topic qui s'intitule : "Toutes News Sportives autres que moto" où avez vous vu que la F1 c'est du sport ?:diable:
:sors
Edit, j'avais oublié une question : le classement c'est avant ou après les réclamations pour non-conformité ?:)
:sors une deuxième fois
:diable:Oui ancienne écurie honda.........
Le chat, gaffe en traversant la route........:p
Je fais gaffe, de plus en plus d'ailleurs;)
Mais n'avais je pas raison ? Le classement a déjà été modifié suite à je ne sais quel souci, mais bon, j'avais vu juste :p
:D
Melbourne, GP Australie
1.Button GBR/Brawn GP1h34'15"780
2.Barrichello BRA/Brawn GP + 0"807
3.Hamilton GBR/McLaren 2"914
4.Glock GER/Toyota 4"435
5.Alonso ESP/Renault 4"879
6.Rosberg GER/Williams 5"722
7.Buemi SUI/Toro Ros 6"004
8.Bourdais FRA/Toro Ros 6"298
9.Sutil GER/F.India 6"335
10.Heidfeld GER/BMW Saub 7"085
11.Fisichella ITA/F.India 7"374
12.Trulli ITA/Toyota 26"604
13.Webber AUS/Red Bull 1 tour
14.Vettel GER/Red Bull 2 tours
CONSTRUCTEURS
1.Brawn GP 18
2.McLaren 6
3.Toyota 5
4.Renault 4
5.Toro Rosso 3
.Williams 3
Trulli et Vettel pénalisé
Jarno Trulli, pénalisé de 25 secondes après le Grand Prix d'Australie, a perdu sa troisième place aux dépens de Lewis Hamilton en raison d'un dépassement derrière la voiture de sécurité.
Sebastian Vettel, coupable d'avoir continué à rouler alors que sa roue avant gauche était arrachée après un accrochage avec Robert Kubica, a été condamné par la FIA à 10 places de pénalité sur la grille de départ de dimanche prochain en Malaisie.
Brawn GP licencie
L'écurie Brawn GP a annoncé le licenciement d'un tiers de son effectif quelques heures après son triomphe en Australie. "Il s'agit d'environ 270 emplois supprimés", déclare Nick Fry, directeur général de l'écurie créée cette saison après la reprise par Ross Brawn de Honda qui avait succédé à BAR en 2006.
"Nous sommes actuellement autour de 700 et nous voulons revenir à environ 430, ce qui était le niveau que nous avions en 2004 (ndlr: à l'époque de BAR), explique-t-il. C'est regrettable mais c'est la conséquence des nouveaux règlements techniques et il ne faut pas oublier que nous sommes une écurie privée."
:content:Pas grave pour Buemi le chat................... Il gagne une place:p:DPar contre pour les 270 personnes congédiées..........:bad:
:content:Pas grave pour Buemi le chat................... Il gagne une place:p:DPar contre pour les 270 personnes congédiées..........:bad:Si je comprends bien Trulli passe de 3ème à 12 ème ?
Pour les licenciés, c'est le règlement le fautif :fou:c'est mieux d'entendre ça qu'être sourd, mais il va arriver un moment où certains vont prendre des bourres pifs bien mérités.:diable:
29/03 21h08 - Tennis, ATP, Miami
Federer rejoint Dent
Le Suisse Roger Federer s’est qualifié pour les 8es de finale au détriment de l’Allemand Nicolas Kieffer (6/4 6/1).
Roger Federer n’a pas tremblé face à Nicolas Kiefer, un joueur qu’il avait déjà battu 11 fois en 14 confrontations. Le Suisse n’a eu besoin que d’1h10 pour se débarrasser de l’Allemand dimanche (6/4 6/1) et retrouvera Taylor Dent en 8es de finale.
Résultats du 3e tour :
Roddick (EU, 5) - Tursunov (Rus, 25) 7/6 6/2
Dent (EU, q) - Robredo (Esp, 15) 7/5 6/3
Federer (Sui, 2) - Kiefer (All, 28) 6/4 6/1
Les Chinoises championnes du monde de curling
29.03.2009
http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2009/swisstxt20090329_10510242_7.gif
Yan Zhou et les Chinoises sur le toit du monde. [Keystone]
Les Chinoises, vice-championnes du monde l'an passé, ont remporté le titre de championnes du monde de curling. En finale, les Asiatiques ont dominé les Suédoises 8-6. La médaille de bronze revient au Danemark.
La Chine a remporté pour la première fois depuis la création de l'épreuve en 1979 le titre de championne du monde dames, à Gangneung (CdS). Les Chinoises, vice-championnes du monde 2008, se sont imposées en finale 8-6 devant les Suédoises d'Anette Norberg, double championne du monde et championne olympique en titre.
La Chine avait terminé à la première place de la phase de poules avec un bilan de dix victoires pour une seule défaite, concédée lors de leur premier match contre le Canada, champion du monde sortant. Les Chinoises, dont la première apparition dans des Championnats du monde remonte à 2003, avaient créé la sensation en 2008 en atteignant la finale où elles s'étaient inclinées devant le Canada.
Slimdean
30/03/2009, 09h20
:D
Melbourne, GP Australie
1.Button GBR/Brawn GP1h34'15"780
2.Barrichello BRA/Brawn GP + 0"807
3.Hamilton GBR/McLaren 2"914
:p:D:bad:
Euh, je crois bien qu'elle est pô super fidèle la PussyCat Doll d'Hamilton !
:diable:
Geslin succède à Chavanel
Anthony Geslin (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs25139.shtml) (Française des jeux (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea309.shtml)) a signé l'une des plus belles victoires de sa carrière en remportant en La Flèche Brabançonne, semi-classique. Il devance son compatriote Jérôme Pineau (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs23285.shtml) (Quick Step) et succède ainsi à un autre Français au palmarès, Sylvain Chavanel.
Le Français Anthony Geslin (Française des Jeux) a remporté dimanche au sprint la Flèche Brabançonne cycliste à Alsemberg où il a devancé un autre Français, Jérôme Pineau, et l'Allemand Fabian Wegmann. Geslin, 27 ans, succède à son compatriote Sylvain Chavanel vainqueur l'an dernier. Il s'agit de son premier succès cette saison. Le Français faisait partie d'un groupe de huit attaquants (avec Leukemans, Pineau, Willems, Knees, Wegmann, Florencio et Kroon) échappés à 27 kilomètres de la ligne.
Pineau, l'ami
"J'étais sans doute le plus rapide du groupe et c'était un long sprint, ce qui me convient parfaitement", a expliqué Geslin. Deuxième, son compatriote Jérôme Pineau se montrait philosophe. "La deuxième place, c'est la plus mauvaise. Il y a de quoi être déçu car je n'ai plus gagné depuis longtemps. La victoire d'Anthony est toutefois une petite consolation car il est l'un de mes meilleurs amis", a expliqué Pineau.
"Ma condition est bonne. L'équipe pourra compter sur moi lors des classiques ardennaises, les courses qui me conviennent le mieux", a encore dit le coureur de Quick Step.
http://i.eurosport.fr/2009/03/29/510003-4161490-317-238.jpg
Génial !!
La déroute de Ferrari
La Scuderia Ferrari (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea322.shtml) n'a pas vécu le Grand Prix idéal en Australie. Qualifiés en sixième et septième position sur la grille de départ, Felipe Massa (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs20255.shtml) et Kimi Räikkönen (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs12864.shtml) ont failli en course et ont tous les deux abandonné.
Ferrari avait tout mis en oeuvre pour réaliser un bon début de saison. Les essais hivernaux se sont globalement bien déroulés et l'équipe avait convié Michael Schumacher (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs1061.shtml) à Melbourne (http://www.eurosport.fr/formule-1/venue_ven463.shtml) pour bénéficier de ses conseils avisés. Le début du week-end a d'ailleurs été prometteur avec des temps intéressants signés lors des trois séances d'essais libres. Au cours de la séance de qualification, les deux pilotes Ferrari sont également parvenus à accrocher les 6e et 7e chronos à la faveur des déclassements des pilotes Toyota (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea2973.shtml). Felipe Massa se voulait pourtant prudent à l'heure d'aborder la course. "La première manche de la saison en Australie est toujours un pas vers l'inconnu, spécialement sur une piste glissante où les accidents sont probables", prédisait le Brésilien la veille du GP.
http://i.eurosport.fr/2009/03/28/509687-4156056-151-113.jpg
Dimanche, le fiasco a été total pour les Rouge. Dès le départ, Felipe Massa et Kimi Räikkönen ont du composer avec leurs pneus "très tendre" qui se sont rapidement dégradés. "C'est très difficile d'amener les pneus en température ici, en partie à cause de la surface de la piste qui ne fournit pas beaucoup d'adhérence" , indiquait Felipe Massa. Les deux pilotes revenaient alors rapidement aux stands, peu après le 10e tour, et perdaient un temps précieux. Reparti au milieu du peloton, Felipe Massa n'a alors jamais réussi à remonter dans les points. Puis c'est la fiabilité de la F60 qui a été mise en cause avec un problème hydraulique survenu à une dizaine de tours de l'arrivée et qui l'a obligé à abandonner. Lucide, le Brésilien est revenu sur cet incident à l'issue de la course. Il n'est pas allé par quatre chemins pour expliquer ce qu'il lui restait à faire. "La solution pour la Malaisie ? Travailler et travailler encore plus !", a-t-il clamé.
Son coéquipier n'a pas fait mieux en partant en tête-à-queue peu de temps après. "J'ai terminé dans le mur et c'est de ma faute, a indiqué le Finlandais. C'est dommage car lorsque l'on voit ce qui s'est passé après, j'aurais pu finir deuxième. Nous avons perdu de gros points mais nous essayerons de nous refaire en Malaisie. Nous avons besoin d'améliorer nos performances globales."
http://i.eurosport.fr/2009/01/12/491389-3849528-151-113.jpg
De son côté, Stefano Domenicali regrettait que ses voitures n'aient pas confirmé après des essais hivernaux prometteurs. Mauvais choix de pneus et de stratégie, le directeur de Ferrari n'a éludé aucun des points noirs aperçus en Australie. "Pour résumer, c'est une journée à oublier du point de vue du résultat mais nous devons bien nous en souvenir pour essayer d'analyser ce qui n'a pas marché et s'améliorer immédiatement", a-t-il annoncé. Dès le week-end prochain à Sepang (http://www.eurosport.fr/formule-1/venue_ven479.shtml), Ferrari aura l'occasion de se racheter avec le Grand Prix de Malaisie.
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Pour moi, cela ne veut rien dire : Massa avait abandonné l'an dernier et on voit comment il a fini la saison !
Nouveautés : Que faut-il en penser ?
A l'issue du Grand Prix d'Australie, quels enseignements peut-on tirer des nouveautés mises en place par la FIA ? Notre rédaction vous aide à comprendre.
Les diffuseurs arrière en question
La polémique avait enflé avant même les premiers tours de roues lorsque Ferrari (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea322.shtml), Renault (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea326.shtml) et BMW (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea6777.shtml) avait posé une réclamation quant à la validité des diffuseurs arrière des Brawn (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea12815.shtml), Williams (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea325.shtml) et Toyota (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea2973.shtml), jeudi. Au final les trois écuries ont fait appel et seront entendues après le Grand Prix de Malaisie par la Cour d'appel de la FIA.
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Quoi qu'il en soit, les équipes aux diffuseurs arrière suspects sont parvenues à occuper six des sept premières places sur la grille de départ - avant le déclassement des Toyota -. En revanche, en course, si les Brawn ont dominé les débats, on ne peut pas dire que l'avantage supposé des Williams et des Toyota se soit montré insurmontable. Vettel (Toro Rosso (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea6824.shtml)) et Kubica (BMW) seraient ainsi certainement montés sur le podium sans leur accident en fin de course. Le Polonais serait peut-être même parvenu à reprendre Button pour la victoire.
Ce n'est pas sûr qu'une décision de la FIA de revenir sur ce diffuseur arrière soit suffisante pour rééquilibrer les forces en présence. Pour l'heure, les résultats des Brawn, Williams et Toyota restent sous le coup d'une décision de l'instance internationale qui se prononcera après la Malaisie. La polémique n'est pas terminée.
Le KERS : "Je t'aime, moi non plus"
Décidément, difficile de se faire une idée précise sur le système de récupération de l'énergie cinétique (KERS). Loué par certains, remis en cause par d'autres, il ne semble pas encore faire l'unanimité. "Je pense au moins que le KERS m'a aidé à défendre ma position avec succès" , annonçait Heidfeld (BMW), qui n'a pourtant pas fait mieux que 14e à l'arrivée. Fernando Alonso (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs11697.shtml) (Renault), de son côté, est très critique envers le système. "Le KERS n'a pas fait une énorme différence et j'ai été un peu déçu de son efficacité" , annonçait-il. Au contraire de Kimi Räikkönen (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs12864.shtml) (Ferrari) qui louait son efficacité lors des phases de départ. "Le KERS a bien fonctionné au départ", affirmait-il. Difficile de savoir quel est son réel potentiel. Peut-être que la Malaisie, avec ses longues lignes droites, apportera un surcroit de réponses aux pilotes et aux écuries, dès la semaine prochaine.
La course à 17h (8h en France) : Les Européens satisfaits, les pilotes moins.
Les fans européens l'avaient noté. Plus besoin de régler leur réveil à 4h du matin pour voir le départ du premier Grand Prix de la saison. Cette année, les organisateurs avaient en effet décidé de programmer le départ à 17h, heure locale (8h en France). Un choix judicieux pour les téléspectateurs, un peu moins pour les pilotes qui ont du s'accommoder d'un soleil rasant une bonne partie de la course. Si certains, à l'image de Sébastien Bourdais (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs24503.shtml), ont déjà connu des situations similaires lors d'épreuves d'endurance, la grande majorité des pilotes découvrait ces conditions particulières. Au final, il n'y a pas eu d'incidents relatifs à la visibilité, heureusement...
La voiture de sécurité, difficile d'y voir clair.
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L'accident de Kazuki Nakajima (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs108327.shtml) (Williams) au 19e tour de la course a été l'occasion d'entrevoir pour la première fois la voiture de sécurité depuis la modification du règlement. Il semblerait que la nouvelle règle mise en place sous le régime de "Safety Car" (un temps est imparti à chaque pilote pour rentrer au stand, ndlr) soit meilleure que la précédente mais elle reste encore perfectible. Rubens Barrichello (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs1062.shtml) (Brawn) a ainsi immédiatement été rappelé par son équipe après l'accident de Nakajima tout comme son coéquipier, Jenson Button (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs1068.shtml), pour éviter de mauvaises surprises. La suite a été une longue attente derrière la voiture de sécurité pour que l'ensemble des voitures ait le temps de se regrouper. En conséquence, les pneus et les moteurs ont refroidi. C'est décidément un point de règlement à revoir une nouvelle fois.
Les pneus, véritable casse-tête
Les deux choix de pneus pour ce premier GP de la saison, "tendre" et "très tendre", se sont avérés être un véritable casse-tête pour les équipes. Ferrari a été la première à souffrir d'un mauvais choix en décidant d'équiper ses pilotes de pneus "très tendre" pour le premier relais. "C'est très difficile d'amener les pneus en température ici, en partie à cause de la surface de la piste qui ne fournit pas beaucoup d'adhérence", indiquait Felipe Massa (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs20255.shtml). Résultat : Räikkönen, Massa et Hamilton (McLaren (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea321.shtml)), tous trois partis avec les gommes les plus tendres, devaient rentrer peu après le 10e tour pour s'équiper de gommes plus dures.
Sebastian Vettel (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs86903.shtml) (Toro Rosso) devait lui aussi faire face à un problème de pneu dans les derniers tours. L'Allemand, obligé de chausser les gommes "très tendre" pour son dernier relais, perdait ainsi régulièrement entre 0.6 et 0.8 sec. au tour sur Robert Kubica (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs76329.shtml) (BMW) équipé de pneus plus durs et plus rapides. Comment résoudre ce problème avant la Malaisie ? "Travailler et travailler ", a martelé Massa.
http://i.eurosport.fr/2009/03/29/509979-4161038-458-238.jpg
Renault tombe de haut
Fernando Alonso (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs11697.shtml) (Renault (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea326.shtml)), battu par Timo Glock (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs27931.shtml) (Toyota (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea2973.shtml)), a fustigé le KERS. Brouillon et mal qualifié, Nelson Piquet (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs27510.shtml) a effectué une sortie de route bizarre dont Pat Symonds l'a dédouané.
Il ne faut pas se raconter d'histoires : Renault allait à Melbourne (http://www.eurosport.fr/formule-1/venue_ven463.shtml) pour gagner. Avant de venir, Fernando Alonso avait prévenu qu'il avait 70% de chances de décrocher le titre. D'accord, la saison s'étale sur 17 rendez-vous et l'heure n'est pas aux conclusions, mais la première levée du championnat a sérieusement douché les ambitions de l'équipe française à court terme.
Recalé en Q2 suite à une faute sous la pression de Nick Heidfeld (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs1072.shtml) (BMW (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea6777.shtml)) qui venait de l'éjecter du top 10, Fernando Alonso était remonté de la 12e à la 10e place sur la grille, avec l'intéressante perspective de pouvoir définir sa stratégie. Il avait choisi de rouler lourd, avec une Renault affichant 680.7 kg sur la balance, soit la septième machine la plus lourde du plateau ; en comptant les 30 à 40 kg accusé par le KERS, également supporté par les Ferrari (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea322.shtml), McLaren (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea321.shtml), l'autre R29 de Piquet et la BMW de Nick Heidfeld. Bref, l'Espagnol avait fait ses provisions pour 58 tours d'une course australienne habituée à produire des scenarii décousus par le passé.
Malheureusement pour lui, l'as des Asturies s'est retrouvé dans la pagaille du premier virage, occasionnée par le ricochet Kovalainen-Barrichello-Webber-Heidfeld. Pas d'autre solution que quitter le bitume pour éviter les épaves… "Une 6e place n'est pas un résultat fantastique mais nous devons en être satisfaits car nous avons débuté la course dans des conditions très difficiles", a expliqué le double champion du monde à l'arrivée, avant que le déclassement de Jarno Trulli (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs22508.shtml) (Toyota), de la 3e à la 12e place, ne lui offre la 5e position.
"Le système KERS n'a pas fait une énorme différence"
"J'ai été poussé en dehors de la piste dans le premier virage, je suis passé dans l'herbe, et j'ai repris la course bon dernier" , a-t-il rappelé. C'était pour guerroyer avec le pugnace Timo Glock et sa compétitive Toyota, dégringolés de la 6e place en qualif à l'avant dernière pour une question de flexibilité d'aileron arrière hors normes.
"A partir de là, les choses sont devenues difficiles et marquer des points est remarquable", a repris l'Espagnol. "Grâce aux faits de course et aux neutralisations, nous terminons en 6e (ndlr : 5e). En considérant les résultats de nos rivaux, nous pouvons être contents". Ferrari et BMW ont fait un zéro pointé et une seule McLaren a fini (3e).
Cela ne lui a sans doute pas fait plus plaisir que ça de surprendre l'Allemand au 27e des 58 tours pour la 11e position, et se rendre compte qu'il ne parvenait pas à le lâcher. Vu du cockpit de la TF109, il n'y avait pas match. "Il utilise le KERS à chaque fois !", constatait l'Allemand à la radio. Pourtant, le champion 2005-2006 fulminait sous son casque. "Le système KERS n'a pas fait une énorme différence et j'ai été un peu déçu de son efficacité" , a-t-il lancé. Plusieurs de ses confrères avait effectivement confié après les essais qu'ils en espérait plus en course. "Il nous faudra aussi optimiser l'utilisation de nos pneumatiques lors de la prochaine course", a ajouté l'Ibère, qui avait gardé ses pneus "très tendre" pour les 6 derniers tours, parce qu'il ne pouvait pas tenir plus.
L'étrange sortie de Piquet
Aussi, la neutralisation provoquée par l'accident de Kazuki Nakajima (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs108327.shtml) (Williams (http://www.eurosport.fr/formule-1/team_tea325.shtml)) l'a incité à rentrer plus tôt que prévu. Sans compter qu'il faillit ne pouvoir éviter Giancarlo Fisichella (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs1069.shtml), garé en travers devant le stand Force India… 13e, tout était à refaire... Mais au 53e tour, il se soumettait à la loi de la vitesse de Timo Glock après une jolie bagarre de trois virages.
Dimanche, Renault s'est contenté de quatre points car Nelson Piquet n'a pas fini. Insignifiant aux essais (17e), le Brésilien s'est calé dans un bac à gravier au 26e tour, au restart. La scène fut étrange et l'on cru que la machine du Brésilien avait touché la Williams de Nico Rosberg (http://www.eurosport.fr/formule-1/person_prs24524.shtml) en pleine ligne droite. "Lorsque j'ai touché les freins, la pédale est allée au fond" , s'est justifié le jeune Pauliste, qui sait sa seconde saison chez Renault décisive.
"La sortie de Nelson semble avoir été causée par un problème lié au système de freinage, mais nous ne savons pas encore exactement de quoi il s'agit", a prudemment avancé Pat Symonds, le directeur exécutif de l'Exploitation. Cependant, on ne comprend pas comment la R29 est partie dans une telle embardée. La communication adoptée autour de l'incident mystère tend surtout à suggérer que l'équipe tente de le protéger d'une pression qui va aller crescendo s'il n'apporte pas rapidement des garanties sur sa compétitivité.
:diable:Minces les nouvelles........... Ben un chtit tour des.....
Qui est la femme la plus sexy des paddock?
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Nicole Scherzinger, la compagne de Lewis Hamilton.
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Raquel Del Rosario, en couple avec Fernando Alonso.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/6/13/media_l_886828.jpg
Isabel Reiss, la femme de Timo Glock.
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Jessica Michibata (avec Jenson Button).
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Patricia Papen, madame Heidfeld.
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Rafaela Bassi (ici avec Felipe Massa).
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Jenni Dahlman partage la vie de Kimi Raikkonen depuis quelques années.
Si la Formule 1 n'a pas été épargnée par la crise, le glamour n'a pas encore disparu des paddock. De Nicole Scherzinger (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1514/Formule-1/photoalbum/detail/482424/Femme-de-paddock-Nicole-Scherzinger.dhtml) à Isabel Reiss en passant par Raquel Del Rosario, le championnat du monde de F1 a bel et bien commencé ! (chds)
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/9/7/media_xl_886882.jpg
Rafaela Bassi, avec son mari Felipe Massa
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/15/9/media_xl_886854.jpg
Jessica Michibata, Madame Button, avec Paris et Nicky Hilton.
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Madame Alonso, Raquel del Rosario
webamanu
31/03/2009, 19h36
:D
Brawn GP licencie
L'écurie Brawn GP a annoncé le licenciement d'un tiers de son effectif quelques heures après son triomphe en Australie. "Il s'agit d'environ 270 emplois supprimés", déclare Nick Fry, directeur général de l'écurie créée cette saison après la reprise par Ross Brawn de Honda qui avait succédé à BAR en 2006.
"Nous sommes actuellement autour de 700 et nous voulons revenir à environ 430, ce qui était le niveau que nous avions en 2004 (ndlr: à l'époque de BAR), explique-t-il. C'est regrettable mais c'est la conséquence des nouveaux règlements techniques et il ne faut pas oublier que nous sommes une écurie privée."
Voici une honte, annoncés des licenciements alors que les employés étaient surement heureux de la victoire de leur team. :bad:
Voici une honte, annoncés des licenciements alors que les employés étaient surement heureux de la victoire de leur team. :bad:
Aussi mon avis.........Pas fini, bien des surprises nous attendent......:boutons:
éliminatoires mondial 2010 genève
La suisse s'entête toujours
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/suisse_2.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/suisse_2.jpg)
Image © Sébastien Féval
Frei vient de marquer le but de la sécurité pour l'équipe de Suisse. Barnetta et Magnin le félicitent
Suisse - Moldavie 2-0 (1-0). En s'imposant hier, l'équipe nationale reste sur une série historique de quatre succès de rang en qualifications! Mais, pour passer en tête de son groupe, elle devra encore patienter
Renaud Tschoumy - le 01 avril 2009, 23h15
Le Matin
2-0, grâce à deux réussites de ses artificiers Blaise Nkufo et Alexander Frei: la Suisse a rendu une copie presque similaire à celle de samedi dernier à Chisinau, au niveau du score à tout le moins. Elle a cependant fait preuve d'une maîtrise bien plus grande, et n'aura «tremblé» que dans les dernières minutes. Mais à ce moment de la partie, au contraire de qui s'était produit en Moldavie, elle menait déjà 2-0.
Pour que la soirée soit parfaite, il aurait fallu qu'Israël ramène un point de son déplacement grec. Tel ne fut pas le cas. La Grèce continue donc à mener le bal dans ce groupe 2 grâce à sa différence de buts favorable, mais la Suisse continue à s'entêter.
Les deux prochains matches - contre la Grèce et chez la menaçante Lettonie - s'annoncent décisifs. Et les joueurs de Hitzfeld peuvent s'enorgueillir d'une statistique jamais atteinte dans une phase de qualifications: ils viennent de remporter quatre succès consécutifs! S'ils poursuivent sur leur lancée, ils décrocheront à coup sûr leur billet pour l'Afrique du Sud.
un seul point noir
Il faudra pour cela qu'ils parviennent à encore augmenter leur niveau de jeu. Car hier à Genève, au son inlassable des tambours... brésiliens, les Suisses n'ont pas fait dans la samba. Tout au plus auront-ils, en deux accélérations gagnantes, fait l'essentiel, à savoir mettre la défense moldave hors de position.
Les deux buts - ce n'est pas un hasard, tant s'en faut - sont venus du flanc droit, où Lichtsteiner et Padalino ont confirmé leur bonne entente d'abord, leurs indéniables qualités individuelles ensuite. L'ange blond de la Sampdoria a été le meilleur homme sur le terrain et s'est affirmé comme le véritable dépositaire du jeu offensif suisse, s'appuyant sur le duo Huggel-Inler qui, cette fois, n'a pas égaré de ballons inutilement.
Le seul point noir de la soirée est venu de... l'arbitre italien Gianluca Rocchi, qui a cru bon avertir Lichtsteiner à la 77e minute pour une faute de main aussi involontaire que bénigne. Le problème, c'est que ce carton privera le latéral de la Lazio du sommet contre la Grèce, le 5 septembre prochain.
Au vu de l'ascension de celui qui est déjà surnommé «Liftsteiner», cette suspension représente assurément une tuile pour Ottmar Hitzfeld.
LA RENCONTRE
Stade de Genève, 20 100 spectateurs. Arbitre: M. Rocchi (It).
Buts: 20e Nkufo 1-0. A l'origine d'un premier relais sur le flanc droit, Lichsteiner dépose le ballon sur la tête de Nkufo, lequel s'entête avec succès puisque sa reprise, d'une puissance inouïe, s'en vient «gicler» sous la barre. Le Vaudois signe là son 5e but des qualifications (en 6 matches), son 7e en 24 sélections.
53e Frei 2-0. Servi par Lichsteiner, Huggel change intelligemment le jeu. Son centre trouve le capitaine Alex, qui, du pied droit, marque son... 39e but en 67 sélections. Blaise + Alex: les deux buteurs auront ainsi pris la parole.
Suisse: Benaglio; Lichtsteiner, Senderos, Grichting, Magnin; Padalino (86e Abdi), Inler, Huggel (72e Dzemaili), Barnetta; Frei, Nkufo (84e Derdiyok). Entraîneur: Hitzfeld.
Moldavie: Namasco; Savinov, Lascencov, Golovatenco, Manaliu (79e Tigirlas); Bulat, Onica, Cebotaru, Gatcan (57e Alexeev); Bugaiov, Calincov (67e Andronic). Entraîneur: Dobrovolski.
Notes: la Suisse sans Behrami, Spycher (blessés). Le gardien Wölfli, Müller, Ziegler et Stocker sont dans les tribunes. La Moldavie sans Epureanu (suspendu). Une minute de silence est observée à la mémoire des victimes de la bousculade meurtrière d'Abidjan qui s'était produite dimanche avant le match entre la Côte d'Ivoire et le Malawi. 78e: sauvetage de Senderos sur la ligne après une frappe de Andronic sur le poteau. 84e: sortie de Nkufo sur blessure.
Avertissements: Bulat (16e, faute sur Padalino), Gatcan (45e, faute sur Lichtsteiner), Lichtsteiner (77e faute de main sévère/suspendu contre la Grèce).
Coups de coin: 8-2 (5-0).
F1
Lewis Hamilton exclu du GP d'Australie
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Image © Keystone
La FIA a décidé d'exclure le Britannique (McLaren-Mercedes) du GP d'Australie dans lequel il avait été classé 3e dimanche dernier. La FIA rend en outre sa 3e place à l'Italien Jarno Trulli (Toyota), déclassé dans un premier temps au 12e rang. Ces décisions ne touchent pas le Vaudois Sébastien Buemi, 7e de ce Grand Prix.
le 02 avril 2009, 11h42
LeMatin.ch & les agences
"Les commissaires de course, au regard des nouveaux éléments leur ayant été présentés, considèrent que le pilote Lewis Hamilton a agi de manière préjudiciable (...) en apportant des preuves délibérément erronées aux commissaires" de course australiens, qui l'avaient entendu après la course, selon la FIA. Celle-ci n'a pas apporté d'autres précisions.
Troisième après une remontée fantastique alors qu'il était parti des stands, Jarno Trulli avait écopé après la course d'une pénalité de 25 secondes. Il avait été sanctionné pour avoir dépassé Lewis Hamilton alors que la voiture de sécurité était en piste.
Tennis
Federer s'en sort bien contre Roddick
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/federer_0402.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/federer_0402.jpg)
Image © Keystone
Roger Federer disputera vendredi les demi-finales du tournoi de Miami. Le Bâlois s'est hissé dans le dernier carré à la faveur de sa victoire en trois sets, 6-3 4-6 6-4 devant Andy Roddick.
le 02 avril 2009,
LeMatin.ch & les agences
Roger Federer disputera vendredi les demi-finales du tournoi 1000 de Miami. Le Bâlois s'est hissé dans le dernier carré à la faveur de sa victoire en trois sets, 6-3 4-6 6-4 devant Andy Roddick.
"J'ai eu de la chance de m'en sortir", avouait le Bâlois après sa dix-neuvième victoire sur l'Américain. Après avoir dominé la rencontre pendant un set et demi, il a subi l'ascendant d'un Roddick particulièrement mordant. A 3-3 dans la troisième manche, Federer a, ainsi, dû écarter deux balles de break qui avaient peut-être le poids de deux balles de match.
Le no 2 mondial pouvait "survivre" en armant deux services gagnants. A 5-4, il forçait la décision à la relance sur deux passings en revers.
Ce vendredi, Roger Federer sera opposé à Novak Djokovic. Titré à Miami en 2007, le Serbe s'est imposé 6-3 6-4 devant Jo-Wilfried Tsonga. Une belle revanche dans la mesure où le no 3 mondial restait sur quatre défaites de rang devant le Français.
Mondial 2010, zone Amsud
Une gifle pour le «onze» de Maradona
L'Argentine a été humiliée par la Bolivie 6-1, à La Paz en altitude, lors de la 12e journée des qualifications de la zone Amsud pour la Coupe du monde 2010.
Ouaip, la fessée.................:fou:
Hamilton disqualifié !
La sanction est tombée officiellement ce jeudi. Alors que toutes les équipes ont l'esprit tourné vers la Malaisie, la FIA a annoncé la disqualification de Hamilton en Australie. Le Britannique est sanctionné pour avoir caché des preuves aux commissaires de course ce qui avait conduit à une pénalité contre Trulli et lui avait offert une place sur le podium. Jarno Trulli (http://www.sports.fr/f1/pilotes/trulli-jarno.html) retrouve sa 3e place tandis qu'Hamilton perd gros.
http://www.sports.fr/images/200914/hamilton_sepang_sanction_reut.jpg Lewis Hamilton avait menti pour se retrouver en 3e place en Australie. (Reuters)
Les circuits F1 en 3D
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commentés par Leinders et Vigneron
www.rtbf.be/sport</SPAN>
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Un petit mensonge et de gros effets. Car on ne transige pas avec la discipline. Encore moins lorsqu'on est champion du monde. Lewis Hamilton (http://www.sports.fr/f1/pilotes/hamilton-lewis.html) l'a appris à ses dépens ce jeudi. A peine débarqué sur le circuit de Sepang, il a été convoqué par les commissaires de course. La cause ? De nouvelles preuves, en l'espèce des communications radio entre McLaren et Toyota (http://www.sports.fr/f1/ecuries/toyota.html) durant le Grand Prix d'Australie le week-end dernier, qui ont mis en exergue l'absence de faute de la part de Jarno Trulli qui avait pourtant été sanctionné de 25 secondes à l'issue de la première course de l'année pour avoir dépassé Hamilton sous safety car.
Si l'Italien s'était défendu d'avoir délibérément doublé le Britannique, Toyota n'avait pas jugé utile de faire appel, la jurisprudence étant défavorable. Les commissaires de course ont néanmoins immédiatement réagi et statué dans la foulée en déclarant: "Lewis Hamilton et McLaren Mercedes (http://www.sports.fr/f1/ecuries/mclaren-mercedes.html) ont agi de manière préjudiciable à la bonne conduite de l'épreuve en fournissant des preuves qui a délibérément induit en erreur les stewards lors de l'audition du 29 mars, ce qui représente une entorse à l'article 151c du code sportif international."
McLaren ne fera pas appel
"Il n'y a eu aucun mensonge lors de l'audition. Nous avons commis une erreur. Nous n'avons pas fourni la conversation radio dans son ensemble car nous pensions qu'elle serait écoutée dans tous les cas et nous n'estimions pas que cet élément serait pris en compte par les stewards", s'est défendu Martin Whitmarsh, le responsable de l'écurie anglo-saxonne. La culpabilité de McLaren a néanmoins semblé suffisamment évidente aux commissaires qui n'ont guère hésité avant de se prononcer.
Par voie de conséquence, l'application de l'article 158 a entraîné la disqualification pure et simple de Lewis Hamilton et McLaren Mercedes de l'épreuve. Une décision qui annule de fait la sanction à l'encontre de Jarno Trulli qui récupère donc le gain de la troisième place et les 6 points qui vont avec ! McLaren ayant déclaré ne pas souhaiter faire appel, le classement final de l'épreuve est donc modifié une dernière fois, mais sans aucune conséquence pour les pilotés classés au-delà de la quatrième place, ce qui permet au passage à Sébastien Bourdais (http://www.sports.fr/f1/pilotes/bourdais-sebastien.html) de conserver 1 point.
Le miraculeux podium de Lewis Hamilton n'étant plus qu'un doux rêve, McLaren Mercedes repart donc de zéro. Cela donne une ampleur supplémentaire aux soucis rencontrés en ce début de saison. Malgré plusieurs améliorations, la MP4-24 est bien moins rapide que les monoplaces de tête. Le week-end malais a mal débuté. Il y a de grandes chances que les difficultés se poursuivent jusqu'à dimanche...
F1
Lewis Hamilton exclu du GP d'Australie...
Et hop !! encore un nouveau classement :bad:
Je ne croyais pas sibien dire l'autre jour au sujet du classement et des déclassements :D:D
La F1 n'est absolument plus crédible, je trouve complètement dingue que ça puisse encore intéresser qui que ce soit:diable:
Pardon pour les passionnés, mais c'est du grand n'importe quoi...:diable:
Red Bull
02/04/2009, 20h57
Dire que les dirigeants du MotoGP s'inspirent de la F1 ... :bad::bad:
:cadeaux:Pour Pasky
Formule 1
McLaren-Mercedes: directeur sportif suspendu
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/f1_6.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/f1_6.jpg)
Image © Keystone
L'écurie de Formule 1 a suspendu de ses fonctions son directeur sportif Dave Ryan, à la suite du déclassement du pilote Lewis Hamilton du Grand Prix d'Australie pour avoir menti aux commissaires sur un incident de course.
le 03 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
"Son rôle dans les événements de dimanche dernier (...) a eu de graves conséquences pour l'équipe et nous nous en excusons. C'est pourquoi je l'ai suspendu ce matin (ndlr: vendredi) et il l'a accepté", a déclaré le patron de l'écurie Martin Whitmarsh.
Troisième à Melbourne, Jarno Trulli avait été déclassé pour avoir dépassé Hamilton alors que la voiture de sécurité était en piste.
Mais, "au regard des nouveaux éléments", les commissaires de course ont au contraire estimé mercredi que le Britannique avait apporté "des preuves délibérément erronées aux commissaires" australiens, avait expliqué mercredi la Fédération internationale de l'automobile (FIA). Hamilton avait par conséquent été exclu du classement tandis que Trulli récupérait sa 3e place.
Dave Ryan avait accompagné Hamilton lors de son audition sur l'incident dimanche juste après le Grand Prix.
Que tu n'aimes pas la F1 d'accord............. Moi j'aime le sport en général:amoureux:
Formule 1
Grand Prix de Malaisie: Buemi domine son coéquipier
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/buemi_mal.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/buemi_mal.jpg)
Image © Keystone
Sébastien Buemi s'est classé 17e puis 13e lors des deux séances d'essais libres en vue du Grand Prix de Malaisie. Le Suisse, 7e de la première course de la saison en Australie, a chaque fois dominé son coéquipier français Sébastien Bourdais (19e/18e).
le 03 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Buemi a progressé de manière régulière sur le circuit de Sepang. Lors de la séance initiale, son retard sur le meilleur temps établi par Nico Rosberg (All/Williams-Toyota) s'est chiffré à 1''374. Lors de la seconde séance, le Vaudois a diminué son passif à moins d'une seconde (0''921) par rapport au chrono de référence obtenu par Kimi Raikkonen (Fin/Ferrari).
La hiérarchie semble avoir de la peine à s'établir en ce début de saison. Le matin, les deux Williams ont précédé les deux Brawn-Mercedes et les deux Ferrari. L'près-midi, les machines de la Scuderia ont pris les deux premières places, devant des Red Bull-Renault en progrès (Vettel 3e, Webber 5e), Rosberg se classant 4e. Les Brawn ont cette fois dû se contenter des 6e (Barrichello) et 7e (Button) temps.
La surprise vient du comportement décevant des BMW-Sauber. Robert Kubica (Pol) a fini 13e puis17e, son coéquipier allemand Nick Heidfeld échouant pour sa part au 18e puis au 20e rang.
:DRe :cadeaux:pour Pasky, en fait j'aime tes coups de gueule, me font marrer.
TENNIS
Del Potro éjecte Nadal en quart de finale à Miami
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/delpotro.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/delpotro.jpg)Image © Keystone
L'Argentin Juan Martin Del Potro, tête de série N.6, a fait sensation hier en quart de finale du tournoi de Miami en éliminant l'Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, 6-4, 3-6, 7-6 (7/3).
le 03 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Vendredi en demi-finale, Del Potro doit affronter le Britannique Andy Murray, 4e joueur mondial, vainqueur 6-1, 6-2 de l'Espagnol Fernando Verdasco.
Nadal, vainqueur de l'Open d'Australie en janvier et du tournoi 1000 (nouveau label des Masters series) d'Indian Wells en mars, a subi sa première défaite de la saison dans un grand tournoi, la troisième seulement en 2009.
En quatre précédentes confrontations, l'Espagnol n'avait jamais été battu par l'Argentin Del Potro. Il n'avait même jamais perdu un set.
Le Majorquin, qui menait pourtant 3-0 dans la dernière manche, est parvenu à sauver trois balles de match à 6-5, notamment grâce à deux aces, mais s'est ensuite incliné au jeu décisif face à un Argentin par moments déchaîné, plus précis, très présent au filet et souvent plus puissant.
"Je n'ai pas d'excuses, Juan Martin a mieux joué que moi, a déclaré Nadal. Mais il n'a même pas eu à très bien jouer tellement je n'y étais pas."
"Il n'est pas revenu dans le jeu, c'est simplement moi qui a mal joué, j'ai mal joué tout le temps. J'ai mené trois à zéro dans le troisième set parce qu'il faisait des erreurs à ce moment-là mais moi j'ai fait pire après. C'est la vérité de ce match."
"Je n'étais pas aussi concentré que d'habitude. Perdre deux breaks d'avance dans le troisième set, ça ne m'arrive jamais normalement...
"Pour battre le N.1 mondial il faut être bon partout, dans tous ses coups, et je l'ai été, a souligné Del Potro. J'ai bien servi, j'étais en grande confiance sur mon coup droit."
Après un début de rencontre serré, Del Potro a pris le service de Nadal à 4-4 pour s'assurer la première manche.
Le N.1 mondial parvenait ensuite à écarter une balle de break à 2-1 pour Del Potro pour prendre le service adverse et mener 4-2.
Le deuxième set en poche, l'Espagnol a attaqué le dernier acte pied au plancher (3-0) avant de craquer totalement une fois le plus dur fait. Totalement dominé dans les échanges, il a subitement encaissé quatre jeux de suite et ouvert le jeu suivant sur une double faute. Tenant le coup tant bien que mal, Nadal a quand même eu les ressources de sauver trois balles de match.
"Ce qui m'arrive à 3-0 est un désastre", a remarqué le Majorquin.
Moins lucide que Del Potro dans le jeu décisif, l'Espagnol a mené 3 à 2 pour céder 5 points d'affilée et s'incliner sous les hourras de très nombreux et très bruyants fans argentins.
"Je suis un joueur qui n'abandonne jamais, ça a été la clé de ma victoire dans le tie break", a assuré Del Potro, dans la foulée du "plus grand moment de sa carrière", qu'il aura mis trois heures à aller chercher.
"Pour battre le N.1 mondial il faut être bon partout, dans tous ses coups, et je l'ai été, a souligné Del Potro. J'ai bien servi, j'étais en grande confiance sur mon coup droit."
Japon: elle tombe dans un trou et se tue en jouant au golf
Erosion du sol | Une Japonaise qui jouait au golf avec sa famille dans le nord du Japon s'est tuée en tombant dans un trou de cinq mètres qui s'était formé sous la pelouse.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/dedbfab.jpg © AFP | Sur un parcours de golf.
AFP | 03.04.2009 | 09:16
Les responsables du club de golf Le Petaw à Abira, une ville située sur l'île de Hokkaïdo dans le nord du pays, pensent que l'érosion du sol à cet endroit a probablement été provoquée par les eaux souterraines provenant de la fonte des neiges des montagnes voisines. Une enquête a été ouverte sur cet accident survenu jeudi après-midi.
"Les pompiers nous ont dit que le trou était profond de cinq mètres et que la victime était tombée dedans sous les yeux de son fils de 10 ans", a déclaré un responsable de la police de Tomakomai joint par téléphone.
Takae Gassho, 38 ans, qui jouait au golf avec son mari et son autre fils de 13 ans, a perdu conscience et est très probablement morte noyée, le visage plongé dans une mare d'eau subsistant dans la cavité large de trois mètres, mais de seulement 1,5 mètre en surface.
"L'eau de la fonte des neiges pourrait avoir creusé un trou sous la pelouse", a déclaré un responsable du club de golf, cité par un média japonais.
Selon l'Association de golf de Hokkaido, les clubs procèdent normalement à une vérification chaque jour. "Mais personne n'aurait pu voir qu'un trou était en train de se former sous la surface", a déclaré une responsable.
Le golf Le Petaw, fermé pendant l'hiver, avait rouvert ses portes le week-end dernier.
...Que tu n'aimes pas la F1 d'accord............. Moi j'aime le sport en général:amoureux:On est donc tout à fait d'accord, et l'équation est simple : j'aime le sport, j'aime pas la F1, donc la F1 n'est pas du sport CQFD:D....:DRe :cadeaux:pour Pasky, en fait j'aime tes coups de gueule, me font marrer.Tant mieux, c'est quand fait pour ça au départ:)
Red Bull
03/04/2009, 21h34
Japon: elle tombe dans un trou et se tue en jouant au golf
Erosion du sol | Une Japonaise qui jouait au golf avec sa famille dans le nord du Japon s'est tuée en tombant dans un trou de cinq mètres qui s'était formé sous la pelouse.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/dedbfab.jpg © AFP | Sur un parcours de golf.
AFP | 03.04.2009 | 09:16
"Les pompiers nous ont dit que le trou était profond de cinq mètres et que la victime était tombée dedans sous les yeux de son fils de 10 ans"
Je n'ose pas imaginer dans quel état il doit être ... C'est horrible ... Et ça risque de le poursuivre toute sa vie ...
Condoléances à la famille et aux proches.
ATP Tour key biscayne
Tournoi de Miami: Federer à la dérive
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/fed_5.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/fed_5.jpg)
Image © Keystone
Le Bâlois «saute les plombs» face à Novak Djokovic
le 03 avril 2009
Le Matin
Roger Federer ne gagnera pas son premier tournoi de l'année à Miami. Totalement méconnaissable, le numéro deux mondial s'est écroulé en demi-finale du Masters 1000, s'inclinant 3-6 6-2 6-3 contre Novak Djokovic. Pour le Bâlois, il s'agit d'une nouvelle grosse déconvenue. Tout avait pourtant bien débuté, Federer menant 5-1 après 20 minutes de jeu. Puis ce fut l'éclisse totale, avec une cascade de fautes directes - 47 en tout -, parfois grossières. C'est bien simple, on avait rarement vu un Federer aussi piteux sur un court de tennis. Et notamment sur son coup droit, son habituelle arme maîtresse.
Raquette cassée
Un épisode résume à lui seul la frustration de l'homme aux treize titres du Grand Chelem: à 0-2 dans le set décisif, il fracassait sa raquette sur le sol avec une rare violence. Un geste que le Bâlois n'avait plus commis depuis des années. Cet événement a été minimisé par le principal intéressé: «Ce n'est pas la première fois. Cela m'était déjà arrivé ici à Miami contre Nadal (défaite 6-3 6-3 au 3e tour en 2004). Je l'ai fait car je déteste perdre», a ajouté celui qui est pourtant un modèle de retenue et de fair-play.
Interrogé sur la rencontre, Federer s'est montré mi-amer, mi-ironique: «Novak a mal joué au début et j'ai fini pire que lui. J'ai eu du mal tout le match. Normalement, je parviens à gérer le vent. Mais comme rien ne fonctionnait aujourd'hui, cela s'est avéré très difficile.»
Ce n'est pourtant pas Djokovic, lui aussi sur une pente savonneuse, qui représentait la menace la plus dangereuse en Floride. Le vent, présent comme très souvent sur l'île de Key Biscayne, peut certes expliquer les tourments du Suisse. Impossible toutefois d'incriminer les seuls éléments extérieurs. Comme il l'a lui-même reconnu, Federer a trop de métier pour se laisser perturber par quelques bourrasques.
Le problème... Federer
Le véritable problème demeure Federer lui-même. L'ex numéro un mondial n'en est pas à sa première défaillance cette année. Rien qu'en 2009, son parcours est entaché de deux autres black-out notoires: cinquième set de la finale de l'Open d'Australie contre Rafael Nadal, et dernière manche de la demi-finale d'Indian Wells face à Andy Murray il y a deux semaines.
Après cette nouvelle désillusion, Federer va-t-il enfin prendre la décision que tous les experts lui recommandent? Va-t-il enfin s'attacher les services d'un coach digne de ce nom pour relancer la machine? Lui seul détient la réponse. A Key Biscayne en 1999, Federer avait aussi essuyé une élimination peu glorieuse, contre le Danois Kenneth Carlsen. Mais il n'avait que 18 ans à l'époque. Il avait dû ensuite travailler très dur avec ses entraîneurs successifs pour forger son incroyable palmarès.
Nadal battu par Del Potro «pour des raisons personnelles»...
Jeudi soir, heure américaine, Juan Martin Del Potro a fait sensation en éliminant Rafael Nadal en trois sets 6-4 3-6 7-6 (7/3). «Je n'ai pas bien joué dans ce tournoi», a reconnu le numéro un mondial.
Vainqueur de l'Open d'Australie en janvier et du tournoi 1000 d'Indian Wells en mars, Nadal a subi sa première défaite de la saison dans un grand tournoi, la troisième seulement depuis le début de l'année. En quatre précédentes confrontations, il n'avait jamais été battu par Del Potro. Il n'avait même jamais perdu un set, Rafael Nadal s'est montré irrégulier. Il menait 3-0 dans la dernière manche, s'est fait remonter, puis a sauvé trois balles de match à 6- 5 - notamment grâce à deux aces -, mais s'est ensuite incliné au jeu décisif face à un Argentin par moments déchaîné, plus précis, très présent au filet et souvent plus puissant.
«Je n'ai pas d'excuses, Juan Martin a mieux joué que moi, a déclaré Nadal. Mais il n'a même pas eu à très bien jouer tellement je n'y étais pas. Il n'est pas revenu dans le jeu, c'est simplement moi qui ai mal joué, j'ai mal joué tout le temps. Je n'étais pas aussi concentré que d'habitude (...) Il y a toujours une raison pour laquelle tu ne joues pas à ton niveau dans un tournoi, mais je la garde pour moi, c'est personnel». «Je suis un joueur qui n'abandonne jamais, ça a été la clé de ma victoire dans le tie-break», a pour sa part assuré Del Potro, dans la foulée de ce qu'il définissait comme «le plus grand moment de sa carrière».
En sets
Key Biscayne. ATP et WTA (9 millions de dollars/dur)
Messieurs. Quarts de finale: Del Potro (Arg/6) bat Nadal (Esp/1) 6-4 3-6 7-6 (7/3). Murray (GB/4) bat Verdasco (Esp/8) 6-1 6-2. Première demi-finale: Djokovic (Ser/3) bat Federer (S/2) 2-6 6-3 6-3.
Dames. Dernière demi-finale: S. Williams (EU/1) bat V. Williams (EU/5) 6-4 3-6 6-3.
Wrc - Rallye du Portugal
04/04/2009 - 15:00 Loeb veut enfoncer le clou
http://i.eurosport.fr/2009/04/03/511195-4182525-317-238.jpg
From Official Website
Infos liées :<LI class=highlight>http://layout.eurosport.fr/i/icon/arrow_bot_dark.gifClassements général étape 2 (http://www.eurosport.fr/rallye/rallye-du-portugal/2009/classement-general-etape-2_mtc276952/live.shtml) <LI class=highlight>http://layout.eurosport.fr/i/icon/arrow_bot_dark.gifTous les résultats (http://www.eurosport.fr/rallye/rallye-du-portugal/2009/calendar.shtml)
http://layout.eurosport.fr/i/icon/picto_live.gifES13 en direct ! (http://www.eurosport.fr/rallye/rallye-du-portugal/2009/es13-vascao-2_mtc276946/live.shtml)Imbattable depuis samedi matin, Sébastien Loeb (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs12716.shtml) (Citroën WRT (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea7294.shtml)) a pris la tête du rallye du Portugal aux dépens du Finlandais Mikko Hirvonen (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs25002.shtml) (Ford WRT (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea337.shtml)). Dani Sordo (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs79634.shtml) est en embuscade derrière ce dernier, et est débarrassé de la pression de son poursuivant Marcus Grönholm (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs2484.shtml) (Subaru (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea8537.shtml)) qui a abandonné.
Top 5 avant l'Etape 2 : 1-Hirvonen (FIN/Ford WRT), 2-Sordo (ESP/Citroen C4 WRT) à 15 sec, 3-Loeb (FRA/Citroen C4 WRT) à 18 sec, 4-Grönholm (Subaru Impreza) à 23.9 sec, 5-P.Solberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs2502.shtml) (NOR/Citroën Xsara) à 42.2 sec.
Ordre de passage sur la route : 1-Hirvonen, 2-Sordo, 3-Loeb, 4-Grönholm, 5-P. Solberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs2502.shtml) 6-Ogier, 7-Wilson, 8-Novikov, 9-H. Solberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs28242.shtml), 10-Ostberg, 11-Rautenbach, 12-Villagra, 13-Al-Qassimi
ETAPE 2 Santa Clara / Vascao, samedi : 6 ES (145.18 km)
ES8 Santa Clara 1 (22,61 km) : GRONHOLM ET OGIER OUT
Décidément, les débuts de journée sont très agités au Portugal. Après l'erreur de Sébastien Loeb vendredi après 300 mètres de course, c'est Marcus Grönholm qui a fait parler de lui dès les premiers kilomètres de la 8e spéciale. Le Finlandais est parti en tonneau au km 4 au volant de sa Subaru Impreza. "Marcus n'a fait qu'un tonneau et est retombé sur ses roues, mais tous les voyants étaient allumés donc il a préféré ne pas repartir" , a indiqué l'un des responsables de l'équipe Prodrive, qui avait préparé la Subaru du double champion du monde finlandais.
Cette première spéciale du jour a aussi été la dernière pour le Français Sébastien Ogier, le champion du monde Junior-WRC, malgré une réparation de fortune effectuée, en pleine spéciale, sur une biellette de sa C4. "J'aimerais faire un week-end sans faute" , disait Ogier vendredi soir, mais il n'a pas réussi à atteindre cet objectif. Le meilleur temps a été signé par Sébastien Loeb qui a pris près de 5 secondes à Mikko Hirvonen, toujours leader au général. En revanche, le quintuple champion du monde en titre passe devant son coéquipier Dani Sordo au général et prend la 2e place.
ES9 Almodovar 1 (27.18 km) : LOEB PREND LA TETE
Une spéciale bien plus calme que la première de la journée. Sébastien Loeb enfonce la concurrence et colle 15 secondes à Mikko Hirvonen pour s'emparer de la tête du rallye avec 1.6 seconde d'avance sur le Finlandais. Dani Sordo se rapproche aussi de ce dernier, à 13.8 secondes. Petter Solberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs2502.shtml) est solidement installé à la 4e place, débarrassé de la menace Ogier. Plus bas, le Russe Evgeny Novikov (Citroën Junior) concède 1 min 52 à Loeb et perd la 6e place du classement général au profit de Henning Solberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs28242.shtml).
ES10 Vascao 2 (22.8 km) : LOEB GRAPILLE, SORDO S'EGARE
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C'est un sans-faute de Sébastien Loeb qui remporte sa troisième spéciale de la matinée. Le quintuple champion du monde profite de ne plus avoir à ouvrir la route pour signer les meilleurs temps. Mikko Hirvonen (ci-contre) s'accroche. Le Finlandais ne concède que 5.3 secondes au Français et pointe à 6.9 secondes au général. Rien n'est fait entre ces deux-là !
En revanche, Dani Sordo a perdu de précieuses secondes en s'égarant en début de spéciale. L'Espagnol a avoué à l'arrivée s'être trompé dans ses notes. Après avoir perdu 22 secondes dans l'ES10, il est désormais relégué à 37.5 secondes de son coéquipier au classement général. A signaler le très bon chrono de Mads Ostberg (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs88358.shtml) au volant de sa Subaru Impreza qui prend la 4e place de l'ES10 et passe devant Evgeny Novikov, en 7e position au général.
ES11 Santa Clara 2 (22,61 km) : LOEB SUR LE FIL
Mikko Hirvonen a dominé toute la spéciale avant de se faire déloger par Sébastien Loeb dans la dernière portion pour 1.2 seconde. Au général, le Français porte son avance à 8.1 secondes sur le pilote Ford. Dani Sordo concède 7.3 secondes dans la spéciale et s'éloigne de plus en plus de la bataille finale. Il pointe désormais à près de 45 secondes de son coéquipier leader.
http://i.eurosport.fr/2009/04/04/511286-4183985-151-113.jpg
"1.2 seconde d'avance ce n'est pas beaucoup. D'autant que j'étais à la limite partout. L'après-midi va être très difficile pour les pneus", a expliqué Loeb à l'arrivée. De son côté, Hirvonen a affirmé prendre soin de ses pneus, ce qui pourrait s'avérer payant pour la suite. Plus bas au classement général, Evgeny Novikov a repris sa 7e place à Mads Ostberg pour 5.3 secondes.
ES12 Almodovar 2 (27.18 km) : LOEB 5 SUR 5 !
A mi-journée, Sébastien Loeb avouait qu'une avance de 20 secondes sur Mikko Hirvonen était un minimum à atteindre pour se placer idéalement pour la victoire finale. Objectif quasiment rempli puisque le Français compte 19.1 secondes d'avance à l'issue de la 12e spéciale du rallye. Le quintuple champion du monde a pris 11 secondes pleines au Finlandais qui n'a pu faire mieux que 4e dans cette spéciale.
C'est déjà dans cette portion que Loeb avait fait la différence sur le pilote Ford pour prendre la tête samedi matin. Cette fois, c'est peut-être la victoire finale qu'il s'est assuré... Dani Sordo a lui aussi repris du temps à Hirvonen (4.3 sec) et revient à 32.3 secondes de la 2e place au général. Petter Solberg complète le podium de la spéciale et s'assure quasiment la 4e place du rallye. Plus qu'une spéciale à disputer et Sébastien Loeb n'a toujours pas été battu lors de la 2e étape...
:cadeaux:Pour le chat...........:DQui aime tant la F1
F1 - GP de Malaisie - Button : «Une super sensation»
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En une semaine, Jenson Button (http://www.lequipe.fr/Formule1/Formule1FichePilote618.html) n'a pas écrasé le Championnat, car il est encore beaucoup trop tôt pour se prononcer. Mais il s'est toutefois placé en sérieux postulant au titre, chose encore impensable avant le début de saison. En une semaine, le pilote anglais a raflé deux poles, gagné un Grand Prix, et s'élancera dimanche à Sepang en position de favori. Pas mal pour un survivant !
«Je suis très heureux, s'est-il félicité samedi après la séance de qualifications en Malaisie. C'est une super sensation. Cela montre que la voiture fonctionne sur différents types de circuits. Vous me croyez ou pas, a-t-il poursuivi devant les journalistes, mais je pensais vraiment pas que nous serions ici aujourd'hui (samedi). Après les essais libres, les Ferrari semblaient être les plus rapides, mais nous avons beaucoup travaillé sur la voiture la nuit dernière.» Et le travail a porté ses fruits. Tandis que Felipe Massa n'a pas dépassé la Q1, Button et Barrichello ont à nouveau fini parmi les quatre premiers. «C'est peut-être plus spécial encore qu'à Melbourne, a précisé Button, car il n'est déjà pas simple d'être en pole une fois. Mais je n'avais jamais réussi à l'être deux fois de suite dans ma carrière.» Seule une pénalité infligée à son partenaire brésilien, en fin de compte, est venue perturber la nouvelle journée de rêve passée par l'écurie Brawn-GP.
Quid des performances sous la pluie ?
Le patron de l'équipe Ross Brawn en est conscient : ce début de saison est inespéré. «Je m'attendais à une concurrence assez rude, a-t-il confié au moment de commenter les performances de ses pilotes. Mais les qualifications se sont finalement bien passées. Nous avons bien gérer le carburant les deux derniers jours. Et nous avons aussi réussi à équiper Jenson (Button) de pneus durs en fin de séance». «Comme il (Button) a l'air très solide en ce moment», a-t-il ajouté, la stratégie a payé. D'autant qu'elle a permis de conserver deux trains de pneus supplémentaires pour la course, ce dont Brawn s'est félicité.
Reste désormais à choisir la bonne tactique à adopter en course. «Nous devons beaucoup réfléchir cette nuit à un plan au cas où il pleuvrait, a prévenu le leader du Championnat, car nous n'avons jamais roulé sous la pluie», a-t-il rappelé. Une chose est sûre, l'Anglais possède cette année une plus grande marge de manoeuvre, du fait que sa monoplace fonctionne nettement mieux que son ancienne Honda. «Les défauts de cette voiture seraient presque les qualités de celle de l'année dernière, a-t-il détaillé. La Brawn est plus sympa à conduire. Et si elle se comporte mal le vendredi, on peut la modifier et se retrouver le samedi avec une bonne voiture, ce qu'on ne pouvait pas faire en 2008.» «La course sera animée», a d'ores et déjà annoncél'ancien ingénieur de Ferrari. Si le scénario est le même qu'à Melbourne, sa joie en sera d'autant plus grande. - H.S.
;)Medol,
tu bouges avec tes nouvelles............................
tENNIS
John McEnroe: "Ça me plairait bien d'aider Roger"
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/john_1.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/john_1.jpg)
Image © Keystone
Alors que plusieurs spécialistes exhortent Roger Federer à enfin prendre un entraîneur pour sortir de la crise qu'il traverse depuis quelques mois, John McEnroe a presque fait acte de candidature.
le 04 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
L'ancien no 1 mondial américain a en effet indiqué qu'il aimerait bien aider le Bâlois à retrouver son rang au sommet de la hiérarchie mondiale, dans un entretien à paraître dans "Le journal du dimanche".
"Je ne me vois pas accompagner un joueur toute l'année sur le circuit, a déclaré John McEnroe. En revanche, donner un coup de main de temps en temps, ça pourrait être vraiment intéressant. Oui, ça me plairait bien d'aider Roger. D'autant qu'il a besoin de changer de stratégie pour battre Nadal. Et j'ai ma petite idée pour qu'il y parvienne".
Ammené vers les sommets du tennis mondial par Peter Lundgren, Federer a ensuite collaboré avec Tony Roche et Jose Higueras, avant d'essayer, en mars dernier, de travailler avec Darren Cahill. Sans que l'affaire ne se soit concrétisée.
:)Plus de blé le John? Non je déconne C'est un grand:content:
;)Medol,
tu bouges avec tes nouvelles............................
Je suis là !:p:content:
Deux ans pour Valverde ?
Le procureur antidopage du Comité olympique italien, Ettore Torri, a requis mercredi le renvoi devant le tribunal de cette organisation de l'Espagnol Alejandro Valverde, réclamant deux ans de suspension, indique le site internet du Coni.
"Le parquet antidopage du Coni a demandé le renvoi de l'athlète Alejandro Valverde Belmonte devant le tribunal national antidopage du Coni pour violation du code de l'Agence mondiale antidopage avec une requête de suspension de deux ans", indique le communiqué. Le Coni reproche à Valverde la violation de l'article 2.2 du code de l'AMA sur l'utilisation de substances interdites.
Le parquet antidopage du Coni affirme depuis plusieurs semaines avoir des preuves de l'implication du cycliste espagnol dans le scandale de dopage Puerto qui a éclaboussé en 2006 une cinquantaine de coureurs cyclistes et responsables, dont une trentaine d'Espagnols.
Les certitudes du CONI
Vainqueur l'an passé de sa deuxième Liège-Bastogne-Liège ainsi que d'une dizaine de courses, Valverde, 28 ans, est l'un des chefs de file du cyclisme espagnol. Une "poche de sang numéro 18 ", qui contiendrait de l'EPO, avait été recueillie à Madrid dans le cadre de la vaste affaire de dopage sanguin Puerto - qui empoisonne depuis mai 2006 le milieu cycliste - et qui était supposée incriminer Valverde.
Le Coni a vraisemblablement comparé l'ADN de ce sang avec un échantillon de celui du coureur espagnol recueilli l'année dernière lors d'une incursion du Tour de France en territoire italien. "Nous pouvons dire avec certitude que le sang dans la poche numéro 18 est celui de Valverde", avait déclaré à la mi-février M. Torri, après avoir entendu le coureur pendant moins d'une heure. "Je ne suis pas et je n'ai jamais été impliqué dans une affaire contraire à la réglementation antidopage", avait réagi le coureur de la Caisse d'Epargne (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea312.shtml) sur son site internet, se déclarant convaincu que "tous les doutes seront levés" pour prouver son innocence.
http://i.eurosport.fr/2008/09/18/467915-3445128-317-238.jpg
J'espère qu'il sera suspendu !
Buemi dernier sur la grille du GP de Malaisie
COURSE | La pole position est revenue au Britannique Jenson Button, vainqueur la semaine dernière à Melbourne.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/04042009/19ef53b.jpg © KESYTONE |
ATS | 04.04.2009 | 12:58
Parti à la faute lors des qualifications du Grand Prix de Malaysie, Sébastien Buemi (Toro Ross) s'élancera de la dernière position dimanche, pour sa deuxième course. La pole position est revenue au Britannique Jenson Button, vainqueur la semaine dernière à Melbourne, qui a permis à Brawn GP de conserver l'avantage sur son grand rival du début de saison, Toyota (Trulli 2e et Glock 3e).
L'apprentissage de la F1 est difficile. Alors qu'il tenait sa qualification pour la deuxième séance, Buemi se voyait bouté hors du top 15 par son coéquipier Sébastien Bourdais, à 3 secondes du terme. Toujours lancé dans un tour très rapide, avec des temps intermédiaires qui devaient lui permettre de passer l'écueil, le Vaudois a commis une petite erreur qui lui a valu une sortie de piste.
«Je suis désolé, j'allais pourtant si vite. Oh, non !», a-t-on pu entendre se lamenter à la radio Buemi, en contact avec son écurie. Dernier des vingt engagés, le pilote Toro Rosso-Ferrari a échoué à six dixièmes de son coéquipier, dernier qualifié pour la Q2.
La hiérarchie de la cuvée 2009 n'a, pour l'heure, pas grand chose à voir avec celle des années passées. Ainsi, Felipe Massa alui aussi vu ses qualifications s'achever après la Q1, tandis que l'autre Ferrari de Kimi Raikkonen a passé de justesse mais a terminé neuvième. McLaren-Mercedes est également relégué, avec les 12e et 14e places de Hamilton et Kovalainen. Les BMW-Sauber ont elles fait bonne figure, Robert Kubica se classant 6e et Nick Heidfeld 10e.
Wrc - Rallye du Portugal
04/04/2009 - 20:15 Loeb, contrat rempli
http://i.eurosport.fr/2009/04/03/511195-4182525-317-238.jpg
From Official Website
Comme il le voulait, Sébastien Loeb (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs12716.shtml) (Citroën WRT (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea7294.shtml)) a réussi à compter plus de 20 secondes (26.8) d'avance sur Mikko Hirvonen (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs25002.shtml) (Ford WRT (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea337.shtml)) à l'issue de la 2e étape du rallye du Portugal. Le Français a signé tous les meilleurs temps se place idéalement pour une 4e victoire consécutive cette saison.
"On ne pouvait pas espérer plus, à la régulière, sans erreur de Mikko. Il a fait une belle journée, on est repassés devant, je suis très content", a dit Loeb à son retour à l'Estadio Algarve, où il avait déjà triomphé en 2007. Au même moment, dans le stade, une Marseillaise retentissait en prévision du podium de dimanche. Dans la spéciale du milieu de chaque boucle (Almodovar 1 et 2, longue de 27,18 km), télévisée en direct sur une chaîne publique portugaise, Loeb, à chaque passage, a infligé une petite correction à Hirvonen: 15 secondes le matin, 11 l'après-midi, soit la quasi-totalité de son avance samedi soir.
"L'écart dans la spéciale du milieu, ça doit être un ensemble de choses: le balayage, une question de feeling personnel -une spéciale où on se sentait bien- et les pneus", a ajouté le quintuple champion du monde. "J'ai beaucoup géré les pneus au deuxième passage, pour ne pas les chauffer et garder une voiture très neutre, ne pas forcer sur le train avant, essayer de rouler très propre." "La différence entre Hirvonen et Loeb se fait sur la voiture, mais aussi sur la façon dont Seb gère ses pneus, en les abîmant moins que Mikko", a résumé Olivier Quesnel, le patron de Citroën Sport, à un journaliste portugais qui l'avait pris pour l'ancien pilote français Guy Fréquelin.
Exit Grönholm
http://i.eurosport.fr/2009/04/03/511193-4182497-151-113.jpg
Hirvonen, toujours lucide et motivé, était d'accord avec cette analyse: "Je n'ai pas été bon et dans la dernière spéciale mes pneus avant aussi étaient détruits. J'ai peut-être eu une conduite trop agressive, surtout au freinage. J'ai essayé de préserver les pneus dans la deuxième spéciale de l'après-midi, mais j'y ai quand même perdu du temps". "Dimanche, ce sera un peu différent" , a prévenu Loeb, qui ouvrira à nouveau la route dimanche matin sur les 77 km chronométrés le séparant de la dernière super-spéciale, dans l'Estadio Algarve. "Il y aura des portions plus lentes où on perd plus facilement du temps quand il y a du balayage à faire."
Côté Hirvonen, tout espoir n'est pas encore perdu: "Je vais continuer à essayer, on a peut-être une petite chance de rattraper Seb", a dit le Finlandais. Il n'aura pas besoin de regarder dans son rétroviseur, car Dani Sordo (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs79634.shtml), sur l'autre C4 officielle, pointe désormais à 32 secondes, chargé de rapporter les points de la 3e place. La course avait perdu beaucoup de sel dès la première spéciale (ES8), quand Marcus Grönholm (http://www.eurosport.fr/rallye/person_prs2484.shtml), alors 4e, avait touché un arbre. Sa Subaru (http://www.eurosport.fr/rallye/team_tea8537.shtml) Impreza a fait un tonneau, est retombée sur ses roues, puis le moteur a commencé à chauffer et le double champion du monde a arrêté les frais. Sébastien Ogier (Citroën C4), le champion du monde Junior-WRC, a lui aussi été victime de cette spéciale de Santa Clara. Difficile de faire un sans-faute, sauf pour Loeb.
f1
Un orage tropical a volé la vedette du GP de Malaisie
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/button2_0.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/button2_0.jpg)Image © Keystone
Sous les trombes d'eau et les éclairs, la course a été arrêtée après 32 des 56 tours. En tête à cet instant, le Britannique Jenson Button (Brawn GP) a été désigné vainqueur.
le 05 avril 2009
Quant à Sébastien Buemi, sa deuxième course en F1 s'est achevée après 30 tours, alors qu'il pointait à la 11e place. Sous le déluge, le Vaudois a participé, bien malgré lui, à un véritable festival de têtes à queue. L'épreuve étant interrompue quelques minutes plus tard, le pilote aiglon a tout de même été classé au 16e rang. Sébastien Bourdais, son coéquipier français chez Toro Rosso, a terminé 10e.
Les pilotes avaient parcouru 32 tours lorsque les organisateurs décidaient enfin de sortir le drapeau rouge et de renvoyer aux stands des F1 devenues offshore. Plus de 50 minutes de confusion suivaient cette interruption, le temps pour la FIA de trancher et d'arrêter définitivement la course.
Corollaire de ce Grand Prix amputé, seulement la moitié des points seront attribués, soit cinq pour le vainqueur, car les 75 % des tours n'ont pas été couverts.
A noter encore le premier podium de l'année pour l'écurie germano-suisse BMW-Sauber, grâce à la deuxième place de Nick Heidfeld. Les Ferrari n'ont, elles, toujours pas débloqué leur compteur en 2009. En revanche, pour Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), c'est chose faite. Le champion du monde en titre s'est classé au 7e rang.
GP de Malaisie. 1. Jenson Button (GB/Brawn GP). 2. Nick Heidfeld (All/BMW-Sauber). 3. Timo Glock (All/Toyota). 4. Jarno Trulli (It/Toyota). 5. Rubens Barrichello (Bré/Brawn GP). 6. Mark Webber (Red Bull Renault). 7. Lewis Hamilton (GB/McLaren-Mercedes). 8. .Nico Rosberg (Williams-Toyota). Puis: 16. Sébastien Buemi (S/Toro Rosso), victime d'un tête à queue au 30e tour.
:diable:Roupille le matou?:D
Rallye, Portugal, Etape 3
Loeb sans concurrence (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/loeb-sans-concurrence-252588/#)
http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/auto-moto/rallye/actualites/loeb-sans-concurrence-252588/4502218-1-fre-FR/loeb-sans-concurrence_actus.jpg Sébastien Loeb réalise un sans faute avec quatre victoire en quatre épreuve en 2009 (DPPI) Sébastien Loeb a remporté au Portugal un quatrième succès en autant d’épreuves cette saison en assurant sa victoire dimanche. Mikko Hirvonen et Dani Sordo complètent le podium.
par Gilles Festor, le 05-04-2009
C’est un scénario auquel il va visiblement falloir s’habituer cette saison. Victoire de Sébastien Loeb et deuxième place de Mikko Hirvonen. Pour la troisième fois de suite et après les manches norvégienne et chypriote, le Français s’est imposé dimanche après-midi devant son dauphin 2008. Un succès logique et attendu même si le début d’épreuve, vendredi, avait laissé croire à un duel serré jusqu’au bout avec Marcus Grönholm en arbitre. Malheureusement, l’ancien double champion du monde a faussé compagnie aux hommes de tête samedi sur sortie de piste et Loeb a entamé son irrésistible cavalier seul dans la deuxième étape pour signer son 51e succès en WRC.
Loeb gère tranquillement
Dimanche, l’Alsacien parti avec 26’’8 d’avance sur le Finlandais n’a donc pas eu à forcer son talent pour récolter dix points. «Tout s’est bien passé, nous avons effectué une belle spéciale. Je me suis contenté de piloter proprement sans trop attaquer», confiait le champion du monde après ses deux temps scratch de la matinée dans l’ES 14 et ES15. Deux performances qui ont fini d’écœurer son plus sérieux rival, définitivement résigné pour la gagne : «Je ne souhaitais pas risquer de tout perdre sur une erreur à cause d’une mauvaise visibilité. Il ne reste que trois spéciales et réduire mon écart à la régulière est désormais impossible. Je dois me contenter de la seconde place dans ces conditions.» Grâce à ce nouveau week-end triomphal, Loeb dispose de 10 points d’avance sur Hirvonen au classement du championnat. L’équivalent d’un joker à utiliser en cas d’abandon dans les mois à venir.
Solberg au pied du podium
Autant dire que les ES16 et 17, remportées par Hirvonen, et la courte super spéciales (ES18), n’ont pas apporté plus de suspense à la course. Tout était plié, même la troisième place de Dani Sordo qui a terminé l’épreuve en roue libre, apportant son écot de points à Citroën dans le championnat Constructeurs. L’Espagnol termine devant Petter Solberg au sourire ultra-bright. Le Norvégien, déjà quatrième à Chypre, signe une performance identique sur les pistes sèches portugaises. Le tout après une belle frayeur puisque les attaches de son capot ont lâché dans l’ES15 provoquant son soulèvement dans certaines portions ! Et tout cela au volant d’une Xsara version 2006. «Hollywood» doit à peine regretter sa médiocre Subaru d’usine de l’an passé… Il pourrait bien refaire le même coup en Argentine, terre où il s’est déjà imposé, à partir du 24 avril prochain.
Le film des spéciales :
Classement ES14 :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 15’46’’6
2. Hirvonen (Fin, Ford) + 1’’5
3. Sordo (Esp, Citroën) + 17’’0
4. Ostberg (Nor, Subaru) + 17’’3
5. Wilson (GB, Ford) + 18’’8
Classement ES15 :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 11’40’’1
2. Hirvonen (Fin, Ford) + 2’’8
3. Ogier (Fra, Citroën) + 11’’9
4. Sordo (Esp, Citroën) + 19’’4
5. P.Solberg (Nor, Citroën) + 25’’8
Classement ES16 :
1. Hirvonen (Fin, Ford) en 15’34’’9
2. P.Solberg (Nor, Citroën) + 4’’2
3. Loeb (Fra, Citroën) +4’’7
4. Sordo (Esp, Citroën) + 11’’
5. Wilson (GB, Ford) + 21’’
Classement ES17 :
1. Hirvonen (Fin, Ford) en 11’36’’0
2. Loeb (Fra, Citroën) + 2’’4
3. P.Solberg (Nor, Citroën) + 8’’1
4. Sordo (Esp, Citroën) + 11’’ 4
5. Ostberg (Nor, Subaru) + 20’’2
Classement de l’ES18 :
1. H.Solberg (Nor, Ford) en 2’08’’8
2. Sordo (Esp, Citroën) +1’’3
3. Loeb (Fra, Citroën) +4’’
4. Hirvonen (Fin, Ford) +4’’3
5. P.Solberg (Nor, Citroën) +4’’9
Classement général :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 3h53’13’’1
2. Hirvonen (Fin, Ford) +24’’3
3. Sordo (Esp, Citroën) + 1’45’’4
4. P.Solberg (Nor, Citroën) + 2’44’’6
5. H. Solberg (Nor, Ford) + 5’46’’2
...Roupille le matou?:D:non:, mais je ne peux pas être partout, et si je fais trop de remarque, on va dire que je suis de mauvaise foi et ceci et cela...........;)
Reste que ce GP était tout pourri.
N'aurait il pas été plus équitable d'annuler le résultat ?
EDIT: La F1 m'a fait oublier de saluer la performance de Loeb !!
[quote=Pasky;317569]
Reste que ce GP était tout pourri.
N'aurait il pas été plus équitable d'annuler le résultat ?
;)D'accord avec toi Pasky..........
Button vrai vainqueur d’une demi-course et d’une vraie farce
FORMULE 1 | Interrompu par un orage tropical, le GP de Malaisie s’est terminé en eau de boudin. La course a été arrêtée après 32 des 56 tours sur une nouvelle victoire de la sensationnelle Brawn-Mercedes.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/15_051803_SEP143_6a24582.jpg © AP | Piste sèche ou détrempée, rien ne change: Jenson Button et la Brawn-Mercedes sont devant. Hier leurs adversaires n’ont vu que le feu arrière de signalisation de la Brawn, qui clignote en cas de pluie.
MARIO LUINI SEPANG | 06.04.2009 | 00:02
Une heure! Une heure de course, puis une autre heure d’indécision. Et un vainqueur heureux et trempé qui monte sur le podium alors que la nuit est en train de tomber sur Sepang: tel est le résumé d’un GP de Malaisie qui n’ajoutera rien à la grande légende de la F1. Il était de notoriété publique qu’en faisant partir la course à 17 heures, heure locale, pour le sacro-saint audimat européen, les organisateurs prenaient le risque de voir leur course faussée par le traditionnel orage tropical vespéral, qui tombe ici avec une précision digne des trains suisses (de la belle époque, il s’entend).
HUÉES
Orage? Déluge serait plutôt le mot juste. Au point que la direction de course ne put faire autrement qu’arrêter l’épreuve au drapeau rouge. En attendant des jours meilleurs. Qui ne vinrent jamais: La pluie cessa, et il aurait été possible de redonner un départ au bout d’une demi-heure. Mais il n’en fut rien, le directeur de course jouait la montre, et lorsqu’il apparut qu’il faisait trop sombre pour que la course puisse repartir, le classement établi un tour avant l’interruption devenait définitif. Sous les huées d’un public clairsemé, mais pas content d’être ainsi (mal) traité.
LOTERIE
Mais l’interruption faisait aussi des heureux: Jenson Button, pour commencer, le splendide vainqueur de Melbourne, dimanche dernier, qui engrangeait ainsi sa 2e victoire consécutive: bien que parti en pole position, l’Anglais avait été surpris au départ par la Williams de Rosberg et la Toyota de Trulli. Mais, roulant avec davantage d’essence que ses rivaux, Button reprenait son bien lors des premiers ravitaillements. Et il tenait bon, alors que les prémices de l’orage venaient compliquer la tâche des pilotes, mais dans une portion du circuit seulement. Derrière l’Anglais et son intouchable Brawn-Mercedes, tout était question de s’arrêter au bon moment pour passer les pneus «pluie». A ce petit jeu – qui a dit «loterie»? – Nick Heidfeld, avec un seul arrêt, tirait le gros lot, décrochant une splendide 2e place. Qui, à un tour près, serait revenue à son compatriote de Toyota Timo Glock.
MOITIÉ
Pour tous les autres, les favoris «habituels», c’était la bérésina façon Melbourne qui continuait: le champion du monde Lewis Hamilton seulement 7e, le vice-champion Felipe Massa lointain 9e, l’ex-double champion Fernando Alonso 11e. Seule consolation pour McLaren, Ferrari, Renault et consorts: Brawn-Mercedes, BMW Sauber et Toyota, les héros du jour, ne marquent que la moitié des points, les 75% de la distance n’ayant pas été atteints. C’est toujours ça de pris!
Cyclisme - Paris-Roubaix
09/04/2009 - 11:00 Les héros de l'enfer (1)
http://i.eurosport.fr/2009/04/08/512376-4204457-317-238.jpg
AFP
Infos liées :
http://layout.eurosport.fr/i/icon/arrow_bot_dark.gifGand-Wevelgem: Boasson en première classe (http://www.eurosport.fr/cyclisme/gand-wevelgem/2009/boasson-hagen-deja_sto1900519/story.shtml)
La 107e édition de Paris-Roubaix s’élancera dimanche matin de Compiègne. Le vainqueur, quel qu’il soit, rejoindra dans le gotha du cyclisme mondial les immenses champions qui l’ont précédé en plus d’un siècle d’histoire. Retour sur quelques unes des plus grandes pages de l’Enfer du Nord.
1911 - LE HAT-TRICK DE LAPIZE
A l'heure où le Tour de France commence à écrire sa légende, Paris-Roubaix fait déjà figure de Reine des classiques. Contrairement à beaucoup de ses contemporains, c'est d'ailleurs dans les classiques, et non dans la Grande boucle, qu'Octave Lapize bâtit sa réputation. Le "frisé" aime la pluie, le froid, le vent. Bref, il est fait pour Paris-Roubaix dont il est le premier héros. Déjà vainqueur en 1909 et 1910, il réussit un triplé historique l'année suivante, confirmant qu'il est quasiment imbattable sur les courses d'un jour. Mais en 1910, sa victoire sur le Tour de France qui franchissait pour la première fois les Pyrénées, l'a consacré comme un coureur complet. Près d'un siècle plus tard, seul Francesco Moser a égalé, mais jamais dépassé, son fabuleux triptyque roubaisien.
1950 - COPPI DANS UN AUTRE MONDE
Le Campionissimo débarque dans le Nord avec des envies de revanche. L'année précédente, son frère Serse n'a été déclaré que vainqueur ex-aequo avec le Français Mahé. Fausto n'a pas oublié. Alors il va écraser la course comme personne n'a jamais osé dominer Paris-Roubaix. Répondant à l'attaque du duo Viot-Sciardis, l'Italien va les rejoindre avant de les déposer à 50 kilomètres de l'arrivée. A Roubaix, il s'impose avec 2'40'' d'avance sur un Diot héroïque. La légende attribue à ce dernier une phrase qui résume à elle seule la supériorité de Coppi : "J'ai gagné Paris-Roubaix , clame Diort, car Coppi était hors-concours". Par sa manière, sa puissance, sa méthode (il avait étudié le parcours sur le bout des doigts) et sa stratégie sans faille, la victoire de Coppi le magnifique fait entrer de plain pied le cyclisme dans l'ère moderne.
1973 - MERCKX, PLUS CANNIBALE QUE JAMAIS
De son propre aveu, Eddy Merckx n'était pas fait pour les pavés. Heureusement pour la concurrence, car il s'est tout de même imposé à trois reprises à Roubaix. Lors de sa première victoire, en 1968, Eddy Merckx a inauguré le nouveau parcours de l'épreuve, jugé plus difficile avec notamment l'apparition de la fameuse et terrible tranchée de Vallers-Arenberg. Il a récidivé deux ans plus tard, et lorsque débute l'édition 73, tout le monde attend le duel royal entre le Cannibale et son grand rival Roger De Vlaeminck, vainqueur pour la première fois en 1972. Dans des conditions épouvantables (il pleut, il vente et fait quasiment nuit en plein après-midi !), la course tourne au Super championnat de Belgique. De Vlaeminck n'est pas dans le coup, mais le podium est 100% belge. Maculé de boue, Merckx s'impose devant Godefroot et Rosiers. Il accroche son troisième Paris-Roubaix, juste après avoir gagné le Het Volk, Milan San Remo et l'Amstel, et juste avant un quatrième succès dans Liège-Bastogne-Liège. Plus cannibale que jamais.
1977 - RECORD POUR DE VLAEMINCK
Roger De Vlaeminck est le prototype du coureur taillé pour Paris-Roubaix. Formé à la dure école du cyclocross, le Belge n'a peur ni de la boue ni des pavés. Au contraire. Il trouve sur ces routes un lieu d'expression idéal. Sa maîtrise des terrains impraticables, ou réputés comme tels, lui permet de glisser sur les pavés comme personne. Déjà vainqueur à trois reprises, il dompte l'enfer une quatrième et dernière fois en 1977, en s'envolant à 30 kilomètres de l'arrivée. Malgré les efforts conjugués de Merckx, Raas ou Kuiper, ses rivaux ne le reverront plus. Avec quatre victoires, mais aussi quatre deuxièmes places (dont deux derrière Francesco Moser en 1978 et 1979) et un total de neuf podiums, le "gitan" reste aujourd'hui encore le maître absolu des pavés. Ce n'est pas pour rien qu'il fut surnommé "Monsieur Paris-Roubaix, l'unique surnom qu'il accepta jamais.
1981 - HINAULT REGLE SES COMPTES
Hinault, c'est l'anti-De Vlaeminck. Le Français abhorre les pavés. Il peine même à concevoir l'intérêt de courir dans de telles conditions, de risquer une chute et donc une blessure qui pourrait compromettre la suite de sa saison. Mais le Blaireau, maillot arc-en-ciel sur les épaules, est aussi un monstre d'orgueil. Alors, par défi, il va relever le gant roubaisien. Année après année, il se rapproche de la victoire : 13e en 1978, 11e en 79 et 4e en 80. La suivante sera la bonne. Et pourtant, le succès semble une fois encore se refuser à lui. Hinault crève deux fois, chute à quatre reprises, la dernière à 11 kilomètres de l'arrivée mais, au courage, il revient. Comme un symbole, il entre dans le Vélodrome en compagnie des plus grands spécialistes de l'épreuve, dont Francesco Moser, triple tenant du titre, et De Vlaeminck, quadruple vainqueur. Mais Hinault le phénomène, fier et enragé, les règle tous au sprint. Lorsque Louison Bobet, dernier vainqueur français avant lui, 25 ans plus tôt, lui remet le trophée, l'orgueil ne l'a pas quitté: "On ne m'enlèvera pas de l'idée que cette course, c'est une belle cochonnerie. " Mais en triomphant de cette course qu'il détestait, Hinault a contribué à la sublimer.
Tennis
Federer invité surprise à Monte-Carlo
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Roger Federer disputera finalement l'Open de Monte-Carlo qui débutera ce dimanche et dont il fut le finaliste des trois dernières éditions face à Rafael Nadal. Le Bâlois a accepté la wild-card que lui ont offert les organisateurs de la Principauté.
le 09 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Roger Federer disputera finalement l'Open de Monte-Carlo qui débutera ce dimanche et dont il fut le finaliste des trois dernières éditions face à Rafael Nadal. Le Bâlois a accepté la wild-card que lui ont offert les organisateurs de la Principauté.
Initialement, Roger Federer avait prévu d'entamer sa saison sur terre battue le mois prochain lors des Internationaux d'Italie de Rome. Il a revu ses plans, sans doute en raison de la défaite presque mortifiante concédée la semaine dernière à Miami face à Novak Djokovic.
La présence de Roger Federer acquise, l'Open de Monte-Carlo pourra compter sur la participation de neuf des dix meilleurs joueurs mondiaux. Seul l'Américain Andy Roddick manquera à l'appel.
Coupe de l'UEFA: Suisses battus, Français en échec
Berne | Les Suisses n'ont pas été à la fête lors des quarts de finale aller de la Coupe de l'UEFA. Alors que Gökhan Inler et l'Udinese ont été battus 3-1 à Brême par le Werder, Gelson Fernandes n'a joué que quelques minutes lors de la défaite 3-1 de Manchester City à Hambourg.
ats | 09.04.2009 |
Les Suisses n'ont pas été à la fête lors des quarts de finale aller de la Coupe de l'UEFA. Alors que Gökhan Inler et l'Udinese ont été battus 3-1 à Brême par le Werder, Gelson Fernandes n'a joué que quelques minutes lors de la défaite 3-1 de Manchester City à Hambourg.
Le Paris St-Germain et l'Olympique de Marseille, qui pourraient se rencontrer en demi-finale en cas de qualification, n'ont pas brillé. Le PSG a en effet été tenu en échec 0-0 à domicile par le Dynamo Kiev, tandis que l'OM a perdu 2-0 sur la pelouse du Shakhtar Donetsk. Avantage donc aux Ukrainiens dans cette double confrontation.
Pris à défaut par un Diego retrouvé, auteur d'un doublé, l'Udinese aura toutes les peines du monde à renverser la vapeur dans le Frioul. Inler a joué 84 minutes, soit bien plus que son compère de l'entre-jeu de l'équipe de Suisse Gelson Fernandes.
L'ancien récupérateur du FC Sion a assisté du banc au très bon départ des Citizens, qui ont ouvert le score à la 1re minute par Ireland. Mais le HSV a répliqué huit minutes plus tard par Mathijsen, avant de prendre l'avantage, sur un penalty de Trochowski et une réussite de Guerrero. Ce n'est qu'à 3-1 que Fernandes est entré en jeu, à la 83e, à la place de Wright-Philips.
Coupe de l'UEFA. Quarts de finale aller: Shakhtar Donetsk -Marseille 2-0. Paris St-Germain - Dynamo Kiev 0-0. Hambourg -Manchester City (avec Fernandes dès la 83e) 3-1. Werder Brême -Udinese (avec Inler jusqu'à la 84e) 3-1.
Cyclisme
Paris - Roubaix: Cancellara ne se fait pas d'illusion
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Le Suisse avait remporté la course en 2006.
Traînant derrière lui un début de saison perturbé par une chute et une angine, Fabian Cancellara ne fait pas véritablement partie des favoris du 107e Paris - Roubaix, "sa" course. Dimanche, le vainqueur 2006 devra certainement laisser la vedette à d'autres coureurs.
le 10 avril 2009
Le Matin
"Je ne me fais pas d'illusion, lâche Cancellara. D'autres coureurs sont dans de meilleures dispositions." Le Bernois ne veut pas se risquer à un pronostic sur sa performance, même s'il perçoit quelques signaux positifs. "Il est réjouissant de voir que je me suis senti de mieux en mieux durant le Tour des Flandres, sur les portions pavées et quand le temps était élevé."
Changement de matériel
Son bris de chaîne - le premier de sa carrière - à 70 km de l'arrivée du "Ronde" n'a fait qu'accroître sa motivation, explique le spécialiste du contre-la-montre. Pourtant, Cancellara n'avait aucune envie de se livrer à un entraînement spécial lundi, au sortir du Tour des Flandres. "Un jour de repos reste un jour de repos !", argumente-t-il
Le Bernois a toutefois voulu compenser son déficit de bornes mercredi, après Gand - Wevelgem, en s'exerçant en bord de mer. Le mauvais temps l'en a dissuadé. S'il pense être en phase de forme ascendante, le double médaillé olympique 2008 espère ne plus connaître d'ennuis mécaniques. C'est que Cancellara évolue cette saison avec un nouveau matériel de vélos et de chaussures - Specialized -, puisque son ancienne marque - Cervélo - ne fournit plus que sa propre équipe professionnelle.
Or, la mécanique revêt une importance particulière à Paris - Roubaix, un tracé extrêmement éprouvant pour les cyclistes et les machines et où la moindre casse fait perdre énormément de temps à cause de l'étroitesse des routes empruntées (27 secteurs pavés pour un total de 52,9 km). Bonne nouvelle pour le peloton, les prévisions météorologiques parlent d'un temps sec.
Dans le coeur
Malgré les conditions particulières de l'Enfer du Nord, Cancellara n'a pas suivi de préparation spécifique. "Les pavés restent les pavés ! J'en ai parcouru quelques portions avant la course, sinon je m'entraîne derrière une moto. Le plus important est que mes jambes amassent les kilomètres."
Car, même s'il ne veut pas trop s'avancer, Cancellara nourrit un certain espoir au moment d'aborder une course qu'il porte dans son coeur. Vainqueur flamboyant en 2006, le Bernois avait été battu sur le fil par Tom Boonen l'an dernier et s'était classé quatrième en 2004 et huitième en 2005.
Le sprinter belge sera d'ailleurs un sérieux outsider au cours d'une épreuve qu'il a remportée deux fois. Avec 52 victoires, les coureurs du Plat Pays sont souvent les plus en vue. En ce sens, il faudra également surveiller de près Stijn Devolder (double vainqueur du Tour des Flandres) et Leif Hoste.
Au rayon des favoris figurent aussi le Néerlandais Martijn Maaskant, l'Italien Filippo Pozzato ainsi que les Allemands Heinrich Haussler et Marcus Burghardt. Pour Cancellara, l'homme à battre s'appelle Juan Antonio Flecha. L'Espagnol, malgré la malchance et les pannes vécues durant le Ronde, a laissé une très forte impression. Il a fini troisième de la "dur des dures" en 2005 et deuxième en 2007. Il serait le premier Ibère à triompher sur le mythique vélodrome.
Armstrong s'attend au pire
Dans une longue vidéo diffusée sur le site de sa fondation, Lance Armstrong est revenu sur le différent qui l'oppose à l'AFLD. L'Américain, qui pourrait faire l'objet d'une procédure et d'une sanction disciplinaire, estime qu'on veut sa peau. Il s'attend à être privé du prochain Tour de France.
Lance Armstrong est-il résigné? Dans une vidéo de cinq minutes enregistrée à Aspen et diffusée vendredi soir sur le site de sa fondation, Livestrong, l'Américain dit s'attendre à être banni du prochain Tour de France. "Il y a de fortes chances pour qu'ils m'empêchent de courir le Tour", a confié le recordman des victoires sur la Grande Boucle. "Ils" désignent l'Agence Française de Lutte contre le Dopage, qui a le Texan dans le collimateur. L'AFLD a établi un rapport pour une infraction aux règles antidopage survenue lors du test effectué le 17 mars dernier au domicile de Lance Armstrong, dans le Sud de la France.
Le test s'est révélé négatif, mais l'AFLD reproche à l'Américain, pourtant prévenu "de manière réitérée par le préleveur " selon les termes de l'agence, de ne pas avoir respecté l'obligation de demeurer sous l'observation directe et permanente de la personne chargée du contrôle à compter de sa notification, lorsqu'un médecin est venu prélever urine, sang et cheveux. Pendant 20 minutes, Armstrong s'est en effet éclipsé pour se doucher. Précisions qu'il rentrait de l'entraînement. Selon Pierre Bordry, président de l'AFLD, le comportement du coureur était tel que le préleveur en a fait un rapport, transmis le 30 mars à l'UCI. De son côté, L.A. fait part de son étonnement. "Tout s'est passé normalement , assure-t-il. A la fin du test, sur son rapport, il y avait une case pour signifier si quelque chose d'anormal s'était produit pendant le contrôle et s'il avait des remarques à faire. Là, il a écrit "non". Maintenant, quelques semaines plus tard, j'apprends qu'il y a un problème et que l'AFLD veut ouvrir une procédure disciplinaire. C'est malheureux."
"C'est leur pays, leur loi et leur décision"
Rien de bien nouveau finalement dans le ciel de la guerre froide entre les instances françaises et Armstrong, lequel s'estime à demi-mots persécuté. "C'est une longue histoire entre eux et moi. J'imagine que mon comeback n'a pas fait plaisir à beaucoup de gens en France." Le champion d'Austin s'est défendu d'avoir voulu se soustraire au contrôle. "Je revenais simplement d'une journée d'entraînement, je n'étais pas sûr de qui était ce Français à ma porte. En 20 ans, je n'ai jamais vu un contrôleur venir seul. Il y a toujours une autre personne, à titre de témoin. Mais dès que l'UCI m'a confirmé qu'il était bien autorisé à réaliser un contrôle, je l'ai laissé prendre tous les échantillons qu'il réclamait", explique Armstrong, qui était en compagnie ce 17 mars de Johan Bruyneel, le responsable de l'équipe Astana (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea310.shtml). "Nous lui avons demandé si je pouvais rentrer à l'intérieur prendre une douche, le temps de passer ces coups de fil de vérification, et il a dit que ça allait", ajoute-t-il.
Sourde au mode de défense du coureur, l'AFLD doit maintenant décider si elle entame ou non une procédure disciplinaire. La responsabilité de juger le dossier lui revient puisqu'il s'agit d'un contrôle hors compétition qu'elle a diligenté. Si oui, Armstrong sera convoqué pour s'expliquer devant l'AFLD. Et si la tentative de faire faux bond au préleveur est reconnue, l'Américain risque une sanction. Sans que l'on sache vraiment s'il bluffe ou non, Armstrong assure donc s'attendre à être privé de la grand messe de juillet. Comme si les dés étaient jetés. Et pipés. "Ce qui se passe est très triste, regrette-t-il. Le Tour est une course que j'aime profondément, où j'ai envie de courir et d'être compétitif pour remporter la victoire ou aider Alberto à l'obtenir. Je suis revenu pour le cyclisme et plus important encore, pour promouvoir la lutte contre le cancer. Je souhaitais le faire en France. Si ce n'est pas possible, ce n'est pas possible. C'est leur évènement, leur pays, leur loi et leur décision."
Le sort de Lance Armstrong est entre les mains de l'AFLD. La situation dont rêvait sans doute l'instance hexagonale. Mais si l'Américain joue gros, c'est aussi le cas de l'Agence antidopage. En privant L.A. du Tour, elle ne manquerait pas de le victimiser. Nul doute que l'argumentation du Texan trouverait quelque écho. Pourquoi serait-il privé du Tour? Pas pour un contrôle positif, ni même pour s'être soustrait à un contrôle, puisque, comme l'a rappelé vendredi Pat McQuaid, le président de l'UCI, "le contrôle a bien été effectué." Non, Armstrong serait banni pour avoir pris une douche. Voilà ce que l'histoire pourrait retenir. Pour l'AFLD, on ne serait pas loin d'une victoire à la Pyrrhus. Dans cette drôle d'histoire, un peu pathétique à vrai dire, il n'y aurait dès lors que des perdants. Est-ce vraiment souhaitable?
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EDIT : 1000ème message !!!!!!!!!!!!!
:boutons:Masquarade
Pas net l'Amstrong à mon avis comme beaucoup de sportifs malheureusement
paris-roubaix
Fabian Cancellara: «Je rêve de cet Enfer!»
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Spartacus lèvera-t-il le poing à Roubaix comme en 2006? Réponse aujourd'hui sur les pavés
Eternel amoureux des pavés de la plus dure des classiques printanières, le Bernois (28 ans) veut conjurer un mauvais sort tenace
Laurent Guyot - le 11 avril 2009
Le Matin Dimanche
«Je ne peux rien vous dire d'autre. C'est la faute à pas de chance car je me sens bien.» Fabian Cancellara calme d'emblée le jeu. Assailli par tous les représentants des médias mais aussi par des chasseurs d'autographes, le citoyen d'Ittigen apparaît, effectivement, à des lieues de cette image de fantôme relayée par les agences. Souriant et détendu au pied du podium protocolaire érigé sur la place... pavée du Palais royal de Compiègne, le coureur de Saxo Bank balaie les interrogations suscitées par ses abandons successifs à Tirreno-Adriatico, à la Semaine lombarde et aussi au Tour des Flandres.
Accompagné par la poisse
«J'ai perdu deux bonnes semaines sur ma feuille de route en raison de ma chute et de ma blessure sous l'omoplate droite. Un problème familial? C'est que je me suis rendu à l'enterrement d'une de mes tantes. Ensuite, c'est la poisse qui m'a accompagné. Au Tour des Flandres d'abord où ma chaîne a cédé dans le Koppenberg. Mercredi lors de Gand - Wevelgem, j'étais dans l'échappée matinale avec le futur vainqueur (le Norvégien Boasson Hagen). J'ai d'abord crevé avant de devoir changer de vélo et de crever une seconde fois.»
Pour gagner à Roubaix après 259 km dont quelque 52,9 km de pavés, Fabian Cancellara connaît la recette. «Il faudra être à 100% de ses moyens. Or je me sens mieux tous les jours. Et je rêve de cet Enfer comme après ma première participation en 2003. Je dispose de l'expérience et surtout de ce flair indispensable à sentir cette course.»
«Encore faim de succès»
Après une reconnaissance de 160 km, effectuée jeudi, et une dernière sortie, hier matin, derrière voiture de deux heures, Spartacus demeure optimiste. «Je regarde toujours devant moi. Ce qui s'est passé en 2008 ne m'intéresse plus. Ma musette est pleine de victoires et de grands souvenirs. Et je ne souhaite que la remplir un peu plus. J'ai encore faim de succès.»
Déjà six Paris-Roubaix
2003 (abandon) Fabian Cancellara, néophyte chez Fassa Bortolo, abandonne au deuxième ravitaillement. «La saison prochaine, j'entrerai en tête sur le vélodrome», dit-il à ses coéquipiers. Il a 22 ans et ses idées. «Sur une classique, je viens une première fois pour voir et j'y reviens pour y jouer un rôle en vue».
2004 (4e) Le Bernois tient parole. Premier sur l'anneau de Roubaix, il se retrouve chocolat au sprint face à ses camarades d'échappée, à savoir Backstedt, Hammond et Hoffmann. «Cet endroit est magique. Un jour, je veux finir seul ici», affirme-t-il.
2005 (8e à 3'49 de Boonen) La malchance accable le coureur de la Fassa Bortolo lors de l'échappée décisive. Stoppé par un incident mécanique, il voit filer Boonen, Flecha et Hincapie. «Je reviendrai pour gagner», déclare-t-il.
2006 (1er) Sous les couleurs de la CSC, le citoyen d'Ittigen, près de 84 ans après Henri Suter, offre à la Suisse son second succès dans la Reine des classiques avec une victoire en solitaire à Roubaix. Il a tenu ses promesses grâce à un démarrage irrésistible dès l'entrée du Carrefour de l'Arbre.
2007 (19e à 2'38 d'O'Grady) Marqué de trop près par ses rivaux, le Bernois donne carte blanche à son coéquipier Stuart O' Grady pour partir en contre. «C'est aussi beau de gagner en équipe», se réjouit-il.
2008 (2e) A 34 km du but, Cancellara accélère et emmène Boonen et Ballan dans son sillage. «J'ai bien tenté de les décrocher et Tom était trop fort dans ce sprint», avoue le double champion du monde de chrono perclus de crampes.
Margotte
12/04/2009, 00h14
:boutons:Masquarade
Pas net l'Amstrong à mon avis comme beaucoup de sportifs malheureusement
+10 000 ;)!!
faut pitètre arrêter de nous prendre pour des couillons :langueŽ:!
Cyclisme
Paris-Roubaix: troisième victoire de Boonen
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Tom Boonen (Quick Step) a remporté pour la troisième fois Paris-Roubaix, la "reine des classiques" marquée par une série de chutes. Le Belge a battu d'une quarantaine de secondes l'Italien Filippo Pozzato à l'arrivée sur le vélodrome, au terme des 259 kilomètres.
le 12 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Tom Boonen (Quick Step) a remporté pour la troisième fois Paris-Roubaix, la "reine des classiques" marquée par une série de chutes. Le Belge a battu d'une quarantaine de secondes l'Italien Filippo Pozzato à l'arrivée sur le vélodrome, au terme des 259 kilomètres.
Pour la troisième place, à plus d'une minute, le Norvégien Thor Hushovd a réglé au sprint les Belges Leif Hoste et Johan Vansummeren. L'Espagnol Juan Antonio Flecha s'est assuré la sixième place avant que l'Allemand Heinrich Haussler précède le Français Sylvain Chavanel, huitième et premier Français dans cette 107e édition boueuse mais épargnée par la pluie.
Boonen est sorti seul en tête du dernier secteur pavé difficile, le carrefour de l'Arbre à 15 kilomètres de l'arrivée qui a provoqué la perte de Flecha et de Hoste, puis de Hushovd, tous retardés sur chutes. Pozzato a réussi à éviter la première chute (Flecha, Hoste) mais a perdu le contact avec le coureur de la Quick Step qu'il surveillait jusque-là de très près. Dans ce secteur envahi par une foule immense, Hushovd, qui peinait à suivre Boonen, a heurté une barrière et s'est retrouvé à terre.
Le Belge de 28 ans a ainsi enlevé son troisième succès après ceux de 2005 et de 2008. Il a apporté à l'équipe de Patrick Lefevere sa dixième victoire à Roubaix depuis 1995, la 53e d'un coureur belge dans la grande classique française.
Pas au meilleur de sa forme, Fabian Cancellara s'est dévoué pour son coéquipier Matti Breschel et a été distancé à 25 km du but. Le coureur de la CSC a finalement été classé 49e à plus de six mintues, tandis que son compatriote et meilleur Suisse Grégory Rast a pris le 33e rang.
Petacchi dans un fauteuil
Alessandro Petacchi (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14603.shtml) (LPR) a signé mercredi la première victoire italienne depuis huit ans dans le Grand Prix de l'Escaut. Le Spezian a remporté haut la main le sprint final, marqué par une chute spectaculaire ayant notamment impliqué l'Australien Robbie McEwen (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs976.shtml) (Katusha).
Alessandro Petacchi n'avait jamais gagné en Belgique. A 35 ans, le Spezian a réparé à cette anomalie en triomphant aisément à l'arrivée du GP de l'Escaut, signant à cette occasion son sixième succès de la saison. "Aux 200 mètres, j'ai produit mon effort, j'ai bien giclé. J'avais perdu pas mal de coéquipiers pendant la course, notamment Ongarato, mais je suis vraiment content de mon sprint" , a analysé le vainqueur du jour dans l'aire d'arrivée. D'un déroulement convenu, cette semi-classique n'a pas fait mentir le pronostic qui la voyait s'achever comme à l'accoutumée par un emballage massif.
Un quatuor de courageux a eu beau tenté sa chance, il était écrit que cette 97e édition de l'épreuve belge devait se terminer au sprint. Composé du coéquipier de Lorenzo Bernucci (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs50128.shtml) (LPR), coéquipier de Petacchi, du Russe Pavel Brutt (Katusha), du Néerlandais Matthé Pronk (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs14754.shtml) (Vacansoleil) et de l'Américain Jeff Louder (BMC Racing), l'échappée du jour a compté plus de six minutes d'avance sur le peloton mais celui-ci conduit par les coureurs de la Quick Step et de Silence-Lotto (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea2910.shtml) n'a jamais relâché sa vigilance. Dans le final, le Néerlandais Servais Knaven (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs970.shtml) (Milram (http://www.eurosport.fr/cyclisme/team_tea4592.shtml)) attaquait à son tour en costaud en compagnie du Britannique Roger Hammond (Cervelo) mais à nouveau le gros de la troupe revenait.
Boonen pas dans le coup
Dans l'ultime ligne droite, le numéro d'équilibriste des sprinters était perturbé par un accrochage entre l'Australien Robbie McEwen (Katusha) et le Belge Greg Van Avermaet (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs114059.shtml) (Silence-Lotto), trop avide d'effacer le mauvais début de saison de son équipe. "J'ai touché la roue arrière de Petacchi et j'ai perdu l'équilibre ", a raconté le Belge. Tandis que les deux hommes s'écroulaient sur la chaussée, laissant le champ libre à Petacchi, les hommes et les mécaniques s'entassaient dans leur sillage, tombant à leur tour à la chaîne tel un château de carte.
Parmi les nombreux coureurs victimes de cette chute, on notait notamment Wouter Weylandt (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs49741.shtml) (Quick Step) tandis que son coéquipier Tom Boonen (http://www.eurosport.fr/cyclisme/person_prs24520.shtml), pas dans le coup, ne sera sans doute pas faché de clore une première partie de saison éprouvante. "Maintenant, il reste une bonne vingtaine de jours avant le départ du Giro, mon prochain objectif", concluait Petacchi la tête déjà ailleurs.
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Commotion pour McEwen
Pas de côte fracturée, ni de poumon perforé pour Robbie McEwen (http://www.lequipe.fr/Cyclisme/CyclismeFicheCoureur453.html) (Photo Reuters). Le sprinter de la formation Katusha, qui avait lourdement chuté mercredi à l'arrivée du GP de l'Escaut (http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves2009/20090415_200225_inquietude-pour-mcewen.html) en compagnie de Tom Boonen (http://www.lequipe.fr/Cyclisme/CyclismeFicheCoureur4191.html), souffre d'une commotion cérébrale. «La clavicule et le bassin sont intacts», a précisé l'Australien au site Internet de la télévision belge Sporza. Avant de poursuivre : «J'ai aussi une grosse bosse sur la tête. Mon casque s'est cassé en quatre. Je suis vraiment chanceux. Il faudra sans doute encore attendre quelques jours avant de retourner sur la route.» Sa participation au prochain Tour d'Italie, qui se déroulera du 9 au 23 mai, n'est donc pas remise en cause.
En revanche, Tom Boonen, le sprinteur belge vainqueur de Paris-Roubaix dimanche, craint une fracture du pied droit. Il sera fixé jeudi : il doit passer des examens médicaux dans la journée.
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Dommage pour mon sprinter préféré !
Nouveau contrôle antidopage positif pour Tyler Hamilton
Cyclisme | Selon le site spécialisé cyclingnews, cela signifie la fin de carrière du champion américain.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/17042009/b7e8c42.jpg © KEYSTONE | Tyler Hamilton, le 1er juillet 2004 à Liège.
AFP | 17.04.2009 |
Hamilton, qui est âgé de 38 ans, a été positif dans un contrôle inopiné diligenté en février par l’Agence nationale antidopage américaine (USADA).
Champion olympique du contre-la-montre en 2004, l’Américain avait été le premier sportif convaincu de dopage par transfusion sanguine fin 2004.
Hamilton, qui avait été suspendu pendant deux ans à la suite de cette affaire, porte le maillot de l’équipe américaine Rock Racing.
Selon le site spécialisé, le coureur a reconnu avoir pris une substance interdite dans un supplément vitaminé et a annoncé sa décision de raccrocher le vélo.
Monte-Carlo: Wawrinka en demi-finale
TENNIS | Le Vaudois a battu l'Allemand Andreas Beck, issu des qualifications, en deux sets, 6-2 6-4. Il rencontrera en demi-finale le Serbe Novak Djokovic.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/17042009/ede597b.jpg © KEYSTONE | Stanislas Wawrinka
SI | 17.04.2009 |
Stanislas Wawrinka (ATP 16) n'a rencontré aucune difficulté majeure pour se hisser dans le dernier carré de l'Open de Monte-Carlo. Au lendemain de sa victoire sur Roger Federer, le Vaudois s'est imposé 6-2 6-4 devant Andreas Beck (ATP 89).
Issu des qualifications, le gaucher allemand s'est incliné le plus logiquement du monde face à un Wawrinka extrêmement appliqué. Même si la première balle de break de la partie fut pour lui et même s'il a ravi le service de Wawrinka à 2-2 au second set, Beck livrait un combat perdu d'avance. Face à un Wawrinka en pleine confiance et qui lui était supérieur dans tous les domaines, la défaite était inéluctable. A 5-4 pour Wawrinka au second set, Beck cédait sur la quatrième balle de match en commettant une double-faute.
Samedi, Stanislas Wawrinka disputera la deuxième demi-finale de sa carrière dans le cadre d'un tournoi 1000 après celle de Rome l'an dernier face à Andy Roddick qui avait abandonné après le troisième jeu. Il sera opposé au no 3 mondial Novak Djokovic. Victorieux 6-2 4-6 6-3 de Fernando Verdasco (ATP 8), le Serbe reste sur quatre victoires devant Wawrinka, la dernière le mois dernier à Indian Wells.
Brillant contre Verdasco, Djokovic abordera cette demi-finale avec les faveurs du pronostic. Mais le souvenir de la finale de Rome, qu'il avait gagnée 4-6 6-3 6-3, l'incitera sans doute à une très grande prudence. La marge qu'il possède sur Wawrinka n'est pas énorme.
Jenson Button le plus rapide de la 2ème séance d'essais libres
GP de Chine | La hiérarchie du début de saison se confirme, lors de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Chine, vendredi sur le circuit de Shanghai.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/brawn1.jpg © AFP | Les Brawn GP de Jenson Button et de Rubens Barrichello (à l'arrière-plan), lors de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Chine le 17 avril 2009.
AFP | 17.04.2009 |
La hiérarchie du début de saison, bousculée vendredi matin quand Hamilton a signé le meilleur chrono de la première séance d'essais, est retournée à la normale, Button précédant l'Allemand Nico Rosberg, déjà très rapide aux essais en Australie et en Malaisie, et l'autre pilote Brawn GP, Rubens Barrichello.
Les deux coéquipiers chez Red Bull, l'Australien Mark Webber et l'Allemand Sebastian Vettel, sont quatrième et cinquième. Ils précèdent l'Italien Jarno Trulli (Toyota), le Japonais Kazuki Nakajima (Williams) et l'autre pilote Toyota, l'Allemand Timo Glock.
Le Finlandais Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes) a réalisé le neuvième temps, quatre places devant son leader Lewis Hamilton (treizième). Le Français Sébastien Bourdais porte une nouvelle fois sa Toro Rosso à la dixième place, une performance de bon augure avant le Grand Prix dimanche.
Ferrari et BMW Sauber sont aussi décevants que lors des premiers essais libres, le Brésilien Felipe Massa et son coéquipier Kimi Räikkönen ayant réalisé les douzième et quatorzième temps pour la Scuderia, alors que Robert Kubica et Nick Heidfeld sont respectivement dix-septième et dix-huitième.
Renault fait beaucoup moins bien que dans la matinée, Alonso neuvième ce matin, signant le dix-neuvième et avant-dernier chrono. Le Suisse Sébastien Buemi, sur la seconde Toro Rosso, est quinzième.
Aucun jugement définitif ne peut toutefois être porté par rapport aux résultats des essais, les volumes d'essence des pilotes n'étant pas connus.
Auto - Formule 1
Vettel en pole, Buemi bon 10e à Shanghai
18.04.2009 09:18
http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2009/swisstxt20090418_10587658_7.jpg
Sebastian Vettel a signé la 2e pole de sa carrière. [Keystone]
Sebastian Vettel (Red Bull) occupera dimanche la pole position du Grand Prix de Chine, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications. Sébastien Buemi (Toro Rosso) s'élancera de la 10e position.
Avec trois voitures motorisées par ses soins aux trois premières places sur la grille de départ du Grand Prix de Chine, Renault est à la fête. Les deux Red Bull de Sebastian Vettel (All) et Mark Webber (Aus) encadrent en effet Fernando Alonso (Esp). Sébastien Buemi (Toro Rosso) a quant à lui réussi une performance de choix en se qualifiant pour «Q3».
A la suite d'une dernière minute d'essais de folie, où les pilotes se sont succédé plus souvent qu'à leur tour en haut de la feuille des temps, Vettel a arraché la seconde pole-position de sa carrière. La dernière fois qu'il s'était élancé de la première place sur la grille, il s'était imposé en Italie la saison dernière...
Petit exploit de Buemi
http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2009/swisstxt20090418_10587669_3.jpg Sébastien Buemi a obtenu un excellent 10e chrono. [Keystone] Buemi a réussi un petit exploit en se hissant dans la 3e séance de qualifications. Pour 0''010, il a privé Nick Heldfeld (All/BMWSauber) de la possibilité de se battre avec les meilleurs en «Q3».
"Je suis vraiment content, a-t-il lâché. Avec peu d'essence, la voiture était vraiment très bonne". Le Vaudois a relégué son coéquipier Sébastien Bourdais (Fr) à plus de six dixièmes lors des premières vingt minutes de «qualifs» sur le circuit de Shanghaï. "L'équipe fait vraiment du bon boulot, a indiqué le Suisse. Je me réjouis de la course de dimanche !".
L'écurie BMW-Sauber a semblé plus à la peine que jamais en ce début de saison, aucun des ses pilotes n'atteignant la 3e séance. Pire, son leader Robert Kubica n'a pas passé le cap de «Q1», terminant à une pénible 18e place. "Je n'avais aucun grip", s'est plaint le Polonais, "la voiture est très compliquée à conduire".
F1 - GP de Chine - Toro Rosso - L'erreur de Bourdais
http://www.lequipe.fr/Xml/Formule1/Titres/Media/180409_bourdais_brv.jpg
Sébastien Bourdais (http://www.lequipe.fr/Formule1/Formule1FichePilote4500000000000650.html) a manqué sa séance de qualifications du Grand Prix de Chine, samedi, ne prenant que la 15e place, assez loin de son coéquipier, Sébastien Buemi, 10e, avec qui la comparaison est inévitable. Le Français a reconnu avoir «commis une erreur» dans son dernier tour qualificatif.
«J'ai fait une grosse faute en voulant trop bien faire. Pour rentrer en Q2, il fallait améliorer (mon temps) dans le dernier tour rapide. Je suis rentré un peu trop à l'extérieur dans un virage et j'ai pris de la poussière sur la piste, a expliqué le Manceau. C'est dommage, car au moment où ça arrive, je suis un dixième plus vite que mon collègue. Je ne pense pas qu'on aurait fini devant lui car il y a deux virages ensuite où nous perdons de la traction, ce qui nous coûte trois ou quatre dixièmes.»
«C'est extrêmement serré»
«Mais ça aurait dû rentrer en Q2, a ajouté Bourdais. En Q3, je ne pense pas, mais ça aurait dû rentrer en Q2. Si j'avais fait mon boulot, ça aurait été tout seul. En commençant 12e, tu te sens mieux. C'est extrêmement serré. Entre nous et les mecs qui font la 7-8e place, il y a peut-être deux ou trois dixièmes. Si notre stratégie veut sourire, il y a des choses qui sont possibles».
Sébastien Buemi se montrait lui forcément plus enthousiaste : «Je suis très heureux d'être en Q3, c'est mieux que ce que je pouvais espérer, a commenté Buemi le rookie. Avec peu d'essence, la voiture était vraiment très rapide. L'équipe a très bien travaillé, pour faire progresser la monoplace depuis le début de la saison. J'ai vraiment hâte d'être à la course.»
Djokovic y croit
Novak Djokovic estime qu’il peut battre Rafael Nadal en finale dimanche à Monte-Carlo.
«Je pense avoir mes chances. De toute façon, c’est la seule attitude acceptable pour espérer l’emporter face à lui sur cette surface. Le fait est que, depuis l’an dernier, Rafa a encore énormément progressé. Il fait courir son adversaire de long en large. Il a également amélioré son service. Quant à sa force physique et mentale… Rafa, à ce niveau-là, on le connaît déjà ! C’est un joueur très complet. Mais tout est possible en tennis. C’est une finale. Je suis motivé. Il aura beaucoup de pression sur les épaules, puisqu’il est évidemment ultra favori».
F1
Grand Prix de Chine : Victoire de Vettel sur Red Bull
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/vettel.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/vettel.jpg)
Image © Keystone
L’Allemand Sebastian Vettel (Red Bull)
L’Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) a remporté le Grand Prix de Chine, troisième des dix-sept épreuves du Championnat 2009 de Formule 1, dimanche sur le circuit de Shanghai.
le 19 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Le triomphe est total pour l’écurie Red Bull, très rapide depuis le début de saison et plus performante que toute la concurrence en Chine, Vettel devançant son coéquipier, l’Australien Mark Webber, lors d’une course disputée sur une piste humide, la pluie étant tombée au début de l’épreuve.
C’est le circuit des premières pour l’écurie autrichienne, qui après avoir obtenu sa première pole position, grâce à Vettel, remporte sa première victoire et réalise son premier doublé en Chine.
Le leader du Championnat du monde, le Britannique Jenson Button, le seul hormis Vettel et Webber à avoir pointé le museau de sa monoplace en tête du GP, est troisième, devant son coéquipier le Brésilien Rubens Barrichello.
Après les deux Red Bull et les deux Brawn GP, les deux McLaren-Mercedes finissent cinquième et sixième. Le champion du monde en titre, le Britannique Lewis Hamilton, qui a multiplié les tête-à-queue, est toutefois précédé par son partenaire Heikki Kovalainen.
Le pilote allemand de Toyota, Timo Glock, parti dernier, est l’auteur de la plus belle remontée du jour. Il termine septième, devant l’espoir suisse Sébastien Buemi (Toro Rosso), auteur d’une belle course.
Le double champion du monde espagnol Fernando Alonso est le déçu du jour. Parti de la première ligne, il finit neuvième, à la porte des points, devant Kimi Räikkönen, dont la Ferrari n’a jamais été dans le rythme.
Autre pilote frustré, le Français Sébastien Bourdais, 11e, peut se mordre les doigts d’avoir fait deux tête-à-queue dimanche, qui lui ont coûté une trentaine de secondes. Très rapide, plus vite que son coéquipier Buemi, il aurait largement terminé dans les points sans cela.
La palme de l’agacement revient à l’Allemand Adrian Sutil qui, bien aidé par une très bonne stratégie, était sixième à quelques tours de la fin dans sa Force India, notoirement en retrait. Mais Sutil a glissé sur une piste très humide et le rêve a pris fin.
Finale de Monte-Carlo
Nadal remporte la finale de Monte-Carlo
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L’Espagnol Rafael Nad
L’Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, a remporté pour la cinquième année de suite le tournoi de Monte-Carlo en battant le Serbe Novak Djokovic (N.3) en trois sets 6-3, 2-6, 6-1 en finale.
le 19 avril 2009,
LeMatin.ch & les agences
L’Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, a remporté pour la cinquième année de suite le tournoi de Monte-Carlo en battant le Serbe Novak Djokovic (N.3) en trois sets 6-3, 2-6, 6-1 en finale.
Monte Carlo. Tournoi ATP Masters 1000 (2,75 millions d'euros/terre battue). Demi-finales: Novak Djokovic (Ser/3) bat Stanislas Wawrinka (S/13) 4-6 6-1 6-3. Rafael Nadal (Esp/1) bat Andy Murray (GB/4) 6-2 7-6 (7/4). Finale: Nadal bat Djokovic 6-3 2-6 6-1.
:content:Top fort Nadal:yes:
Christina Liebherr: jusqu'au bout du rêve américain?
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Image © Keystone
Christina Liebherr est remontée au 4e rang, grâce au superbe sans-faute signé hier soir sur les 15 efforts du premier tour
Le beau sans-faute réussi hier soir encore par Christina Liebherr et «LB No-Mercy», 4es avant l'ultime tour, les rapprochait encore plus du podium et du rêve...
Alban Poudret - le 19 avril 2009
Le Matin
Quel final, quel suspense, cavaliers et chevaux se sont encore surpassés hier soir à Las Vegas pour aller au bout de leurs rêves. Et au bout de la nuit pour vous, puisque la seconde manche se concluait au-delà de minuit, trop tard pour votre quotidien du matin, mais nous reviendrons demain en détail sur cette apothéose. Avec des réactions des trois premiers et des trois Helvètes.
Le trio de tête était toujours à portée de main de Christina Liebherr, remontée d'une case, au 4e rang, grâce au superbe sans-faute signé hier soir sur les 15 efforts du premier tour. On vit là une Christina des grands jours, calme et concentrée, maîtrisant son sujet, le tracé et son puissant «LB No-Mercy». Son génial compagnon de 14 ans, au regard si pétillant et au coup de saut génial, était plus calme, comme s'il mesurait l'importance de l'enjeu et du test.
Fellers piégé
Comme les trois premiers du classement général, Meredith Michaels Beerbaum, McLain Ward et Albert Zoer, bouclèrent aussi ce tour sans fautes, du coup la Suissesse ne dépassait que l'Américain Fellers, piégé par les deux premiers obstacles (la tension?), mais elle se maintenait près des meilleurs et gardait une minuscule avance sur un Rodrigo Pessoa très motivé à l'idée de revenir par la grande porte.
Steve Guerdat et Daniel Etter furent une fois de plus excellents aussi. Mais une fois de plus la chance leur tourna le dos, sur l'ultime obstacle, une délicate palanque. Les deux potes partageaient une nouvelle fois le même sort et quasi le même classement (12e et 13e): le top 10 à portée de main! Comme les 22 meilleurs, ils devaient encore revenir une dernière fois dans l'arène, pour affronter quinze nouveaux efforts (douze obstacles), le règlement prévoyant désormais une ultime manche très costaude (on avait 9 ou 10 obstacles jusqu'ici). Une longue aventure, on vous l'a dit... Alors, à demain pour la suite et fin!
Cyclisme: le Russe Serguei Ivanov remporte l'Amstel Gold Race
VALKENBURG, Pays-Bas | Le Russe Serguei Ivanov (Katusha) a remporté dimanche la 44e édition de l'Amstel Gold Race, la classique cycliste néerlandaise courue de Maastricht à Valkenburg sur la distance de 257 kilomètres.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/depeches/212724e.jpg © AFP | Le coureur cycliste russe Serguei Ivanov, le 19 avril 2009 à Valkenburg
AFP | 19.04.2009 |
Ivanov, champion de Russie en titre, a devancé au sommet du Cauberg le Néerlandais Karsten Kroon.
Un autre Néerlandais, Robert Gesink, a pris la troisième place devant le Belge Philippe Gilbert, qui a réglé le premier peloton avec quelques secondes de retard.
L'Italien Damiano Cunego, vainqueur l'année passée, a pris la cinquième place devant le Français Christophe Riblon.
Gesink a provoqué la décision dans les 10 derniers kilomètres, avant d'être rejoint par Kroon et Ivanov, lequel s'était déjà signalé auparavant en contre-attaquant derrière le Tchèque Roman Kreuziger.
Le trio a abordé la montée finale du Cauberg avec une poignée de secondes (entre 6 et 8) d'avance sur les poursuivants. Gesink, décroché, n'a pu se mêler à la lutte entre Ivanov et Kroon qui a tourné à l'avantage du Russe.
Ivanov avait pris la deuxième place de la "Gold Race" en 2002, alors que l'arrivée était jugée sur le plat à Maastrich. Il avait été devancé par son coéquipier italien Michele Bartoli, les deux hommes étant départagés par la photo-finish.
Agé de 34 ans et professionnel depuis 1996, Ivanov a apporté sa première classique à la nouvelle formation russe Katusha.
Dans cette course disputée sous un ciel ensoleillé malgré quelques nuages, une échappée de six coureurs (Terpstra, Arashiro, Klimov, Bertogliati, Timmer, Bozic) lancée dès la première demi-heure a pris fin à 55 kilomètres de l'arrivée.
Son dernier rescapé, le Néerlandais Niki Terpstra, a été repris par un petit groupe de contre-attaquants (Freire, Agnoli, Burghardt) avant le regroupement général à 37 kilomètres de la ligne.
Le champion de Luxembourg Frank Schleck a fait une chute sévère à l'approche de Maastricht, à quelque 70 kilomètres de l'arrivée, avec l'Australien Matthew Lloyd.
Les deux hommes ont été soignés sur place durant une vingtaine de minutes avant d'être évacués vers un hôpital.
L'aîné des Schleck, vainqueur en 2006, n'avait pas perdu connaissance, a précisé son équipe Saxo Bank en ajoutant que "c'était moins grave" que craint dans un premier temps.
Dans cette course disputée sous un ciel ensoleillé malgré quelques nuages, une échappée de six coureurs (Terpstra, Arashiro, Klimov, Bertogliati, Timmer, Bozic) lancée dès la première demi-heure a pris fin à 55 kilomètres de l'arrivée.
états-Unis
Mort de 21 chevaux de polo: ils auraient été drogués
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/polo.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/polo.jpg)
Image © Keystone
L'enquête sur la mort de 21 chevaux d'une équipe de polo vénézuélienne entre dimanche et lundi en Floride avant un prestigieux tournoi s'oriente vers la piste d'une administration de produits toxiques.
le 21 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Au vue de la rapidité avec laquelle les chevaux sont morts, les autorités de Floride (sud-est des Etats-Unis) "soupçonnent que la cause (de leur mort) est liée à une réaction négative à des drogues ou des produits toxiques", indique le communiqué du département de l'Agriculture, chargé de l'enquête.
"Il n'existe pas de preuves du fait que les chevaux auraient pu être affectés par une maladie infectieuse ou contagieuse", ajoute le document.
L'équipe de polo de Caracas devait participer dimanche à l'US Open de polo qui se joue au Club international de polo de Palm Beach à Wellington, à 100 km au nord de Miami, mais le prestigieux tournoi a dû être suspendu lorsque les chevaux de l'équipe ont commencé à s'effondrer les uns après les autres.
Des sources citées par le journal local Palm Beach Post ont indiqué qu'il n'était pas rare que des anabolisants ou toute autre sorte de "cocktails" soient administrés aux équidés participant aux tournois de polo de Wellington, afin d'améliorer leurs performances.
"Le moment est venu de faire passer des examens anti-dopage aux chevaux de polo", estime, dans l'édition de mardi du Palm Beach Post, Neil Hirsch, co-propriétaire du Bridgehampton Polo Club de Long Island (New York), qui aurait dû affronter dimanche l'équipe de polo de Caracas.
Les chevaux qui sont morts, certains évalués jusqu'à 200.000 dollars, venaient principalement d'Argentine, comme les joueurs de polo qui devaient les monter, selon différentes sources à Wellington, connue comme étant la capitale américaine de ce sport.
L'équipe "Lechuza Polo a participé à des championnats et des tournois de polo dans le monde entier et jamais nous avons connu une situation aussi désespérante que celle-ci, vu que nos chevaux reçoivent les soins les plus professionnels et attentionnés possibles", indique un communiqué de l'équipe de Caracas.
"Nous ne connaissons pas la cause de la mort de nos chevaux. Nous attendons le résultat des autopsies que réalisent en ce moment les autorités", ajoute le document.
:diable:Dans tous les cas de figure, c'est dégu:langueŽ:eulasse
C'est honteux de s'en prendre a des chevaux
ps un ptit hors sujet j'aime bien ton avatar norton
C'est honteux de s'en prendre a des chevaux
Je pense que personne ne s'en est pris aux chevaux. Ils ont une telle valeur, qu'ils sont mieux gardés que les lingots de la banque de france. Tout comme pour les courses, du personnel se relait 24/24 auprès des chevaux afin que personne ne puisse les approcher.
Il ne peut s'agir d'une épidémie car dans ce cas il est peut probable que 100% des chevaux Vénézuéliens aient été touché et tout aussi improbable que tous les autres soient indemnes.
Il est clair (pour moi),que c'est un accident du : soit à une erreur humaine (erreur de produit, sur-dosage, mélange toxique), soit à un produit frelaté qui a été injecté aux chevaux.
Dans les deux cas, il ne peut s'agir que de dopage, car là encore, il ne peut s'agir d'un médicament, car, quelle est la probabilité que 100% des chevaux soient malades et nécessitent des soins ?
Dans ce milieu comme dans les autres, il y a longtemps que le sport n'a plus sa place, et que seul l'argent mène la danse :langueŽ:.
...produit frelaté qui a tété injecté aux chevaux.
...l'argent mène la dance :langueŽ:
Oula pasky ça va mal !! Dis, t'es Anglais ou quoi ?! Parce que "dance" c'est le dancefloor !:pEt puis "tété" là c'est le comble !!:DAU COIN !!!
C'est honteux de s'en prendre a des chevaux
ps un ptit hors sujet j'aime bien ton avatar norton
Merci nofoot, je constate que Medol n'en à toujours pas:D
Oula pasky ça va mal !! Dis, t'es Anglais ou quoi ?! Parce que "dance" c'est le dancefloor !:pEt puis "tété" là c'est le comble !!:DAU COIN !!!
Je te trouve dur avec un vieux croûton qui fait des fautes parce qu'il a trop tété peut être ?
Mais tu as raison, je m'y colle
http://img16.imageshack.us/img16/5563/coinj.jpg (http://img16.imageshack.us/my.php?image=coinj.jpg)
PS comme le fait si bien remarquer Norton, c'est pour quand ton avatar moussaillon ?
PS comme le fait si bien remarquer Norton, c'est pour quand ton avatar moussaillon ?
C'est pour le mercredi 22 avril à 17H06 c'est à dire maintenant !:content:
C'est pour le mercredi 22 avril à 17H06 c'est à dire maintenant !:content:
Yes:D
Coupe de l'America: Oracle propose une prochain édition en 2011 à Valence
Il y a 21 heures
MADRID (AFP) — Le syndicat américain Oracle a annoncé mardi qu'il souhaitait que la 33e Coupe de l'America ait lieu en 2011 à Valence (Espagne) avec de multiples challengeurs et qu'il allait le proposer au tenant suisse Alinghi lors d'une réunion jeudi à Genève (Suisse).
Cette proposition a été transmise par le Golden Gate Yacht Club (GGYC), représentant Oracle, à la Société Nautique de Genève (SNG), représentant Alinghi, à moins de 48 heures de cette rencontre déterminante pour l'avenir de la "Cup", précise Oracle dans un communiqué.
Oracle a obtenu gain de cause en justice début avril aux Etats-Unis dans le litige qui l'opposait à Alinghi sur les modalités de l'épreuve, une victoire ouvrant théoriquement la voie à une 33e édition de la "Cup" sous forme d'un duel en multicoques entre les deux syndicats en 2010 à Valence.
Mais le syndicat américain, comme l'ensemble du monde de la voile, préférerait un format traditionnel pour cette prestigieuse épreuve de voile. Sa proposition retarde d'un an, à 2011, la date envisagée par Alinghi et 18 challengeurs inscrits.
Dans la pratique, Oracle propose que la 33e édition avec plusieurs challengeurs soit organisée avec les nouveaux voiliers "AC33" plus rapides dont le design vient d'être déterminé par Alinghi et les challengeurs.
Le syndicat américain souhaite par ailleurs l'adoption pour cette prochaine édition d'un ensemble de règles (protocole) fixées par "consentement mutuel" et basées sur celles de la 32e édition, en y ajoutant des mesures d'économie.
A la suite du jugement new-yorkais, Oracle est devenu le "challengeur de référence" qui fixe les règles de la 33e édition avec le défenseur Alinghi, vainqueur en 2007 à Valence de la 32e "Cup".
Oracle propose par ailleurs une solution de rechange pour les éliminatoires entre challengeurs, suggérant qu'elles soient organisées par les challengeurs eux-mêmes sous l'égide de Louis-Vuitton (organisateur traditionnel de cette phase de l'épreuve), le vainqueur affrontant Alinghi pour la Coupe.
Les Américains souhaitent enfin qu'AC Management, l'entreprise organisatrice émanant d'Alinghi, ait un conseil d'administration formé d'un commun accord.
Cet ensemble de propositions relance la perspective d'une Coupe traditionnelle plutôt qu'un duel en multicoques, la date de 2011 permettant une meilleure préparation de l'épreuve.
Mais il était encore trop tôt pour savoir si elles seraient acceptables pour Alinghi, qui n'a pas pu être joint mardi soir pour réagir.
La mort subite de 21 chevaux ébranle le monde du polo
Constance Jamet (lefigaro.fr) avec AFP
22/04/2009 |
http://www.lefigaro.fr/medias/2009/04/22/10063864-2f43-11de-a2d7-f1fc6af9393c.jpg
Des bâches ont été dressées en catastrophe au club de polo de Wellington pour masquer à la vue des spectateurs l'agonie des premiers chevaux. Crédits photo : AP
Des analyses toxicologiques doivent déterminer si c'est une injection de produits dopants ou une intoxication alimentaire qui a tué en quelques minutes les chevaux d'une équipe vénézuélienne de polo, lors d'un tournoi à Palm Beach, en Floride.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif Les centaines de spectateurs du très chic club de polo international de Wellington, à Palm Beach en Floride, étaient venus assister dimanche au tournoi de l'année, le 105e championnat américain de polo. Mais c'est une hécatombe qui les attendait. Sous leurs yeux, sept chevaux de l'équipe vénézuélienne, Lechuza Caracas, se sont écroulés en sortant de leurs remorques, quelques instants avant le début de la rencontre contre l'équipe locale des Black Watch. Les équidés, désorientés et pris de vertige selon leurs cavaliers, ont succombé en quelques minutes. Quatorze autres chevaux, qui étaient encore dans leurs box et qui présentaient les mêmes signes, ont été transportés d'urgence dans des cliniques vétérinaires. Mais malgré tous les traitements entrepris, aucun n'a survécu (vidéo) (http://www.youtube.com/watch?v=8eBdWsOOHKU).
Les premiers résultats des nécropsies pratiquées sur les animaux n'ont rien révélé de concluant. Tout au plus quelques saignements internes. Les enquêteurs comptent maintenant sur les analyses toxicologiques pour découvrir la cause de leur mort. Ces tests prendront plusieurs semaines. Vu la rapidité des décès, les autorités de Floride suspectent un empoisonnement (http://www.miamiherald.com/884/story/1009450-p2.html)ou une réaction allergique (http://edition.cnn.com/2009/US/04/20/dead.horses/index.html)à un produit médicamenteux d'avoir causé une insuffisance cardiaque. «Il peut s'agir d'une toxine présente dans le fourrage ou les granulés, les vitamines ou les compléments qu'on leur a administré, ou de la combinaison des trois», résumait aux journalistes le Dr Scott Swerdlin. Sur les forums internet, plusieurs spécialistes de santé animale mettaient en cause l'ionophore toxique (http://www.omafra.gov.on.ca/french/livestock/horses/facts/info-rpdeathtoxins.htm).
«Le polo, un sport de gentlemen»
L'hécatombe a ébranlé le monde du polo (http://www.miamiherald.com/news/breaking-news/story/1010182.html)et choqué l'univers feutré et huppé de Palm Beach. «C'est la première fois qu'un drame de cette ampleur se produit dans l'histoire de ce sport», soulignait au «Times» l'entraîneur anglais John Horswell. Cette vague de morts subites a également rouvert les interrogations sur les pratiques de dopage dans cette discipline. Plusieurs connaisseurs du milieu du polo pointent qu'il est courant, à ce niveau de compétition d'administrer aux animaux un «cocktail» chimique destiné à améliorer leurs performances. Ces produits dopants, similaires aux stéroïdes, sont soit mélangés à l'eau des chevaux soit administrés par injection.
Le quotidien local «the Sun Sentinel» affirmait ainsi que les chevaux ont réagi à un dérivé de stéroïde mélangé à un produit désinfectant. Ces allégations ont été démenties par le vétérinaire de l'équipe de Caracas. James Belden a rappelé que les chevaux vénézuéliens participent à des compétitions au Royaume-Uni, où les stéroïdes sont interdits. Ce n'est pas le cas aux Etats-Unis, où l'association nationale de polo ne requiert pas de test de dépistage. Néanmoins, la piste du dopage ne fait pas l'unanimité dans le milieu du polo «Ce n'est pas nécessaire, parce que le polo a toujours été considéré comme un sport de gentlemen. On joue pour la gloire, pas pour l'argent», a martelé le vétérinaire Scott Swerdlin.
Le propriétaire de l'équipe, le richissime banquier vénézuélien Victor Vargas, n'a pas pu dissimuler son chagrin, pleurant devant les caméras alors qu'il tenait dans ses bras ses chevaux agonisants. Ce proche d'Hugo Chavez a perdu dans le drame la moitié de son écurie (http://edition.cnn.com/2009/US/04/21/polo.horses/), soit plus de 2 millions de dollars,
:diable:c'est vraiment sincère les petites larmes?
Coupe de France: une finale Rennes-Guingamp, la Bretagne à l'honneur
PARIS (AFP) — Rennes et Guingamp (L2), qui a créé l'exploit en s'imposant à Toulouse mercredi soir (2-1), s'affronteront en finale de la Coupe de France dans une inédite affiche 100% bretonne, alors qu'un autre club breton, Vannes (L2), défie Bordeaux samedi en finale de la Coupe de la Ligue.
Rennes, 7e de Ligue 1 après 32 journées, se présente en favori. Les Rouge et Noir, qui ont éliminé Grenoble mardi (1-0), voudront s'assurer une qualification pour l'Europa Ligue (nouveau nom de la Coupe de l'UEFA) qui n'est pas encore acquise par le biais du championnat.
Les hommes de Guy Lacombe, dont l'avenir reste flou et qui a récemment remporté deux coupes (celle de la Ligue en 2004 avec Sochaux, celle de France avec le PSG en 2006), ont progressivement dû abandonner leurs rêves de Ligue de champions au sortir d'une série de quatre matches sans victoire qui les ont décroché du wagon de tête, en janvier-février.
Ils pointent désormais à neuf points du podium. La finale de la Coupe leur offre aussi l'occasion de dépoussiérer une armoire à trophées peu garnie, comptant seulement deux Coupes de France (1965 et 1971).
Le palmarès de Guingamp ne contient, lui, qu'une Coupe Intertoto (1997). Le club présidé par Noël Le Graët renoue avec ses heures de gloire de la fin des années 1990, lorsqu'il avait déjà accroché une finale de la Coupe de France, perdue in extremis face à Nice, en 1997 également (1-1 a.p., 4-3 t.a.b.). L'année suivante, l'En Avant trébuchait en demi-finale face au Paris SG (1-0).
Guingamp est depuis retombé dans le relatif anonymat de la Ligue 2, frôlant parfois la relégation en National. Cette saison, il a dû attendre 2009 pour se hisser au-dessus de la 15e place. Il est actuellement 11e (avec notamment 15 nuls sur 32 matches).
La finale se disputera le 9 mai au Stade de France.
cyclisme
Rebellin puissance 3
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/wallone.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/wallone.jpg)
Image © Keystone
Davide Rebellin a mis tout le monde d’accord dans les 200 derniers mètres.
A 37 ans, l’Italien remporte la classique ardennaise pour la troisième fois au sommet du célèbre mur d’Huy.
SI - le 22 avril 2009
Le Matin Bleu
Flèche Wallonne
Huy (Bel)
A 37 ans, Davide Rebellin est resté maître du mur d’Huy. L’Italien y a remporté pour la troisième fois la Flèche wallonne et égalé le record des victoires dans cette classique de 73 ans d’âge. Meilleur Suisse, Michael Albasini a décroché une belle 9e place. En 2008, le Thurgovien avait déjà terminé à un prometteur 7e rang. Le jour d’Huy a sonné pour le spécialiste italien des classiques, redevenu irrésistible dans son exercice favori après ses ennuis de santé de la semaine dernière (bronchite). Nul n’a pu le suivre dans les 200 derniers mètres, pas plus le Luxembourgeois Andy Schleck que l’Australien Cadel Evans en tête quelques instants plus tôt. Sur la ligne, Evans, deuxième l’année passée, a été précédé par l’Italien Damiano Cunego (3e), parti un peu tard, et par le champion olympique en titre, l’Espagnol Samuel Sanchez (4e), qui avait privé Rebellin de la médaille d’or l’été dernier à Pékin.
Ambitions intactes
Huit mois plus tard, l’Italien a repris le dessus pour ajouter une nouvelle perle à sa collection des «Ardennaises». S’il a rejoint à l’intersaison une équipe de l’échelon Continental Pro (l’équivalent de la deuxième division), il n’a pas pour autant baissé ses ambitions. En grand connaisseur du cyclisme professionnel, dont il est l’un des acteurs depuis son premier contrat à la fin de l’été 1992, le vainqueur du jour n’a pas oublié de remercier les organisateurs des trois classiques ardennaises qui ont invité sa formation. Il a pris date aussi pour Liège-Bastogne-Liège (dimanche), la Doyenne des classiques que le vétéran italien a déjà conquis en 2004.
Classement
Huy (Be). 72e Flèche Wallonne (199 km)
1. Rebellin (It/Diquigiovanni) 4h42’15 (41,561km/h).
2. Schleck (Lux) à 2’’.
3. Cunego (It), même temps.
4. Sanchez (Esp) à 7’’.
5. Evans (Aus).
6. Lövkvist (Su), même temps.
7. Valverde (Esp) à 11’’.
8. Gerrans (Aus).
9. Albasini (S), même temps.
10. Nocentini (It) à 15’’.
11. Lhotellerie (Fr) à 18’’.
12. Le Lay (Fr) à 21’’.
13. Ivanov (Rus).
14. Hermans (Be).
15. Sörensen (Dan), tous même temps.
16. Devenyns (Be) à 24’’.
17. de Waele (Be) à 26’’.
18. Wegmann (All).
19. Gasparotto (It).
20. Levarlet (Fr), tous même temps.
Puis: 55. Bertogliati (S) à 1’21. 145. Rossi (S), même temps. Ont notamment abandonné: Calcagni (S), M. Wyss (S).
Lola bientôt de retour en Formule 1'
22/04/2009 - Sports.fr
Absent des circuits depuis 1997, Lola envisage de revenir en Formule 1 l’an prochain, si la FIA confirme son projet de F1 "low cost". Martin Birrane, président éxécutif de Lola Group, déclare sur le site officiel du constructeur anglais : "Le fait que les écuries de Formule 1 puissent opter pour un plafonnement des coûts à partir de 2010, nous a permis d’évaluer la possibilité de développer une voiture que l’on pourrait aligner au championnat du monde de Formule 1." Le millionnaire irlandais ajoute : "Lola possède les ressources techniques, les capacités et le savoir-faire pour développer des engins capables de rivaliser au plus haut niveau international de sport automobile.
Natation
Record du monde pour Alain Bernard (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792)
http://www.20min.ch/images/content/1/2/4/12435792/1/teaserbig.jpg (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792)
Le Français Alain Bernard a battu jeudi le record du monde du 100 mètres nage libre en 46.94 secondes en demi-finale des championnats de France de natation à Montpellier. (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792) http://www.20min.ch/images/blank.gif
Alinghi accepte de régater sur des multicoques
VOILE | La Société nautique de Genève relèvera le défi d’Oracle. La Coupe de l’America 2010 se déroulera en duel. Tant pis pour les 18 challengers déjà inscrits.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/17_1_806941939__ONZ4227.jpg © GILLES MARTIN-RAGET/BMW-ORACLE | Mis à l’eau depuis plusieurs mois, le trimaran géant (28 m) du défi américain sera opposé au multicoque d’Alinghi encore en construction à Villeneuve.
PIERRE NUSSLÉ | 24.04.2009 |
Place aux multicoques géants! La Société nautique de Genève (SNG) a confirmé hier lors d’une réunion avec les représentants du Golden Gate Yacht-club (GGYC) qu’elle acceptait le défi lancé par BMW-Oracle. «Nous avons été forcés de construire un grand multicoque. C’était le choix des Américains et maintenant nous devons nous y plier», affirme Brad Butterworth, le skipper d’Alinghi.
La position du Defender suisse ne surprend pas car elle va dans le sens logique d’un duel devenu inévitable depuis que la Cour d’appel de l’Etat de New York a donné raison au club californien.
Alinghi flexible
Après une bataille juridique interminable et fastidieuse, la stratégie destructive d’Oracle et l’intransigeance d’Alinghi ne pouvaient plus déboucher sur un accord par consentement mutuel. Les dix-huit challengers officiellement inscrits depuis la fin 2008 devront donc attendre qu’un vainqueur se dégage de ce match entre «monstres» marins. En pensant à eux, Alinghi a toutefois exprimé son souhait de voir les épreuves de sélection ouvertes aux autres équipes.
«Nous encourageons Oracle à offrir plus de temps aux teams pour se préparer si nécessaire», commente Brad Butterworth, ajoutant qu’«Alinghi veut se montrer flexible et prêt à discuter sur les autres termes de la 33e Cup, notamment sur les questions du format de la compétition, le lieu et le calendrier des régates.»
Beaucoup de fermeté, mais aucune animosité entre les deux parties qui ont discuté franchement durant deux heures et demie à la Nautique. En début de semaine, Oracle avait clairement proposé une compétition conventionnelle en monocoques avec tous les challengers. Proposition rejetée par Alinghi hier. «La SNG indique que le duel (Deed of Gift Match) devrait se disputer en mai 2010. Une initiative qui va à l’encontre du récent jugement de la Cour d’appel de New York qui a formellement ordonné que le duel ait lieu en février 2010, soit dix mois après la décision de la Cour.»
Les représentants américains n’ont pas voulu faire de déclaration après la séance. Dans un communiqué, il demande à la SNG de préciser sa position par écrit, et espère avoir bientôt une autre réunion pour clarifier tout ce qui concerne le «Deed of Gift Match» en multicoques.
«Nous sommes déçus que la SNG ait catégoriquement rejeté notre proposition pour une America’s Cup conventionnelle. Nous voulons continuer à négocier de bonne foi, en tant que Challenger of Record, afin de permettre à la Cup de retourner sur l’eau aussi vite que possible.»
L’arme infaillible?
Intention louable, hélas trop souvent rabâchée depuis juillet 2007. BMW-Oracle est-il vraiment sûr qu’il possède l’arme infaillible pour battre Alinghi sur l’eau l’an prochain? Rien n’est moins sûr. Et c’est sans doute la raison pour laquelle il tarde tant pour présenter le fameux «Custom house registry», un document officiel qui mentionne les dimensions et les spécificités du bateau construit par Oracle pour le duel.
En avril 2008, Oracle avait présenté son trimaran géant construit à Anacortes comme étant celui qui devrait affronter le Defender pour la 33e America’s Cup. A partir de là, le challenger n’a plus le droit de construire un deuxième bateau.
manu94600
24/04/2009, 14h36
Natation
Record du monde pour Alain Bernard (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792)
http://www.20min.ch/images/content/1/2/4/12435792/1/teaserbig.jpg (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792)
Le Français Alain Bernard a battu jeudi le record du monde du 100 mètres nage libre en 46.94 secondes en demi-finale des championnats de France de natation à Montpellier. (http://www.20min.ch/ro/sports/autres/story/12435792) http://www.20min.ch/images/blank.gif
Avec une combi non homologué aussi :)
Avec une combi non homologué aussi :)
;)Ouaip, pas pensé à cela, mais ça a l'air validé.
A voir plus tard...................
MONDIAUX 2009
Sandy Jeannin: «On a joué bêtement»
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/hco.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/hco.jpg)Image © Eric Lafargue
Martin Plüss (en bas) a bien visé l’angle supérieur de la cage de Fabrice Lhenry. Ce but a suffi à l’équipe de Suisse, bien défendue par Martin Gerber
Comme Julien Sprunger ou Mark Streit, l’attaquant neuchâtelois reconnaît que l’équipe de Suisse n’a pas pris son début de tournoi par le bon bout. Le Français Laurent Meunier regrette de n’avoir pas pu créer une petite surprise
Thomas Dayer - le 24 avril 2009
LeMatin.ch
1-0 contre la France, voilà un score qui n’est guère flatteur pour la sélection de Ralph Krueger qui pensait sans doute connaître moins de difficultés à croquer son entrée dans ces Championnats du Monde. «C’est sûr qu’on n’a pas vu la meilleure équipe de Suisse possible ce soir, reconnaît l’attaquant de FR Gottéron Julien Sprunger. On s’est créé quelques occasions qu’on n’a pas concrétisées, puis on a senti le public tendu. Il faut faire attention, ce ne sont pas avec de telles prestations qu’on plaira à tout le monde!»
Sandy Jeannin en est également conscient. «On a joué avec le feu, lâche le joueur de centre neuchâtelois. On n’a pas fait ce qu’on devait faire, on a joué bêtement, on a perdu trop de pucks. On n’est pas assez supérieurs aux autres pour jouer pareillement. Normalement, le 1-0 aurait dû nous libérer, ça aurait dû y aller. Mais marquer ne nous a même pas aidés.»
De nombreux jeux de puissance n’ont pas davantage permis aux Suisses de détendre la situation. «Il faudra à tout prix travailler les situations spéciales, souligne Thomas Déruns. Ce soir, l’important, c’était de gagner. Mais globalement, il faut avouer que nos adversaires nous ont bien contrés, qu’ils ont bien neutralisé notre système.»
Le Français Laurent Meunier (ex-GE Servette et FR Gottéron), très utilisé par l’entraîneur Dave Henderson («Ca me convient», sourit-il), ne peut donc masquer une légère déception: «On a fait un bon match dans l’ensemble. On a eu assez tôt deux ou trois occasions sur lesquelles on aurait pu marquer. Puis on s’est montrés solidaires autour de notre gardien. Oui, c’est vrai, on aurait pu créer une petite surprise, c’est dommage.» L’attaquant a même, peu avant la deuxième sirène, inscrit un but finalement annulé (Yorick Treille se trouvait dans la zone de Martin Gerber): «Je n’ai pas vu le ralenti, sourit-il. Mais disons que cette réussite m’a semblé très vite refusée. C’est peut-être l’avantage de jouer à la maison! (Sourire.)»
Un avantage sans doute annihilé par la tension, par la pression. «Le premier match est toujours difficile dans ce contexte, lâche Mark Streit. Quand vous commencez des Championnats du Monde à la maison, l’essentiel est de gagner, vous ne pouvez pas forcément vous laisser aller à présenter du beau jeu. Il faut aussi dire que la médiocre qualité de la glace ne permettait pas forcément de contrôler le puck de la meilleure manière qui soit.» Mais le défenseur des New York Islanders le reconnaît également: «La façon dont nous avons disputé cette partie n’était pas bonne.»
Pas de quoi se forger un moral d’acier, donc, avant la partie de dimanche face à l’Allemagne. «Il faudra l’aborder avec un tout autre état d’esprit, c’est sûr», conclut Julien Sprunger.
gp de Bahreïn
En attendant le diffuseur
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/saigon.jpg (http://www.lematin.ch/files/imagecache/485x365/stories/saigon.jpg)
Image © Jad Sherif
Tout le monde travaille sur la Toro Rosso de Buemi, mais le Suisse souffre à Bahreïn
La première journée d'essais libres a mis en évidence la différence entre les écuries ayant des diffuseurs doubles et les autres...
Luc Domenjoz - le 24 avril 2009
Le Matin
Il régnait une température plutôt agréable de 36 degrés, hier, sur le circuit de Sakhir. Dans le paddock, par contre, la chaleur grimpait bien davantage entre les équipes.
Car ce week-end, il semble que les écuries qui disposent depuis le début des diffuseurs doubles - Brawn, Toyota et Williams - comptent une nette longueur d'avance sur les autres, même celles qui ont bricolé provisoirement un tel dispositif - les McLaren, Renault et Force India.
Chez Toro Rosso, en tout cas, les deux pilotes ne semblent pas à la fête. Sébastien Buemi a connu une première séance d'essais difficile, hier matin, puisqu'il dut se contenter du 20e et dernier chrono après avoir dû abandonner sa monoplace en panne sur le bord de la piste. «Nous avons eu un problème électronique», lâchait-il simplement.
Nouveauté à Monaco
L'après-midi, pour la deuxième séance d'essais, il put enfin tourner et termine la journée avec le 13e chrono, plus de deux dixièmes devant son coéquipier, Sébastien Bourdais. «On peut constater que la concurrence devient plus rude, plaide le Vaudois. Même les Force India, désormais, disposent d'un nouveau diffuseur, et on voit la différence.» Giancarlo Fisichella, hier, se classait effectivement devant sa Toro Rosso.
Pour l'écurie italienne, il faudra sans doute attendre le Grand Prix de Monaco, voir le Grand Prix de Turquie, début juin, pour voir apparaître ce nouvel appendice aérodynamique. «Notre boîte de vitesses nous oblige à revoir profondément l'arrière de notre voiture», explique-t-on chez Red Bull. Le directeur technique de l'écurie, Adrian Newey, n'est pas présent ce week-end. Il est resté une nouvelle fois en Angleterre pour tenter de résoudre le problème au plus vite.
Pour Sébastien Buemi, marquer des points ici s'apparentera à une mission impossible. «J'ai réussi à marquer à Melbourne et en Chine, mais ici, cela sera nettement plus difficile», admet l'Aiglon.
Les chronos
Grand Prix de Bahreïn Essais libres
Séance 1: 1. Hamilton (GB), McLaren-Mercedes, 1'33''647 (208,049 km/h). 2. Heidfeld (All), BMW-Sauber, à 0''260. 3. Kubica (Pol), BMW- Sauber, à 0''291. 4. Rosberg (All), Williams-Toyota, à 0''580. 5. Button (GB), Brawn GP-Mercedes, à 0''787. 6. Kovalainen (Fin), McLaren-Mercedes, à 0''855. 7. Barrichello (Bré), Brawn GP-Mercedes, à 0''884. 8. Massa (Bré), Ferrari, à 0''942. 9. Webber (Aus), Red Bull-Renault, à 1''180. 10. Räikkönen (Fin), Ferrari, à 1''180. 11. Nakajima (Jap), Williams-Toyota, à 1''233. 12. Vettel (All), Red Bull-Renault, à 1''291. 13. Piquet (Bré), Renault, à 1''327. 14. Sutil (All), Forde India-Mercedes, à 1''374. 15. Trulli (It), Toyota, à 1''389. 16. Fisichella (It), Force India-Mercedes, à 1''395. 17. Glock (All), Toyota, à 1''686. 18. Alonso (Esp), Renault, à 1''701. 19. Bourdais (Fr), Toro Rosso-Ferrari, à 1''706. 20. Buemi (S), Toro Rosso-Ferrari, à 1''722. 20 pilotes en lice.
Séance 2: 1. Rosberg 1'33''339 (208,845 km/h). 2. Alonso à 0''191. 3. Trulli à 0''277. 4. Vettel à 0''322. 5. Webber à 0''337. 6. Button à 0''355. 7. Sutil à 0''424. 8. Glock à 0''425. 9. Barrichello à 0''546. 10. Nakajima à 0''560. 11. Hamilton à 0''655. 12. Fisichella à 0''686. 13. Buemi à 0''788. 14. Bourdais à 1''027. 15. Piquet à 1''072. 16. Massa à 1''225. 17. Kubica à 1''266. 18. Raikkönen à 1''331. 19. Kovalainen à 1''425. 20. Heidfeld à 1''451. 20 pilotes en lice.
Deux Toyota devant au Bahreïn, Buemi en 9e ligne
F1 | L'Italien Jarno Trulli et l'Allemand Timo Glock ont réalisé un doublé inédit lors des qualifications du Grand Prix du Bahreïn. Buemi réalise le 17e temps.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/trulliGlock1.jpg © KEYSTONE | Jarno Trulli (à gauche) et Timo Glock, le deux pilotes Toyota, se partageront la première ligne de départ dimanche lors du GP du Bahreïn.
SI | 25.04.2009 |
La F1 reste sujette à toutes les incertitudes cette saison. Les Toyota de l'Italien Jarno Trulli et de l'Allemand Timo Glock ont réalisé un doublé inédit lors des qualifications du Grand Prix du Bahreïn. Sébastien Buemi (Toro Rosso), auteur du 17e temps, s'élancera en 9e ligne.
Sur un circuit tracé quasiment sur son pas de porte, le Vaudois a manqué pour 0''08 l'accès parmi les 15 pilotes admis en Q2, la deuxième partie des qualifications. Une fois de plus, il a devancé cependant son coéquipier français Sébastien Bourdais, 20e et dernier. Depuis le début de saison, en quatre Grands Prix, Buemi n'a tiré son épingle du jeu qu'une seule fois en qualifications, lors du GP de Chine il y a quinze jours (Q3, 10e).
Respectivement 6e et 4e du Championnat du monde, Trulli et Glock ont permis à Toyota d'occuper pour la première fois de son histoire les deux premières places sur une grille, en vue de la course de dimanche (départ à 14h00). L'Italien et l'Allemand ont devancé l'Allemand Sébastien Vettel (Red Bull), vainqueur en Chine il y a quinze jours, et le leader du Championnat du monde, le Britannique Jenson Button (Brawn GP).
Les BMW-Sauber sont toujours à la peine: Robert Kubica (Pol) 13e, et Nick Heidfeld, 14e, partiront en 7e ligne. Les Ferrari ne valent guère mieux: le Brésilien Felipe Massa partira en 4e ligne et le Finlandais Kimi Räikkönen en 5e ligne.
Disputées par une température de 38 degrés, ces qualifications ont donné un avant-goût de ce qui attend les pilotes lors de la course de dimanche.
GP du Bahreïn. Grille de départ: 1. Jarno Trulli (It), Toyota. 2. Timo Glock (All), Toyota. 3. Sebastian Vettel (All), Red Bull. 4. Jenson Button (GB), Brawn. 5. Lewis Hamilton (GB), McLaren-Mercedes. 6. Rubens Barrichello (Br), Brawn. 7. Fernando Alonso (Esp), Renault. 8. Felipe Massa (Br), Ferrari. 9. Nico Rosberg (All), Williams. 10. Kimi Räikkönen (Fin), Ferrari. 11. Heikki Kovalainen (Fin), McLaren-Mercedes. 12. Kazuki Nakajima (Jap), Williams. 13. Robert Kubica (Pol), BMW-Sauber. 14. Nick Heidfeld (All), BMW-Sauber. 15. Nelson Piquet Jr. (Br), Renault. 16. Adrian Sutil (All), Force India. 17. Sébastien Buemi (Sui), Toro Rosso. 18. Giancarlo Fisichella (It), Force India. 19. Mark Webber (Au), Red Bull. 20. Sébastien Bourdais (Fr), Toro Rosso.
Sports
Lausanne : Bolt sera là
Le Jamaïcain Usain Bolt disputera le 200 mètres de la réunion d'athlétisme de Lausanne le 7 juillet prochain. Le triple champion olympique de Pékin en 2008 a confirmé sa présence lors du meeting de Lausanne le 7 juillet prochain. Il s'alignera sur 200 mètres, pour ce qui devrait être sa première course européenne de l'année. « Monsieur 100 000 Bolt » doit ensuite disputer les réunions de Paris (17 juillet) et Crystal Palace (24-25 juillet).:content::content::content:
Rallye - WRC - Argentine - Loeb sème ses rivaux
http://www.lequipe.fr/Xml/Formule1/Titres/Media/250409_loeb_breve_dim.jpg
La victoire n'est pas encore totalement acquise pour Sébastien Loeb (http://www.lequipe.fr/Formule1/Rallye/FichePilote21084.html) (Citroën C4), mais c'est tout comme. Au terme d'une deuxième journée marquée par la panne moteur (http://www.lequipe.fr/Formule1/breves2009/20090425_222723_abandon-pour-hirvonen.html) de Mikko Hirvonen (http://www.lequipe.fr/Formule1/AussiFicheAthlete3500000000023795.html) (Ford Focus), l'Alsacien s'est parfaitement remis sur les bons rails à cinq spéciales de la fin. Avec près d'une minute d'avance sur son coéquipier Dani Sordo (http://www.lequipe.fr/Rallye/FichePilote7500000000024799.html) (Citroën C4), il est excellente position pour décrocher le 52e succès de sa carrière, le cinquième de la saison en.. cinq courses !
Vainqueur des quatre premières secteurs chronométrés, Loeb n'a d'ailleurs pas tardé à reprendre ses bonnes habitudes. A la mi-journée, il avait déjà repris la tête. Oubliées ces deux erreurs commises vendredi dans les derniers mètres, oubliée cette position d'ouvreur qui l'a considérablement handicapé la veille, place à un Sébastien Loeb offensif, qui a réalisé six temps scratch sur dix possibles. «Tout va bien pour le moment, a-t-il déclaré en fin de journée, juste après avoir disputé la super-spéciale dans le stade de Cordoba. Je n'ai plus qu'à rester sur la route parce qu'on a une bonne avance maintenant. Il faut essayer de terminer.» Ce qui ne devrait pas lui poser trop de problèmes dimanche s'il se comporte comme lors de l'ES15. Dans cette portion, celle de El Condor, la plus mythique du rallye, le quintuple champion du monde a mis les gaz, et tout écrasé sur son passage. En l'espace de 22 kilomètres, il a relégué Sordo à plus de vingt secondes. Seul Jari-Matti Latvala (Ford Focus) est parvenu à suivre le rythme, et encore, concédant neuf secondes au Français. Le Finlandais a tout même récupéré la troisième place, du fait de l'adandon de son compatriote Hirvonen.
Pour Sébastien Ogier, victime d'un amortisseur cassé, mais aussi Dani Sordo, la journée a été moins facile que la veille. Parti en première position, l'Espagnol a rencontré les mêmes difficultés que Loeb lorsqu'il s'était élancé en tête. Ça ne l'a tout de même pas empêché de remporter la super-spéciale. Et malgré une deuxième place quasiment assurée, c'était la déception qui primait. «J'ai essayé d'aller plus vite possible, mais c'était vraiment difficile et je ne sais pas pourquoi, a-t-il expliqué. Peut-être est-ce mon style de conduite pour ce type d'étape qui ne convenait pas, ou être le fait d'être premier sur la route. Je ne sais pas. J'ai essayé différentes choses pour être plus rapide, mais ça n'a pas marché. Sébastien était plus vite que moi à chaque fois.» Si le scénario se répète dimanche, le Français remportera son cinquième succès cette saison et totalisera en principe vingt points d'avance sur Hirvonen. Autant dire un gouffre à une manche de la mi-saison. - H.S.
Duval en tête du Rallye de Wallonie, Snijers abandonne
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Après une spéciale-show terminée aux petites heures dans la nuit de vendredi à samedi, le Rallye de Wallonie est entré dans le vif du sujet samedi avec une première boucle marquée par plusieurs événements importants.
Après avoir signé le 3-ème chrono à Mohiville derrière Pieter Tsjoen (Ford) et François Duval (Toyota), Patrick Snijers (Subaru) a tout d'abord abandonné dans le secteur suivant, Natoye, sur bris de moteur.
Ce retrait constitue évidemment un coup très dur pour le Limbourgeois, dont les chances de conquérir le titre national sont désormais quasi nulles. Nombreux d'ailleurs sont les observateurs à prévoir un changement de programme axé peut-être sur des épreuves à l'étranger.
Cette spéciale de Natoye a également coûté cher à Pieter Tsjoen qui a perdu 48 secondes sur crevaison. Malgré deux meilleurs temps dans les spéciales suivantes, le pilote de la Ford accusait un retard de 43,6 secondes sur François Duval au terme de la première boucle, Mélissa Debackere s'intercalant entre eux à 32 secondes du meneur.
Classement après la 1ère boucle :
1. François Duval-John Muth (Toyota Corolla WRC) 24:53.1; 2. Mélissa Debackere-Lara Vanneste (Toyota Corolla WRC) à 0:32.0; 3. Pieter Tsjoen-Eddy Chevaillier (Ford Focus WRC07) à 0:43.6; 4. Timothy Van Parijs-Kurt Heyndrickx (Ford Focus WRC05) à 0:43.9; 5. Hubert Deferm-John Lavaerts (Subaru Impreza WRC) à 0:58.8; 6. Stéphane Lhonnay-Ktos Botson (Mitsubishi Evo 9) à 1:17.8; 7. Bob Colsoul-Tom Colsoul (Mitsubishi Evo 10) à 1:20.5; 8. Pol Lietaer-Andy De Baerenmaker (Subaru Impreza WRC) à 1:20.5; 9. Kris Princen-Bram Eelbode (Renault Clio R3) à 1:22.5; 10. Olivier Collard-Damien Simons (Subaru Impreza STi) à 1:32.7; ...
Rubgy: Perpignan, le Stade Toulousain, le Stade Français et Clermont en demies
PARIS | Les quatre demi-finalistes du Top 14 sont désormais connus à l'issue de la 24e journée avec, dans l'ordre du classement, Perpignan, le Stade Toulousain, le Stade Français et Clermont, qui composent ce quatuor pour la deuxième année consécutive.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/depeches/48dd6b6_0.jpg © AFP | Le joueur de Perpignan Marius Tincu (d) à la lutte avec le joueur de Clermont Dato Zirakashvili, le 25 avril 2009 à Perpignan
AFP | 25.04.2009 |
Les deux dernières journées dans le haut du classement auront pour enjeu principal de déterminer l'affiche des demi-finales qui, l'an dernier, avaient opposé Toulouse à Paris et Clermont à Perpignan.
Seuls les Auvergnats se sont inclinés lors de cette journée, à Perpignan (16-20), tandis que Toulouse a difficilement battu Bourgoin (13-6), comme le Stade Français vendredi, vainqueur à Castres en fin de match (21-16).
Les défaites conjuguées de Brive à Montauban (10-15) et de Bayonne à Montpellier (11-20) ont donc permis aux Parisiens et aux Clermontois, de retrouver les Catalans et les Toulousains, qui avaient déjà assuré leur billet pour le dernier carré.
Dans la course pour la Coupe d'Europe, qui concernera les six premiers de la saison (ou les cinq premiers, si Bourgoin remporte le Challenge européen pour lequel il est encore en lice, ndlr), c'est donc Biarritz a fait la bonne affaire de la journée en remportant face à Toulon à Aguiléra sa quatrième victoire consécutive (19-12).
Les Basques (5e) passent ainsi devant leurs rivaux bayonnais et Brive, ces trois équipes se tenant en deux points.
Les Brivistes semblent les moins bien placés avec cette troisième défaite consécutive, même s'ils ont a priori le calendrier le plus favorable avec la réception de Montpellier et un déplacement à Bourgoin.
Les enseignements de cette journée dans le bas du classement ne pourront être tirés qu'après le derby landais Dax - Mont-de-marsan dans la soirée. Si les Montois, derniers, semblent condamnés, Dax (13e) recollerait trois points de Bourgoin en cas de victoire, voire à deux points s'ils y ajoutent le bonus offensif.
Résultats de la 24e journée:
Vendredi:
Castres - Stade Français 16 - 21
Samedi:
Montpellier - Bayonne 20 - 11
Biarritz - Toulon 19 - 12
Stade Toulousain - Bourgoin 13 - 6
Montauban - Brive 15 - 10
Perpignan - Clermont 20 - 16
(20h35) Dax - Mont-de-Marsan
Classement:
1. Perpignan
2. Stade Toulousain
3. Stade Français
4. Clermont
5. Biarritz
6. Bayonne
7. Brive
8. Montauban
9. Montpellier
10. Castres
11. Toulon
12. Bourgoin
13. Dax
14. Mont-de-Marsan
Button et Brawn GP intouchables
FORMULE 1 | Et de trois pour l’Anglais qui repousse Vettel et Trulli au GP de Bahreïn. Ferrari se console avec ses 3 premiers points.
© AP | Jenson Button et la jeune écurie Brawn GP ont remporté leur troisième victoire en quatre courses!
MARIO LUINI | 27.04.2009 |
On attendait un GP «normal» * sans pluie, sans neutralisations* pour avoir une idée plus claire de la hiérarchie. La chaleur sèche du désert de Bahreïn l’a proposé hier. Et force est de constater qu’il n’y a pas eu de surprise.
Battu en Chine, dimanche dernier, par la faute de pneus refroidis à force de rouler trop longtemps au ralenti sous la pluie derrière la voiture de sécurité, Jenson Button a repris sa marche triomphale des deux premiers GP, ajoutant une 3e victoire à sa prestigieuse collection de l’année, après celles de Melbourne et de Sepang. Button ne partait qu’en 4e position, derrière les impressionnantes Toyota de Jarno Trulli et Timo Glock et la Red Bull-Renault du vainqueur de Shanghaï, Sebastian Vettel.
MAUVAIS CHOIX Mais les Toyota étaient parties légères, pour assurer la première ligne, et le fait de devoir ravitailler bien avant leurs principaux rivaux * Button, Vettel et Lewis Hamilton les rejetaient dans le trafic, d’où elles ne parvenaient plus à s’extirper. Notamment par la faute d’un mauvais choix de pneus durs. Plus lourd, Button avait de quoi boucler quatre tours de plus que Glock (parti en tête) et trois de plus que Trulli, ce qui lui suffisait pour ressortir devant tout le monde. Seul Vettel, * qui pouvait attendre quatre tours de plus que l’Anglais pour passer à la pompe, paraissait avoir le rythme pour jouer la gagne. Mais le jeune Allemand * passé par Hamilton au départ – repartait derrière Trulli dans son 2e relais, et il était alors longuement bloqué par la Toyota, ralentie par ses pneus durs. Pendant que Button s’échappait tout seul devant, construisant une avance décisive.
RÄIKKÖNEN EN «SAUVEUR» Button triomphait sous les yeux d’un témoin de choix: Luca di Montezemolo. Le président de Ferrari avait fait le déplacement de Bahreïn pour soutenir «sa» Scuderia. Il était aux premières loges pour assister au nouveau triomphe de l’équipe (ex-Honda) de Ross Brawn, celui-là même dont il n’avait pas voulu pour prendre les commandes de son équipe, fin 2007, préférant une solution 100% italienne. Montezemolo avait la satisfaction de voir Kimi Räikkönen marquer les premiers points de Ferrari cette saison, mais avec une 6e place peu convaincante. Et le crève-cœur de le voir impliqué dans la touchette fatale à l’aileron avant de son équipier Felipe Massa, dans la bousculade du premier virage, qui torpillait la course du Brésilien, rejeté en queue de peloton. Seule consolation pour le boss de Ferrari: McLaren faisait à peine mieux (Hamilton 4e), Renault moins bien (Alonso 8e) tandis que les BMW Sauber touchaient le fond: Kubica 18e, Heidfeld 19e, tous deux également après accrochages dans le premier tour.
BUEMI FREINÉ PAR BMW SAUBER! 17e en qualifications, 17e en course: le premier GP «national» de Sébastien Buemi – Bahreïnien d’adoption – ne lui laissera pas un souvenir indélébile. «Samedi, c’était de ma faute, j’ai fait une grosse erreur dans le 3e secteur de mon meilleur tour et je me suis retrouvé avec un chrono bien inférieur à ce que valait la voiture ici, admettait honnêtement le jeune espoir vaudois. «Normalement, je devais passer facilement en 2e phase des qualifications.» En course, Buemi estimait que le rythme de la Toro Rosso devait lui permettre de remonter des places, mais les événements allaient en décider autrement: «Je n’ai pas pris un bon départ, j’ai trop fait patiner mes roues. Et je me suis retrouvé dernier. Après, la voiture ne tenait plus la route, j’étais incapable d’attaquer, et je ne sais pas pourquoi, elle avait un comportement très étrange. J’ai souffert, c’était difficile.» Si la chaleur extrême (38 degrés au départ!) ne lui posa aucun problème, la seule autre satisfaction qu’il pouvait retirer de son GP était d’être à l’arrivée: «Une bonne expérience, mais pas grand-chose à dire de plus. Je ne suis pas content de ce week-end.» Et de fait, parti dernier sur l’autre Toro Rosso, Sébastien Bourdais parvenait à remonter jusqu’à la 13e place, donnant une bonne indication de ce qu’aurait pu espérer Buemi. Après l’arrivée, les mécaniciens découvraient un débris de BMW Sauber coincé dans l’aileron avant de la Toro Rosso du Suisse. «Cela lui a provoqué beaucoup de sous-virage», précisait Franz Tost, le patron de la Scuderia.
Vivement Barcelone, dans deux semaines, avec une version évoluée de la voiture
cyclisme
Cancellara content...de son vélo
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Image © Jean-Guy Python
Le Bernois n’a terminé que onzième du prologue dont il était le favori. Mais il ne s’en formalisait pas, car le plus important pour lui était de tester sa nouvelle bécane de contre-la-montre.
Bernard Morel - le 28 avril 2009
Le Matin
Tour de romandie
Lausanne
LE PODIUM
1. Rabon (Tch)
2. Casar (Fr) à 2’’
3. Valverde (Esp) à 3’’«N’oubliez pas que c’est la première course de Fabian depuis Paris-Roubaix.» Hier en début de soirée, sur la place de la Navigation, tandis que Fabian Cancellara faisait un petit décrassage, Bjarne Riis n’avait pas la mine trop affectée par la performance de son coureur, onzième seulement du prologue à 5 secondes du surprenant vainqueur, Frantisek Rabon. Le Bernois, pourtant, était bien loin d’avoir répondu aux espoirs placés en lui. Concéder 5 secondes sur ce parcours qui semblait taillé pour lui, c’est beaucoup.
Fabian Cancellara, compte tenu de son manque de compétition, savait que ce serait difficile de s’imposer. Le déroulement de la course confirme d’ailleurs que le Bernois était un peu juste. Il a concédé pas moins de 7 secondes dans la partie difficile du parcours, la montée de l’avenue d’Ouchy. «Si on avait vraiment voulu gagner, on aurait établi le programme de Fabian différemment», précise Bjarne Riis.
A vrai dire, Fabian Cancellara a surtout utilisé ce prologue pour tester en course un nouveau vélo de contre-la-montre. Lundi, il était encore au Luxembourg avec les frères Schleck pour essayer cette nouvelle bécane. Alors, plutôt que de parler de la petite déception liée à son résultat, il préférait évoquer les points positifs, en particulier son vélo. «Bien sûr, j’étais au départ de ce prologue avec l’espoir de le gagner, mais, compte tenu de tout ce que j’ai fait les deux jours précédents, du fait aussi que c’était ma première course depuis Paris-Roubaix, je ne vais pas attacher d’importance à ce résultat. Je suis content avec ce vélo, même s’il a encore besoin de quelques réglages. C’était important de pouvoir le tester en course.»
Appel à la chance
Pour le champion olympique du contre-la-montre, c’est presque une nouvelle saison qui commence avec ce Tour de Romandie. Suivront le Giro, le Tour de Suisse et le Tour de France. «Si je peux gagner une étape ici, je ne m’en priverai pas, mais c’est le Tour de Suisse et le Tour de France qui sont mes objectifs principaux. Après un début de saison difficile, j’espère que la chance sera maintenant de mon côté.»
L’info
Initialement annoncé au départ du Tour de Romandie, Aurélien Clerc a changé de programme en dernière minute. Le coureur d’AG2R trouvera un terrain plus approprié à ses qualités de sprinter aux Quatre-Jours de Dunkerque du 5 au 10 mai. Le vainqueur
Frantisek Rabon. A 25 ans, le champion tchèque du contre-la-montre courant sous les couleurs de Columbia a signé la 12e victoire de sa carrière en prenant le meilleur sur des coureurs aussi coté que Cancellara, Kreuziger ou Valverde.L’absent
Johann Tschopp. Appelé à courir le Tour d’Italie dès le samedi 9 mai à Venise sous les couleurs de Bbox Bouygues Télécom, le pro de Miège a préféré effectuer une coupure après la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège.
hockey sur glace
La france offre un point à la suisse
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Image © Keystone
L’Allemand Felski et le Français Hecquefeuille s’invitent dans le but de l’excellent portier des Bleus Lhenry.
En éliminant l’Allemagne, les Bleus se qualifient pour le tour intermédiaire. L’équipe de Suisse poursuivra ainsi l’aventure avec les trois points acquis face aux Français.
SI - le 28 avril 2009
Le Matin
Mondiaux 2009
Berne
France - Allemagne
2-1(2-1 0-0 0-0)
L’équipe de France a donné un joli coup de main à la Suisse en battant l’Allemagne 2-1 lors de son dernier match du tour préliminaire. Les Bleus se qualifient ainsi pour le tour intermédiaire, permettant ainsi à la troupe de Ralph Krueger d’entamer cette deuxième phase avec une unité de plus à son compteur.
Comme les points égarés face au quatrième du groupe n’entrent pas en ligne de compte lors du tour intermédiaire, la Suisse peut tracer sa victoire en prolongation face à l’Allemagne et la remplacer par celle acquise au terme des 60 minutes contre les Coqs.
Lhenry en état de grâce
Sans Cristobal Huet, la troupe de Dave Henderson a pu compter mardi sur un gardien en état de grâce avec Fabrice Lhenry. Le portier d’Esjberg n’a capitulé qu’une seule fois sur un envoi de Jochen Hecht à la 5e minute. Par la suite, il s’est multiplié pour permettre à ses coéquipiers d’éviter la poule «de la mort», et ce malgré les nombreuses pénalités concédées par ses partenaires. Au final, il a arrêté 30 des 31 tirs qui lui ont été adressés.
Anthoine Lussier avait pu ouvrir la marque dès la 4e minute déjà. Le Chaux-de-Fonnier pouvait tromper la vigilence de Pätzöld pour mettre son équipe sur les rails du succès. Après l’égalisation de Hecht, Tardif marquait l’ultime but à la 17e minute déjà. L’équipe germanique disputera le tour contre la relégation sans la moindre pression. En effet, l’Allemagne accueillera la prochaine compétition et ne peut ainsi pas être reléguée. Il n’y aura ainsi qu’un repêché parmi les trois autres nations se battant contre la descente en deuxième division.
LA RENCONTRE
PostFinance Arena, 9956 spectateurs.
Arbitres: Baluska (Slq)/Reiber (S); Kaspar (Aut) et Kicha (Ukr).
Buts: 4e (3’50’’) Lussier 1-0. 5e (4’22’’) Hecht (Bakos/5 c 4) 1-1. 17e Tardif (Meunier) 2-1.
France: Lhenry; Bachet, Amar; Manavian, Mille; Quessandier, Roussel; Igier; Raux, Meunier, Yorick Treille; Rozenthal, Gras, Lussier; Bellemare, Hecquefeuille, Fleury; Tardif, Zwikel, Sacha Treille; Da Costa.
Allemagne: Pätzöld; Bakos, Schmidt; Schubert, Buntenschön; Osterloh, Mueller; Horlder, Renz; Wolf, Gogulla, Hackert; Hager, Ullmann, Seidenberg; Mulock, Barta, Hecht; Kreutzer, Hospelt, Felski.
Notes: Temps mort pour l’Allemagne qui joue sans gardien de 58’45’’ à la fin de la rencontre.
Pénalités: 10 x 2’ contre la France; 3 x 2’ contre Allemagne.
Football
Le Barça face à un mur!
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Demi-finale de la ligue des champions Barcelone: les Catalans ont tout tenté face à un Chelsea regroupé en défense
le 28 avril 2009
Le Matin
Barcelone - Chelsea 0-0
Grandissime favori de la Ligue des champions, Barcelone se retrouve en ballottage défavorable après le 0-0 concédé devant Chelsea en match aller des demi-finales.
Mercredi prochain à Stamford Bridge, le Barça sera condamné à l’exploit s’il entend disputer la finale de Rome le 27 mai prochain. Sauront-ils répondre au défi physique que chercheront à imposer les Londoniens devant leur public? Il est permis d’en douter dans la mesure où les Catalans risquent d’abandonner bien des forces samedi lors du «clasico» qui les opposera au Real Madrid à Bernabeu.
C’est sans doute un zeste de fraîcheur physique qui a manqué au FC Barcelone pour faire sauter le verrou de Chelsea. Mais, face à l’extrême réalisme des Anglais, la tâche proposée aux Catalans n’était guère aisée. On ne peut pas vraiment parler de contre-performance tant leur maîtrise sur le jeu fut totale.
Drogba seul en pointe
Chelsea a présenté le visage que l’on n’attendait au Nou Camp: celui d’une équipe venue uniquement défendre. Les Londoniens n’alignaient qu’un seul attaquant: Drogba.
Malgré son isolement et l’ascendant total exercé par Barcelone, l’Ivoirien a réussi un singulier exploit en première période. Il s’est ménagé la plus belle occasion de cette mi-temps. A l’affût sur une passe trop molle de Marquez, il se présentait seul devant Vicor Valdez qui sauvait son camp.
Face au «mur» érigé par Guus Hiddink, Barcelone a dû attendre la 34e minute pour se procurer une première véritable possibilité, une frappe de Henry qui concluait une action menée par Messi et Iniesta. Sur le flanc gauche, le Français a souvent pris le meilleur sur Ivanovic. Seulement, il s’est montré parfois un peu trop «gourmand». Malgré tout, la manœuvre du Barça était toujours orchestrée d’une manière magistrale. Xaxi et Iniesta n’ont cessé de faire les bons choix pour permettre l’instauration d’un véritable jeu de puissance.
Le scénario de la rencontre ne bougeait pas d’un iota à la reprise. Avant de reprendre leur domination presque écrasante, les Catalans devaient digérer la sortie de Marquez. Tout seul, le Mexicain se blessait au genou gauche et cédait sa place à Puyol.
A défaut de s’appuyer sur un Messi des grands soirs, le Barça pouvait compter sur l’incroyable débauche d’énergie de Daniel Alves sur le flanc droit et sur un Eto’o inspiré. Le Brésilien armait une frappe très puissante à la 61e et le Camerounais réussissait une percée étonnante entre Alex et Terry à la 69e. Mais, sur ces deux actions, Chelsea était sauvé par Cech.
Rebellin contrôlé positif à Pékin
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L'Italien Davide Rebellin (Diquigiovanni), médaillé d'argent lors de l'épreuve cycliste sur route aux jeux Olympiques de Pékin en 2008, a été contrôlé positif en Chine, annoncent mardi soir les médias italiens.
Mardi en début de soirée, le Comité olympique italien (Coni), informé par le Comité international olympique (CIO), avait annoncé dans un communiqué qu'un athlète italien, dont l'identité pas plus que la discipline pratiquée n'avaient été alors dévoilées, avait été contrôlé positif aux Jeux l'été dernier.
D'autres suivront
Selon les médias italiens, l'intéressé serait Rebellin, 37 ans, récent vainqueur de la Flèche Wallonne et actuel deuxième au classement mondial de l'Union cycliste internationale (UCI). Il aurait été contrôlé positif à l'EPO Cera, une EPO dite à effet retard, c'est-à-dire que les effets se font sentir près d'un mois après une seule injection.
Par ailleurs, selon le site web du Corriere dello Sport, cinq autres athlètes dont l'identité et la nationalité ne sont pas encore été rendues publiques auraient été contrôlés positifs à l'EPO Cera au cours des Jeux sur des épreuves de canöe-kayak, natation et athlétisme.
A son siège suisse de Lausanne, le CIO a pour sa part annoncé que six athlètes, dont l'identité et la discipline n'ont pas été révélées, avaient été contrôlés positifs à l'EPO Cera à Pékin.
2004, les trois Ardennaises
Rebellin, qui a débuté sa carrière professionnelle en 1992, est un des meilleurs coureurs italiens en activité et l'un des plus grands spécialistes des courses d'un jour sur lesquelles il a bâti l'essentiel de son palmarès. Il a réalisé son grand fait d'armes en 2004, remportant en l'espace de huit jours les trois classiques ardennaises, l'Amstel Gold Race, la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège.
De 2002 à 2008, Rebellin a fait partie de l'équipe allemande Gerolsteiner dont deux des coureurs, l'Allemand Stefan Schumacher et l'Autrichien Bernhard Kohl, avaient été convaincus de dopage à l'issue de contrôles pratiqués lors du Tour de France 2008, soit un mois avant les Jeux de Pékin. Schumacher et Kohl avaient été contrôlés positifs à l'EPO Cera.
Rebellin avait rejoint l'équipe Diquigiovanni cette saison avec laquelle il ambitionnait notamment de participer au prochain Tour d'Italie, qui s'élancera le 9 mai de Venise. Un autre coureur italien, le grimpeur Riccardo Ricco, 25 ans, avait été contrôlé positif à cette nouvelle forme d'EPO au cours du Tour de France 2008. Il est actuellement suspendu jusqu'au 18 mars 2010.
CERA
Le Comité International Olympique (CIO) a informé mardi que six athlètes avaient été contrôlés positifs à la CERA, l'EPO de troisième génération, lors des Jeux Olympiques de Pékin. L'identité, pas plus que les disciplines concernées n'ont été dévoilées. Le CIO a indiqué avoir informé les comités olympiques des pays auxquels appartiennent les athlètes concernés.
Dans le cadre de sa politique de tolérance zéro en matière de dopage, le CIO conserve pendant huit ans les échantillons prélevés durant les Jeux Olympiques, ce qui lui permet de procéder à des analyses rétroactives dans l'éventualité où des tests entièrement validés seraient disponibles pour détecter la présence de nouvelles substances ou l'utilisation de nouvelles méthodes. (chds)
AH un de plus malheureusement ! Mais il me tarde de savoir qui sont les prochains dopés des J.O !
Quelle sanction pour l'équipe McLaren ?
C'est demain que le Conseil Mondial du sport automobile se penchera sur le cas du "mensonge australien" de l'équipe McLaren et de son pilote Lewis Hamilton.
L'équipe McLaren sera très probablement sanctionnée, mais le constructeur allemand Mercedes, principal actionnaire de l'équipe de F1, a déjà fait savoir que si la sanction lui apparaissait comme trop sévère, il pourrait quitter la F1.
"S'il y a une sanction, je suis persuadé qu'elle sera juste et que Mercedes l'acceptera," déclare Bernie Ecclestone dans les colonnes du Times.
"Je ne pense pas que Mercedes décidera de quitter la F1 parce que quelqu'un a fait quelque chose de travers et qu'il est sanctionné pour ça. Je pense qu'ils seront corrects," ajoute le grand argentier de la F1.
David Coulthard, ancien pilote McLaren Mercedes, estime dans les colonnes du Telegraph qu'une sanction a déjà été infligée à cette équipe. "Leur réputation a déjà été mise à mal. Est-ce vraiment nécessaire d'en faire plus?"
Stoner27
29/04/2009, 13h30
Sans vouloir faire un débat sur la F1 ici, et surtout je ne connais que peu ce milieu pour avoir décroché il y a bien longtemps, je pense que l'écurie entière de McLaren ne devrait pas payer pour l'erreur de 2 personnes.
Et le plus fautif pour moi dedans revient à Lewis Hamilton.
De plus, celui ci s'est bien empresser de pleurnicher qu'il nétait pas un menteur et remis tous les maux de la terre sur son directeur technique.
Comportement indigne d'un sois disant champion du monde.
Les sois disantes rumeurs de quitter la F1 ou autre d'Hamilton et de son équipe ne sont que du vent pour influencer la FIA et sa décision de sanction qui ne pourrait évidemment pas se permettre dans l'état actuel des choses de perdre un team.
Bref, je sens que l'on va encore avoir droit à du gros n'importe quoi sur cette affaire. On verra bien
Si la F1 se met a sanctionner tous les menteurs du paddock, z'ont pas fini :D:D
:diable:La F1 on aime, on aime pas. Obligé de reconnaître que cela devient chiant ces magouilles...................
Triche
JO 2008: le médaillé d'or du 1500 m a été contrôlé positif
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Image © Keyston
Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif. C'est le deuxième médaillé des JO 2008 contrôlé positif.
le 29 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Le nom du deuxième médaillé contrôlé positif durant les JO de Pékin 2008 a été dévoilé mercredi. Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif.
L'officiel du CIO qui avait confirmé le contrôle positif du cycliste Davide Rebellin avait affirmé sous le couvert de l'anonymat qu'un spécialiste d'athlétisme ayant glané une médaillé figurait également parmi les six nouveaux athlètes contrôlés positifs. Selon cette source, l'athlétisme (deux compétiteurs) est encore concernée par les trois noms encore inconnus, tout comme l'haltérophilie (un athlète).
Le titre du 1500 m reviendrait au Kényan Asbel Kipruto Kiprop si Rashid Ramzi était contraint de rendre sa médaille. Le Néo-Zélandais Nicholas Willis hériterait de l'argent, alors que le Français Mehdi Baala troquerait sa médaille en chocolat contre une breloque de bronze.
f1
McLaren-Mercedes condamné à trois Grand Prix de suspension
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L'écurie a été condamnée avec sursis par le Conseil mondial de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), réuni mercredi à Paris pour avoir violé le code sportif lors des GP d'Australie et de Malaisie.
le 29 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
"La peine est une suspension de l'équipe pour trois courses du Championnat du monde de Formule 1", indique un communiqué de la FIA, qui précise que la suspension ne prendra effet que si d'autres révélations sont apportées dans les affaires d'Australie ou de Malaisie, ou si McLaren-Mercedes se rend de nouveau coupable de tricherie dans les douze mois à venir.
McLaren-Mercedes avait notamment été déclassée du GP d'Australie pour avoir masqué la vérité sur un dépassement du Britannique Lewis Hamilton par Jarno Trulli (Toyota) alors que la course était neutralisée.
ski
Daniel Albrecht est de retour!
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Victime d'une effroyable chute à Kitzbühel le 22 janvier dernier, plongé dans le coma artificiel pendant trois semaines puis hospitalisé à Berne depuis le 15 février, le miraculé de Fiesch se donne deux saisons pour tenter un retour en Coupe du monde.
le 29 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
"Je me retrouve dans la position d'un junior qui part de zéro et qui va essayer de percer sur le circuit", a lâché Albrecht lors de sa première apparition devant les médias depuis son crash. "Je veux redevenir un skieur professionnel. Mais il est trop tôt pour dire si je vais y parvenir", a ajouté le Valaisan, délesté de plus de dix kilos mais toujours aussi souriant et détendu.
"Je vais y aller tout doucement, progresser pas à pas. La première étape consistera à voir comment je réagis en retrouvant ma vie quotidienne chez moi", a-t-il continué. Interrogé sur son accident sur le saut final de la Streif, le skieur aux quatre succès en Coupe du monde a dit ne se rappeler de rien.
"Quand je revois la vidéo, j'ai une sensation bizarre. J'ai l'impression qu'il s'agit de quelqu'un d'autre. Cette chute est horrible, mais je n'ai pas de lien émotionnel avec elle", aexpliqué le coureur, qui aura 26 ans le 25 mai. "J'ai retrouvé tous mes souvenirs jusqu'à la veille de l'accident. Mais j'ai un blanc pour tout ce qui concerne le jour même de ma chute."
f1
McLaren-Mercedes condamné à trois Grand Prix de suspension
L'écurie a été condamnée avec sursis ....
Et bien voilà, ça s'arrange entre gentlemen...;)
Ils n'ont pas honte tout de même ?
TOUR DE ROMANDIE FRIBOURG
Rast, un suisse au pouvoir
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Même s'il n'a rien pu faire au sprint face à Ricardo Serrano et Lars Ytting Bak (ci-contre), c'est bien Gregory Rast qui s'est emparé du maillot jaune de leader à Fribourg.
La journée avait mal commencé à cause de la météo qui a contraint les organisateurs à raccourcir l'étape presque de moitié. Elle a bien fini avec le maillot jaune sur les épaules du Zougois
Bernard Morel - le 29 avril 2009
Le Matin
Cela aurait pu être une journée cauchemardesque - ou de légende, c'est selon - pour la caravane du Tour de Romandie. Froid, pluie et neige avaient choisi de s'inviter sur la course. On imaginait déjà les coureurs rouler dans le Pays-d'Enhaut et dans le Simmental sous les flocons, escalader le col du Jaun dans un paysage tout blanc, jouer les équilibristes dans la descente sur Charmey. Mais les organisateurs n'ont pas voulu prendre ce risque. Il était 11 eures, lorsque Richard Chassot et ses collaborateurs ont décidé de renoncer à passer le col du Jaun et de raccourcir l'étape presque de moitié.
«J'étais malheureux de devoir prendre cette décision, lâchait Richard Chassot. Le parcours était ainsi fait que, une fois engagé en direction de Château-d'Œx, il n'y avait pas d'échappatoire possible. J'estime que les coureurs ne sont pas des gladiateurs qu'il faut envoyer sur les routes dans n'importe quelles conditions. Et je n'aurais en aucun cas voulu devoir neutraliser la course en route.»
Les coureurs disposent
Il restait une mini-étape de 92 km, promise aux sprinters. Mais le parcours propose et les coureurs disposent. En l'occurrence le Suisse Gregory Rast, l'Espagnol Ricardo Serrano et le Danois Lars Ytting Bak. Partis après 22 km, les trois hommes ont eu l'immense mérite de croire en leur chance. «Lorsque nous nous sommes retrouvés avec plus de quatre minutes d'avance, nous nous sommes dit qu'il y avait vraiment un coup à jouer», expliquait Gregory Rast. Pour le Suisse, il y avait même mieux que ça: un maillot jaune à prendre.
On a pu croire un moment que le peloton allait refaire son retard. Mais la montée de Lorette (17%) en vieille ville de Fribourg a suffisamment cassé et désorganisé le peloton pour permettre aux échappés d'aller au bout et au Zougois d'Astana d'endosser le maillot de leader. Cet ancien vainqueur du Tour du Pays de Vaud juniors - en 1998 - était rayonnant. «Ce n'est pas tous les jours qu'on prend un maillot jaune», faisait-il remarquer. Visiblement, les coureurs d'Astana ne sont pas malheureux que leurs grands leaders (Armstrong, Contador, Leipheimer et Klöden) soient absents.
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Kick-boxing
Patrick Kinigamazi: «Un irlandais, ça picole. Faut viser le foie…»
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Image © Christian Bonzon
Samedi, le Rwandais de Genève Patrick Kinigamazi tentera de ravir le titre de champion du monde des poids plume à son ami l’Irlandais du Nord Gary Hamilton.
Jacques Wullschleger - le 29 avril 2009
Le Matin
Championnat du monde Petit-Lancy (GE)
«Je pense que je suis trop fort techniquement pour Patrick.» Sur la base d’un DVD, Kinigamazi encaisse les paroles de Gary Hamilton. «C’est un ami, on se connaît bien, mais là il a été fort. Il me provoque», lâche le Rwandais de Genève, 26 ans. Qui réplique, passe un message à son pote irlandais, via un serviteur: «Sa grande gueule, je vais la lui fermer.» Le combat a déjà commencé. Brève de comptoir. Dans les pubs, les histoires sont aussi courtes.
Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois il y a quatre ans. «Il m’avait battu. Je commençais ma carrière», se souvient Kinigamazi. En décembre, autre entrevue mais à Belfast, hors d’un ring. «C’était dans un hôtel. On a refait le monde. Nous n’avons pas parlé de boxe. On a picolé ensemble.» Hamilton et lui, c’est une belle histoire. Point. Et poings. Cimentée par le respect. «On se revoit souvent dans des meetings. Samedi, ça va être spécial.»
«On se respecte»
La veille, il y aura la pesée. «Un moment sympa. J’aime discuter avec Gary.» Un combat entre amis où tous les coups ne sont pas permis. Ce genre de rendez-vous est-t-il facile à négocier? «Il faut différencier l’amitié et le travail», dit le Rwandais, homme d’affaires en suspens. Pour encore quelque temps. Le temps d’un petit bilan sportif agendé à bientôt. «On s’apprécie, on se respecte. Bien sûr, la situation n’est pas aisée ni courante mais il y a un titre mondial en jeu. Les deux, on est obligés de passer par là. Quand c’est parti, c’est parti. On ne se connaît plus; ça motive encore plus.»
Patrick Kinigamazi – son manager est Carl Emery, ancien champion du monde – est au top de sa forme physique. Il soigne aussi l’autre. «Je n’aime pas les changements de température. Ces temps, je prends des vitamines C, du NeoCitran, la totale quoi. Il y a quelques années, je suis tombé malade le jour du combat. Ce n’était pas beau à voir.» Participer à un championnat du monde, c’est un rêve qui se réalise. «Ça fait un moment que je l’attends. Philippe Brélaz est mon entraîneur depuis sept ans. Personne n’a cru en nous.»
Assis sur un petit banc au club Yamabushi, il dit encore: «Je suis plus fort, plus puissant que Gary. Moi, je fais de la boxe; pas lui. Il a un autre point faible: il ne se protège pas le bas du corps, il est fragile. Du coup, comme un Irlandais, ça picole, il faut viser le foie.» Autre détail, moins savoureux: Patrick Kinigamazi n’a jamais perdu à Genève. Ou au Petit-Lancy. Alors…
A l’affiche
Le Gala de boxe et kick-boxing du 2 mai se déroulera à la salle omnisports du Petit-Lancy (ouverture des portes à 18 h).
A l’affiche aussi: Bertrand Bossel. Présence entre autres de Jérôme Le Banner. Combat vedette: kick-boxing, championnat pro des poids plume, version WKN (12 x 2’) opposant Patrick Kinigamazi (Team Compétition Genève,
28 combats, 17 victoires, 6 défaites, 5 nuls) à Gary Hamilton (Irlande du Nord, Team Prokick, 72 combats, 67 victoires, dont 24 par k.-o., les trois derniers au 1er round!).
Renseignements: www.yamabushi.ch (ou tél. 076 554 68 48)
Triche
JO 2008: le médaillé d'or du 1500 m a été contrôlé positif
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Image © Keyston
Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif. C'est le deuxième médaillé des JO 2008 contrôlé positif.
le 29 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Le nom du deuxième médaillé contrôlé positif durant les JO de Pékin 2008 a été dévoilé mercredi. Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif.
L'officiel du CIO qui avait confirmé le contrôle positif du cycliste Davide Rebellin avait affirmé sous le couvert de l'anonymat qu'un spécialiste d'athlétisme ayant glané une médaillé figurait également parmi les six nouveaux athlètes contrôlés positifs. Selon cette source, l'athlétisme (deux compétiteurs) est encore concernée par les trois noms encore inconnus, tout comme l'haltérophilie (un athlète).
Le titre du 1500 m reviendrait au Kényan Asbel Kipruto Kiprop si Rashid Ramzi était contraint de rendre sa médaille. Le Néo-Zélandais Nicholas Willis hériterait de l'argent, alors que le Français Mehdi Baala troquerait sa médaille en chocolat contre une breloque de bronze.
La Grecque Tsoumeleka et la Croate Perisic dopées aux JO
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Athanasia Tsoumeleka, championne olympique du 20 km à Athènes en 2004.
La Grecque Athanasia Tsoumeleka, championne olympique du 20 km à Athènes en 2004, et la Croate Vanja Perisic, spécialiste du 800 m, ont subi un contrôle antidopage positif lors des jeux Olympiques de Pékin, a-t-on appris mercredi auprès d'une source proche de l'enquête.
Le Comité international olympique (CIO) avait annoncé mardi que six sportifs avaient été contrôlés positifs à l'EPO Cera à Pékin, dont trois athlètes.
Tsoumeleka et Perisic figurent donc parmi eux, tout comme le champion olympique bahreïnien du 1500 m Rashid Ramzi, dont le cas a été confirmé par son comité olympique national.
Le cyclisme est aussi touché avec la révélation des contrôles positifs de l'Italien Davide Rebellin et de l'Allemand Stefan Schumacher.
Tsoumeleka avait déjà été contrôlée positive, juste avant les JO, et elle avait annoncé qu'elle mettait un terme à sa carrière lorsque la nouvelle de son dopage avait été révélée le 17 janvier dernier.
Le contrôle "fatal" avait été mené le 6 août, soit quelques jours avant que Tsoumeleka termine à la 9e place du 20 km marche de Pékin.
Perisic avait été éliminée dès le 1er tour du 800 m à Pékin, en finissant 6e et avant-dernière de sa série.
cyclisme
Un oscar pour Freire
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Image © Jean-Guy Python
Le triple champion du monde espagnol Oscar Freire a signé le premier succès d'une saison qui avait mal commencé, avec des côtes fracturées lors d'une chute au Tour de Californie
A 33 ans, le Tessinois d'adoption a signé sa première victoire sur les routes romandes. Rast toujours en jaune
Laurent Guyot - le 30 avril 2009
Le Matin
A La Chaux-de-Fonds, les organisateurs ont obtenu une juste récompense. Les efforts consentis pour mettre sur pied leur étape sont couronnés de succès. Grâce au retour du soleil et surtout aux coureurs qui ont profité du terrain pour proposer spectacle et suspense à tous les spectateurs massés le long d'un parcours difficile. Au terme duquel c'est le triple champion du monde Oscar Freire qui s'est imposé au terme d'un sprint royal.
Le maillot vert du tour de france en perspective
L'Espagnol a savouré son premier succès de la saison grâce à l'aide d'une équipe déjà prête à hisser, cet après-midi, Denis Menchov sur la plus haute marche du podium. «Ce premier bouquet est tombé à point nommé. J'ai connu un début de saison difficile avec des côtes fracturées lors d'une chute au Tour de Californie. Il me faudra encore un bon mois pour retrouver toutes mes capacités. Aujourd'hui, je me suis accroché dans la dernière bosse et mes coéquipiers m'ont fait confiance. Désormais le moral est au beau fixe. Et je vais préparer le Tour de France pour tenter de gagner le maillot vert et après, pourquoi pas, un quatrième titre mondial dans mon jardin.»
Cadel Evans retrouve ses sensations
Gregory Rast, lui aussi, a arboré un large sourire au moment d'endosser un second maillot jaune. «Sans ce tricot, je ne me serais jamais accroché de cette manière dans les trois dernières bosses. J'étais à bloc et j'ai puisé dans mes réserves. Maintenant, d'autres coureurs sont prêts à me succéder.» Et les candidats se bousculent au portillon. A commencer, bien sûr, par son coéquipier Steve Morabito mais aussi du côté des formations de la Caisse d'Epargne, de Silence-Lotto, de Liquigas et Rabobank. Et ce n'est pas Alejandro Valverde annonçant «de la bagarre» ni Denis Menchov «prêt à tout» ou Roman Kreuziger «affûté» qui s'économiseront. Pas plus d'ailleurs que Cadel Evans venu tester ses jambes dans l'ascension du Communal de La Sagne. «J'ai retrouvé des sensations. Mais je ne suis pas parti tout seul en raison du vent contraire dans le final.» Diplomate, le dauphin d'Alberto Contador sur le Tour de France 2008 gardera pour lui les soucis connus au sein de son équipe belge depuis le début de cette saison.
Triche
JO 2008: le médaillé d'or du 1500 m a été contrôlé positif
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Image © Keyston
Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif. C'est le deuxième médaillé des JO 2008 contrôlé positif.
le 29 avril 2009
LeMatin.ch & les agences
Le nom du deuxième médaillé contrôlé positif durant les JO de Pékin 2008 a été dévoilé mercredi. Le comité olympique du Bahreïn a annoncé que le champion olympique du 1500 m Rashid Ramzi avait subi un contrôle antidopage positif.
L'officiel du CIO qui avait confirmé le contrôle positif du cycliste Davide Rebellin avait affirmé sous le couvert de l'anonymat qu'un spécialiste d'athlétisme ayant glané une médaillé figurait également parmi les six nouveaux athlètes contrôlés positifs. Selon cette source, l'athlétisme (deux compétiteurs) est encore concernée par les trois noms encore inconnus, tout comme l'haltérophilie (un athlète).
Le titre du 1500 m reviendrait au Kényan Asbel Kipruto Kiprop si Rashid Ramzi était contraint de rendre sa médaille. Le Néo-Zélandais Nicholas Willis hériterait de l'argent, alors que le Français Mehdi Baala troquerait sa médaille en chocolat contre une breloque de bronze.
Il doit être content baala, même si c'est pas pareil que de la gagner le jour j:content:
Tennis à Rome: Federer contre Djokovic en demi-finale, Nadal à la peine
Il y a 3 heures
ROME (AFP) — Le Suisse Roger Federer et le Serbe Novak Djokovic, 2e et 3e joueurs mondiaux, se sont donné rendez-vous en demi-finale du Masters 1000 sur terre battue de Rome, un stade pour lequel le N.1 Rafael Nadal a dû batailler vendredi.
Le dernier billet pour les demi-finales devait se jouer dans la soirée entre l'Argentin Juan Monaco et le Chilien Fernando Gonzalez (N.12).
Rafael Nadal, qui n'a plus perdu sur terre battue depuis son échec l'année dernière au 2e tour à Rome face à son compatriote Juan Carlos Ferrero, a mis 1h50 pour se défaire d'un autre Espagnol, Fernando Verdasco, tête de série N.6, sur un score peu révélateur de 6-3, 6-3.
Verdasco a réussi 20 coups gagnants contre seulement 6 pour Nadal, mais il a aussi commis deux fois plus d'erreurs que son adversaire (41 pour Verdasco, 20 pour Nadal).
Plus tôt dans l'après-midi, Federer a battu l'Allemand Mischa Zverev, 76e joueur mondial, 7-6 (7/3), 6-2, tandis que Djokovic s'est défait de l'Argentin Juan Martin del Potro (N.5) 6-3, 6-4.
Le Serbe, qui n'a pas encore perdu un set cette semaine, doit obligatoirement remporter le tournoi s'il veut conserver sa place de N.3 mondial, convoitée par l'Ecossais Andy Murray, éliminé au 2e tour.
Comme Nadal, Federer a dû faire face à un adversaire courageux et entreprenant, qui a rendu coup pour coup et n'a cédé la première manche que dans le jeu décisif. Mais une fois en confiance, le Suisse a rapidement pris ses distances dans la seconde manche.
Djokovic en revanche n'a jamais laissé Del Potro s'installer dans la partie, en prenant son service trois fois de suite dans la première manche. Del Potro a refait surface dans le second set, avant d'être lâché par sa deuxième balle de service.
Kick-boxing
Patrick Kinigamazi: «Un irlandais, ça picole. Faut viser le foie…»
:mdr::mdr:
Elle est très, très, très bonne :D:D
Je ne connais rien du tout pour pas dire plus en Kick-boxing, mais rien que pour cette vanne, je souhaite qu'il gagne. Un mec capable de sortir un truc comme ça, mérite de gagner. Je me répète, mais elle est très bonne :D:D
:mdr::mdr:
Elle est très, très, très bonne :D:D
Je ne connais rien du tout pour pas dire plus en Kick-boxing, mais rien que pour cette vanne, je souhaite qu'il gagne. Un mec capable de sortir un truc comme ça, mérite de gagner. Je me répète, mais elle est très bonne :D:D
;)En plus il parrait qu'ils sont potes de chez potes:D:Dà suivre.............
ROME
Federer impardonnable
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Image © Keystone
Toujours à la recherche d'un titre en 2009, Federer s'incline pour la deuxième fois ce printemps devant Djokovic qui l'avait déjà battu à Miami
Le numéro deux mondial ne disputera pas sa seconde finale de la saison. Il a perdu contre Djokovic 6-4 3-6 3-6
Fabiano Citroni - le 02 mai 2009, 22h29
Le Matin Dimanche
Cette défaite-là risque de saper sérieusement le moral de Roger Federer, à trois semaines seulement de Roland-Garros. Le Bâlois a perdu un match qu'il n'aurait jamais dû perdre hier en demi-finale du tournoi de Rome face à Novak Djokovic. Battu 6-4 3-6 3-6, le numéro deux mondial devra encore patienter avant de soulever son premier trophée de l'année.
Vainqueur du premier set, Federer a manqué le coche à deux reprises dans le deuxième set, interrompu environ une heure pour cause de pluie. Il a galvaudé une balle de 3-0 puis une balle de 4-1. Deux points qui lui auraient permis de plier la rencontre. Mené 3-1, Djokovic est ainsi revenu de nulle part pour inscrire cinq jeux consécutifs et remporter le set 6-3.
Il n'a pas cassé de raquette
Particulièrement fébrile dans la deuxième moitié du deuxième set, Federer s'est ressaisi au début du troisième en menant rapidement 3-1. Et que s'est-il alors passé? Il s'est de nouveau écroulé encaissant cinq jeux de suite.
Battu en 2h10, Federer - qui n'a concrétisé que trois balles de break sur 11 - a manqué une occasion en or de prendre sa revanche sur le Serbe, qui l'avait déjà sorti en demi-finale à Miami. Un match au scénario identique à celui d'hier. La seule différence? Aux Etats-Unis, de rage, Federer avait brisé une raquette. Hier, il s'est contenu. Maigre consolation.
A l'issue de la rencontre, le numéro deux mondial a annoncé qu'il allait rentrer en Suisse et se préparer pour le tournoi de Madrid, qui débutera le 11 mai et qui sera surtout le dernier tournoi de préparation avant Roland-Garros.
«Je dois encore travailler sur terre battue, a déclaré Federer. Mais j'ai mieux joué à Rome qu'à Monte-Carlo (n.d.l.r.: où il avait été battu au 3e tour par Wawrinka).» Reste que s'il n'est pas capable de se défaire de Djokovic, qui a disputé hier un match correct, sans plus, il peut difficilement espérer tenir tête au patron de la terre battue, Rafael Nadal.
EN SETS
Rome (It). Tournoi ATP Masters 1000 (2,75 millions d'euros/terre battue).
Demi-finale: Djokovic (Ser/3) bat Federer (S/2) 4-6 6-3 6-3. Nadal (Esp/1) bat Gonzalez (chi/12) 6-3 6-3.
CYCLISME
Un Tchèque de valeur
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Image © Keystone
Impressionnant hier sur les routes romandes, Roman Kreuziger ne cache pas que son grand objectif de la saison, c’est le Tour de France
Roman Kreuziger devrait, sauf accident, remporter le Tour de Romandie 2009. Hier, le Tchèque était exact au rendez-vous dans l'étape de montagne qui s'est terminée à Sainte-Croix, via une accélération décisive dans la montée de Mauborget. Alejandro Valverde n'a rien pu faire
Bernard Morel - le 02 mai 2009
Le Matin Dimanche
Entre Roman Kreuziger et la Suisse, les liens sont de plus en plus forts. Venu à l'âge de 15 ans dans le canton d'Argovie courir dans les catégories cadets et juniors, ce Tchèque, qui fêtera ses 23 ans mercredi prochain, a fêté son premier grand succès professionnel l'année dernière en remportant le Tour de Suisse. Près de 11 mois plus tard, le voilà en passe d'inscrire son nom au palmarès du Tour de Romandie. Deuxième derrière Andreas Klöden l'an dernier, il devrait cette fois terminer avec le maillot jaune sur les épaules, aujourd'hui sur les quais à Genève.
Roman Kreuziger a en tout cas fait le plus dur en s'imposant hier à Sainte-Croix. Une victoire toute de panache qui montre le potentiel du personnage. Le Tchèque a attaqué là où on l'attendait, dans les longues traverses aux pourcentages sévères - plus de 8% - entre Villars-Burquin et Mauborget.
Même Valverde ne répond pas...
Lorsqu'il a accéléré, Alejandro Valverde, considéré comme son principal rival, n'a pas été en mesure de répondre. Puis il a distancé ses derniers adversaires, Karpets et Taramae, en deux temps. Une première fois dans Mauborget, puis, après avoir été repris dans une descente, dans le dernier kilomètre.
On a eu le sentiment que rien ne pouvait arriver à Roman Kreuziger. Ni la contrariété de vendredi soir - mécontente de son hôtel, l'équipe Liquigas a changé d'établissement sur le coup de 22h - ni les chutes de pluie, nettement plus importantes qu'annoncées, n'ont perturbé le coureur tchèque et ses coéquipiers. Ils ont travaillé toute l'étape pour placer leur leader en position idéale dans l'ultime montée. «Je peux adresser un grand merci à mon équipe et notamment à Szmyd qui a accompli un formidable travail dans l'ascension finale», relevait Roman Kreuziger.
Le jeune coureur tchèque, c'est certain, aura encore son mot à dire dans d'autres courses par étapes. Il ne cache pas que son grand objectif de la saison, c'est le Tour de France. «J'ai un bon profil pour les épreuves par étapes et j'espère bien un jour terminer sur le podium du Tour, déclarait-il. Mais pour cela, j'ai encore des progrès à faire, en particulier dans les contre-la-montre et dans les longues ascensions.»
Le plus fort, son modèle, c'est son père!
Et quand on lui demande si des coureurs comme Indurain et Armstrong sont des modèles pour lui, il répond: «Indurain et Armstrong ne sont pas vraiment des modèles. Pour être comparé à eux, j'ai encore un sacré chemin à faire. En fait, mon seul modèle c'est mon père qui était aussi coureur.»
Tour de Romandie: le sacre pour Kreuziger
cyclisme | Roman Kreuziger (Tch/Liquigas) remporte le Tour de Romandie avec 18'' d'avance sur Vladimir Karpets (Rus) et 25 '' sur Rein Taaramae (Est). Meilleur Suisse: Mathias Frank, 12e à 1'27
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/03052009/49f9990.jpg © Keystone | Tour de Romandie.
si | 03.05.2009 |
Comme prévu, Roman Kreuziger a remporté le 63e Tour de Romandie. Après être allé chercher le maillot jaune samedi à Sainte-Croix, le jeune Tchèque de la Liquigas a vécu une cinquième et dernière étape tranquille, courue entre Aubonne et Genève et remportée par Oscar Freire.
Déjà victorieux de la deuxième étape sur le "Pod" de La Chaux-de-Fonds, le sprinter espagnol de la Rabobank a remis ça sur les quais de Genève. Le triple champion du monde a facilement battu lors d'un sprint massif l'Américain Tyler Farrar et son compatriote Koldo Fernandez. L'Uranais Markus Zberg a pris la septième place.
Alors qu'il fêtera ses 23 ans mercredi, Kreuziger a ajouté une nouvelle ligne à son palmarès "suisse". Le champion du monde juniors en 2004 avait triomphé l'an dernier au Tour de Suisse et terminé deuxième au Tour de Romandie.
Au classement final, Kreuziger a devancé le Russe Vladimir Karpets de 18'' et l'Estonien Rein Taaramae de 25''. Le meilleur Suisse de cette 63e édition est le Lucernois Mathias Frank (BMC), 12e à 1'27 de son contemporain tchèque.
Tour de Romandie. 5e et dernière étape, Aubonne - Genève, 151 km: 1. Oscar Freire (Esp/Rabobank).
2. Tyler Farrar (EU). 3. Koldo Fernandez (Esp). Puis: 7. Markus Zberg (S) .
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