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Une enquête anti-dopage implique Lampre
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Le procureur de Mantoue (Italie) a clôt une enquête pour dopage impliquant notamment l'équipe cycliste Lampre et quelques coureurs comme les Italiens Damiano Cunego et Alessandro Ballan et le Danois Michael Rasmussen, selon la Gazzetta dello sport de samedi.
Le manager de l'équipe Lampre, Giuseppe Saronni, a répondu par communiqué que "ni les membres de l'équipe ni leurs avocats n'ont reçu aucune communication" et "ne sont pour l'instant pas en mesure de commenter cette nouvelle (...). Si elle était confirmée, l'équipe répondrait sans tarder au magistrat pour clarifier sereinement sa position".
L'enquête s'est terminée, selon le quotidien sportif, à la veille de Paris-Roubaix (couru dimanche), dont Ballan, aujourd'hui coureur de l'équipe BMC, est un des prétendants.
Une première "affaire de Mantoue" avait éclatée exactement un an auparavant, sans suite, au même moment, et Lampre avait alors retiré Ballan de Paris-Roubaix.
Andreas Klöden gagne le tour du Pays Basque
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© photo news
L'Allemand Andreas Klöden (RadioShack) a remporté le Tour du Pays Basque à l'issue de la 6e et dernière étape remportée par son compatriote Tony Martin (HTC), le plus rapide sur ce contre-la-montre de 24km, samedi à Zalla où Maxime Monfort a pris la 6e place à 48 secondes du vainqueur du jour.
Tony Martin s'est imposé avec 9 secondes d'avance sur l'Allemand Andreas Klöden, 35 ans, qui s'adjuge le classement général final. Klöden a détrôné l'Espagnol Joaquin Rodriguez qui s'est classé au-delà de la 30e place de l'épreuve chronométrée à plus de 2 minutes de Klöden. Jurgen Van den Broeck a pris la 18e place du contre-la-montre à 1:33 de Martin.
Au classement général final, Andreas Klöden a devancé son équipier chez RadioShack, l'Américain Christopher Horner. Le Néerlandais Robert Gesink (Rabobank) monte sur la 3e marche du podium.
Cela faisait longtemps que Klöden n'avait plus remporté une course par étapes, c'était en 2008 avec le Tour de Romandie. L'Allemand a déjà à son palmarès Tirreno-Adriatico en 2007, le Regio Tour en 2006 et Paris-Nice en 2000, année de sa première victoire au Tour du Pays Basque
Cancellara: "Ca va être dur, Paris-Roubaix avec 23 degrés"
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Le Suisse Fabian Cancellara a estimé samedi, à la veille de Paris-Roubaix, qu'il ne pourrait pas gagner comme il l'a fait l'an dernier, au terme d'une échappée solitaire de 45 kilomètres, car ses adversaires savent ce qu'il est "capable de faire" et le surveilleront.
"La situation de l'année passée était totalement différente. Cette année, tout le monde sait ce que je suis capable de faire, ça change la situation", a déclaré le double vainqueur de Paris-Roubaix (2006, 2010), interrogé sur la possibilité d'une nouvelle démonstration de puissance dimanche.
"Je préfère gagner que faire quelque chose de spécial", a-t-il assuré.
"L'année passée, ce n'était pas pensé, c'était à l'instinct. Cette année, faire quelque chose à 45-50 kilomètres de l'arrivée, c'est vraiment loin... S'il y a quinze coureurs ensemble, je pense que ce ne sera pas possible. Mais je vais faire ma course avec mon équipe (Leopard). Nous sommes prêts, on va faire vivre le Paris-Roubaix avec sa passion", a ajouté le Suisse, qui a terminé troisième du Tour des Flandres, dont il était tenant du titre, samedi dernier, perclus de crampes.
"J'ai regardé pourquoi je viens de perdre. J'ai appris de la course de dimanche qu'il y a d'autres qui marchent bien, qui courent vraiment vite. Je suis calme. On parle plus de moi que des autres, mais je sais que ce n'est pas vrai (qu'il est le grand favori, ndlr)", a estimé le quadruple champion du monde de contre-la-montre (2006, 2007, 2009, 2010).
"Ca va être vraiment dur, Paris-Roubaix avec 22-23 degrés. On verra ce qui se passe après les premiers secteurs pavés, après le passage d'Arenberg... Je suis prêt, je me sens bien", a-t-il souligné.
Cancellara, 30 ans, disputera son neuvième Paris-Roubaix. Outre ses deux victoires en 2006 et 2010, il a terminé deuxième en 2008.
La grille de départ du GP de Malaisie
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© epa
La grille de départ du Grand Prix de Malaisie, 2e manche du championnat du monde de Formule 1, qui aura lieu dimanche sur le circuit de Sepang:
1e ligne
1. Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault)
2. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes)
2e ligne:
3. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault)
4. Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes)
3e ligne :
5. Fernando Alonso (Esp/Ferrari)
6. Nick Heidfeld (All/Lotus-Renault)
4e ligne:
7. Felipe Massa (Bré/Ferrari)
8. Vitaly Petrov (Rus/Lotus-Renault)
5e ligne:
9. Nico Rosberg (All/Mercedes)
10. Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari)
6e ligne:
11. Michael Schumacher (All/Mercedes)
12. Sebastian Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari)
7e ligne:
13. Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso-Ferrari)
14. Paul di Resta (Eco/Force India-Mercedes)
8e ligne:
15. Rubens Barrichello (Bra/Williams-Cosworth)
16. Sergio Perez (Mex/Sauber-Ferrari)
9e ligne:
17. Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes)
18. Pastor Maldonado (Ven/Williams-Cosworth)
10e ligne:
19. Heikki Kovalainen (Fin/Team Lotus)
20. Jarno Trulli (Ita/Team Lotus)
11e ligne:
21. Timo Glock (All/Virgin-Cosworth)
** 22. Jérôme d'Ambrosio (BEL/Virgin-Cosworth)
12e ligne:
23. Vitantonio Liuzzi (Ita/Hispania-Cosworth)
24. Narain Karthikeyan (Ind/Hispania-Cosworth)
09/04/11 12h53
Lille en plein cauchemar, Marseille se frotte les mains
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© afp
Le leader Lille a vécu une soirée de cauchemar samedi à Monaco, avec une défaite surprise (1-0) assortie de l'exclusion de Gervinho. Marseille, qui reçoit Toulouse dimanche, pourrait en cas de victoire revenir à un point des Lillois à l'issue de cette 30e journée du Championnat de France. L'autre évènement de la soirée est la victoire du Paris SG à Caen (2-1), alors que le club de la capitale n'avait plus gagné depuis le 27 février.
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© afp
Coup d'arrêt pour Lille! Le leader de la Ligue 1 s'est incliné 1-0 à Monaco. Eden Hazard a pris part à l'intégralité de cette défaite qui pourrait jouer des tours à son équipe. En effet, si l'OM s'impose ce dimanche (17h00) lors de la venue de Toulouse, les Lillois ne compteraient plus qu'une unité d'avance sur leur dauphin marseillais. A huit journées de la fin!
En Principauté, Rudi Garcia, entraîneur de Lillois méconnaissables en début de match, a blêmi au fil des minutes. Il y a d'abord eu cette mauvaise passe en retrait de Rami bien exploitée par Park pour l'ouverture du score. Et puis l'exclusion de Gervinho qui s'est fait justice lui même -d'une bousculade- après une faute d'Adriano.
Humiliation totale: le stade Louis II a entamé des "Olé, Olé" en fin de match...
Dimanche, si Marseille l'emporte, le championnat sera complètement relancé à huit journées de la fin. Les Lillois vont sans doute trembler devant leur télé.
Dans l'immédiat, Monaco fait une très bonne opération, quittant la zone de relégation, laissant la 18e place à Auxerre (2-2 contre Saint-Etienne). L'ASM occupait samedi soir la 14e mais avec seulement un point d'avance sur l'AJA.
Samedi soir (coup d'envoi 21h00), un derby régional oppose Brest, qui reste sur quatre défaites d'affilée, à Rennes, qui n'a plus gagné depuis trois matches, mais rejoindrait provisoirement l'OM en cas de victoire.
Dimanche, outre Marseille-Toulouse, il y aura aussi Lyon-Lens.
CYCLISME
L’interprétation cycliste d’un voyage au bout de l’enfer
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Image © Keystone
Le Belge Johann Museeuw, trois fois vainqueur, ici à l’arrivée de son dernier Paris-Roubaix, en 2004.
Les secteurs pavés représentent près de soixante kilomètres, l’équivalent de Lausanne-Genève. De peur de se blesser, de nombreuses stars renoncent à cette folie. Même après l’avoir gagné, en 1981, Bernard Hinault avait déclaré: «Paris-Roubaix est une course de merde.»
Bertrand Monnard - le 09 avril 2011, 23h44
Le Matin Dimanche
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«A Paris-Roubaix, il faut partir du principe qu’on va chuter et crever, sinon, cela ne vaut pas la peine de prendre le départ», avait dit un jour le Français Marc Madiot, deux fois vainqueur en 1985 et 1991.
Les coureurs savent que Paris-Roubaix, quelle que soit la météo, justifiera son surnom d’«Enfer du Nord». S’il pleut, c’est la boue qui transforme les pavés en patinoire. S’il fait beau, c’est la poussière qui rend les mêmes pavés terrifiants. Aujourd’hui, pour la 109e édition, ils auront rendez-vous, selon les prévisions, avec la poussière.
A son époque, Bernard Hinault avait longtemps renoncé à y participer, qualifiant Paris-Roubaix de «course de merde». Il n’a pas changé d’opinion après sa victoire en 81: «Je persiste à dire que c’est une course de merde.» De nombreuses stars, comme Lance Armstrong ou Alberto Contador, n’ont jamais osé risquer leur saison sur ces pavés hors du temps.
«Ici, on voit les hommes», avait écrit un jour Antoine Blondin, poète du vélo. Aujourd’hui, près d’un million de personnes soutiendront ces coureurs qui ne méritent jamais autant que ce jour-là l’étiquette de forçats de la route, transformés, au fil du parcours, en «gueules noirs», si chères au nord de la France.
«De gros cailloux»
Le gros du public s’agglutinera évidemment autour des secteurs pavés, entretenus, bichonnés tout au long de l’année pour l’événement, la marque de fabrique de Paris-Roubaix. Il y en aura, comme d’habitude, une soixantaine de kilomètres, sur les 260 du parcours, répartis en une trentaine de secteurs.
Après la Tranchée de l’Arenberg, considéré comme l’un des juges de paix, 2,4 kilomètres de pavés après 160 kilomètres de course, les organisateurs en ont rajouté une tranche pour cette édition, de 1,2 kilomètre, histoire d’«empêcher les équipes de se regrouper».
Gérant de fortune aujourd’hui, le Genevois Bruno Boscardin (41 ans) a bouclé quatre Paris-Roubaix. Lors de la dantesque édition de 1994 disputée en partie sous la neige, il avait été seul en tête sur plus de 20 kilomètres. «Le clou de ma carrière. Un bon moment, j’ai cru que j’allais gagner, j’ai rêvé, avant d’être rejoint et dépassé à 45 kilomètres de l’arrivée par le futur vainqueur, le Russe André Tchmil.»
Les pavés de Paris-Roubaix, Boscardin connaît. «Ces pavés n’ont rien à voir avec ceux lisses et proprets du centre-ville de Genève ou Lausanne, non, ce sont des gros cailloux, irréguliers, très écartés, qui vous secouent, vous maltraitent. 60 kilomètres au total, c’est Lausanne-Genève sur des pavés. J’ai toujours eu mal des doigts jusqu’aux cheveux pendant une semaine. C’est une vraie course pour guerriers.»
Patron du Tour de Romandie, lui-même ex-coureur, Richard Chassot n’a jamais participé à Paris-Roubaix mais il connaît parfaitement la course pour l’avoir commentée une bonne dizaine de fois pour la TSR: «Les Belges et les Hollandais ont l’avantage de rouler depuis tout petit sur des pavés alors que les autres doivent apprendre. Pour bien les passer, il faut enrouler le braquet, rouler en puissance tout en tenant son guidon avec légèreté, diriger pour ne pas subir. Un petit grimpeur n’y a aucune chance car cela nécessite des cuisses et un bas du dos très musclé. Et puis, il faut en avoir dans le cuissard, comme on dit, pour ne pas avoir peur de ces chutes qui font particulièrement mal.»
Les secteurs pavés sont classés par étoiles, comme des restaurants, de 1 à 5, selon leurs difficultés et leurs longueurs. Classé 5 étoiles, à un peu moins de cent kilomètres de l’arrivée, la Tranchée de l’Arenberg est considérée comme le premier passage crucial qui, à chaque fois, opère une sélection impitoyable.
«Dans le peloton, généralement encore très compact, ça commence déjà à frotter. Vingt-cinq kilomètres avant l’Arenberg, c’est la guerre, car il faut à tout prix y entrer dans les vingt premiers, sous peine d’être largué: le passage est très étroit et, étant situé dans une forêt, toujours très glissant même en cas de beau temps. On n’y gagne pas la course mais beaucoup la perdent définitivement.»
C’est plus loin, au Carrefour de l’Arbre, deux kilomètres de pavés à 15 kilomètres de l’arrivée, que se joue souvent Paris-Roubaix, l’ultime juge de paix précédé par deux autres secteurs pavés aux noms évocateurs, le chemin des Prières et celui des Abattoirs.
Il surfait sur les pavés
«Au Carrefour de l’Arbre, on est toujours ballottés par un fort vent de côté et il y a un monde fou, juste hallucinant», se souvient Boscardin. Cancellara s’y était envolé lors de sa première victoire en 2006, tout comme Madiot en 1991. «J’y avais largué Ballerini, se souvient le Français. Je n’étais pas le plus fort ce jour-là. Mais j’étais le plus fort sur ces deux bornes. J’ai gagné à la baïonnette.»
4Victoires
Le nombre record de victoires remportées par le Belge Roger De Vlaeminck, en 72, 74, 75 et 77.38Doyen
Le Français Gilbert Duclos-Lassalle, qui s’est imposé en 1993 à 38?ans, reste le plus âgé des vainqueurs.5Record
Eddy Merckx avait remporté l’édition 1970 avec 5?minutes et 21?secondes d’avance.
Cyclisme
Van Summeren gagne Paris-Roubaix, Cancellara 2e
10.04.2011 17:14 - mise à jour: 19:17 http://www.tsr.ch/2011/04/10/17/07/3072005.image?w=480&h=270 Le Belge Johan Van Summeren remporte à Roubaix la plus belle victoire de sa carrière, la 3e au total. [Michel Spingler - Keystone]
Johan van Summeren a remporté la plus belle victoire de sa carrière en s'imposant à Paris-Roubaix. Fabian Cancellara, grand animateur de la course, a dû se contenter du 2e rang. Grégory Rast termine 4e.
Johan Van Summeren a brûlé la politesse à Fabian Cancellara à Paris-Roubaix. Le géant belge (1m97) de Garmin-Cervélo a remporté la plus grande victoire de sa carrière, tandis que le Bernois a échoué au 2e rang.
Grand favori, Cancellara avait pourtant tout en main pour signer un triplé après ses succès en 2006 et en 2010. Comme l'an dernier, le coureur de Leopard-Trek lançait une première attaque sur les pavés de Mons-en-Pévèle à environ 50 km de l'arrivée. Il remettait ça dix kilomètres plus loin. Mais il était à chaque fois repris par le Norvégien Thor Hushovd, qui refusait ensuite de prendre le relais.
http://www.tsr.ch/2011/04/10/17/12/3072012.image?w=230&h=165 Grand animateur de ce Paris-Roubaix, fabian Cancellara n'a pu faire mieux que deuxième. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/04/10/17/12/3072012.image?w=418&h=300)Agacé par l'attitude du champion du monde et ne voulant pas assumer seul la chasse, Cancellara se relevait alors que Van Summeren et le groupe de tête se trouvaient à moins de trente secondes. Il tentait un baroud d'honneur en fin de course, mais il était trop tard pour rattraper le Belge.
Comme la semaine dernière au Tour des Flandres (3e), Cancellara peut nourrir de gros regrets. Il était à nouveau le plus fort du peloton. Mais encore une fois, la tactique et le marquage de ses rivaux l'ont privé de la victoire.
"J'ai fait le maximum possible, je ne pouvais pas faire plus. J'ai fait beaucoup, beaucoup de travail. J'ai roulé pour gagner. Après la troisième place du Tour des Flandres et la deuxième place de Milan-Sanremo, je pensais bien sûr à la victoire. Mais c'est comme la semaine passée. Tout le monde sait qu'avec moi, ça va être dur. Hushovd ? Dans son coeur, il a dû penser à la victoire mais il y avait une situation tactique avec un de ses coéquipiers devant. A la fin, je fais une jolie course. Je suis fier d'être arrivé encore deuxième. Je n'ai pas gagné, je ne dois pas chercher d'excuses, mais c'est comme une victoire pour moi. Ce n'est pas possible de toujours gagner."
En arrachant la deuxième place, le quadruple champion du monde du contre-la-montre a toutefois prouvé qu'il avait un orgueil de champion. Ses résultats du printemps sont aussi là pour l'attester: 2e à Milan-San Remo, 1er au GP E3, 3e au Tour des Flandres, 2e à Paris-Roubaix.
Elmiger et Rast dans le coup
http://www.tsr.ch/2011/04/10/19/16/3072095.image?w=230&h=165 Cancellara s'est dit satisfait de monter sur la 2e marche du podium. [Reuters] (http://www.tsr.ch/2011/04/10/19/16/3072095.image?w=418&h=300)Derrière Cancellara, les autres Suisses ont brillé lors de "l'Enfer du Nord". Longtemps aux côtés de Van Summeren, Gregory Rast (RadioShack) a pris une 4e place autant belle qu'inattendue. Lui aussi Zougois, Martin Elmiger (AG2R La Mondiale) a animé la première échappée sérieuse de la journée, s'offrant même le luxe de faire la course en tête durant quasiment toute la Trouée d'Arenberg, un des secteurs pavés les plus difficiles et mythiques de Paris-Roubaix.
En s'imposant, Van Summeren a créé la sensation. Avant ce coup d'éclat, le coureur de 30 ans affichait un palmarès bien modeste avec une victoire au Tour de Pologne en 2007 comme seul véritable haut fait. Le Belge avait toutefois montré qu'il se sentait bien sur les pavés du nord, lui qui avait terminé 8e en 2008 et 5e en 2009.
Le calvaire de Tom Boonen
Pour Tom Boonen, ce Paris-Roubaix a viré au cauchemar. Victime d'un problème mécanique dans la Trouée d'Aranberg, le Belge était longtemps immobilisé. Une quinzaine de kilomètre plus tard, il était impliqué dans une chute. C'en était trop. Le leader de la Quick Step jetait l'éponge peu après, lui qui visait le record de quatre victoires de son compatriote Roger De Vlaeminck.
Auto - Formule1
Vettel double la mise, Buemi termine 13e
10.04.2011 11:45 - mise à jour: 17:33 http://www.tsr.ch/2011/04/10/11/35/3071592.image?w=480&h=270 Deux Grands Prix et autant de victoires pour Sebastian Vettel qui réalise un début de saison parfait. [Mark Baker - Keystone]
Déjà ultra dominateur en Australie, Sebastian Vettel n'a à nouveau laissé que des miettes à ses adversaires lors du GP de Malaisie. Leader de bout en bout, l'Allemand n'a pas tremblé pour s'imposer. Buemi termine au 13e rang.
Sebastian Vettel (Red Bull-Renault) a remporté le Grand Prix de Malaisie à Sepang. Le champion du monde en titre a fêté le 12e succès de sa carrière, et le 4e consécutivement. Ils se pose déjà comme le grand favori à sa succession, même si la saison reste très longue.
Parti en tête, le jeune Allemand a parfaitement mené son affaire, malgré quelques soucis avec son KERS, que son équipe lui a demandé vers la mi-course de ne plus utiliser. "Formidable travail. Malgré la chaleur, nous avons gardé la tête froide. Merci", a dit Vettel à l'équipe Red Bull par radio durant son tour d'honneur. "C'est un plaisir d'être avec vous chaque week-end. J'adore", a-t-il ajouté. Une fois encore, Vettel a nettement dominé son coéquipier chez Red Bull-Renault Mark Webber, qui est toutefois remonté à la 4e place après un départ totalement manqué.
Button déjà à 24 points
Jenson Button (GB/McLaren-Mercedes) a pris une belle 2e place après une course régulière et une bonne gestion de ses pneus, dont l'usure a constitué un sérieux problème pour les pilotes, la plupart devant effectuer au moins trois changements de gommes. Button occupe aussi le 2e rang du championnat, mais avec déjà 24 points de retard sur Vettel. Le podium d'une course finalement épargnée par la pluie a été complété par Nick Heidfeld (All), auteur d'un départ fulgurant puisqu'il passait 2e au premier passage sur la ligne. Après Petrov en Australie, l'écurie Lotus-Renault GP fête ainsi un deuxième podium qui confirme son potentiel.
Les Ferrari (Massa 5e/Alonso 6e) ont évolué légèrement en retrait. Fernando Alonso pouvait prétendre au podium, mais il a endommagé son aileron avant en luttant avec Lewis Hamilton, qu'il a touché en pleine ligne droite, et a dû faire un 4e arrêt. Pour sa part, l'Anglais, longtemps 2e, a terminé au 8e rang après avoir lui aussi dû s'arrêter à quatre reprises, la dernière étant la conséquence de la touchette avec la Ferrari. Les deux protagonistes de cet incident ont été pénalisés de 20 secondes, sans conséquence pour Alonso, mais pas pour Hamilton qui a ainsi perdu un rang.
Buemi pénalisé
http://www.tsr.ch/2011/04/10/14/32/3071839.image?w=230&h=165 Au volant de sa Toro Rosso, Buemi n'a pu faire mieux que 13e en Malaisie [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/04/10/14/32/3071839.image?w=418&h=300)Sébastien Buemi (Toro Rosso-Ferrari) a dû se contenter de la 13e place, juste devant son coéquipier Jaime Alguersuari. Le Suisse aurait pu prétendre à un meilleur classement sans une pénalité stop and go de 10 secondes infligée par les commissaires en raison d'un excès de vitesse dans les stands.
"Lors de mon premier arrêt, j'ai eu l'impression que le limiteur de vitesse n'était pas engagé: j'ai pressé sur le bouton, ce qui a eu pour effet de désactiver le système. C'est pourquoi j'ai roulé trop vite. J'estime que la pénalité est un peu sévère, car d'habitude on inflige uniquement un passage par les stands sans devoir s'arrêter", a expliqué Buemi. Le Vaudois pouvait nourrir des regrets. "J'ai le sentiment que la 9e place était abordable", a-t-il encore déclaré.
Kamui Kobayashi (Jap) a offert ses premiers points à l'écurie Sauber-Ferrari en se classant 7e, en n'ayant changé ses pneus que deux fois. "La stratégie à deux arrêts n'était pas sans risque, mais elle a fonctionné", a jubilé le pilote nippon. Pour sa part, Michael Schumacher (Mercedes) a lui aussi ouvert son compteur 2011 en finissant 9e. Mais le septuple champion du monde est encore loin de disposer d'un matériel lui permettant
Tennis
Tournoi de Monte-Carlo: Federer contre Kohlschreiber
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Roger Federer débutera sa saison sur terre battue face à Philipp Kohlschreiber (ATP 34). Exempté de 1er tour cette semaine au Masters 1000 de Monte-Carlo, le Bâlois affrontera l'Allemand, contre qui il n'a jamais perdu en cinq duels.
le 10 avril 2011, 20h39
LeMatin.ch & les agences
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Kohlschreiber a gagné le droit de défier le no 3 mondial en dominant dimanche en trois sets le Russe Andrey Golubev (ATP 40).
Avant une éventuelle finale face au sextuple tenant du titre Rafael Nadal, Federer devra ensuite en découdre, si la logique est respectée, avec l'Autrichien Jürgen Melzer (no 7) en quart de finale, puis avec l'Espagnol David Ferrer (no 4) ou son compatriote Fernando Verdasco (no 6) dans le dernier carré.
Trois fois battu en finale par Nadal (2006-2008), Federer n'était pas présent sur le Rocher l'an dernier, préférant se ménager. Lors de sa dernière participation en 2009, il avait été battu en 8e de finale par Stanislas Wawrinka (absent cette année), quelques jours après son mariage.
"Une période intéressante"
Si Nadal est toujours solidement en tête du classement ATP, Federer et Djokovic savent que l'Espagnol a énormément de points à défendre dans un avenir proche (titres à Monte-Carlo, Rome, Madrid, Roland-Garros et Wimbledon). "Ca dépendra beaucoup de Rafa. S'il défend tout, ce sera très dur pour les autres", a souligné le Bâlois, actuellement en troisième position (8550 points contre 9700 à Djokovic et 12'870 à Nadal).
"Rafa a beaucoup de pression mais je ne pense pas que ça le préoccupe tant que ça, surtout sur terre battue", a-t-il ajouté. "De mon côté, je n'ai pas beaucoup de points à gagner et c'est certain que j'aurai des opportunités. Il y a beaucoup de choses à jouer dans les semaines qui viennent, c'est une période intéressante", a conclu Federer.
Un voisin absent
Vainqueur de Nadal en finale d'Indian Wells et de Miami, Djokovic déborde de son propre aveu de confiance mais commence aussi à accuser le coup physiquement. C'est pourquoi il s'est retiré, "la mort dans l'âme" du tournoi monégasque, son "préféré avec celui de Belgrade", faisant état d'une gêne au genou qui l'accompagne depuis trois mois. "Il le fallait pour ne pas compromettre ma saison sur terre battue", a souligné le Serbe, venu en voisin, lui qui habite à "cinq minutes à pied" avec sa copine, "étudiante en objets de luxe" (sic).
Même si sa priorité est de se "reposer", la perspective de devenir no 1 mondial, "le but de sa vie" l'anime plus que jamais. "Si je veux le devenir il me faudra être régulier sur les grand tournois car je sais que Roger et Rafa vont l'être", a estimé le Serbe, qui reste sur une série de 26 victoires.
"En d'autres temps on parlait de dopage, de paris illégaux ou d'autres débats stupides, alors parler d'un joueur qui marche fort est plutôt positif", a noté Federer, assurant ne pas prendre ombrage de l'explosion de Djokovic.
Automobilisme
Pirelli en F1: bonjour la confusion en course
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Jenson Button, pourtant réputé pour bien prendre soin de ses gommes, a dû effectuer trois passages aux stands pour changer de pneumatiques (13e tour, 23e tour et 38e tour). Pour comparer, son coéquipier s’est arrêté quatre fois.
On a dénombré pas moins de 58 changements de pneus pendant la course. Vettel, lui, était sur une autre planète.
Luc Domenjoz - le 10 avril 2011, 22h49
Le Matin
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Un tour rapide, un tour lent. Aussitôt après avoir signé un chrono canon, Mark Webber perdait tellement de terrain qu’il devait s’arrêter pour changer ses pneus – ce qu’il fit à quatre reprises. Longtemps deuxième, Lewis Hamilton a finalement terminé à la huitième place sans qu’il comprenne ce qui lui arrivait, alors que c’est Jenson Button, sur la même McLaren, qui hérite de la deuxième marche du podium.
Ce dernier non plus ne pouvait guère expliquer les variations de compétitivité de sa monoplace. «C’était vraiment une course très étrange, admettait le Britannique. Il était très difficile de comprendre le fonctionnement des pneus. Par moments, quand vous vouliez les épargner, vous rouliez moins vite dans les courbes rapides, ce qui engendrait moins d’appuis et dégradait les gommes davantage! C’était très complexe.»
En formule 1, les écuries emploient des centaines d’ingénieurs qui étudient le moindre rétroviseur pendant des heures en soufflerie. Le spectacle de monoplaces dont la compétitivité variait du tout au tout en fonction de la dégradation des pneus semblait donc indigne de la sophistication des F1. Le spectacle y a-t-il gagné? «Je ne sais pas si c’était plus intéressant à suivre que d’habitude, poursuivait Jenson Button. De mon cockpit, je voyais des voitures un peu partout, ça devait être amusant à la TV. Si nous n’avions eu qu’une seule sorte de pneus, cela aurait sans doute été moins varié. En tout cas, j’étais incapable de savoir qui allait terminer deuxième. Bon, à la fin il se trouve que c’est moi, alors tant mieux!»
D’autres étaient moins enthousiastes: «Je n’ai rien compris à ce qui s’est passé», se plaignait Lewis Hamilton. «Il va falloir que nous analysions tout cela, parce que je pensais vraiment que je pouvais terminer sur le podium.»
Avec quatre jours de pause avant le Grand Prix de Chine, les ingénieurs n’auront guère de temps pour modifier les monoplaces et les adapter aux pneus Pirelli. A Shanghai, la même loterie pourrait donc bien se poursuivre.
FOOTBALL
La fin entre Munich et Van Gaal
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Louis Van Gaal a dû prendre ses affaires et dire adieu au Bayern Munich.
Le match nul concédé samedi à Nuremberg a été la contre-performance de trop pour le Néerlandais.
Jérôme Beuchat - le 10 avril 2011, 23h17
Le Matin
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Louis Van Gaal n’ira finalement pas au terme de son contrat, qui prenait fin dans cinq semaines, avec le Bayern Munich. Hier matin, le club bavarois a annoncé le licenciement avec effet immédiat de son entraîneur car il craint comme la peste une non-qualification pour la Ligue des champions 2011-2012, dont la finale se déroulera à … Munich. En attendant l’arrivée, cet été, de Jupp Heynckes, Andries Jonker, l’ancien adjoint du Néerlandais, dirigera Ribéry et ses coéquipiers.
Une saison ratée
Eliminé de cette compétition par l’Inter Milan en huitième de finale, sorti de la Coupe d’Allemagne au stade des demi-finales et privé de la course à la première place de la Bundesliga depuis un bon moment déjà, le Bayern doit sauver sa saison totalement ratée en se qualifiant pour la plus lucrative des coupes d’Europe. Mais cette tâche ne sera de loin pas aisée. En effet, la deuxième place, occupée par le Bayer Leverkusen et qui offre directement un bon de participation, se trouve à neuf points. A cinq journées de la fin du championnat, le gouffre paraît bien important et presque insurmontable. L’objectif, bien maigre pour une telle formation et de tels joueurs, semble donc d’accrocher la place de barragiste qui, elle, n’est qu’à une toute petite unité. Mais l’adversaire à ce stade de la compétition peut être très coriace; les clubs suisses en savent d’ailleurs quelque chose, eux qui ont souvent échoué sur cette dernière marche. Le club le plus titré du football allemand pourrait donc bien, la saison prochaine, se retrouver en Europa League, la «Coupe d’Europe des perdants» comme la stigmatisent à la moindre occasion ses joueurs et dirigeants.
Uli Hoeness, le président du conseil de surveillance du Bayern Munich, a justifié la décision de licencier Louis Van Gaal par la distance qui s’était créé avec les joueurs. «La belle histoire, selon laquelle les joueurs soutenaient l’entraîneur, c’était du pipeau» explique Hoeness pour qui l’ambiance dans le vestiaire n’était pas des plus joyeuses. Avant d’ajouter que «c’est à partir de janvier que la m…. a commencé. Quand Thomas Kraft a été titularisé à la place de Jörg Butt, cela a complètement déstabilisé la défense.» Une arrière-garde que Van Gaal n’avait pas jugée utile de renforcer l’été dernier, alors qu’elle n’a jamais été exempte de tout reproche.
Hitzfeld regretté
Ce qui ressort, c’est que le Bayern Munich n’a vraiment jamais eu de chance avec ses entraîneurs depuis 2004, année du premier départ d’Ottmar Hitzfeld. L’entraîneur controversé de l’équipe de Suisse a en effet remporté cinq titres de champions d’Allemagne, trois Coupes d’Allemagne et un sacre en Ligue des Champions. Depuis, y a-t-il eu des erreurs de casting? En tous les cas, les Magath, Klinsmann et Van Gaal ne laisseront pas un souvenir impérissable au sein des supporters. En espérant donc que Jonker dans un premier temps et Heynckes, dans un second, sauront trouver leur place sur le banc bavarois et redonner le sourire à la Bavière.
Nouvelle tuile pour Clijsters, incertaine pour Roland Garros
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Kim Clijsters s'est sévèrement foulée la cheville. Elle sera indisponible durant quatre à six semaines, annonce un communiqué de la société de management golazo rédigé et transmis par Gert Van Goolen
Lors de la cérémonie de mariage de son neveu Tim, Kim s'est mal réceptionnée et s'est sérieusement foulée la cheville.
Les conséquences ne sont pas minimes. Après une visite chez le médecin, échographie et IRM, le diagnostic est le suivant: grave luxation de la cheville droite avec une solide élongation à la fois des ligaments médial et latéral et une déchirure de la capsule avec hématome au niveau de l'articulation de la cheville.
La cheville de Clijsters est à présent entièrement immobilisée et elle ne pourra s'appuyer sur le pied durant plusieurs jours. Elle devra quoi qu'il en soit passer une période de revalidation de quatre à six semaines. Sachant que Roland Garros débute dans exactement six semaines (le 22 mai, ndlr), la présence de Kim à Paris s'avère incertaine. Entre-temps elle poursuit comme prévu la revalidation de son épaule et de son poignet.
Hamilton pénalisé de 20 secondes, perd une place
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7S7 mise à jour Lewis Hamilton (McLaren) a été pénalisé de vingt secondes pour avoir changé plusieurs fois de trajectoire dimanche alors que Fernando Alonso (Ferrari) l'attaquait, ce qui le fait rétrograder d'une place au Grand Prix de Malaisie de Formule 1. Arrivé 7e, 18 secondes devant Kamui Kobayashi (Sauber) le Britannique perd donc une position au profit du Japonais, et se retrouve 8e.
En délicatesse avec ses pneus, Hamilton, rattrapé par l'Espagnol à une douzaine de tours de la fin, a zigzagué sur la piste pour empêcher Alonso de le dépasser, ce qui explique la pénalité que lui ont infligée les commissaires de course de la Fédération internationale de l'automobile (FIA).
Alonso aussi pénalisé de 20 secondes, mais ne perd pas de place
Fernando Alonso (Ferrari) a été pénalisé de 20 secondes pour avoir percuté Lewis Hamilton (McLaren) a dix tours de la fin du Grand Prix de Malaisie de Formule 1, ce qui ne lui fait pas perdre de place au classement, a annoncé dimanche la Fédération internationale de l'automobile (FIA).
A dix tours de la fin, l'Espagnol, plus rapide, a percuté l'arrière de la voiture du Britannique, alors 3e, en essayant de le dépasser, cassant le museau de sa Ferrari, ce qui a nécessité un arrêt aux stands supplémentaire pour le changer, et lui a fait perdre plusieurs places. Hamilton, lui, n'a pas été pénalisé par l'incident. (belga)
Le classement actualisé:
1. Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault)
les 310,408 km en 1h37:39.832
(moyenne: 190,700 km/h)
2. Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) à 3.261
3. Nick Heidfeld (All/Lotus-Renault) à 25.075
4. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) à 26.384
5. Felipe Massa (Bré/Ferrari) à 36.958
6. Fernando Alonso (Esp/Ferrari) à 37.248
7. Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) à 1:06.439
8. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) à 1:09.957
9. Michael Schumacher (All/Mercedes) à 1:24.896
10. Paul di Resta (G-B/Force India-Mercedes) à 1:31.563
11. Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes) à 1:41.379
12. Nico Rosberg (All/Mercedes) à 1 tour
13. Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) à 1 tour
14. Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso-Ferrari) à 1 tour
15. Heikki Kovalainen (Fin/Team Lotus) à 1 tour
16. Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) à 2 tours
17. Vitaly Petrov (Rus/Lotus-Renault) à 4 tours
Les autres concurrents n'ont pas été classés.
Classement des pilotes actualisé:
1. Sebastian Vettel (All) 50,0 pts
2. Jenson Button (G-B) 26,0
3. Lewis Hamilton (G-B) 22,0
4. Mark Webber (Aus) 22,0
5. Fernando Alonso (Esp) 20,0
6. Felipe Massa (Bré) 16,0
7. Nick Heidfeld (All) 15,0
8. Vitaly Petrov (Rus) 15,0
9. Kamui Kobayashi (Jap) 6,0
10. Sébastien Buemi (Sui) 4,0
11. Adrian Sutil (All) 2,0
12. Michael Schumacher (All) 2,0
13. Paul di Resta (G-B) 2,0
Classement des constructeurs actualisé:
1. Red Bull 72,0 pts
2. McLaren 48,0
3. Ferrari 36,0
4. Lotus-Renault 30,0
5. Sauber 6,0
6. Toro Rosso 4,0
7. Force India 4,0
8. Mercedes GP 2,0
15e titre pour Wozniacki à Charleston
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La Danoise Caroline Wozniacki, N.1 mondiale, a remporté le tournoi WTA de Charleston (terre battue/721.000 dollars) en battant la Russe Elena Vesnina (WTA 56) 6-2, 6-3, dimanche en finale, pour soulever le 15e trophée de sa carrière et le troisième en 2010. Avant Charleston, la Danoise de 21 ans s'était imposée à Dubaï et Indian Wells cette année.
Simple dames
Finale:
Caroline Wozniacki (Dan/N.1) bat Elena Vesnina (Rus) 6-2, 6-3
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© reuters
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Stoner27
11/04/2011, 09h43
elle est pas laide quand même!
elle est pas laide quand même!
:diable:Qui à dit cela?????:D:D:amoureux:
elle est pas laide quand même!
quand elle tape la balle je la trouve pas top, sinon sourire a tomber
cyclisme
Cancellara devient numéro un mondial
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A la faveur de sa deuxième place dimanche à Paris - Roubaix, Fabian Cancellara est le nouveau leader du classement UCI. Le Bernois devance désormais de 33 points l’Australien Matthew Gross, le vainqueur de Milan - San Remo.
le 11 avril 2011, 22h52
Le Matin
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Fabian «Superman» Cancellara est redevenu humain sur Paris - Roubaix, comme au Tour des Flandres. Le Bernois a souffert à la fois d’un entourage moins efficace et d’un marquage très strict.
Deuxième de Milan - Sanremo, troisième du Tour des Flandres, deuxième de Paris - Roubaix. Dans les grandes classiques, Fabian Cancellara reste le point de repère, autour duquel la course s’articule. A 30 ans, le quadruple Champion du monde du contre-la-montre évolue toujours à très haut niveau, même s’il a semblé moins dévastateur dans ses accélérations sur les pavés que l’année passée.
Rares ont été ses rivaux à garder la roue. Thor Hushovd, à son sommet physique, l’a suivi à chaque fois, Alessandro Ballan a pu revenir après un temps de retard. Les autres ont été logiquement débordés par l’athlète suisse.
«Je me sentais fort», a estimé dimanche soir le vainqueur sortant (2006 et 2010). Et de souligner: «C’est un peu plus facile d’être à l’avant, on a moins de stress, on peut réguler. Quand on est derrière, le rythme est toujours changeant. Une fois à bloc, puis tranquille, encore à bloc, puis tranquille...»
Des équipiers absents
A une question sur le niveau de son équipe Leopard, le Bernois a éludé après l’arrivée: «Elle a fait son boulot !» Cancellara a préféré insister sur la performance des coureurs de Garmin, qui ont gagné par l’entremise du Belge Johan Vansummeren: «Sur le papier, ils avaient la meilleure équipe avec BMC. Ils ont joué leur carte à fond. Ils cherchaient depuis longtemps une victoire de prestige.»
Dans une troublante répétition du Tour des Flandres, Cancellara s’est retrouvé très vite esseulé. Faute des aides attendues (O’Grady, Posthuma), le Suisse a dû se débrouiller tout seul. Un handicap presque insurmontable par beau temps, quand nombre de coureurs sont encore présents à l’avant dans la dernière heure de course. A l’évidence, la nouvelle équipe qu’il a rejoint, en compagnie des frères Andy et Frank Schleck, en quittant Saxo Bank a privilégié dans son recrutement 2010 l’optique des courses par étapes.
«Je me serais arrêté boire un café, ils se seraient arrêtés aussi», a plaisanté Cancellara à propos des adversaires qui ont calqué leur course sur lui. «Ils ne pensaient pas à gagner», a-t-il soupiré sans chercher à alimenter la polémique: «Je comprends leur tactique.»
Le Suisse a évidemment payé sa démonstration de force au GP E3, huit jours avant le Tour des Flandres. Nul, pas même Hushovd qui était pourtant au zénith de sa forme, n’a osé l’affronter directement tant Cancellara, à son meilleur, paraît difficile à battre. Son rush final à l’approche de Roubaix pour prendre la deuxième place, à 19 secondes seulement de Vansummeren, a justifié a posteriori cette stratégie.
«Les favoris ne peuvent pas toujours gagner», a souligné «Spartacus». «Je ne pouvais pas faire plus», a-t-il avancé aussi. «Compte tenu de la situation de la course, c’est comme une victoire pour moi». Mais, Cancellara l’a lui-même rappelé, «les gens se souviennent (seulement) du vainqueur».
Curling
Le Canada est champion du monde
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Le Canada a cueilli un 33e titre mondial. Sur ses terres à Regina, la formation du skip Jeff Stoughton a battu l’Ecosse 6-5 en finale.
le 11 avril 2011, 22h22
LeMatin.ch & les agences
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Agé de 47 ans, Jeff Stoughton remporte une deuxième couronne, quinze ans après un succès déjà acquis face à l’Ecosse. Equipe surprise de ce Championnat du monde, l’Ecosse a mené 3-1 au quatrième end. Mais un coup de trois au cinquième end a permis aux Canadiens de retourner la situation pour la plus grande joie des 8000 spectateurs présents. Regina (Can). Championnat du monde messieurs. Finale: Canada (Steve Gould, Reid Carruthers, Jon Mead, skip Jeff Stoughton) - Ecosse (Michael Goodfellow, Scott Andrews, Greg Drummond, skip Tom Brewster) 6-5.
hockey sur gazon
Le sport qui veut passer à la télé
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Le terrain d’expression des hockeyeurs en herbe aux Jeux de Londres sera teinté de bleu et de rose. La dérive témoigne de l’influence des télévisions dans l’évolution des sports.
Julien Caloz - le 11 avril 2011, 20h39
Le Matin
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Jeux olympiques
2012 Londres
Le nom du hockey sur gazon est désormais une facilité de langage. L’avènement des terrains synthétiques dans les années 1970 avait sauvé les apparences, mais la dernière innovation a définitivement absorbé l’appellation: l’an prochain à Londres, la discipline se pratiquera pour la première fois dans une compétition de niveau mondial sur une surface de jeu ayant une autre couleur que le vert traditionnel.
La décision émane du comité d’organisation des Jeux de Londres (LOCOG), dont les inspirations poétiques se sont déclinées à l’eau de rose. «On voulait innover et donner une nouvelle atmosphère à la discipline», témoigne Martyn Gallivan, directeur des compétitions au sein de la Fédération internationale de hockey (FIH), laquelle a homologué la coquetterie: l’été prochain, 24 sélections nationales rivaliseront sur un revêtement synthétique bleu auréolé de rose.
Le poids de la télévision
Le rafraîchissement de la discipline est impulsé, en amont, par les télédiffuseurs (l’Olympic Broadcasting Services est en charge des retransmissions radiotélévisées des disciplines olympiques). Concrètement, le nouvel éclat de la surface de jeu offrirait un contraste exaltant avec la balle et les lignes blanches.
«Nous avons effectué de nombreuses recherches avec les athlètes et les chaînes de télévision», signale Debbie Jevans, membre du LOCOG. Kelly Fairweather, représentante de la FIH: «Nous tenions à innover dans la présentation du hockey pour assurer encore plus de plaisir aux spectateurs dans le stade, mais également devant leur petit écran.»
Renversement des valeurs
L’influence de la télévision sur le jeu n’est pas nouvelle (lire ci-dessous), mais elle prend une tournure inédite par les temps qui courent. «Les fédérations se sont habituées à recevoir de gros revenus de la part des télédiffuseurs, éclaircit Pierre Morath, historien du sport. Mais avec la crise, le marché s’est rééquilibré et l’on assiste à l’effet inverse. Alors qu’auparavant les fédérations dictaient leurs règles, elles doivent désormais faire les yeux doux pour vendre leur produit. Résultat: certaines disciplines changent leurs fondamentaux pour s’adapter aux exigences des télédiffuseurs car ce sont eux, aujourd’hui, qui font la loi.»
Au service du sport
«Nous ne sommes pas là pour imposer quoi que ce soit, mais pour améliorer le confort de nos téléspectateurs, nuance Massimo Lorenzi, chef des sports de la RTS. Construire un terrain de hockey bleu et rose est excessif et absurde, mais je constate que, depuis quinze ans, la télévision a davantage valorisé le sport qu’elle ne l’a dénaturé. L’exemple le plus significatif est celui du biathlon. Les caméras ont rendu la discipline plus attractive.»
Le sens de la démarche, en règle générale, est encouragé par l’instinct de survie des fédérations sous-exposées médiatiquement. «Sans la télévision, certaines disciplines sont condamnées», clame Lorenzi.
Autres sports que la télévision a remaniés
Golf
Les règles du jeu ont été modifiées peu avant le Masters d’Augusta, qui s’est terminé dimanche soir aux Etats-Unis. L’omniprésence des caméras sur les greens permettait jusque-là aux observateurs de disqualifier un joueur sur la base du ralenti, après que le «coupable» a remis sa carte de score sans se rendre compte de son erreur. Le golfeur, désormais, ne peut plus être battu par la télévision.
Tennis de table
Les balles utilisées par les pongistes lors des Jeux olympiques sont un peu plus lourdes et plus grosses que celles renvoyées lors d’autres compétitions. Cette roublardise ralentit le jeu et permet ainsi aux téléspectateurs du monde entier de suivre l’évolution de la partie plus facilement.
football
La télévision dicte le calendrier des compétitions selon ses propres intérêts. Ainsi, dans le championnat de France, deux rencontres se disputent à un horaire inhabituel (samedi et dimanche soir, 21 h) afin de garantir l’exclusivité aux diffuseurs (Orange et Canal+). Le procédé est identique dans plusieurs championnats européens, où un match de chaque journée est décalé.
Judo
La télévision a rhabillé les judokas. Depuis quelques années, les kimonos des athlètes sont de couleurs différentes: blanc pour l’un, bleu pour l’autre. La distinction permet aux téléspectateurs de suivre le déroulement des combats de manière simplifiée.
Pas de place pour Oscar Freire au Tour de France
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L'Espagnol Oscar Freire ne disputera pas le Tour de France 2011, son équipe Rabobank ayant préféré établir sa sélection pour la Grande Boucle en fonction de Robert Gesink, qui jouera le classement général sur les routes de l'Hexagone. Il n'y aura donc pas de place pour le triple champion du monde espagnol dans l'effectif Rabobank.
"Je ne disputerai pas le Tour. C'est une décision de l'équipe, qui veut tout miser sur Robert Gesink", a confié Oscar Freire au magazine néerlandais NUsport. "Je comprends que l'équipe mise tout sur le général, d'autres équipes le font". Oscar Freire a remporté quatre étapes sur le Tour de France, dont il a ramené le maillot vert du classement par points en 2008. Il ne semble pas être déçu de ne pas avoir été retenu.
"Le Tour est la course la plus ennuyeuse de l'année. Dans les étapes de plaine, on a une échappée et puis un sprint. Et dans les étapes de montagne, on voit toujours les mêmes coureurs devant. Le Tour des Flandres, ça c'est une vraie course", a dit le coureur de 35 ans.
Oscar Freire se dit favorable à une modification du calendrier. "Ce serait bien pour le sport que les classiques aient lieu en été. Le Tour reçoit beaucoup d'attention parce qu'il ne se passe rien d'autre en sport durant l'été", a déclaré Freire.
Liverpool donne la leçon à Manchester City
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Liverpool a donné une leçon de football à Manchester City (avec Vincent Kompany durant les 90 mn), sévèrement battu 3 à 0, lundi soir à Anfield en match de clôture de la 32e journée du championnat d'Angleterre de football.
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L'attaquant Andy Carroll, arrivé au mercato d'hiver en provenance de Newcastle, a été le grand homme du match en réussissant un doublé qui lui permet de se hisser à la troisième place au classement des buteurs (13 buts).
Liverpool reste sixième au classement avec 48 points, à 21 longueurs du leader Manchester United, mais a fait un grand pas vers une qualification pour l'Europa League. Manchester City, qui visait le titre, conserve sa quatrième place avec 56 points mais devra se reprendre très vite s'il veut accrocher une place en Ligue des Champions.
Liverpool, entreprenant dès le début de la rencontre, ouvrait rapidement le score par Carroll (13), d'un tir puissant à ras de terre. City perdait peu après son attaquant Carlos Tevez, blessé à une cuisse, qui était obligé de quitter le terrain.
Les Reds, sur leur lancée, marquaient un deuxième but par Kuyt (34) à la suite d'une belle action collective. Une minute plus tard, Carroll inscrivait son second but de la tête (35). La seconde période de la rencontre était plus équilibrée et sans but. Cet échec pourrait avoir des conséquences à Manchester City et notamment sur l'avenir de l'entraîneur l'Italien Roberto Mancini. (belga)
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Flèche Brabançonne: qui succédera à Rosseler?
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La 51e Flèche Brabançonne (1.HC), trait d'union entre les classiques de pavés et les classiques ardennaises, sera disputée mercredi sur une distance de 200,4 km entre Louvain et Overijse, où l'épreuve se terminera par cinq tours de circuit local de 12,7 km.
Trente-et-une côtes, dont quatre (Hagaard, Herstraat, Ijskelderlaan et Schavei) seront à gravir cinq fois dans le circuit local à Overijse, figurent sur le parcours de la semi-classique brabançonne, dont le podium 2010 était 100 % noir-jaune-rouge.
Sébastien Rosseler, vainqueur ce printemps des Trois Jours de La Panne, s'était imposé devant Thomas De Gendt et Jurgen Van De Walle. Le Verviétois signait la première victoire belge après sept années de succès étrangers, dont un triplé de l'Espagnol Oscar Freire de 2005 à 2007. Edwig Van Hooydonck détient le record de victoires avec quatre bouquets (1987, 1991, 1993 et 1995).
L'ex-sprinter Carl Lewis se lance en politique
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A 49 ans, Carl Lewis a annoncé lundi qu'il se lançait dans la politique en briguant un siège au Sénat de l'Etat du New Jersey où il a grandi et où il réside depuis 6 ans.
Le sprinter américain aux 9 médailles d'or olympiques, dont 4 à Los Angeles en 1984, a expliqué que ses objectifs tournaient autour des enfants, de la famille et des personnes âgées.
"Quand je cours, et vous n'avez qu'à voir mon record, je cours pour gagner", a expliqué Carl Lewis lundi, également 8 fois champion du monde. "Je vais me concentrer sur les enfants, sur l'avenir. Nous ne pouvons pas nous reposer tant que nous ne somme pas sûrs que nos familles ont les moyens de vivre correctement et d'éduquer les enfants ici, et que nos aînés peuvent rester dans leur maisons et peuvent payer leurs frais de santé et pharmaceutiques".
Carl Lewis représentera le parti démocrate pour tenter de prendre la suite du sénateur Dawn Addiego, dans le district de Willingboro, profondément républicain.
;)C'était une montagne ce mec...J'avais la bouche ouverte de le voir courir............:fou::amoureux::amoureux:
3h05 de match: le combat de Rochus à Monte Carlo
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Olivier Rochus s'est qualifié pour le 2e tour du tournoi de tennis sur terre battue de Monte Carlo, épreuve ATP dotée de 2,75 millions de dollars, après un match marathon de 3 heures et 5 minutes, lundi.
Le Belge, 78e mondial et issu des qualifications, s'est imposé 6-4, 5-7, 7-5 face à l'Argentin Juan Ignacio Chela, 42e au classement ATP.
Après s'être adjugé la première manche 6-4 en 1h08, Olivier Rochus a mené 5-4 dans le deuxième set avant de voir Chela revenir et empocher le set 6-4 en 52 minutes. L'Argentin a poursuivi sur sa lancée dans le troisième set, s'offrant deux balles de match à 5-3.
Mais l'Auvelaisien s'est accroché, sauvant au total quatre balles de match et empochant finalement le jeu (5-4). Rochus égalisait ensuite à 5-5 et réalisait le break pour mener 6-5, service à suivre. Il décrochait finalement sa qualification pour le 2e tour du Masters 1000 monégasque sur sa première balle de match.
Olivier Rochus affrontera au tour suivant le Tchèque Tomas Berdych, 7e mondial et exempté du 1er tour grâce à son statut de tête de série N.5.
Ce sera le neuvième face-à-face, le sixème sur le circuit ATP, entre Rochus et Berdych, un joueur que le Belge n'a plus battu depuis le tournoi de Madrid en 2005. Leur dernier duel a eu lieu l'année dernière en Coupe Davis. Berdych s'était imposé 6-3, 6-0, 6-4.
Dakar 2012: un air "africain" au Pérou, en attendant la Bolivie
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Le rallye-raid Dakar, qui traversera pour la première fois le Pérou en janvier 2012, pourrait passer en Bolivie l'année suivante, ont indiqué les organisateurs, pour qui les dunes du sud péruvien vont redonner au rallye un "esprit africain", évoquant la Mauritanie.
"La Bolivie est une possibilité en 2013", a déclaré mardi à des journalistes à Lima le directeur de l'épreuve Etienne Lavigne, soulignant que des équipes de reconnaissance se rendraient en 2012 dans le sud-est bolivien, entre Santa Cruz et la frontière du Paraguay, qui serait la région choisie.
Les organisateurs ont déjà été reçus par le président bolivien Evo Morales. Au Pérou, le Dakar-2012, en provenance d'Argentine (5 étapes) et du Chili (4 étapes), traversera le sud du pays en quatre étapes, de la frontière chilienne à la capitale Lima, et offrira "des terrains de compétition extraordinaires: du sable, des dunes, des étapes de sables grandioses".
"Ce sont des territoires et des étapes un peu africains dans l'esprit, avec des oasis, des dunes très courtes, un peu comme ces petites dunes qu'on trouve en Mauritanie, les barkhanes", a déclaré Etienne Lavigne, qui a officiellement présenté à Lima l'édition 2012, la 4e en Amérique du Sud.
"On peut y tracer des étapes de 400 km en hors piste, avec beaucoup de navigation, du franchissement de difficultés, de cordons de sable. On va avoir beaucoup de sable sur cette édition", entre la première étape argentine, le nord chilien et le Pérou, a-t-il ajouté.
Le tracé exact des étapes péruviennes sera connu en septembre, après validation par les autorités environnementales et du patrimoine du Pérou.
Le projet d'itinéraire prévoit des étapes a Arequipa (à 1000 km au sud-est de Lima), Nazca, Pisco, et Lima, dans des régions du pays comprenant de célèbres réserves naturelles (Paracas) ou des haut lieux archéologiques (lignes de Nazca) protégés.
"Il est déjà arrivé que des projets d'itinéraire ne soient pas retenus, dans ce cas on arrête la compétition plus tôt, où on la fait passer à un autre endroit", a souligné l'organisateur, rappelant que "depuis des années le Dakar ne passe plus par des réserves ou sites protégés".
Pour la deuxième année, le Dakar rachètera une partie de son empreinte carbone, "qui est de l'ordre de 44.000 tonnes d'équivalent carbone", a indiqué Lavigne.
Un "prélèvement" par concurrent -50 euros pour les motos, 100 pour les voitures, 150 pour les camions- et des fonds de l'organisation iront au rachat, pour 150.000 euros, de 12.000 tonnes d'équivalent carbone via l'ONG Greenoxx, qui mène des projet contre la déforestation dans la région de Madre de Dios, dans l'Amazonie péruvienne.
Le Dakar 2012, pour sa quatrième année en Amérique du Sud après 29 éditions en Afrique, partira le 1er janvier de Mar del Plata (Argentine) pour arriver le 15 à Lima, dans un parcours en ligne des côtes de l'Atlantique au Pacifique.
Federer ne perd pas de temps à Monte Carlo
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7S7 mise à jour Roger Federer a fait vite pour devenir le premier joueur à atteindre les huitièmes de finale du tournoi de Monte Carlo en surclassant l'Allemand Philipp Kohlschreiber en deux manches 6-2, 6-1.
Pour son premier match sur terre battue depuis sa défaite en quarts de finale du dernier Roland-Garros, le Suisse a battu pour la sixième fois en six matches un joueur qu'il connaît bien pour partager régulièrement ses séances d'entraînement avec l'Allemand, 32e mondial.
C'était la première fois que les deux joueurs se rencontraient sur terre battue et c'est aussi la victoire la plus expéditive du N.3 mondial face à Kohlschreiber, vainqueur de Novak Djokovic à Roland-Garros en 2009 et quart de finaliste sortant à Monte Carlo. "C'est une bonne reprise, clairement un bon départ dans la saison sur terre battue, a commenté Federer. J'ai pu faire ce que je voulais, j'ai été constant du début à la fin. Je sors de ce match très content et soulagé aussi car ça faisait longtemps que je n'avais plus joué sur cette surface."
Le Suisse, qui n'est "pas venu ici en vacances", s'est ainsi ouvert l'appétit sur le Rocher où il ne se contenterait pas d'une quatrième finale face à Rafael Nadal, après celles perdues en 2006, 2007 et 2008, même s'il convient que l'Espagnol est "l'écrasant favori" pour un septième titre consécutif. En attendant une éventuelle revanche, il rencontrera jeudi le Croate Marin Cilic, l'Italien Potito Starace ou l'Espagnol Pere Riba.
Résultats des matches du tournoi ATP de Monte Carlo, disputés mardi: Simple messieurs (1er tour):
Gilles Simon (FRA/N.16) bat Thomaz Bellucci (BRA) 6-3, 6-2
Feliciano Lopez (ESP) bat Janko Tipsarevic (SRB) 4-6, 6-3, 7-6 (7/4)
Deuxième Tour:
Roger Federer (SUI/N.2) bat Philipp Kohlschreiber (GER) 6-2, 6-1
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Kahn en prison pour... inspirer des mineurs délinquants
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L'ancien gardien de but de l'équipe d'Allemagne et du Bayern Munich Oliver Kahn s'est rendu mardi dans un établissement pénitentiaire pour mineurs dans le cadre d'une opération destinée à réinsérer des jeunes délinquants par le football.
Kahn, 40 ans, est l'un des parrains de l'opération "Coup d'envoi pour une nouvelle vie" soutenue par la Fédération allemande de football (DFB).
Onze jeunes détenus dans six établissements pénitentiaires seront accompagnés par la DFB pour préparer leur sortie et une formation pour devenir entraîneur ou arbitre "facilitant ainsi leur retour dans la société".
Depuis qu'il a mis un terme à sa carrière en 2008, Kahn, réputé autant pour son palmarès que par ses coups de gueule, a créé l'organisation "Tu peux le faire" et se rend dans des écoles et collèges d'Allemagne pour faire profiter les adolescents de son expérience et les inspirer par sa carrière.
O. Rochus n'a pas fait le poids contre Berdych à Monte Carlo
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Olivier Rochus a été éliminé par Tomas Berdych au deuxième tour du tournoi de Monte Carlo, épreuve ATP sur terre battue dotée de 2,45 millions d'euros, mardi.
Après son match marathon de la veille - 3h05 minutes pour venir à bout de 6-4, 5-7, 7-5 de l'Argentin Juan Ignacio Chela en sauvant 4 balles de match au passage -, Olivier Rochus, déjà issu des qualifications, n'a rien pu cette fois contre le Tchèque, 7e joueur du monde et 5e tête de série du tournoi, qui s'est imposé 6-2, 6-3 en 1h46 minutes de jeu.
Plus tôt dans la journée, Xavier Malisse avait été sorti au premier tour, lui, par le 23e joueur du monde, Albert Montanes. L'Espagnol l'a emporté en deux sets: 6-4 et 6-2 face au Courtraisien, 51e mondial. La partie aura duré 1h22 minutes.
Le Barça passe sans forcer
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7S7 mise à jour La qualification, aucun blessé et un but de Messi offrant la victoire 1-0: le FC Barcelone a validé mardi son billet pour les demi-finales de la Ligue des champions à Donetsk face au Shakhtar Donetsk (5-1 à l'aller) de manière idéale avant le clasico chez le Real Madrid samedi en Liga.
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Ce n'était pas le grand Barça, mais un Barça sérieux, sachant qu'il aurait fallu que le Shakhtar l'emporte 4-0 (ou 6-1 etc.) pour se qualifier. Un Barça qui ne s'est créé qu'une poignée de vraies occasions, mais s'est néanmoins imposé pour la première fois à l'extérieur dans un tour à élimination directe de C1 depuis l'arrivée aux manettes de Pep Guardiola à l'été 2008.
Guardiola avait sorti son artillerie
Pour montrer qu'il ne négligeait pas ce match, et qu'il entendait garder ses joueurs concernés avant le "clasico" sur le terrain du Real Madrid samedi en Liga, Guardiola a aligné un onze proche d'une équipe-type, à l'exception d'Afellay préféré à Pedro sur une aile.
Surtout, il y avait Messi. Ne fallait-il pas le ménager ? Niet, a répondu son entraîneur, sortant plutôt Xavi (66e), Piqué (70e) et Villa (75e). Et Messi a marqué, depuis le point de penalty et à l'issue d'un une-deux avec Dani Alves (43e).
Le show Messi
L'Argentin de 23 ans en profitait pour s'arroger seul le record de buts en une saison pour un joueur du Barça, avec 48 buts, soit un de plus que lui-même en 2009-2010 et que le Brésilien Ronaldo en 1996-1997.
Le show Messi aurait pu s'étoffer si son lob avait surpris Pyatov, qui s'emparait du ballon comme au match aller (31e) et si sa passe à Afellay, après avoir remonté le ballon à toute vitesse et effacé deux joueurs, s'était révélée décisive (59e).
Charbon
Si Messi brille, Villa souffre: de mauvais contrôles en duels perdus, de mauvais choix en mauvaises passes, l'ex-Valencian a confirmé sa période difficile. Afellay, lui, n'a pas été étincelant mais s'est montré intéressant par sa vitesse et sa technique. Derrière, Guardiola a bâti une charnière centrale Piqué-Mascherano, pour replacer Busquets dans l'entrejeu, sachant que Mascherano sera suspendu samedi.
Les Ukrainiens voulaient s'inspirer de leurs vingt premières minutes au Camp Nou, lorsqu'ils avaient déstabilisé le Barça par des contres supersoniques aboutissant à plusieurs occasions nettes. Au retour, les "Mineurs" allèrent au charbon pendant le premier quart d'heure, le temps que Douglas Costa, seul face au gardien, ne tire sur Valdés (8e).
Le Barça s'est bien préparé au "Clasico"
Et c'était fini quant à la possession du ballon. Mais comme à l'aller, le Shakhtar se créait quelques occasions nettes, comme le coup franc de Jadson que Valdés allait chercher en lucarne (45+1), la frappe puissante de Mkhitaryan détournée par Valdés (74e) ou l'incroyable raté de Moreno seul devant le but (84e).
Les Espagnols reprenaient inexorablement le contrôle des opérations. D'abord timidement: il fallut attendre la 22e minute pour voir la première frappe catalane. Puis plus fermement, avec notamment ce débordement d'Adriano suivi d'une tentative sauvée sur sa ligne par Shevchuk (31e). Et Messi fermait le ban. (belga/chds)
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Serena Williams annonce son retour à l'entraînement
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L'Américaine Serena Williams, opérée d'une embolie pulmonaire fin février, a annoncé mardi sur Twitter son retour à l'entraînement.
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Son message sur son compte (@serenawilliams) du site de microblogs était accompagné d'une photo d'elle sur un court, vêtue d'une tenue rose brillant au soleil.
Serena Williams, 29 ans, n'a pas dit quand elle ferait son retour sur le circuit WTA. Elle devrait toutefois être prête d'ici le 20 juin pour défendre son titre à Wimbledon.
L'ancienne N.1 mondiale n'a pas joué un match de haut niveau depuis la finale de Wimbledon l'an dernier. Peu de temps après, en juillet, elle s'était coupé au pied droit avec du verre cassé dans un restaurant.
Elle a dû subir deux opérations pour son pied, et en février elle a été victime d'une embolie pulmonaire qui a nécessité son hospitalisation d'urgence à Los Angeles.
Serena Williams a occupé la place de N.1 mondiale pendant 123 semaines. Outre quatre titres conquis sur le gazon anglais, elle a aussi remporté trois US Open, cinq Open d'Australie et un Roland-Garros
ManU peut toujours rêver du triplé
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"Chicharito" Hernandez (ici avec Rooney) a laissé une grosse impression ce soir. © ap
Une équipe collective contre une somme d'individualités: tant à l'aller qu'au retour, la différence a été nette entre Manchester United et Chelsea (2-1, mi-temps: 1-0). Le triplé est loin d'être une utopie pour les Red Devils, leaders en Premier League et qualifiés pour les demi-finales de la Cup (contre Manchester City) et de la Ligue des Champions. Dans l'autre rencontre de la soirée, le FC Barcelone a fait le boulot en s'imposant au Shakhtar Donetsk (0-1, but de Messi).
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Torres n'est plus que l'ombre de lui-même à Chelsea: 0 but ! Il a logiquement été remplacé à la pause. © afp
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Rooney (ici face à Ramires) est toujours dans les bons coups à ManU. © ap
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Ramires a été exclu après l'heure de jeu. © afp
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En inscrivant le second but de ManU, Park a tué les derniers espoirs londoniens. © ap
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A 38 ans (39 en novembre cette année), Giggs (face à Lampard) a toujours la classe. La preuve encore ce soir avec deux assists. © epa
Cliquez ici pour les plus belles images du match (http://www.7sur7.be/7s7/fr/8020/sports/photoalbum/detail/1249968/957685/0/ManU-Chelsea.dhtml)
Cliquez ici pour revivre le match en direct (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1249795/Manchester-United-Chelsea.dhtml)
Drogba sur le banc
Entre Chelsea et Didier Drogba, l'histoire d'amour semble être terminée. Depuis l'arrivée de Torres (0 but en 11 rencontres), l'attaquant ivoirien, arrivé à Londres lors de l'été 2004, est très peu utilisé par Carlo Ancelotti. Et même quand les Blues doivent remonter un but, comme ce fut le cas ce soir suite à la victoire des Mancuniens au match aller (0-1), il n'est pas titulaire (il est monté à la pause). On voit mal comment l'ancien buteur de l'OM pourrait poursuivre son aventure chez les Blues la saison prochaine.
But annulé pour "Chicharito"
Sans être spécialement convaincant et/ou spectaculaire cette saison, ManU possède cette faculté de "piquer" son adversaire au bon moment. C'est la raison pour laquelle les Red Devils peuvent, cette saison, toujours rêver du triplé. Si les Blues contrôlaient les opérations et la possession de balle au cours des 25 premières minutes, avec notamment des occasions pour Anelka (13e et 22e) et Lampard (17e), les Red Devils trouvaient la faille à un moment inattendu. Sur un centre précis de Rooney, "Chicharito" Hernandez plaçait une tête imparable au premier poteau. Hélas pour l'attaquant mexicain, il était légèrement en position de hors-jeu.
But accordé pour "Chicharito"
"Chicharito", c'est de loin l'homme du match de cette première période. Mine de rien, l'une des révélations du Mondial 2010 avec le Mexique a semé la panique dans la défense londonienne. Provoquant les cartons jaunes de Ramires et de Terry, auteur d'un but annulé (lire ci-dessus), Hernandez, plus courageux que jamais, trouvait la faille (43e, 1-0). Giggs avait, au préalable, mâché le travail en offrant un assist de rêve à l'ancien artificier des Chivas. Chelsea avait un genou à terre.
Exclusion de Ramires, la revanche de Drogba
La gestion du match est également l'un des points forts de ManU. Avec deux buts d'avance (un à l'aller et un à la pause), les Mancuniens ne se sont jamais énervés. Et même quand Drogba, monté à la pause en lieu et place de Torres, remettait les siens dans le parcours (76e, 1-1) alors que Chelsea évoluait à dix suite à l'exclusion de Ramires (2x jaunes), il ne fallait que 60 petites secondes aux Mancuniens pour "tuer" les derniers espoirs londoniens. Profitant d'un nouveau "caviar" signé Giggs (le second de la soirée), Park ajustait Cech d'une belle frappe du gauche (77e, 2-1).
Contre Schalke 04 en demi?
Manchester United a toutes les raisons de rêver à une finale de Ligue des Champions à Wembley. En demi, les hommes de Sir Alex Ferguson affronteront, dans la peau du favori, probablement Schalke 04. Les Allemands ont vaincu l'Inter Milan (2-5) à l'aller et devront juste valider leur billet dans le dernier carré de la C1.
Christophe Da Silva
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Jacques Villeneuve, l’étoile filante
Comme Emerson Fittipaldi (1972) ou Lewis Hamilton (2008), Jacques Villeneuve fut sacré champion du monde de F1 au bout de sa deuxième saison de F1. Mais contrairement aux pilotes de Sao Paulo et de Stevenage, le Canadien ne prolongea pas l’euphorie, et dut rester dans l’ombre immense de son père Gilles après son titre acquis en 1997 face à Michael Schumacher.
Né le 9 avril 1971 au Québec, Jacques Villeneuve a onze ans lorsque son père Gilles décède à Zolder, en 1982. Légende de la course automobile, Gilles Villeneuve fut l’idole absolue des tifosi de Ferrari, incarnant le panache dans sa plus belle expression. Le funambule canadien rappelait même l’illustre Tazio Nuvolari à Enzo Ferrari ...
Vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis en 1995, Jacques Villeneuve mène également le championnat IndyCar cette saison là. Avec un nom pareil, le Québécois attire sur lui l’oeil de la presse européenne, malgré l’échec cinglant en 1993 de Michael Andretti chez McLaren. L’Américain, fils de Mario, champion du monde en 1978 avec Lotus, s’était heurté à un Ayrton Senna au pinacle de sa carrière. La F1 est justement orpheline de Senna depuis 1994, lorsque l’archange brésilien est décédé à Imola dans le cockpit de sa Williams-Renault. Le paddock se cherche de nouveaux héros, car malgré sa virtuosité incontestable, Michael Schumacher ne possède pas le charisme suffisant pour remplacer une icône telle que Senna, ambassadeur d’exception pour la Formule 1 aux quatre coins du monde ... Les rumeurs les plus folles commençent donc à surgir en Europe, on parle même du fils de Gilles Villeneuve chez Ferrari pour 1996, avec le fameux numéro 27 qui s’était imposé à Monaco et Jarama en 1981 sur le seul talent de l’acrobate québécois ...
Silverstone, 16 août 1995, Frank Williams décide d’offrir un essai à Jacques Villeneuve sur l’insistance de Bernie Ecclestone. Damon Hill et David Coulthard connaissent la Williams-Renault FW17 ainsi que Silverstone comme leur poche. Les deux Britanniques n’ont aucune raison de faire de cadeau au pilote canadien, car ils savent qu’en cas d’échec l’un d’eux fera place au fils de Gilles Villeneuve pour la saison 1996 ...
Le Canadien passe brillamment le test, et David Coulthard apprend très rapidement qu’il peut faire ses valises dans l’optique de la saison suivante. Le jeune Ecossais trouvera refuge chez McLaren.
Jacques Villeneuve débute donc en F1à Melbourne en1996 chez Williams-Renault en tant que coéquipier de Damon Hill, au volant de la meilleure voiture du plateau, dessinée par Adrian Newey.Ce cas defigure est unique, puisque seul Lewis Hamilton en 2007 avec McLaren-Mercedes a pu débuter comme rookie dans un top team, Ron Dennisn’ayant pas prévu qu’Hamilton serait aussi dangereux pour son prestigieux coéquipier, Fernando Alonso ... Comme Hamilton en 2007, Villeneuvedébute sur les chapeauxde roue ... Sur le circuit de l’Albert Park, le Canadien signe la pole position. La presse québécoise est aux anges: On vous l’avait dit, c’est pas undeux de pique, affirment en choeur les journalistes canadiens ...
En course, le jeune novice de Williams confirme tout son potentiel devant Damon Hill, pourtant présenté comme le favori suprême du championnat puisque Schumacher a décidé de relever le challenge de la Scuderia Ferrari. Hill l’emporte au final mais a compris qu’il ne faudrait attendre aucun cadeau de son jeune coéquipier. Au Brésil, Villeneuve découvre la difficulté de la pluie en F1 ...
Mais le Canadien fête sa première victoire au Nürburgring dès son quatrième Grand Prix, en ayant résisté au double champion du monde allemand Michael Schumacher.
Battu par Damon Hill sur l’ensemble de la saison, Villeneuve enlève tout de même de beaux succès: Silverstone, Budapest, Estoril ...
Sa victoire au Portugal est un modèle de panache, avec un dépassement sur le Kaiser par l’extérieur qui bluffe ses mécaniciens de Williams ... Ces derniers avaient parié avec le jeune Canadien qu’il était utopique de tenter ce genre de manoeuvre sur le circuit lusitanien. Mais JacquesVilleneuve va leur montrer quel sang coule dans ses veines, celui de Gilles, et l’impossible va devenir possible, le pilote Williams prouve là qu’il est bien plus qu’un rookie prometteur sorti de l’adolescence.
Avec cette victoire à Estoril, Villeneuve pousse son coéquipier Damon Hill au duel jusqu’à la dernière manche de la saison, à Suzuka. Vainqueur au Japon, l’Anglais remporte une couronne mondiale méritée.
En 1997, Villeneuve passe du statut d’outsider à celui de favori. Damon Hill parti chez Arrows, le Canadien retrouve un nouveau coéquipier en la personne de Heinz-Harald Frentzen, espoir allemand jadis coéquiper de Schumacher chez Mercedes en sports-prototypes. Très prometteur chez Sauber, le pilote de Mönchengladbach ne va cependant pas gérer la pression d’un top team. A l’exception d’une victoire à Imola et d’une pole position à Monaco, le rendement de Frentzen sera faible en 1997. Le destin de Williams va reposer sur les seules épaules de Villeneuve. Orpheline d’Adrian Newey parti suite à un désaccord avec Patrick Head et Frank Williams, l’écurie de Didcot se retrouve avec une FW19 bien née mais très complexe à régler, seul le génial ingénieur, dont le talent est digne des Forghieri, Chapman ou autres Murray, étant capable de fournir les explications nécessaires ... De son côté, le pilote canadien fait plier à sa volonté le dictatorial Patrick Head, qui avait usé des dinosaures tels que Nelson Piquet ou encore Alain Prost. Frank Williams autorise même son pilote à continuer sa passion du ski par une clause spécifique du contrat les liant!
Dans ce contexte délicat où Williams n’a plus Newey au gouvernail, Jacques Villeneuve multiplie les pole positions mais aussi les ratés. Sa volonté reste cependant admirable, comme le démontre sa victoire en Argentine. Malgré une intoxication alimentaire, le Canadien se surpasseà Buenos Aires et décroche la victoire.
Mais Williams se fourvoie à plusieurs reprises tactiquement, sur le choix de pneus à Monaco ou Spa Francorchamps sous la pluie, ce qui favorise l’émergence du rival principal qu’est Michael Schumacher, clé de voûte du renouveau de la Scuderia Ferrari. L’écurie se fourvoie aussi techniquement par exemple à Hockenheim où Villeneuve n’obtient qu’un médiocre neuvième chrono sur la grille de l’autodrome allemand. Enfin, le pilote n’est pas exempt de tout reproche, avec des erreurs de pilotage comme à domicile, au Canada, sur le circuit Gilles-Villeneuve ... Le leader de Williams part à la faute dès le deuxième tour, dans le mur, à la poursuite du diable rouge Schumi qui gagnera sur l’Ile Notre-Dame ce jour là.
Deux semaines plus tard, Jacques se teint en blond à son arrivée dans le paddock de Magny-Cours. Indocile et espiègle, le petit Canadien se fait traiter de rebelle, d’anticonformiste mais il assume ses choix et son franc-parler. Féru de vitesse et d’adrénaline, Villeneuve critiquement ouvertement la FIA et Max Mosley quant aux choix techniques radicaux effectués dans l’optique de 1998 ...
Du haut de sa tour d’ivoire, Mosley guette le moment opportun pour punir le jeune blanc-bec. Ce sera chose faite au Japon, où Villeneuve perd les points de la cinquième place et la tête du classement au profit de Michael Schumacher avant l’ultime course, le Grand Prix d’Europe.
Comment est-il possible, étant donné la supériorité intrinsèque de la Williams, qu’on en soit arrivé là? Villeneuve n’a pas su tuer le match dans l’oeuf là où Schumacher a tiré la quintessence de son bolide écarlate, récoltant des points comme un épicier là où il était impossible de faire mieux, avant de piloter avec panache quand la victoire était à sa portée, comme en Principauté de Monaco, à Suzukaou dans les Ardennes belges, sur lestrois juges de paix de la F1. Pourtant, le Canadien a été chanceux en de multiples occasions ... à Interlagos où un second départ a été donné pour sauver l’enfant du pays, Rubens Barrichello ... à Silverstone où Schumacher et Häkkinen étaient mieux placés que lui avant d’abdiquer ... à Budapest où l’infortune frappa Damon Hill qui passa fort près d’un exploit ... à Spielberg où Jarno Trulli aurait tant mérité de gagner ... au Nürburgring où les deux McLaren dominaient les débats avant de casser leurs moteurs respectifs ... Ce double abandon des flèches d’argent offre une succès inespéré au Canadien. Mais les victoires de Villeneuve apparaissent bien pâles face aux exploits retentissants du pilote allemand.
A Jerez, le Canadien distribue les rôles avec Schumacher. Il est lebon, l’Allemand est le méchant. Villeneuve parle de Macao 1990, d’Adelaïde 1994 ... les sourires sont de façade aumoment de la poignée de mains, pour deux pilotes qui se détestent cordialement, chacun étant persuadé d’être meilleur que l’autre... Au paroxysme de la tension, l’atmosphère est électrique en Andalousie. Villeneuve signe une pole en 1’21"072 mais Schumacher et même Frentzenréalisent le même chrono au millième de seconde près ... L’Allemand de Ferrari prend le meilleur départ mais Villeneuve, bien que gêné parla Sauber de Norberto Fontana, parvientà recoller aux basques de son rival. Le Québécois joue son va-tout au 48e tour, plongeant à l’intérieur du virage de Dry Sack dans unfreinage kamikaze ... Schumi a un mauvais réflexe et tente de harponner son challenger. La Ferrarireste dans le gravier tandis que la Williams survit au choc ... Villeneuve laisse ensuite passer les McLaren Mercedes de Häkkinen et Coulthard, en contrepartie de l’aide fournie en début de course.
Larupture définitive avec le Baron Rouge intervient en soirée. Retrouvant Corinna et Michael Schumacheren discothèque, Villeneuve se laisse prendre en photo avec le couple ... Quelques jours plus tard, la presse publie les clichés avec ce commentaire de Schumacher: Villeneuve ne m’en veut pas, la preuve nous avons fait la fête ensemble le soir de la course.
A compter de ce jour, Villeneuve perd tout respect pour Schumacher, et niera toujours l’incontestable talent du pilote allemand, virtuose reconnu et plébiscité par tous comme le digne héritier d’Ayrton Senna.
En 1998, McLaren écrase de nouveau la F1 tandis que Williams est orpheline de Renault. Le V10 Mecachrome, figé dans son développement, est trop faible face au V10 Mercedes. Et Williams se fait dépasser par Ferrari dans le clan Good Year, le manufacturier américain décidant de faire de l’écurie italienne sa priorité pour lutter contre Woking, fer de lance du clan Bridgestone.
Au courage, Villeneuve termine premier du championnat B, soit cinquième au final derrière Häkkinen, Schumacher, Coulthard et Irvine. Après trois ans, son chapitre Williams se clot sur un titre mondial des pilotes, 11 victoires et 13 pole positions.
Car le Québécois, comme Emerson Fittipaldi en 1976, a décidé de relever un défi colossal. Villeneuve fonde l’écurie BAR avec Craig Pollock, son ancien professeur de sport en Suisse, devenu son manager depuis les années Indy.
Adrian Reynard est au dessin, mais la campagne 1999 est une véritable Berezina, un gouffre sans fond dans lequel le Canadien plonge ... Comme Fittipaldi avec Copersucar, Villeneuve va gâcher sa carrière dans ce projet trop ambitieux ...
Le moteur Supertec vendu par Flavio Briatore est l’arbre qui cache la forêt, mais BAR finit très loin des deux autres écuries propulsées par l’ancien V10 Renault, à savoir Williams et Benetton. BAR rentre bredouille de sa première campagne en 1999.
En 2000, BAR se tourne vers Honda, Villeneuve marque les premiers points de l’équipe en ouverture en Australie. Le Canadien offre un festival de pilotage dans son Grand Prix national, à Montréal.
En 2001, BAR stagne même si Villeneuve retrouve le podium pour la première fois depuis Budapest en 1998. 3e à Barcelone et Hockenheim, le Canadien est toujours l’élément moteur de l’équipe BAR, qui s’est fait piéger par Honda. BAR a perdu l’exclusivité du moteur japonais puisque Jordan a rejoint le clan Honda ...
Face à RicardoZonta et Olivier Panis, coéquipiers sans envergure de 1999 à 2002, Villeneuve entretient une illusion de puissance. Le réveil sera difficile en 2003.
Le premier obstacle de taille sera David Richards. Craig Pollock quitte le navire et Villeneuve va connaître des problèmes relationnels importants avec l’ancien directeur de compétition de Subaru en rallye. L’ambiance est volcanique entre Richards et Villeneuve, qui de surcroît se retrouve dominé par son nouveau coéquipier, Jenson Button.
Ayant traité l’Anglais de play-boy, Villeneuve ne soutient pas la comparaison avec Button, injustementremercié de chez Renault au profit d’Alonso, alors que l’Anglais avait dominé copieusement Jarno Trulli en 2002 dans l’écurie du Losange.
Villeneuve ne termine même pas l’année 2003 chez BAR, laissant son baquet à Takuma Sato pour l’ultime manche à Suzuka.
Le Canadien prend une année sabbatique en 2004. A l’été 2004, Jacques rend hommage à son père Gillesau Festival of Speed de Goodwood. Dans ce sanctuaire dédié à la vitesse, Jacques pilote la Ferrari 312 T3 de 1978, celle qui avait offert à Gilles son premier succès en F1, au Canada. A cette occasion, Jacques a repris le casque rouge et noir de son père. Félicité par René Arnoux, Jacques est donc sorti exceptionnellement de son silence, lui qui avait toujours refusé de parlerdeson illustre père, devenu comme Ayrton Senna, Ronnie Peterson, Jim Clarkou Jochen Rindt un mythe absolu de la vitesse. Ainsi, à son arrivée en F1, Jacques avait défrayé la chronique par une déclaration désarmante de franchise: C’est pour moi que je cours, pas pour honorer la mémoire de mon père. Quelque soit mon propre niveau de réussite en F1, il ne dépassera jamais celui de mon père, tant son souvenir est présent dans la mémoire des passionnés ...
Orphelin de père à onze ans, interné dans un collège suisse où il avait rencontré Craig Pollock, suivi par son tuteur Patrick Tambay (ami de Gilles, qu’il avait rencontré en Amérique du Nord au milieu des années 70), Jacques avait donc rapidement succombé à la passion de la vitesse, au grand dam de sa mère Joann. Passé par l’Italie, le Japon puis l’Amérique du Nord, Jacques Villeneuve avait finalement conquis l’Europe et le monde en 1997, avant de rentrer dans une ère de disette.
Sa carrière sportiveest donc entre parenthèses en cette saison 2004...
La chance vient frapper à sa porte en fin de saison quand Jarno Trulli claque la porte du Renault F1 Team. Les relations se sont détérioriées entre le pilote toscan et Flavio Briatore. Ce dernier reproche à Trulli son manque de combativité au dernier tour du Grand Prix de France. Dépassé dans les derniers hectomètres par la Ferrari de Barrichello, Trulli a gâché la possibilité d’un podium avec deux Renault à domicile ...
Le pilote italien quitte le Losange avant même la fin 2004 pour rejoindre son futur employeur, Toyota.
Briatore sacrifie la course au championnat pour faire un coup marketing. BAR sera finalement le dauphin de Ferrari en 2004. Ironie du destin, l’équipe Brisith American Racingdécolle l’année où Villeneuve partsous d’autres horizons ...Chez Renault, plutôt que de titulariser le pilote essayeur Franck Montagny pour les trois dernières manches (Shanghaï, Suzuka et Interlago), Briatore préfère faire unbeau coup de publicité à Renault. L’écurie de Enstone/Viry recrute donc l’ancien champion du monde.
Torpillé par son jeune coéquipier espagnol FernandoAlonso, Villeneuve comprend tout d’un coup que les années ont passé.
En 2005, le Québécois trouve refugechez Sauber avec FelipeMassa comme coéquipier. Villeneuve ne brille pas particulièrement mais reste chez Sauber pour 2006. L’écurie suisse se retrouve phagocytée par BMW. Massa part chez Ferrari en remplacement de Barrichello. Nick Heidfeld est le nouveau coéquipier de Jacques Villeneuve. Le Canadien ne terminera pas2006 chez BMW, évincé au profit de Robert Kubica. Le jeune espoir polonais confirme tout son talent dès sa troisième course en F1, terminant sur le podium de Monza derrière Schumacher et Räikkönen. En 2007, Villeneuve se retrouve sans volant. Après avoir passé tant d’années à négliger la F1, le Canadien comprend subitement qu’il aime ce sport profondément ... Mais les années ont passé et malgré des tentatives de come-back (Durango, Stefan GP), Jacques Villeneuve a un goût d’inachevé en se retournant vers le passé ...
TENNIS
Tournoi de Monte Carlo: Nadal détruit Nieminen, Federer face à Cilic
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Rafael Nadal
Pas de problème pour Rafael Nadal au 2e tour du Masters 1000 de Monte Carlo. La Majorquin s’est aisément qualifié pour les 8es de finale en dominant le Finlandais Jarkko Nieminen 6-2 6-2 en 69 minutes.
le 13 avril 2011, 16h24
LeMatin.ch & les agences
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Sextuple tenant du titre, le no 1 mondial est plus que jamais en course pour s’imposer une septième fois de suite sur le Rocher et ainsi établir un nouveau record à l’ATP.
Solide et puissant, l’Espagnol n’a même pas laissé les miettes au 59e joueur mondial. Nadal en découdra avec le Français Richard Gasquet (no 13), facile tombeur de l’Espagnol Guillermo Garcia-Lopez sur le score de 6-2 6-1.
Roger Federer, très à l’aise mardi face à Kohlschreiber, connaît lui le nom de son prochain adversaire. Le Bâlois (no 2) affrontera le Croate Marin Cilic (no 15), qui n’a pas dû puiser dans ses batteries pour venir à bout de l’Ibère Pere Riba (5-2 puis abandon).
Le no 22 mondial n’a rencontré qu’une seule fois Federer depuis ses débuts professionnels en 2005, lors du tournoi de Paris-Bercy en 2008. Le Rhénan s’était imposé 6-3 6-4 dans ce match comptant, là aussi, pour les 8es de finale.
FOOTBALL
Lionel Messi pulvérise les records
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Lionel Messi
Lionel Messi a écrit une nouvelle page des 112 ans d’histoire du FC Barcelone. En inscrivant son 48e but de la saison (en 46 matches!) mardi soir, le génie argentin est devenu le meilleur buteur du club catalan en une seule saison.
le 13 April 2011, 15h15
LeMatin.ch & les agences
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L’an dernier, l’attaquant du Barça avait égalé le record détenu par Ronaldo (47 buts lors de la saison 1996/1997). «La puce» a donc fait mieux que confirmer les chiffres de la saison dernière. Et dire qu’il lui reste encore 7 matches de championnat, la finale de Coupe du Roi, et au minimum deux matches de Ligue des champions...
En 28 matches de Liga, le double ballon d’or a inscrit 29 buts. A cela viennent s’ajouter 7 réalisations en Coupe du Roi et 3 en Supercoupe d’Espagne. Le prodige argentin est également en tête des buteurs en Ligue des champions avec 9 réalisations. Si on prend compte les parties disputées avec la sélection argentine (3 buts en 6 matches), le double ballon d’or a fait trembler 51 fois les filets en 52 rencontres!
En inscrivant son 49e but, Messi deviendrait le joueur à avoir marqué le plus de buts dans la même saison avec un club espagnol. Il dépasserait le légendaire Telmo Zarra, qui avait fait trembler les filets à 48 reprises avec l’Athletic Bilbao lors de la saison 1950/1951.
tennis
Rose, telle la panthère
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Absente des courts depuis neuf mois, Serena Williams a repris l’entraînement dans une combinaison intégrale moulante.
le 13 avril 2011, 20h25
Le Matin
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«Bonne nouvelle, les gars… Je vous envoie une photo… Tenez-vous prêts», écrivait Serena Williams à ses fans. Il faut désormais se rendre sur le réseau social Twitter pour obtenir des nouvelles de la championne.
Mardi, l’Américaine y annonçait qu’elle avait effectué son premier entraînement depuis qu’elle a été opérée d’une embolie pulmonaire. Quelques minutes plus tard, la photo était en ligne. Sur le document, l’ex-No 1 mondiale exerçait son service dans une combinaison intégrale rose aussi étonnante que moulante.
Eloignée de la compétition depuis son sacre à Wimbledon 2010, Williams n’a visiblement pas l’intention de précipiter son retour au jeu et de courir le risque de contracter un nouveau bobo.
Blessée à un pied après avoir marché sur un morceau de verre en juillet, elle avait rechuté en octobre pour avoir trop forcé. Contrainte de porter un plâtre pendant dix semaines, elle avait ensuite suivi un traitement qui est peut-être à l’origine des caillots de sang qui se sont formés dans ses poumons.
C’est probablement la raison pour laquelle Serena Williams n’a pas voulu indiquer de date pour son retour sur le circuit. Son objectif devrait cependant d’être opérationnelle pour Wimbledon.
football
Les Ibères seront chauds
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Les joueurs de Porto en pleine forme hier à l’entraînement à Moscou. Les Portugais ont gagné le match aller face au Spartak 5 à 1. AFP/Alexander Nemenov
La péninsule Ibérique est bien représentée en quarts de finale de Ligue Europa.
le 13 avril 2011, 20h27
LeMatin.ch & les agences
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Ligue Europa quarts de finale (retour)
Avec trois clubs portugais et une équipe espagnole en ballottage favorable avant les quarts de finale retours de la Ligue Europa de football, qui seront joués ce soir, la péninsule Ibérique est bien placée pour truster toutes les places dans le dernier carré de la compétition.
Le FC Porto se déplace en Russie pour y affronter le Spartak Moscou, qu’il a surclassé (5-1) il y a une semaine, tandis que Benfica rend visite au PSV Eindhoven avec l’avance de trois buts du match aller (4-1). De son côté, le club espagnol de Villarreal sera favori sur le terrain des Néerlandais de Twente, écrasés (5-1) en Espagne. Enfin, Braga, le troisième représentant portugais, s’il n’a pas gagné la semaine dernière sur la pelouse de Kiev (1-1) a cependant fait un grand pas vers la qualification avant de recevoir les Ukrainiens.
Si tout se déroule suivant leurs vœux, les trois formations portugaises se retrouveront en demi-finales, avec à la clé un duel fratricide entre Benfica et Braga.
Le but inscrit à l’extérieur laisse une petite chance au PSV Eindhoven, même si ce dernier n’est pas particulièrement performant à domicile sur la scène européenne avec seulement deux victoires et deux nuls.
Improbable exploit
Reversés en Ligue Europa après avoir terminé à la troisième place de leur poule lors de la phase de groupe de la Ligue des champions, le Spartak Moscou et Twente s’attaquent à un improbable exploit. Il leur faudra, en effet, marquer au moins quatre buts pour renverser la situation.
Longtemps dans le match à Porto, les Moscovites avaient explosé en seconde période devant la supériorité tactique des Portugais et l’efficacité de Falcao, auteur de trois buts et meilleur buteur de la compétition avec dix réalisations.
De son côté, Villarreal paraît grandement en mesure de gérer son avance. Twente a tout de même une faible lueur d’espoir en raison de l’absence du Brésilien Nilmar, qui lui avait fait beaucoup de mal à l’aller en inscrivant deux buts. En cas de qualification, Porto et Villarreal seront opposés au tour suivant.
La chronique de Séb
Sébastien Buemi: «J’aime bien le circuit de Shanghai»
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Sébastien Buemi
Dans l’intimité de Sébastien Buemi, pilote suisse de F1.
Sébastien Buemi - le 13 avril 2011, 21h53
Le Matin
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Bonjour à tous,
A peine le GP de Malaisie est-il terminé que nous voilà déjà à Shanghai.
A Sepang, dimanche dernier, je n’ai malheureusement pas marqué de point. Mais si l’on tient compte des circonstances, je crois que je peux me montrer relativement satisfait.
Le plus important, c’est de battre son coéquipier. A Sepang, je me suis qualifié devant Jaime ( ndlr: Alguersuari ), et j’ai terminé la course loin devant lui. Ce n’est donc pas si mal. La voiture était assez compétitive. Je n’ai changé de pneus que deux fois, ce qui m’a obligé à rouler sur des gommes très usées sur la fin.
Mon plus gros problème, à Sepang, c’était ma pénalité pour excès de vitesse. Bien sûr, j’ai roulé trop vite dans les stands, à cause d’un problème avec le bouton du limiteur. Mais les commissaires ont été très sévères, il y avait des années qu’on n’avait plus vu une pénalité de 10 secondes.
Sans cette pénalité, je pense que je pouvais marquer un ou deux points . Après les 4 points d’Australie, ça aurait été fantastique. J’espère que je vais y arriver dimanche. J’aime bien ce circuit de Shanghai, j’y ai gardé un bon souvenir de 2009, quand j’avais marqué des points.
A bientôt.
football
Le clasico en demi-finales
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Mesut Oezil, Xabi Alonso, Alvaro Arbeloa, Cristiano Ronaldo et Emmanuel Adebayor (de g. à dr.) après l’unique but de la rencontre.
Le Real Madrid rencontrera Barcelone en demi-finales de la Ligue des champions.
le 13 April 2011, 23h28
LeMatin.ch & les agences
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Ligue des champions Londres
Tottenham - Real Madrid
0-1 (0-0)
Comme Barcelone la veille, le Real Madrid a obtenu aisément sa qualification pour le dernier carré de la compétition. Les hommes de José Mourinho se sont imposés 1-0 à White Hart Lane contre Tottenham, grâce à un but de Ronaldo (50e) facilité par une horrible erreur du gardien Gomes.
Bien entendu, l’essentiel du travail avait été accompli au match aller, avec le succès 4-0 des Merengue. Renverser une telle situation défavorable s’apparentait à une mission impossible pour les Spurs, malgré les déclarations optimistes ou rêveuses du manager Harry Redknapp.
Dans les faits, son équipe n’a jamais semblé en mesure de remettre en question l’issue de cette double confrontation finalement très déséquilibrée. La maladresse coupable de Pavlyuchenko, qui a manqué deux grosses occasions (27e/58e), n’a pas aidé la formation londonienne, qui n’a pas retrouvé l’explosivité et l’efficacité démontrées lors de la phase de groupes. Un brin de malchance l’a empêchée d’éviter la défaite, avec une tête de Defoe sur le poteau (74e).
Le Real a tout de suite montré ses intentions, en pressant les Anglais très haut dans leur camp et en se montrant menaçants en plusieurs circonstances. En face, Bale, auteur de plusieurs actions tranchantes sur le flanc gauche, causait quelques soucis à la défense espagnole. Le Gallois n’était cependant pas impliqué sur la meilleure occasion de Tottenham en première période, créée par Lennon et galvaudée par Pavlyuchenko (27e). Pour sa part, le Real frôlait l’ouverture du score sur une tête de Ramos bien sortie par Gomes (37e).
Premier succès depuis l’an 2000
Le portier brésilien se montrait beaucoup moins inspiré peu après la reprise, en laissant échapper une frappe de Ronaldo. Ce but mettait un terme aux dernières illusions des Spurs non pas de qualification, mais au moins de remporter la rencontre. Tottenham a ainsi subi sa première défaite at home de la saison sur la scène européenne. Quant au Real, il a obtenu son premier succès à l’extérieur en Ligue des champions dans la phase à élimination directe depuis l’an 2000.
Seul point négatif côté madrilène, la suspension de Carvalho pour la demi-finale aller contre le Barça: le défenseur portugais a écopé d’un carton jaune qui le privera de ce duel si alléchant.
L'Inter perd sa couronne, Schalke dans le dernier carré
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L'Inter Milan a abandonné sans gloire sa couronne européenne en concédant mercredi sa deuxième défaite (2-1) en une semaine face à Schalke 04 qui disputera, sans complexe, pour la première fois de son histoire les demi-finales de la Ligue des champions.
Après sa déroute de l'aller (5-2), il aurait fallu un miracle ou, tout au moins, un exploit inédit dans l'histoire de la compétition pour que l'Inter accède au dernier carré. Mais les supporteurs des champions d'Italie n'ont vu le commencement ni de l'un ni de l'autre et ont très vite constaté que leur équipe était résignée. Alors qu'on les attendait impatients d'en découdre et surmotivés, les hommes de Leonardo ont attendu la 13e minute pour prendre pour cible Neuer, et encore sur une frappe molle de Sneijder.
En face, Schalke 04, avec les puissants Papadopoulos et Matip en milieu de terrain, avec Sarpei, Metzelder, de retour avec un masque de protection, et Höwedes en défense, se régalaient et bouchaient sans mal le moindre trou. L'Inter dominait territorialement, mais sans poser de problèmes au club de la Ruhr, à l'image de cette série de quatre corners consécutifs inoffensifs après vingt minutes de jeu. Très sûrs d'eux, les joueurs de Schalke, modestes 9e de leur Championnat, aggravaient la frustration de leurs adversaires avec une série de passes saluée par leur public, aux anges.
La situation commençait même à agacer le Brésilien Lucio, de retour de suspension, qui perdait son calme à la 30e minute sur une provocation de Raul et explosait de rage devant l'arbitre. Stankovic cadrait un tir (35), mais Neuer détournait. La situation des Italiens empirait en fin de première période lorsque Raul, lancé en profondeur par Jurado, dribblait la défense et Julio Cesar pour inscrire son 5e but de la campagne, le 71e de sa carrière en C1. De retour des vestiaires, l'Inter égalisait par Thiago Motta (49) suite à un cafouillage devant le but de Neuer, mais il en fallait plus pour faire perdre son calme à Schalke 04, vainqueur contre le même adversaire de la Coupe de l'UEFA 1997.
Après avoir découragé des Milanais bien éprouvés physiquement, les Allemands les crucifiaient à la 81e minute sur une superbe inspiration de Raul qui lobait la défense pour Höwedes, sous les yeux de Alex Ferguson, l'entraîneur de Manchester United, adversaire de Schalke en demi-finales. "On a vu sur les deux matches la potentiel qu'à cette équipe. On voulait absolument gagner ce match", a souligné Metzelder. "C'est une soirée historique, nous sommes très fiers de cette équipe", a renchéri Horst Heldt, le directeur sportif du 4e club allemand demi-finaliste de la Ligue des champions.
Moins d'un mois après sa nomination en remplacement de Magath, Rangnick est déjà entré dans l'histoire de son club en lui offrant un choc contre Manchester United dans la dernier carré de la C1 à sa troisième tentative après 1959 et 2008. Son homologue de l'Inter Leonardo peut invoquer la malédiction des tenants, puisqu'aucun vainqueur de la Ligue deschampions n'est parvenu à conserver son titre. Le Brésilien n'a surtout pas fini, surtout si ses déboires en Série A continuent, d'entendre les comparaisons avec le déjà légendaire Jose Mourinho. (afp/mb)
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13/04/11 23h16
Tour de Castille: Ventoso s'adjuge la première étape
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L'Espagnol Francisco Ventoso (Movistar) a remporté mercredi au sprint la première étape du Tour de Castille et Leon, disputée sur 174,4 kilomètres entre Medina de Rioseco et Palencia, tandis qu'Alberto Contador, le grand favori, est arrivé 15e.
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Ventoso a devancé sur la ligne d'arrivée l'Italien Manuel Belletti (Colnago-CSF Inox) et le Slovène Marco Kump (Geox), qui ont terminé l'étape dans le même temps que le vainqueur, en 4 heures, 12 minutes et 57 secondes.
L'Espagnol Alberto Contador (Saxobank), invaincu en Espagne depuis le début de la saison, s'est classé 15e, lui aussi dans le même temps, après avoir crevé deux fois au cours de l'étape.
Vainqueur du Tour de Murcie puis du Tour de Catalogne, après une 4e place au Tour de l'Algarve au Portugal, immédiatement après la levée de sa suspension pour dopage, Contador poursuit à domicile son tour de chauffe avant le Giro (7 au 29 mai), son premier grand objectif de l'année.
L'étape a été marquée par l'échappée d'un groupe de sept coureurs qui ont réussi à prendre presque 12 minutes d'avance sur le peloton.
L'écart a commencé à diminuer à une cinquantaine de kilomètres de l'arrivée, les coureurs de Saxobank et de Sky prenant alors la tête du peloton pour finalement neutraliser l'avance des premiers à cinq kilomètres de l'arrivée.
La bataille finale s'est jouée à moins de 50 mètres de l'arrivée, Ventoso parvenant à s'imposer à l'arraché sur la ligne. La deuxième étape sera disputée jeudi sur 213 km entre Valladolid et Salamanque.
Gilbert remporte la Flèche Brabançonne
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© belga
7S7 mise à jour Alors qu'ils se sont retrouvé ensemble, à deux, pour les 14 derniers kilomètres, Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté la 51e édition de la Flèche Brabançonne (1. HC.) devant Bjorn Leukemans (Vacansoleil-DCM), mercredi à l'issue des 200,4 km entre Louvain et Overijse.
Les deux hommes avaient en effet faussé compagnie à leurs 5 autres compagnons d'échappée à 14 km de l'arrivée. Le Belge Romain Zingle (Cofidis) a pris la 3e place devant les Néerlandais Johnny Hoogerland (Vacansoleil), 4e et Bram Tankink (Rabobank), 5e.
La bonne échappée du jour s'était formée à une quarantaine de kilomètres de l'arrivée avec donc Bjorn Leukemans, Jonnhy Hoogerland, Philippe Gilbert, Anthony Geslin, Bram Tankink, Dries Devenyns (finalement 6e) et Romain Zingle (7e).
Au sprint
Les 7 hommes ont alors sans cesse creusé l'écart qui approchera la minute 30 lors des cinq tours du circuit local (12,7 km) ponctuant cette classique, véritable trait d'union entre les épreuves pavées et les classiques ardennaises.
A 14 km du but, Bjorn Leukemans a plaçé une puissante attaque à laquelle seul Philippe Gilbert a pu répondre. Les deux coureurs se sont entendus pour collaborer jusqu'à l'arrivée où ils se sont disputés la victoire au sprint. Vainqueur l'an dernier, Sebastien Rosseler (RadioShack), malade, avait renoncé à prendre le départ.
Une Bugatti et un anniversaire à 3 millions pour Roberto Carlos
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Son cadeau? Une Bugati Veyron d'une valeur de 900.000€?
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Roberto Carlos n'oubliera pas ses 38 ans. © afp
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Le rappeur Flo Rida.
Roberto Carlos n'est pas prêt d'oublier ses 38 ans. Pour son anniversaire, Suleiman Kerimov, le président multimillionnaire d'Anzhi Makhachkala (le club où évolue aussi Mbark Boussoufa), a organisé une fête en son honneur dans un nightclub branché de Moscou.
1 million pour Flo Rida
Coût de la fiesta? 3 millions d'euros, soit des "miettes de pain" pour Suleiman Kerimov. Il a déjà fallu 1 million d'euros pour la seule présence de Flo Rida, l'un des rappeurs américains les plus branchés du moment.
Kuranyi, Chapman...
Kevin Kuranyi (Dinamo Moscou et ex-Stuttgart) et Anna Chapman, "l'espionne russe 90-60-90" étaient également invités à l'anniversaire de Roberto Carlos.
Une Bugatti Veyron: 900.000€
Cerise sur le gâteau: Roberto Carlos a reçu un joli petit cadeau en prime: une Bugatti Veyron d'une valeur de 1,25 million de dollars (soit 900.000€). Très généreux, Suleiman Kerimov a promis le même bolide à tous les joueurs si Anzhi Makhachkala devient champion dans les quatre prochaines années. (chds)
Stoner27
14/04/2011, 07h50
j'aime pas la couleur!:yes:
j'aime pas la couleur!:yes:
;)Et le cendrier est beaucoup trop petit:D:D:D
Stoner27
14/04/2011, 08h39
;)Et le cendrier est beaucoup trop petit:D:D:D
sais même pas si il y a un porte canette:yes:
Boussoufa prend la pose avec Flo Rida à Moscou
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Mbark Boussoufa était présent à la soirée d'anniversaire à 3 millions d'euros de son coéquipier Roberto Carlos (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1510/Football-Etranger/article/detail/1250338/2011/04/13/Une-Bugatti-et-un-anniversaire-a-3-millions-pour-Roberto-Carlos.dhtml). Le médian d'Anzhi Makhachkala en a profité pour prendre la pose avec l'invité de marque de l'évènement, le rappeur Flo Rida, dont la présence aurait coûté 1 millions d'euros!
1.000 euros la nuitée
Le défenseur brésilien s'est vu offrir une Bugatti Veyron, d'une valeur d'un million d'euros. Il s'agit de la voiture la plus rapide et la plus chère sur le marché. Les joueurs ont passé la nuit dans une suite de luxe de l'hôtel Metropol à Moscou. Coût d'une nuitée? 1.000 euros... Le tout financé par le multi milliardaire Sulejman Kerimov, président du club du Daguestan. (mb)
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© afp
:langueŽ:Ca me fait vomir ces tordus..............
tennis
Monte-Carlo: Federer et Nadal prennent le quart
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Image © Keystone
Federer affrontera en quart de finale le vainqueur du match opposant Jürgen Melzer (ATP 9) à Nicolas Almagro (ATP 12).
Roger Federer et Rafael Nadal se sont qualifiés sans trembler pour les quarts de finale du tournoi de Monte-Carlo, en dominant respectivement, Marin Cilic et Richard Gasquet ce jeudi.
le 14 April 2011, 15h32
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
Roger Federer a continué sa balade au Masters 1000 de Monte-Carlo.
Vainqueur en 50 minutes pour son entrée en lice mardi, le Bâlois n’a pas mis beaucoup plus de temps en 8e de finale pour évincer Marin Cilic (ATP 22), dominé 6-4 6-3 en 1h11.
Federer a connu une seule petite alerte face au Croate, lorsqu’il devait effacer une première (et dernière) balle de break à l’entame du second set.
Le reste de la rencontre s’est avéré être un long fleuve tranquille pour le no 3 mondial, qui prenait l’engagement de Cilic à 5-4 dans la manche initiale puis à 3-2 dans la deuxième.
Comme au tour précédent face à Philipp Kohlschreiber, Federer a pu compter sur une mise en jeu très efficace. Vainqueur «blanc» de ses trois premiers jeux de service, il a continué sur un rythme élevé avec près de 80% des points gagnés sur son engagement.
C’est d’ailleurs avec un énième service gagnant qu’il bouclait la partie et imitait Stanislas Wawrinka, vainqueur de ce même Cilic il y a un mois à Miami.
Nadal balaye Gasquet
Tête de série no 2 en l’absence de Novak Djokovic, Federer affrontera en quart de finale le vainqueur du match opposant Jürgen Melzer (ATP 9) à Nicolas Almagro (ATP 12).
Le Bâlois a toujours battu les deux hommes sur le circuit: l’Autrichien s’est incliné trois fois et l’Espagnol à cinq reprises.
A l’instar de son grand rival, Rafael Nadal n’a pas été inquiété dans son huitième de finale. En quête d’un septième titre consécutif sur le Rocher, l’Espagnol a balayé Richard Gasquet (ATP 18) 6-2 6-4.
Sans faire un mauvais match, le Français de Neuchâtel n’a pas pu faire grand-chose pour éviter une huitième défaite face au no 1 mondial.
Nadal retrouvera en quart de finale le Croate Ivan Ljubicic qui, après avoir éliminé Jo-Wilfried Tsonga, a sorti le Tchèque Tomas Berdych 6-4 6-2.
Porto, Benfica, Braga et Villarreal en demi-finales
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© ap
Les trois clubs portugais engagés en quarts de finale de l'Europa League se sont qualifiés pour les demi-finales de l'épreuve.
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© ap
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© epa
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© ap
Benfica a éliminé le PSV Eindhoven grâce à un partage 2-2 (aller: 1-4), tout comme Braga auteur d'un nul 0-0 à domicile face au Dynamo Kiev (aller: 1-1). Porto s'est imposé 2-5 au Spartak Moscou (aller: 1-5) et Villarreal complète le dernier carré grâce à sa victoire 1-3 face au Twente de Michel Preud'homme (aller 1-5).
En demi-finale, Braga affrontera Benfica et Porto tentera lui de décrocher son billet pour la finale face à Villarreal.
Le PSV débutait en fanfare et menait 2-0 après 25 minutes de jeu. Mais Benfica revenait pour planter deux buts qui mettaient fin aux espoirs néerlandais. Stijn Wuytens a joué l'intégralité de la rencontre pour le PSV, suivie depuis le banc par son frère Dries.
Twente, avec Bart Buysse pendant 90 minutes (et averti à la 83e), n'a jamais été en mesure de renverser la vapeur malgré un but d'ouverture de Bajrami sur un assist de l'ancien Gantois Bryan Ruiz. Le Diable Rouge Nacer Chadli a pris place sur le banc.
Fort de son partage 1-1 en terre ukrainienne, Braga s'est contenté d'un nul blanc pour se qualifier aux dépens du Dynamo Kiev.
Porto a lui assuré le spectacle sur la pelouse du Spartak Moscou. Les Portugais se sont largement imposés 2-5, après avoir mené 0-3.
Les demi-finales aller sont programmées pour le 28 avril. Les matches retour se joueront le 5 mai. (belga)
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© reuters
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© afp
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© afp
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© reuters
Victoire de Ventoso dans la 2e étape du Tour de Castille et Leon
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© reuters
L'Espagnol Francisco Ventoso (Movistar), vainqueur de la 1e étape mercredi, a remporté jeudi au sprint la 2e étape du Tour de Castille et Leon cycliste (2.1), entre Valladolid et Salamanque (213 km).
Il conforte ainsi sa place de leader du classement général . Ventoso a imposé sa pointe de vitesse devant le Portugais Sergio Ribeiro (Barbot) et le Britannique Russel Downing (Sky).
Torres coûte 85.000 euros la minute à Chelsea
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© afp
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© photo news
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© ap
Chelsea ne va pas bien, mais Fernando Torres encore moins. Après l'élimination en Ligue des Champions, The Sun a massacré l'attaquant espagnol, en dévoilant des statistiques qui font mal.
Van der Sar a couru plus que lui!
Premier exemple qui est plutôt embarrassant: la distance parcourue par le joueur au cours du quart de finale contre Manchester United. Fernando Torres a parcouru la distance de 5112 mètres, alors que le gardien adverse, Edwin Van der Sar, a couru 5176 mètres. Aïe...
Avec comme commentaires de la part du journal britannique: "Au-delà de son transfert coûteux, il apparaît à présent que l'Espagnol ne fait même pas d'effort pour justifier l'argent dépensé pour l'engager."
0 but en 11 matches
Un attaquant est jugé sur le nombre de buts qu'il inscrit. Jusqu'à présent, l'ancien joueur de Liverpool n'a pas vraiment de quoi fanfaronner. Il n'a toujours pas marqué sous le maillot des Blues.
Commentaires du Sun: "Même Shevchenko, auteur d'un passage misérable à Londres, a fait mieux que lui..."
7,615 millions d'euros par match
Enfin, Torres coûte plus à Chelsea qu'il ne lui rapporte. L'attaquant coûte 74 855 £ pour chaque minute passée sur le terrain, soit 85.000 euros. Sur nonante minutes, cela représente à peu près 7,615 millions d'euros! C'est plus que le salaire annuel de Javier Hernandez par exemple.
Oui, ça fait vraiment mal. (J.C.
:fou:A devenir malade:langueŽ:
Tatiana Silva 28e du Rallye Aïcha des Gazelles
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Pour leur première participation, nos compatriotes Tatiana Silva Braga Tavares, Miss Belgique 2005 devenue présentatrice météo de la RTBF, et Emilie Kino, ancienne membre de l'organisation du concours Miss Belgique, ont terminé à la 28e place (catégorie 4x4/camions) du Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc. Pour la première édition du Challenge Isuzu Médias, elles se classent 5es sur 13. Les deux jeunes femmes défendaient les couleurs de la campagne permenante Think Pink, qui lutte contre le cancer du sein.
Un autre équipage belge, celui de Sylvie Delcour et Marie Speeckaert, a achevé l'épreuve à la 2e place de la catégorie crossover, se distinguant en outre avec le prix de l'éco-conduite Logica, remis à l'équipage qui a consommé le moins de carburant pendant le rallye. Dans la catégorie crossover également, nos duos de compatriotes Camille Vassart - Anne Richelle et Evelyne Kraft - Nadine Van De Poele ont terminé respectivement aux 7e et dernière (13e) places.
Le 21e Rallye Aïcha des Gazelles, seul rallye-raid 100% féminin, s'est couru du 19 mars au 2 avril dans le désert marocain, en 6 étapes disputées "à l'ancienne", autrement dit sans GPS. Sur les 110 véhicules qui avaient pris le départ à Sète, 106 ont fini classés (4 seulement hors classement pour raisons mécaniques).
L'équipage de l'ancienne championne de ski Carole Montillet, habituée de la course associée à Syndiely Wade, a terminé en tête au classement général 4x4/camions. Le Challenge Isuzu Médias, doté de 15.000 euros, a été remporté par Marie Ménager et Natalia Dingé, qui couraient pour Télé 7 Jours et l'association Médico Lions Club, qui se verra remettre le chèque offert par Isuzu. Le prix de la première participation a été remporté par Elodie Gossuin, ancienne Miss France, et Zineb Setti Erradi. Egalement en course, la miss controversée Valérie Bègue et sa partenaire Cindy Fabre ont fini à la 6e place de la catégorie 4x4/camions et à la 2e du Challenge Isuzu Médias. (SC
La tenue rose ultra moulante de Serena
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Serena Williams a annoncé son retour sur les courts en publiant une photo d'elle sur son fil Twitter. On y voit la championne de tennis, vêtue d'une tenue rose uni-pièce, en fin de prise d'élan au service. Manifestement, il ne s'agit pas d'un délire de Nike, son équipementier, car le logo de la marque américaine n'y figure pas. Juste une nouvelle excentricité de la cadette des soeurs. (mb)
"Domenech refuse de renoncer à ses primes"
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© afp
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© afp
"Raymond Domenech refuse de renoncer à ses primes", ce qui est "la confirmation du comportement provocateur de Raymond Domenech", a indiqué jeudi à l'AFP Me Elisabeth Angles d'Auriac, avocate de la Fédération française de football en litige avec l'ancien sélectionneur.
L'ex-entraîneur de l'équipe de France, Raymond Domenech, conteste son licenciement pour faute grave après le fiasco du Mondial 2010 et réclame 2,9 millions d'euros à la FFF. Les deux parties avaient rendez-vous jeudi aux Prud'hommes pour une audience de conciliation qui n'a pu déboucher, comme cela était prévisible, sur un accord. L'affaire a été renvoyée au bureau de jugement des Prud'hommes, le 13 janvier 2012.
Le volet des primes a été abordé lors de cette audience, même s'il ne touche pas directement au caractère de faute grave du licenciement, noeud de la procédure judiciaire. "L'audience s'est bien passée, il n'y a pas eu de conciliation mais on pouvait s'y attendre, les positions étant très éloignées", a expliqué à l'AFP Me Angles d'Auriac. "Raymond Domenech avait demandé la condamnation de la FFF pour justifier le calcul des primes, il a été débouté sur ce point par les Prud'hommes. Il avait aussi formulé dans la nuit (de mercredi à jeudi) une demande de condamnation de la FFF à lui payer ses primes. Il a été débouté par le tribunal des Prud'hommes. Ce qui veut dire qu'il refuse de renoncer à ses primes. On est fixé", a-t-elle poursuivi.
"Sur la faute grave, l'audience de conciliation ne nous a pas permis d'apprendre grand chose, a ajouté l'avocate de la FFF. Mais dans ce dossier des primes, qui n'a rien à voir avec la faute grave, les demandes formulées au titre des pièces et provisions à verser sont la confirmation du comportement provocateur de Raymond Domenech", a asséné l'avocate de la FFF. "Raymond Domenech est un des seuls à refuser à renoncer à ses primes du mondial, a-t-elle encore souligné.
Les Prud'hommes, en déboutant Raymond Domenech de ses demandes sur ce point, a montré que la FFF agissait en totale transparence et cela, c'est très important", a estimé Me Angles d'Auriac. "La Fédération, comme l'a déjà dit Me Yves Wehrli (principal avocat de la FFF, dans un entretien à l'AFP lundi), est prête à transiger si Raymond Domenech accepte quelques milliers d'euros -nous disons bien quelques milliers d'euros, pas quelques centaines de milliers d'euros- si cela peut éviter une procédure judiciaire longue et coûteuse", a-t-elle encore expliqué. (afp/mb
GP de Chine: Vettel aussi fort que Schumacher?
Formule 1 | En remportant la course de Shanghai dimanche, Sebastian Vettel deviendrait le premier pilote à remporter les trois premières courses de la saison depuis un certain Michael Schumacher.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/newsdesk/14042011/01d2df6.JPG © KEYSTONE | Le pilote Red Bull revient en pleine confiance sur le circuit de Shanghai.
SI | 14.04.2011 | 14:43
Les comparaisons avec Michael Schumacher n’auront vraiment de sens que si Sebastian Vettel parvient dimanche à réaliser la passe de trois en ce début de saison de Formule 1, lors du Grand Prix de Chine.
Après ses succès en Australie et en Malaisie, le pilote Red Bull revient en pleine confiance sur le circuit de Shanghai, où il avait offert il y a deux ans une première victoire à son écurie en F1.
Un nouveau succès constituerait le cinquième d’affilée pour l’Allemand, invaincu depuis le Grand Prix du Brésil l’an passé. Le champion du monde en titre deviendrait également le premier pilote, depuis Michael Schumacher en 2004 sur Ferrari, à remporter les trois premières courses de la saison.
«On a un ensemble très fort, nous avons beaucoup travaillé cet hiver. L’an passé, nous souffrions de problèmes de fiabilité à cette période, cette année, nous n’en avons pas. Je pense que nous avons fait un grand pas en avant», disait-il la semaine dernière à Sepang.
«Les choses bougent vite et il y a encore beaucoup de choses que nous devons travailler. La gestion des pneumatiques sera très importante donc nous verrons. On va essayer de rester sur notre élan des deux premières courses.»
Button prêt à lutter
Les Red Bull ont utilisé le KERS (Système de récupération de l’énergie cynétique) en course pour la première fois en Malaisie mais cela n’a pas fonctionné sur la monoplace de Mark Webber. Vettel, lui, s’est gardé de l’utiliser en fin de course par précaution.
Le KERS, tout comme le DRS (aileron arrière amovible activé par le pilote), seront importants sur le circuit de Shanghai qui offre l’une des plus longues lignes droites de l’année. «Nous travaillons dessus et le plan pour la Chine, c’est de l’utiliser durant toute la course», a commenté Vettel.
Il y a deux ans, la victoire du jeune Allemand en Chine, là-même où Michael Schumacher avait décroché sa 91e et dernière victoire en 2006, avait mis fin à la série de Jenson Button, vainqueur cette année-là avec Brawn GP des deux premiers Grands Prix de la saison.
Désormais chez McLaren, Button a terminé deuxième en Malaisie. Le Britannique s’est imposé l’an passé à Shanghai, ce qui n’est pas un gage de réussite puisqu’aucun pilote n’est parvenu à s’imposer deux années de suite sur cette piste.
«Nous espérons voir quelques petites améliorations et nous pouvons participer à la lutte avec les Red Bull», a relevé le champion du monde 2009. «Je pense que tout le monde veut voir ça, voir quelqu’un concurrencer les Red Bull.»
Autre pilote McLaren, le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), sacré en 2008, et le leader de l’écurie Ferrari, l’Espagnol Fernando Alonso, double champion du monde en 2005 et 2006, tenteront également de se mêler à la lutte.
tennis
Roger Federer: «J'ai fait du bon boulot»
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Image © Keystone
Roger Federer a su faire preuve d'une grande concentration durant toute la partie.
Vainqueur de Marin Cilic 6-4 6-3 en 71', Roger Federer était satisfait de la manière dont il s'est imposé.
le 14 avril 2011, 20h58
LeMatin.ch & les agences
0 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
Roger Federer a poursuivi sa balade au Masters 1000 de Monte-Carlo. Vainqueur en 50 minutes mardi pour son entrée en lice, le Bâlois n'a pas mis beaucoup plus de temps en 8e de finale pour évincer Marin Cilic (ATP 22), dominé 6-4 6-3 en 1 h 11.
Federer a connu une seule petite alerte face au Croate, lorsqu'il devait effacer une première (et dernière) balle de break à l'entame du second set. Le reste de la rencontre était un long fleuve tranquille pour le No 3 mondial.
«Cela a été une nouvelle performance solide, a-t-il commenté. J'ai fait du bon boulot. J'ai appliqué la bonne tactique en le poussant à faire des fautes directes. Cela a notamment payé dans l'ultime jeu de la première manche, a relevé le Bâlois, qui prenait la mise en jeu de Cilic à 5-4 dans le set initial, puis à 3-2 dans le second. Au deuxième set, j'ai réussi un bon jeu de retour où j'ai pu le prendre de vitesse.»
«L'autre clé de la rencontre consistait à bien servir. J'y suis parvenu en restant très concentré jusqu'au bout», a-t-il ajouté. Sur sa mise en jeu, le triple finaliste sur le Rocher (2006-2008) se montrait effectivement intraitable. Vainqueur «blanc» de ses trois premiers jeux de service, il continuait sur un rythme élevé avec près de 80% de points gagnés sur son engagement.
C'est d'ailleurs avec un énième service gagnant qu'il bouclait la partie sur sa première balle de match, imitant ainsi Stanislas Wawrinka, vainqueur de ce même Cilic il y a exactement un mois à Miami. «On se cherche tous un peu ici, a commenté Federer. On essaie d'avoir des infos sur notre jeu. Je trouve que mon jeu de jambes est là et j'arrive à trouver un bon compromis entre agressivité et patience. C'est correct.»
Le Bâlois affrontera en quart de finale Jürgen Melzer (ATP 9), qui s'est facilement débarrassé de Nicolas Almagro (ATP 12) 6-1 6-4. En trois confrontations sur le circuit contre Melzer, Federer a toujours battu l'Autrichien.
Nadal déroule
A l'instar de son meilleur ennemi, Rafael Nadal n'a pas été inquiété dans son huitième de finale. En quête d'un septième titre consécutif à Monte-Carlo, l'Espagnol a balayé Richard Gasquet (ATP 18) 6-2 6-4. Sans faire un mauvais match et malgré quelques belles inspirations, le Français de Neuchâtel a rompu sous la force de frappe du Majorquin. Ce dernier retrouvera en quart de finale Ivan Ljubicic (ATP 40) qui, après avoir éliminé Jo-Wilfried Tsonga, a sorti le Tchèque Tomas Berdych 6-4 6-2.
En sets
Monte-Carlo. Masters 1000 (2,75 mios d’euros/terre battue)
8e de finale: Federer (S/2) bat Cilic (Cro/15) 6-4 6-3. Nadal (Esp/1) bat Gasquet (Fr/13) 6-2 6-4. Murray (GB/3) bat Simon (Fr/16) 6-3 6-3. Ferrer (Esp/4) bat Raonic (Can) 6-1 6-3. Ljubicic (Cro) bat Berdych (Tch/5) 6-4 6-2. Melzer (Aut/7) bat Almagro (Esp/9) 6-1 6-4. Gil (Por/Q) bat Monfils (Fr/8) 7-6 (8/6) 6-2. Troicki (Ser/11) bat Robredo (Esp) 3-6 2-1 abandon (blessure à la cuisse).
Tableau des quarts de finale: Nadal (1) - Ljubicic; Murray (3) - Gil; Troicki (11) - Ferrer (4); Melzer (7) - Federer (2).
La tenue rose ultra moulante de Serena
http://static1.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/14/7/media_xl_4142812.jpg?20110414132646
:D:D:D
Encore elle serait bien foutue pourquoi pas mais là...:)
larticho
15/04/2011, 09h18
Torres coûte 85.000 euros la minute à Chelsea
...
Commentaires du Sun: "Même Shevchenko, auteur d'un passage misérable à Londres, a fait mieux que lui..."
...
arf, j'aime bien ce commentaire du sun, il se fait plaisir le journaliste :diable:
tennis
Monte-Carlo: Federer trébuche et Nadal se promène sur le Rocher
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C’est la première fois de l’année que le N.3 mondial ne parvient pas à atteindre le dernier carré d’un tournoi
Roger Federer s'est fait sortir par l'Autrichien Jurgen Melzer en quart de finale du tournoi de Monte-Carlo (6-4 6-4), tandis que Rafael Nadal n'a fait qu'une bouchée de Croate Ivan Ljubicic (6-1 6-3).
le 15 avril 2011, 13h48
LeMatin.ch & les agences
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Pour la première fois depuis juin dernier, Roger Federer s’est incliné avant les demi-finales d’un tournoi. Le Bâlois a essuyé une surprenante défaite en quart de finale du Masters 1000 de Monte-Carlo, battu 6-4 6-4 par Jürgen Melzer (ATP 9).
Convaincant lors de ses deux premiers matches de la semaine, Federer a présenté un tout autre visage contre l’Autrichien. Dans des conditions de jeu rendues difficiles à cause du vent, le no 3 mondial a manqué de mordant. Cette passivité s’est avérée particulièrement rédhibitoire sur les balles de break, le Bâlois ne parvenant pas à ravir le service du Viennois malgré sept opportunités.
«Le vent est arrivé au moment où je cherchais à trouver mon rythme, à créer quelque chose. Mais j’ai eu mes chances pour revenir dans le match. C’est évident que j’ai raté trop de balles de break», a reconnu Federer. «Cela n’a jamais tourné en ma faveur. Soit il a trouvé des lignes ou alors j’ai raté un peu. C’est frustrant», a-t-il ajouté.
Sous les yeux du Prince Albert de Monaco, Federer a aussi commis plusieurs bourdes grossières, à l’image de cette tentative d’amortie en fin de match qui n’est même pas arrivée jusqu’au filet. «Je ne pense pas avoir fait un match affreux», a-t-il relativisé. «C’était ma première semaine de l’année sur terre battue. Je ne m’attendais pas à être tout de suite à mon meilleur niveau.»
Fin de série Federer restait sur une série de treize demi-finales consécutives, dont cinq cette année. Sa dernière défaite avant le dernier carré remontait à son élimination en quart à Wimbledon contre Tomas Berdych, le 30 juin dernier.
«Je vais maintenant retourner en Suisse pour m’entraîneur sur terre battue. J’espère qu’il fera beau, sinon il faudra jouer sur court couvert, aller ailleurs ou partir plus tôt à Madrid (son prochain tournoi, dès le 1er mai)», a-t-il expliqué.
Premières pour Melzer
A l’inverse de Federer, Melzer s’est montré beaucoup plus entreprenant vendredi dans la Principauté. Alors qu’il n’avait encore jamais pris le moindre set au Bâlois en trois confrontations, le gaucher de 29 ans ne s’est pas posé trop de questions, multipliant notamment les montées au filet et les amorties. Connu pour avoir les nerfs fragiles, il n’était pas non plus rattrapé par ses vieux démons, bouclant la rencontre sur sa deuxième balle de match après 1h44 de jeu.
«Cette victoire a une saveur particulière pour moi. J’avais battu ’Rafa’ (Nadal) et ’Nole’ (Djokovic) l’année dernière, mais celle-là me manquait encore. A la fin de ma carrière, je pense que c’est celle-ci que je retiendrai en premier. Federer est le meilleur joueur à jamais avoir tenu une raquette en main», a affirmé Melzer, qui s’exprime régulièrement en français.
En s’imposant, Melzer a signé son premier résultat significatif de la saison, lui qui n’avait plus gagné deux matches de suite depuis l’Open d’Australie en janvier. Le sportif autrichien de l’année 2010 a aussi atteint pour la première fois le dernier carré dans un Masters 1000, après avoir buté cinq fois au stade des quarts. Samedi, il se frottera à l’Espagnol David Ferrer (ATP 6), facile vainqueur du Serbe Viktor Troicki (6-3 6-3).
Nadal se promène
De son côté, Rafael Nadal a poursuivi son entreprise de démolition. Le no 1 mondial, qui vise un septième titre consécutif sur le Rocher - un record -, n’a fait qu’une bouchée du Croate Ivan Ljubicic (ATP 40), écrasé 6-1 6-3. L’Espagnol rencontrera en demi-finale le vainqueur de la partie opposant l’Ecossais Andy Murray au qualifié portugais Frederico Gil.
Nadal fonce vers les demi-finales de Monte-Carlo
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© afp
L'Espagnol Rafel Nadal, N.1 mondial, s'est qualifié pour les demi-finales du Masters 1000 de Monte-Carlo en battant le Croate Ivan Ljubicic (ATP 40) en deux manches 6-1, 6-3.
Sextuple tenant du titre sur le Rocher, Nadal rencontrera samedi le vainqueur de la partie entre le Britannique Andy Murray (ATP 4) et le Portugais Frederico Gil (ATP 82). Face à Ljubicic, il n'a pas été plus inquiété que lors de ses deux précédents matches, face à Jarkko Nieminen (ATP 59) 6-2, 6-2 et Richard Gasquet (ATP 18) 6-2, 6-4 pour empocher sa 179e victoire sur terre battue en 185 matches depuis 2005.
Le Ballon d'or de Maradona coulé en lingots par la mafia
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© afp
Le Ballon d'Or de meilleur joueur du Mondial 1986 obtenu par Diego Maradona a été substilisé par la mafia napolitaine qui l'a fondu et coulé en lingots d'or. C'est ce qu'a avoué un repenti.
Salvatore Lo Russo, chef de clan du quartier Miano à Naples, a révélé lors d'une audience préliminaire dans le cadre de son procès pour trafic de drogue, que la Camorra avait dérobé le Ballon d'or du génie argentin lors d'un cambriolage perpétré à la Banco di Napoli en 1989, appuie la RTBF sur une info d'Il Corriere del Mezzogiorno.
Russo, qui aurait déjà aidé le Pibe de Oro à récupérer des montres de luxe volées en 1990, voulait tenter de récupérer la récompense du meilleur joueur du Mondial 1986. L'ancien numéro 10 de Naples semblait disposer à récompenser de 15 millions de lires (8000 euros) quiconque lui ramenait son trophée. Trop tard, puisqu'entre-temps, la mafia, avec qui Maradona entretenait d'obscures relations, avait fondu et coulé en lingots d'or le ballon.
:D:D mafia mafia........
Philippe Gilbert, le favori pour l'Amstel Gold Race
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© photo news
La 46e édition de Amstel Gold Race cycliste se déroulera dimanche dans le Limbourg néerlandais. Lauréat de l'édition 2010, Philippe Gilbert en sera l'homme à battre.
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© photo news
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© photo news
Une étiquette qu'il n'est jamais facile de porter. Le début de la saison l'a déjà montré avec l'exemple de Fabian Cancellara au Tour des Flandres et à Paris-Roubaix, lui qui avait impressionné lors du GP de l'E3.
Mercredi, Gilbert a remporté la Flèche Brabançonne en démontrant sa belle forme. Son équipe Omega Pharma-Lotto sera-t-elle en mesure de l'épauler dimanche lors d'une course où les adversaires de renom seront en nombre.
Comme ils ne voudront certainement pas emmener le Remoucastrien au pied du Cauberg final. il faut s'attendre à des attaques. Jurgen Van den Broeck, Jan Bakelants et les autres équipiers Omega Pharma-Lotto vont devoir s'employer face à notamment Greg Van Avermaet, Björn Leukemans, Samuel Sanchez, Joaquin Rodriguez, Danilo Di Luca, Damiano Cunego, Alexandre Vinokourov et aux redoutables frères Andy et Franck Schleck. Sans oublier le régional du jour, le Néerlandais Robert Gesink qui rêve de triompher.
Ogier devance Loeb et Latvala en Jordanie
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Le Français Sébastien Ogier (Citroën DS3) était en tête du rallye de Jordanie, 4e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les six épreuves spéciales (ES7 à ES12) de la 2e journée, disputées vendredi près d'Amman, au bord de la Mer Morte, devant Sébastien Loeb (Citroën DS3) et Jari-Matti Latvala (Ford Fiesta RS).
Les six spéciales de la 1re journée, initialement prévue jeudi (ES1 à ES6), ont été annulées à cause du retard du bateau acheminant les pneus et le matériel des principales équipes.
Classement provisoire du rallye de Jordanie:
1. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (Fra/Citroën DS3) 1 h 32:53.4
2. Sébastien Loeb-Daniel Elena (Fra-Mon/Citroën DS3) à 31.6
3. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (Fin/Ford Fiesta RS) 33.1
4. Petter Solberg-Chris Patterson (Nor-G-B/Citroën DS3) 35.3
5. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (Fin/Ford Fiesta RS) 2:30.9
6. Kimi Räikkönen-Kaj Lindström (Fin/Citroën DS3) 2:45.8
7. Matthew Wilson-Scott Martin (G-B/Ford Fiesta RS) 2:57.8
8. Khalid Al Qassimi-Michael Orr (EAU-G-B/Ford Fiesta RS) 4:49.7
9. Federico Villagra-Jorge Perez-Companc (Arg/Ford Fiesta RS) 4:54.2
10. Nasser Al-Attiyah-Giovanni Bernacchini (Qat-ITA/Ford Fiesta) 5:19.3
(1er catégorie S-WRC)
...
Retardés:
Mads Ostberg-Jonas Andersson (Nor-Suè/Ford Fiesta RS), transmission
Meilleurs temps dans les épreuves spéciales:
Loeb 1 (ES7), P. Solberg 1 (ES8), Ogier 2 (ES9, ES12), Latvala 2 (ES10, ES11).
Auto - Formule1
Sebastian Vettel donne déjà le ton à Shanghai
15 avril 2011 10:47 http://www.tsr.ch/2011/04/15/10/46/3082784.image?w=480&h=270 Sebastian Vettel (à droite), en discussion avec son patron d'écurie Christian Horner, semble actuellement rouler sur une autre planète. [FRANCK ROBICHON - Keystone]
Sebastian Vettel semble décidément inarrêtable en ce début de saison. Déjà vainqueur des deux premiers Grand Prix de la saison, l'Allemand a remporté les deux séances d'essais libres en vue du GP de Chine, à Shanghai.
Vainqueur des deux premiers Grand Prix de la saison, Sebastian Vettel (23 ans) est parfaitement lancé pour signer la passe de trois. Le pilote allemand de Red Bull a réussi le meilleur temps des deux séances d'essais libres sur le circuit de Shanghai, où se disputera dimanche le GP de Chine.
Avec un chrono de 1'37''688, Vettel a dominé lors de la seconde session les deux McLaren des Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button, très proches du champion du monde en titre (à 0''166 et 0''247).
Dans la moiteure chinoise (34 degrés sur la piste, 65% d'humidité, selon "L'Equipe"), les deux Mercedes des Allemands Nico Rosberg et Michael Schumacher se classent 4e et 5e, ce qui se révèle être la première bonne nouvelle du début de saison des flèches argentées, jusqu'alors en panne d'efficacité chronique.
Des soucis pour Alonso, Buemi 10e et 13e
http://www.tsr.ch/2011/04/15/10/50/3082800.image?w=230&h=165 Sébastien Buemi semble faire la moue, mais l'Aiglon a fini les deux fois devant son coéquipier Jaime Alguersuari. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/04/15/10/50/3082800.image?w=418&h=300)Coéquipier de Vettel chez Red Bull, l'Australien Mark Webber a signé le deuxième chrono le matin, avant de reculer à la 10e place l'après-midi. Mais il convient de rappeler qu'on ne connaît ni les réglages testés ni la quantité d'essence embarquée dans les différentes monoplaces...
Victime d'un problème hydraulique sur sa Ferrari, Fernando Alonso n'a signé que le 14e chrono de la deuxième séance. Il faut dire que l'Espagnol n'a couru que 17 tours...
Au volant de sa Toro Rosso, le Vaudois Sébastien Buemi a pris les 10e et 13e rangs de ces essais libres. Dans le camp des Sauber, le "rookie" mexicain Sergio Perez s'est classé respectivement 7e et 17e, tandis que le Japonais Kamui Kobayashi a réussi les 19e et 11e chronos.
agences/dbu
tennis
«C’est frustrant!»
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Image © Keystone
Roger Federer n’a pas trouvé de solutions, hier à Monte-Carlo.
Roger Federer battu par Jürgen Melzer en quart de finale. Cela ne lui était plus arrivé depuis le mois de juin de l’année dernière.
le 15 April 2011, 22h44
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Masters 1000 Monte-Carlo
Pour la première fois depuis juin dernier, Roger Federer s’est incliné avant les demi-finales d’un tournoi. Le Bâlois a perdu en quart de finale du Masters 1000 de Monte-Carlo, battu 6-4 6-4 par Jürgen Melzer (ATP 9).
Dans des conditions de jeu rendues difficiles à cause du vent, Federer a manqué de mordant. Cette passivité s’est avérée rédhibitoire sur les balles de break, le Bâlois ne parvenant pas à ravir le service du Viennois malgré sept opportunités.
«Le vent est arrivé au moment où je cherchais à trouver mon rythme, à créer quelque chose. Mais j’ai eu mes chances pour revenir dans le match. C’est évident que j’ai raté trop de balles de break», a reconnu Federer. «Cela n’a jamais tourné en ma faveur. Soit il a trouvé des lignes ou alors j’ai raté un peu. C’est frustrant», a-t-il ajouté.
Sous les yeux d’Albert de Monaco, Federer a aussi commis plusieurs bourdes grossières, à l’image de cette tentative d’amortie en fin de match qui n’est même pas arrivée jusqu’au filet. «Je ne pense pas avoir fait un match affreux, a-t-il relativisé. C’était ma première semaine de l’année sur terre battue. Je ne m’attendais pas à être tout de suite à mon meilleur niveau.»
Federer restait sur une série de treize demi-finales consécutives, dont cinq cette année. Sa dernière défaite avant le dernier carré remontait à son élimination en quart à Wimbledon contre Tomas Berdych, le 30 juin dernier.
«Je vais maintenant retourner en Suisse pour m’entraîner sur terre battue. J’espère qu’il fera beau, sinon il faudra jouer sur court couvert, aller ailleurs ou partir plus tôt à Madrid (ndlr: son prochain tournoi, dès le 1er mai)», a-t-il expliqué.
Première pour Melzer
A l’inverse de Federer, Melzer s’est montré beaucoup plus entreprenant. Alors qu’il n’avait encore jamais pris le moindre set au Bâlois en trois confrontations, le gaucher de 29 ans ne s’est pas posé trop de questions, multipliant les montées au filet et les amorties.
«Cette victoire a une saveur particulière pour moi. J’avais battu Rafa (Nadal) et Nole (Djokovic) l’année dernière, mais celle-là me manquait encore. A la fin de ma carrière, je pense que c’est celle-ci que je retiendrai en premier. Federer est le meilleur joueur à jamais avoir tenu une raquette en main», a affirmé Melzer.
L’Autrichien a atteint pour la première fois le dernier carré dans un Masters 1000, après avoir buté cinq fois au stade des quarts. Aujourd’hui, il se frottera à l’Espagnol David Ferrer (ATP 6), facile vainqueur du Serbe Viktor Troicki (6-3 6-3).
Nadal facile
De son côté, Rafael Nadal a poursuivi son entreprise de démolition. Le No 1 mondial, qui vise un septième titre consécutif sur le Rocher – un record –, n’a fait qu’une bouchée du Croate Ivan Ljubicic (ATP 40), écrasé 6-1 6-3. L’Espagnol rencontrera en demi-finale l’Ecossais Andy Murray, qui a laminé le qualifié portugais Frederico Gil (6-2 6-1).
Automobilisme
Ogier prend une option sur la victoire finale
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Le Français et sa Citroën DS3 dominent l’épreuve. Pour le constructeur, l’opération en Jordanie est déjà une réussite.
le 15 avril 2011, 22h37
LeMatin.ch & les agences
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Rallye Jordanie
Le Français Sébastien Ogier (Citroën DS3) était en tête du Rallye de Jordanie, 4e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les six épreuves spéciales (ES7 à ES12) de la 2e journée, devant Sébastien Loeb (Citroën DS3) et Jari-Matti Latvala (Ford Fiesta RS).
Alors qu’Ogier, déjà en tête à midi, n’avait que 6 secondes d’avance sur Loeb et 13 sur Latvala au départ de l’ES12 (Jordan River 2,41 km), la plus longue du rallye et la dernière de la journée, il a continué à attaquer pour y signer de nouveau le meilleur temps, comme hier matin, pendant que Loeb et Latvala... ralentissaient, pour éviter de devoir trop balayer la route aujourd’hui.
Ogier se retrouve donc avec plus de trente secondes d’avance sur ses trois principaux poursuivants, Loeb, Latvala et Petter Solberg, dans sa DS3 privée, alors que la moitié des spéciales de samedi seront les mêmes spéciales que vendredi, mais disputées à l’envers et donc déjà balayées par les passages de tous les concurrents vendredi.
Hirvonen perd beaucoup
Le grand perdant de la journée a été Mikko Hirvonen (Ford Fiesta), coleader du championnat avec Loeb, avant ce rallye. Obligé de balayer toute la journée, il a aussi perdu sa direction assistée en fin de journée, ce qui l’a beaucoup handicapé dans l’ES12, et se retrouve à la 5e place, à deux minutes et demie d’Ogier.
Avec trois DS3 dans le top 4, contre une seule Ford Fiesta, de gros écarts et 115 km de spéciales à parcourir samedi, pour la dernière journée, Ogier et surtout Citroën ont déjà pris une petite option sur la victoire finale.
Les six spéciales de la 1re journée, initialement prévue jeudi (ES1 à ES6), avaient été annulées à cause du retard du bateau et des camions acheminant les pneus et le matériel des principales équipes.
automobilisme
La grande peur de l’écurie Sauber
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/110089550.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/110089550.JPG)
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La panne de la voiture de Sergio Perez en Malaisie a été causée par une pièce volante heurtée par le Mexicain. Il l’a échappé belle.
Luc Domenjoz - le 15 avril 2011, 22h34
Le Matin
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GP de Chine
Vingt-quatrième tour du Grand Prix de Malaisie. Sur le moment, on voit simplement la Sauber blanche de Sergio Perez sortir de piste. Une de ces erreurs de pilotage comme il en arrive tant d’autres, sans doute.
Quelques heures plus tard, pourtant, en entendant les explications du Mexicain, les mécaniciens de l’équipe démontent la monoplace, revenue à son garage, et découvrent un trou béant dans son avant. «C’est une histoire assez curieuse, explique James Key, le directeur technique de l’écurie suisse. Sergio a touché une pièce qu’il a d’abord cru provenir de la Toro Rosso qui le précédait. Mais on a été voir les gens de Toro Rosso qui nous ont dit que rien ne manquait sur leurs voitures, et que l’une d’elles était même abîmée d’un côté. Ce qui laisse penser que cette pièce jonchait la piste avant le passage de la Toro Rosso.»
Un morceau de monoplace suffisamment grand pour que Sergio Perez l’ait distinctement vu foncer sur lui. «Il a cru que c’était un morceau d’aile. Mais ce qui s’est passé est effrayant: cette pièce a endommagé son aileron avant, puis elle a abîmé le fond de la voiture, à l’avant.
Ensuite, elle a traversé le côté de la coque, et transpercé un panneau de carbone, avant de passer au travers du châssis, d’en ressortir et de détruire le boîtier électronique du moteur! C’est d’ailleurs ce qui a arrêté le V8 d’un coup. La pièce est alors sortie de la voiture en perforant le ponton latéral. Quelle qu’ait été cette pièce, elle a traversé la voiture très, très vite, ou alors elle devait être lourde. Mais dans tous les cas, elle avait une grande quantité de mouvement, les dégâts sont considérables.»
Des photos à la FIA
L’écurie Sauber a pris plusieurs photos des restes de sa monoplace pour en faire part à la FIA, afin que celle-ci prenne éventuellement des mesures de protection du cockpit. «Sergio a eu énormément de chance, conclut James Key. Quelques centimètres à côté, et il était grièvement blessé»
A Sepang, au cours des qualifications, Sébastien Buemi avait perdu une partie importante de son ponton gauche. Et on se souvient du ressort qui avait défiguré Felipe Massa, il y a deux ans, en Hongrie. Les monoplaces de F1 deviennent de plus en plus complexes, multipliant le risque de pertes de pièces. En Malaisie, un nouveau drame a été évité de justesse.
Football
L’affrontement du siècle
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Le Real Madrid et le FC Barcelone vont s’affronter quatre fois en l’espace de trois semaines. La planète football tout entière retient son souffle en perspective d’une série de «clasico» à la rivalité sportive sans précédents. A vos agendas pour ne rien rater.
le 15 avril 2011, 21h32
Le Matin
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4 «clasico» en 18 jours
Ce soir
Championnat d’Espagne
C’est la «finale» du championnat d’Espagne. Avant ce match à Madrid (22 h), le Barça compte 8 points d’avance sur le Real au classement de la Liga. Une victoire à domicile pourrait donc un tant soit peu relancer les Madrilènes dans la course au titre. Mais l’objectif premier des hommes de José Mourinho est de laver l’affront subit au Camp Nou lors du match aller le 29 novembre dernier (défaite 5-0).
Mercredi
Finale de la Coupe du Roi
Le Barça de Messi et le Real de Cristiano Ronaldo ne laissent décidément que des miettes à leurs adversaires nationaux. A Valence, ils se disputeront le traditionnel trophée de la Coupe du Roi. Sur un match, en terrain neutre, tout est possible. Des prolongations et éventuels tirs au but pourraient encore exacerber la dramaturgie d’une rencontre qui délivrera le premier titre de l’année 2011.
Mercredi 27 avril
Demi-finale de la Ligue des champions aller
La scène nationale ne suffit pas aux deux ogres du football espagnol. C’est au stade Santiago Bernabeu de Madrid qu’aura lieu le premier acte d’une double confrontation qui offrira au vainqueur une place en finale de la plus prestigieuse des compétitions européenne. La Ligue des champions, c’est le Graal de tout footballeur professionnel. Catalans
et Madrilènes en sont conscients.
Mardi 3 mai
Demi-finale de la Ligue des champions retour
José Mourinho est le maître de la Ligue des champions. L’an passé, il avait éliminé Barcelone sur cette même pelouse du Camp Nou avec l’Inter de Milan, avant de décrocher la victoire finale face au Bayern de Munich. Là encore, il y a de la revanche dans l’air.
Ferrari pourrait quitter la Formule 1
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© afp
Entre Ferrari et la FIA, l'entente n'est pas au beau fixe. Et la perspective de l'expiration fin 2012 des accords de la Concorde, qui régissent la Formule 1, relance le jeu d'influence et de menaces.
Quand la réglementation ne convient pas à Ferrari, l'équipe au cheval cabré menace de s'en aller. Et Luca di Montezemelo, son président, a ressorti le discours dans Auto Bild, relayé par toilef1. L'Italien s'est montré très critique ces dernières semaines envers le passage, en 2013, au moteur turbo de 1,6 litre et l'importance de l'aérodynamique,
le gros point faible de Ferrari face à la concurrence.
"La Formule 1 est devenue trop artificielle. Un volant est maintenant un ordinateur recouvert de boutons et les fans ne comprennent plus. Les Accords Concorde expirent à la fin de 2012. Nous avons besoin de discuter maintenant de la manière de procéder," a-t-il déclaré à Auto Bild. "Ferrari continuera à être présente aussi longtemps que le sport nous rend en retour quelque chose pour le développement et la technologie de nos voitures de route. Sinon, non."
Bernie Ecclestone soupçonné de corruption
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© epa
Le grand argentier de la Formule 1 Bernie Ecclestone est soupçonné d'être impliqué dans une affaire de corruption en Allemagne sur laquelle le parquet de Munich enquête, affirme le quotidien Süddeutsche Zeitung (SZ) à paraître samedi.
Bernie Ecclestone, 80 ans, est soupçonné de complicité d'abus de confiance et s'est rendu le 6 avril à Munich pour être entendu par les enquêteurs, écrit le journal. Comme il s'est montré très coopératif, le parquet a renoncé à un mandat d'arrêt, ajoute le quotidien.
Il aurait nié tout lien avec des pots-de-vin versés à Gerhard Gribkowsky, ex-dirigeant de la banque publique régionale bavaroise BayernLB, dont le parquet de Munich avait annoncé en janvier l'arrestation sur des soupçons de corruption, abus de confiance et fraude fiscale, dans le cadre de la vente de parts dans la Formule 1.
M. Ecclestone ou sa holding Bambino pourraient être impliqués dans plusieurs transactions suspectes aux yeux des enquêteurs, écrit le SZ.
M. Gribkowsky, ancien dirigeant du secteur gestion à risques de BayernLB, était responsable de la vente bouclée en 2006 des lucratifs droits commerciaux de la Formule 1 au gestionnaire de fonds britannique CVC.
Open de Monte Carlo
Une finale Nadal-Ferrer à Monte-Carlo
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Image © KEYSTONE
Nadal est invaincu désormais depuis 36 matches.
Rafael Nadal a dû rester près de trois heures sur le court pour s’imposer 6-4 2-6 6-1 devant Andy Murray (no 3). L’Espagnol disputera ce dimanche une septième finale de rang à Monte-Carlo, contre Ferrer.
le 16 avril 2011, 18h58
LeMatin.ch & les agences
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Rafael Nadal disputera ce dimanche une septième finale de rang à Monte-Carlo.
Victorieux des six premières, le no 1 mondial sera opposé à David Ferrer.
Rafael Nadal a dû rester près de trois heures sur le court pour s’imposer 6-4 2-6 6-1 devant Andy Murray (no 3).
L’Ecossais a fait jeu égal pendant deux sets avant de céder sur le plan physique. Valeureux, Murray a manqué le coche au premier set. Mené 4-1, il parvenait à recoller au score avant de concéder un break fatal au dixième jeu.
Lors de la deuxième manche, son jeu d’attaque lui a permis de déborder le Majorquin. Seulement, son manque de fraîcheur n’a pas pardonné dans un troisième set qui fut malheureusement à sens unique.
David Ferrer (no 4) fut beaucoup plus expéditif devant Jürgen Melzer (no 7), le «tombeur» de Roger Federer. Le Valencien s’est imposé 6-3 6-2 en moins de 80 minutes. Mené 3-1, Ferrer a su exploiter les errements de son adversaire pour retourner la situation avec une très grande aisance.
Nadal mène 11-4 dans ses face-à-face avec Ferrer. Mais le no 1 mondial s’est incliné lors de leur dernier duel, en janvier dernier en quart de finale de l’Open d’Australie. Diminué par une blessure aux adducteurs à Melbourne, Nadal aura soif de revanche en Principauté où il est invaincu désormais depuis... 36 matches.
SKI DE VITESSE
Ces romantiques qui plongent dans le vide à plus de 200 km/h
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/ski_112.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/ski_112.jpg)
Image © Keystone
Les professionnels de la branche peuvent mettre jusqu’à quarante minutes pour enfiler leur combinaison 100% hermétique.
Ils remettent leur vie en jeu chaque hiver dans des parois verticales, mais s’émeuvent devant une chorale liturgique ou un cafard grassouillet. Quatre skieurs de vitesse ont confessé leurs émois au pied des télécabines de Médran.
Julien Caloz, Verbier - le 16 avril 2011, 19h55
Le Matin Dimanche
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Mme Max Sachs est professeure de céramique et pleure devant ESPN. C’est une artiste. Sa fille Tracie (record personnel: 238,57 km/h) en parle le mieux: «Lorsque j’ai participé à ma première compétition au Colorado, j’ai dit à mes parents que j’allais à la montagne. Ma mère a découvert que je faisais du ski de vitesse en allumant la télévision. Elle a été terrorisée et a fondu en larmes.»
De l’église aux sommets
Découvrir les pratiques douteuses de sa fille n’a rien d’exceptionnel (voir l’émission Toute une histoire du 19 octobre 2009: «J’étais la seule à ne pas savoir») même si, dans le cas qui nous occupe, rien ne prédestinait Tracie Max Sachs – ni les autres d’ailleurs, comme d’habitude – à remettre sa vie en jeu chaque hiver dans des parois verticales.
Jusque-là, la New-Yorkaise sanglotait devant les cafards dodus de la maison de famille: «Ils sont énormes, je te jure»; Ismaël Devènes (record personnel: 210,280 km/h) s’élevait dans la Chorale Caecilia: «Un beau chant, dans la superbe église de Fey, me donne des frissons», alors que Jedrzej Dobrowolski (record personnel: 209,140 km/h) forgeait ses ambitions dans un atelier polonais: «Je suis un artiste sur métal, tu peux l’écrire.»
Mais une curiosité mal placée (au sommet du vide), voire un virage mal négocié ont réorienté le destin de ces enfants de bonnes familles. Devènes: «J’ai failli mourir en mountain bike, il y a neuf ans. J’ai chuté. Ma langue a été coupée en deux. L’accident m’a donné une nouvelle approche de la vie. Depuis, je ne veux plus perdre une seconde. Je suis tout le temps à 200%. Je ne prends même plus de vacances, car je m’emmerde trop.»
Là-haut sur la montagne
A force de remonter la pente, Ismaël a atteint des sommets. «Lorsque tu es au départ et que tu t’apprêtes à t’élancer, il y a une peur qui s’installe. Elle est tout à fait naturelle et permet à ton corps de te mettre en état d’alerte.» Les impressions sont diversement partagées. «Je ne ressens ni peur, ni adrénaline, ni excitation, insiste Max Sachs. En réalité, je branche simplement mon cerveau sur mes skis. Je fixe la piste. Je choisis ma ligne. Je me mets en position. Je sais que, dans moins de six secondes, je serai à plus de 200 km/h. Que je ne toucherai plus le sol. Que je devrai être prête.» Philippe May (record personnel à 250,00 km/h): «Je n’ai jamais eu les jetons. Et puisque l’appréhension est un terme négatif, je préfère parler de respect de la pente.»
Fractures, brûlures, etc.
La hantise du skieur de vitesse, même lorsque celle-ci est banalisée par un discours fanfaron, reste la chute, ou ce qu’elle implique sur un versant incliné à 45 degrés: la mort. Trois décès ont été recensés, dont celui de la Britannique Caitlin Tovar en 2007. «Elle a fait une minuscule erreur au départ, puis elle a plongé dans le vide, frémit Tracie Max Sachs. C’était une grande amie. J’ai changé de portable il y a quelque temps, mais je n’ai pas eu le courage de supprimer son numéro.»
D’ordinaire, une chute n’implique qu’un arrêt de travail navrant (fractures et brûlures sont largement répandues), mais elle peut également engendrer des complications sournoises. «Lorsque tu tombes à 200 km/h, c’est comme si tu étais sur l’autoroute, à la même vitesse, et que tu sautais brusquement de ton véhicule», image Max Sachs. Devenès a ouvert la porte au traumatisme, en 2010 au Canada. «J’ai vu un point rouge, puis plus rien. Je venais de franchir les trois filets de sécurité à 140 km/h. J’ai été choqué. J’ai fait des cauchemars. Je me voyais chuter sur les pistes que j’avais déjà descendues, c’était terrible. Puis il y a eu un deuxième accident, en Finlande, après lequel j’ai voulu tout arrêter. Je n’en pouvais plus. Mais alors que je gisais sur le dos, dans l’aire d’arrivée, Philippe s’est approché de moi et m’a dit: «Tu as une demi-heure pour aller chercher mon casque à l’hôtel et te présenter au départ.». J’ai obéi. Je ne le remercierais jamais assez. Me relever immédiatement m’a permis d’effacer le souvenir de la chute.»
Nounours et chaussettes
Soumis à l’humeur du ciel et au relief louche de la piste, précipité dans le vide selon les appréciations du délégué de course, l’athlète se réfugie immanquablement dans un univers parallèle. «Les Japonais font des incantations avant la compétition, le regard fixé vers le ciel. C’est hallucinant», témoigne Ismaël Devènes, lequel se rapproche chaque jour un peu plus de Roméo, «un ours en peluche qui console plus qu’il ne guérit.» May: «J’ai commencé ma carrière en gardant toujours le même tee-shirt. Mais la pression nuisait à ma performance. Aujourd’hui, je fais juste une petite prière au départ. Je demande à mon papa, que j’ai perdu à six ans, de veiller sur moi. Mais je croise encore des gars qui s’inspirent de leurs sous-vêtements. L’Américain John Dugan, par exemple, garde toujours les mêmes chaussettes. Elles sont toutes pourries, mais il ne veut pas les changer car, dit-il, ce sont ses «chaussettes de courses.» C’est un grand malade!»
Dans un monde instable, la moindre forme de contrôle, même relative, console. «L’équipement reste la seule chose matérielle sur laquelle on peut exercer une influence, explique Tracie Max Sachs. On m’a dit qu’il ne fallait surtout pas que je change de gants ou de casque, sinon j’allais tomber. Mais c’est du flanc. J’ai déjà oublié mon collier magique, et cela ne m’a pas empêché de gagner. D’ailleurs, c’est drôle, car il est encore dans mon sac aujourd’hui. Je vais peut-être le porter à Verbier. Mince, j’en sais rien maintenant!»
Une activité, quatre saisons
Les cogitations – autant que les aléas de la compétition – sont habituellement domestiquées par une préparation intensive. Le matériel est ainsi vérifié plusieurs fois par année à l’Ecole d’ingénieurs de Genève. «Il s’agit d’une soufflerie, au sein de laquelle quatre immenses hélices font un circuit d’air, détaille May. Cela te permet de simuler une descente à 250 km/h. Avant, j’allais jusqu’à dix fois par année au laboratoire d’aérotechnique. Un jour, j’ai même fait trente «descentes». J’étais lessivé. Je n’arrivais plus à parler. Aujourd’hui, je me suis calmé. Je me rends à Genève trois ou quatre fois par année. Pas plus.»
Lorsqu’il n’est pas au chevet de son matériel, le skieur de vitesse rêve – «dans la nuit de mercredi à jeudi, j’ai descendu la piste de Verbier, j’ai senti le vent envelopper ma combinaison», révèle Dobrowolski – ou passe à l’heure d’hiver entre deux barbecues. «Il n’y a pas un jour sans que je pense au ski, avoue Philippe May. Depuis 2002, je ne pars plus en vacances sans prévoir un entraînement sur place. La dernière fois que je suis allé en Floride, j’ai appris qu’il y avait une course de vélo de 280 km à travers l’Etat. Je n’ai pas résisté.»
Sebastian Vettel partira en pole position en Chine
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L'Allemand Sebastian Vettel s'élancera en pole position au Grand Prix de Chine de Formule 1, troisième manche du championnat du monde, dimanche sur le circuit de Shanghaï (à partir de 9h00 belge). Le champion du monde en titre réalise sa 3e pole de la saison après celles réalisées en Australie et en Malaisie. Il s'agit de la 18e pole de sa carrière.
Vettel, qui a aussi remporté les deux premiers Grands Prix de la saison, a largement devancé en 1:33.706 les McLaren-Mercedes des Britanniques Jenson Button, 2e à 715/1000es de seconde, et Lewis Hamilton, 3e à 757/1000es. L'Allemand Nico Rosberg (Merccedes) a signé le 4e temps à 964/1000es. Les Ferrari de l'Espagnol Fernando Alonso et du Brésilien Felipe Massa ont réussi les 5e et 6e temps, à respectivement 1.413 et 1.439 seconde, et s'élanceront de la 3e ligne.
Jérôme D'Ambrosio (Virgin-Cosworth) partira de la 21e position.
L'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) a dû se contenter de la 12e position et l'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault) de la 18e place sur la grille.
Manchester City bat ManU et va en finale de la Coupe
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Manchester City, dont Vincent Kompany portait le brassard de capitaine, a brisé le rêve de triplé de Manchester United en battant son grand rival en demi-finale de la Coupe d'Angleterre, 1 à 0, samedi à Wembley.
Les "Citizens", vainqueurs grâce à un but de Yaya Touré à la 52e minute, rencontreront en finale le 28 mai le vainqueur du match entre Stoke et Bolton, qui aura lieu dimanche, également à Wembley.
Quel que soit son adversaire en finale, Manchester City sera grand favori pour remporter son premier trophée depuis 1976 (une Coupe de la Ligue) et sa première FA Cup depuis 1969.
Manchester United, en tête de la Premier League avec sept points d'avance sur Arsenal, reste en course pour le doublé Championnat d'Angleterre et Ligue des champions. Il n'y aura en revanche pas de triplé comme en 1999.
Les deux Belges de Manchester City, Vincent Kompany et Dedryck Boyata (resté sur le banc samedi), rejoignent le cercle restreint des joueurs belges ayant pu dipsuter la finale de la "Cup", un trophée qu'aucun footballeur du plat pays n'a jamais soulevé.
Nico Claesen, en 1987 avec Tottenham, et Marouane Fellaini, en 2009 avec Everton, ont joué la finale, une chance que Philippe Albert, avec Newcastle en 1998, et Anthony Vanden Borre, avec Portsmouth l'année dernière, n'ont pas eue, devant suivre la finale du banc de touche. (belga)
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Jérôme D'Ambrosio sur son petit nuage
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Jérôme D'Ambrosio a signé le 21e chrono des qualifications du Grand Prix de chine, samedi à Shanghaï. Il disputera donc dimanche le 3e GP de sa carrière en Chine. Il s'élancera dimanche à partir de de la 11e ligne avec son équipier chez Virgin l'Allemand Timo Glock à ses côtés.
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D'Ambrosio a tourné en 1:39.119, 589/1000es de seconde plus vite que Glock, auteur du 22e des 24e temps de la séance qualificative (1:39.708).
"Je suis très content", a réagi D'Ambrosio sur le site web de son équipe. "Ce que je retiens aujourd'hui est que je continue de m'améliorer, bien que je doive encore beaucoup apprendre, je vais dans la bonne direction. C'est ce qui est le plus important pour moi. Ce n'est toujours que le début et j'ai beaucoup à faire, mais ma manière de travailler - et celle de tout le monde dans l'équipe - est bonne et les résultats montrent que la direction que nous suivons est la bonne. C'était un bon samedi."
Le manager de l'équipe John Booth était aussi content de notre compatriote: "Jérôme a effectué un travail exceptionnel et tout s'est bien passé pour lui. Après une difficile 3e séance d'essais libres, il a tout remis en place quand cela comptait. Il progresse à chaque course."
Contador vainqueur de la 4e étape du Tour de Castille et Leon
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L'Espagnol Alberto Contador (Saxo Bank) a remporté samedi la 4e étape du Tour de Castille et Leon (cat. 2.1), un contre-la-montre individuel de 11,2 km à Zamora à l'issue duquel son compatriote Xavier Tondo (Movistar) est devenu le nouveau leader de l'épreuve.
Contador s'est imposé en 13:42 avec une seconde d'avance sur l'Australien Richie Porte et 3 secondes sur Xavier Tondo.
Tondo s'installe en tête du général, où il a détrôné le Néerlandais Bauke Mollema (Rabobank), 4e samedi à 15 secondes de Contador. Mollema est désormais 2e du général, à 9 secondes de Tondo.
Le Tour de Castille et Leon se terminera dimanche par la 5e étape, qui reliera Madrigal de Las Altas Torres à Medina del Campo sur une distance de 167,7 km.
Auto - Formule1
Sébastien Buemi: côtoyer le danger sans le courtiser
16.04.2011 16:18 - mise à jour: 18:49 http://www.tsr.ch/2011/04/16/16/18/3084927.image?w=480&h=270 Buemi: un regard déterminé qui en dit long sur son envie de durer en F1. [Red Bull Photofiles - DR - DR]
Il y a un an jour pour jour, Sébastien Buemi était victime d'un accident rarissime. Lancé à plus de 300km/h, le Vaudois perdait ses deux roues avant lors des essais du GP de Chine! "A la télévision, l'accident a l'air très spectaculaire, mais quand tu pilotes la voiture, c'est moins fort". L'occasion pour tsrsport.ch d'évoquer le danger avec le pilote Toro Rosso.
http://www.tsr.ch/2010/05/26/14/56/1775135.image?w=230&h=165 Une mésaventure incroyable pour Sébastien Buemi. [DR] (http://www.tsr.ch/2010/05/26/14/56/1775135.image?w=418&h=300)16 avril 2010: Sébastien Buemi dispute la première séance d'essais libres du Grand Prix de Chine à Shanghai. Au 6e tour, le pilote Toro Rosso, lancé à 300km/h, est victime d'un problème mécanique aussi rarissime que spectaculaire. En pleine ligne droite, le Vaudois perd les deux roues avant (http://www.tsr.ch/sport/mecanises/auto/1775140-violente-sortie-de-piste-de-sebastien-buemi.html) et sort de route sans la moindre égratignure! En cause, des pièces reliant les roues aux suspensions.
"Les pilotes sont dépendants du matériel", expliquera Sébastien Buemi. Pour le meilleur et pour le pire. Le danger? Buemi, Vettel & Cie vous diront qu'ils le côtoient, comme bien d'autres sports, sans le courtiser.
"Le risque zéro n'existe pas"
tsrsport.ch: Quelles qualités doit avoir un pilote pour arriver en F1?
SEBASTIEN BUEMI: Il doit avant tout être un très gros travailleur et être parfaitement préparé aussi bien physiquement que psychologiquement. Tous les pilotes arrivés en F1 sont très doués (http://www.tsr.ch/sport/mecanises/auto/3039877-sebastien-buemi-espere-une-bonne-recolte.html). Mais le talent ne suffit pas. A part pour Raikkonen, il y a quelques années, arriver et s'asseoir simplement dans la voiture ne suffit plus.
Il faut en plus être très discipliné et persévérant. Si l'on ne fait pas le maximum dans chaque compartiment, on ne va pas réussir à faire la différence. Et même en faisant le maximum, parfois cela ne fonctionne pas.
http://www.tsr.ch/2011/04/16/15/50/3084926.image?w=230&h=165 Buemi: "Le pilote est dépendant de la mécanique" [DR] (http://www.tsr.ch/2011/04/16/15/50/3084926.image?w=418&h=300)tsrsport.ch: La F1 est souvent associée au danger. Sur un circuit, comment faites-vous abstraction de cet élément?
SEBASTIEN BUEMI: Comme dans n'importe quel autre sport, on sait que l'on peut se faire mal mais on n'y pense pas. C'est vrai que le risque zéro n'existe pas mais la Formule 1 est devenue un sport très sûr de nos jours.
tsrsport.ch: L'année dernière lors des essais du GP de Chine vous aviez perdu les 2 roues avant! Impossible de contrôler quoi que ce soit dans cette situation.
SEBASTIEN BUEMI: Il n'y avait rien à faire. Les pilotes sont dépendants du matériel. Les ingénieurs avaient essayé une pièce plus légère qui n'avait pas tenu le choc. Cela aurait pu être plus grave. Cela fait partie du sport...
"Pas de restriction chez Red Bull"
tsrsport.ch: Y-a-t-il une clause dans votre contrat qui vous interdise de pratiquer des activités risquées?
SEBASTIEN BUEMI: De nombreuses écuries imposent des restrictions à leurs pilotes. Pas chez nous car cela ne corres pond pas à la philosophie de Red Bull. Red Bull c'est fun, c'est jeune. Mais il faut être conscient que c'est à mes risques et périls. Si je me fais mal, un autre prendra immédiatement ma place.
tsrsport.ch: Avez-vous des rituels avant un GP?
SEBASTIEN BUEMI: Peut-être dans ma préparation... Je rentre toujours du côté gauche de la voiture et j'en sors toujours du côté gauche. Dans l'ensemble, je ne suis pas tellement superstitieux. Ce qui m'importe est d'avoir fait le maximum.
"Je pense F1 7 jours sur 7"
tsrsport.ch: Votre famille est mordue de sports motorisés. Quelle est son influence dans votre carrière? SEBASTIEN BUEMI: Mes parents, mon frère, mes grands-parents... Tous les gens qui m'entourent ont dû faire d'énormes sacrifices http://www.tsr.ch/2011/04/16/15/52/3084929.image?w=230&h=165 Le casque du Vaudois est facilement reconnaissable aux drapeaux suisses. [DR] (http://www.tsr.ch/2011/04/16/15/52/3084929.image?w=418&h=300)pour que j'arrive là où j'en suis aujourd'hui. Ma famille a fait autant de sacrifices que moi, si ce n'est plus! Je lui en suis très reconnaissant. Elle vit cette passion à travers moi.
tsrsport.ch: En dehors de la F1, que faites- vous?
SEBASTIEN BUEMI: Ma vie est accaparée par la préparation des courses à venir. A moi de trouver le bon compromis entre la préparation, le repos et aussi un peu l'amusement. Je pense "F1" 7 jours sur 7 (http://www.tsr.ch/sport/mecanises/auto/3069316-l-agenda-de-ministre-de-sebastien-buemi.html), mais il faut aussi quelques petits moments durant lesquels je m'évade. Sinon, je ne pense pas que cela soit possible de donner le maximum.
Je fais des choses normales, comme passer du temps avec ma famille, mes amis, aller au cinéma... Je suis telle ment peu souvent en Suisse (ndlr: Sébastien Buemi réside à Monaco) que je profite de ces moments.
Propos recueillis par Miguel Bao
Philippe Gilbert s'adjuge Amstel Gold Race
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7S7 mise à jour Déjà Vainqueur en 2010, Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté dimanche pour la deuxième fois l'Amstel Gold Race, la classique cycliste néerlandaise courue sur 260,4 km de Maastricht à Valkenburg.
Gilbert, qui a couru en patron un an après son premier succès, s'est dégagé dans la montée finale du Cauberg pour devancer nettement l'Espagnol Joaquin Rodriguez et l'Australien Simon Gerrans. Björn Leukemans a terminé 7e et Ben Hermans 8e. Le Luxembourgeois Andy Schleck, parti à l'attaque à 11 kilomètres de l'arrivée, a été rejoint dans le Cauberg où Gilbert a été le seul à suivre Rodriguez, le premier à démarrer.
La course s'est dénouée dans les 15 derniers kilomètres, bien après la fin de l'échappée de quatre coureurs (Timmer, Degand, De Negri, Ponzi) lancée dès le matin. Frank Schleck a été retardé en même temps que le Suisse Fabian Cancellara par une chute survenue à 23 kilomètres de l'arrivée.
Andy Schleck est passé à l'offensive après le Keutenberg, l'avant-dernière des 32 côtes du parcours, suite à deux premiers démarrages de l'équipe Katusha (J. Rodriguez, Kolobnev). Sans s'affoler, Gilbert bien appuyé par ses équipiers Jelle Vanendert et Jurgen Van den Broeck a maintenu un écart limité à une dizaine de secondes. Puis, le vainqueur sortant a pris la poursuite à son compte pour se rapprocher du cadet des Schleck au pied du Cauberg.
Le Wallon, qui est âgé de 28 ans, a signé sa deuxième victoire de la semaine, après la Flèche brabançonne. Il compte à son palmarès plusieurs classiques d'importance, notamment Paris-Tours (2008 et 2009) et le Tour de Lombardie (2009 et 2010). Il est aussi le premier coureur à réussir le doublé dans la classique néerlandaise, 31 ans après les quatre succès consécutifs du Néerlandais Jan Raas (1977-1980). .
Hamilton remporte le GP de Chine, D'Ambrosio 20e
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7S7 mise à jour Le pilote britannique Lewis Hamilton, de l'écurie McLaren-Mercedes, a remporté dimanche à Shanghai le Grand Prix de Chine de Formule 1, devançant le champion du monde en titre Sebastian Vettel (Red Bull-Renault), 2e à 5.198 secondes, et Mark Webber (Red Bull-Renault), 3e à 7.555 secondes. Notre compatriote Jérôme D'Ambrosio, qui disputait son 3e Grand Prix, a terminé la course en 20e position à 2 tours.
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Le champion 2008 a tiré parti d'une stratégie différente -trois changements de pneus pour lui, contre deux pour Vettel- et de pneus plus frais en fin de course pour dépasser le champion en titre et leader du général, qui ne remporte donc pas son cinquième GP d'affilée. L'Allemand n'a pas non plus égalé son compatriote Michael Schumacher, dernier pilote à avoir débuté une saison par trois succès (en 2004).
Une aubaine pour le Championnat, dont l'intérêt aurait pu s'émousser au fil de la domination implacable de l'Allemand, déjà vainqueur des deux premiers GP et auteur des trois pole positions de la saison.
Troisième, Mark Webber a réalisé une course exceptionnelle. Parti 18e sur la grille après une erreur de gommes en qualifications samedi, l'Australien a multiplié les dépassements pour se hisser sur le podium.
Ont encore marqué des points dimanche l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) 5e, le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) 6e, l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) 7e, l'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) 8e, le Russe Vitaly Petrov (Lotus-Renault) 9e et le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber-Ferrari) 10e.
Hamilton a remporté la 15e victoire de sa carrière, la première depuis son succès à Spa Francorchamps en 2010. Vettel, qui avait remporté les deux premiers Grands Prix de la saison, conserve la tête du championnat avec 68 points, devant Hamilton, 47, et le Britannique Jenson Button, 4e dimanche, qui en compte 38. Au classement des constructeurs, Red Bull reste en tête avec 105 points, devant McLaren (85) et Ferrari (50).
Le 4e Grand Prix de la saison se courra le 8 mai en Turquie sur le circuit de l'Istanbul Park. (belga/7sur7)
Classement du GP de Chine
1. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) les 305,066 km en 1h36:58.226 (moyenne: 188,758 km/h)
2. Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault) à 5.198
3. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 7.555
4. Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) 10.000
5. Nico Rosberg (All/Mercedes) 13.448
6. Felipe Massa (Bré/Ferrari) 15.840
7. Fernando Alonso (Esp/Ferrari) 30.622
8. Michael Schumacher (All/Mercedes) 31.026
9. Vitaly Petrov (Rus/Lotus-Renault) 57.404
10. Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) 1:03.273
11. Paul di Resta (G-B/Force India-Mercedes) 1:08.757
12. Nick Heidfeld (All/Lotus-Renault) 1:12.739
13. Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth) 1:30.189
14. Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) 1:30.671
15. Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes) à 1 tour
16. Heikki Kovalainen (Fin/Team Lotus) 1 tour
17. Sergio Perez (Mex/Sauber-Ferrari) 1 tour
18. Pastor Maldonado (Ven/Williams-Cosworth) 1 tour
19. Jarno Trulli (Ita/Team Lotus) 1 tour
20. Jérôme D'Ambrosio (Bel/Virgin-Cosworth) 2 tours
21. Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) 2 tours
22. Narain Karthikeyan (Ind/Hispania-Cosworth) 2 tours
23. Vitantonio Liuzzi (Ita/Hispania-Cosworth) 2 tours
Abandon: Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso), roue mal fixée après changement au 10e tour
Classement des pilotes
1. Sebastian Vettel (All) 68 pts
2. Lewis Hamilton (G-B) 47
3. Jenson Button (G-B) 38
4. Mark Webber (Aus) 37
5. Fernando Alonso (Esp) 26
6. Felipe Massa (Bré) 24
7. Vitaly Petrov (Rus) 17
8. Nick Heidfeld (All) 15
9. Nico Rosberg (All) 10
10. Kamui Kobayashi (Jap) 7
11. Michael Schumacher (All) 6
12. Sébastien Buemi (Sui) 4
13. Adrian Sutil (All) 2
14. Paul di Resta (G-B) 2
Classement des constructeurs
1. Red Bull 105 pts
2. McLaren 85
3. Ferrari 50
4. Lotus-Renault 32
5. Mercedes GP 16
6. Sauber 7
7. Toro Rosso 4
8. Force India 4.
17/04/11 10h55
Le Real et le Barça se neutralisent
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7S7 mise à jour Le premier Clasico a débouché sur un match nul entre les deux ogres du football espagnol (1-1). Après avoir ouvert le score par Messi, les Catalans se sont fait rejoindre en fin de match sur un penalty de Cristiano Ronaldo. En infériorité numérique, le Real a montré que l'écart qui le séparait de son grand rival n'était pas aussi grand qu'on a bien voulu nous le faire croire. Dans l'optique des trois prochains Clasicos, le vainqueur moral, c'est peut-être lui.
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Barcelone est reparti de Madrid avec un point. Ce qu'il était venu chercher en fait. Un bon résultat pour les Catalans, qui gardent leurs 8 points d'avance en tête de la Liga et qui devrait leur permettre d'être sacrés champions d'Espagne dans quelques semaines.
Mais en y regardant de plus près, ce match nul n'est pas un si bon résultat que ça. Parce que le Barça peut nourrir des regrets et surtout, se dire que son grand rival n'est pas très loin de lui.
Albiol exclu, Messi ouvre la marque
Pourquoi avoir des regrets? Car les champions d'Espagne avaient la rencontre en main lorsqu'ils ont ouvert la marque sur un penalty de Lionel Messi, consécutif à une charge d'Albiol sur Villa (53e). Penalty, carte rouge, 0-1: plus rien ne pouvait arriver aux Catalans.
Le Real a du mérite
Mais même à dix contre onze, les Madrilènes, eux, n'ont pas abdiqué. Mieux, ils parvenaient à se créer plusieurs réelles opportunités et il fallait une jambe d'un défenseur ou un grand Valdès pour éviter l'égalisation.
Finalement, elle intervenait méritoirement à dix minutes du terme: Alvès taclait Marcelo et l'arbitre accordait (généreusement) un penalty que Cristiano Ronaldo transformait.
Messi vs Ronaldo
Avant ça, lors de la première mi-temps, les hommes de José Mourinho sont apparus bien en place, tentant d'exploiter au mieux les pertes de balles adverses. Sans pour autant être toujours en réussite face à la maîtrise de l'adversaire, la Maison Blanche a posé bien des problèmes à l'arrière garde catalane, où Puyol faisait son retour.
Les occasions? Pour Ronaldo par deux fois à Madrid, pour... Messi par deux fois au Barça. Un vrai match dans le match entre les deux meilleurs joueurs du monde. Le Portugais aura marqué pour la première fois contre le Barça tandis que l'Argentin a scoré pour la première fois contre une équipe dirigée par Mourinho. Voilà pour les premières.
Mercredi, Coupe du Roi
1-1: tout le monde a donc de quoi se montrer satisfait. Mais pas le temps de digérer ce premier Clasico pour autant: les deux équipes repartiront au clash dès mercredi, avec la finale de la Coupe du Roi. Le Real pourra s'inspirer de sa prestation de ce soir pour tenter d'enlever son premier trophée depuis longtemps. Tout ça, alors que la Ligue des Champions arrive à toute allure. On n'a pas fini de parler d'eux.
Julien Collignon
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Victoire finale de Tondo dans le Tour de Castille et Leon
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L'Espagnol Xavier Tondo (Movistar) a remporté dimanche le Tour de Castille et Leon cycliste (2.1) à l'issue de la 5e et dernière étape, Madrigal de Las Altas Torres - Medina del Campo (167,7 km). La victoire dans cette ultime étape est revenue au sprint au Britannique Ben Swift (Sky) devant les Espagnols Francisco Ventoso et Ruben Perez. (belg
Philippe Gilbert s'adjuge Amstel Gold Race
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7S7 mise à jour Déjà Vainqueur en 2010, Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté dimanche pour la deuxième fois l'Amstel Gold Race, la classique cycliste néerlandaise courue sur 260,4 km de Maastricht à Valkenburg.
Gilbert, qui a couru en patron un an après son premier succès, s'est dégagé dans la montée finale du Cauberg pour devancer nettement l'Espagnol Joaquin Rodriguez et l'Australien Simon Gerrans. Björn Leukemans a terminé 7e et Ben Hermans 8e. Le Luxembourgeois Andy Schleck, parti à l'attaque à 11 kilomètres de l'arrivée, a été rejoint dans le Cauberg où Gilbert a été le seul à suivre Rodriguez, le premier à démarrer.
La course s'est dénouée dans les 15 derniers kilomètres, bien après la fin de l'échappée de quatre coureurs (Timmer, Degand, De Negri, Ponzi) lancée dès le matin. Frank Schleck a été retardé en même temps que le Suisse Fabian Cancellara par une chute survenue à 23 kilomètres de l'arrivée.
Andy Schleck est passé à l'offensive après le Keutenberg, l'avant-dernière des 32 côtes du parcours, suite à deux premiers démarrages de l'équipe Katusha (J. Rodriguez, Kolobnev). Sans s'affoler, Gilbert bien appuyé par ses équipiers Jelle Vanendert et Jurgen Van den Broeck a maintenu un écart limité à une dizaine de secondes. Puis, le vainqueur sortant a pris la poursuite à son compte pour se rapprocher du cadet des Schleck au pied du Cauberg.
Le Wallon, qui est âgé de 28 ans, a signé sa deuxième victoire de la semaine, après la Flèche brabançonne. Il compte à son palmarès plusieurs classiques d'importance, notamment Paris-Tours (2008 et 2009) et le Tour de Lombardie (2009 et 2010). Il est aussi le premier coureur à réussir le doublé dans la classique néerlandaise, 31 ans après les quatre succès consécutifs du Néerlandais Jan Raas (1977-1980). .
Hamilton remporte le GP de Chine, D'Ambrosio 20e
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7S7 mise à jour Le pilote britannique Lewis Hamilton, de l'écurie McLaren-Mercedes, a remporté dimanche à Shanghai le Grand Prix de Chine de Formule 1, devançant le champion du monde en titre Sebastian Vettel (Red Bull-Renault), 2e à 5.198 secondes, et Mark Webber (Red Bull-Renault), 3e à 7.555 secondes. Notre compatriote Jérôme D'Ambrosio, qui disputait son 3e Grand Prix, a terminé la course en 20e position à 2 tours.
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Le champion 2008 a tiré parti d'une stratégie différente -trois changements de pneus pour lui, contre deux pour Vettel- et de pneus plus frais en fin de course pour dépasser le champion en titre et leader du général, qui ne remporte donc pas son cinquième GP d'affilée. L'Allemand n'a pas non plus égalé son compatriote Michael Schumacher, dernier pilote à avoir débuté une saison par trois succès (en 2004).
Une aubaine pour le Championnat, dont l'intérêt aurait pu s'émousser au fil de la domination implacable de l'Allemand, déjà vainqueur des deux premiers GP et auteur des trois pole positions de la saison.
Troisième, Mark Webber a réalisé une course exceptionnelle. Parti 18e sur la grille après une erreur de gommes en qualifications samedi, l'Australien a multiplié les dépassements pour se hisser sur le podium.
Ont encore marqué des points dimanche l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) 5e, le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) 6e, l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) 7e, l'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) 8e, le Russe Vitaly Petrov (Lotus-Renault) 9e et le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber-Ferrari) 10e.
Hamilton a remporté la 15e victoire de sa carrière, la première depuis son succès à Spa Francorchamps en 2010. Vettel, qui avait remporté les deux premiers Grands Prix de la saison, conserve la tête du championnat avec 68 points, devant Hamilton, 47, et le Britannique Jenson Button, 4e dimanche, qui en compte 38. Au classement des constructeurs, Red Bull reste en tête avec 105 points, devant McLaren (85) et Ferrari (50).
Le 4e Grand Prix de la saison se courra le 8 mai en Turquie sur le circuit de l'Istanbul Park. (belga/7sur7)
Classement du GP de Chine
1. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) les 305,066 km en 1h36:58.226 (moyenne: 188,758 km/h)
2. Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault) à 5.198
3. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 7.555
4. Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) 10.000
5. Nico Rosberg (All/Mercedes) 13.448
6. Felipe Massa (Bré/Ferrari) 15.840
7. Fernando Alonso (Esp/Ferrari) 30.622
8. Michael Schumacher (All/Mercedes) 31.026
9. Vitaly Petrov (Rus/Lotus-Renault) 57.404
10. Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) 1:03.273
11. Paul di Resta (G-B/Force India-Mercedes) 1:08.757
12. Nick Heidfeld (All/Lotus-Renault) 1:12.739
13. Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth) 1:30.189
14. Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) 1:30.671
15. Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes) à 1 tour
16. Heikki Kovalainen (Fin/Team Lotus) 1 tour
17. Sergio Perez (Mex/Sauber-Ferrari) 1 tour
18. Pastor Maldonado (Ven/Williams-Cosworth) 1 tour
19. Jarno Trulli (Ita/Team Lotus) 1 tour
20. Jérôme D'Ambrosio (Bel/Virgin-Cosworth) 2 tours
21. Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) 2 tours
22. Narain Karthikeyan (Ind/Hispania-Cosworth) 2 tours
23. Vitantonio Liuzzi (Ita/Hispania-Cosworth) 2 tours
Abandon: Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso), roue mal fixée après changement au 10e tour
Classement des pilotes
1. Sebastian Vettel (All) 68 pts
2. Lewis Hamilton (G-B) 47
3. Jenson Button (G-B) 38
4. Mark Webber (Aus) 37
5. Fernando Alonso (Esp) 26
6. Felipe Massa (Bré) 24
7. Vitaly Petrov (Rus) 17
8. Nick Heidfeld (All) 15
9. Nico Rosberg (All) 10
10. Kamui Kobayashi (Jap) 7
11. Michael Schumacher (All) 6
12. Sébastien Buemi (Sui) 4
13. Adrian Sutil (All) 2
14. Paul di Resta (G-B) 2
Classement des constructeurs
1. Red Bull 105 pts
2. McLaren 85
3. Ferrari 50
4. Lotus-Renault 32
5. Mercedes GP 16
6. Sauber 7
7. Toro Rosso 4
8. Force India 4.
Nadal, clap 7e à Monte-Carlo
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7S7 mise à jour Le numéro un mondial n'a connu que six défaites en 187 matches sur terre battue.
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L'Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, a remporté le Masters 1000 de Monte-Carlo pour la septième année consécutive. Il a battu dimanche en finale de cette épreuve sur terre battue dotée de 2.227.500 euros son compatriote David Ferrer (ATP 6/N.4) en deux sets: 6-4, 7-5 après 2h17 de jeu.
Record absolu
Nadal enlève à 24 ans son premier titre de l'année 2011, et le premier depuis son succès à Tokyo en octobre 2010. Ce 44e titre, en 59 finales, est aussi le 30e sur terre battue. Il s'agit aussi de sa 19e victoire dans un tournoi Masters 1000/Masters Series, deux de plus que Roger Federer et Andre Agassi, ce qui constitue un record absolu dans cette catégorie de tournois venant juste après ceux du Grand Chelem.
Record du siècle
Il a remporté face à Ferrer sa 37e victoire de suite sur terre battue, surface où il n'a connu la défaite que dans six matches sur 187 depuis début 2005. Ce 7e sacre d'affilée sur le Rocher constitue une série extraordinaire qui ne trouve pas d'équivalent dans l'histoire plus que centenaire du tennis. Il y a plus d'un siècle, dans les années 1880, l'Américain Richard Sears a certes remporté sept Championnats américains de suite. Mais c'était à une époque où le tenant du titre était directement qualifié pour la finale suivante.
Le Majorquin a encore eu du mal à se défaire de David Ferrer qui, après Rome l'année dernière, a également perdu sa deuxième finale dans un Masters 1000 face à Nadal. Il mène 12-4 dans ses duels face au Valencien et pris sa revanche après sa défaite en 1/4 de finale du dernier Open d'Australie.
Nadal a de nouveau connu des difficultés en service et sur son point fort, le coup droit (14 fautes directes). Il a même laissé fondre une avance de 4-2 dans le deuxième set pour offrir une petite rallonge aux spectateurs. Mais au final, le résultat est encore et toujours le même et l'impression laissée celle d'une implacable domination. (belga)
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17/04/11 17h06
Elijah Kemboi remporte le marathon d'Anvers
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Le Kenyan Elijah Kemboi a remporté dimanche matin le marathon d'Anvers dans un temps de 2h11:15, établissant un nouveau record personnel et un nouveau record du parcours. Il a devancé les Belges Lander Van Droogenbroeck (2h16:21) et Ghirma Woldu (2h17:23). Deux autres Belges, Koen Neven (2h17:53) et Tim Stessens (2h21:24), se classaient encore dans le top 5.
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Parti seul au 25e kilomètre après le travail des lièvres, Kemboi, qui est passé au 20e km en 1h02:36, n'a pas fléchi pour conserver 5:06 d'avance sur son plus proche poursuivant au terme des 42,195 km du parcours anversois.
Chez les dames, la victoire est revenue à Anne-Marie Dupont, en 3h08:13, décrochant sa deuxième victoire consécutive. Nicole Vermeersch a terminé deuxième à 6:38, Kristel Vochten complétant le podium à 7:04. (belga)
Classement de la 5e édition du marathon d'Anvers
Messieurs:
1. Elijah Kemboi (Ken) en 2h11:15
2. Lander Van Droogenbroeck 2h16:21
3. Ghirma Woldu 2h17:23
4. Koen Neven 2h17:53
5. Tim Stessens 2h21:24
Dames:
1. Anne-Marie Dupont en 3h08:13
2. Nicole Vermeersch 3h14:51
3. Kristel Vochten 3h15:17.
L'AC Milan s'approche du titre, Naples lâche prise
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La défaite face à l'Udinese semble écarter définitivement Naples du sacre. © afp
L'AC Milan a battu la Sampdoria Gênes (3-0) samedi et profite de la défaite de Naples à domicile contre l'Udinese (2-1), dimanche, pour s'envoler vers le titre de champion d'Italie, avec 6 points d'avance sur son dernier poursuivant à cinq étapes de l'arrivée, après la 33e journée.
L'opération parfaite. Le Milan s'était débarrassé de l'Inter, 8 points derrière après sa défaite à Parme (2-0), et a lâché Naples, qui a craqué contre une Udinese pourtant privée de ses deux leaders, Antonio Di Natale et Luis Sanchez, blessés. Le collectif mis en place par Francesco Guidolin fonctionne comme une horloge et a étouffé les Napolitains, qui voient probablement leurs rêves de titre se briser.
Une superbe frappe de Gökhan Inler dans la lucarne (55) et un but en contre de German Denis (61) ont décroché les hommes de Walter Mazzarri, qui ont même raté un penalty par Edinson Cavani (88), et n'ont réduit le score qu'en toute fin de match par Giuseppe Mascara (90+6).
Du coup Milan touche au but. Même sans Zlatan Ibrahimovic, suspendu trois matches pour insultes à un arbitre, puis sans Cristian Abbiati et Pato, blessés en première mi-temps, le leader a enfoncé la Sampdoria sous la barre de relégation (18e), avec un super Antonio Cassano, buteur sur penalty et passeur décisif trois jours après la naissance de son premier enfant. "Je suis un autre homme", a promis le turbulent Cassano, qui a aggravé la situation de son ancien club, d'où il a été chassé fin octobre pour avoir insulté le président.
La Juve et la Roma hors-course
L'Inter, elle, a définitivement lâché prise. "Huit points, c'est beaucoup", a admis Leonardo après la claque à Parme, la quatrième défaite en cinq matches pour une équipe en perdition, et qui n'a "plus d'essence", admet le technicien face à l'évidence. L'Inter, éliminé de la C1, n'a plus que la Coupe d'Italie, et la demi-finale aller à l'AS Rome, mardi, et doit sauver sa troisième place, synonyme d'accès direct à la C1.
Pour la place en barrages, l'Udinese revient à un point de la Lazio Rome, vainqueur à Catane (4-1) grâce à un excellent Mauro Zaratte (deux passes décisives et un but). La Juventus Turin, qui n'a ramené qu'un point de la Fiorentina (0-0), est à 8 longueurs, et comme dirait +Leo+, c'est beaucoup. Après trois victoires d'affilée, la Juve cale à nouveau et va sans doute passer une deuxième saison consécutive sans la C1. Comme pour la Roma, cela ne facilitera pas la reconstruction d'une grande équipe.
La Roma est 7 points derrière la Lazio. Elle a perdu chez elle contre Palerme (3-2), le jour même où elle a été achetée par l'Américain Thomas DiBenedetto, qui comptait sur la C1 pour attirer des grands joueurs. Dans la course au maintien, Cesena (17e) double la +Samp+ après sa victoire contre Bari (1-0) grâce à un but de l'Albanais Erjon Bogdani (48). Brescia (19e), battu 3-0 au Genoa, est à quatre longueurs du maintien, et Lecce a sauvé un point à la 90e+4 (but de Daniele Corvia) contre Cagliari (3-3) après avoir été mené 3-1. (afp)
Dortmund s'envole vers le titre
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Victoire finale de Tondo dans le Tour de Castille et Leon
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L'Espagnol Xavier Tondo (Movistar) a remporté dimanche le Tour de Castille et Leon cycliste (2.1) à l'issue de la 5e et dernière étape, Madrigal de Las Altas Torres - Medina del Campo (167,7 km). La victoire dans cette ultime étape est revenue au sprint au Britannique Ben Swift (Sky) devant les Espagnols Francisco Ventoso et Ruben Perez.
Lille accroché, Rennes humilié
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Le leader Lille, accroché par Bordeaux (1-1), et le 4e Rennes, humilié chez lui par son voisin lorientais (1-2), enregistrent samedi un 2e match d'affilée sans victoire avec la possibilité pour Marseille, Lyon voire Paris dimanche de resserrer les écarts après la 31e journée de L1.
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Tous deux battus le week-end dernier, les deux membres du Top 5 à la manoeuvre samedi ont donc réagi de façon similaire. Alors que le 21e but de Sow les avaient mis sur des bons rails, les Lillois, sans Gervinho, se sont fait surprendre par des Bordelais (1e0) habituellement décevants mais cette fois-ci motivés par l'enjeu, à l'image de l'égalisation énergique du jeune Savic, titulaire en l'absence des habituels défenseurs.
Après une semaine houleuse et avant leur demi-finale de Coupe de France à Nice mardi, les Dogues font du coup une deuxième tache sur leur beau parcours et vont voir resurgir les questions sur leur capacité à garder la barre sous la pression.
Devancés de respectivement quatre et six points, les bêtes du money-time que sont Marseille et Lyon peuvent flairer l'aubaine dimanche...
Battu pour la 1re fois de son existence chez lui par son voisin breton, une semaine après l'avoir déjà été à Brest, Rennes aussi peine à suivre le même rythme. Son sur-place, qui dure désormais depuis cinq journées, n'est pas immédiatement visible, mais il le sera immanquablement dimanche en cas de succès du PSG sur l'OL.
S'ils devaient plonger comme l'an passé, ce serait dur à encaisser pour les Bretons, actuellement quatrièmes avec deux points de retard sur le podium et autant d'avance sur la 5e place, alors qu'ils étaient encore deuxièmes au soir de la 26e journée.
Lorient (7e) avait pourtant tout du parfait adversaire pour remettre la machine en marche. Dominés, les joueurs d'Antonetti ont encore cru jouer un mauvais tour à leur adversaire après l'ouverture du score de Dalmat et les surprenants ratés de Gameiro, mais l'exclusion sévère de Souprayen (38) puis celle de Kana-Biyik (86) ont tout changé.
Car les Merlus ont fini par inverser la tendance après le repos grâce, finalement, à la 17e réalisation de leur artificier maison Gameiro et au premier but à ce niveau de Coquelin, prêté par Arsenal.
Du côté de ceux qui se battent pour le maintien, les fortunes sont diverses. En dominant Caen (3-2), battu pour la 3e fois d'affilée, Sochaux (9e) passe la barre des 40 points et peut envisager sereinement la suite. Il le doit notamment aux 12 passes décisives de Martin et aux 13 buts de Maïga. Il le doit aussi à son défenseur Dramé qui a fait une "petite Thuram" en offrant son 16e but à El Arabi avant d'égaliser dans la foulée!
Invaincu depuis sept matches, Nice (12e) bonifie pour sa part sa bonne série actuelle grâce à son succès (3-2) sur Monaco, piégé après sa belle réaction contre Lille. Avec 35 points, les Normands, 18e et relégables, et les Monégasques, juste devant, se trouvent en revanche dans une position très précaire malgré leurs points fort, respectivement la doublette Hamouma-El Arabi et le duo des antipodes Ruffier-Park. Elle ne l'est toutefois pas autant que celle de Lens, accroché (1-1) par Brest (11e) après avoir encore livré un match valeureux et même mené au score. Mais la poisse leur colle aux basque et les Artésiens (19es) ont désormais six points de retard sur la concurrence. Et vraisemblablement aussi un pied et demi dans la tombe.
D'autant plus qu'Auxerre jaillit en dehors de la zone rouge grâce à sa victoire à Toulouse, acquise grâce à un coup franc direct de Dudka à la dernière seconde (1-0) et qui lui permet de bondir de quatre place (14e).
A mi-chemin entre ceux qui luttent pour recoller au 2e peloton et le ventre-mou, le TFC (13e) verse par effet contraire du mauvais côté. Leur désillusion fait donc les affaire de Saint-Etienne (6e) qui repart enfin de l'avant après trois nuls en battant (2-1) Nancy (15e) grâce à la résurrection de Payet, dont le doublé porte son total à 12 buts. (afp
Marseille revient à un point de Lille
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Le championnat est relancé! Marseille est revenu dimanche à un point du leader Lille grâce à son succès à Montpellier (2-1), à l'occasion de la 31e journée du Championnat de France, qui se clôturera avec un Paris SG-Lyon très attendu.
Contrairement au week-end dernier, l'OM, à dix contre dix (exclusions de Rémy et El Kaoutari) n'a pas manqué cette fois le coche, après un nouveau faux pas de Lille, qui a concédé le nul samedi soir contre Bordeaux (1-1). Lille est toujours premier avec 59 points, mais voit en gros plan dans son rétroviseur Marseille, 2e avec 58 points. Avec ce succès en Hérault, PSG-Lyon (coup d'envoi à 21h00) sera moins lourd de conséquence pour l'OM en cas de victoire de l'OL. Lyon, 3e avec 53 points, s'il gagne, ne pourra revenir qu'à deux points de l'OM.
Un succès de Lyon ne ferait en tout cas pas les affaires de Lille: l'OL reviendrait à trois points des Lillois. Le LOSC, qui avait perdu à Monaco (1-0) le week-end dernier, n'a pas donc rassuré sur sa capacité à gérer la pression avec son nul à domicile contre Bordeaux et a permis à la concurrence d'en profiter. La zen attitude de Rudi Garcia va-t-elle en prendre un coup ?
Marseille, qui retrouvera Montpellier samedi prochain au Stade de France pour la finale de la Coupe de la Ligue, a bien préparé ce grand rendez-vous et se prépare à une fin de championnat plus qu'excitante.
Arles-Avignon officiellement relégué
Le week-end dernier, alors que l'OM pouvait déjà revenir sur Lille, les hommes de Didier Deschamps avaient dû se contenter du nul (2-2) contre Toulouse au Vélodrome. Cette fois, sans être vraiment impressionnants, ils ont assuré trois points plus que précieux. Ces points vont faire du bien dans les vestiaires et éloigner les rumeurs sur les départs possibles -de Didier Deschamps à Lucho- qui commençaient à parasiter la fin du championnat marseillais. Lille n'est pas le seul membre du "Big Five" à la française à peiner. Rennes, 4e avec 51 points, a ainsi perdu à domicile contre Lorient (2-1) sous les yeux de Raymond Domenech, venu en voisin puisqu'il possède une maison en Bretagne.
Les Rennais n'ont plus gagné depuis cinq matches et craignent de revivre le cauchemar de la saison passée (huit derniers matches sans victoire). Et si le PSG, 5e avec 49 points, l'emporte en soirée dimanche, il prendra la place des Bretons. Dans le bas du classement, la 31e journée a été riche en sensations. Un coup franc de Dudka, qui a la sale réputation de ne pas souvent cadrer ses frappes, a permis à Auxerre de l'emporter (1-0) à Toulouse dans les arrêts de jeu et de sortir de la zone de relégation. Auxerre se hisse en 15e position et laisse la 18e place à Caen, giflé par Sochaux (3-2).
Lens, qui a concédé le nul (1-1) sur son terrain contre Brest, est toujours englué à la 19e place. Arles-Avignon, la lanterne rouge, est officiellement en L2 après sa défaite contre Valenciennes (1-0) dimanche. Issue attendue d'un long calvaire. (afp
Stoke rejoint Manchester City en finale de la Cup
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Stoke a rejoint Manchester City en finale de la Coupe d'Angleterre en balayant Bolton 5 à 0 samedi à Wembley en demi-finale.
Il s'agira de la première finale de Cup de l'histoire des "Potters". Stoke a fait rapidement la différence en marquant trois fois dans les trente premières minutes par Etherington (11), Huth (17) et Jones (30). Walters a aggravé le score en réussissant un doublé en deuxième période (68, 81).
Manchester City avait gagné son billet samedi en battant son grand rival Manchester United 1 à 0 grâce à un but de Yaya Touré. La finale, prévue le 14 mai à Wembley, opposera deux clubs privés de trophées depuis plusieurs décennies. Le seul titre de Stoke remonte à 1972 en Coupe de la Ligue, alors que le club de Vincent Kompany et Dedryck Boyata n'a plus rien gagné depuis 1976, également en "League Cup".
Les "Citizens" et leurs stars, quatrièmes du Championnat, seront les grands favoris devant une équipe de Stoke qui n'a pas encore complètement assuré son maintien, à la 13e place. "Nous avons l'habitude d'être les outsiders. Le manager nous l'avait déjà dit avant la demi-finale", a déclaré Etherington.
Buts:
Stoke: Etherington (11), Huth (17), Jones (30), Walters (68, 81)
FOOTBALL
Une chaîne de télé confond Ronaldo et Ronaldo
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Ronaldo (à gauche) à la place de Cristiano Ronaldo.
La chaîne américaine ESPN a confondu le Portugais Cristiano Ronaldo avec son homonyme brésilien Ronaldo, récemment parti à la retraite, dans une infographie qui décryptait les statistiques de l'attaquant du Real Madrid.
le 18 avril 2011, 16h4
FORMULE 1
La métamorphose de McLaren
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Lewis Hamilton et Jenson Button à l'issue du GP de Chine
Pitoyable à tous les essais d’avant-saison, royal à Shanghai, où Lewis Hamilton a remporté dimanche le Grand Prix de Chine: McLaren, en à peine un mois et demi, a opéré une métamorphose impressionnante.
le 18 avril 2011, 12h10
LeMatin.ch & les agences
L’ascension de l’écurie de Woking rappelle le conte de fées vécu par Brawn GP en 2009. L’écurie issue de Honda F1, reprise pour une livre sterling symbolique au constructeur japonais par l’ancien directeur de l’équipe Ross Brawn, semblait vouée aux abîmes du classement. En fin de saison, son premier pilote Jenson Button était sacré champion du monde.
Depuis lors, Button s’en est allé chez... McLaren, où il a réussi une jolie première année, ponctuée d’une 5e place au classement, un rang derrière son coéquipier Lewis Hamilton. Mais Red Bull et Sebastian Vettel se sont finalement imposés en 2010. McLaren, vexé, a juré de se venger. Pour tomber de haut à l’intersaison.
Un désastre
La monoplace britannique a ainsi suscité la pitié du paddock aux derniers essais hivernaux. La MP4-26 (modèle 2011), mal née, sous-performante et peu fiable, «ne pouvait pas faire plus de 20 tours» sans tomber en panne, s’est souvenu Lewis Hamilton. «C’était un désastre», largement commenté outre-Manche.
«Nos ambitions en terme de philosophie de la voiture avaient excédé nos capacités. Nous sommes partis sur complètement autre chose au niveau de l’échappement», a raconté vendredi le directeur de l’équipe, Martin Whitmarsh. Un changement qui a fait gagner une seconde au tour à McLaren.
Dans un Championnat 2011 dominé par Red Bull et un impitoyable Vettel - deux victoires, trois pole positions, un tableau de chasse parfait avant le Grand Prix de Chine -, Button et Hamilton se battaient jusqu’alors pour la place du dauphin. En Australie, Hamilton a fini 2e mais est resté loin de Vettel. Le GP de Malaisie a vu Button prendre cette même 2e place, toujours derrière l’Allemand. La tendance dimanche paraissait identique. D’autant que le pilote Red Bull avait distancé de plus de 7 dixièmes les deux McLaren en qualifications.
Machine à vaincre
Mais la belle histoire ne pouvait pas aussi mal se conclure pour les deux Britanniques. Dès le départ, Button et Hamilton se défaisaient ainsi de Sebastian Vettel, à la lenteur coupable à l’entame. Comme dans tout bon scénario de film, les renversements se succédaient ensuite. Jusqu’au dépassement somptueux de Hamilton sur Vettel à cinq tours de la fin. «C’était exceptionnel. Merci beaucoup», s’est écrié à la radio le Britannique après sa victoire, recevant en retour un sobre «tu as été absolument magnifique».
«Je me sens si fier. Ce GP est l’une de mes trois plus belles victoires. Il est tout en haut, avec mes succès à Silverstone et Monaco en 2008», ajoutait plus tard le champion du monde 2008, avant de conclure: «J’existe, je vis, je respire pour gagner. J’aime gagner et je ne pourrais pas être plus heureux.» Clap final. La métamorphose a opéré. McLaren est redevenu une machine à vaincre.
Le record du monde de marathon a été battu
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© reuters
Le Kenyans Geoffrey Mutai a établi un nouveau record du monde de marathon en remportant lundi le 115eme marathon de Boston. Il a couvert les 42 km 195 en 2 heures 3 minutes et 2 secondes (temps encore officieux), améliorant de presque une minute l'ancienne marque établie par l'Ethiopien Haile Gebrselassie en 2008 à Berlin (2h03:59).
Sur le parcours en légère descente du Massachusetts, Mutai a devancé de 4 secondes son compatriote Moses Mosop (2h03:06), qui lui aussi est descendu en-dessous de l'ancien record de Gebrselassie, et l'Américain Ryan Hall (2h04:58).
Dans la course féminine la victoire est revenue à la Kényanne Caroline Kilel, en 2h22:36, devant l'Américaine Désiree Davila (2h22:38) et sa compatriote Sharon Cherop (2h22:42). (belga)
badminton
Tenue courte exigée
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Sabrina Jaquet
Dès le 1er mai prochain, les femmes devront obligatoirement porter des jupes en compétition. La mesure vise à rendre la discipline plus attrayante auprès du grand public.
Julien Caloz - le 18 avril 2011, 21h08
Le Matin
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Superséries, grand prix BWF
La Fédération internationale de badminton (BWF) renouvelle sa garde-robe. Dans l’espoir de susciter de nouvelles vocations, elle a confié un audit à la société de marketing Octagon, laquelle est arrivée à la conclusion suivante: dès le 1er mai, les joueuses impliquées dans les compétitions estampillées Superséries et Grand Prix (soit les deux plus hautes catégories de jeu) devront obligatoirement porter une jupe. «Nous voulons améliorer la notoriété de notre sport en soignant sa présentation», a validé Darren Parks, directeur des épreuves de la fédération, au Djakarta Globe.
La fédération a d’ores et déjà tout prévu. «Les athlètes qui se produiront dans certains pays asiatiques, par exemple, auront la possibilité de porter un short sous leur jupe, tout comme celles qui évolueront dans un pays musulman pourront enfiler un pantalon, a fait savoir Venu Jopel, responsable des événements au sein de la BWF. Quant aux joueuses récalcitrantes, elles pourraient passer devant notre comité de discipline.»
Le fond plus discutable que la forme
Interrogée sur ce code vestimentaire d’un genre nouveau, la coach genevoise Anouck Gaillard s’est d’abord inquiétée de l’exactitude du règlement – «C’est quoi, cette histoire? un poisson d’avril?» – avant de relativiser l’ampleur de la réforme. «Les filles que j’entraîne mettent des shorts supermoulants. Quelle est la différence avec une jupe?» «Et puis il y a des shorts qui sont encore plus féminins que des jupes, assure Chantal Pernet, présidente de l’Association vaudoise de badminton. Imposer une tenue n’est pas une bonne chose. Il faudrait laisser le libre choix aux joueuses.» «Je porte des jupes en dehors du court, et cela ne me pose aucun problème d’en revêtir en compétition. Je comprends qu’on veuille rendre ce sport plus glamour, mais la méthode n’est pas bonne. On ne devrait pas imposer aux gens ce qu’ils doivent porter», a estimé l’Indienne Jwala Gutta, médaillée d’or des Jeux du Commonwealth.
Pas de répercussions à Bâle ni à paris
La directive, au-delà des considérations émotionnelles qu’elle engendre, témoigne de l’innovation des disciplines négligées par les masses (le hockey sur gazon aux Jeux de Londres se déroulera sur une surface bleue, auréolée de rose). En quête perpétuelle de nouveaux adhérents, le badminton rhabille ses joueuses, sans que la relation entre l’habit et l’essor du jeu soit perceptible. «Je ne crois pas que les gens vont davantage regarder le badminton parce que nous portons des jupes. Cette histoire me fait un peu rire», confie Laurence Chollet, coach adjoint des cadres fribourgeois.
Directement concerné par la décision de la Fédération internationale, le directeur du tournoi de Bâle (Grand Prix), Charles Keller, nuance également l’influence des tenues sur le rayonnement de la discipline. «Pour moi, cette règle ne va rien changer. Je ne compte pas là-dessus. Un Suisse en quarts de finale amènera davantage de spectateurs à Bâle qu’une fille en jupe.»
A Paris, où les Superséries se disputent chaque année, «il n’y aura pas d’effet jupette», prédit le directeur technique national de la Fédération française, Jean-Marc Pocholle. «Je suis plutôt dubitatif. Aujourd’hui ce sont les jupes, et demain les chaussettes? Il serait plus judicieux que les équipementiers développent de nouvelles tenues féminines. Shorts ou jupes, en fin de compte, peu importe.»
Le beach-volley a perdu sa pudeur en 1996
La Fédération internationale (FIVB) a déshabillé ses joueuses de beach-volley aux Jeux d’Atlanta en 1996, selon la directive suivante: le bas, taillé dans un tissu moulant, ne doit pas être plus large que 7 cm sur les hanches. Depuis, les persiflages ont quitté le bord de mer. «A chaque fois que je parle de mon sport, on me pose des questions sur mon bikini. C’est réducteur et cela me blesse», a déploré la Suissesse Romana Kayser, sur le portail lesquotidiennes.com. Georges-André Carrel ne s’émeut pourtant pas des lassitudes. «Pourquoi les joueuses seraient-elles davantage vêtues en compétition que sur une plage de Rimini? interroge le chef des sports de l’Université de Lausanne. Il ne faut pas sans cesse jouer aux puristes. Le sport, c’est aussi du business.»
AUTOMOBILISME
IndyCar Series: Simona De Silvestro 20e
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Simona de Silvestro
La Vaudoise n'a pas réédité l'exploit de fin mars lorsqu'elle avait terminé au pied du podium sur le circuit de St. Petersbourg, en Floride. Ce weekend, à Long Beach, Simona de Silvestro a connu une course plutôt mouvementée.
le 18 avril 2011, 11h20
LeMatin.ch & les agences
Regardez la vidéo à 1'04'', Simona de Silvestro dans sa monoplace verte et blanche frappée du numéro 78. A voir aussi, Sébastien Bourdais (ancien coéquipier de Sébastien Buemi en F1 chez Toro Rosso) s'accrochant dans l'allée des stands (1'59''). Simona de Silvestro a terminé en 20e position à 3 tours du vainqueur.
Long Beach (EU). IndyCar Series (85 tours de 3,16 km/268,6 km): 1. Mike Conway (GB) 1h53’11’’100 (142,710 km/h). 2. Ryan Briscoe (Aus) à 6’’320. 3. Dario Franchitti (GB) à 6’’716. 4. James Hinchcliffe (Can) 9,171. 5. Alex Tagliani (Can) à 16’’017. 6. Oriol Servia (Esp) à 16’’897. Puis: 20. à 3 tours: Simona De Silvestro (S). Classement général (3/17): 1. Franchitti 122. 2. Will Power (Aus) 115. 3. Tony Kanaan (Bré) 87. Puis: 7. De Silvestro 66.
Athlétisme
Lemaitre contre Bolt et Powell sur 100 m
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Christophe Lemaitre
Le triple champion d’Europe, Christophe Lemaitre, sera en lice sur 100 m le 26 mai lors de la réunion de Rome, troisième étape de la Ligue de diamant d’athlétisme.
le 19 avril 2011, 16h26
LeMatin.ch & les agences
La participation du Français, premier coureur blanc à passer sous la barre des 10 sec la saison dernière, vient s’ajouter à un casting déjà prestigieux comptant le champion olympique Usain Bolt et l’ancien détenteur du record du monde Asafa Powell.
Lemaitre, 21 ans, avait couru en 9''98 en juillet 2010 lors des Championnats de France à Valence, avant d’abaisser ce record de France à 9''97 à Rieti en Italie fin août (voir la vidéo en bas).
Autres têtes d'affiche
Le détenteur du record du monde du 800 m, le Kényan David Rudisha, et les championnes du monde américaines Sanya Richards (400 m) et Allyson Felix (200 m) figureront également à l’affiche de la réunion de Rome.
Le record du monde du marathon n'est pas homologué
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Haile Gebrselassie reste le détenteur du record du monde du marathon en 2h03'59 (à Berlin en 2008). Ce week-end, le Kényan Geoffrey Mutai pensait l'avoir battu en 2h03'02 à Boston. Ce qui est vrai, en théorie...
La Fédération internationale d'athlétisme ne peut pas homologuer ce nouveau record. La raison? L'IAAF ne tolère pas une baisse d'altitude entre les lignes de départ et d'arrivée de plus d'un mètre par km (soit 42m). Or ce chiffre est de 3,22m par km sur le parcours de Boston.
L'IAAF exige également que les lignes de départ et d'arrivée ne soient pas situées l'une de l'autre à plus de 50% de la distance de la course à vol d'oiseau (soit 21 km pour le marathon). Ce n'est pas le cas entre Hopkinton (Massachusetts) et Boston. (chds)
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Contador retrouve Schleck, à l'ombre de l'affaire
Mots clés : Cyclisme (http://plus.lefigaro.fr/tag/cyclisme), Flèche Wallonne (http://plus.lefigaro.fr/tag/fleche-wallonne), Tour de France (http://plus.lefigaro.fr/tag/tour-de-france), Alberto Contador (http://plus.lefigaro.fr/tag/alberto-contador), Andy Schleck (http://plus.lefigaro.fr/tag/andy-schleck)
Par Jean-Julien Ezvan (http://plus.lefigaro.fr/page/jean-julien-ezvan)
19/04/2011 | Mise à jour : 11:46 Réagir (http://plus.lefigaro.fr/article/contador-retrouve-schleck-a-lombre-de-laffaire-20110418-443673/commentaires) http://www.lefigaro.fr/icones/abonner.jpg (http://plus.lefigaro.fr/abonnement/digital/presentation#xtor=AD-1-[Generique]--[]-[SELECT]-)
http://www.lefigaro.fr/medias/2011/04/18/7ea8383c-6a68-11e0-9b00-79fd362fea59.jpg
Andy Schleck et Alberto Contador au coude-à-coude, le 22 juillet dernier dans l'ascension d'un col du Tour de France. Crédits photo : REUTERS/POOL New.
[B][B]CYCLISME - Le vainqueur du Tour, encombré par le feuilleton du dopage, et son dauphin se croisent demain sur la Flèche wallonne.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif En marge de l'affaire qui empoisonne le paysage depuis le 26 août dernier, Alberto Contador et Andy Schleck se croiseront demain sur la Flèche wallonne, alors que leur prochain face-à-face sur le 98e Tour de France (envol de Vendée, le 2 juillet) reste suspendu au verdict du Tribunal arbitral du sport (TAS), promis en juin.
Dans ce contexte encombré de questions, l'Espagnol roule. Épée de Damoclès au-dessus du casque. Rappel. Après le contrôle positif au clenbutérol du 21 juillet lors de la dernière Grande Boucle, la fédération espagnole proposa (le 26 janvier) une sanction d'un an avant de blanchir le 15 février l'enfant de Pinto (http://www.lefigaro.fr/cyclisme/2011/02/15/02007-20110215ARTSPO00595-contador-est-libre.php). L'Union cycliste internationale a ensuite fait appel devant le TAS, le 24 mars, imitée par l'Agence mondiale antidopage. Absous à Lausanne, Contador pourrait retrouver la Grande Boucle, et reprendre le fil d'une histoire emmêlée, obscurcie…
De retour en compétition depuis le 16 février, le coureur de la formation Saxo-Bank (http://www.lefigaro.fr/sport-business/2011/01/28/04014-20110128ARTFIG00585-nous-soutiendrons-l-equipe-saxo-avec-ou-sans-contador.php) fait toujours comme si de rien n'était. Imperturbable, il gagne. Le Tour de Murcie et le Tour de Catalogne. Se distingue sur le Tour d'Algarve. Sans parvenir à semer les questions et la suspicion collant à ses roues. Demain, à l'heure du tournant de la saison, passant des classiques flandriennes aux ardennaises et annonçant le retour sur le devant de la scène des acteurs des courses par étapes, le protégé de Bjarne Riis se retrouvera en première ligne. Sous les feux de l'actualité, de la curiosité. Sur une épreuve estampillée Amaury Sport Organisation. Avant de s'aligner sur le Tour d'Italie. Au sujet de l'encombrant protagoniste, Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, avoue: «Nous sommes comme tous les organisateurs dans les pays où il court et va courir. Dans l'attente de la réponse du TAS…»
Jamais loin l'un de l'autre
Alberto Contador, la tranquillité peinte sur le visage, s'avance. À 73 jours du départ du Tour de France. Troisième de la Flèche wallonne l'an passé, il devançait déjà Andy Schleck (9e à 11 secondes). Contador-Schleck séparés de 39 secondes le 25 juillet dernier sur les Champs-Élysées, avant d'être emportés dans un maelström comme seul le cyclisme peut en écrire. L'Espagnol et le Luxembourgeois, jamais loin l'un de l'autre. Contador évolue dans l'ancienne formation de son rival qui pourrait, lui, récupérer le gain du dernier Tour. Ubuesque…
Le duo sera accompagné d'un paquet de prétendants prêts au ricochet menant de la Flèche wallonne à Liège-Bastogne-Liège (dimanche) avec, notamment, le Belge Gilbert (Omega Pharma Lotto), l'Italien Basso (Liquigas), le Néerlandais Kroon (BMC), le Russe Kolobnev (Katusha), l'Allemand Martin ou le Français Fédrigo. Sous un ciel toujours encombré de nuages. Christian Prudhomme assure, résumant la force et la fragilité de la discipline: «La Flèche wallonne, comme Liège-Bastogne-Liège créée en 1892, a des racines. Il faut prendre soin de ces épreuves. Les audiences télé sont en très forte hausse en Belgique et sont relayées dans 135 pays et sur cinq continents…»
75e Flèche wallonne (de Charleroi à Huy, 201 km). En direct demain sur France 3 à partir de 15 heures.
cyclisme
Contador a envie de faire le mur
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Alberto Contador a connu quelques problèmes la semaine dernière au Tour de Castille-et-León, mais cela ne l’empêche pas d’être ambitieux sur la Flèche Wallonne.
Blanchi en Espagne, mais menacé par les recours de l’UCI et de l’AMA auprès du TAS, l’Espagnol court comme si de rien n’était et veut briller en haut du mur de Huy aujourd’hui.
Bernard Morel - le 19 avril 2011, 20h33
Le Matin
Cela peut paraître curieux en regard de la valeur du personnage, mais le palmarès professionnel d’Alberto Contador n’est pour ainsi dire garni que de courses par étapes (avec des victoires d’étapes). On ne trouve pratiquement nulle trace d’épreuve d’un jour, de grande classique en tout cas. Ce serait donc une grande première si l’Espagnol de 28 ans réussissait à s’imposer en haut du mur de Huy cet après-midi dans la Flèche Wallonne.
Cet exploit, Contador a été près de le réaliser il y a un an. Dans l’ascension finale de cette terrible côte – un peu plus de 1 km à 12% de moyenne avec un passage à plus de 20% – le triple vainqueur du Tour avait porté une accélération qui semblait le propulser vers la victoire, mais il avait été débordé par Cadel Evans et Joaquin Rodriguez dans les 100 derniers mètres.
Attaque trop tôt
Cette année, Alberto Contador revient dans les Ardennes avec l’idée de, cette fois, s’imposer. Laurent Jalabert croit en tout cas beaucoup en lui. «L’année dernière, par manque d’expérience, Contador a attaqué trop tôt dans le mur de Huy», explique-t-il dans une interview parue dans L’Equipe d’hier. Et d’ajouter qu’il fait de l’Espagnol son favori pour la Flèche Wallonne. «Comme il ne court pas Liège-Bastogne-Liège dimanche, il va tout donner dans la Flèche.» Alberto Contador, c’est certain, est là pour gagner. Depuis que la Fédération espagnole l’a blanchi dans l’affaire du contrôle positif au clenbuterol le 21 juillet dernier lors du Tour de France, le protégé de Bjarne Riis affiche une mine sereine et cela se ressent dans ses résultats. Il a notamment remporté les Tours de Murcie et de Catalogne. La semaine dernière, lors du Tour de Castille-et-León, une mauvaise journée, due à deux crevaisons et à un refroidissement, l’a empêché de jouer la gagne au niveau du général, mais il a gagné le contre-la-montre le samedi.
Une épée de Damoclès est pourtant suspendue au-dessus de la tête de Contador depuis le 26 mars, jour où l’Union cycliste internationale et l’Agence mondiale antidopage ont décidé de faire appel de la décision de la Fédération espagnole de cyclisme devant le Tribunal arbitral du sport. L’instance lausannoise doit rendre son verdict en juin, avant le départ du Tour de France. En attendant, l’Espagnol court comme si de rien n’était. On ne le verra certainement pas au Tour de Romandie la semaine prochaine – «Jusqu’à présent en tout cas, il n’est pas annoncé», relève Richard Chassot, directeur du TdR – en revanche, il est annoncé au départ du Tour d’Italie (7-29 mai). Où il rêve, trois ans après, de voir de nouveau la vie en rose. Et au risque d’être dépossédé plus tard de tous ses succès, y compris celui du Tour de France 2009.
La Flèche Wallonne en direct sur notre site dès 14 h
Lille et Eden Hazard en finale de la Coupe de France
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Lille, qui reste sur une défaite et un nul en championnat, s'est qualifié pour la finale de la Coupe de France aux dépens de Nice (victoire 0-2), mardi. Eden Hazard, monté au jeu en cours de première période, a ouvert le score pour les Dogues.
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Rudi Garcia avait décidé de laisser Eden Hazard sur le banc pour cette demi-finale de la Coupe de France entre Lille et Nice. L'international belge allait monter au jeu à la 36e minute, à la place de l'ancien Niçois Florent Balmont, apparemment victime d'un claquage.
Et le milieu de terrain allait faire la différence dès sa deuxième touche de balle. Il combinait avec Obraniak, qui lui remettait parfaitement le ballon dans la profondeur. Hazard décrochait alors une frappe, déviée par Pejcinovic, qui trompait Lionel Letizi (44e).
Gervinho, qui a débuté sa carrière à Beveren, assurait la qualification de Lille pour la finale en tout début de seconde période (46e).
L'Inter bat Rome
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© afp
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L'Inter, tenant du trophée, est allé gagner 1 à 0 au stade olympique devant l'AS Rome, mardi, en demi-finale aller de la Coupe d'Italie, grâce à un but de Dejan Stankovic.
Demi-finales aller:
Mardi
AS Rome - Inter Milan 0 - 1
But
Inter Milan: Stankovic (45)
Mercredi:
(20h45) AC Milan - Palerme
Retours:
mardi 10 mai
(20h45) Palerme - AC Milan
mercredi 11 mai
(20h45) Inter Milan - AS Rome.
Robert Kubica peut enfin quitter l'hôpital
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Le pilote de Formule 1 Robert Kubica peut enfin quitter l'hôpital, deux mois après avoir été victime d'un grave accident en rallye, a indiqué l'agence de presse polonaise PAP mardi.
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Le porte-parole de l'hôpital de Pietra Ligure a confirmé qu'après quatre opérations, le danger d'infection était définitivement écarté. Kubica peut désormais décider lui-même quand il quittera l'hôpital. Il n'est donc pas exclu que le Polonais rentre chez lui avant Pâques.
Le pilote de Formule 1, âgé de 26 ans, s'était occasionné plusieurs fractures à la main droite, l'avant-bras, les épaules et le pied lors d'un grave accident en rallye il y a deux mois. (belga)
Flèche Wallonne: la liste définitive des participants
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Les liste définitive des participants à la Flèche Wallonne de mercredi:
- BMC Racing Team:
1. Greg Van Avermaet; 2. Matthias Frank (Sui); 3. Martin Kohler (Sui); 4. Jeffrey Louder (USA); 5. Amaël Moinard (Fra); 6. Mauro Santambrogio (Ita); 7. Ivan Santaromita (Ita); 8. Johann Tschopp (Sui)
- Katusha Team:
11. Joaquin Rodriguez (Esp); 12. Danilo Di Luca (Ita); 13. Serguei Ivanov (Rus); 14.Alexandre Kolobnev (Rus); 15. Daniel Moreno (Esp); 16. Yuri Trofimov (Rus); 17. Maxime Vantomme; 18. Eduard Vorganov (Rus)
- Saxo Bank-Sungard:
21. Alberto Contador (Esp); 22. Mads Christensen (Dan); 23. Jesus Hernandez (Esp); 24. Rafael Majka (Pol); 25. Nick Nuyens; 26. Chris Sörensen (Dan); 27. Nicki Sörensen (Dan); 28. Brian Vandborg (Dan)
- Team RadioShack:
31. Janez Brajkovic (Slo); 32. Matthew Busche (USA); 33. Philipp Deignan (Irl); 34. Ben Hermans; 35. Markel Irizar (Esp); 36. Nelson Oliveira (Por); 37. Sergio Paulinho (Por); 38. Haimar Zubeldia (Esp)
- HTC-Highroad:
41. Tony Martin (All); 42. Michael Albasini (Sui); 43. Caleb Fairly (USA); 44. Patrick Gretsch (All); 45. Craig Lewis (USA); 46. Marco Pinotti (Ita); 47. Kastantin Sivtsov (Blr); 48. Tejay Van Garderen (USA)
- Rabobank:
51. Robert Gesink (P-B); 52. Carlos Barredo (Esp); 53. Paul Martens (All); 54. Bauke Mollema (P-B); 55. Tom Jelte Slagter (P-B); 56. Bram Tankink (P-B); 57. Laurens ten Dam (P-B); 58.Pieter Weening (P-B)
- Team Garmin-Cervelo:
61. Ryder Hesjedal (Can); 62. Raymond Kreder (P-B); 63. Christophe Le Mevel (Fra); 64. X; 65. Daniel Martin (Irl); 66. David Millar (G-B); 67. Peter Stetina (USA); 68. Christian Vandevelde
- Team Leopard-Trek:
71. Andy Schleck (Lux); 72. Stefan Denifl (Aut); 73. Jakob Fuglsang (Dan); 74. Anders Lund (Dan); 75. Maxime Monfort; 76. Fränk Schleck (Lux); 77. Jens Voigt (All); 78. Fabian Wegmann (All)
- Lampre-ISD:
81. Damiano Cunego (Ita); 82. Leonardo Bertagnolli (Ita); 83. Francesco Gavazzi (Ita); 84. David Loosli (Sui); 85. Manuele Mori (Ita); 86. Daniele Pietropolli (Ita); 87. Alessandro Spezialetti (Ita); 88. Diego Ulissi (Ita)
- Movistar Team:
91. X; 92. Rui Alberto Faria Da Costa (Por); 93. Jose Vicente Garcia Acosta (Esp); 94. Benat Intxausti (Esp); 95. Vasili Kiryienka (Blr); 96. Ignatas Konovalovas (Lit); 97. José Joaquin Rojas (Esp); 98. Xavier Tondo (Esp); 99. Jesus Herrada (Esp)
- Quick Step:
101. Dario Cataldo (Ita); 102. Marc de Maar (P-B); 103. Dries Devenyns; 104. Addy Engels (P-B); 105. Jérôme Pineau (Fra); 106. Francesco Reda (Ita); 107. Kristof Vandewalle; 108. Julien Vermote
- Sky Procycling:
111. Simon Gerrans (Aus); 112. Davide Appollonio (Ita); 113. Stephen Cummings (G-B); 114. Christian Knees (All); 115. Thomas Lövqvist (Sue); 116. X; 117. Rigoberto Uran (Col); 118. Xabier Zandio (Esp); 119. Kjell Carlström (Sue)
- Omega Pharma-Lotto:
121. Philippe Gilbert; 122. Jan Bakelants; 123. Françis De Greef; 124. Gert Dockx; 125. Jurgen Van de Walle; 126. Jurgen Van den Broeck; 127. Jelle Vanendert; 128. Jussi Veikkanen (Fin)
- Liquigas-Cannondale:
131. Ivan Basso (Ita); 132. Francesco Bellotti (Ita); 133. Damiano Caruso (Ita); 134. Tumothy Duggan (USA); 135. Paolo Longo Borghini (Ita); 136. Dominik Nerz (All); 137. Maciej Paterski (Pol); 138. Simone Ponzi (Ita)
- Euskaltel-Euskadi:
141. Samuel Sanchez (Esp); 142. Igor Anton (Esp); 143. Jonathan Castroviejo (Esp); 144. Egoi Martinez (Esp); 145. Alan Perez (Esp); 146. X; 147. Ivan Velasco (Ita); 148. Gorka Verdugo (Esp); 149. Jon Izagirre (Esp)
- AG2R-La Mondiale:
151. Jean-Christophe Peraud (Fra); 152. John Gadret (Fra); 153. Biel Kadri (Fra); 154. David Lelay (Fra); 155. Sébastien Minard (Fra); 156. Rinaldo Nocentini (Ita); 157. Christophe Riblon (Fra); 158. Nicolas Roche (Irl)
- Vacansoleil-DCM:
161. Lieuwe Westra (P-B); 162. Thomas De Gendt; 163. Michal Golas (Pol); 164. Johnny Hoogerland (P-B); 165. Pim Ligthart (P-B); 166. Marco Marcato (Ita); 167. Wouter Poels (P-B); 168. Rob Ruijgh (P-B)
- Astana:
171. Alexandre Vinokourov (Kaz); 172. Assan Bazayev (Kaz); 173. Rémy Di Gregorio (Fra); 174. Dmitriy Fofonov (Kaz); 175. Enrico Gasparotto (Ita); 176. Andriy Grivko (Ukr); 177. Maxim Iglinskiy (Kaz); 178. Fredrik Kessiakoff (Sue)
- Cofidis:
181. Rein Taaramae (Est); 182. Mickael Buffaz (Fra); 183. Rémy Cusin (Fra); 184. Julien El Fares (Fra); 185. Luis Angel Mate (Esp); 186. David Moncoutié (Fra); 187. Aleksejs Saramotins (Let); 188. Nico Sijmens
- Skil-Shimano:
191. X; 192. Thomas Bonnin (Fra); 193. Roy Curvers (P-B); 194. X; 195. Johannes Fröhlinger (All); 196. Alexandre Geniez (Fra); 197. Simon Geschke (All); 198. Thierry Hupond (Fra); 199. Matthieu Sprick (Fra); 200. Albert Timmer (P-B)
- FDJ:
201. Pierrick Fedrigo (Fra); 202. Arnaud Gerard (Fra); 203. Mickael Delage (Fra); 204. Anthony Geslin (Fra); 205. Arnold Jeannesson (Fra); 206. Gianni Meersman; 207. Cédric Pineau (Fra); 208. Wesley Sulzberger (Aus)
- Landbouwkrediet:
211. Bert De Waele; 212. Dirk Bellemakers; 213. Edwig Cammaerts; 214. Sébastien Delfosse; 215. Benjamin Gourgue; 216. Matthi Heminen (Fin); 217. Bert Scheirlinckx; 218. Geert Verheyen
- Saur-Sojasun:
221. Jérôme Coppel (Fra); 222. Jonathan Hivert (Fra); 223. Fabrice Jeandesboz (Fra); 224. Sébastien Joly (Fra); 225. X; 226. Laurent Mangel (Fra); 227. Jean-Marc Marino (Fra); 228. Yannick Talabardon (Fra); 230. Ludovic Turpin (Fra)
- Veranda's Willems-Accent:
231. Staf Scheirlinckx; 232. Thomas Degand; 233. Gregory Habeaux; 234. Bram Schmitz (P-B); 235. Sven Van den Houte; 236. Jurgen Van Goolen; 237. Arnaud van Groen (P-B); 238. Jacobus Venter (AfS)
- Topsport Vlaanderen-Mercator:
241. Sander Armee; 242. Jérôme Baugnies; 243. X; 244. Laurens De Vreese; 245. Pieter Jacobs; 246. Pieter Serry; 247. Geert Steurs; 248. Preben Van Hecke; 250. Stijn Neirynck.
Football
Le roi c'est le Real
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Image © EPA
Cristiano Ronaldo a marqué le but de la victoire
Le Real Madrid a remporté la Coupe du Roi hier soir à Valence en battant Barcelone 1-0 au terme des prolongations.
le 20 avril 2011, 23h23
LeMatin.ch & les agences
Le Real Madrid a remporté hier soir sa 18e Coupe du Roi en battant 1-0 le FC Barcelone dans une finale somptueuse grâce à un but de Cristiano Ronaldo en prolongation (103e minute), à Valence.
Le Real Madrid tient enfin sa revanche face au Barça, une équipe qu’il n’avait plus battue depuis mai 2008 (4-1 en Liga).
Il a écarté le spectre d’une nouvelle saison blanche alors que la Liga semble promise au Barça et qu’il retrouvera sur sa route la formation catalane en demi-finales de la Ligue des champions, le 27 avril et le 3 mai.
C’est la première finale perdue par le Barça de Josep Guardiola, entraîneur en poste depuis la saison 2008-2009.
ski de vitesse
Ouvert à tous les vents
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Image © Boris Soula
Les bourrasques ont obligé les organisateurs des Mondiaux à modifier leur programme. Les coureurs se sont organisés en coulisses pour influer sur la décision du jury.
Julien Caloz - le 20 avril 2011, 22h21
Le Matin
Soixante-trois coureurs ont poireauté toute la matinée au pied de la paroi verticale du Mont-Fort, dans l’espoir que le vent lève les doutes et que les demi-finales puissent enfin débuter.
«La zone de chronométrage (ndlr: un tronçon de 100?m en bas de piste ) est instable. Ça souffle à 28 km/h, soit 13 de plus que la limite autorisée par la fédération internationale pour faire démarrer une course. Si quelqu’un se hasarde dans la pente à près de 200 km/h, il se fera balayer comme une brindille», a expliqué le président du comité d’organisation Alex Barblan, à l’heure du déjeuner, avant de réviser l’emploi du temps des glisseurs: «Le jury a décidé de maintenir les demi-finales aujourd’hui. La finale se disputera quant à elle demain matin.»
Parquées dans un vestiaire étroit exposé aux vents, les humeurs des participants ont macéré jusqu’à ce que la décision du jury ne se charge de les révéler. «Il faut arrêter de parler et trouver une vraie solution, a réagi le Français Jimmy Montes. On est tous prêts, que quelqu’un nous donne un programme! Il est 13 h et on ne sait toujours pas si l’on pourra s’élancer.» «Il faut faire les deux manches demain (aujourd’hui), a tranché le Valaisan Philippe May. Si on repousse la phase finale à jeudi, on aura un premier run pour tester la piste, puis un deuxième pour envoyer la sauce.»
Élection de porte-parole
La proposition a été exploitée par le chef de l’équipe de France, Jean-Louis Montes, lequel a anticipé les rapprochements intéressés. «Imagine que ton coureur soit premier ce soir, est-ce que tu auras franchement envie qu’il y ait une course demain? Celui qui finit en tête ne rêvera que d’une chose pendant la nuit: que la finale soit annulée afin que le classement n’évolue plus et qu’il soit champion du monde. Déplaçons les deux manches.»
Les rassemblements se sont multipliés en début d’après-midi. Certains groupes se sont contentés de réunir leurs informations, lorsque d’autres sont allés jusqu’à élire un porte-parole capable de défendre leurs visions des choses devant le jury de la course.
«Avec les années, on sait très bien qu‘il y a des personnes qui réagissent assez facilement lorsqu’elles se sentent menacées», a témoigné Alex Barblan. Philippe May: «Tout le monde essaie de faire pencher la balance en sa faveur, de mettre son petit grain de sel.» Jean-Louis Montes: «Nous sommes en train de jouer au poker. La fédération française a reçu le soutien de quatre, voire cinq, autres nations qui souhaitent également que les titres soient attribués aujourd’hui.» La connivence a été moyennement appréciée par le Vaudois Mike Aeschbach: «Il y a toujours des histoires avec les Français et les Suédois. Ils ne sont jamais contents. Jeudi est le jour de réserve. Alors, s’il le faut, on reviendra demain. Point barre! De toute manière, vous croyez vraiment que celui qui a fini premier en demi – et qui sera donc seul contre tous – aura suffisamment de soutien pour influencer le jury ainsi que tous ses adversaires?» La question a été posée à l’Italien Simone Origone, vainqueur de la demi-finale (qui a finalement débuté à 13 h 30) et favori des observateurs avant l’ultime descente, qui se tiendra comme prévu aujourd’hui. «Je ne chercherai pas à influencer qui que ce soit. Je vais me taire, comme d’habitude, et laisser les responsables faire leur job.»
Rassemblement dans le calme
Les responsables ont rassemblé tous les capitaines des sélections engagées en fin d’après-midi, comme ils le font habituellement en période de course, sans que la situation ne dégénère. «Etonnamment, les choses se sont calmées dès la fin de la compétition», a remarqué Alex Barblan. «Certains ont bien tenté d’influencer le jury lorsque celui-ci a déplacé la finale, mais on a été ferme. On a parfaitement joué le coup», s’est satisfait le chef de course Louis Borloz.
Philippe Gilbert remporte la Flèche Wallonne
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© belga
7S7 mise à jour Incroyable Philippe Gilbert! Trois jours après l'Amstel Gold Race, le Belge a remporté la Flèche Wallonne ce mercredi. Il a devancé Rodriguez et Sanchez, qui complètent le podium. Un troisième succès en huit jours pour le Liégeois. Où va-t-il s'arrêter?
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Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a dominé la Flèche Wallonne, mercredi, au sommet du mur de Huy, trois jours après son succès dans l'Amstel Gold Race et une semaine après sa victoire à la Flèche Brabançonne.
Gilbert s'est imposé dans la sévère montée finale pour battre très nettement l'Espagnol Joaquin Rodriguez, déjà deuxième l'année passée.
Le champion olympique, l'Espagnol Samuel Sanchez, a pris la troisième place.
La course, sous un beau soleil, s'est transformée en une course de côte, comme toujours depuis 2003.
Aucune attaque n'a pu réussir après la fin d'une longue échappée de quatre coureurs (Paterski, Vantomme, Van Hecke, Helminen).
Le Bélarusse Vasil Kiryienka et le Suédois Thomas Lövkvist sont parvenus à sortir d'un groupe de contre-attaque à une quinzaine de kilomètres de l'arrivée.
La jonction effectuée aux 8 kilomètres, le Français Jérôme Pineau et l'Italien Marco Marcato ont tenté aussitôt leur chance pour aborder le dernier kilomètre avec 13 secondes d'avance.
Gilbert, dont les équipiers ont été sollicités surtout dans les 20 derniers kilomètres, a attaqué à 300 mètres de la ligne pour s'imposer en force.
"C'est une grande surprise pour moi", a déclaré le Wallon de 28 ans, grand favori de la Doyenne, Liège-Bastogne-Liège, qui conclut la semaine des classiques ardennaises.
"Au départ, j'étais encore fatigué de dimanche (Amstel Gold Race), j'avais du mal à me concentrer, je traînais à l'arrière. Au fil des kilomètres, ça a commencé à aller mieux. Mes équipiers sont venus plusieurs fois me dire de remonter. J'ai pu ainsi avoir de la fraîcheur sur la fin", a ajouté Gilbert.
Le Real Madrid remporte la Coupe du Roi face au Barça
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Le Real Madrid a remporté mercredi sa 18e Coupe du Roi en battant 1-0 le FC Barcelone dans une finale somptueuse grâce à un but de Cristiano Ronaldo en prolongation (103e minute), mercredi à Valence, offrant aux Madrilènes le premier trophée de l'ère Mourinho.
Le Real Madrid tient enfin sa revanche face au Barça, une équipe qu'il n'avait plus battue depuis mai 2008 (4-1 en Liga).
Il a écarté le spectre d'une nouvelle saison blanche alors que la Liga semble promise au Barça et qu'il retrouvera sur sa route la formation catalane en demi-finales de la Ligue des champions, le 27 avril et le 3 mai.
C'est la première finale perdue par le Barça de Josep Guardiola, entraîneur en poste depuis la saison 2008-2009.
Cela faisait 18 ans que le Real Madrid n'avait plus remporté cette Coupe du Roi. La dernière victoire madrilène remontait à 1993 lors que le Real Madrid avait battu le Real Saragosse 2 à 0, également à Valence au stade Mestalla, avec des buts de Butragueno et Mikel Lasa.
Coupe de France: le PSG rejoint Lille en finale
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Le Paris SG, tenant du titre, a éliminé Angers (D2) (3-1) mercredi et rejoint Lille, qualifié mardi soir aux dépens de Nice (2-0), en finale de la Coupe de France le 14 mai au Stade de France.
Lille, qui attendait une finale de Coupe de France depuis 1955, actuel leader, est en lice pour doublé Coupe-Championnat, même si le LOSC, fidèle à sa ligne de conduite profil bas depuis le début de la saison, refuse toujours de parler du titre en Ligue 1.
Mais en face des Dogues, il y aura un spécialiste, le PSG, qui a déjà soulevé la Coupe de France à huit reprises et en est le tenant du titre. Le PSG est actuellement 4e de L1, à un point du 3e, Lyon, en pleine course pour la Ligue des champions.
C'est en 1957, il y a 54 ans, que le SCO d'Angers avait disputé - et perdu - la seule finale de Coupe de France de son histoire (contre Toulouse 6-3). Le pensionnaire de Ligue 2 a raté son rendez-vous avec l'histoire.(
Les épouses des joueurs de Naples interdites de scènes de ménage
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Le club de Naples, soucieux de rester dans le Top 3 du championnat italien, a prié les épouses et petites amies de ses joueurs de leur épargner au maximum les contrariétés, et notamment les scènes de ménage, jusqu'à la fin de la saison.
Pour bien faire passer le message, les compagnes des footballeurs ont été conviées à déjeuner par l'épouse du propriétaire du club, Jacqueline De Laurentiis, dans un restaurant chic de Naples, où elle a détaillé ses instructions, rapporte mercredi le quotidien Gazzetta dello Sport.
Chacune d'entre elles a reçu un document - rédigé dans sa langue maternelle - lui rappelant ses obligations envers son compagnon. "Les très grands joueurs le sont lorsqu'ils se sentent grands, surtout dans leur tête: assurez-vous que votre compagnon parvienne à toujours se sentir ainsi", est-il écrit. "Nous comptons sur vous pour ces cinq derniers matches de la saison: évitez toute tension familiale superflue", leur est-il demandé.
Naples est actuellement 2e du classement, à six points du leader, l'AC Milan. Si ce dernier paraît déjà hors de portée, Naples compte bien rester dans le Top 3 pour accéder directement à la prochaine Ligue des Champions. :D:D:D
automobilisme
Dakar 2012: Adam Malysz troque les skis contre le volant
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Image © EPA
Adam Malysz avec son bolide qu'il conduira lors du prochain Dakar.
Le Polonais Adam Malysz entame sa reconversion sportive. L’ancien champion de saut à ski, qui a raccroché au terme de la saison dernière, se lance dans la compétition automobile. Il participera l’an prochain au Dakar 2012.
le 21 avril 2011, 17h33
LeMatin.ch & les agences
«Ce n’est pas un changement brutal. Je m’intéresse aux rallyes depuis un certain temps et le Dakar était pour moi un modèle», a déclaré Malysz (33 ans) devant les journalistes.
«Pendant longtemps, j’étais occupé à sauter et ces rêves restaient en suspens. Mais je regardais (les rallyes) à la télévision aussi souvent que je le pouvais», a-t-il dit en précisant qu’il s’entraînait déjà avec son copilote sur un terrain d’essais militaire, dans le nord-ouest de la Pologne.
Malysz, un des sportifs les plus populaires de Pologne, a remporté à quatre reprises la Coupe du monde (2001, 2002, 2003, 2007), mais aussi deux médailles d’argent (2002, 2010) et une de bronze (2002) aux Jeux olympiques, 4 médailles d’or, une d’argent et une de bronze aux Championnats du monde.
En Coupe du monde, il totalise 39 victoires en individuel.
football
Coupe du Roi: Ramos fait tomber le trophée, le bus l'écrase
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Image © KEYSTONE
Sergio Ramos (au centre), peu avant sa mésaventure embarrassante.
Le défenseur du Real Madrid Sergio Ramos a laissé tomber le trophée de la Coupe du Roi, remporté mercredi face au FC Barcelone, alors que l'équipe célébrait la victoire dans le centre de Madrid.
le 21 April 2011, 12h06
LeMatin.ch & les agences
Sergio Ramos, le défenseur du Real Madrid, a fait tomber le trophée de la Coupe du Roi dans la nuit de mercredi à jeudi à Madrid, après avoir remporté la finale de la Coupe du Roi contre le FC Barcelone, à Valence (1-0).
Ramos levait la coupe, qui pèse quelque 15 kilos, depuis un bus décapotable avant qu'elle ne lui échappe des mains et termine sous les roues du bus.
Le bus a roulé sur le trophée, qui a explosé en au moins 10 morceaux, a annoncé la radio "Cadena Ser".
Des dizaines de milliers de supporters ont accueilli très tard mercredi les joueurs victorieux à la place Cibeles, traditionnel lieu de célébrations des titres du Real Madrid.
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FOOTBALL
Le quadruplé de Mourinho
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Image © Keystone
José Mourinho est devenu mercredi soir le premier entraîneur de l’histoire du Real Madrid avec à son palmarès quatre coupes nationales dans quatre pays différents: Portugal, Angleterre, Italie et Espagne.
le 21 avril 2011, 11h23
LeMatin.ch & les agences
Le Real s’est imposé mercredi en finale de la Coupe du Roi à Valence, battant le FC Barcelone en prolongation (1-0).
Mourinho a déjà conduit le Real à un titre, son premier depuis 2008, pour sa première saison sur le banc madrilène.
Le Portugais, en poste à Madrid depuis 2010, disputait mercredi à Valence sa cinquième finale de Coupe.
Il a gagné la Coupe du Portugal avec le FC Porto en 2003, la Coupe d’Angleterre avec Chelsea en 2007 et la Coupe d’Italie avec l’Inter Milan en 2010.
L’entraîneur a perdu sa seule finale en 2004, avec Porto face au Benfica Lisbonne.
Le Real Madrid n’avait plus remporté la Coupe du Roi depuis 1993.
José Mourinho peut devenir le premier entraîneur de l’histoire à remporter trois Ligues des champions avec trois clubs différents. Il a déjà gagné la C1 avec Porto, en 2004, et l’Inter, en 2010.
Le Real affrontera une nouvelle fois le FC Barcelone, en demi-finale de la compétition européenne: le 27 avril à Madrid et le 3 mai à Barcelone.
Le vainqueur affrontera en finale Manchester United ou Schalke 04.
FOOTBALL
AC Milan: la fille de Berlusconi élue au conseil d’administration
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Barbara Berlusconi
Barbara Berlusconi, la fille du président du Conseil italien et président de l’AC Milan Silvio Berlusconi, a été élue mercredi au conseil d’administration du club lombard, lors de l’assemblée générale du club.
le 21 avril 2011, 15h50
LeMatin.ch & les agences
Agée de 27 ans, elle entretient aussi une liaison, révélée par la presse people italienne en mars, avec l’attaquant international brésilien du club, Pato, 21 ans.
Le Milan AC est l’actuel leader du Championnat d’Italie.
:langueŽ:Quand on à un papa milliardaire............:p
Zidane: "On a montré qu'il était possible de battre le Barça"
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© photo news
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© afp
Conseiller sportif au Real Madrid, Zinédine Zidane a savouré la victoire des Merengue face à Barcelone, lors de la finale de la Coupe du Roi. L'ancienne star du ballon rond s'est confié dans les colonnes du journal L'Equipe sur la rencontre et la rivalité entre les deux clubs.
"C'est énorme car c'était très stressant avant le match. Quand j'étais joueur, c'était moins compliqué. Je pouvais changer les choses, là, je dois subir. Mais bon quand il y a la victoire au bout c'est plus facile", a expliqué Zizou.
Pour l'ancien Ballon d'Or, la victoire du Real est logique, même si elle fut loin d'être simple. "Sur l'ensemble du match, nous avons montré que nous pouvions rivaliser avec Barcelone. Pour moi, le match a été logiquement gagné par Madrid. C'est notre grande satisfaction. Psychologiquement, cela veut dire que l'on peut battre Barcelone. C'est en cela que le titre de ce soir est très important." (J.C.)
Liège-Bastogne-Liège: Leopard avec les Schleck et Monfort mais pas Cancellara
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© belga
Les frères Andy et Frank Schleck conduiront dimanche l'équipe Leopard dans Liège-Bastogne-Liège, la Doyenne des classiques à laquelle ne participera pas le Suisse Fabian Cancellara, a-t-on appris auprès du groupe luxembourgeois.
Andy Schleck, vainqueur de la Doyenne en 2009, s'est dévoué pour son frère aîné mercredi dans la Flèche Wallonne.
Le dauphin de l'Espagnol Alberto Contador dans les deux derniers Tours de France a expliqué après la course qu'il n'avait pas eu de très bonnes sensations sans que le constat entame son optimisme pour dimanche.
Fränk Schleck, septième pour sa part au sommet du mur de Huy, n'a encore jamais gagné à Ans, ville d'arrivée de Liège-Bastogne-Liège.
Des trois classiques ardennaises, Cancellara a seulement disputé dimanche dernier la première (Amstel Gold Race). Il a terminé attardé après avoir été pris par une chute dans les 30 derniers kilomètres.
Pour la "Doyenne", l'équipe luxembourgeoise a fait appel à l'Allemand Jens Voigt, un habitué de la classique qu'il a terminée à la deuxième place en 2005.
L'équipe Leopard à Liège-Bastogne-Liège:
Stefan Denifl (Aut), Jakob Fuglsang (Dan), Anders Lund (Dan), Maxime Monfort (Bel), Andy Schleck (Lux), Fränk Schleck (Lux), Jens Voigt (All), Fabian Wegmann (All). (belga)
ski de vitesse
Simone, le droit d'aînesse
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Image © Keystone
Son talent naturel et son implication ont une nouvelle fois payé: Simone Origone est devenu champion du monde, avec une vitesse de 211,670 km/h.
L'Italien Simone Origone est devenu champion du monde devant son frère cadet, Ivan. Les deux hommes sont des surdoués à la passion commune mais aux ambitions opposées.
Julien Caloz - le 22 April 2011, 00h34
Le Matin
Fulvia Ferrero est journaliste à la télévision italienne RAI et, depuis mercredi, scientifique au laboratoire en plein air de Verbier. «Mon patron m'a donné deux jours pour tenter d'éclaircir le mystère suivant: pourquoi les deux skieurs les plus rapides de la planète sont issus de la même famille? Il doit y avoir quelque chose de spécial dans leur ADN, mais quoi?»
La démonstration des frangins Origone hier, consommée sur une piste nettoyée de ses impuretés par le passage répété du ratrack, devrait servir de pièce à conviction pour Fulvia Ferrero, d'autant que son cameraman Giacomo Berilier a tout enregistré.
Il serait d'ailleurs souhaitable que les images parlent d'elles-mêmes, car aucun observateur de la discipline n'est pour l'heure en mesure de fournir la moindre explication convaincante. «Je ne sais pas comment tu le fais, mais à chaque fois tu le fais», a ainsi lancé le délégué FIS Per Kjellstrom, lorsqu'il a croisé le champion du monde Simone Origone dans la zone officielle. «Dans chaque sport il y a des champions qui sont au-dessus du lot. Simone est de ceux-là», a poursuivi le membre du jury, sans donner davantage de détails.
Un don de la nature
Les récompenses, paraît-il, suffisent à comprendre le rayonnement du cadet (32 ans) de la famille originaire du Val d'Aoste: Simone a déjà rempli l'armoire du salon avec quatre trophées de champion du monde et sept globes de vainqueur du classement général. «Sur les huit dernières saisons, la seule fois où je n'ai pas remporté le général, c'est mon frère Ivan ( ndlr: 24 ans) qui l'a fait», rappelle-t-il, avant d'orienter Fulvia Ferrero sur une nouvelle piste: «Papa et maman nous ont donné un don de la nature. Et moi, j'ai beaucoup bossé.»
A force de travail, le recordman du monde (251,40 km/h en 2006) est devenu le «Roger Federer du ski de vitesse», même si la comparaison nécessite une précision mathématique: «Nous n'avons pas le même compte en banque ( ndlr: l'Italien estime gagner un peu plus de 12 000 francs par saison). Disons que je suis un Roger pauvre.»
De l'autre côté du filet, Ivan tente de soutenir l'échange, sans s'offusquer de la difficulté. «Mon frère est meilleur car il s'implique davantage. Il ne pense qu'au ski de vitesse. Il bosse en soufflerie et améliore sans cesse son matériel. Mais, pour moi, ce sport est juste un loisir. Je n'ai pas changé une seule fois mon équipement et ne pense qu'à une chose: retourner dans mon atelier d'ébéniste cet été.»
Rivalité en bas de piste
Ces deux frères, que les prédispositions naturelles réunissent autant que les ambitions séparent, ne s'accommodent pas toujours de leurs statuts.
Lorsque Simone est devenu champion du monde, tous ses adversaires se sont rassemblés dans l'aire d'arrivée et l'ont applaudi, excepté son frère cadet. «Quand j'ai vu qu'il n'était pas là, j'ai été déçu, a témoigné Simone. Il y a de la rivalité entre nous, ce qui est tout à fait normal, et si j'avais perdu, j'aurais aussi eu les boules. Mais jamais je ne serais parti avant de le féliciter.»
Alors que son frère se battait pour le titre, Ivan empruntait le téléski qui ramène les coureurs au col des Gentianes. «Je ne voulais pas regarder sa descente. Je n'avais pas la motivation. Nous sommes des adversaires. Chacun son truc.»
Les deux frères se sont finalement retrouvés dans la zone officielle, où ils se sont étreints. La caméra de Giacomo Berilier était éteinte. Fulvia Ferrero a encore du boulot.
Douanes
Kahn condamné pour shopping à Dubaï
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Image ©
L’ancien international allemand Oliver Kahn a été condamné à payer une amende de 125’000 euros (164’000 francs) pour ne pas avoir déclaré aux douanes allemandes des achats de vêtements de luxe à son retour d’un séjour à Dubaï en 2010.
le 21 avril 2011, 22h39
LeMatin.ch & les agences
Kahn avait fait l’objet d’un contrôle douanier en février 2010 à l’aéroport de Munich alors qu’il n’avait payé aucune taxe sur des vêtements d’une valeur de 7000 euros achetés à Dubaï.
Les douaniers ont découvert dans ses bagages sept polos, dix tee-shirts, huit pull-overs, neuf chemises, cinq pantalons, deux vestes, une veste en cuir et des boutons de manchette de célèbres marques italiennes de haute-couture.
Selon le tribunal de grande instance de Landshut, l’ancien gardien de but du Bayern Munich aurait dû payer 2100 euros de taxes.
En 2006, au retour d’un stage à Dubaï avec le Bayern Munich, Michael Ballack avait connu une mésaventure similaire et dû payer une amende de 70’000 euros pour un sac destinée à sa compagne.
31e succès sur terre battue pour Nadal à Barcelone
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© reuters
L'Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, a aligné son 31e succès sur terre battue jeudi en battant le Colombien Santiago Giraldo 6-3, 6-1, en 8e de finale de "son" tournoi de Barcelone où il a été couronné six fois en sept éditions.
"Ce n'est jamais facile d'affronter Giraldo parce qu'il possède un bon revers et joue bien du fond de court. Quand il joue son meilleur tennis, il peut s'avérer difficile de le battre", a expliqué le Majorquin en faisant référence aux cinq balles de break qu'il avait dû sauver au premier set.
Sa dernière défaite sur terre battue remonte à Roland-Garros 2009 où il s'était incliné devant le Suédois Robin Soderling en 8e de finale.
Nadal, qui a remporté dimanche pour la 7e fois d'affilée -un record- le Masters 1000 de Monte Carlo, affronte vendredi le Français Gaël Monfils, vainqueur de son compatriote Richard Gasquet 6-4, 7-6 (9/7). "Monfils sera un adversaire fantastique. Il est difficile à jouer, alors, je dois me montrer agressif", a ajouté Nadal. (afp/dl)
Kubica espère quitter l'hôpital "dans les 10 prochains jours"
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Le Polonais Robert Kubica, pilote de Formule 1 de l'écurie Lotus-Renault gravement blessé début février dans un accident lors d'un rallye, a annoncé jeudi qu'il espérait quitter l'hôpital Santa Corona de Pietra Ligure (nord de l'Italie) "dans les dix prochains jours".
"Je commence à me sentir beaucoup mieux maintenant. Mes forces et mon poids s'améliorent jour après jour. Par conséquent, je vais sortir bientôt de l'hôpital, a affirmé Kubica dans un entretien publié sur le site officiel de son écurie (www.lotusrenaultgp.com). Je ne sais pas la date précise pour l'instant, mais j'espère que ça se fera dans les dix prochains jours."
Robert Kubica s'est gravement blessé lors du rallye Ronde di Andora, le 6 février en Ligurie (nord), et a notamment eu la main et le bras droits presque amputés par un rail de sécurité qui avait transpercé sa voiture.
"La mobilité de ma main est encore réduite, mais c'est normal dans ce genre de situation parce que les muscles de mon bras sont toujours très faibles à cause de leur longue immobilité. Les choses s'améliorent chaque jour", a ajouté Kubica.
Après avoir quitté l'hôpital, le pilote polonais va retourner se reposer chez lui à Monaco avant d'entamer sa convalescence et sa rééducation dans un établissement spécialisé en Italie.
Tres bonne nouvelle pour Kubica. Il manque sur la "lotus renault" cette année.
"La Doyenne est la course la plus importante de l'année"
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© belga
Où s'arrêtera Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto), déjà lauréat de six courses en 2011, dont un étonnant triplé Flèche Brabançonne - Amstel God Race - Flèche Wallonne? Pas au pied de sa porte dimanche à Ans, espèrent en tout cas ses supporters.
D'autant que Liège-Bastogne-Liège bénéficie évidemment d'un statut supérieur. "C'est clair que j'échangerais sans hésiter mes six bouquets avec celui de La Doyenne", a d'ailleurs admis le Liégeois vendredi au cours d'une conférence de presse à Maestricht.
"Cette course est en effet la plus importante de l'année à mes yeux. Je serai donc particulièrement malheureureux en cas de défaite", a déclaré le liégeois de 28 ans, aux portes de la légende. Il peut en effet devenir le deuxième coureur à réaliser le triplé dans la même année après l'Italien Davide Rebellin en 2004.
"La pression? Oui elle sera sur mes épaules et celles de mes coéquipiers", admet-il. "Je sais aussi que personne ne va nous aider. On ne pourra compter que sur nous. Mais c'était déjà le cas lors des précédentes courses, et il n'y a donc aucune raison d'avoir peur.
L'état des routes me préoccupe davantage. Crever ou casser une roue n'est pas souhaitable. Heureusement qu'on a bien reconnu le parcours".
La tactique? "Plutôt défensive, comme à l'Amstel Gold Race, à la Flèche Brabançonne ou à la Flèche", prévient Gilbert. "Attaquer m'a fait perdre le Tour des Flandres. Désormais c'est aux autres de me lâcher et s'ils n'y parviennent pas, c'est à moi de jouer...".
Le Real remplace son trophée par une copie: "La faute des fans"
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Le Real Madrid a remplacé le trophée de la Coupe du Roi par une copie qui est visible dans la vitrine du club vendredi après que le défenseur Sergio Ramos ait laissé échapper l'original, dans la nuit de mercredi à jeudi lors de la célébration de la victoire dans le centre de Madrid.
"Je suis arrivé à Bernabeu (stade du Real Madrid) deux minutes avant le bus de l'équipe. J'en ai toujours une supplémentaire (coupe) avec moi au cas où il arrive un imprévu, que le roi n'ait rien à offrir par exemple. Le trophée de secours était prêt depuis longtemps", a déclaré au quotidien espagnol Mundo Federico Alegre, le bijoutier de Madrid qui a réalisé le trophée.
"Il s'agit d'une chute de cinq mètres, le bus a roulé dessus, des pièces ont été perdues, les restes des pièces sont bosselées. Je ne suis pas attristé pas même en colère. C'est des choses qui arrivent, ça sera une autre anecdote à raconter", a ajouté le bijoutier.
Sergio Ramos: "C'est la faute des fans!"
Quant à Sergio Ramos, coupable d'avoir laissé tomber le trophée, il s'est expliqué (avec humour) sur son compte Twitter. "Ce qui est arrivé avec la Coupe est un malentendu. Je ne l'ai pas laissée tomber. Elle a sauté vers les fans quand elle a vu leur excitation!"
Istanbul n'accueillera pas le Grand Prix de Turquie en 2012
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Le Grand Prix de Turquie de Formule 1 en 2012 ne se déroulera pas à Istanbul, a annoncé la presse turque vendredi citant le président de la Chambre de Commerce de Turquie, Murat Yalcintas, qui a refusé de débloquer les fonds nécessaires à son organisation. Il faut dire que le patron de la F1, Bernie Ecclestone avait doublé les exigences, de 13 à 26 millions de dollars.
Istanbul organisait le Grand Prix de Formule 1 depuis 2005, le prochain rendez-vous, 4e manche du championnat du monde 2011, se déroulant le 8 mai sur le circuit stambouliote.
L'accord entre Bernie Eccelstone et les organisateurs se terminait en 2011.
Nadal veut que le classement ATP soit basé sur deux ans
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© reuters
Rafael Nadal estime que le calendrier de l'ATP ne devrait pas être établi sur les résultats obtenus pendant 52 semaines, soit une année, mais sur deux années. Ainsi, selon l'actuel N.1 mondial, la pression qui s'exerce chaque semaine sur les joueurs diminuerait et conduirait à des carrières professionnelles plus longues.
Nadal, membre du conseil des joueurs de l'ATP, a déclaré vendredi qu'un classement établi sur les deux dernières saisons aurait des avantages. "Nous serions plus obligés de jouer chaque semaine comme actuellement", a souligné, en exagérant un peu, l'Espagnol qui a joué au total 17 tournois répartis sur 22 semaines en 2010.
"J'ignore si c'est possible, mais je continuerai à oeuvrer sur ce point pour les générations futures. Si un changement intervient, nous aurons une vie plus relax et une plus longue carrière", a précisé Nadal.
Le numéro 1 mondial joue cette semaine à Barcelone. Il s'est qualifié vendredi pour les demi-finales, écartant en quarts 6-2, 6-2 le Français Gaël Monfils. Il vise un 6e titres (en sept participations) dans la capitale catalane. Il a prévu de jouer durant 7 des 9 prochaines semaines jusqu'à Wimbledon.
Nadal jouera sa 60e finale face à David Ferrer à Barcelone
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© afp
L'Espagnol Rafael Nadal (ATP 1/N.1) affrontera son compatriote David Ferrer dimanche en finale du tournoi de tennis de Barcelone, une épreuve de l'ATP sur terre battue dotée de 1,55 million d'euros. Il a signé samedi en 1/2 finale sa 33e victoire consécutive sur cette surface en disposant du Croate Ivan Dodig, 56e mondial, 6-3 et 6-2. La rencontre a duré 1h27.
Ferrer (ATP 6/N.4) s'est qualifié pour sa part en battant un autre Espagnol, Nicolas Almagro (ATP 11/N.8), en deux sets 6-3, 6-4 en 1h36 à l'issue de la première demi-finale.
Nadal et Ferrer s'étaient déjà affrontés dimanche dernier finale du tournoi de Monte Carlo, le Majorquin signant un 7e succès consécutif sur le Rocher monégasque.
Rafael Nadal, 24 ans, visera un 6e titre à Barcelone, en sept participations, et un 45e titre à l'occasion de sa 60e finale. Il mène 12-4 dans ses rencontres face à Ferrer, 29 ans, qui espère décrocher une 12e victoire sur le circuit ATP en 23 finales
football
La coupe détruite avait une doublure!
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Le Real Madrid a remplacé le trophée de la Coupe du Roi par une copie qui est visible dans la vitrine du club.
le 23 avril 2011, 00h41
LeMatin.ch & les agences
Le défenseur Sergio Ramos a laissé échapper l'original, dans la nuit de mercredi à jeudi lors de la célébration de la victoire dans le centre de Madrid.
«Je suis arrivé à Bernabeu (stade du Real Madrid) deux minutes avant le bus de l'équipe. J'ai toujours une coupe supplémentaire avec moi au cas où il arrive un imprévu, que le roi n'ait rien à offrir par exemple. Le trophée de secours était prêt depuis longtemps», a déclaré Federico Alegre, le bijoutier de Madrid qui a réalisé le trophée.
«Il s'agit d'une chute de 5 mètres, le bus a roulé dessus, des pièces ont été perdues, les restes des pièces sont bosselées. Je ne suis pas attristé, pas même en colère. C'est des choses qui arrivent, ça sera une autre anecdote à raconter», a ajouté le bijoutier.
Le Real a remporté mercredi (1-0 a.p.) son premier titre depuis 2008 et sa première Coupe du Roi depuis 1993.
Formule 1
Pas de Grand Prix de Turquie en 2012
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Il n’y aura pas de Grand Prix de Formule 1 à Istanbul en 2012 en raison d’un désaccord financier entre les organisateurs et l’argentier de la F1 Bernie Ecclestone.
le 22 avril 2011, 22h21
Le Matin
Murat Yalcintas, le président de la Chambre de commerce d'Istanbul déclare que le gouvernement refuse le doublement de la facture présentée par Ecclestone, de 13 à 26 millions de dollars, alors que le contrat en cours expire cette année. En mai dernier, Bernie Ecclestone avait assuré que la Turquie pouvait espérer conserver son Grand Prix sur le long terme malgré le faible nombre de spectateurs turcs attirés par la course qui se déroule près du deuxième aéroport de la ville, sur la rive asiatique. Cette année, le Grand Prix d’Istanbul est programmé le 8 mai.
Football
Messi est le premier joueur à marquer 50 buts en une saison
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Le buteur argentin du FC Barcelone, Lionel Messi.
Le buteur argentin du FC Barcelone, Lionel Messi, est devenu samedi le premier joueur à atteindre la barre des 50 buts en une saison en Espagne
le 24 April 2011, 00h24
LeMatin.ch & les agences
Le buteur argentin du FC Barcelone, Lionel Messi, est devenu samedi le premier joueur à atteindre la barre des 50 buts en une saison en Espagne en inscrivant le deuxième but de son équipe contre Osasuna (2-0), lors de la 33e journée du Championnat.
"Leo" Messi a dépassé le légendaire attaquant hongrois du Real Madrid, Ferenc Puskas, avec 49 buts. Messi l’avait rejoint il y a une semaine en marquant face au Real Madrid en Liga (1-1).
Le prodige argentin est le meilleur buteur de la Liga, avec 31 buts. Il lui reste cinq journées pour améliorer ce total.
Il a terminé meilleur buteur de la Coupe du Roi, avec 7 buts, ex-aequo avec Cristiano Ronaldo du Real Madrid.
L’attaquant argentin est, avant les demi-finales de la Ligue des champions, le meilleur réalisateur de la compétition, avec neuf buts.
Messi a également inscrit trois buts en Supercoupe d’Espagne.
La finale entre voisins du Sud consacre Marseille
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La puissance de Taiwo a fini par faire la différence et permet aux Marseillais de ramener un nouveau trophée.
Sans avoir réalisé une prestation de grande classe, Marseille s'impose 1-0 au Stade de France contre Montpellier.
Damian Gonzalez - le 23 April 2011, 23h43
Le Matin Dimanche
Rarement brillant mais souvent vainqueur. C'est à ces quelques mots que la saison des Marseillais peut se résumer. En effet, pour la deuxième année consécutive, l'OM s'est adjugé la Coupe de la Ligue. Après sa victoire l'an passé sur les Girondins de Bordeaux, c'est cette fois-ci le voisin méditerranéen de Montpellier qui a fait les frais du réalisme Olympien. Marseille a le vent en poupe et, pourtant, le jeu pratiqué par les hommes de Didier Deschamps est loin d'être alléchant. De l'aveu même de certains joueurs, Mathieu Valbuena pour n'en citer qu'un, «les victoires masquent bien des lacunes» dans le jeu des pensionnaires du Stade Vélodrome. Hier soir, le match aura mis un certain temps à démarrer, les deux équipes se montrant extrêmement prudentes en première mi-temps. Les Phocéens, pas vraiment inspirés ont pourtant failli ouvrir la marque à la 33e minute après une frappe de Valbuena qui a fini sa course sur le poteau.
La deuxième période allait être un parfait exemple de ce que Marseille fait cette saison et qui engendre tant de frustration chez ses adversaires. Alors que les Montpelliérains se sont montrés plus conquérants, ils n'auront pourtant pas été récompensés de leurs efforts et ont été punis par une superbe frappe du Nigérian Taiwo, aux abords de la surface de réparation, à la 78e après un coup franc botté par Cheyrou. Concernant le club présidé par le truculent Louis Nicollin, tout n'est pas perdu puisqu'il jouera l'an prochain la Ligue Europa.
En route pour le doublé
Les festivités vont être de courte durée pour les Olympiens dont le grand objectif de fin de saison est évidemment de remporter le championnat. Au coude à coude avec Lille, les Marseillais vont guetter le moindre faux pas de leur rival nordiste. Etant donné la sérénité qui est la leur malgré la pauvreté du jeu proposé, nul doute que le doublé coupe-championnat s'annonce très probable. Cependant, Didier Deschamps ne bénéficiera peut-être pas toujours de la protection de la vénérée Notre-Dame de la Garde pour pallier le manque d'efficacité de ses milieux de terrain. Hier soir, comme tant d'autres fois depuis plusieurs mois, les Phocéens se sont imposés grâce à un brin de chance dont il ne faudrait pas penser qu'il sera toujours présent.
Nadal jouera sa 60e finale face à David Ferrer à Barcelone
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© reuters
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L'Espagnol Rafael Nadal (ATP 1/N.1) affrontera son compatriote David Ferrer dimanche en finale du tournoi de tennis de Barcelone, une épreuve de l'ATP sur terre battue dotée de 1,55 million d'euros. Il a signé samedi en 1/2 finale sa 33e victoire consécutive sur cette surface en disposant du Croate Ivan Dodig, 56e mondial, 6-3 et 6-2. La rencontre a duré 1h27.
Ferrer (ATP 6/N.4) s'est qualifié pour sa part en battant un autre Espagnol, Nicolas Almagro (ATP 11/N.8), en deux sets 6-3, 6-4 en 1h36 à l'issue de la première demi-finale.
Nadal et Ferrer s'étaient déjà affrontés dimanche dernier finale du tournoi de Monte Carlo, le Majorquin signant un 7e succès consécutif sur le Rocher monégasque.
Rafael Nadal, 24 ans, visera un 6e titre à Barcelone, en sept participations, et un 45e titre à l'occasion de sa 60e finale. Il mène 12-4 dans ses rencontres face à Ferrer, 29 ans, qui espère décrocher une 12e victoire sur le circuit ATP en 23 finales.
L'OM remporte la Coupe de la Ligue
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Encore un trophée ! Marseille a poursuivi sa moisson en conservant la Coupe de la Ligue, grâce à une victoire 1-0 contre Montpellier en finale samedi au Stade de France, acquise sur un but de Taiwo (81e) et qui prépare une fin de saison palpitante en Ligue 1.
En embuscade à un point de Lille, leader du championnat avant la 32e journée, l'OM a lancé un message, en fait le même que l'année dernière, lorsqu'il avait remporté la Coupe de la Ligue avant de coiffer Bordeaux sur le poteau pour le titre de champion de France.
Il faudra compter sur l'OM ! Dans cette finale 100% sud, c'est le "grand" et son palmarès ronflant (neuf titres de champions, une Ligue des champions, neuf Coupes de France et donc deux Coupes de la Ligue) qui aura eu raison du "petit" (une Coupe de France).
Pourtant, que ce fut laborieux ! Un peu comme samedi en L1, lorsque l'OM avait renversé la vapeur en 13 minutes sur la fin pour l'emporter à Montpellier (2-1). Et c'est encore Taiwo, qui avait déjà marqué le but de la victoire samedi, qui délivrait les siens d'une frappe à ras de terre et en fin de partie (82e). Un beau cadeau d'adieu de la part du Nigérian, qui veut changer d'air après six saisons et demie de bons et loyaux services.
Laborieux ? Ce fut longtemps un combat de tranchées: des duels, des coups, des tacles très limites. Mais c'est tout seul que Mbia se blessait aux adducteurs, remplacé par Kaboré (7e).
Dans cette lutte incessante, l'OM avait le ballon mais peinait à développer du jeu. Comme souvent cette saison. Lucho avait du mal à sortir de la nasse du milieu, et le trio d'attaquants Valbuena-Gignac-Ayew, auteur de permutations, se heurtait invariablement à une défense montpelliéraine bien en place.
Surtout, ces trois-là ne parvenaient pas à jouer ensemble, hormis quelques centres de Gignac. Et Cheyrou, intéressant dans la bataille du milieu pour ressortir proprement des ballons compliqués, ne pesait pas assez sur le jeu offensif.
On était dès lors plus proche de la dernière rencontre des deux équipes, samedi en L1 lorsque l'OM l'avait emporté grâce à un penalty tardif (2-1), que lors du match aller (4-0 au Vélodrome). Des débats équilibrés dans le jeu, qui se reflétaient au rayon des occasions nettes, bien maigre.
En première période côté montpelliérain, une frappe de Saihi sortie du pied par Mandanda (22e). Côté marseillais, un coup franc de Lucho boxé par Pionnier (20e) et surtout une tentative de Valbuena trouvant le poteau (32e). Après la pause, deux têtes d'Ayew, la première repoussée par Pionnier (46e), la seconde frôlant le montant (59e).
Et c'était tout ! Mais René Girard, l'entraîneur du MHSC, avait prévenu: "Il faudra éviter de faire comme samedi, être à là 70 minutes et commettre deux erreurs". Dans la touffeur du Stade de France, ce fut une petite faute d'inattention, en laissant Taiwo frapper au but. Et l'OM, toujours sans étinceler, remportait encore un trophée. (afp)
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Le triomphe de Philippe Gilbert
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7S7 mise à jour Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a triomphé chez lui à Liège-Bastogne-Liège dimanche à l'issue des 255,5km d'un parcours parsemé de dix côtes répertoriées. Le Liégeois, 29 ans le 5 juillet, s'est imposé dans un sprint à 3 devant les deux frères Schleck (Leopard Trek), Frank, 2e et Andy, 3e.
La Roche aux Faucons
Numéro 1 mondial, Philippe Gilbert signe une fabuleuse passe de 4 alignant 4 classiques d'affilée en dix jours: Flèche Brabançonne, Amstel Gold Race, Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège. Les frères Schleck ont bien tenté de mettre à mal la supériorité de Philippe Gilbert en accélérant à 20 km de l'arrivée dans la Roche aux Faucons, avant-dernière difficulté de la journée. Greg Van Avermaet a pu un moment accompagner le trio belgo-luxembourgeois jusque dans la Côte de Saint-Nicolas. Andy Schleck a bien tenté encore d'accélérer à 5km du but, mais Philippe Gilbert n'est pas resté sur la défensive passant à son tour à l'attaque.
Frank Vandenbroucke
Van Avermaet lâché, l'explication au sprint se précisait, à trois. Plus fort, Philippe Gilbert a lui même lancé le sprint pour remporter déjà la 7e victoire de sa saison et réaliser son rêve de remporter la course qu'il qualifie lui-même de "la plus belle du monde." C'est la 48e victoire belge dans la Doyenne, mais la 4e seulement en 33 ans et la première depuis Frank Vandenbroucke en 1999, un autre wallon à avoir inscrit son nom au palmarès.
Philippe Gilbert est le deuxième coureur à réussir le triplé dans les classiques ardennaises (Amstel Gold Race, Flèche Wallonne, Liège-Bastogne-Liège), sept ans après l'Italien Davide Rebellin. Le Tchèque Roman Kreuziger a pris la quatrième place, en tête d'un premier groupe de poursuite, devant le Colombien Rigoberto Uran, au terme des 255,5 kilomètres. Greg Van Avermaet a pris la 7e place et Bjorn Leukemans, la 9e.
Vino retardé
La course s'est donc dénouée dans la côte de la Roche aux Faucons. Les deux Luxembourgeois et Philippe Gilbert ont rejoint avant le sommet les derniers rescapés d'une échappée lancée à quelque 85 kilomètres d'Ans (Siutsou, J. Pineau, Kadri, Garate, Ten Dam, Gasparotto, Van Avermaet). Le Kazakh Alexandre Vinokourov retardé par un changement de vélo, le trio maître a rejoint l'Italien Enrico Gasparotto, le François Jérôme Pineau et Greg Van Avermaet, le seul en définitive à pouvoir garder ensuite le contact avec Gilbert et les deux Schleck.
Sous un chaud soleil, le quatuor de tête s'est présenté au pied de la côte de Saint-Nicolas où Van Avermaet a lâché prise. Andy Schleck, décroché vers le haut, a pu revenir ensuite mais Gilbert a contrôlé la situation jusqu'au bout. "C'est une journée fantastique !", s'est exclamé le vainqueur qui a rendu hommage aux frères Schleck (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1512/Cyclisme/article/detail/1255003/2011/04/24/Gilbert-C-est-le-plus-beau-jour-de-ma-vie-sportive.dhtml): "Je veux leur tirer mon chapeau. Ils ont pris leurs responsabilités. Ils ont collaboré jusqu'au bout même en sachant que ce serait dur de me battre". (belga)
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Arsenal peut dire adieu au titre
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Arsenal a perdu ses derniers espoirs de remporter le titre de champion d'Angleterre en s'inclinant 2 à 1 à Bolton sur un but marqué à la dernière minute du temps réglementaire, dimanche lors de la 34e journée.
Mathématiquement, l'affaire n'est pas encore décidée, mais on voit mal comment les "Gunners" pourraient refaire un retard de neuf points sur Manchester United en seulement quatre matches, même si les "Red Devils" doivent se rendre à l'Emirates Stadium dimanche prochain.
Chelsea, deuxième à six points, reste donc le seul adversaire de MU.
Les joueurs d'Arsène Wenger ont eu leurs chances en deuxième période, mais ont gâché trop d'occasions, avant que l'Israélien Tamir Cohen ne leur porte le coup de grâce en catapultant un corner dans le but de Szczesny d'une superbe tête, quelques minutes après son entrée en jeu (90).
Bolton a pris les devants à la 39e minute sur un but de Sturridge, également à la suite d'un corner. Une première tête de Gary Cahill a d'abord été repoussée du ventre par Nasri sur le crâne du jeune Anglais, bien placé. L'ouverture du score concrétisait une assez nette supériorité des "Wanderers" face à des "Gunners" incapables de s'organiser.
Fabregas a failli égaliser juste avant la pause, d'un tir lointain sur le poteau, mais c'est un penalty arrêté par Szczesny peu de temps après le retour des vestiaires (46) qui a enfin donné un coup de fouet aux Londoniens. Juste après avoir évité le KO, Arsenal est revenu à la marque grâce à Van Persie, à la suite d'un une-deux avec Fabregas (48). En fin de rencontre, alors que la pression des rouge et blanc s'accentuait, Nasri a manqué deux balles de match en cinq minutes.
Seul devant le but grâce à une superbe passe de Van Persie, il s'est d'abord heurté coup sur coup au gardien Jaaskelainen puis au défenseur Cahill (70). Sur la deuxième occasion, placé une nouvelle fois en position idéale, il a hésité entre le tir et la passe pour finalement perdre la balle (75). Cette défaite, leur sixième de la saison en Premier League, confirme l'effritement des "Gunners" en fin de saison. Toutes compétitions confondues, les Londoniens n'ont gagné qu'un seul de leurs neuf derniers matches (3 défaites, 5 nuls).
Arsène Wenger semble condamné à une saison sans titre pour la sixième fois consécutive.
Dimanche
Bolton - Arsenal 2-1
Kubica est enfin sorti de l'hôpital
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Le Polonais Robert Kubica, pilote de Formule 1 de l'écurie Lotus-Renault gravement blessé dans un accident lors d'un rallye, est sorti de l'hôpital Santa Corona de Pietra Ligure (nord de l'Italie), où il était traité depuis le 6 février.
"Robert Kubica n'est plus à l'hôpital Santa Corona de Pietra Ligure. Ses conditions sont bonnes. Le pilote pourra commencer une nouvelle phase de rééducation hors de l'hôpital", a fait savoir ce centre dans un communiqué transmis à l'AFP dans la nuit de samedi à dimanche.
"Des rendez-vous sont prévus avec les médecins qui l'ont soigné et qui continueront donc à suivre le pilote", selon ce texte.
Robert Kubica s'est gravement blessé lors du rallye Ronde di Andora, le 6 février en Ligurie (nord), et a notamment eu la main et le bras droits presque amputés par un rail de sécurité qui avait transpercé sa voiture.
"Six mois" sont nécessaires pour savoir comment le Polonais a récupéré et s'il pourra piloter à nouveau, avait indiqué vendredi le docteur Riccardo Ceccarelli, qui l'a suivi, au quotidien italien la Gazzetta dello Sport.
"La reconstruction des nerfs est ce qui prend le plus de temps. Il est difficile de comprendre dans les premiers mois comment le patient récupérera", selon le médecin. Celui-ci a ajouté que la main droite du pilote "avait retrouvé un bon niveau de sensibilité, mais pas partout", tandis que sa jambe droite posait "peu de problème".
"Je commence à me sentir beaucoup mieux maintenant. Mes forces et mon poids s'améliorent jour après jour. Par conséquent, je vais sortir bientôt de l'hôpital, avait affirmé Kubica jeudi.
"La mobilité de ma main est encore réduite, mais c'est normal dans ce genre de situation parce que les muscles de mon bras sont toujours très faibles à cause de leur longue immobilité. Les choses s'améliorent chaque jour", avait-il ajouté.
Benfica remporte la Coupe de la Ligue pour la 3e année
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Benfica a remporté la Coupe de la Ligue portugaise de football pour la 3e année consécutive en battant Paços de Ferreira 2-1 samedi au stade Cidade de Coimbra. Les buts ont été inscrits par l'Argentin Franco Jara (17e), l'Espagnol Javi Garcia (42-ème) et le Brésilien Luisão contre son camp (50e).
Moreira, le gardien de Benfica titulaire en Coupe de la Ligue, a arrêté un penalty de Manuel José à 1-0, et réalisé de nombreux arrêts décisifs en 2-ème mi-temps. Benfica, demi-finaliste de l'Europa League contre... Braga, peut envisager de réaliser un doublé. Ses supporters, qui surnomment la Coupe de la Ligue la "Coupe du Pauvre", l'exigent.
Porto a gagné le championnat, et disputera la finale de la Coupe contre Guimaraes le 22 mai.
Benfica avait enlevé les deux précédentes éditions de cette Coupe de la Ligue contre le Sporting de Lisbonne (1-1, puis 3-2 aux t.a.b.) et le FC Porto (3-0). Déjà finaliste il y a quatre ans, le Paços de Ferreira s'était incliné 1-0 contre Porto. La victoire en Coupe de la Ligue ne rapporte qu'un prix en euros au lauréat.
Tennis
Tournoi de Barcelone: Nadal s'offre un sixième titre
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Image © KEYSTONE
L’Espagnol Rafael Nadal, dimanche 24 avril.
L’Espagnol va pouvoir respirer une semaine avant d’attaquer le troisième des cinq volets de sa saison sur terre battue, le Masters 1000 de Madrid. Il a remporté ce dimanche, pour la sixième fois, le tournoi catalan.
le 24 avril 2011, 19h22
LeMatin.ch & les agences
Absent l’an dernier, Rafael Nadal a retrouvé sa couronne à Barcelone.
Le Majorquin a enlevé pour la sixième fois le tournoi catalan en battant 6-2 6-4 David Ferrer en finale.
Comme la semaine dernière en finale du Masters 1000 de Monte-Carlo, Nadal a su parfaitement gérer le «money time» face au Valencien.
Mené 4-2 au deuxième set, il enlevait les quatre derniers jeux de la finale pour cueillir le 45e titre de sa carrière, le 31e sur terre battue.
Rafal Nadal peut respirer une semaine avant d’attaquer le troisième des cinq volets de sa saison sur terre battue, le Masters 1000 de Madrid.
;)Et point..... Pour le peu d'enjouement pour diverses nouvelles sportives terminé pour ce soir:p
valentinette76
24/04/2011, 20h32
Merci Norton:amoureux:
contente pour nadal, il le merite....:)
;)Et point..... Pour le peu d'enjouement pour diverses nouvelles sportives terminé pour ce soir:pEnjouement ou engouement ?
Dans les deux cas, je fais comme les autres (je crois), je lis mais je ne fais pas de commentaire
AUTOMOBILISME
Caprices d'une hybride
Le défi suisse - engager une voiture hybride dans la plus célèbre des courses - se poursuit. Benoît Morand et son équipe ont passé de l'enfer à ce qui pourrait ressembler au paradis.
Jean-Claude Schertenleib - le 24 avril 2011, 23h09
Le Matin
Etre le premier constructeur du monde à engager aux 24?Heures du Mans une voiture hybride, donc faire cohabiter sur quatre roues des technologies différentes (dont le fameux récupérateur d'énergie cinétique), maîtriser une électronique omniprésente, complexe: tel est le défi que s'est lancé le team Hope Racing de Benoît Morand, dont les ateliers sont installés en Gruyère. Un pari ambitieux, le meilleur moyen de s'offrir quelques nuits blanches, au risque de tomber dans la déprime. Mais, comme la passion est la plus forte, il faut insister. Y croire encore et toujours. Travailler.
Du doute à l'espoir
La semaine qui s'est terminée hier, sur le circuit mythique des 24?Heures du Mans, a été celle de tous les doutes. Mais aussi de quelques espoirs. «Dans un premier temps, l'ACO (Automobile Club de l'Ouest, l'organisateur des 24?Heures, ndlr) nous avait convoqués vendredi pour un test qui devait prouver que notre voiture pouvait se déplacer à la seule force de son système de récupération d'énergie, donc moteur coupé. Comme nous avons besoin d'au minimum deux tours du grand circuit pour que le système se charge, nous avons dû y renoncer, la tentative effectuée sur le petit tracé n'étant pas convaincante», explique Benoît Morand.
Un nouveau moteur
L'Oreca-Swisshytech n'est pas encore considérée, officiellement, comme une voiture hybride. «Nous avions aussi prévu de changer le moteur pour ces essais, mais le nouveau bloc n'est arrivé en France que dans la nuit. Nous n'avons donc pas pu rouler durant la première séance d'essais, hier en matinée», reprend le Fribourgeois. «Samedi soir, j'étais totalement démoralisé. Mais, après la séance d'hier après-midi, j'ai retrouvé mon enthousiasme: on va y arriver, cette fois j'en suis sûr.» Au volant du prototype, l'Yverdonnois Steve Zacchia - premier pilote confirmé du projet - a en effet pu couvrir une trentaine de tours. «Et les progrès enregistrés par rapport aux tests de Magny-Cours, en début de semaine, sont spectaculaires», ajoute Benoît Morand.
Qui n'est pas encore au bout de ses peines. De ses nuits blanches: dans deux semaines, la voiture devrait participer à sa première course, à Spa-Francorchamps (Bel). Mi-juin, ce seront (déjà) les 24 Heures.
Lille lâche des points à Lorient
Publié: Dimanche, 24 avril 2011, 19.00HEC
Le LOSC Lille Métropole, leader du Championnat, a été tenu en échec 1-1 dimanche, sur le terrain du FC Lorient et se trouve à portée de l'Olympique de Marseille qui joue mercredi.
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http://fr.uefa.com/MultimediaFiles/Photo/competitions/DomesticLeague/01/62/30/93/1623093_w2.jpg Pierre-Alain Frau (LOSC Lille Métropole) en duel avec Bruno Ecuele Manga (FC Lorient) ©Getty Images
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Football de base (http://fr.uefa.com/uefa/footballfirst/footballdevelopment/grassroots/index.html)
Football de base, une langue universelle (http://fr.uefa.com/uefa/footballfirst/footballdevelopment/grassroots/news/newsid=1620818.html)
Discipline (http://fr.uefa.com/uefa/footballfirst/matchorganisation/disciplinary/index.html)
Enquête ouverte sur les Rangers (http://fr.uefa.com/uefa/footballfirst/matchorganisation/disciplinary/news/newsid=1620466.html)
Moins de 21 ans (http://fr.uefa.com/under21/index.html)
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Publié: Dimanche, 24 avril 2011, 19.00HEC
Lille lâche des points à Lorient
Le LOSC Lille Métropole, leader du Championnat, a été tenu en échec 1-1 dimanche, sur le terrain du FC Lorient et se trouve à portée de l'Olympique de Marseille qui joue mercredi.
En savoir plus (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/news/newsid=1623076.html#lille+lache+points+lorient)
Le LOSC Lille Métropole, leader du Championnat, a été tenu en échec 1-1 dimanche, sur le terrain du FC Lorient et se trouve à portée de l'Olympique de Marseille qui joue mercredi. Par ailleurs, le Stade Rennais FC et le Paris Saint-Germain FC ont raté l'occasion de monter sur le podium.
Résultats (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/domesticleague/matches/index.html) | Classement (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/domesticleague/standings/index.html) | Photos (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/photos/index.html)
Mathieu Debuchy a ouvert le score pour les Lillois sur la pelouse synthétique du stade du Moustoir. Mais Kevin Gameiro a égalisé en seconde période pour les Merlus, alors que ces derniers ont dominé les débats et auraient pu remporter les trois points sans un excellent Mickaël Landreau dans le but nordiste. Mercredi, l'OM, qui est à deux points, reçoit l'OGC Nice et l'Olympique Lyonnais accueille le Montpellier Hérault SC dans des matches en retard.
Les Rennais se sont inclinés 1-0 sur le terrain de l'AS Monaco FC qui s'éloigne par la même occasion de la zone de relégation, tandis que le club de la capitale a arraché le match nul 2-2 contre le Stade Brestois 29 grâce à Guillaume Hoarau à la 89e minute.
En bas de tableau, l'AJ Auxerre (16e) et le RC Lens (19e) se sont séparés sur un nul 1-1 qui n'arrange aucune des deux équipes. Situation identique entre l'AS Nancy-Lorraine (17e) et l'AC Arles-Avignon (dernier, relégué) qui doivent se contenter d'un nul 0-0. L'autre relégable, le SM Caen, n'a pas mieux fait en signant un autre nul 1-1 contre le Toulouse FC, le score qu'ont enregistré le Valenciennes FC et le FC Sochaux-Montbéliard au milieu de tableau.
En revanche, le FC Girondins de Bordeaux s'est donné de l'air en battant l'AS Saint-Étienne 2-0. Les hommes de Jean Tigana font un bon au classement et prennent la sixième place.
Autres contenus
Marseille conserve la Coupe de la Ligue (http://fr.uefa.com/memberassociations/news/newsid=1622917.html#lom+conserve+coupe)
Marseille et Paris se rapprochent de l'Europe (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/news/newsid=1621243.html#om+psg+fete)
Lille, le leader marque le pas (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/news/newsid=1621014.html#le+leader+marque)
Lyon retrouve le podium, Marseille piétine (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/news/newsid=1618007.html#lyon+retrouve+podium)
Lille échoue sur le Rocher (http://fr.uefa.com/memberassociations/association=fra/news/newsid=1617728.html#lille+echoue+rocher)
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Tigroon46
25/04/2011, 11h57
Auto - 24h du Mans
Les Audi dominent le test
Vainqueur 2010, Romain Dumas a signé un temps canon sur Audi R 18 lors de la Journée Test, dimanche au Mans, à sept semaines de la course.
http://www.lequipe.fr/Medias/Formule1/201102/430x313/peugeot-devoile-sa-908.jpg
La nouvelle Peugeot 908 a pour mission de reprendre le titre au Mans à Audi. Dimanche matin, elle a été devancée par sa concurrente allemande. (AFP)
Aérodynamique, pneus, réglages... C'est Journée Test en ce dimanche de Pâques sur le circuit des 24 heures du Mans. Rétablies après une absence de deux ans liée à des questions de coût, ces heures de roulage (deux fois quatre heures) ont bien sûr pour objectif de préparer la 79e édition les 11 et 12 juin. Une mesure de sécurité indispensable sachant que de nombreuses nouvelles voitures seront au départ, notamment les Audi R 18 et les Peugeot 908 officielles, moins puissantes et à l'aérodynamisme revu pour se conformer au nouveau règlement de l'ACO. L'occasion donc de valider des choix techniques... et aussi de se frotter à la concurrence.
Les "vieilles" pas si loin
La première séance, dimanche matin entre 9h00 et 13h00, a été dominée par les Audi qui ont signé les trois meilleurs temps devant les trois Peugeot officielles et la Peugeot Oreca, suivies de la Pescarolo de Collard-Tinseau-Jousse, 8e de cette séance de test qui marque le retour de l'écurie française à la compétition après un an d'absence forcée. Une autre plage de roulage est programmée dimanche après-midi entre 14h00 et 18h00.
Le vainqueur de l'an dernier, Romain Dumas, à bord de l'Audi R18 n°1, a signé un tour impressionnant, en 3'27''900, pendant que Marcel Fassler, au volant de l'Audi n°2, se retrouvait dans le bac à graviers à Mulsanne après avoir occupé un moment le sommet de la feuille de temps. Les 908 sont restées en retrait, concentrées sur leur programme d'essais. La 908 Oreca, victorieuse en mars aux 12 Heures de Sebring, un modèle 2010, et la Pesca, un modèle 2009, sont restées au contact, pas si loin des Audi et des Peugeot officielles. -Rédaction (avec AFP)
Les meilleurs temps du matin
1. Dumas-Bernhard-Rockenfeller (FRA-GER-GER/Audi R18 TDI) 3:27.900
2. Tréluyer-Fassler-Lotterer (FRA-SUI-GER/Audi R18 TDI) 3:28.503
3. Kristensen-McNish-Capello (DEN-GBR-ITA/Audi R18 TDI) 3:30.382
4. Sarrazin-Davidson-Montagny (FRA-GBR-FRA/Peugeot 908) 3:30.516
5. Minassian-Gené-Lamy (FRA-ESP-POR/Peugeot 908) 3:32.549
6. Bourdais-Wurz-Vernay (FRA-AUT-FRA/Peugeot 908) 3:32.578
7. Panis-Lapierre-Duval (FRA/Peugeot 908 HDi-FAP Oreca) 3:34.317
8. Collard-Tinseau-Jousse (FRA/Pescarolo-Judd) 3:37.640
9. Prost-Jani-Bleekemolen (FRA-SUI-NED/Lola-Toyota) 3:38.537
10. Boullion-Belicchi-Smith (FRA-ITA-GBR) 3:40.264
11. Ragues-Moreau-Lahaye (FRA/Pescarolo-Judd) 3:41.520
12. Ojjeh-Chalandon-Kimber-Smith (SAU-FRA-GBR/Zytek-Nissan) 3:43.601
Audi confirme
Les nouvelles Audi R18 TDI, emmenées par les trios Kristensen-McNish-Capello et Dumas-Bernhard-Rockenfeller, ont dominé la Journée Test des 24 Heures du Mans et terminé la séance de l'après-midi avec les deux meilleurs temps (respectivement 3'27"687 et 3'27"815). La Peugeot 908 (Sarrazin-Montagny-Davidson) complète le "podium" (3'27"876).
Les meilleurs temps cumulés :
1. Kristensen-McNish-Capello (DAN-GBR-ITA/Audi R18 TDI) 3'27"687
2. Dumas-Bernhard-Rockenfeller (FRA-ALL-ALL/Audi R18 TDI) 3'27"815
3. Sarrazin-Montagny-Davidson (FRA-FRA-GBR/Peugeot 908) 3'27"876
4. Tréluyer-Fassler-Lotterer (FRA-SUI-ALL/Audi R18 TDI) 3'27"878
5. Bourdais-Wurz (FRA-AUT/Peugeot 908) 3'28"304
6. Lapierre-Duval (FRA/Peugeot 908 HDi-FAP Oreca) 3'31"141
7. Minassian-Pagenaud-Vernay-Gené-Lamy (FRA-FRA-FRA-ESP-POR/Peugeot 908) 3'32"549
8. Collard-Tinseau-Jousse (FRA/Pescarolo-Judd) 3'36"583
9. Prost-Jani-Bleekemolen (FRA-SUI-HOL/Lola-Toyota) 3'37"809
10. Boullion-Belicchi-Smith (FRA-ITA-GBR/Lola-Toyota) 3'38"716
Enjouement ou engouement ?
Dans les deux cas, je fais comme les autres (je crois), je lis mais je ne fais pas de commentaire
;)Faute de frappe, toi vais pas te louper:p:bad:Vais te castrer
Merci de me remettre en boîte (Ronron):D:D:D
;)Faute de frappe, toi vais pas te louper:p:bad:Vais te castrer
Merci de me remettre en boîte (Ronron):D:D:D
J'voulais pas me moquer, mais savoir si "enjouement" était un mot Suisse.:boutons:
Sinon, continu comme ça, je passe par ici régulièrement:content:
J'voulais pas me moquer, mais savoir si "enjouement" était un mot Suisse.:boutons:
Sinon, continu comme ça, je passe par ici régulièrement:content:
:)Merci..........http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTjhD6bIxmw6Xspjh1JJqUmHvImxCNKx EfQm_wR-RkBuDLSxeUh
football
Arsenal est hors course
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Image © Keystone
Kevin Davies (à dr), capitaine des Bolton.
Battus par Bolton, les Gunners doivent faire le deuil du titre en championnat.
Damian Gonzalez
Le Matin
On commencerait presque à se demander pourquoi Arsenal est encore considéré comme un grand d'Europe. Une nouvelle fois incapables hier de ramener trois points au moment où il le fallait, les Gunners se sont même inclinés 2-1 contre Bolton, une équipe pourtant étrillée 5-0 en Cup par Stoke City. Une semaine avant de recevoir les Red Devils de Manchester, les protégés d'Arsène Wenger auraient pu rêver d'un meilleur scénario qui leur aurait permis de rester en lice pour le titre. Désormais relégué à neuf points des Mancuniens, cette année encore, il n'en sera rien, et Arsenal devra se contenter des accessits.
Sur le terrain
Du côté de la grande banlieue de Manchester, c'est à la suite de deux coups de pied arrêtés que le sort des Gunners a été scellé. Le premier à la 38e minute, oeuvre de l'excellent Sturridge, le second dans les arrêts de jeu grâce à une puissante tête de Cohen. Van Persie a bien cru à une possible victoire londonienne avec son égalisation juste après la reprise, mais tout dans le jeu de ses coéquipiers laissait à penser qu'ils ne comptaient que sur un miracle. En effet, un penalty repoussé par le gardien
Szczesny, après une faute de loin pas évidente commise par un Johan Djourou peu inspiré hier, a redonné, l'espace d'un très court instant, un semblant de vitalité au groupe de Wenger. En somme, mise à part les quelques maladresses offensives auxquelles Arsenal nous habitue depuis longtemps et qui finissent par en faire sa griffe, la victoire de Bolton ne souffre d'aucune contestation.
Un échec annoncé
On se régale d'avance à l'idée de lire les tabloïds anglais, qui ne manqueront pas de fustiger Arsène Wenger comme le principal responsable de cette nouvelle débâcle. Déjà six ans que le coach français ne glane pas le moindre titre et ses constantes pitreries et autres calembours aux micros des journalistes visant à se dédouaner de toute responsabilité commencent à agacer sérieusement. Depuis la fin de la «French connection», le manager français s'est entêté à ne recruter qu'à moindre coût, au profit d'une politique de formation de jeunes joueurs qui manquent cruellement d'impact physique. Van Persie et Arshavin sont probablement surestimés, tandis que Fabregas semble lassé d'évoluer au club. Quoi qu'il en soit, les résultats ne suivent plus depuis un moment, et Wenger est ataviquement incapable d'une remise en question quelconque.. On ne peut qu'espérer que sa mauvaise foi sera enfin perçue par les dirigeants du club pour qu'un avenir moins terne attende Arsenal.
Philippe Gilbert nouveau leader du classement UCI
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© photo news
Grâce à ses victoires à la Flèche Wallonne et à Liége-Batsogne-Liège, Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) s'est confortablement installé en tête du nouveau classement UCI WorldTour, publié lundi par l'Union cycliste internationale.
Ses deux derniers succès lui ont permis de récolter le maximum de points, soit 180. Il totalise désormais 356 unités, progressant de la cinquième à la première place aux dépens du Suisse Fabian Cancellara (Leopard-Trek), qui le suit à présent à 120 points (236).
L'Australien Matthew Goss (HTC-Highroad) vainqueur de Milan-Sanremo, est toujours troisième avec 203 points, soit une unité de mieux que l'Allemand Andreas Klöden et l'Italien Michele Scarponi. Tom Boonen (140 pts), 9ème, recule d'une place, alors que Nick Nuyens et Johan Vansummeren, tous deux 100 points perdent deux places et sont respectivement 16e et 17e.
Au classement des nations, la Belgique a consolidé sa première place. Notre pays compte maintenant 750 points, presque 200 de plus que l'Australie (558), tandis que l'Espagne (546) dépasse l'Italie (545) au 3e rang.
Grâce au Remoucastrien, la formation Omega Pharma-Lotto progresse aussi au classement par équipes, passant de la 8e à la 3e place. RadioSchack doit elle céder le leadership à la formation luxembourgeoise Leopard-Trek des frères Schleck et de Cancellara. Le prochain classement UCI WorldTour sera publié le 2 mai, après le Tour de Romandie.
Kirsten Flipkens réintègre le top 100 mondial
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© belga
Grâce à sa présence en demi-finales du tournoi de Fès la semaine dernière, Kirsten Flipkens a réintégré le top 100 mondial, progressant à la 86e place du classement publié lundi par la WTA.
'Flipper', 25 ans, a fait un bond de 18 places par rapport à la semaine précédente, mais est encore loin de son meilleur classement (59e en juin 2010). La Danoise Caroline Wozniacki a conservé son statut de N.1 mondiale, avec une belle avance sur Kim Clijsters et la Russe Vera Zvonareva.
L'Australienne Samantha Stosur, battue en demi-finales à Stuttgart par l'Allemande Julia Görges, désormais 27e mondiale, dépasse la Chinoise Na Li pour occuper le sixième rang. C'est le changement observé au niveau des 10 premières joueuses mondiales. Yanina Wickmayer pointe elle toujours en 22e position.
Le 65e Tour de Romandie avec Evans et Vinokourov
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© epa
L'Australien Cadel Evans et le Kazakh Alexandre Vinokourov sont, avec l'Italien Ivan Basso et le Russe Denis Menchov, les premières têtes d'affiche du Tour de Romandie qui s'élance mardi de Martigny dans les Alpes valaisannes.
Evans (BMC), le champion du monde 2009, renoue avec la compétition après plusieurs semaines d'arrêt à cause d'un genou douloureux. Vinokourov (Astana), en revanche, monte en puissance et affirme ouvertement ses ambitions dans une course qu'il découvre à l'âge de 37 ans.
Si aucun des deux ne s'aligne au Giro, qui commencera à la fin de la semaine suivante (7 mai), Menchov (Geox) vient mettre la dernière touche à sa préparation pour la course italienne, tout comme le Tchèque Roman Kreuziger, qui court dans la même équipe que "Vino".
Côté belge, on notera le retour de Kevin De Weert, après une lourde chute à Paris-Nice, et les présences de Kevin Seeldraeyers, Françis De Greef, Jurgen Van de Walle et Ben Hermans.
L'épreuve, gagnée l'an passé par le Slovène Simon Spilak après la disqualification de l'Espagnol Alejandro Valverde, débute par un prologue à Martigny et se termine le 1er mai à Genève.
Au deuxième jour de la course, les coureurs doivent grimper vers la station vaudoise de Leysin (1.318 mètres) via Gstaad et le col du Pillon (1.546 mètres). Suivent une étape en boucle à Romont (171,8 km) et un parcours vallonné menant à Neuchâtel, avant l'exigeant contre-la-montre de 20,1 kilomètres prévu entre Aubonne et Signal-de-Bougy.
La Villette remporte son 34e titre de champion de Belgique
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archive.
La Villette Charleroi a décroché sans surprise son 34e titre national en interclubs de tennis de table masculins, dimanche soir à Lodelinsart. Les Carolos ont battu 5 victoires à 2 Virton en match retour de la finale des play-offs de Superdivision. La Villette s'étaient imposés 1-6 en Gaume lors du match aller dimanche passé. Ce titre est aussi le 24e consécutif remporté par le club qui a aligné dimanche soir Jean-Michel Saive, Jian Jun Wang et Oleg Dantchenko.
J'voulais pas me moquer, mais savoir si "enjouement" était un mot Suisse.:boutons:
Sinon, continu comme ça, je passe par ici régulièrement:content:
en tout cas enjouer, je connais. Bon après peut être que c'est du côté suisse que c'est plus utilisé.
Mais d'après google:
enjouement, nom masculin
Sens Gaieté (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/gaiete/), bonne (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/bonne/) humeur (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/humeur/). Synonyme entrain (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/entrain/) Anglais playfulness
:yes::yes::yes:
en tout cas enjouer, je connais. Bon après peut être que c'est du côté suisse que c'est plus utilisé.
Mais d'après google:
enjouement, nom masculin
Sens Gaieté (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/gaiete/), bonne (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/bonne/) humeur (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/humeur/). Synonyme entrain (http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/entrain/) Anglais playfulness
:yes::yes::yes:
MERCI Danlos, tu me sauves du félin:D:D:D
CYCLISME
«BMC vient pour gagner»
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Image © Keystone
Steve Morabito
Johann Tschopp et Steve Morabito évoquent leurs objectifs et les ambitions de leur formation, emmenée par Cadel Evans, avant le prologue de cet après-midi à Martigny.
Laurent Guyot - le 25 avril 2011, 21h43
Le Matin
TOUR DE ROMANDIE
Martigny
Steve Morabito, ce Tour de Romandie n’est-il pas taillé à votre mesure?
N’allons pas trop vite en besogne. Cadel Evans est notre leader et toute l’équipe va se mettre à la planche pour lui dans un premier temps. J’aurai pour mission de l’accompagner le plus longtemps possible comme à l’occasion du Tour de France 2010.
Johann Tschopp, confirmez-vous ces propos?
Absolument d’abord parce que je n’ai pas encore retrouvé ma forme de 2010 pour cause de maladie. En raison d’une grippe A connue en février, je me suis retrouvé sur le flanc durant quinze jours. J’ai mis plus d’un mois pour me remettre, remplacer le Tour de Catalogne par celui du Pays basque et faire des entraînements spécifiques. BMC vient pour gagner alors je vais bien sûr tout faire pour l’équipe et notre leader.
Votre passage de Bouygues Telecom à BMC s’est-il bien passé?
Je mentirais en prétendant le contraire. Tout a très bien fonctionné. Je me suis très vite senti à l’aise avec le staff et mes coéquipiers. Il est vraiment dommage que j’ai connu cet arrêt forcé en raison de cette grippe. Sinon c’est vraiment le top tant en ce qui concerne l’organisation que pour le matériel.
Steve Morabito, pourtant votre 5e place au Tour du Trentin décrochée la semaine passée à 5 secondes du podium devrait rassurer votre employeur?
Il faut savoir que j’ai connu un début de saison délicat en raison d’une hernie discale. Je me suis retrouvé hors course dix jours après Paris-Nice. Avec des séances de physiothérapie et du repos, j’ai récupéré. Je me suis bien entraîné avec des stages en altitude à Loèche et à la Gemmi. Mais il m’a manqué un poil de rythme. Je me suis fait violence pour arracher cette 5e place.
Ressentez-vous une certaine pression au moment de courir sur vos routes d’entraînement?
Justement je pense avoir réussi à évacuer cette pression contrairement à d’autres années. Le Tour de Romandie reste et restera toujours pour moi et pour tous les coureurs suisses et romands un rendez-vous particulier. Nous n’avons pas besoin de nous motiver pour nous sortir les pouces.
Avez-vous récupéré pour cette 65e édition de la Boucle romande après vos efforts dans le Tour du Trentin?
Je crois avoir mis tous les atouts de mon côté depuis mon retour vendredi soir. Samedi, je me suis contenté de décrasser en roulant tranquille durant une heure et demie avant de me faire masser. Dimanche, j’ai remis ça sans forcer. Et hier, j’ai effectué une bonne sortie de plus de 2 heures derrière voiture afin de faire monter les pulsations.
Johann Tschopp, votre abandon dans la Flèche Wallonne n’est-il plus qu’un mauvais souvenir?
Je le crois, oui. J’ai tout fait pour en tous les cas. Vous savez, je ne me suis jamais senti à l’aise dans une course d’un jour. Le Tour de Romandie compte beaucoup pour moi. J’espère juste que les sensations connues lors de mes entraînements seront les mêmes cette semaine.
Ce Tour de Romandie vous servira-t-il de rampe de lancement pour le Giro?
C’est mon objectif car je sais que je peux progresser. Reste que j’avais une meilleure forme l’année dernière. Cela m’avait permis d’être présent dès le début du Tour d’Italie avant de gagner l’étape reine au Passo Tonale.
Steve Morabito, roulerez-vous aussi sur les routes transalpines?
Je suis inscrit comme premier réserviste pour le Giro compte tenu de mon début de saison. Normalement, je devrais m’aligner au Tour de Californie et enchaîner avec le Tour de Suisse. En principe, ma priorité est constituée par le Tour de France, où je devrais servir de lieutenant dans la montagne à Cadel Evans. Mais cela, c’est encore de la musique d’avenir. Dans un premier temps, nous allons d’abord tout faire pour que BMC gagne la Boucle romande.
Deuxième Coupe de Belgique pour Mons-Hainaut
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© belga
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© belga
7S7 mise à jour Mons-Hainaut a remporté la 58-ème Coupe de Belgique de basket-ball messieurs contre Ostende, 68-66 (mi-temps: 33-33), lundi à la Lotto Arena d'Anvers. Il s'agit de son deuxième succès en cinq ans (six éditions) dans cette épreuve.
Ostende, tenant du trophée, qui disputait sa 21-ème finale, détient le record de victoires (12).
Mons-Hainaut, lauréat en 2006 (69-59 contre Charleroi), était finaliste pour la 3-ème fois, et a vengé sa défaite de 2008 (63-66) contre Ostende. Il avait éliminé Spirou Charleroi, champion de Belgique et leader du championnat, en demi-finale.
Ce revers des demi-finalistes de l'Eurochallenge FIBA met en péril leur participation à la prochaine édition. Thomas Van Den Spiegel, qui se plaignait de douleurs au dos, n'a joué que 3 minutes dans les rangs ostendais.
Mené de 6 points au terme du 3-ème quart-temps, les Montois de l'Israélien Arik Shivek ont renversé la situation in ex extremis pour s'assurer un avantage de 2 points, 68-66, grâce à l'Américain Ronell Taylor, à 13 secondes de la fin. Son compatriote Will Thomas a ensuite manqué un lancer franc, puis volontairement le second. Ostende a alors bénéficié d'une dernière rentrée dont l'Américain Matt Lojeski a bien failli profiter pour égaliser au buzzer. Lojeski et Taylor sont les meilleurs marqueurs de cette finale avec 16 points chacun.
Les scores des quart-temps: 13-14; 20-19; 17-23 et 18-10.
Manchester City l'emporte grâce au premier but de Dzeko
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© epa
Manchester City a renforcé ses chances de qualification pour la prochaine Ligue des champions en l'emportant lundi à Blackburn 0-1 grâce à l'attaquant bosniaque Edin Dzeko, auteur de son premier but depuis son arrivée d'Allemagne au mercato d'hiver.
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© epa
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A l'issue de la 34e journée, les "Citizens" sont quatrièmes avec quatre points d'avance sur Tottenham, leur rival pour le dernier ticket en Ligue des champions, l'un des deux grands objectifs de leur fin de saison avec la finale de la FA Cup, qu'ils disputeront le 14 mai contre Stoke. Ils pourraient même fondre sur Arsenal, troisième avec une marge de cinq points mais un match joué en plus.
Dzeko, décevant depuis son arrivée de Wolfsburg pour 27 millions de livres (environ 30 millions d'euros), a marqué à la 75e minute, trois minutes après son entrée en jeu, en profitant d'un mauvais dégagement de la défense des "Rovers" après un tir de Silva.
Classement UCI WorldTour au 25 avril
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© belga
Classement UCI WorldTour au 25 avril, après la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège:
Individuel:
1. Philippe Gilbert (BEL/Omega Pharma-Lotto) 356 points
2. Fabian Cancellara (Sui) 236
3. Matthew Goss (Aus) 203
4. Andreas Klöden (All) 202
5. Michele Scarponi (Ita) 202
6. Samuel Sanchez (Esp) 163
7. Robert Gesink (P-B) 156
8. Christopher Horner (USA) 143
9. Tom Boonen (BEL) 140
10. Cadel Evans (Aus) 128
11. Joaquin Rodriguez (Esp) 127
12. Tony Martin (All) 114
13. Rigoberto Uran Uran (Col) 107
14. Cameron Meyer (Aus) 106
15. Alberto Contador (Esp) 106
16. Nick Nuyens (BEL) 100
17. Johan Vansummeren (BEL) 100
18. Alessandro Ballan (Ita) 100
19. Fränk Schleck (Lux) 94
20. Ivan Basso (Ita) 92
...
37. Björn Leukemans (BEL) 54
50. Greg Van Avermaet (BEL) 40
59. Jelle Vanendert (BEL) 22
68. Thomas De Gendt (BEL) 12
70. Ben Hermans (BEL) 10
72. Kristof Goddaert (BEL) 10
76. Kevin Seeldraeyers (BEL) 10
88. Maxime Monfort (BEL) 4
91. Kristof Vandewalle (BEL) 4
107. Kenny De Haes (BEL) 2
109. Jan Bakelants (BEL) 1
113. Jurgen Roelandts (BEL) 1
Nations:
1. Belgique 750
2. Australie 558
3. Espagne 546
4. Italie 545
5. Allemagne 401
6. Pays-Bas 342
7. Suisse 296
8. Etats-Unis 266
9. France 178
10. Luxembourg 166
Equipes:
1. Leopard-Trek 503
2. RadioShack 465
3. Omega Pharma-Lotto 459
4. HTC-Highroad 453
5. Rabobank 398
6. Garmin-Cervélo 358
7. Sky 325
8. BMC Racing Team 308
9. Saxo Bank-Sungard 258
10. Lampre-ISD 253
11. Movistar 248
12. Quick.Step 234
13. Katusha 221
14. Euskaltel-Euskadi 195
15. Liquigas-Cannondale 188
16. Astana 145
17. AG2R La Mondiale 103
18. Vacansoleil-DCM 74.
Classement ATP au 25 avril
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Classement ATP du 25 avril (entre parenthèses le classement du 18 avril):
1. (1) Rafael Nadal (Esp) 12870 points
2. (2) Novak Djokovic (Ser) 9640
3. (3) Roger Federer (Sui) 8550
4. (4) Andy Murray (G-B) 5905
5. (5) Robin Soderling (Suè) 5175
6. (6) David Ferrer (Esp) 4840
7. (7) Tomas Berdych (Tch) 3900
8. (8) Jurgen Melzer (Aut) 3020
9. (9) Gael Monfils (Fra) 2600
10.(11) Nicolas Almagro (Esp) 2530
11.(10) Mardy Fish (USA) 2401
12.(13) Andy Roddick (USA) 2270
13.(14) Mikhail Youzhny (Rus) 2205
14.(15) Stanislas Wawrinka (Sui) 2090
15.(12) Fernando Verdasco (Esp) 1910
16.(16) Viktor Troicki (Ser) 1815
17.(17) Richard Gasquet (Fra) 1745
18.(18) Jo-Wilfried Tsonga (Fra) 1625
19.(19) Sam Querrey (USA) 1520
20.(20) Dolgopolov Alexandr (Ukr) 1500
...
49.(47) Xavier Malisse 965
73.(73) Olivier Rochus 697
136.(143) Steve Darcis 411
173.(172) Ruben Bemelmans 333
220.(223) David Goffin 231
297.(296) Yannick Mertens 161
298.(297) Kristof Vliegen 160
390.(372) Christophe Rochus 115
415.(416) Niels Desein 95
451.(463) Julien Dubail 72
475.(477) Alexandre Folie 68
499.(503) Maxime Authom 60
598.(612) Yannick Reuter 34
713.(712) Bart Govaerts 21
772.(772) Marco Dierckx 17
782.(780) Germain Gigounon 16
930.(935) Arthur De Greef 9
968.(967) Gaetan De Lovinfosse 8
1001.(1004) Yannick Vandenbulcke 7
1007.(1008) Clement Maas 6
1090.(1089) Alec Witmeur 5
1229.(1230) Joris De Loore 3
1315.(1310) Mario Dierckx 2
1315.(1310) Laurent-Olivier Daxhelet 2
1527.(1526) Louis Cant 6
1746.(1747) Frederic De Fays 1.
Classement WTA au 25 avril
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© epa
Classement WTA du 25 avril (classement précédent du 18 avril entre parenthèses):
1. (1) Caroline Wozniacki (Dan) 9970 points
2. (2) Kim Clijsters (BEL) 8115
3. (3) Vera Zvonareva (Rus) 7615
4. (4) Francesca Schiavone (Ita) 4892
5. (5) Victoria Azarenka (Blr) 4630
6. (7) Samantha Stosur (Aus) 4336
7. (6) Na Li (Chn) 4300
8. (8) Jelena Jankovic (Ser) 4235
9. (9) Maria Sharapova (Rus) 3726
10.(10) Serena Williams (USA) 3035
11.(11) Shahar Peer (Isr) 3030
12.(14) Agnieszka Radwanska (Pol) 3000
13.(12) Marion Bartoli (Fra) 2925
14.(13) Svetlana Kuznetsova (Rus) 2900
15.(19) Andrea Petkovic (All) 2785
16.(15) Venus Williams (USA) 2765
17.(16) Kaia Kanepi (Est) 2760
18.(17) Ana Ivanovic (Ser) 2750
19.(18) Petra Kvitova (Tch) 2743
20.(20) Flavia Pennetta (Ita) 2570
...
22.(22) Yanina Wickmayer 2345
86.(104) Kirsten Flipkens 780
367.(332) Tamaryn Hendler 113
464.(433) An-Sophie Mestach 77
480.(478) Gally De Wael 73
498.(450) Sofie Oyen 66
573.(576) Valerie Verhamme 50
602.(608) Alison Van Uytvanck 44
727.(733) Anouk Delefortrie 28
823.(823) Nicky Van Dyck 18
949.(949) Elyne Boeykens 12
1057.(1056) Michaela Boev 8.
J'aimerai pas prendre une claque............
Stoner27
26/04/2011, 08h24
elle a une belle bouche:ange::yes:
elle a une belle bouche:ange::yes:
:diable:vicieux:D:D
Cyclisme
Tour de Romandie: Castroviejo crée la surprise en gagnant le prologue
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/TdRcastroviejo.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/TdRcastroviejo.jpg)
Image © KEYSTONE
L’Espagnol Jonathan Castroviejo (Euskaltel) a créé la surprise à Martigny lors du prologue du Tour de Romandie.
La jeune garde a pris le pouvoir au Tour de Romandie, lors du prologue qui s'est déroulé à Martigny. L’Espagnol Jonathan Castroviejo (Euskaltel) s'est imposé devant l'Américain Taylor Phinney et l'Australien Leigh Howard.
le 26 avril 2011, 19h30
Le Matin
L’Espagnol Jonathan Castroviejo (Euskaltel) a créé la surprise à Martigny lors du prologue du Tour de Romandie. Il s’est imposé avec 17 centièmes d’avance sur le prodige américain Taylor Phinney (BMC).
Le podium du prologue a été complété par le jeune Australien Leigh Howard (HTC), spécialiste de la piste, sacré champion du monde de l’Américaine le mois dernier.
Les jeunes ont pris le pouvoir dans ce premier rendez-vous martignerain avec Castroviejo (23 ans), Phinney (20 ans) et Leigh (21 ans). Le meilleur Suisse est Steve Morabito (BMC), qui s’est classé 24e, en concédant 7’’ au vainqueur du jour, juste devant son chef de file, l’Australien Cadel Evans. Oliver Zaugg se retrouve au 30e rang.
Ce n’est pas tous les jours qu’un coureur de l’équipe Euskaltel s’impose sur la scène du World Tour, d’autant moins dans un contre-la-montre. Castroviejo a donc surgi au bon moment. Il était apparu l’an dernier au Tour de Suisse avec une 12e place lors du «chorno» de Liestal. Cette saison, il s’est classé 7e dans l’exercice à Tirreno - Adriatico.
«Si je me suis imposé, c’est grâce aux risques que j’ai pris dans les virages», a relevé Castroviejo. Le Basque a su maîtriser parfaitement les neuf virages de ce parcours de 3,5 km, extrêmement technique, se permettant ainsi de devancer Phinney d’un écart infime. L’Américain, qui revenait à la compétition depuis le Tour de Catalogne suite à une chute à l’entraînement, a démontré qu’il avait retrouvé du mordant.
La première étape du Tour de Romandie mènera les coureurs de Martigny à Leysin sur 172,6 km avec l’ascension du col du Pillon (151e km) et la montée finale vers Leysin.
TENNIS
Wawrinka sorti dès le premier tour à Munich
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Image © KEYSTONE-a
Stanislas Wawrinka est contraint de quitter prématurément le touirnoi de Munich.
Le retour sur terre battue s’est révélé douloureux pour Stanislas Wawrinka à Munich. Le Vaudois, tête de série no 2, s’est incliné au 1er tour du tournoi bavarois face à l’Allemand d’origine jamaïcaine Dustin Brown, 6-7 6-4 7-5.
le 26 avril 2011, 19h04
Le Matin
Wawrinka (ATP 14) n’avait plus perdu devant un joueur aussi mal classé - Brown émarge au 123e rang mondial - depuis novembre 2009, lorsqu’il avait été éliminé par le Français David Guez au 1er tour à Paris. Le Lausannois a été en difficulté dès le début face au grand Allemand (1m96) portant des dreadlocks, qui passe pourtant pour un spécialiste du gazon.
A l’arraché, le Vaudois parvenait à s’adjuger la première manche (8/6 au tie-break). Dans les deux sets suivants, il a constamment couru derrière le score. Mené 5-3 avec service à suivre pour l’Allemand dans la troisième manche, Wawrinka a eu un sursaut pour revenir à 5-5. Alors qu’il semblait avoir fait le plus dur, il lâchait prise pour s’incliner après 2h13’. C’est sa deuxième défaite d’affilée au premier tour d’un tournoi, après celle subie devant Marcel Granollers (Esp) à Miami.
Le no 2 helvétique revenait à la compétition après un mois de préparation foncière, technique et physique, qui lui avait fait zapper le Masters 1000 de Monte-Carlo. Cette défaite est d’autant plus surprenante que Wawrinka avait eu l’occasion de prendre ses marques sur terre battue lors des deux tournois qu’il avait disputés en février à Acapulco (Mex) et Buenos Aires.
:diable:C'est un tocard:D:bad:
Real Madrid-Barcelone: Mourinho tacle Guardiola
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Image © Keystone
José Mourinho
L’entraîneur portugais du Real Madrid José Mourinho s’en est pris en plaisantant à son homologue de Barcelone, Josep Guardiola, déclarant mardi qu’il faisait partie d’un nouveau groupe d’entraîneurs, celui qui "critiquait une bonne décision de l’arbitre".
le 26 avril 2011, 16h37
LeMatin.ch & les agences
Le Real Madrid et le FC Barcelone s’affrontent mercredi soir en demi-finale aller de la Ligue des champions. L’arbitre de la rencontre sera l’Allemand Wolfgang Stark.
Avant la désignation de M. Stark, Guardiola avait déclaré que si jamais l’arbitre portugais Pedro Proença était nommé, José Mourinho serait "super heureux, super content."
"Au-delà de la désignation de l’arbitre et de la pression qu’ils ont mis pour que ce ne soit pas Proença, le plus important c’est que nous sommes dans un nouveau cycle", a expliqué Mourinho en conférence de presse mardi.
"Jusqu’ici nous avions deux groupes d’entraîneurs, a-t-il détaillé. Un groupe très petit d’entraîneurs qui ne parlent jamais des arbitres. Après, il y a un groupe plus grand, dont je fais partie, qui critique les arbitres quand ils font de grosses erreurs. Mais c’est aussi un groupe avec des entraîneurs qui sont heureux de mettre en avant le bon travail d’un arbitre." "Et maintenant, avec les déclarations de Pep (Guardiola) l’autre jour, nous entrons dans une nouvelle ère, avec un troisième groupe, qui pour l’instant ne compte qu’une personne, lui (Guardiola), qui critique une bonne décision de l’arbitre", a poursuivi Mourinho, en faisant référence à un but justement refusé à Pedro, selon les images, pour un hors-jeu en finale de la Coupe du Roi. "Cela, je ne l’avais jamais vu dans le monde du football" a-t-il conclu.
ATHLéTISME
Les 20 km de Lausanne rouvrent les inscriptions
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Image © DR
En raison du week-end prolongé de Pâques, les organisateurs des 20 km de Lausanne ont décidé de rouvrir les inscription pour la course de samedi aujourd'hui de 15h à minuit, et ce dans toutes les catégories.
LICENCES
La vétusté de La Pontaise jugée incompatible avec une promotion du LS
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Des problèmes d’infrastructures sont à l’origine de la décision de la commission concernant le LS.
Tous les clubs de Super League obtiennent leur licence en première instance. Candidats à la promotion dans l’élite, Lugano et Lausanne-Sport ont en revanche été recalés pour une éventuelle licence de Super League.
le 26 April 2011, 12h38
LeMatin.ch & les agences
7 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
La commission des licences de la SFL a accordé le précieux sésame à tous les clubs de Super League pour le prochain championnat. Candidats à la promotion dans l’élite, Lugano et Lausanne-Sport ont en revanche été recalés en première instance pour une éventuelle licence de Super League.
Des problèmes d’infrastructures sont à l’origine de la décision de la commission concernant Lugano et le LS. Une licence pour le championnat 2011/2012 de Challenge League leur a en revanche été accordée.
Aarau et Kriens n’ont par ailleurs pas obtenu le feu vert pour la Challenge League. Ces deux formations ne remplissent pour l’heure pas les critères financiers. Un recours contre ces décisions peut être déposé jusqu’à la fin de la semaine.
;)Ce stade c'est une partie de ma vie, 3 fois joué en match d'ouverture avec les juniors du Etoile sportive du Malley
:content:Le plus beau souvenir Lausanne - Inter Milan
ouaip c'est vieux............:fou::D
"J'aimerais croire que Gilbert ne se dope pas"
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Jean-Pierre de Mondenard au sujet de Philippe Gilbert: "Ce qu'il a fait est étonnant : être présent depuis Milan-San Remo (3e) et gagner quatre courses de suite..." © photo news
4 sur 4 avec Liège-Bastogne-Liège, l'Amstel Gold Race, Flèche Wallone et Flèche brabançonne: Philippe Gilbert marche sur l'eau depuis quelques semaines. Il n'en fallait pas plus pour que les premiers soupçons de dopage fassent leurs apparitions. Spécialiste du dopage, Jean-Pierre de Mondenard (médecin) donne son avis sur le succès de Remoucastien. Extraits.
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"L'expérience me fait douter"
"J'aimerais croire que gagner 4 courses comme il vient de le faire est possible sans se doper", avoue Jean-Pierre de Mondenard (médecin du sport spécialisé dans la lutte antidopage) dans Le Soir. "Mais l'expérience, depuis cinquante ans, me fait douter. Ce qu'il a fait est étonnant : être présent depuis Milan-San Remo (NDLR : il a terminé 3e) et gagner quatre courses de suite..."
"Des vitamines"
"Dès qu'on fait des descentes de police, on trouve des produits illicites, alors que le nombre de cas positifs est ridicule et que les moyennes des coureurs ne baissent pas, au contraire. La quasi-totalité des vainqueurs du Tour, à part Lemond, ont des casseroles de dopage, alors que le contrôle est inefficace. Seuls deux champions ont osé dire qu'ils se dopaient : Anquetil et Coppi. J'attends toujours qu'Indurain, Ulrich, Armstrong ou Merckx nous expliquent à quoi ils carburaient. Je ne parle pas des vitamines, comme l'explique Merckx. Là, il nous raconte un épisode de La petite maison dans la prairie...", conclut celui qui a été l'auteur de six livres sur le dopage dans le sport. (chds
CYCLISME
Première étape du Tour de Romandie: victoire surprise de Pavel Brutt
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Echappé dès le début de l’étape en compagnie de trois autres coureurs, le coureur russe s’est imposé en solitaire à Leysin et a endossé le maillot jaune du Tour de Romandie. Les favoris ont tardé à réagir et se sont retrouvés piégés
le 27 avril 2011, 17h45
LeMatin.ch
Le Tour de Romandie a pris dès sa première étape une tournure plutôt inattendue. L’étape s’est achevée à Leysin par la victoire surprenante du Russe Pavel Brutt. Lorsqu’un groupe de quatre coureurs - Pavel Brutt, Oleksandr Kvachuk, Branislau Samoilau et Jack Bobridge - s’est échappé dès les premiers kilomètres, le peloton n’a pas vraiment pris au sérieux cette offensive. Au point que rapidement, l’écart a dépassé 10 minutes. Ce n’est qu’à une soixantaine de kilomètres de l’arrivée que, sous l’impulsion de l’équipe Liquigas, le peloton a commencé à réagir. Mais à l’avant, les échappés ne se sont pas désunis et ont pu maintenir un bon écart. Au sommet du col du Pillon, à moins de 20km de l’arrivée, l’écart était encore de 4 minutes. C’était trop pour que les favoris puissent espérer revenir. D’autant plus qu’à l’avant, Pavel Brutt est parvenu à fausser compagnie aux autres échappés et s’en est allé seul dès le début de la montée de Leysin. Il a ainsi franchi la ligne en vainqueur. Malgré une belle réaction de Steve Morabito et Cadel Evans notamment dans les derniers kilomètres, le peloton - ou ce qu’il en restait - a concédé plus de deux minutes au Russe. Autant dire que ce dernier peut entrevoir la défense de son maillot dans les prochaines étapes. Les autres équipes n’auront pas le choix, elles devront attaquer si elles veulent renverser la situation.
Messi, la "force motrice" du Barça, fait taire Mourinho
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La classe de Lionel Messi a fait la différence. Sur son deuxième but, La "Pulga" a passé toute la défense madrilène en revue! © afp
7S7 mise à jour Le Barça a fait un grand pas vers la finale de la Ligue des champions en s'imposant 0-2 sur le terrain de l'éternel rival du Real Madrid, que l'on disait pourtant légèrement favori suite à son sacre en Coupe du Roi. Un doublé de Messi a permis aux Blaugranas d'aborder le match retour avec un avantage confortable. Les hommes de Mourinho n'auront rien montré au cours d'une rencontre émaillée de plusieurs incidents (exclusions de Pinto et Pepe, plusieurs bousculades, expulsion de Mourinho).
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Affelay, le changement gagnant de Guardiola. Le Néerlandais a délivré un assist 5 étoiles pour Messi. © afp
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Pinto a été exclu à l'issue de la fin de la première période pour avoir giflé un joueur madrilène... © reuters
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Pepe est renvoyé aux vestiaires par l'arbitre Stark pour un pied en avant sur Alves. Décision logique malgré les protesations madrilènes. © ap
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L'entrée au jeu d'Adebayor n'aura pas eu l'effet escompté. Le Togolais peut s'estimer heureux d'avoir terminé le match après un geste plus que limite sur Mascherano. © afp
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Mourinho a été prié d'aller suivre le débats en tribune...
Revivez le match phase pas phase (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1256148/Real-Madrid---Barcelone.dhtml)
Les plus belles photos du match (http://www.7sur7.be/7s7/fr/8020/sports/photoalbum/detail/1256446/961692/0/Real-Madrid-Barcelone-les-plus-belles-photos.dhtml)
C'est dans un climat électrique et délétère, avec des polémiques à n'en plus finir (désignation de l'arbitre, hauteur de la pelouse, etc) que les deux ogres espagnols ont abordé l'acte III des Clasicos. La guerre des mots faisait rage entre Guardiola et Mourinho, se lançant des invectives mutuelles en prélude de ce sommet, qui s'annonçait tumulueux. "C'est la première fois que Pep joue la carte de la provocation", faisait remarquer Ronald Koeman, qui a travaillé avec les deux entraîneurs alors qu'il estimait que Mourinho était "fidèle à lui-même". Le coach du Barça ne nous avait pas habitués à être irascible de la sorte. Le doute s'installerait-il dans son esprit?
Iniesta forfait
Fort de son sacre en Copa del Rey, le Real partait avec un léger ascendant psychologique. Surtout que le Barça devait se passer de son maître à jouer Andres Iniesta, victime d'une contracture musculaire. Keita palliait son absence, alors que Busquets était aligné dans l'axe de la défense avec Piqué. Dans les rangs madrilènes, Kaka, Benzema, Higuain et Adebayor devaient se contenter d'une place sur le banc.
Mourinho cite Albert Einstein: "La force motrice..."
"A mes joueurs, je dis simplement cette phrase de quelqu'un qui s'appelle Albert: Albert Einstein La force motrice plus puissante que l'électricité, la vapeur et l'énergie atomique, c'est la volonté. Avec la volonté, tu peux tout faire" avait lancé "Le Mou", qui étalait ses connaissances insoupçonnées en physique.
Manque d'audace du Real
Justement, le Real n'en démontrait pas beaucoup en première mi-temps. Il attendait le Barça dans sa moitié de terrain, adoptant un système de jeu attentiste. Les protégés de Mourinho péchaient par manque d'audace, laissant l'initiative à l'équipe catalane. Le Real oubliait-il qu'il évoluait à domicile? Cette première période fut un peu la chronique de "quand l'enjeu tue le jeu": on assistait à un match fadasse et décevant, avec deux équipes qui refusaient (surtout le Real) de prendre le jeu à leur compte. Les seules demi-possibilités furent à mettre à l'actif de Xavi (tir repoussé par Casillas) et Villa (frappe juste à côté).
Atmosphère détestable
A l'image de Pinto (le gardien réserviste du Barça), qui fut exclu pour avoir adressé une gifle à un joueur madrilène, le spectacle se faisait plus en dehors du terrain en cette deuxième mi-temps. Le tournant du match intervint à l'heure de jeu: Pepe, auteur d'un "pied en avant" sur Alves, fut logiquement exclu, provoquant la stupéfaction de Mourinho, invité à quitter la zone neutre par Monsieur Stark. La rencontre sombrait alors dans une ambiance détestable, où chaque décision était âprement contestée... La rivalité viscérale entre les deux formations était à son comble et les acteurs ne faisaient rien pour améliorer les choses. Les gestes de sportivité et de fairplay se faisaient bien trop rares.
Messi glace Bernabeu
En supériorité numérique, c'est le Barça qui imposait sa loi. Pour dynamiser les flancs, "Pep" fit entrer le prometteur Affelay. Un changement gagnant puisque l'ex-joueur du PSV éliminait Marcelo pour servir Messi, qui déviait victorieusement le ballon entre les jambes de Casillas (0-1). Galavanisé par ce but d'ouverture, La "Pulga", (que certains disaient en baisse de régime...), slalomait ensuite à travers l'arrière-garde madrilène pour tromper Casillas une deuxième fois (0-2). La douche froide pour Mourinho et ses hommes...
Mourinho a-t-il perdu son pari?
Si les jeux semblent faits avant le match retour (quoique, un match de foot doit toujours être joué), on soulignera que le duel Guardiola-Mourinho a tourné à l'avantage du premier cité. Le technicien lusitanien est en passe de perdre son pari d'emmener le Real à Wembley. On se dirige vers un "remake" de la finale de 2009. Pour rappel, le Barça avait dominé ManU 2-0...
Michaël Bouche
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© reuters
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© afp
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© afp
27/04/11 22h38
Contador fixé avant le départ du Tour
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© photo news
Le Tribunal Arbitral du Sport de Lausanne a composé le trio de juges qui va se pencher sur le cas positif au clenbutérol du coureur cycliste espagnol Alberto Contador, le 21 juillet 2010 lors du Tour de France qu'il remporta quelques jours plus tard.
Il doit annoncer sa décision de suspendre le coureur ou de confirmer la décision de la fédération espagnole de cyclisme de le blanchir avant le départ du Tour de France 2011 le 2 juillet.
Les trois juges du TAS sont l'Israélien Efraim Barak (président), le Suisse Quentin Byrne-Sutton, choisi par l'UCI et l'AMA, et l'Allemand Ulrich Haas. Ce dernier a été choisi par Contador malgré qu'il fit partie du trio qui a suspendu son compatriote Alejandro Valverde pour deux ans.
Dans un communiqué sur son site web, le TAS précise que la procédure écrite sera achevée fin mai. Une audience devrait se dérouler en juin et une décision tomber fin juin.
Alberto Contador a été testé positif au clenbutérol. Il s'est justifié en
déclarant avoir été l'objet d'une contamination à la viande. La Fédération espagnole après avoir envisagé de le suspendre un an a finalement renoncé à sanctionner le triple vainqueur du Tour. L'Union cycliste internationale (UCI) et l'Agence mondiale antidopage (AMA) ont alors décidé de faire appel devant le TAS.
L'OM en tête grâce aux Ayew
L'OM n'a pas laissé passer sa chance de s'installer en tête de la Ligue 1 aux dépens du Losc en s'imposant face à Nice (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/nice-27.html) (4-2), mercredi en match en retard de la 32e journée. Un succès acquis grâce aux frères Ayew, André, qui s'est offert un triplé, et Jordan, auteur d'une passe décisive et d'un but. Marseille (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/marseille-34.html) est donc désormais leader avec un point d'avance sur Lille (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/lille-40.html) et cinq sur Lyon (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/lyon-24.html), vainqueur de Montpellier (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/montpellier-28.html) (3-2).
http://www.forum-motogp.com/images/201117/ayew_vsnice_reu.jpg André Ayew a été le héros marseillais face à Nice en inscrivant un triplé. (Reuters)
Quatre jours après avoir conservé son titre en Coupe de la Ligue en s'imposant samedi en finale face à Montpellier (1-0), l'OM avait une occasion en or de s'emparer de la tête du classement de Ligue 1, suite au match nul de Lille à Lorient (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/lorient-11.html) (1-1). Mais il fallait pour cela battre l'OGC Nice mercredi en match décalé de cette 32e journée. Mission réussie pour les Phocéens qui se sont imposés à l'issue d'un match spectaculaire (4-2) et restent ainsi sur une série de cinq matches sans la moindre défaite en championnat (quatre victoires et un nul) qui leur permet de s'installer de nouveau sur le trône, ce qui ne leur est arrivé qu'une fois cette saison.
Pourtant, l'OM craignait cette équipe de Nice, invaincue depuis sept matches en championnat (3 victoires, 4 nuls) et revancharde après sa défaite de mardi dernier en demi-finale de la Coupe de France face au Losc (0-2). Dans une première période plutôt équilibrée, les Marseillais auraient pu obtenir un penalty suite à une faute de Civelli dans la surface (24e). L'ouverture du score va finalement venir sur corner pour l'OM avec l'aide d'Ospina. En effet, sur le centre enroulé de Valbuena, le portier colombien laisse échapper le ballon ce qui profite à Ayew qui fait trembler les filets à bout portant (1-0, 30e). Frustrés d'avoir cédé de cette manière, les Niçois accélèrent et auraient à leur tour pu obtenir un penalty suite à une main de Kaboré dans la zone de vérité (33e). Les hommes d'Eric Roy ne désespèrent pas pour autant et vont eux aussi marquer sur corner. Ben Saada se charge du coup de pied de coin. Fanni tente de dégager de la tête mais est contré involontairement par Diawara. A l'affût, Traoré fusille Mandanda (1-1, 42e).
Une fin de match complètement folle
Tout est à refaire pour l'OM en seconde période. Mais les troupes de Didier Deschamps, qui ont prouvé à plusieurs reprises depuis le début de la saison qu'elles pouvaient réagir dans l'adversité, vont une nouvelle fois faire preuve de leur tempérament. Alors que les Aiglons viennent de réclamer un penalty pour une sortie de Mandanda dans les pieds de Traoré (57e), c'est encore Ayew qui fait la différence, bien aidé par son frère cadet. Lancé dans la profondeur côté droit par Valbuena, Jordan, entré quelques minutes plus tôt à la place de Gignac, adresse un centre au cordeau pour son aîné, qui, à la limite du hors-heu, se jette pour tromper Ospina une nouvelle fois (2-1, 60e). Sonnés, les Niçois, qui étaient parvenus à arracher la victoire au match aller au Stade du Ray grâce à un but de Faé dans les arrêts de jeu (1-0), tentent de riposter mais Jordan Ayew (http://www.forum-motogp.com/football/joueurs/0/jordan-ayew-29350.html), suite à un centre en retrait de Fanni, ajoute un troisième but d'une très belle frappe enroulée (3-1, 80e). La fin du match devient folle et Bamogo obtient un penalty après avoir été accroché par Diawara. L'ancien Marseillais tente de se faire justice lui-même, mais Mandanda sort sa tentative (85e). De retour après de longs mois d'absence, Hellebuyck trouve ensuite la barre (88e).
Tout heureux d'avoir évité la réduction du score qui risquait de leur faire vivre une fin de match irrespirable, les Phocéens marquent un quatrième but en contre par l'inévitable Andre Ayew, qui reprend de la tête un nouveau centre de Fanni (4-1, 90e). Pas de quoi pour autant doucher définitivement les espoirs des Aiglons, qui marquent à leur tour, grâce à une tête de Civelli consécutive à un coup franc excentré (4-2, 93e). Sans démériter, l'OGC Nice a fait preuve de trop de largesses défensives pour espérer ramener un point du Vélodrome et reste du coup concerné par le maintien. Les Niçois sont 14e avec trois points d'avance sur le premier relégable, Caen (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/caen-5.html). Pas toujours serein, mais déterminé et sûr de sa force, Marseille est, de son côté, plus que jamais candidat à sa propre succession...
hippisme
4 Suisses en lice, 4 chances
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/cheval_14.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/cheval_14.jpg)
Image © Keystone
Deuxième l’an dernier à Genève, le Lucernois Pius Schwizer (sur «Carlina») entend prendre sa revanche à Leipzig.
Pius Schwizer (saut), Werner Ulrich (attelage) et nos deux voltigeurs ont de belles possibilités de podium aux finales de Leipzig.
Alban Poudret - le 27 avril 2011, 21h35
Le Matin
Un an après les finales de Coupe du monde de Genève, place à Leipzig! Jusqu’ici, en trente-deux ans d’histoire, on n’avait jamais vu plus de deux finales au même endroit, mais les Allemands pulvérisent tous les records, en cumulant saut, dressage et attelage, et en y ajoutant deux finales de voltige créées pour l’occasion. Que ne ferait-on pas pour être au Livre Guinness des records?
Les quatre Suisses qualifiés pour ce méga-événement ont tous une – vraie – chance d’accéder au podium. Ainsi en saut Pius Schwizer, 2e ex aequo à Genève avec «Carlina» est décidé à prendre une revanche sur les Allemands. Marcus Ehning, le tenant du titre, ne montera pas «Plot-Blue», «plat à l’entraînement», mais la petite «Sabrina»: qu’importe, avec un tel pilote. Meredith Michaels Beerbaum misera sur ses deux bons vieux cracks, «Shutterfly» et «Checkmate». Si l’un d’eux s’impose, il détiendra le record de sacres (4), Rodrigo Pessoa (forfait) et Hugo Simon (non-qualifié) n’étant pas en lice. Le champion olympique, Eric Lamaze, qui a la faveur des bookmakers (à 5,5 contre 1) devant Ehning et Schwizer (6,5), le No 1 mondial, Kevin Staut, ou le Suédois Bengtsson font aussi figure de favoris. Et, même si les Américains semblent moins forts, la tâche de Schwizer sera rude.
Looser… ce gagneur
En attelage à quatre chevaux, l’Australien Boyd Exell, pourrait bien réaliser la passe de trois. Son principal adversaire sera une fois encore le Néerlandais Chardon, mais Werner Ulrich, 1er à Budapest, peut viser le podium. Le Bernois a déjà été deux fois 3e et sa régularité pourrait finir par payer. Premier Suisse sacré champion du monde individuel en voltige, l’an passé, Patric Looser (27 ans) a l’occasion de compléter sa moisson. Le Suisse a dominé le circuit qualificatif. Et chez les femmes, Simone Jäiser (24 ans) a bien progressé.
En dressage, pas de Suisse en lice et c’est une Hollandaise qui pourrait damer le pion aux Allemandes. Avec «Parzival», Adelinde Cornelissen a la cote, face à Ulla Salzgeber et à Isabell Werth, qui misera sur «Satchmo».
SUÈDE
L'ex-athlète Patrik Sjoeberg révèle avoir été abusé sexuellement par son entraîneur
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Le Suédois Patrik Sjoeberg, ancien champion du monde de saut en hauteur.
Le Suédois Patrik Sjoeberg, ancien champion du monde de saut en hauteur, révèle dans un livre qu’il vient de publier avoir été abusé sexuellement par son entraîneur et beau-père Viljo Nousiainen, décédé en 1999.
le 28 avril 2011, 13h53
LeMatin.ch & les agences
Le champion du monde 1987 et vice-champion olympique 1984 et 1992 y affirme qu’il a été violenté pendant une très longue période.
«Je suis une victime, et j’aurais souhaité avoir eu le courage de le dire du vivant de Viljo», a déclaré Sjoeberg, âgé de 46 ans, dans son livre intitulé «Ce que vous n’aviez pas vu».
Nousiainen, de grande réputation, a entraîné, outre Sjoeberg, le triple-sauteur Christian Olsson, champion olympique 2004 et du monde 2003, toujours en activité à 31 ans, et pendant une courte période le sauteur en hauteur Stefan Holm, champion olympique 2004 bientôt âgé de 35 ans qui a arrêté sa carrière fin 2008.
«Ce que Viljo m’a fait subir, à moi et à d’autres enfants, est la raison principale qui m’a poussé à écrire ce livre. Le but n’est pas de diffamer quelqu’un qui est mort, mais la nécessité de raconter une histoire», a ajouté Sjoeberg.
L’ancien champion explique également qu’il n’avait jamais confié à qui que ce soit avoir été abusé sexuellement par son entraîneur, jusqu’à ce qu’en discutant un autre athlète Christian Skaar Thomassen, il découvre, il y a deux ans, que celui-ci avait subi la même chose de la part de Nousiainen.
«Lorsque nous avons discuté, je me suis rendu compte que nous avions vécu les mêmes choses, et je sais que nous n’étions pas les seuls», écrit Sjoeberg. Dans son livre, Thomassen apporte dans un chapitre des détails sur les abus dont il aurait été victime.
;)De mieux en mieux.......:D:D:D
HOCKEY SUR GLACE
Laurent Meunier: «La Suisse nous permettra de savoir où on en est»
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Le capitaine de l’équipe de France se confie à LeMatin.ch à la veille du coup d’envoi des Mondiaux.
Propos recueillis par Thomas Dayer, à Kosice (Slq) - le 28 avril 2011, 12h00
LeMatin.ch
Laurent Meunier, votre préparation s’est achevée sur deux courtes défaites contre le Canada et le Danemark (3-2). Que pouvez-vous tirer de ces matches amicaux?
On a vu de bonnes choses. Le match joué à Bercy (n.d.l.r.: contre le Canada devant 13 000 spectateurs) était sympa pour nous. Bon, il ne faut pas se voiler la face, on a perdu de justesse mais le Canada a joué tranquillement. J’estime qu’on arrive ici assez bien préparés. Cela dit, on n’est jamais sûr de rien avant le premier match officiel. La Suisse nous permettra de savoir où on en est vendredi.
À propos de la Suisse, vous qui avez joué à GE Servette, FR Gottéron, La Chaux-de-Fonds et Lausanne, vous la connaissez sur le bout des doigts...
Tout le monde la connaît sur le bout des doigts, on a joué contre elle souvent ces dernières années. Elle est dans le top 8 depuis bien longtemps. Elle va nous mettre sous pression, inévitablement. Elle va essayer de forcer notre erreur dans notre zone. C’est la patte de Sean Simpson, qui adoptait la même stratégie en club.
Quel est l’objectif avoué de la France?
Le maintien.
Vous pouvez compter cette année sur Stéphane Da Costa, qui a fait ses premiers pas en NHL il y a peu...
Oui, il a connu une bonne saison universitaire qui l’a finalement mené à Ottawa. Il a du talent, c’est un super joueur. Mais aucun joueur seul ne peut nous ouvrir la porte à des miracles.
Même pas Cristobal Huet, devant les filets?
C’est un gros plus, c’est sûr. Mais par le passé, Fabrice Lhenry avait aussi fait de gros matches. Ce sera à nous tous d’aider Cristo pour qu’il puisse à son tour nous aider.
HOCKEY SUR GLACE
La France fait un détour par Cracovie
La sélection tricolore est arrivée en Slovaquie malgré une erreur logistique.
Thomas Dayer - le 28 April 2011, 17h15
LeMatin.ch
La France, premier adversaire de la Suisse aux Championnats du Monde qui débutent demain vendredi en Slovaquie, est bien arrivée à Kosice - après un petit détour par... Cracovie!
Une erreur logistique de son voyagiste est apparemment à l’origine de ce mauvais atterrissage qui a forcé le bataillon de Dave Henderson à se coltiner cinq heures de bus imprévues entre la cité polonaise et la ville hôte des Mondiaux.
L’histoire est cocasse: de Cracovie à Cassovie, seules quelques lettres diffèrent. Pour rappel, en français, Kosice était appelée Cassovie (sur la base du nom latin Cassovia) jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale.
;)Et après cela critique les Belges.........:fou::D:D:D
Jenson Button veut terminer sa carrière F1 chez McLaren
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© afp
Jenson Button compte terminer sa carrière en Formule 1 dans l'écurie McLaren, a fait savoir le champion du monde de F1 2009, dans une interview publiée sur le site du magazine autosport.
"Quand j'aurai terminé à courir ici (chez Mclaren, ndlr), je ne courrai plus en F1", a déclaré le Britannique. "Je suis très heureux ici. Je veux profiter de ma carrière et je m'amuse vraiment ici. Je ne vois aucune raison d'être ailleurs. Je pilote pour l'une des meilleures équipes du monde. Je suis dans une position que rêverait d'occuper la majorité des pilotes et j'ai travaillé très dur pour être là. Je pourrais être ici pendant trois ans, cinq ans... je ne sais pas."
Il est sous contrat jusqu'en 2012. Le patron de McLaren Martin Whitmarsh a déclaré qu'il ne voyait aucune raison de ne pas renouveler ce contrat.
Button, 31 ans, est en F1 depuis 2000. Il a rejoint Mclaren en 2010 après son titre conquis avec Brawn GP, racheté depuis par Mercedes.
Quatrième en 2010, Button est actuellement 3e du championnat 2011 avec 38 points, derrière le tenant du titre Sebastian Vettel (68) et son équipier Lewis Hamilton (47). (belga)
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28/04/11 15h09
Matteo Rabottini remporte la 5e étape du Tour de Turquie
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L'Italien Matteo Rabottini (Farnese Vini-Neri Sottoli) a remporté jeudi la 5e étape du Tour de Turquie cycliste (2.HC). L'Américain Tom Peterson (Garmin-Cervélo) est le nouveau leader.
Rabottini s'est imposé au terme de 218,6 km entre Denizli et Fethiye devant le Russe Alexander Efimkin. L'Italien Enrico Magazzini s'est classé 3e à 3 secondes.
Tom Peterson, 4e de l'étape, est le nouveau leader. Il dépossède le Polonais Bartosz Huzarski (NetApp). Il compte 27 secondes d'avance sur l'Australien Cameron Wurf et 29 sur Efimkin.
La 6e étape se déroulera autour de Fethiye (194 km).
Cyclisme
Le punch gagnant
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Le coureur italien de la Lampre, Damiano Cunego, a réglé le sprint devant Cadel Evans, de chez BMC.
Vainqueur du Giro en 2004, Damiano Cunego a sprinté, gagné, mais relativise ses chances de remporter la Boucle romande.
Laurent Guyot - le 28 avril 2011, 21h33
Le Matin
A chaque jour suffit sa peine. Et Pavel Brutt le sait aussi bien que Cunego, Evans, Vinokourov ou Morabito. Le Russe de la formation Katusha garde le maillot jaune sur ses épaules, mais son avance fond comme neige au soleil. Bien malin qui désignera ce matin le tiercé gagnant du Tour de Romandie au soir de son arrivée, dimanche, à Genève. Héros d’une chevauchée fantastique entre Martigny (VS) et Leysin (VD), le porteur d’eau de Vladimir Karpets a retroussé les manches dans le casse-pattes dessiné autour de Romont. «J’ai souffert, c’est vrai. Je me suis accroché dans l’ascension du Gibloux. Mon leader m’a aidé. La situation était très étrange. Ce qui m’a donné du courage pour finir. Je suis parvenu à sauver ce maillot, et c’est là l’essentiel.»
Pavel Brutt n’a pas souhaité tirer des plans sur la comète sur la fin de la Boucle romande. Tant il est vrai que son statut de leader est sérieusement menacé. D’abord par le vainqueur du jour, même si Damiano Cunego a gardé les pieds sur terre. «Je ne suis pas vraiment un spécialiste du chrono. Je n’ai pas dit que je ne me battrais pas, mais Evans et Vinokourov sont connus pour leurs qualités dans cet exercice. Mais j’ai déjà atteint mon objectif en gagnant une étape.»
Une arrivée dont le sprint entre les meilleurs s’est révélé houleux. Déjà vainqueur à Anzère en 2005, le citoyen de Vérone l’a confirmé. «Nous sommes arrivés à 35 km/h et sur le grand plateau dans ce final sinueux. J’ai attendu mon heure, même si nous nous sommes même frottés avec Tony Martin. J’ai produit mon effort au dernier moment, et cela s’est révélé payant.» Au grand dam de Cadel Evans, qui a dû s’incliner suite à un écart de Mikael Cherel dans l’emballage.
Le leader de BMC s’est refusé à se plaindre. «J’ai perdu de la vitesse, mais je ne suis pas certain que j’aurais résisté à Cunego. J’ai connu une journée satisfaisante. L’équipe a travaillé durement, et tout est resté possible sur ce Tour.»
SLOVAQUIE
Mondiaux de hockey: face à la France, la Suisse s'impose... à la raclette
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S'imposant difficilement contre la France, les Suisses n'ont pas continué sur la lancée de leurs excellents matches amicaux.
La Suisse a souffert lors de ses débuts dans le Championnat du monde en Slovaquie. Elle a dû attendre la prolongation pour battre 1-0 la France sur une réussite de Julien Vauclair.
le 29 avril 2011, 19h06
LeMatin.ch & les agences
Cristobal Huet rêvait de jouer un mauvais tour à son pays d'adoption et il a été quasiment parfait. Le gardien de Fribourg Gottéron a en effet stoppé 34 des 35 tirs helvétiques. Le solo de Julien Vauclair après deux minutes dans la prolongation aura toutefois été celui de trop pour le Grenoblois.
Les Suisses, eux, n'ont pas continué sur la lancée de leurs excellents matches amicaux. La lumière et le point de "bonus" acquis dans le temps supplémentaire sont venus d'un défenseur. Incapables de se rapprocher de la cage des Bleus, les joueurs à croix blanche n'ont dû qu'à un exploit individuel de passer l'épaule.
Sean Simspon peut pour sa part tirer un grand coup de chapeau à Tobias Stephan. Le portier de Genève-Servette a fait le malheur de Sacha Treille (4e), Laurent Meunier (7e et 43e), Julien Desrosiers (44e) et Maxime Moisand (24e et 32e) notamment. Au final, il a détourné l'intégralité des 29 tirs adverses.
Les Suisses, eux, se sont créé un minimum d'opportunités d'inquiéter Huet. Le portier de St-Léonard s'est imposé devant Victor Stancescu (2e) et a frustré un Martin Plüss osant un tir depuis derrière le filet juste avant la mi-match. Matthias Bieber a envoyé à côté une déviation sur un tir de Simon Moser (16e), avant qu'Ivo Rüthemann ne parvienne pas à pousser au fond un puck abandonné dans la zone du but français (18e).
La panne d'électricité ayant privé la patinoire de lumière pendant une dizaine de minutes en troisième n'a pas réveillé les Helvètes. Seul Andres Ambühl a sonné la révolte et obligé Huet à une belle parade (47e), avant l'exploit de Vauclair. Les Suisses devront élever le niveau de leur jeu dimanche contre la Biélorussie pour éviter toute mauvaise surprise.
Suisse - France 1-0 ap (0-0 0-0 0-0 1-0)
Steel Arena, Kosice. 2964 spectateurs. Arbitres: Partanen/Ronn (Fi), Semionov (Est)/Terho (Fi). But: 62e Vauclair 1-0. Pénalités: 6 x 2’ contre la Suisse, 5 x 2’ contre la France.
Suisse: Stephan; Diaz, Bezina; Du Bois, Seger; Furrer, Vauclair; Sbisa; Plüss, Rüthemann, Gardner; Ambühl, Monnet, Lötscher; Trachsler, Bieber, Moser; Stancescu, Lemm, Sprunger.
France: Huet; Auvitu, Besch; Bachet, Hecquefeuille; Moisand, Roussel; Janil; Meunier, Bellemarre, Treille; Fleury, Stéphane Da Costa, Desrosiers; Tardif, Gras, Teddy Da Costa; Henderson, Arrossamena, Raux; Romand.
Notes: la Suisse sans Manzato, Gerber, Rubin (surnuméraires), Déruns (blessé) ni Genoni (gardien remplaçant). La France sans Quemener (surnuméraire) ni Lhenry (gardien remplaçant). 42e, pause forcée en raison d’une panne d’électricité d’environ dix minutes.
;)OK mais c'est gagné..........:D:D:D:content:
Polémique avec le Barça
Mourinho assure que les "images" parleront
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José Mourinho
L’entraîneur du Real Madrid José Mourinho a cherché vendredi à apaiser la polémique qui a éclaté avec le Barça, assurant qu’il n’allait "plus parler de ce qui s’est passé" lors du match de Ligue des Champions mercredi et que seules les "images" parlaient.
le 29 avril 2011, 17h25
LeMatin.ch
"Une image vaut plus que mille paroles et comme il y a tellement d’images, je ne vais plus parler de tout ce qui s’est passé", a déclaré José Mourinho lors d’une conférence de presse.
"Celui qui critique mes paroles critique les images. Et celui qui fait cela pense que ces images sont retouchées avec Photoshop et sont des vidéos montées. Comme il n’en est pas ainsi, je suis tranquille et je continue à travailler", a ajouté l’entraîneur portugais.
L’UEFA a ouvert jeudi une procédure disciplinaire visant José Mourinho pour ses déclarations après la demi-finale aller de Ligue des Champions Real Madrid-Barcelone (0-2) et pour les propos tenus au moment de son exclusion pendant ce match, après le carton rouge infligé au défenseur madrilène Pepe.
Lors d’une conférence de presse après le match, Mourinho avait tenu des propos explosifs, mettant en cause l’entraîneur du FC Barcelone Pep Guardiola, l’UEFA et le président de la Fédération espagnole de football.
Le Barça a lui aussi riposté jeudi soir, annonçant qu’il portait plainte contre Mourinho devant l’UEFA. Quelques heures plus tard, c’est le Real Madrid qui a décidé de porter plainte devant l’UEFA contre Barcelone pour sa "conduite antisportive répétée".
Le Real considère que les joueurs barcelonais "ont simulé des agressions de façon répétée dans l’unique but d’induire en erreur l’arbitre de la rencontre, ce qui a entraîné la décision injuste d’expulser Pepe".
Les deux clubs espagnols se retrouvent le 3 mai à Barcelone en match retour de la demi-finale de la Ligue des Champions.
Cyclisme
Tour de Romandie: Vinokourov s'impose au sprint à Neuchâtel
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Alexandre Vinokourov, vainqueur de la 3e étaope du Tour de Romandie.
Au terme d’un sprint houleux, le Kazakh Alexandre Vinokourov (Astana) s’est imposé lors de la 3e étape du Tour de Romandie, entre Thierrens et Neuchâtel. Le Russe Pavel Brutt est toujours en tête du classement général.
SI - le 29 avril 2011, 15h58
LeMatin.ch & les agences
Le sprint sur l’Avenue du Premier Mars à Neuchâtel a prêté aux discussions. Vinokourov a semblé tasser sur sa gauche le Français Mikael Chérel (AG2R) qui s’est plaint avec véhémence au moment de franchir la ligne. Mais la victoire du Kazakh n’a pas suscité le courroux du jury des commissaires qui a estimé que Chérel a pris un risque en tentant de passer du côté de la barrière. «Je n’allais quand même pas me pousser pour lui offrir la victoire, a souligné Vinokourov. Il a voulu passer par le côté fermé, c’était son choix.»
Ironie du sort, la veille à Romont, le même Chérel avait gêné Cadel Evans qui tentait lui aussi de passer du côté des barrières pour essayer d’arracher la victoire.
Avec ce succès, Vinokourov fait la bonne affaire au classement général. Grâce à la bonification de 10’’, il prend la deuxième place à Damiano Cunego et se retrouve à 32’’ du Russe Pavel Brutt, arrivé dans le peloton. A la veille du contre-la-montre, le Kazakh se place idéalement en vue d’un succès final. A 37 ans, il participe à son premier Tour de Romandie.
Cette troisième étape a été marquée par la longue échappée du quatuor Ignatas Konovolovas (Lit/Movistar), Chris Anker Sörensen (Dan/Saxo Bank), Alexandr Kuchynski (Bié/Katusha) et Jérôme Cousin (Fr/Europcar), parti dès le départ! L’avance maximale des quatre coureurs n’a pas dépassé les 4’45’’. Mais le dernier rescapé, le Danois Sörensen, n’a été repris qu’à 7 km de l’arrivée après une fugue de 158 km!
La course ne s’emballait qu’à 3 km de l’arrivée lorsque Tony Martin, les jambes retrouvées, plaçait un démarrage puissant qui lui permettait de s’extraire du peloton. L’Allemand était rejoint par Vinokourov et Chérel. Martin n’avait plus la force de sprinter et se faisait déposer par ses deux compagnons d’échappée. Mais l’Allemand a rappelé qu’il sera un candidat sérieux à la victoire dans le «chrono» de samedi.
Le succès final devrait se jouer samedi sur le contre-la-montre de 20,1 km entre Aubonne et le Signal de Bougy. Une vingtaine de coureurs semble encore en position de remporter la boucle romande. L’épreuve se terminera dimanche entre Champagne et Genève avec l’ascension du Mollendruz et du Marchairuz.
Lotto se séparera d'Omega Pharma
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© belga
La Loterie Nationale a confirmé vendredi dans un communiqué travailler sur un nouveau projet de formation cycliste, sans Omega-Pharma.
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"Les visions des deux sponsors sur un futur projet commun sont en effet trop divergentes", justifie la Loterie nationale, présente depuis 27 ans dans le sponsoring d'une équipe cycliste, qui a décidé de poursuivre jusqu'en 2015, "avec d'autres partenaires que son co-sponsor actuel."
Pour la Loterie Nationale, ce nouveau projet cycliste doit être axé sur la constitution d'une équipe professionnelle de haut niveau dont la priorité sera de faire évoluer des jeunes talents belges et d'être présente dans toutes les compétitions belges. Ce projet doit permettre aux coureurs belges de briller au niveau international et de maintenir la Belgique au sommet du cyclisme mondial.
"Nous avons atteint des sommets"
"Une équipe Lotto accessible, populaire et professionnelle qui crée des chances pour les talents cyclistes belges bénéficie d'un capital de sympathie énorme", explique Marc Frederix, directeur marketing de la Loterie Nationale.
"Nous avons collaboré de manière constructive avec Omega Pharma pendant de nombreuses années et je tiens à les remercier pour cela. En 2011, nous avons atteint des sommets, avec un fantastique début de saison et de très belles perspectives pour le Tour de France. Nous allons d'abord nous concentrer sur le programme actuel et sur l'engrangement de succès sportifs après les classiques wallonnes également, au Giro, au Tour de France et durant la fin de saison".
Victoire de Vinokourov au Tour de Romandie
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© epa
Le Kazakh Alexandre Vinokourov (Astana) a remporté la troisième étape du Tour de Romandie cycliste courue vendredi sur 166,1 km entre Thierrens et Neuchâtel (ouest), à l'issue de laquelle le Russe Pavel Brutt (Katusha) a conservé le maillot de leader.
Vinokourov a devancé au sprint le Français Mikael Cherel et l'Allemand Tony Martin
Twente espère être champion dimanche
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Twente peut renouveler son titre de champion des Pays-Bas, dimanche. Pour cela, l'équipe d'Enschede devra gagner à domicile devant Willem II, lanterne rouge mais devra aussi espérer que l'Ajax Amsterdam, deuxième à un point, perde à Heerenveen et que le PSV Eindhoven, troisième à trois unités, ne gagne pas contre Vitesse.
Dans tout autre cas de figure, la décision se fera lors de la dernière journée au cours de laquelle Twente devra rendre visite à...L'Ajax
Du coup, les Tukkers (nom donné aux joueurs de Twente, ndlr) pourraient très bien disputer deux matches décisifs en une semaine face aux Ajacides puisqu'ils les retrouveront la semaine prochaine pour la finale de la coupe.
En attendant, Michel Preud'homme, coach de Twente depuis cette saison, pourra compter sur un groupe complet pour recevoir Willem II, dimanche. Ce dernier fera part de sa sélection samedi après le dernier entraînement. Mais il est possible que des joueurs soient laissés au repos ce week-end en vue des prochaines échéances. "Le match le plus important est celui qui vient," a-t-il déclaré en évoquant le fait que son équipe se bat sur deux fronts. "Nous voulons en profiter car c'est très agréable d'être encore dans la course. C'est exactement ce que nous voulions. Bien sûr, il y a de la pression mais nous faisons le nécessaire pour la gérer."
Twente a, en effet, reçu cette semaine, l'aide d'un psychologue du sport britannique, Bill Beswick. Preud'homme a apprécié. "Naturellement, il y a des choses que l'entraîneur sait mais avec un spécialiste c'est encore mieux. Mon impression a été très positive. Je crois que les joueurs seront d'accord avec ça."
:cadeaux:Pour les fifilles à Monsieur Phil
Hippisme
Schwizer se rapproche
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La régularité de Pius Schwizer, sur «Carlina», a payé: le Suisse remonte au classement.
Le champion olympique Eric Lamaze a remporté l'Acte II de la finale de la Coupe du monde de saut, mais le Suisse, 10e hier, remonte à la 7e place au général.
Alban Poudret - le 29 avril 2011, 23h13
Le Matin
Une finale de Coupe du monde de saut, c'est un marathon qui se joue sur trois jours et quatre, voire cinq, gros parcours. Avec tous ces obstacles à franchir (plus de septante!), il y a forcément des hauts et des bas, un moment de découragement. Voyez le Canadien Eric Lamaze, déçu après sa 17e place dans la chasse et au nirvana hier, après sa victoire dans l'Acte II. Le champion olympique se réjouissait d'autant plus que son nouveau sponsor, Rolex, est aussi celui de la Coupe du monde. Bien joué!
Quant au leader de la veille, l'Allemand Marco Kutscher, il ne s'appesantissait pas sur la faute commise hier au barrage (6e), puisqu'il conservait malgré tout la tête du classement provisoire, à égalité avec son compatriote Christian Ahlmann, 2e hier à 22 centièmes de Lamaze. Et la plus heureuse était peut-être la jeune Néo-Zélandaise Katie McVean (24 ans), de nouveau sans faute, un poil trop prudente, mais surprenante 4e au général. Une barre de retard avant la (double) finale de dimanche, c'est une paille!
Quand Schwizer investit
Pius Schwizer pourrait, quant à lui, faire grise mine, puisqu'il avait fait une faute jeudi avec «Ulysse» et une autre hier avec «Carlina», mais il n'en est rien. Le Suisse, 14e seulement jeudi soir, est remonté à la 7e place du classement général, à égalité avec le tenant du titre, Marcus Ehning (deux barres hier), et le No 1 mondial, Kevin Staut. Le voilà en bonne compagnie, non?
La régularité paie, c'est connu, et Pius Schwizer profite aussi de son bon chrono (le plus rapide des 4 pts) et du nouveau règlement, qui veut que cette épreuve se coure désormais contre la montre. «J'ai forcé l'allure sur les derniers obstacles et ça a payé.» Et Schwizer d'ajouter: «Carlina» est très en forme, elle a même sauté si fort à la sortie du double que je suis arrivé trop près du vertical qui suivait à trois - petites - foulées et cela explique sa faute, le bidet n'y est pour rien. A moi de sortir deux tours sans faute dimanche pour essayer d'être sur le podium, comme l'an passé à Genève!» Autre satisfaction pour le seul Helvète engagé dans cette 33e finale, la 2e place de «AD Dinzy» dans la Progressive du matin, derrière Philippe Rozier. Ce Hanovrien bai de 9 ans, Pius Schwizer l'a acheté tout récemment à... Athina Onassis et Doda de Miranda (d'où ces initiales!). Qui aurait imaginé que le Suisse ferait un jour ses emplettes chez eux?
ClassementsLeipzig (All). Finale de la Coupe du monde de saut
2e épreuve (S/A avec barrage, dotation: 110 000 euros) 1. Lamaze (Can), «Hickstead», 0/40''68. 2. Ahlmann (All), «Taloubet», 0/40''86. 3. Schröder (PB), «New Orleans», 0/44''77. 4. Alvarez Moya (Esp), «Action-Breaker», 0/48''79. 5. Ward (EU), «Antares», 4/39''37. 6. Kutscher (All), «Cash», 4/40''89. 7. Barrios (Ven), «Quick Star», 8/42''02, tous au barrage. 8. McVean (NZ), «Delphi», 1/76''72, 9. Delestre (Fr), «Couletto», 1/76''78. 10. Schwizer (S), «Carlina», 4/71''87. 11. Baryard-Johnsson (Su), «Tornesch», 4/72''81. 12. Madden (EU), «Via Volo», 4/73''33. 13. Beerbaum (All), «Gotha», 4/74''13. 14. Bengtsson (Su), «Quintero», 4/74''15. 15. Staut (Fr), «Silvana de Hus», 4/74''54. 16. Spooner (EU), «Cristallo», 4/74''69. 17. Spadone (EU), «Melisimo», 4/75''56, tous 4 au pardours normal.
Classement général après 2 des 3 épreuves: 1. Ahlmann et Kutscher 0 point. 3. Schröder 1. 4. McVean 4. 5. Lamaze 6. 6. Baryard-Johnsson 8. 7. Schwizer, Staut et Ehning 7. 10. Ward 10. 11. Alvarez Moya, Bengtsson, Spooner et Dubbeldam (PB) 11.
HOCKEY SUR GLACE
Il faut tourner cette page raturée
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62e minute, Julien Vauclair trompe son copain Cristobal Huet et inscrit le seul but de la rencontre.
La Suisse connaît mille tourments contre la France. Elle s'impose en prolongation sur un exploit de Julien Vauclair. Elle devra revoir sa copie.
Thomas Dayer - le 29 avril 2011, 23h38
Le Matin
Les lumières se sont éteintes sur le coup de 17 h 51, sans prévenir une patinoire soudain plongée dans l'ombre. L'écran géant a expiré le premier, fatigué du spectacle dont il se faisait l'entremetteur. A l'heure de cette panne rare dans une telle compétition, le jeu suisse, lui, se révélait ténébreux depuis longtemps.
A vrai dire, le bataillon de Sean Simpson tâtonnait dans l'obscurité depuis 16 h 15, ni plus ni moins, soit depuis le premier puck déposé sur une glace gagnant en mollesse au fil des minutes. Oui, durant deux bons tiers-temps, les Helvètes ont grouillé dans l'arène comme sur un chemin de croix, paralysés à l'heure de développer leurs croisades offensives, importunés par l'énergie française. Sacha Treille (4e), Laurent Meunier (en infériorité numérique, 7e), Luc Tardif (11e), Maxime Moisand (31e), Laurent Meunier (encore, 43e) et Julien Desrosiers (44e) ont tous couvert Tobias Stephan de sueurs froides avant que les Suisses ne se créent leur première authentique occasion (par l'intermédiaire d'Andres Ambühl, 47e).
La France méritoire
«Nous avons peiné à animer la rondelle, à la faire bouger rapidement et dans la profondeur, analyse Ivo Rüthemann. Nous avons parfois pris les mauvaises décisions. Nous n'étions pas en jambes dans les premières minutes. Cela arrive parfois en ouverture d'un tel tournoi. Il me semble que le troisième tiers-temps était un peu meilleur.» Thibaut Monnet conteste en tout cas les suspicions d'arrogance. «Nous n'avons sûrement pas pris la France de haut, lance le Valaisan. Mais c'est vrai, nous sommes mal entrés dans notre match. Cela a permis à l'adversaire de prendre le jeu à son compte.»
Pertes de puck en zone neutre, actions lentes à se dessiner ou trop vite avortées, difficultés à saisir l'initiative: la Suisse a connu mille tourments. Ainsi l'escouade de Dave Henderson aurait-elle clairement mérité de mener au score. «On a fait un meilleur match que les Suisses, lâche Laurent Meunier. On voulait tenir le plus longtemps possible, on s'est créé de bonnes occasions pour compléter le tableau.» Les lumières rallumées, toutefois, les Helvètes ont ajouté des couleurs à leur jeu, et du danger devant Cristobal Huet. «La panne nous a peut-être un peu aidés, reconnaît Julien Vauclair. Elle nous a permis de parler sur le banc, de nous remobiliser.» En prolongation, le défenseur aura forcé la décision sur un exploit solitaire.
La Suisse potentiellement menacée
«Pour nous, le sentiment reste mitigé en raison de la défaite finale, lance Laurent Meunier. On ne doit pas se monter la tête, on n'a rien fait. Le match contre la Biélorussie, comme prévu, forcera la décision.» Il constituera la clé de voûte du tournoi des Suisses, également, pour qui la victoire reste impérative. Si Julien Vauclair a sauvé les apparences hier, le point perdu n'ayant qu'un coût relatif, les Helvètes devront articuler leurs syllabes avec moins de bégaiements s'ils comptent engloutir les Russes blancs. Il serait périlleux de leur part de livrer, encore, un match sur lequel - selon l'expression québécoise consacrée - il n'y a rien à écrire à sa mère.
La Suisse n'est pas en danger aujourd'hui, elle pourrait être menacée demain. Puisse-t-elle en être consciente, surtout après l'avertissement français.
:diable:Ca va chier si les Français commence à nous menacer....:D:D:p
CYCLISME
Damiano Cunego: «Tours ou classiques, il faut choisir»
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Vainqueur du Giro à 22 ans, Damiano Cunego vise, au moins, une victoire d'étape au Tour de France.
Dossiers
Le Tour de Romandie 2011 (http://www.forum-motogp.com/dossiers/sports/tour-romandie-2011)
Du haut de ses 29 ans, l'Italien explique les raisons qui poussent les coureurs à miser sur une course plutôt qu'une autre en cours de saison.
Laurent Guyot - le 29 avril 2011, 20h47
Le Matin
Son sourire d'ange fait fondre ses admiratrices. Damiano Cunego plaît autant par son physique que par son talent. Ce panache qui lui a permis de gagner à Romont, jeudi après-midi, mais aussi de se faire un palmarès. Un vrai où il est question de 43 victoires avec au passage le Tour d'Italie 2004, le Tour de Lombardie 2004, 2007 et 2008 sans oublier l'Amstel Gold Race 2008. C'est dire si le Petit Prince de Vérone en impose au propre comme au figuré malgré ses 169 cm pour 58 kilos. Même si tout à l'heure entre Aubonne et le Signal-de-Bougy, ses chances de jouer un mauvais tour à Alexandre Vinokourov, à Cadel Evans ou même à Tony Martin dans la chasse au maillot jaune de la 65e édition de la Boucle romande paraissent bien minces. Le principal intéressé l'avoue sans autre forme de procès avant de passer sur la table de massage installé dans sa chambre d'hôtel avec vue sur le lac de Neuchâtel. «J'avais besoin de bien terminer un début de saison raté en raison d'une mauvaise fièvre et de ma lourde chute dans la Flèche Wallonne. Je n'étais pas à mon niveau dans les classiques ardennaises. Alors ce succès à Romont me permet d'emmagasiner de la confiance au moment de faire mon premier break de la saison. Je serai de retour au Tour de Suisse pour préparer de la meilleure des manières le Tour de France. Une Grande Boucle où j'aimerais aussi gagner une étape et pourquoi pas le maillot du meilleur grimpeur.»
Un doublé illusoire
Vainqueur surprise à 22 ans d'un Giro 2004 particulier, Damiano Cunego a mis du temps à se remettre de ce succès. Avant de comprendre que ses qualités de puncheur étaient plus adaptées aux épreuves d'un jour. «Tours ou classiques, il faut choisir. A l'heure actuelle, vous ne pouvez pas chasser sur tous les terrains. Pour gagner à San Remo, à Roubaix ou à Liège, il faut disposer d'une préparation spécifique. Et elle est totalement différente pour un tour d'une durée de trois semaines. Alors cette année, j'ai choisi de tenter ma chance dans les classiques du printemps avant de me fixer le Tour de France comme objectif estival. Raison pour laquelle je suivrai le Giro derrière ma TV.» Une décision qui ne surprend pas Laurent Dufaux au moment d'expliquer les raisons poussant les pros à renoncer à doubler Tour d'Italie-Tour de France. «Ce qui était possible voici vingt ans ne l'est plus dans le cyclisme moderne. Le niveau est tellement élevé qu'il est illusoire d'imaginer parvenir, sauf circonstances particulières. Le vainqueur du Giro dispose d'un avantage au début de la Grande Boucle. Mais, face à la fraîcheur d'athlètes ayant tout axé sur la plus grande course par étapes de l'année, il connaîtra, à coup sûr, un ou deux jours sans. Et à notre époque, cela se paie cash.» Autant dire que le regretté Marco Pantani (1998) ou Miguel Indurain (1992, 1993), derniers vainqueurs dans la même année de ces deux monuments du cyclisme, attendront probablement encore quelque temps avant de voir un phénomène les rejoindre sur la (petite) liste des auteurs de cet exploit.
FOOTBALL
Borussia Dortmund décroche le titre de champion d'Allemagne
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Les supporters du Borussia Dortmund exhultent: leur équipe est championne d'Allemagne.
C’est tout bon pour Borussia Dortmund: en s'imposant contre Nuremberg (2-0).l’équipe de Jürgen Klopp est désormais assurée d’être sacrée championne d’Allemagne pour la 7e fois de son histoire.
le 30 avril 2011, 18h06
LeMatin.ch & les agences
Dortmund a conquis sa 22e victoire de la saison en dominant Nuremberg 2-0 grâce à des réussites de Barrios (32e) et Lewandowski (43e) en première mi-temps.
A deux journées de la fin, le Borussia compte huit points d’avance sur Bayer Leverkusen, qui a perdu 2-0 à Cologne (doublé de Novakovic), et ne peut donc plus être rejoint. Dortmund n’avait plus été champion d’Allemagne depuis 2002.
Leader depuis la 8e journée, le nouveau champion est l’une des meilleures équipes de l’histoire de la Bundesliga avec ses records de victoires à l’extérieur (11 dont huit consécutives), de précocité (23 ans de moyenne d’âge) et de buts concédés (19). Dortmund, au bord du dépôt de bilan en 2005 avec 120 millions d’euros de dettes, est redevenu une puissance du championnat allemand et peut envisager sereinement l’avenir avec sa talentueuse jeunesse et des finances assainies.
Dans la lutte contre la relégation, le Borussia Mönchengladbach de Lucien Favre a obtenu un succès peut-être capital sur le terrain d’Hanovre, pourtant 3e, en s’imposant 1-0 grâce à un but de Reus (76e) . Le Borussia compte deux points de retard sur le barragiste (Eintracht Francfort) et trois sur Wolfsburg, 15e et premier non relégable. L’espoir reste ainsi de mise.
MOSCOU
Patinage: la Japonaise Miki Ando sacrée championne du monde
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Miki Ando a été sacrée championne du monde à Moscou.
Miki Ando a été sacrée championne du monde à Moscou. Avec un total de 195,79 points, la Japonaise a devancé la championne olympique sud-coréenne Kim Yu-Na et l’Italienne Carolina Kostner.
le 30 avril 2011, 16h33
LeMatin.ch & les agences
Ando, qui avait terminé deuxième la veille du programme court, a remporté le programme libre avec 130,21 points. Elle a évolué sur le concerto pour piano en la mineur de Grieg. Elle a commis une erreur sur une combinaison triple axel-double boucle piqué.
Agée de 23 ans et entraînée par le Russe Nikolai Morozov, la Japonaise a coiffé sa deuxième couronne mondiale après celle de 2007 au grand dam de sa compatriote Mao Asada, qui défendait son titre. Asada, attendue dans un éternel duel avec sa rivale de longue date Kim, n’a pas fait mieux que 6e.
Kim, 20 ans, faisait son retour en compétition après un an d’absence. Première à l’issue du programme court avec une très courte avance, elle n’a pas fait la différence sur le libre comme elle en avait l’habitude. La gracieuse et très fluide patineuse n’a pas excellé dans son nouveau programme libre, qu’elle présentait pour la première fois, et intitulé «Hommage à la Corée»..
CONTRE-LA-MONTRE À AUBONNE
Tour de Romandie: Cadel Evans s'empare du maillot jaune
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Cadel Evans a pris la tête du classement général du Tour de Romandie à l'issue du contre-la-montre.
L'Américain David Zabriskie s'impose dans le contre-la-montre du Tour de Romandie, disputé dans la région d'Aubonne. L'Australien Cadel Evans prend la tête du classement général devant l'Allemand Tony Martin et le Kazakh Alexandre Vinokourov.
le 30 avril 2011, 17h49
LeMatin.ch & les agences
Cadel Evans (BMC) a sans doute pris une option décisive sur la victoire au Tour de Romandie lors du contre-la-montre du Signal de Bougy, remporté par l’Américain Zabriskie (Garmin). A la veille de la dernière étape entre Champagne et Genève, il compte 18’’ d’avance sur l’Allemand Tony Martin et 19’’ sur le Kazakh Alexandre Vinokourov.
Comme souvent dans un contre-la-montre décisif, il y a eu deux courses dans la course. Pour la victoire d’étape, l’Américain David Zabriskie (27’57’’’’) a précédé de 2’’ l’Australien Richie Porte, très discret jusque-là. Pour le classement général, Tony Martin a placé le premier jalon en 28’24’’, soit le 5e temps seulement. Il est vrai qu’un vent violent s’était levé sur les 20,1 km du parcours entre Aubonne et le Signal de Bougy sur les contreforts du Jura, alors que les derniers coureurs s’élançaient. Mais Cadel Evans a parfaitement mené sa course. L’Australien n’a concédé que 18’’ à Martin, qui comptait un retard de 36’’ au classement général.
Malgré toute sa volonté, Vinokourov n’a pas pu tenir le rythme d’Evans. Le vétéran kazakh (37 ans) a concédé 29’’ à l’Australien et doit sans doute laisser filer ses rêves de victoire pour son premier Tour de Romandie. Avec les ascensions des cols du Mollendruz et du Marchairuz - mais ce dernier est situé à 60 km de l’arrivée à Genève -, il y aurait de quoi tenter quelque chose lors de la dernière étape, mais les équipes de sprinters auront aussi intérêt à mettre un terme à toute échappée.
Evans paraît donc parfaitement placé pour remporter son deuxième Tour de Romandie après son succès en 2006. Une victoire surprenante dans la mesure où le coureur de l’équipe BMC avait coupé un mois la compétition à la suite d’une blessure à la cuisse.
Maillot jaune au départ de l’étape, le Russe Pavel Brutt a concédé 2’24’’ à Zabriskie, et a perdu sa place sur le podium.
La dernière étape partira de Champagne (10h00) pour se terminer à Genève après 164 km.
Lille reprend la tête
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Lille a repris provisoirement sa première place en écrasant Arles-Avignon (5-0), samedi lors de la première moitié de la 33e journée de Championnat de France qui a vu Lorient s'emparer de la 6e place, a priori européenne, alors que Rennes et Bordeaux se sont neutralisés (0-0).
Le Losc avait été dépossédé de son fauteuil de leader mercredi, dépassé par l'OM d'un point. Les Nordistes ont repris deux points d'avance en attendant Marseille-Auxerre dimanche après-midi. Ils feront ensuite deux déplacements consécutifs (à Nancy et Saint-Etienne), alors que l'OM se rendra à Lyon et recevra Brest.
Dimanche, l'OL justement (à cinq points de Marseille) aura l'occasion de conforter sa place sur le podium, en se rendant à Toulouse. Nice-Caen concernera la lutte pour le maintien et Montpellier ira à Brest en visant la 6e place, tout comme Saint-Etienne face à Monaco en soirée.
Arles-Avignon s'est étrangement procuré la première occasion par Ndiaye dès la 2e minute, mais un doublé de Gervinho en première période, portant son total personnel à 14 buts, mettait Lille à l'abri, avant que Debuchy sur penalty, Cabaye sur coup franc et Rozehnal en toute fin de partie ne scellent le score.
Lille a profité de la réception de la lanterne rouge, mathématiquement déjà reléguée, pour mettre fin à ses séries de trois matches sans victoire et de neuf matches avec à chaque fois au moins un but encaissé.
Rennes en revanche, neutralisé par Bordeaux (0-0), n'en finit plus de déchanter, avec un septième match consécutif sans victoire. Mais les Bretons restent 5e, alors que Bordeaux ont perdu leur 6e place.
Samedi en soirée, le Paris SG qui reçoit Valenciennes avait l'occasion de revenir à hauteur de Lyon, à un souffle de sa 3e place. (belga)
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Le Real perd, le Barça n'en profite pas
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Le FC Barcelone battu chez la Real Sociedad (2-1) samedi lors de la 34e journée du Championnat d'Espagne, a raté l'occasion de s'assurer quasiment du titre, ne profitant pas de la défaite un peu plus tôt du Real Madrid à domicile face à Saragosse (2-3).
Le Barça pouvait, en cas de succès chez le club basque, distancer de onze points son rival madrilène et décrocher un troisième titre consécutif dès la prochaine journée. Il ne manque néanmoins que quatre points lors des quatre dernières journées à Barcelone pour s'offrir une nouvelle Liga.
Les Catalans avaient pourtant bien entamé leur match à Saint-Sébastien en ouvrant la marque par Thiago dès la 29e minute.
Ifran, servi par le Français Griezmann, égalisait pour Saragosse en trompant Pinto, titularisé par Guardiola (71e), avant que Prieto n'offre la victoire aux Basques sur penalty après une faute de Mascherano (82).
La défaite du Barça est seulement la deuxième de la saison et vient quelque peu entacher la semaine des Blaugrana, victorieux mercredi chez le Real en demi-finale aller de Ligue des champions (2-0).
Pour le Real, la défaite à domicile face au 17e de Liga (avant le match à Madrid), est un nouveau revers cette semaine pour José Mourinho, déjà échaudé par la rencontre de mercredi et dont les accusations sur l'arbitrage lui ont valu une procédure disciplinaire de l'UEFA et une plainte de Barcelone.
Résigné sur l'issue du championnat, le technicien portugais avait fait tourner son effectif (Ronaldo, Marcelo, Özil, Di Maria et Alonso sur le banc) en vue de la demi-finale retour au Camp Nou mardi.
Les Madrilènes encaissaient un premier but peu avant la pause par Lafita (41) qui profitait d'une erreur de Casillas.
En début de seconde période, Gabi donnait l'avantage à Saragosse sur penalty, après une faute de Carvalho (54). Sergio Ramos relançait les Merengue en marquant de la tête à la 62e avant un nouveau but de Saragosse signé Lafita (77).
Benzema entretenait l'espoir en reprenant un centre d'Higuain (84) avant l'exclusion deux minutes plus tard de Carvalho pour un second carton jaune. Et le Real, finissait à 10... comme mercredi face au Barça. (belga)
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"Si j'ai heurté certaines sensibilités, je m'en excuse"
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© afp
Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a "admis" que certains de ses propos lors de la réunion du 8 novembre 2010 révélés par Mediapart "puissent prêter à équivoque" et déclare que s'il a "heurté certaines sensibilités", il s'en "excuse", samedi dans un communiqué.
"Je ne retire rien aux propos que j'ai tenus hier (vendredi, lors d'une conférence de presse), affirme-t-il. "Que certains termes employés au cours d'une réunion de travail, sur un sujet sensible et à bâtons rompus, puissent prêter à équivoque, sortis de leur contexte, je l'admets et si, pour ce qui me concerne, j'ai heurté certaines sensibilités, je m'en excuse".
"Mais être soupçonné de racisme ou de xénophobie, moi qui suis contre toute forme de discrimination, je ne le supporte pas", a-t-il poursuivi, avant d'attaquer le site d'information en ligne Mediapart.
"Il faut être de mauvaise foi pour ne pas voir que le débat auquel j'ai participé n'avait évidemment pas pour objectif de 'diminuer le nombre de Noirs et d'Arabes dans le football français', comme voulait le laisser entendre le titre outrancier de l'article, mais uniquement d'envisager le futur du football français et donc d'aborder, par voie de conséquence, le lourd et délicat problème des joueurs à double nationalité ainsi que les modalités de détection/sélection pour un nouveau projet de jeu".
"Que cela ait des incidences, à moyen ou long terme, sur les différents profils de joueurs en préformation ou en formation, c'est l'évidence, mais il n'y a là aucun lien, strictement aucun, avec une préférence ou un rejet de telle ou telle nationalité", explique Laurent Blanc.
Laurent Blanc avait participé à une réunion le 8 novembre 2010 lors de laquelle avait été évoquée l'idée de limiter le nombre de binationaux dans les structures fédérales de formation.
Selon les propos rapportés par Mediapart, le sélectionneur des Espoirs Erick Mombaerts avait alors lancé le débat: "Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité ?"
Blanc avait répondu: "Moi j'y suis tout à fait favorable". Il avait aussi dit: "On a l'impression qu'on forme vraiment le même prototype de joueurs: grands, costauds, puissants. (...) Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants? Les Blacks. Et c'est comme ça. C'est un fait actuel". (afp)
Le Borussia Dortmund champion pour la 7e fois
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Le Borussia Dortmund a remporté le septième titre de champion d'Allemagne de son histoire, le premier depuis 2002, samedi à l'occasion de la 32e journée.
Dortmund, leader depuis la 8e journée, a battu Nuremberg 2 à 0 devant 80.000 spectateurs euphoriques du Signal-Iduna Park, tandis que le Bayer Leverkusen, dernière équipe à pouvoir empêcher son sacre, s'est incliné à Cologne (2-0). A deux journées de la fin, Dortmund compte huit points d'avance sur Leverkusen et ne peut donc plus être rejoint.
Le club de la Ruhr succède au Bayern Munich qui n'a jamais été en mesure de défendre son titre et finira au mieux 3e, au terme d'une saison cauchemardesque avec le limogeage de son entraîneur Louis van Gaal.
Dortmund a rejoint avec ce septième titre son voisin et grand rival de Schalke 04 à la 3e place du classement historique de la Bundesliga dominé par le Bayern Munich avec 22 titre, devant Nuremberg (9).
Le retour au premier plan de Dortmund doit beaucoup à son charismatique entraîneur Jürgen Klopp, en poste depuis 2008, qui a assemblé une équipe d'une moyenne d'âge de 23 ans, pratiquant un football attrayant et sans complexe.
Seul club allemand coté en Bourse, le Borussia Dortmund, vainqueur de la Ligue des champions en 1997, avait failli déposer le bilan en 2005 à cause d'une onéreuse politique de transferts et d'un endettement colossal.
Bahreïn veut accueillir la F1 "dans un futur très proche"
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Les organisateurs du Grand Prix de Bahreïn, qui devaient se prononcer avant le 1er mai sur leur capacité à recevoir la Formule 1 cette saison, ont indiqué samedi dans un communiqué souhaiter accueillir la discipline "dans un futur très proche", sans davantage de précision.
Fin février, la Fédération automobile de Bahreïn a renoncé à organiser l'épreuve inaugurale de la saison 2011, prévue le 13 mars sur le circuit de Sakhir, en raison des manifestations populaires organisées contre le pouvoir en place, protestations depuis lors matées.
"Clairement, notre priorité est de trouver une solution aux difficultés que le royaume a expérimentées. La situation nationale a évolué positivement, elle change tout le temps. Notre vie quotidienne s'améliore progressivement", a estimé le PDG du circuit, Zayed Rashid Alzayani.
Le GP de Bahreïn est "une vitrine pour le monde" et "nous sommes impatients d'accueillir les écuries, les pilotes, et toutes les personnes impliquées dans la F1 à Bahreïn dans un futur très proche", de même source.
Le conseil mondial de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) a demandé début mars à Bahreïn de lui signifier d'ici au 1er mai s'il serait en capacité d'organiser son GP cette saison.
Le grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone, qui a évoqué l'idée que la course se déroule en novembre, a estimé cette semaine qu'un délai de réflexion supplémentaire pourrait être laissé aux autorités bahreïnies. La FIA, contactée samedi par l'AFP, s'est refusée à tout commentaire.
Le Leinster renverse Toulouse et va en finale
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La province irlandaise du Leinster s'est qualifiée pour la deuxième finale de Coupe d'Europe de rugby de son histoire en battant le champion en titre Toulouse (32-23) samedi à Dublin au terme d'un match engagé, enlevé et indécis.
Les Irlandais, éliminés par les Toulousains au même stade de la compétition l'an dernier, rencontreront le 21 mai au Millenium Stadium de Cardiff le vainqueur de l'autre demi-finale disputée dimanche à Milton Keynes (Royaume-Uni) entre les Anglais de Northampton et Perpignan.(belga)
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SLOVAQUIE
Mondiaux de hockey: la République tchèque s'impose, la Suède s'incline
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Scène animée durant le match Républque tchèque - Lettonie.
Le tenant a entamé victorieusement sa défense de titre au Championnat du monde en Slovaquie. Longtemps accrochée par la Lettonie dans le groupe D, la République tchèque a fini par passer l’épaule (4-2).
le 30 avril 2011, 23h03
LeMatin.ch & les agences
Face à des Baltes sans complexe, les Tchèques ont dû attendre une réussite de Martin Havlat (42e) pour se tirer du piège dans lequel ils s’étaient fourrés. Lauris Darzins et Roberts Bukarts avaient donné deux fois l’avantage à la Lettonie, mais Tomas Rolinek et Patrik Elias avaient répondu dans la foulée.
L’Orange Arena a été parcourue d’un frisson en première période. Chargé par un joueur letton, Radek Martinek est ensuite sorti sur une civière avec un collier cervical. Selon les premiers examens médicaux, le joueur des New York Islanders souffrirait d’un coup du lapin et d’une commotion cérébrale.
La Norvège a créé la seconde sensation du Mondial dans la poule C. Les Norvégiens ont en effet ridiculisé la Suède, en l’emportant aux tirs au but (5-4 tab). Per-Age Skroder et Mathis Olimb ont converti leur penalty, tandis que Lars Haugen a été parfait devant son filet. La succession de Bengt-Ake Gustafsson semble bien difficile pour Par Martens.
Dans le même groupe, la jeune équipe des Etats-Unis (24,6 ans de moyenne d’âge) n’a pas eu à s’employer outre-mesure contre l’Autriche du Lausannois Oliver Setzinger (5-1). Chris Kreider (15e), Blake Wheeler (18e), Yan Stastny (39e), Kevin Shattenkirk (43e) et Craig Smith (57e) ont martyrisé tour à tour le portier Jürgen Penker.
A Bratislava, dans poule D, trois buts finlandais sur cinq ont été inscrits en supériorité numérique, lors de la victoire face au Danemark (5-1). Jarkko Immonen a été le premier à tromper Frederik Andersen à la 24e, puis Juhamatti Aaltonen a creusé l’écart treize minutes plus tard. Antti Pihlström, Mikael Granlund et Tuomo Ruutu ont assis le succès des leurs en troisième période. En soixante minutes, les Danois n’ont cadré que neuf tirs (!), mais ont tout de même sauvé l’honneur par Nichlas Hardt.
ATHLÉTISME
A Lausanne, stars africaines et amateurs peuvent toujours courir
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Image © Sébastien Féval
Liang-Ru Pan, 94 ans
L’épreuve reine des 20 km a été remportée par le Kényan Kimaiyo. Les athlètes africains ont dominé la course longue distance. Succès chez les dames de la Suissesse Fiona Kirk. Sur 10 km, Pierre Fournier a terminé 2e.
Jacques Wullschleger - le 30 avril 2011, 22h44
Le Matin Dimanche
Dans les rues de Lausanne, Kimaiyo, Dickson Kimutai de ses prénoms, 25 ans, athlète Kenyan, a su trouver des solutions rapidement au parcours cabossé qui lui était proposé. Qu’il découvrait. Il fait partie d’un groupe basé en Allemagne, «Tayari Kenyan Athlete». Son manager est de ce pays. Il choisit des courses pour ses protégés. Ils étaient cinq à Lausanne. La mission: gagner. Kimaiyo fut le meilleur de tous. Et de loin. Ses foulées, et sa facilité, son allure ont impressionné le monde.
Athlète minçolet et fragile, le gagnant paraît plus âgé. Les traits creusés, il dit: «Cette course est dure, très dure. ça monte et ça descend tout le temps.» Il dessine le parcours avec ces mains. Sourit. «Ici, tout est beau et le lac aussi. C’est la première fois que je viens à Lausanne. Si le groupe est en Allemagne, je m’entraîne au Kenya. Chez moi. Ma distance, c’est le 10 000 m. Mon meilleur temps 29’05’’.» Ils sont des centaines, là-bas, à Mombassa ou à Nairobi à courir aussi vite que lui. La liste des athlètes kényans est longue. La source de ses talents est riche et inépuisable.
Chengere sixième
Il était un des favoris – 2e en 2010 – mais il a terminé 6e, à 1’46’’ du premier, imbattable. Peu après l’arrivée, Tolossa Chengere, athlète du Lausanne Sport, montre le pouce de son pied gauche, en sang. Une vilaine cloque l’a handicapé rapidement. Le bord de la chaussure est taché de rouge. «Elles sont nouvelles», dit le citoyen d’Epalinges. L’avenir? «Je vais orienter ma carrière sur le marathon. Dans ma tête, je m’y prépare depuis un certain temps. Sincèrement, je pense valoir entre 2h08’ et 2h10’.»
L’épreuve des 10 km a été remportée par le Français Oumoussa. Son second, Pierre Fournier de Sainte-Croix. «Comme je suis dans un état de surentraînement, je n’ai pas pu compter sur mes jambes. Ma tête, mon mental, m’a heureusement sauvé. J’aime courir ici. C’est très populaire, pas élitiste. C’est un statut qui me convient. J’y viens chaque année.»
Liang-Ru Pan, 94 ans
Petit plaisir
Coquet, il recoiffe, pour la photo, sa mèche ébouriffée par l’effort. Lian-Ru Pan a 94 ans. Un âge où les bougies coûtent plus chères que le gâteau.
Cet ancien physicien, d’origine chinoise, installé à New-York, vit depuis trois ans dans sa famille, au Petit-Saconnex. Il est le coureur le plus âgé de cette 30e édition. «Les deux seules courses que j’ai accomplies c’est ici à Vidy (2 km en 22’11’’ hier). J’ai une montre. Je prends mon pouls; quand j’arrive à 124, je ralentis ou je marche.»
Il a terminé son petit plaisir d’un bon pas, laissant derrière lui bon nombre d’adultes accompagnant leurs enfants dans ce bel écrin de verdure. «Si je préfère la gym, tous les jours je cours sur un tapis: 3 km soit environ 40 minutes. Ma forme est parfaite.»
A ses côtés, Xuefeng, sa fille, acquiesce: «Papa ne mange jamais trop. Il est incroyable.» Ce sont ses enfants et ses petits-enfants qui l’ont entraîné à courir à Lausanne, sur le tard. «J’étais déjà là l’année dernière.» Chapeau Monsieur!
Maryse de Vevey, médecin généraliste, 54 ans
10 KM
Elle a fait partie des 789 professionnels du monde de la santé vaudois qui ont sillonné les rues de Lausanne. Sur son tee-shirt, il est marqué; «Se bouger pour sa santé.» «Quand on est porté par la foule, entouré de beaucoup de coureurs, on va plus vite que d’habitude. J’ai souffert.» Maryse de Vevey n’aime pas les montées. «Dans les descentes, je me laisse aller. Je me sens bien.» Elle a un cabinet médical à Chavornay, mais habite Orbe. «Je m’entraîne dans les vignes d’Arnex qui ne sont pas loin. La vue sur les Alpes est belle.»
Elle court parce que c’est bon pour sa vie. «La pratique d’un sport permet d’éviter certaines maladies métaboliques. Cela fait aussi beaucoup de bien à la tête, qui a besoin d’oxygène. Courir permet de m’évader, de quitter, un moment, la vie de tous les jours. On possède tous une paire de baskets. Par conséquent, tout le monde peut courir. C’est une activité facile à réaliser. En ce qui me concerne, j’aime être dehors, bouger. J’en ai besoin: ma profession m’oblige à rester dedans, assise presque tout le temps.»
Sébastien Buemi, pilote de Formule 1, 22 ans
10 KM
C’était une grande première, pour le pilote vaudois, accompagné par son préparateur physique Antti Kontsas. «J’ai une course le week-end prochain. Je ne voulais pas finir à plat. J’ai mis 45 minutes. C’est très correct. Si je suis au max, je peux descendre sous les 40 minutes», dit Sébastien Buemi, soutenu par le public tout au long du tracé casse-pattes; mais pas trop sur les 10 km. «Les gens sont très sympas. Le but n’était pas de souffrir mais de se faire plaisir, de rigoler. Je me suis entraîné très dur cette semaine. Je pars mercredi pour la Turquie.»
Le Vaudois apprécie la course à pied. «Ce n’est pas ce dont j’ai le plus besoin, mais pour la FI il faut avoir du souffle, une bonne condition physique alors courir, c’est bien. Il faut trouver un compromis, ne pas être trop balèze pour pouvoir entrer dans la voiture.» Sébastien Buemi sourit. A l’arrivée, il ne passe pas inaperçu. Un coureur anonyme attrape un stylo, le tend au pilote qui le saisit. «Je suis un grand fan de vous. Vous pouvez dédicacer, s.v.p., mon dossard?» Sitôt fait, le Vaudois s’en va, en croquant dans une pomme. Celle du 30e.
Fiona Kirk, championne du monde de relais, 21 ans
20 KM
Elle est une spécialiste de course d’orientation. En 2009, elle fut championne du monde juniors de relais. «J’étais une gamine», dit Fiona Kirk, Argovienne – son papa est Anglais – résidant depuis le mois de septembre dernier à Echandens, actuellement à l’EPFL (2e semestre, 1re année), pour semble-t-il quelques années. «J’étudie la physique.»
L’année passée, elle a remporté le semi-marathon de Lausanne. «J’ai le sentiment que la course des 20 km est un peu plus dure. Les montées ne me font pas peur. Avec la course d’orientation, je suis gâtée.» Entourée, elle sourit. «Je suis un peu surprise d’avoir gagné. Je ne savais pas où je me situais. Ce sont les gens sur le parcours qui m’ont dit: «Fiona, tu es devant.»
Parce qu’elle habite à proximité de Lausanne, qu’elle s’y trouve pour ses études, Fiona Kirk ne pourra pas représenter la Suisse aux championnats du monde de course d’orientation qui se disputeront en 2012 dans la ville olympique. Connaissant trop les lieux, elle est frappée d’une suspension territoriale. Chose rare et bizarre.
CALCIO
En gagnant à Cesena, l'Inter diffère le sacre de l'AC Milan
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Le joueur de l'Inter Lucio à la lutte avec Igor Budan de Cesena.
Un doublé de Giampaolo Pazzini dans le temps additionnel à Cesena (2-1) a permis à l’Inter Milan de retarder le sacre attendu de l’AC Milan.
le 30 avril 2011, 22h20
LeMatin.ch & les agences
Les rossoneri, qui espéraient décrocher le titre de champion d’Italie dimanche en battant Bologne lors de la 35e journée de Serie A, devront ainsi attendre au moins une semaine.
Mené sur un but du Croate Budan (56e), l’Inter a égalisé par Pazzini, d’un joli extérieur (91e) sur un service de Samuel Eto’o. Le «Fou» («pazzo», en italien, le surnom de Pazzini), a signé la victoire sur un centre de Maicon (95e).
De son côté, Cesena, avec Steve von Bergen, a laissé passé une occasion de prendre le large sur la zone de relégation et reste 2 points devant Lecce et la Sampdoria, qui jouent dimanche.
HOMMAGE
Le style Erhard Loretan inspire toute une génération de grimpeurs
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Ses ascensions ultrarapides ont marqué à jamais l’histoire de l’alpinisme.
Alexandre Haederli - le 30 avril 2011, 21h45
Le Matin Dimanche
Le décès d’Erhard Loretan survenu jeudi provoque une onde de choc au sein de la communauté des alpinistes. Une modeste arête du Grünhorn, dans le Haut-Valais, aura eu raison de ce grimpeur d’exception qui fut le troisième homme à gravir tous les sommets de 8000 mètres sur Terre.
L’émotion est aussi vive que le célèbre alpiniste était reconnu, respecté, admiré. Il y a, bien sûr, ses qualités humaines, unanimement appréciées: discrétion absolue, modestie infinie, honnêteté à toute épreuve. Mais ce que le monde de la grimpe retiendra avant tout d’Erhard Loretan, c’est son style inédit. Bien qu’il s’en soit toujours défendu, l’homme a révolutionné la manière d’aborder les plus hauts sommets. Comme l’Everest que le Fribourgeois gravit en 43 heures seulement en 1986 avec son compère Jean Troillet. Un exploit qui leur vaudra l’admiration de Reinhold Messner, figure mythique de l’alpinisme. «Il a dit que cette ascension équivalait à faire dix 8000 mètres et que nous avions inventé le style alpin, se souvient Jean Troillet. Ce que je peux dire c’est que nous étions en tout cas parmi les premiers à grimper ainsi.»
Le style alpin? «Cela ne veut pas dire grimper plus vite, mais s’arrêter moins que les autres, poursuit le guide valaisan. Pour une expédition normale, on prévoit des camps à quatre ou six heures de marche les uns des autres pour manger, se reposer, se changer. Mais nous, on partait du camp de base et on ne s’arrêtait plus. On s’est aperçu au fil de nos expéditions qu’on perdait énormément d’énergie une fois dépassés les 6500 mètres.»
Pas de bivouac
A cette altitude, tout devient pénible et chronophage. Faire fondre de la neige pour boire ou sécher ses chaussettes prend facilement plusieurs heures. Et perdre du temps en haute montagne, cela peut coûter jusqu’à la vie. Erhard Loretan restera marqué par la mort de Peter Hiltbrand en 1982, dont l’organisme n’a pas supporté de passer la nuit à plus de 7000 mètres, alors qu’ils escaladaient le Nanga Parbat, dans l’Himalaya.
En supprimant les bivouacs intermédiaires, Erhard Loretan bouleverse aussi les horaires. Il entame l’escalade en fin de journée, à l’heure où d’autres plantent leurs tentes. Marcher dans la nuit pour se réchauffer, au lieu de s’arrêter et d’avoir froid. «C’était un état d’esprit. Avec Erhard, on grimpait, on redescendait et, seulement après, on s’asseyait et on rigolait», explique son ami de longue date et compagnon d’aventures, Pierre Morand.
Et puis, ces ascensions éclairs permettent de réduire le poids du paquetage. Plus besoin de se trimbaler le matériel de bivouac. «On était ultraléger et parfois on n’avait sur nous qu’une barre de céréales et un demi-litre d’eau», raconte Jean Troillet. Pour parvenir à de tels exploits, encore faut-il en avoir les capacités. «Sa morphologie (ndlr: Erhard Loretan mesurait 1,68 m pour 56 kilos) et son métabolisme particulièrement résistant lui ont permis de tenir le coup, mais ce n’est pas donné à tout le monde», ajoute Pierre Morand.
Sa méthode de grimpe radicale, son style pur et son audace vaudront à Erhard Loretan une reconnaissance planétaire. Des Alpes à l’Himalaya, en passant par les Andes, le Suisse impressionne. «Sa notoriété est incroyable, il fait partie des rares personnes qui ont marqué le monde de l’alpinisme», témoigne Marianne Chapuisat, première femme au monde à avoir gravi un 8000 mètres en conditions hivernales.
Nombreux enfants spirituels
Précurseur il y a un quart de siècle, Erhard Loretan a, depuis, fait des émules. Beaucoup ont adopté ce style du «vite en haut, vite en bas».
«Et il a donné l’envie à plein de jeunes de faire de la montagne, explique Didier Taramarcaz, guide de haute montagne à Verbier. Je ne sais pas si c’est grâce à lui, mais c’est vrai qu’aujourd’hui même les petites courses en montagne se font de plus en plus vite.»
Didier Taramarcaz était dans la même région qu’Erhard Loretan, lors de l’accident jeudi: «On nous a appelés pour nous dire que nous devrions peut-être nous préparer à aller secourir quelqu’un. Finalement nous n’avons pas eu besoin d’y aller.» Il n’apprendra que le lendemain l’identité de la victime.
Ce décès est un coup dur pour l’alpinisme. «Il était un modèle pour de nombreux grimpeurs qui s’inspirent de lui», ajoute son confrère Claude-Alain Gailland. Seule consolation: la trace qu’a laissée par Erhard Loretan n’est pas près de s’effacer.
LES DATES-CLÉS
1959
L’alpiniste Erhard Loretan naît à Bulle (FR) le 28 avril. Son décès intervient jeudi dernier, le jour de son anniversaire.
1986
Accompagné de son ami Jean Troillet, Erhard Loretan gravit l’Everest en 43 heures seulement. Quelques mois plus tard, son ami Pierre-Alain Steiner chute devant ses yeux lors d’une tentative au Cho Oyu. Il mourra quelques jours plus tard.
1995
Au sommet du Kangchenjunga, Erhard Loretan devient le troisième homme de l’histoire à gravir quatorze 8000 mètres.
2001
La vie du Fribourgeois se brise deux jours avant Noël. Excédé par les pleurs de son fils unique de sept mois, le guide le secoue et provoque sa mort. «Ma vie est foutue», dira-t-il alors, avant de participer à une campagne nationale de prévention.
HOCKEY SUR GLACE
La Suisse qualifiée pour le tour intermédiaire
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La Suisse de Seger a battu la Biélorussie 4-1.
L'équipe nationale n'a pas douté face à la Bielorussie. Elle s'impose 4-1 et a déjà assuré sa participation au tour qualificatif de ces championnats du monde 2011.
le 01 May 2011, 23h56
Le Matin
Dans le sillage des attaquants du CP Berne, la Suisse a été diablement efficace pour son deuxième match du Championnat du monde. Les hommes de Sean Simpson ont tranquillement dominé la Biélorussie (4-1).
Le réveil de la première triplette offensive 100 % bernoise était attendu après une prestation décevante face à la France (1-0 ap), force est de constater qu’elle a eu lieu. Et plutôt trois fois qu’une. Ryan Gardner y est allé de son doublé personnel, tandis qu’Ivo Rüthemann a tué définitivement tout suspense en marquant le 4-1 en infériorité numérique.
«L’équipe et moi n’étions pas contents après notre première rencontre et nous nous devions de réagir», a indiqué le coach de l’équipe de Suisse après la rencontre. «Je suis content de cette victoire, mais j’ai toujours beaucoup de respect pour la Biélorussie», a ajouté celui qui a passé deux Mondiaux en tant qu’entraîneur assistant de la formation de l’ex-URSS.
Gardner opportuniste
Il n’a fallu que huit minutes aux Helvètes pour prendre les devants dans la partie. Alors qu’ils évoluaient avec un homme de plus sur la glace, les Suisses ont inscrit le 1-0 sur une habile déviation de Gardner à la suite d’un tir de la ligne bleue de Rafael Diaz.
L’égalisation de Dmitri Korobov à la 22e n’a pas entamé la tranquillité de la troupe de Sean Simpson. A peine trois minutes plus tard, Goran Bezina a imité son compère Julien Vauclair - auteur du but décisif en prolongation face aux Français - et a inscrit le «game winning goal» après s’être promené dans le défense adverse.
La machine bernoise avait encore des buts en réserve. Gardner a complété son doublé en opportuniste à la 28e. En embuscade au deuxième poteau, le géant canado-suisse a ajusté Andreï Mezin délaissé par ses défenseurs. Dans la foulée (31e), Ivo Rüthemann a converti en but une magnifique ouverture d’Andres Ambühl, alors que les joueurs à croix blanche évoluaient en box-play.
Stephan intraitable
Intéressants par séquences pour leur entrée en lice contre le Canada (1-4), les Biélorusses n’ont quasiment pas eu voix au chapitre. La première ligne si talentueuse formée d’Andreï Kostitsyn, de Mikhail Grabovski et d’Alexeï Ugarov a été parfaitement muselée et n’a jamais trouvé le fond des filets de Tobias Stephan (23 arrêts, 98,4 % depuis le début du tournoi).
«La différence entre les deux équipes n’était pas grande, mais ils ont tout fait un peu mieux que nous», a analysé Eduard Zankovets, l’entraîneur biélorusse. «Ils ont été très bons défensivement et ont profité des situations spéciales pour passer l’épaule.
La porte des quarts de finale s’est donc largement entrouverte pour la Suisse. Un succès lors du tour intermédiaire contre une équipe du calibre de la Norvège ou de l’Autriche et l’objectif sera atteint. Mais avant ce tour intermédiaire, les Suisses pourront livrer un duel de prestige mardi contre le Canada avec l’esprit libre.
Le dernier match du premier tour face aux Canadiens se fera sans Yannick Weber. Le défenseur bernois, qui devrait débarquer mardi en provenance de Montréal, sera inscrit pour la seconde phase de la compétition. Beat Gerber a quant à lui été couché sur la feuille de match par Sean Simpson et a pris place dans la quatrième paire défensive helvétique aux côtés de Félicien Du Bois.
FOOTBALL
Championnat d'Italie: l'AC Milan n'est plus qu'à un point du titre
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Après leur victoire contre Bologne, les joueurs de l'AC Milan n'ont plus qu'un point à faire lors des trois derniers matches.
L’entraîneur de l’AC Milan, Massimiliano Allegri, espère marquer "le plus tôt possible" le point qui manque à son équipe pour être championne d’Italie, a-t-il dit dimanche après la victoire contre Bologne (1-0) lors de la 35e journée.
le 01 mai 2011, 23h02
LeMatin.ch & les agences
"Il nous manque un point, il reste trois matches jusqu’à la fin du championnat, nous le prendrons. Espérons le faire le plus tôt possible, mais nous sommes plutôt bien placé", a dit Allegri.
Si le Milan ne perd pas chez l’AS Rome samedi, il remportera son 18e "Scudetto". Contre Bologne, "la victoire a été difficile, a estimé Allegri, mais je crois qu’elle est méritée. Il y a eu beaucoup de dépense d’énergie, parce que nous étions conscients qu’avec une victoire, nous tuions le championnat".
Pour la première fois, des chants pro-Allegri ont résonné dans San Siro, où une banderole rendait hommage à sa personnalité réservée: "Sans trop de mots: merci mister Allegri".
"Je dois remercier les tifosi pour ce qu’ils ont fait aujourd’hui, a dit le technicien, très probablement champion dès sa première année au Milan, mais surtout pour ce qu’ils ont fait pour l’équipe, ils nous ont soutenus dès le début, quand les choses n’allaient pas très bien. Si ce scudetto arrive, et espérons vraiment que nous arriverons à prendre un point en trois matches, ce sera le scudetto de tous".
FOOTBALL
Avec 205 buts en Serie A du Calcio, Totti égale le record de Baggio
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Francesco Totti, héros romain avec son légendaire numéro 10.
L’attaquant et capitaine de l’AS Rome, Francesco Totti, a marqué son 205e but en championnat d’Italie, et égalé le total de Roberto Baggio, en marquant contre Bari, dimanche pour la 35e journée.
le 01 mai 2011, 22h49
LeMatin.ch & les agences
Totti, 34 ans, rejoint le "Divin caudino" au cinquième rang des meilleurs buteurs de l’histoire de la Serie A, mais lui les a marqués "tous sous le même maillot", celui des "giallorossi", répète-t-il souvent.
Emblème de la Roma, où il joue depuis 18 années et avec qui il a décroché le titre de champion d’Italie en 2001, Totti a égalisé à 1-1 à la 30e minute, sur un coup franc direct.
"Même à 20 ans, je ne me sentais pas aussi bien. C’est la réaction aux critiques qui m’ont fait mal, sincèrement", avait dit le champion du monde 2006 après ses deux buts contre l’Udinese (2-1), lors de la 32e journée, décisifs dans la course à la Ligue des champions dans laquelle est lancée la Roma. Il avait marqué le but vainqueur à la dernière seconde. "C’est comme ça que réagissent les champions!", avait martelé Totti.
Il Capitano a marqué 13 buts cette saison en Serie A (dont 7 penalties), et signé trois doublés en moins d’un mois: contre la Lazio (2-0 le 13 mars) dans le derby, contre la Fiorentina (2-2 le 20 mars), et contre l’Udinese le 9 avril.
hippisme
Christian Ahlmann comblé et réhabilité
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En gagnant la Coupe du monde de saut, l’Allemand Christian Ahlmann a confirmé son grand retour. Il l’avait déjà amorcé en automne dernier.
L’Allemand gagne la Coupe du monde de saut et… une réhabilitation. Pius Schwizer aurait pu finir deuxième, comme à Genève, mais une barre a dit non: sixième et déçu, le Suisse.
Alban Poudret - le 01 mai 2011, 20h56
Le Matin
«C’est rageant, «Carlina» a si bien sauté! Mais la seule barre qu’elle a touchée de la journée est tombée. C’est comme ça, je n’ai pas eu de chance sur ce coup-là», a bien résumé Pius Schwizer au sortir d’une longue finale à rebondissements, hier à Leipzig. Une faute jeudi, une autre vendredi et une troisième dimanche. Mais sur deux tours – une sacrée paire de manches –, il eût fallu que Pius Schwizer en évite au moins une, hier surtout, pour retrouver le podium sur lequel il avait bondi de joie l’an passé à Genève.
A quoi ça tient? Souvent à une barre qui veut bien rester en place ou non, sur un total de plus de septante sauts depuis jeudi. Mais ce fut aussi le cas pour la merveilleuse petite Néo-Zélandaise Katie McVean (24 ans), si fine, pour Gerco Schroeder et pour le No 1 mondial, Kevin Staut, tous 6es ex aequo avec le Suisse. Ou pour l’Américain McLain Ward, 10e et qui aurait aussi été 2e s’il n’avait pas effleuré l’ultime obstacle. Sans parler de Kutscher, coleader, qui s’est effondré hier.
Deux chocs à digérer
Des frustrés, il y en avait forcément beaucoup, mais, à la remise des prix, le trio de tête faisait plaisir à voir. Depuis qu’il y a un podium à la finale de la Coupe du monde, depuis Genève 2010, il n’y a plus qu’un seul vainqueur, mais bel et bien trois et c’était frappant hier: comblés Jeroen Dubbeldam, troisième grâce à sa belle remontée, et Eric Lamaze, décidément de tous les podiums depuis son titre olympique (Jeux mondiaux, top 10) avec son phénoménal «Hickstead».
Quant à Christian Ahlmann (36 ans), décidément très grand à cheval et sur un podium (surtout à côté de Lamaze, le lutin), il peut savourer son grand retour, amorcé l’automne passé. Suspendu après l’affaire de la capsaicine aux Jeux olympiques 2010 et écarté de l’équipe allemande pour deux ans, conspué par la presse de boulevard, il est revenu patiemment. «Je n’avais plus le goût à rien, mais c’est revenu.»
L’autre choc, ce fut la mort de «Calvados Z», son plus sûr espoir, foudroyé à Oslo, en octobre dernier, ce qui l’avait encouragé à miser sur «Taloubet Z». Et il avait alors gagné deux GP Coupe du monde coup sur coup. Voici dix jours encore, il triomphait au Grand Palais avec ce puissant étalon de 11 ans, fils de «Galoubet A» et débuté par sa compagne belge, Judy Ann Melchior, du Haras de Zangersheide. Ici, leur suprématie sautait aux yeux.
En attelage, Exell porte bien son nom
A Leipzig, la Suisse avait aussi un candidat au podium tout à fait sérieux dans la finale d’attelage à 4 chevaux, et Werner Ulrich n’est pas passé loin du bonheur non plus. Il lui a toutefois manqué dix bonnes secondes – les pénalités reçues pour ses deux fautes sur le second obstacle dit de marathon – pour pouvoir prétendre à la seconde manche, réservée aux trois meilleurs.
«J’avais un nouveau cheval, «Rocco», un lipizzan de 8 ans, et, en un mois, tous les automatismes ne sont pas là, mais ça donne de la vitesse et j’ai pris des risques… Ça n’a pas payé», résumait le Bernois, 5e. Pour la victoire, un fabuleux duel a opposé l’Australien Boyd Exell, qui s’offre sa 3e Coupe du monde d’affilée, au Hongrois Dobrovitz, qui ne voit que d’un œil, mais loin. Moins de suspense en dressage, où Adelinde Cornelissen et «Parzival» ont triomphé comme prévu. Jolie demi-surprise que la 2e place de la Danoise Nathalie zu Sayn-Wittgenstein, nièce de la reine. Les Allemandes ont déçu et Isabell Werth, 5e, a encore été trahie par «Satchmo» (deux défenses) et par sa juge allemande, qui la voyait 11e: un mauvais gag.
CYCLISME
Cadel Evans remporte le Tour de Romandie
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L’Australien a remporté le deuxième Tour de Romandie de sa carrière, après celui de 2006. La dernière étape entre Champagne et Genève, remportée par le Britannique Ben Swift, n’a apporté aucun changement au classement général
Bernard Morel - le 01 mai 2011, 15h56
LeMatin.ch
Cadel Evans (34 ans) a remporté le deuxième Tour de Romandie de sa carrière. L’Australien avait endossé le maillot jaune samedi après le contre-la-montre du Signal-de-Bougy. Tout indiquait qu’il allait parvenir à le garder au cours de la dernière étape entre Champagne et Genève, malgré les passages des cols du Mollendruz et du Marchairuz. Bien entouré par ses coéquipiers de l’équipe BMC, Evans n’a pas eu trop de problème pour contrôler la situation. A 2km de l’arrivée, Alexandre Vinokourov a bien tenté de sortir du peloton pour tenter de grapiller quelques précieuses secondes, mais les coureurs BMC et l’ensemble du peloton ont prestement réagi.
Cette victoire de Cadel Evans n’est pas vraiment une surprise dans la mesure où il faisait partie des grands favoris de la course. Tout au plus pouvait-on s’interroger sur le niveau de sa condition car il effectuait sa rentrée sur les routes romandes après un mois sans course. Il s’était blessé à un genou à l’entraînement et avait été contraint d’interrompre sa préparation et de renoncer aux classiques ardennaises. Mais il a rapidement rassuré ses coéquipiers et les observateurs. Chaque jour, il a montré qu’il était en bonne forme et il l’a confirmé dans le contre-la-montre en étant supérieur à ses adversaires directs du classement général.
Cette dernière étape a enfin souri aux sprinters. Il y a eu plusieurs attaques, mais le peloton, emmené par l’équipe BMC, relayée par la suite par les équipes des sprinters, a condamné l’échappée à l’entrée de Genève. Dans le sprint, on attendait Oscar Freire, mais c’est le jeune Britannique Ben Swift (23 ans) qui s’est imposé devant le jet d’eau.
Football
Ligue des champions: l’UEFA rejette les plaintes croisées du Barça et du Real
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Image © KEYSTONE-A
La plainte du Barça contre les commentaires d’après-match de l’entraîneur madrilène José Mourinho (photo) est rejetée car l’UEFA.
L’instance disciplinaire de l’UEFA a rejeté lundi les plaintes croisées de Barcelone et du Real Madrid après leur demi-finale aller houleuse mercredi dernier.
AFP/SI - le 02 mai 2011, 16h34
LeMatin.ch & les agences
Lundi, l’instance disciplinaire de l’UEFA a rejeté les plaintes croisées de Barcelone et du Real Madrid après leur demi-finale aller houleuse (victoire barcelonaise 2-0) mercredi dernier. La plainte du Barça contre les commentaires d’après-match de l’entraîneur madrilène José Mourinho est rejetée car l’UEFA s’en était elle-même saisie auparavant et son cas sera examiné ce vendredi.
Le Real avait déposé plainte contre l’exclusion de son joueur Pepe et contre le comportement des joueurs du Barça. L’instance disciplinaire de l’UEFA a considéré qu’il n’y avait pas de stratégie établie des joueurs du Barça de provoquer. Dans le cas de Pepe, le carton rouge est maintenu. Il est donc bien suspendu pour la demi-finale retour mardi au Camp Nou.
Match de suspension
Pour son exclusion en cours de match, José Mourinho a écopé automatiquement d’un match de suspension pour la demi-finale retour à Barcelone mardi. Cette suspension l’interdit de zone technique (vestiaires, couloirs, banc de touche) dès son arrivée au stade. Elle le prive en théorie de tout contact avec ses joueurs pendant le match.
Mercredi dernier, «Mou», sur un ton pourtant mesuré, avait tenu des propos explosifs en conférence de presse après le match, devant une assistance ahurie et à côté d’un porte-parole du Real qui ne savait pas où se mettre. Un bombardement en règle: «Pourquoi il arrive toujours la même chose à chaque demi-finale (de Ligue des champions, avec les équipes qu’il entraîne, ndlr) ? Nous sommes en train de parler d’une équipe fantastique (le Barça). Je ne sais pas si c’est pour l’Unicef (le sponsor maillot du Barça), je ne sais pas si c’est le pouvoir de M. Villar (président de la Fédération espagnole de football) à l’UEFA. Je ne comprends pas».
Vonn et Riesch, les deux amies du ski alpin, ne se parlent plus
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Lindsey Vonn. © reuters
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Maria Riesch s'est mariée le 16 avril dernier. © ap
La grande amitié entre l'Américaine Lindsey Vonn et l'Allemande Maria Riesch semble bien avoir fondu au terme de la Coupe du monde de ski alpin 2011, la première racontant dans une discussion sur Facebook postée samedi qu'elles ne se parlaient plus depuis le début mars.
Dans un long message, la triple lauréate de la Coupe du monde 2008, 2009 et 2010, donne sa version de l'hiver, où elle s'est fait souffler le grand globe de cristal pour trois points par Maria Riesch et s'est "sentie comme si une partie de la presse allemande (lui) avait déclaré la guerre cette année".
"J'ai arrêté de parler à Maria après la première manche du slalom de Spindler. Elle avait donné une série d'interviews négatives à mon sujet, et elle a continué à parler négativement de moi dans la presse depuis. J'ai été très blessée par ses gestes, et honnêtement, je ne sais pas bien où en est notre amitié à ce point-ci", raconte la championne olympique de descente.
Pas les bienvenus
Selon elle, c'est "cette hostilité croissante du camp Riesch" à son encontre, qui l'a poussée à ne pas se rendre au mariage de Maria le 16 avril, et non le fait que sa rivale ait réussi à la cantonner au rôle de dauphine cette saison. "La vérité est que mon mari et moi, nous ne nous sentions pas les bienvenus", écrit Lindsey Vonn.
Les deux jeunes femmes de 26 ans se connaissent depuis l'adolescence et ont pris l'habitude de passer Noël ensemble dans la maison des Riesch à Garmisch-Partenkirchen. Mais alors que Vonn avait dominé les trois précédentes saisons, leurs accolades se sont crispées depuis les Championnats du monde en février dans la station bavaroise, suivis par la rude bataille finale que les deux skieuses se sont livrées en Coupe du monde.
"Même si Maria et moi avons cessé de nous parler depuis Splinder, j'ai toujours un énorme un respect pour elle en tant qu'athlète et je l'ai félicitée en personne pendant que je l'embrassais sur le podium des Finales à Lenzerheide", souligne la star du ski alpin féminin. (afp)
Un champion d'UFC perd 11 kg en un jour
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Georges Saint-Pierre avec 77 kg.
Georges Saint-Pierre est un champion d'UFC (Ultimate Fighting). Il a surtout la capacité de perdre plus de 10 kg (11 pour être plus précis) en une seule journée pour la pesée. Explications.
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Régime et sauna
Plusieurs fois champion dans la catégorie "Welterweight", la réputation de Georges Saint-Pierre n'est plus à faire. A 30 ans, le Canadien est un incontournable dans ce sport de combat mélangeant différents arts martiaux, comme le rappelle Zigonet. S'il pèse habituellement 88 kg, il est beaucoup trop lourd pour concourir dans la catégorie "Welterweight" (entre 70 et 77 kg). Du coup, il suit un régime drastique "à base de protéines et de légumes." La seconde étape, bien plus importante, est le sauna. Pendant plusieurs heures, il perd beaucoup d'eau jusqu'à arriver à un poids de 77 kg.
"Il retrouve facilement ses 88 kilos"
"Après avoir atteint le poids de 77 kilos à la pesée, il boit de l'hydrate de carbone, et mange et boit normalement pour se réhydrater. C'est comme ça qu'il retrouve le poids de 88 kilos lors du combat", ajoute son entraîneur Firas Zahabi.
Risques de santé
C'est une technique courante dans les sports où le poids est mesuré avant la compétition, comme c'est le cas en boxe et lors des courses hippiques. Si ce n'est pas de la tricherie, les risques pour la santé des athlètes sont énormes. (chds)
;)Pas trop normal non?
bug
Les zones des gardiens mal dimensionnées
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Image © Keystone
C’est le portier français qui s’est le premier rendu compte de l’erreur. Après six matches disputés sur des glaces non conformes aux lois de l’IIHF!
Le Français Fabrice Lhenry a alerté les organisateurs, qui ont redessiné les périmètres.
T. D. - le 02 mai 2011, 23h31
Le Matin
Championnats du monde Kosice (SLQ)
La scène est cocasse: tandis que seuls quelques soiffards rient encore à tout rompre dans une Steel Arena vidée de son public, tard dimanche soir, les maîtres de glace commencent à effacer les zones des gardiens (le périmètre bleu devant chaque cage) telles qu’elles avaient été dessinées. Pour savoir quelle mouche les a piqués, il faut attendre le fin mot de l’histoire, soufflé hier matin: ces zones avaient été mal dessinées!
«C’est exact, j’ai eu vent de cette histoire, admet le président de la Fédération internationale de hockey sur glace, René Fasel. L’erreur a été corrigée dans la nuit de dimanche à lundi.» Soit après six matches disputés sur des glaces non conformes aux lois de l’IIHF. C’est le gardien français Fabrice Lhenry qui a remarqué le bug, à l’entraînement, puis en match dimanche. La différence portait sur une quinzaine de centimètres. L’erreur est plus qu’anecdotique: pour un portier qui se repérerait partiellement en fonction de sa zone, un tel décalage peut être fatal. «C’est le cas de Fabrice, apparemment, qui se demandait pourquoi tant de pucks lui passaient si facilement du côté de la mitaine, souffle un membre de l’entourage de l’équipe de France. En fait, le but n’était pas centré dans la zone, ce qui l’a perturbé.»
Pas une excuse
Evidemment, les Tricolores ne cherchent pas là une excuse à leur rouste contre le Canada (9-1). La bourde, curieuse dans l’organisation d’une compétition telle que des Championnats du monde, fait plutôt sourire René Fasel. «On sait que les gardiens aiment trouver des excuses, lance le Fribourgeois. Mais, du coup, on n’aura pas d’autre choix que de procéder à des mesures systématiques à l’avenir.»
AUTOMOBILISME
Simona De Silvestro: quel week-end!
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Image © Keyston
La Vaudoise se souviendra longtemps de sa fin de semaine brésilienne. La course s’est jouée en deux jours et s’est terminée sur un exploit de la Romande.
Jean-Claude Schertenleib - le 02 mai 2011, 22h09
Le Matin
Indycar São Paulo (Bré)
Dans les rues de São Paulo, 2e édition. Il y a douze mois, Simona De Silvestro y découvrait sa nouvelle catégorie, le sommet du sport automobile aux Etats-Unis: l’Indycar et son épreuve mythique, les 500 Miles d’Indianapolis. Dans des conditions d’adhérence difficiles, elle s’était même retrouvé quelques tours en tête, bluffant tous les observateurs.
Le même décor, le même ciel mais en pire, fin avril 2011. Vendredi, lors de la première séance d’essais libres, sa voiture connaît un problème mécanique dès le premier tour, la matinée est perdue. L’après-midi, la Vaudoise signe le deuxième chrono absolu: entre les murs où défilent une fois l’an les écoles de samba, elle se régale.
Premier virage
Qualifiée avec le douzième chrono, elle se sent prête dimanche matin. Ce d’autant plus qu’elle signe le quatrième temps du warm-up d’avant-course. Le départ, sous une pluie de plus en plus violente, est donné derrière la voiture de sécurité; lorsque celle-ci s’écarte et que le peloton arrive dans la première chicane, le jeu de massacre commence: la star brésilienne Helio Castroneves n’évite pas le mur, De Silvestro s’arrête à quelques centimètres, lorsque sa Dallara, soudainement, s’envole dans l’air mouillé: Danica Patrick, qui vient d’être touchée par un autre concurrent, s’est enfilée sous la monoplace de sa collègue de course: «Ma voiture n’avait que peu de dégâts, elle était juste dans une position inconfortable. J’ai demandé aux commissaires si je pouvais rester dans mon cockpit, pour repartir au plus vite, ils ont estimé que ce serait trop dangereux.»
Dix minutes plus tard, en plusieurs endroits du circuit, de nouveaux accidents surviennent, obligeant la direction de course à présenter le drapeau rouge. On s’affaire dans les garages, on tente par tous les moyens de nettoyer et de sécher la piste. Tard dans la soirée, tout le monde se donne finalement rendez-vous à lundi matin.
Impressionnante
La course ayant été arrêtée après 10 tours la veille, Simona De Silvestro est parmi les concurrents qui n’en ont couvert qu’un seul. Vingt-deuxième sur la grille à 9 tours du leader, elle sait qu’elle n’a rien à espérer en termes de résultat. En revanche, elle va se faire remarquer: sous la pluie revenue, la Vaudoise va tout simplement signer le meilleur chrono de la course et récupérer sur tout le peloton l’un de ses tours de retard de la veille. Pour une vingtième place finale: «Bien sûr qu’il y a de la déception, mais la voiture fonctionnait si bien aujourd’hui qu’il faut positiver.» La pilote, elle aussi, a très bien fonctionné ce lundi sous la pluie.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=59x-FM17pLc
bug
Les zones des gardiens mal dimensionnées
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Le pauvre gars s'est pris 9 buts, il ne devait pas tout comprendre. Mais c'est quand même grave de voir ça à ce niveau mais surtout qu'aucun des autres gardiens n'ai remarqué ce problème. En tout cas bon début de mondial pour la France, le pilote de l'avion s'était déjà trompé d'aéroport vendredi, ils ont du faire 2h de cars en plus:D:D
Le pauvre gars s'est pris 9 buts, il ne devait pas tout comprendre. Mais c'est quand même grave de voir ça à ce niveau mais surtout qu'aucun des autres gardiens n'ai remarqué ce problème. En tout cas bon début de mondial pour la France, le pilote de l'avion s'était déjà trompé d'aéroport vendredi, ils ont du faire 2h de cars en plus:D:D
;)Parrait qu'ils vont rentrer à pieds:D:D
Saut a ski
Simon Ammann a décidé de poursuivre sa carrière l’hiver prochain
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Image © KEYSTONE
Le quadruple champion olympique se dit encore très motivé.
Le quadruple champion olympique de saut à ski Simon Ammann a décidé de poursuivre sa carrière l’hiver prochain.
le 03 mai 2011, 10h45
LeMatin.ch & les agences
Le Suisse Simon Ammann, devenu en 2010 le premier quadruple champion olympique de saut à skis de l’histoire, a annoncé mardi qu’il allait poursuivre sa carrière alors qu’il réfléchissait depuis les Championnats du monde 2011 à raccrocher.
"Il y a un an, j’avais dit que je ferais un point après les Mondiaux d’Oslo (...) et même si j’ai eu des problèmes au dos en début de saison, j’ai encore beaucoup de plaisir à pratiquer ce métier", a déclaré Ammann sur son site internet.
"Je me sens capable de gérer les phases difficiles de la vie d’un athlète de haut-niveau, la flamme brûle encore", a-t-il ajouté.
Ammann, qui aura 30 ans en juin, n’a toutefois pas précisé s’il allait pousser jusqu’aux jeux Olympiques 2014 de Sotchi (Russie).
Après une saison 2010 époustouflante où il a remporté les deux titres individuelles olympiques à Vancouver, comme à Salt Lake City en 2002, ainsi que la Coupe du monde, "Simi" a été plus en retrait cet hiver.
Il a fini 2e du classement mondial, sans jamais inquiéter l’Autrichien Thomas Morgenstern, et a ramené une médaille de bronze d’Oslo (grand tremplin).
rugby
Sébastien Chabal: «Je n'ai jamais rêvé d'être un autre»
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Image © DR
Le troisième ligne du Racing Metro n’a éludé aucune question face à notre journaliste.
Le joueur emblématique du XV de France Sébastien Chabal a publié son autobiographie. Il a donné rendez-vous au «Matin» dans un établissement parisien, où il s'est longuement livré.
Julien Caloz - le 03 mai 2011, 12h19
Le Matin
Sébastien, pourquoi ce livre?
Je voulais raconter celui que j'étais vraiment. Même si l'image de brute épaisse que je renvoyais il y a quelques années s'est un peu arrondie, beaucoup de choses ont été dites et racontées à mon propos. Or tout n'était pas vrai.
Vous n'êtes donc pas anesthésiste (l'un des nombreux surnoms qui lui ont été donnés)?
Non. En plus, je déteste le sang. La dernière fois que je me suis pété l'arcade, j'ai fait une vie au docteur. Il a dû me poser un masque à oxygène pour me calmer. Il a dû se dire: «Il est fou, ce mec!» J'avais honte de moi!
Votre sensibilité a-t-elle facilité les confessions que vous livrez dans votre autobiographie?
Non. J'ai travaillé avec un écrivain qui m'a «accouché» et c'était très douloureux. Mais, quand je lis mon livre aujourd'hui, je suis content. Il me ressemble. J'aurais même aimé ajouter d'autres anecdotes.
Lesquelles?
C'est bête à dire, mais j'ai oublié de parler de mes chats. J'en ai deux, bientôt trois, et je suis triste de ne pas les avoir mentionnés.
Vous êtes un émotif passionné par les chats qui déplore l'image de brute épaisse qu'il renvoie dans les médias. Pourtant, vous contribuez à cette image en préservant une barbe broussailleuse.
Oui, mais il n'y a jamais eu de calcul marketing par rapport à cela. Ma barbe fait partie intégrante de mon visage, et c'est pour cela que Chabal est Chabal. Ma femme le dit d'ailleurs très justement: «Il garde la barbe pour se cacher.»
Au-delà des appréciations, parvenez-vous à trouver du plaisir dans cette forme «animale» de notoriété?
Oui, car les remarques sont plutôt sympas. Je n'ai été emmerdé qu'une seule fois par les paparazzi, à Saint-Tropez. Mais je ne crois pas qu'ils me cherchaient. J'étais juste comme un con, sous la pluie, avec ma femme et ma fille. Faute de mieux, les gars ont pris quelques photos.
Il y a au moins un épisode qui a corrigé votre image. En 2007 sur France 2, vous chantez «Ce matin, un lapin a tué un chasseur...» avec Chantal Goya. Quel souvenir en gardez-vous?
C'était un grand moment... de solitude. Quand j'ai vu Goya débarquer sur le plateau, je me suis dit: «Oh, les enculés! Ils ont osé la faire venir.» J'étais pris au piège. Mais j'ai tout de même joué le jeu.
Avez-vous eu la même réaction lorsque vous avez découvert votre marionnette aux «Guignols»?
Non. Ça, c'était beau. De toute manière, à moins d'être con, tu es obligé de te marrer. Il faut prendre cela pour ce que c'est. Du troisième, voire du 4e degré.
Avez-vous parfois eu l'impression que votre notoriété a préservé vos coéquipiers?
Je ne crois pas. Mais, si les journalistes nous attendent, certains me laissent passer devant. Ils savent que j'intéresse les médias et en profitent pour filer en douce, les fumiers!
Les éléments extérieurs ont-ils, au fil du temps, prétérité votre carrière de joueur?
Je ne sais pas ce que veut dire prétériter.
Désavantager.
(Sérieusement.) Non, je ne pense pas que les éléments extérieurs ont prétérité ma carrière de joueur! Et je veux que tu écrives cette phrase comme je viens de te la dire. Oh, j'aime ce verbe. J'aime ce verbe. Merci d'être venu! ( Il sort ensuite son portable et poste le message suivant sur Twitter: «Est-ce que quelqu'un connaît «prétériter?»)
Beaucoup d'observateurs mettent en doute vos qualités de joueur. Où vous situez-vous dans la hiérarchie mondiale?
Je sais que je ne suis pas le meilleur joueur du monde, mais j'essaie de faire mon job le mieux possible. L'argent que je gagne ( ndlr: 360 000 euros annuels, hors contrats publicitaires), je ne le vole pas. Je sais qui je suis. Je n'ai jamais eu d'autres ambitions que celle d'être un bon ouvrier. D'abord à l'usine, lorsque j'étais tourneur-fraiseur, ensuite dans le vestiaire. Aujourd'hui, je me déplace avec la Toyota Prius du club, je n'affiche pas de signes extérieurs de richesse et cela me va très bien.
Vous êtes néanmoins le Français le mieux payé du championnat. Auriez-vous préféré gagner moins et être davantage doué?
Non. Je n'ai aucun regret. Ma vie est belle. Je cours après un ballon toute la journée. Parfois, il me fait faux bond, mais j'arrive toujours à le rattraper. J'aurais peut-être aimé être meilleur techniquement, mais je n'ai jamais rêvé d'être un autre. Si j'étais parfait, je me ferais chier.
L'imperfection n'exclut pas l'entrain. Vous avez brisé la mâchoire d'Ali Williams en 2007 et sollicitez régulièrement le staff médical de vos adversaires. Avez-vous déjà eu peur de faire mal?
Non, car il n'y a jamais rien d'intentionnel. Et puis le joueur qui est sur le terrain sait qu'il a signé pour en chier.
Un monde - qui n'est pas exclusivement celui du terrain - sépare le rugby du football. Comment avez-vous vécu la rébellion des Bleus en Afrique du Sud?
J'ai été choqué, comme la plupart du grand public.
Les rugbymen descendront-ils toujours du bus à l'entraînement?
Je ne sais pas. Il y a des gars qui ne sont pas corrects dans tous les sports. Je connais bien Grégory Coupet ( ndlr: gardien du PSG) et il ne correspond pas du tout aux clichés que certains se font des footballeurs. Accrocher des étiquettes dans le dos des gens, c'est leur manquer de respect.
Chabal critique les arbitres français
Suspendu par son club, Racing Metro 92, jusqu'au 11 mai, convoqué devant la commission de discipline le 12, l'international français a tenu à réagir à la polémique entourant les pages de son autobiographie concernant le «problème de l'arbitrage». «Je n'ai pas écrit ce livre pour polémiquer. J'ai simplement donné mon avis et je ne m'en excuserai pas. J'assume et je le répète: les arbitres du championnat de France sont nuls.» Le débat alimenté par les dénonciations de Sébastien Chabal pourrait desservir les intérêts du joueur, lequel attend nerveusement la liste des trente sélectionnés pour la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande (du 9 septembre au 23 octobre) le 11 mai. «Je suis dans l'incertitude, déplore le No 8. Me prendre des claques dans la gueule m'a toujours fait avancer, mais cette polémique m'emmerde. Elle tombe franchement mal. J'étais revenu en forme après un début de saison difficile.»
Les éléments extérieurs ont-ils, au fil du temps, prétérité votre carrière de joueur?
Je ne sais pas ce que veut dire prétériter.
Désavantager.
(Sérieusement.) Non, je ne pense pas que les éléments extérieurs ont prétérité ma carrière de joueur! Et je veux que tu écrives cette phrase comme je viens de te la dire. Oh, j'aime ce verbe. J'aime ce verbe. Merci d'être venu! ( Il sort ensuite son portable et poste le message suivant sur Twitter: «Est-ce que quelqu'un connaît «prétériter?»)
:D:D
Au moins il ne se prend pas la tête:)
Ski alpin
Saint-Moritz veut accueillir les Mondiaux de ski alpin de 2017
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Image © KEYSTONE
Un gâteau aux noix des Grisons pour la candidature pour les Championnats du Monde de Ski 2017.
Saint-Moritz est candidate pour être l'hôte de l'une ou l'autre des compétitions de ski lors des championnats du monde de 2016 et 2017. En tout, neuf stations candidates.
le 03 mai 2011, 14h50
LeMatin.ch & les agences
Neuf stations ont déposé leur candidature pour les différents championnats du monde de 2016 et 2017, a annoncé la Fédération internationale (FIS) mardi. St-Moritz fait notamment partie des candidats pour les joutes de ski alpin. Le choix des stations hôtes se fera le 31 mai 2012 lors du congrès de la FIS en Corée du Sud.
St-Moritz sera à la lutte avec Are (Su) et Cortina d’Ampezzo (It), qui ont également déjà organisé des Mondiaux de ski alpin par le passé. La FIS a reçu quatre propositions pour ceux de ski nordique: Lahti (Fin), Oberstdorf (All), Planica (Sln) et Zakopane (Pol). Les Mondiaux de vol à skis de 2016 sont promis à Kulm (Aut) et ceux de freestyle et snowboard à la Sierra Nevada (Esp), qui sont les seules candidates dans ces disciplines.
Bernard Tapie va-t-il racheter le Standard?
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© photo news
7S7 mise à jour Ce matin, nous vous annoncions qu'un investisseur étranger pourrait racheter les parts de Margarita, la veuve de Robert-Louis Dreyfus (89%). D'après Het Nieuwsblad, Bernard Tapie envisagerait d'investir dans le club et deviendrait ainsi l'actionnaire majoritaire. L'ancien homme fort de l'OM, qui a touché 285 millions d'euros suite à l'affaire du Crédit Lyonnais, était venu à Sclessin récemment pour visiter les installations du club. Ou était-ce pour négocier la reprise du club liégeois ?
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© photo news
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© belga
Info ou intox ? La rumeur enfle en bord de Meuse et sur la toile: le Standard pourrait être racheté par un investisseur étranger. Montant de la transaction: 32 millions d'euros.
Selon la DH, un gros repreneur étranger (pas russe, américain ou du Moyen-Orient) serait en négociation avec Lucien D'Onofrio. L'homme fort de Sclessin avait déclaré il y a quelques semaines: "Oui, je pourrais quitter le club. Ma décision, je la prendrai en fin de saison, en avril ou en mai, après une analyse personnelle de la situation." On parle d'une somme de 32 millions d'euros. Lucien D'Onofrio ne resterait donc plus à Liège.
Margarita veut vendre ses parts
Ce qui est certain, c'est que Margarita, la veuve de Robert Louis-Dreyfus veut vendre ses parts du Standard (89%), histoire de trouver un nouvel investisseur.
"Rien de neuf"
A Sudpresse, on est plus prudent. "Des rumeurs comme ça, il y en aura encore beaucoup... En tout cas, il n'y a rien d'imminent. Ces négociations sont liées à celles sur les droits TV. Il y a bien eu des réunions la semaine dernière, mais il n'y a rien de neuf. Rien n'a évolué. C'est le stand-bye. Et puis, Margarita ne vendra pas à n'importe quel prix, et à n'importe qui", a déclaré l'entourage du club de Sclessin. (chds)
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© photo news
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© belga
Le Barça en finale de la Ligue des Champions
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Barcelone ira à Wembley, théâtre de son premier triomphe en Ligue des Champions (1992). Le Barça sort grand vainqueur des 5 affrontements de la saison face au Real, avec 2 Clasicos gagnés, 2 matches nuls et 1 défaite (après prolongation). © ap
7S7 mise à jour Barcelone s'est qualifié sans trop de difficultés pour sa septième finale de la Ligue des Champions, sa troisième en six ans. Celle-ci se jouera le samedi 28 mai à Wembley face au vainqueur de la double confrontation entre Manchester United et Schalke 04. Les Catalans ont concédé le nul à domicile (1-1) face à un Real Madrid dépassé en première mi-temps mais qui est parvenu à égaliser après l'ouverture du score des Blaugranas. Un des faits marquants de la rencontre fut la montée au jeu d'Éric Abidal, qui faisait son retour au Camp Nou après l'opération qu'il a subi pour une tumeur au foie.
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Lionel Messi a encore prouvé qu'il est bien le meilleur joueur au monde. © afp
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Pedro a ouvert le score à la 54e sur un assist lumineux d'Iniesta. © ap
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Le but de Marcelo a redonné l'espoir au Real, finalement éliminé. © afp
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89e minute: le temps s'arrête. Abidal remplace Puyol après son opération au foie pour une tumeur. © epa
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Nouvelle désillusion européenne pour le Real Madrid alors que les supporteurs rêvaient enfin de la "decima" (la dixième C1 du club) après la fin de la malédiction des 8e de finale. © afp
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Barcelone a pris sa revanche sur le Real qui l'avait éliminé en 1/2 finale en 1960 et en 2002. © epa
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Juste avant le 1-0, De Bleeckere a refusé un but à Higuain pour une faute de Ronaldo sur Mascherano. En bout de course, le Portugais est tombé bien involontairement sur le pied de Mascherano. De la matière pour ceux qui aiment la polémique. Mais De Bleeckere a été excellent au Camp Nou. © afp
Revivez la rencontre ici (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1258802/Barcelone-Real-Madrid.dhtml).
Revoyez les plus belles images ici (http://www.7sur7.be/7s7/fr/8020/sports/photoalbum/detail/1259076/964061/0/Barcelone---Real-Madrid.dhtml).
Fini les Clasicos pour cette saison! Place à la finale de la Ligue des Champions qui devrait voir s'affronter Barcelone et Manchester United le 28 mai à Wembley. Quoiqu'on en dise: ce qui se fait de mieux actuellement sur la scène du football européen.
Mourinho à l'hôtel
Barcelone n'a pas tremblé chez lui face au Real. Après sa victoire acquise à Bernabeu, le Barça affrontait un Real orphelin de José Mourinho, puni et resté à l'hôtel pour regarder le match. Le Portugais n'a même pas fait le déplacement au Camp Nou. "The Special One" aurait de toute façon dû regarder le match depuis les tribunes.
Le Real plus "offensif"
Avec Higuain, Kaka, Di Maria et Ronaldo alignés au coup d'envoi, le Real affichait un visage nettement plus offensif qu'à l'aller. Mais on ne l'a guère senti en première mi-temps. Hormis durant les cinq premières minutes, où le Real a démarré avec un gros pressing. Les Madrilènes ne se sont octroyés qu'une seule "occasion" en 45 minutes, sur un centre au ras du sol de Ronaldo pour Di Maria, bien intercepté par Victor Valdes (39e).
5 minutes, 5 occasions
Il n'y en a eu que pour Barcelone en première mi-temps avec cinq minutes de folie (31e->36e) pour autant d'occasions de but signées Messi (31e, 32e et 36e), Villa (34e), Xavi (35e). En seconde période, Pedro a ouvert le score à la 54e après un assist lumineux d'Iniesta. Messi laisse passer le ballon. Pedro place sur la gauche de Casillas: 1-0.
Marcelo rallume l'espoir
Adebayor et Özil font alors leur apparition pour le Real. On croit les Madrilènes au bout du rouleau. Mais contre toutes attentes, Marcelo redonne espoir aux Merengues en trompant Valdes après que Di Maria ait frappé le poteau (63e, 1-1).
Éric Abidal, le retour
La fin de partie ne donnera rien. Le football et les querelles entre les deux clubs sont même passées au second plan à une minute du terme avec la montée au jeu d'Éric Abidal, qui fêtait son grand retour après une opération d'une tumeur au foie le 17 mars. Le public a grandement ovationné le Français. Un moment intense. L'occasion de comprendre qu'il n'y avait pas que le football (et les Clasicos) dans la vie.
Barcelone-Manchester
Les hommes de Pepe Guardiola retrouvent donc la finale de la Ligue des Champions après leur succès en 2009 face à... Manchester United. Barcelone a remporté 3 fois la Ligue des Champions, en 1992, 2006 et 2009.
La seconde demi-finale verra précisément Manchester United recevoir Schalke 04 mercredi (20h45) avec un avantage de deux buts (2-0) forgé à l'aller en Allemagne.
Christophe Durant (avec belga)
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Football
Europa League: vers une finale 100% portugaise
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Les joueurs du FC Porto sont quasi assurés de disputer la finale de l'Europa League.
La finale de l'Europa League le 18 mai à Dublin devrait bien être 100% portugaise. Porto, qui écrasé Villarreal 5-1 à l'aller, semble en effet avoir déjà son billet en poche. Dans l'autre demi-finale, Benfica Lisbonne possède un petit avantage après sa victoire 2-1 contre Sporting Braga.
le 04 May 2011, 17h33
LeMatin.ch & les agences
Quasiment qualifié pour la finale de l'Europa League après sa nette victoire (5-1) à l'aller sur Villarreal, Porto y retrouvera forcément un club portugais. Mais entre Braga et Benfica (1-2), le suspense est à son comble.
Comment imaginer que le "Sous-Marin Jaune" de Villarreal puisse refaire surface après avoir été torpillé en bonne et due forme par les "Dragons" de Porto ? Le danger numéro un pour les Espagnols est Colombien, a pour surnom "Le Tigre" et pour nom Falcao, auteur d'un quadruplé à l'aller. Cette déroute est la plus lourde encaissée en 105 matches européens pour le club de Villarreal.
Le match retour pourrait en tout cas faire des étincelles puisqu'il oppose les deux meilleurs buteurs de la compétition, Falcao, avec 15 buts (record de Jürgen Klinsmann en 1995-96 avec le Bayern Munich égalé) et Giuseppe Rossi pour Villarreal (10 buts). "Je ne fais que commencer dans les compétitions européennes. J'ai encore beaucoup à apprendre et je sais que je peux donner davantage", déclare Falcao (25 ans). Ca promet...
Du côté du seul club non-portugais engagé dans ces demi-finales, Carlos Marchena, défenseur central de Villarreal, y croit encore. Malgré les chiffres. "Ça va être un beau match, chez nous, et pourquoi ne pas rêver à un exploit ?", expliquait-il récemment, selon des propos reproduits sur le site de l'UEFA.
L'autre demi-finale retour semble plus ouverte. L'année dernière, Benfica avait déjà gagné son quart de finale aller 2-1, contre Liverpool avant de... perdre 4-1 au retour. Quoiqu'il arrive lors du match retour, l'entraîneur de Braga, Domingos Paciência, est plus que fier du travail de son équipe. "Nous avons donné l'image d'une équipe de guerriers, une équipe qui travaille et nous avons rappelé aux gens ce que le football est capable d'être", explique ainsi le technicien selon des propos recueillis par l'UEFA.
"Le comportement de Mourinho nuit au Real"
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© afp
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© reuters
L'ancien président du Real Madrid Ramon Calderon accuse l'entraîneur du club madrilène Jose Mourinho d'avoir porté atteinte à l'image du Real par son comportement en demi-finale de la Ligue des Champions.
Exclu au match-aller (0-2) à Bernabeu pour avoir contesté l'exclusion de son milieu de terrain portugais Pepe, Mourinho s'en était encore pris à l'arbitre allemand Wolfgang Stark en conférence de presse après la rencontre, et avait même accusé l'UEFA de favoriser Barcelone en incitant ses arbitres à aider les Catalans.
"Il a tenu des propos inacceptables et surtout néfastes pour le Real Madrid", a en effet déclaré Calderon à la BBC. "Quand vous investissez 450 millions d'euros en deux saisons et que vous perdez en demi-finale, ça ne sert à rien de parler d'erreurs d'arbitrage, de blessures ou de malchance. Vous devriez plutôt féliciter vos adversaires. Parler comme il l'a fait envers l'UEFA et les arbitres, c'est tout simplement lamentable..."
Ramon Calderon a été président du Real Madrid de 2006 à 2009. Le Barça et le Real MAdrid ont fait match nul, 1-1, mardi à l'issue de la demi-finale retour, Barcelone se qualifiant pour la finale du 28 mai à Wembley.
:)Va se faire virer avec non pas une grosse valise mais avec une malle....:p
35e succès consécutif sur terre pour Nadal
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Rafael Nadal a réussi son entrée en matière au Masters 1000 de Madrid en se qualifiant, grâce à sa victoire mercredi sur le Chypriote Marcos Baghdatis (ATP-24) 6-1, 6-3 en 1h20, pour les 8e de finale où l'attend un Juan Martin Del Potro en pleine renaissance.
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Le N.1 mondial, tenant du titre à Madrid, a remis les pendules à l'heure face à Baghdatis, qui l'avait battu pour la première fois de sa carrière en août dernier à Cincinnati.
Dominé dans tous les secteurs du jeu, l'ex-N.8 mondial et finaliste à l'Open d'Australie 2006 n'a jamais été à même de contester la supériorité de Nadal, qui a ainsi aligné une 35e victoire d'affilée sur terre battue.
L'Espagnol n'a plus cédé sur cette surface depuis sa défaite face au Suédois Robin Söderling en 8e de finale de Roland-Garros en 2009. Il n'a perdu que trois sets sur ces 35 matches et seulement abandonné 59 jeux en onze matches sur terre cette année.
En 8e de finale, Nadal aura un véritable test, en la personne de Juan Martin Del Potro, l'ex-N.4 mondial, qui a été aussi expéditif que lui face au Croate Marin Cilic 6-3, 6-0.
Tombé au 485e rang mondial en janvier, après une année 2010 gâchée par une sérieuse blessure au poignet gauche, Del Potro a remporté cette année les tournois de Delray Beach, et d'Estoril, dimanche. Il est désormais 32e mondial. L'Argentin a perdu cette année en 1/2 finale à Indian Wells contre ... Rafael Nadal. (belga/chds)
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:amoureux:Il est BON...........
Pas de Virgin améliorée pour Jérôme D'Ambrosio
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Jérôme D'Ambrosio ne bénéficiera pas d'une Virgin améliorée pour le prochain Grand Prix de Turquie de Formule 1 dimanche, au contraire de son équipier l'Allemand Timo Glock, a annoncé l'écurie Virgin Marussia sur son site mercredi.
Un nouveau package et des améliorations ont été apportées sur la VR-02 en vue du rendez-vous d'Istanbul dimanche, mais seul Timo Glock pourra disposer de cette monoplace en nouvelle configuration.
"Les améliorations de ce nouveau package pour le début de la saison européen sont pour le moins significatifs", a expliqué John Booth, directeur de course de Virgin Marussia. "Cela représente une nouvelle direction pour nous et nous espérons que ça nous aidera à prendre un nouveau virage. Jérôme ne bénéficiera pas de la mise à niveau complète avant l'Espagne (22 mai, ndlr), mais il pourra tester certaines de ces éléments ce week-end."
Jérôme D'Ambrosio devra donc patienter encore un peu, "mais nous sommes en plein progrès", s'est tout de même réjouit le Bruxellois. "Je suis très heureux de mes trois premières courses. Maintenant, je ne dois pas me contenter de poursuivre sur la même voie, je dois progresser et avancer, car il y a encore tellement à apprendre. Je connais bien le circuit d'Istanbul que j'ai appris à aimer en GP2. C'est toujours amusant de rouler dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Je suis confiant. C'est un circuit qui présente de nombreux défis pour les pilotes."
"Là, j'en suis à ma cinquième prise d'EPO"
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Mis à pied provisoirement par son équipe BMC et privé du Tour d'Italie qui démarre samedi à Turin, l'Italien Alessandro Ballan est cité par le procureur de Mantoue dans l'enquête sur un vaste réseau dopage en Italie, au sein de la Lampre où Ballan courait en 2009.
Le patron BMC avait expliqué prendre sa décision sur base de nouveaux éléments. Le quotidien sportif italien, La Gazzetta dello Sport a retranscrit des extraits d'un enregistrement mettant en cause l'ancien champion du monde.
Le 1er avril 2009, Ballan s'entretient en effet avec Guido Nigrelli, un pharmacien de Mantoue au centre du réseau.
Ballan: "C'est ça la G (pour hormone de croissance) ?"
Nigrelli: "Oui, exactement".
Ballan: "Mais comment tu la prends ?"
Nigrelli: "Par la bouche".
Ballan: "Tu en as de ça ?"
Nigrelli: "On me la livre mardi".
Le 20 avril 2009, il est question d'EPO.
Nigrelli: "Combien tu en as faites en intramusculaire ?
Ballan: "Celle-ci est la cinquième".
Puis un peu après: "C'est comme ça que j'ai pris l'EPO..."
Et au 4 mai 2009, Nigrelli explique à Daniele Pietropolli, un autre coureur: "Sans les médicaments, Ballan n'aurait jamais émergé."
;)C'est Kawa... qui doit rigoler:D:D:D
28e succès de rang en 2011 pour un Djokovic intouchable
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Novak Djokovic a logiquement composté son billet pour les 8e de finale du tournoi de Madrid, en battant 6-3, 6-4 mercredi le Sud-Africain Kevin Anderson (ATP 35), lequel a tout de même crânement joué sa chance.
Le N.2 mondial a donc porté à 28 matches sa série d'invincibilité cette année. Pour son deuxième tournoi sur terre battue, après celui remporté dimanche chez lui à Belgrade, le Serbe n'a pas produit un jeu éclatant, mais n'a jamais vraiment été en danger non plus.
Djokovic, 23 ans, a écarté sans trembler les deux balles de break qu'il a eues à défendre, mais il a éprouvé plus de difficultés à concrétiser ses propres opportunités (2 sur 6 seulement).
Le Sud-Africain a montré une belle aptitude à se déplacer sur terre battue, malgré ses 2m03. Mais Djokovic a finalement saisi sa chance au même moment dans chaque set, au 8e jeu alors qu'il menait 4-3.
En 8e de finale, face à l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez (ATP 29), il aura l'opportunité d'égaler le nombre de victoires consécutives enregistrées en 1986 par Ivan Lendl (29). Personne n'a fait aussi bien depuis.
Le meilleur début de saison jamais réalisé est l'oeuvre de John McEnroe en 1984 avec 42 succès de rang, une série arrêtée en finale de Roland-Garros par ... Ivan Lendl.
;)Vlà en gros.. pour ce soir bonne nuit les petits...........
;)Petit oubli, bonne soirée........
"La Formule 1 n'est pas à vendre"
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Les patrons de la F1, à commencer par son grand argentier Bernie Ecclestone, ont assuré mercredi que celle-ci n'est pas à vendre, après que le magnat australien de la presse Rupert Murdoch et le fonds italien d'investissements Exor ont affirmé envisager de faire une offre de rachat conjointe.
CVC, qui possède la Formule 1 et dont Ecclestone est le directeur général, a confirmé dans un communiqué "avoir récemment été approché" par le fonds d'investissements italien Exor et News Corporation.
"(Le directeur exécutif de News Corp.) James Murdoch nous a informés que l'approche est amicale, à une étape très préliminaire, et ils reconnaissent que la F1, qui est la propriété privée de CVC, n'est pas pour le moment en vente", indique le communiqué.
"Personnellement, je sais que CVC ne veut pas vendre, donc cela va être un peu difficile", a déclaré Ecclestone mardi soir. "Je vois CVC dans la F1 sur le long terme, à 100 %", a-t-il ajouté.
Ecclestone avait par le passé rejeté des informations sur l'intérêt de Rupert Murdoch pour la F1 en les qualifiant de "stupides" ou "ridicules". Cependant, il a reconnu que si une offre supérieure à 1,6 milliard de livres (1,77 milliard d'euros), le prix payé par CVC pour la Formule 1 en 2006, se présentait, elle serait étudiée.
"Si quelqu'un vient et offre beaucoup plus d'argent que ça ne vaut, on leur dira "asseyez-vous et parlons", a-t-il ajouté. Mais j'ai le sentiment que cela ne va pas arriver. Je ne comprends pas pourquoi News Corp a besoin de chercher des partenaires."
"D'abord, cela a été le milliardaire mexicain Carlos Slim et maintenant, nous en avons un nouveau", a-t-il poursuivi.
L'empire de Rupert Murdoch, News Corp, possède des journaux en Australie, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, les studios de cinéma de la 20th Century Fox, des télévisions dont Fox News.
Exor, holding financière de la famille Agnelli, possède 30% de Fiat, actionnaire à 90% de Ferrari, et est dirigée par John Elkann, petit-fils de "l'avvocato" Gianni Agnelli, le patron légendaire du groupe.
football
Manchester facile
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Le gardien Neuer ne peut rien sur le tir d’Anderson. Manchester United n’a jamais été inquiété.
Même en laissant plusieurs titulaires sur le banc, Sir Alex Ferguson a passé une soirée tranquille. La différence était trop nette.
le 05 May 2011, 00h23
LeMatin.ch & les agences
Manchester United - Schalke 04 4-1 (2-1)
La Ligue des champions 2011 se jouera lors d’une alléchante finale entre Barcelone et Manchester United le 28 mai à Wembley. Un jour après le Barça, les Anglais ont décroché leur qualification comme prévu en battant facilement Schalke 04 4-1 à Old Trafford en demi-finale retour.
Même en alignant une équipe bis, Manchester United restait largement supérieur à son adversaire allemand. Les Anglais, qui avaient effectué neuf changements par rapport à la formation qui s’était imposée 2-0 à l’aller à Gelsenkirchen – Van der Sar et Valencia étant les deux rescapés –, n’ont jamais été en danger.
Sir Alex Ferguson aura ainsi passé une soirée idéale, dont il a retiré deux bénéfices majeurs: la place en finale, et le fait d’avoir pu ménager la plupart de ses cadres – notamment sa charnière centrale Vidic-Ferdinand ainsi que Rooney, Hernandez et Giggs – dans la perspective de l’importantissime choc de dimanche en Premier League contre Chelsea.
Début agressif
Schalke a entamé la partie de manière agressive, en tentant de jouer haut et de presser son adversaire. Mais malgré toute leur bonne volonté, les hommes de Rangnick ne possédaient pas les armes nécessaires pour semer le doute dans l’esprit des Mancuniens. Une inutile perte de balle à mi-terrain amenait l’ouverture du score, avec une magnifique passe en profondeur de Gibson pour Valencia (26e). Cinq minutes plus tard, les deux compères inversaient les rôles, avec l’Irlandais à la conclusion pour un 2-0 sur lequel Neuer ne faisait pas très bonne figure..
La réduction du score dans la foulée par Jurado (35e) ne changeait pas les données de la rencontre, même si certains Red Devils trahissaient une certaine nervosité.
La seconde période voyait les Anglais inscrire deux nouveaux buts par Anderson, ce qui donnait au score un visage qui reflétait mieux la différence de niveau entre les protagonistes.
MAINTIEN
Cristobal Huet a eu la boule à la gorge
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Cristobal Huet a joué un rôle certain dans le sauvetage, plus tôt que prévu, de l’équipe de France.
Le Franco-Suisse a rendu une fiche de 97% pour assurer le maintien français.
Thomas Dayer - le 05 mai 2011, 00h21
LeMatin.ch
Sa voix tremblote encore un peu. «Je suis ému de ce qu’on a fait», lance Cristobal Huet. Le gardien de FR Gottéron, devant les filets de l’équipe de France, a rendu une fiche de 97% (38 tirs, 37 arrêts), mardi soir, pour permettre aux siens d’éviter le tour de relégation et d’assurer l’objectif du maintien au terme du tour préliminaire déjà.
C’est au troisième tiers-temps que le portier a colmaté les brèches qui s’ouvraient dangereusement devant lui (22 tirs, 21 arrêts). «C’est sur cette période-là que le match s’est décidé», a commenté l’entraîneur de la Biélorussie Edouard Zankovets.
L’exultation
«Ça fait du bien car je ne m’étais pas joint à l’équipe de France depuis trois ans et il y avait beaucoup d’attentes, lâche Cristobal Huet. J’ai envie d’aider ces gars dont certains ne vivent pas seulement du hockey. Malgré l’éclosion d’une nouvelle génération, l’excellent esprit demeure.»
Au crépuscule de leur «finale» gagnée, les Français se sont laissés aller à l’exultation. De là à dire que leur tour intermédiaire s’annonce délicat, il n’y a qu’un pas. «Je vous mentirais si je vous disais qu’on n’ira pas prendre une petite bière, sourit Cristobal Huet. Mais ne vous faites pas de souci, on ne va pas tirer la prise comme ça.»
Regarder devant
Le camp suisse pourrait de son côté en vouloir à «son» portier (marié à Corine, une Suissesse de Leysin, Huet a reçu son passeport rouge à croix blanche fin 2010). La qualification tricolore signifie en effet que le bataillon de Sean Simpson embarquera dans le tour intermédiaire avec trois points (contre quatre si la Biélorussie l’avait emporté).
Si d’aventure cette unité venait à manquer dans son panier au moment de désigner les quarts de finaliste, il le regrettera. La réflexion apparaît toutefois typiquement helvétique – tournée vers l’arrière. «C’est devant qu’il faut regarder», ne cesse de répéter Sean Simpson. Avec raison.é T. D.
tennis
Federer dans la douleur
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Le numéro trois mondial est revenu de bien loin dans l’ultime tie-break de ce match du 2e tour du tournoi madrilène.
Le Bâlois a dû batailler ferme face à Feliciano Lopez durant 3 sets et en 3 heures.
le 05 May 2011, 00h13
LeMatin.ch & les agences
Roger Federer avait raison de ne pas vouloir se focaliser sur une éventuelle demi-finale face à Rafael Nadal dans le Masters 1000 de Madrid. Le vainqueur de l’édition 2009 et finaliste 2010 a souffert pendant 2 h 56’ pour son entrée en lice face à Feliciano Lopez (ATP 39) au 2e tour.
Le Bâlois s’est imposé 7-6 (15/13) 6-7 (1/7) 7-6 (9/7) face au gaucher espagnol, finaliste sur la terre battue de Belgrade dimanche dernier. Il a dû écarter une balle de match à 5/6 dans le troisième jeu décisif, armant alors son 25e ace de la soirée.
Roger Federer (No 3) aurait même très bien pu s’incliner en deux sets sur le court Manolo Santana. Le Bâlois devait en effet effacer quatre balles de set dans le premier tie-break, qu’il concluait sur sa neuvième opportunité. Largement dominé dans le deuxième jeu décisif, il est également revenu de loin dans l’ultime tie-break, dans lequel Feliciano Lopez mena 5/2. Remarquable jusque-là sur son engagement (23 aces), Feliciano Lopez ne parvenait toutefois pas à porter l’estocade.
Place à malisse
Aujourd’hui, Roger Federer retrouvera en 8e de finale une vieille connaissance, le talentueux et imprévisible Xavier Malisse. Son premier face-à-face avec le Belge de 30 ans remonte à 1999 déjà, dans le cadre de la Coupe Davis. Le Bâlois avait alors subi une défaite mortifiante qui avait précipité la perte des Suisses, pourtant favoris d’une rencontre qui aurait pu leur ouvrir les portes des demi-finales.
Ce duel est le seul disputé sur terre battue par les deux hommes, et le seul remporté par Xavier Malisse. Le demi-finaliste de Wimbledon 2002 reste sur huit défaites face à Roger Federer, qui a notamment écrasé le Floridien d’adoption 6-3 6-3 6-1 au 3e tour du dernier Open d’Australie.
Les Diables retrouveront le Messi
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Même avec une équipe "bis", Manchester United ne perd pas en qualité.
Tant à l'aller qu'au retour (0-2, 4-1), il n'y a pas vraiment eu photo entre Manchester United et Schalke 04. Comme prévu donc, les Red Devils se qualifient pour la finale de la Ligue des Champions où ils retrouveront le FC Barcelone. Un air de déjà-vu soufflera sur Wembley le 28 mai prochain. En 2009, les "Culés" avaient soulevé la "coupe aux grandes oreilles" à Rome en battant les Mancuniens.
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Premier but en Ligue des Champions pour Valencia.
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La défense de Schalke 04 (ici avec Metzelder et Papadopoulos) est bien trop naïve pour prétendre au Graal.
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Un assist de rêve et un but: Gibson a réussi sa mission avec brio.
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Pep Guardiola avait fait le déplacement à Old Trafford. © afp
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Neuer a commis une petite "boulette" en se trouant sur le tir de Gibson.
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Un doublé pour Anderson.
Cliquez ici pour les plus belles photos (http://www.7sur7.be/7s7/fr/8020/sports/photoalbum/detail/1259626/964343/0/ManU-Schalke.dhtml)
Cliquez ici pour revivre le match en direct (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1259522/Manchester-United---Schalke-04.dhtml)
Equipe "bis" à ManU
C'est tout simplement la semaine la plus importante de la saison pour Manchester United. Les médias britanniques comptent sur le "Fergie Time", ce moment où le coach des Red Devils n'a pas son pareil pour trascender son équipe. C'est qu'entre la Premier League et la Ligue des Champions, les Mancuniens jouent sur deux tableaux. Ils peuvent tout gagner ou tout perdre. Si sur la scène européenne, le travail était quasiment fait grâce au succès acquis à l'aller (0-2), c'est encore loin d'être le cas en championnat. ManU ne possède que trois points d'avance sur Chelsea, qui fera justement le déplacement à Manchester dimanche prochain. Du coup, Sir Alex avait opté pour une équipe "bis": Valencia, Smalling, Evans, Gibson, Anderson, Berbatov...
Sous les yeux de Guardiola
Calmement mais sûrement, après un premier quart d'heure dit d'observation, le collectif mancunien se mettait en marche. Devant une défense allemande encore trop naïve pour aller au bout en Ligue des Champions, une seule erreur de placement coûte chère. Escudero "oublie" de fermer la porte à Valencia qui, sur un "caviar" de Gibson, ne tremble pas devant Neuer (26e, 1-0). Tout ça sous les yeux de Pep Guardiola qui avait fait le déplacement à Old Trafford pour analyser le jeu de son futur adversaire en finale (le 28 mai à Wembley).
Neuer se troue
La rencontre, annoncée comme ennuyeuse par plusieurs observateurs, s'accélérait en fin de première période. Logiquement idolâtré suite à sa prestation stratosphérique à Schalke 04, Neuer commettait une énorme erreur de main sur une frappe puissante de Gibson (31e, 2-0). Sur le velours, Manchester United perdait incompréhensiblement son calme. En l'espace de cinq minutes à peine, entre tacles appuyés et rouspétances inutiles, Gibson, Scholes et Anderson écopaient de cartons jaunes inutiles. Et Jurado profitait de ce laxisme pour réduire l'écart (34e, 2-1).
ManU sans pitié
Si le club de la Ruhr tentait un coup de poker en faisant entrer Edu puis Huntelaar, Manchester United profitait de chaque contre pour amener le danger devant le but de Neuer. Nani faisait des siennes sur le côté droit avant de centrer en retrait pour Anderson (72e, 3-1). Le médian du FC Porto remettait le couvert grâce à l'intelligence et l'altruisme de Berbatov (75e, 4-1).
ManU-Barça, comme en 2009
Un air de déjà-vu soufflera sur Wembley le 28 mai prochain. FC Barcelone-Manchester United, c'est l'affiche alléchante de cette finale de la Ligue des Champions 2011. Avec un sentiment de revanche au menu: les Catalans n'avaient laissé aucune chance aux Red Devils en 2009 (2-0, buts d'Eto'o et Messi). L'histoire se répétera-t-elle ?
Christophe Da Silva
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cyclisme
Quand la tradition cède à la surenchère de l’effort
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Devenu mythique depuis 1988 lorsque le peloton du Giro l’avait franchi sur 10 cm de neige, le Passo Gavia, avec ses murs de neige et des portions de routes non goudronnées, est régulièrement au programme. Ici en 2010 avec Ivan Basso en rose.
A l’image d’un Giro dantesque, les sports historiques semblent tentés par une escalade de l’effort. Doit-on y voir l’influence des exploits extrêmes?
Mathieu Aeschmann - le 04 May 2011, 21h37
Le Matin
Samedi dans la banlieue de Turin, le Tour d’Italie s’élancera pour une infernale balade au soleil de 3524 kilomètres, parsemée de 40 ascensions majeures. Il y a tout juste trois mois, le Belge Stefaan Engels bouclait à Barcelone un hallucinant pensum: 365 marathons en autant de jours.
A priori, aucun rapport entre ces deux événements. Le premier rayonne de sa légende, s’inscrit dans un calendrier et nourrit les rêves de champions reconnus. Tout le contraire du second qui «se contente» d’incarner un culte absolu du dépassement de soi. Cet antagonisme originel n’empêche pourtant pas les disciplines traditionnelles de lorgner cette quête de l’effort ultime, toujours plus en vogue dans le sport amateur. Le dernier Tour de ski n’a-t-il pas proposé à Cologna et sa suite les pentes à 28% de l’alpe Cermis? Comment ne pas rester bouche bée devant ce Giro qui cumule la montée de l’Etna, une nouvelle arrivée sur sol pierreux et, surtout, la terrifiante étape de Gardeccia et ses 6500 mètres de dénivelé?
Stratégie marketing
«C’est trop, admet Richard Chassot. Un tel dénivelé correspond à ce que nous avons proposé durant toute la semaine du dernier Tour de Romandie. Mais il existe chez les organisateurs du Giro une volonté d’exister sur la scène internationale, notamment face à l’aura du Tour de France. Du coup, leur stratégie marketing mise sur l’excès qui, selon eux, garantit l’inattendu.» Une stratégie assumée puisqu’un col de Campanie aujourd’hui inexploitable avec des pentes à 28% (Rifugio Calvanico) est à l’étude pour l’édition 2013. «Selon moi, c’est une erreur de vouloir rendre la course inhumaine, poursuit le directeur de la Boucle romande. L’étape est belle lorsque de nombreux coureurs peuvent s’imposer, pas forcément quand l’extrême difficulté débouche sur une course d’élimination. De plus, il ne faut pas se tromper de débat. L’exploit reste de monter un col à 40 km/h ou de faire la différence techniquement ou tactiquement. Pas d’enchaîner une dizaine d’ascensions pour finalement laisser la moitié du peloton sur le bord de la route.»
Pas des gladiateurs
Il demeure que dans un paysage sportif toujours plus formaté – rareté des défaillances ou des surprises, mainmise tactique et oreillettes – la surenchère des difficultés esquisse l’irruption de l’inattendu. Tout en alimentant le mythe du sportif héroïque. «Si dans sa vie privée, un sportif amateur a besoin de sans cesse multiplier les défis, de passer des 20 km de Lausanne à la Patrouille des Glaciers, grand bien lui fasse, reprend Richard Chassot. Mais le cycliste professionnel n’est pas un gladiateur qui fait le spectacle ou relève des défis. Il pratique un sport structuré qui a évolué avec son temps.»
Citons parmi ces évolutions, le souci de lutter activement contre les dérives du dopage. «Dans ce sens, les étapes du Tour de France se sont vues rabotées de quelques kilomètres ces dernières années, précise Pierre Morath. Selon moi, les choix excessifs du Giro répondent plus à une spécificité de la boucle italienne qu’à une dérive généralisée.» Et Richard Chassot de préciser: «Rendre des étapes quasi impossibles constitue la pire publicité possible pour attirer des jeunes vers le cyclisme.»
Une sagesse qui n’empêchera pas le public de se masser sur les pentes vertigineuses du Zoncolan. Voilà bien tout le paradoxe.
InterviewPierre Morath Historien du sport et ancien athlète: «Disputer un marathon est devenu une performance banale»
L’essor de l’effort extrême dans le sport amateur peut-il influencer les sports professionnels de tradition?
Je ne le pense pas. Simplement parce que ces deux entités répondent à des logiques totalement antagonistes. Peut-être trouve-t-on çà et là quelques emprunts dans le domaine de la communication. Mais je ne crois pas que le sport professionnel soit influencé par le monde amateur. En ce sens, les comparer est une erreur.
En quoi ces deux versants du sport s’opposent-ils?
Le sport professionnel poursuit une logique de performance et de gain financier, principalement basée sur sa faculté à attirer l’attention des télévisions. Il s’articule donc autour d’une logique de spectacle et d’excellence. Au contraire, le sport de M. Tout-le-monde puise sa source dans une logique de défoulement et de défis personnels. Par ailleurs, leurs modes de financement sont également à différencier. D’un côté les sponsors paient pour mettre en scène les héros, de l’autre le participant débourse pour devenir le héros de sa propre vie.
Une quête du dépassement personnel qui semble depuis quelque temps céder à la surenchère?
C’est exact. L’espace du sport amateur développe une demande «d’extrême». J’en veux pour preuve que disputer un marathon il y a trente ans représentait un exploit alors qu’aujourd’hui la performance est devenue banale.
Du coup, les distances s’allongent et les parcours se compliquent?
En effet. Puisque le sportif amateur ne peut se distinguer par ses résultats, il doit augmenter le champ du défi. Il n’est ainsi pas rare de voir des concurrents d’une insigne faiblesse prendre part à un ultratrail. Parce que même s’ils parcourent la distance en marchant, la dimension du tracé limite le champ de la méritocratie et leur offre une forme de reconnaissance.
Comment expliquez-vous ce besoin actuel de toujours en faire plus?
J’en déduis que les gens s’ennuient, qu’ils cherchent sans cesse à se prouver quelque chose. N’oublions pas que pour pratiquer ce genre d’efforts extrêmes, il faut du temps et des moyens. Ce qui me fait dire que ces athlètes amateurs sont en quête de défis personnels pour rompre avec une certaine monotonie.
Mais à force de multiplier les prouesses impossibles, le sport amateur ne risque-t-il pas de faire de l’ombre aux professionnels?
Certainement pas. Pour la simple raison que ces deux mondes évoluent séparément. Le sport professionnel s’adresse au peuple partisan et sédentaire installé devant son écran de télévision. Alors que les acteurs du sport amateur ne consomment que peu de sport comme téléspectateurs. C’est pourquoi, il me semble très difficile de bâtir des ponts.
Berlusconi veut un stade à son nom
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Le président du conseil italien Silvio Berlusconi, également président de l'AC Milan, en passe de remporter son 18e titre de champion d'Italie de football, a estimé mercredi qu'il devrait avoir, tout comme Santiago Bernabeu, un stade portant son nom.
"Si Milan gagne le titre, le club aura remporté son 27e trophée et les 26 titres déjà obtenus sous ma présidence ont fait de Milan le club qui a connu le plus de réussite au monde", a affirmé Silvio Berlusconi dans l'émission Porta a Porta sur la Rai Uno.
"Je suis aussi le président le plus titré de l'histoire du football." "Derrière moi, le président qui avait gagné le plus de titres était le grand (Santiago) Bernabeu et les Espagnols lui ont rendu hommage en donnant son nom au stade" du Real Madrid, a précisé Silvio Berlusconi.
En fait, l'AC Milan de l'ère Berlusconi, démarrée en 1986, a gagné cinq Ligues des champions, sept Scudetti (le 8e à venir) et une Coupe d'Italie, alors que Santiago Bernabeu se trouvait à la tête de six C1, 16 Liga et six Coupes d'Espagne.
Mais Silvio Berlusconi a ajouté, à son palmarès, des trophées qui n'existaient pas du temps de Santiago Bernabeu comme les Supercoupes (cinq en Italie, cinq en Europe), la Coupe intercontinentale (deux) ou encore le Mondial des clubs (un). Le stade de l'AC Milan, dans le quartier de San Siro, porte le nom de Giuseppe Meazza, l'un des plus grands joueurs italiens de tous les temps.
automobilisme
Ferrari pense avoir compris ses problèmes
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Chez Ferrari, on aborde la course de ce week-end avec davantage d'optimisme.
La Scuderia aligne une monoplace profondément retouchée à Istanbul. Son ingénieur en chef affirme que l'écurie maîtrise les problèmes apparus cet hiver.
Luc Domenjoz - le 05 mai 2011, 22h00
Le Matin
En est-il en formule 1 comme ailleurs? Le mieux y serait-il l'ennemi du bien? L'an dernier, la Scuderia Ferrari a agrandi sa soufflerie de Maranello, pour passer d'une échelle 1:2 (avec des modèles réduits à 50%) à une soufflerie travaillant à 60% de la vraie grandeur.
Le but, évidemment, était de se rapprocher de la réalité de la piste, des modèles réduits pouvant conduire à des erreurs d'extrapolation. Ces dernières sont connues et habituellement corrigées, mais l'idéal reste une soufflerie «grandeur nature», comme celle de l'écurie Sauber, à Hinwil, extrêmement coûteuse (on parle de 75 millions de francs pour la soufflerie zurichoise).
Modeste quatrième place
Ferrari a donc choisi le compromis d'une réduction à 60%, mais qui s'accompagne d'un problème de calibration. La soufflerie italienne a ainsi fourni des valeurs d'appuis qui ne se sont pas confirmées sur la piste, au détriment de la performance. Jusqu'ici, Fernando Alonso n'a donc pu faire mieux qu'une modeste quatrième place, en Australie.
«L'aérodynamique d'une F1 est devenue très sensible, explique Nikolas Tombazis, le directeur technique de la Scuderia. Elle est poussée à ses limites, avec le risque de constater des inconsistances entre la soufflerie et la piste.»
Dès que le problème a été constaté, en mars, les ingénieurs de la Scuderia ont cherché à le comprendre. «Nous avons désormais saisi l'essentiel de nos problèmes», poursuit Nikolas Tombazis. «En augmentant l'échelle de la soufflerie, nous aurions aussi dû, entre autres, repousser ses parois pour réduire leur influence.»
Nouveaux ailerons
Résultat de ces investigations: l'écurie s'aligne ce week-end avec une monoplace dotée de nouveaux ailerons avant et arrière, ainsi que de nouvelles écopes de freins. «Ce n'est pas terminé, conclut Tombazis. Même si nous n'avions pas souffert de ces problèmes aérodynamiques, nous n'aurions sans doute pas remporté les trois premiers grands prix. Nous ne nous sommes pas montrés assez inventifs dans le dessin de notre monoplace. Mais désormais, on fonce. A Maranello, tout le monde travaille à 1000% sur de nouvelles idées. Nous allons rattraper le temps perdu.»
Avec 26 points, Fernando Alonso compte déjà 42 longueurs de retard sur Sebastian Vettel. Pour Ferrari, il s'agit désormais de faire mieux, et plus seulement de faire bien.
tennis
Federer retrouve ses marques
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Le numéro trois mondial a connu quelques légères difficultés face au Belge dans le premier set. Mais le reste du match a été rassurant pour le Bâlois.
Le Bâlois semble être revenu de ses errances de la veille. Il bat Xavier Malisse 6-4 6-3.
le 05 May 2011, 22h04
LeMatin.ch & les agences
Au bord du k.-o. mercredi soir face à Feliciano Lopez, Roger Federer a retrouvé hier une certaine sérénité dans le Masters 1000 de Madrid. Le Bâlois n'a eu besoin que de 70 minutes pour valider son ticket pour les quarts de finale. Il s'est imposé 6-4 6-3 face à Xavier Malisse (ATP 49).
Le vainqueur de l'édition 2009 et finaliste 2010, qui avait dû écarter une balle de match au 2e tour dans le marathon de 2 h 56' livré face à Lopez, n'a concédé que 14 points sur son engagement hier. Il a surtout souffert dans le premier set face à Xavier Malisse.
Roger Federer, qui affrontera Robin Soderling (No 5) ou Jo-Wilfried Tsonga (ATP 22) aujourd'hui, réussissait le début de match parfait (3-0 en 9 minutes) mais laissait le fantasque belge revenir à 4-4 après avoir concédé son unique break de l'après-midi dans le septième jeu. Il réagissait cependant rapidement en s'adjugeant les deux derniers jeux du set initial, et s'envolait vers la victoire en signant le seul break de la seconde manche dès le sixième jeu.
Nole égale Lendl
Novak Djokovic (No 2) a pour sa part égalé hier le début de saison réalisé par Ivan Lendl en 1986 en signant sa 29e victoire d'affilée cette année - la 31e de suite au total en tenant compte de la finale de la Coupe Davis. Le Serbe a écrasé l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez (ATP 29), tombeur de Stanislas Wawrinka au 1er tour, 6-1 6-2 en 51'.
Le vainqueur du dernier Open d'Australie reste cependant encore bien loin du record en la matière, détenu par John McEnroe depuis 1984 (42 succès de rang pour débuter l'année). Il devrait en outre retrouver le toujours coriace David Ferrer (No 6), finaliste à Monte-Carlo puis à Barcelone face à Rafael Nadal.
La finale de l'Europa Ligue 100% portugaise
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7S7 mise à jour Sans surprise, le FC Porto s'est qualifié pour la finale de l'Europa Ligue, malgré sa défaite 3-2 sur le terrain de Villarreal (7-4 sur l'ensemble des deux matches). Les champions du Portugal retrouveront Braga, qui a réussi à sortir Benfica à la différence de but (victoire 1-0 après la défaite 2-1 à Lisbonne). Les deux clubs portugais se disputeront le titre européen le 18 mai prochain à Dublin.
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Le Sporting Braga, vainqueur 1-0 de Benfica, mais qualifié grâce au but prépondérant à l'extérieur, et le FC Porto, battu 3-2 à Villareal mais vainqueur 5-1 au match aller, se rencontreront le 18 mai à Dublin en finale de l'Europa League.
À Braga, suite au résultat du match aller (2-1 pour Benfica) les deux équipes pouvaient encore espérer se qualifier. Le petit Estádio Municipal vibra à la 19-ème minute quand Custodio d'une tête puissante propulsa le ballon dans les filets de Roberto. En fin de première mi-temps l'ancien Barcelonais Saviola, seul devant Artur, vit son tir repoussé par le poteau (42-ème). Le résultat ne changea pas et Braga, grâce au but inscrit à l'extérieur, se qualifie pour la première finale d'une Coupe d'Europe de son histoire.
Dans l'autre demi-finale, Porto se déplaçait à Villareal fort de la large victoire acquise au match aller. Le but de Cani à la 17-ème donna un peu d'espoir à Villareal. Mais le grand Hulk - via une déviation de Musacchio - égalisa à la 40-ème. Dès la reprise Falcao doubla le score pour Porto et tua tout suspense (48-ème). Capdevila égalisa (76-ème) et Giuseppe Rossi sur penalty (80-ème) donna l'avantage à son équipe. Insuffisant pour se qualifier, le FC Porto s'imposant 7-4 sur l'ensemble des deux matches.
Porto a déjà enlevé la Coupe de l'UEFA (3-2 a.p contre le Celtic) en 2003. L'équipe était alors entraînée par José Mourinho. Le club compte également deux Ligues des Champions (1987, 2004) à son palmarès. (belga)
La série victorieuse de Djokovic continue en 2011
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Novak Djokovic a expédié en à peine 51 minutes, un chiffre remarquable sur terre battue, son 8e de finale du Masters 1000 de Madrid, épreuve de l'ATP dotée de 2,835 millions d'euros, en battant jeudi l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez (ATP 29) 6-1, 6-2.
Avec ce succès, le N.2 mondial a donc porté à 29 matches sa série d'invincibilité cette année. Il égale ainsi le nombre de victoires consécutives enregistrées en 1986 par Ivan Lendl (29). Personne n'avait fait aussi bien depuis.
Le record est détenu par John McEnroe avec 42 succès de rang en 1984, devant Bjorn Borg (33 victoires de suite en 1980).
Garcia-Lopez, honnête spécialiste de la terre, a été écrasé. L'Espagnol n'est parvenu à marquer que deux points sur le service du Serbe (2 sur 34, soit 6% de réussite), ce qui en dit long sur la qualité de la mise en jeu de Djokovic.
Le Serbe, qui a remporté cinq tournois depuis le début de la saison (Open d'Australie, Dubaï, Indian Wells, Miami, Belgrade), a pris à deux reprises le service adverse.
Cela lui a suffi pour atteindre les quarts de finale, où il devra affronter l'Espagnol David Ferrer, ATP 6 et tête de série N.6, ou l'Ukrainien Sergiy Stakhovsky (ATP 38).
FOOTBALL
Ligue des champions: Mourinho prend cinq matches
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José Mourinho
L'entraîneur du Real Madrid José Mourinho a été sanctionné de cinq matchs de suspension en Ligue des champions, dont quatre ferme, par le comité de contrôle et de discipline de l'UEFA. Il paye ses propos déplacés suite à la demi-finale aller de la Ligue des champions qui opposait Madrid à Barcelone.
le 06 May 2011, 15h51
LeMatin.ch
Michel Platini voulait une sanction exemplaire, il l'a eue.
L’instance disciplinaire de l’UEFA a infligé vendredi trois matches de suspension ferme et un avec sursis, dans ses compétitions européennes, à l’entraîneur du Real Madrid José Mourinho pour ses déclarations sur un arbitrage trop favorable à Barcelone à son goût. Soit cinq matches en tout, Mourinho ayant déjà purgé son premier match de suspension lors de la demi-finale retour de la Ligue des champions.
Le Real Madrid a indiqué immédiatement qu’il allait faire appel.
Les «déclarations inappropriées» reprochées à Mourinho remontent au 27 avril après la demi-finale aller de Ligue des champions perdue par le Real à domicile face au Barça (2-0). Son sursis court pendant trois ans. Le technicien portugais est également condamné à une amende de 50’000 euros.
«Pourquoi arrive-t-il toujours la même chose à chaque demi-finale? Je ne sais pas si c’est pour l’Unicef (le sponsor maillot du Barça), je ne sais pas si c’est le pouvoir de M. Villar (président de la Fédération espagnole de football et président de la commission des arbitres à l’UEFA). Je ne comprends pas», avait feint de s’interroger le Portugais, après avoir été exclu lors de ce match. Adepte des joutes verbales, Mourinho a sans doute payé ses écarts à répétition et les provocations multiples dont il a le secret.
:diable:je vais pas le plaindre ce trou du ....:bad:
voile
Michel Desjoyeaux: «On a hâte d'en découdre»
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Image © Jean-Guy Python
Habitué des grandes épreuves en plein océan, Michel Desjoyeaux ne fait pourtant «pas de différence entre marin d'eau douce et marin d'eau salée».
Par manque de vent au large de Lausanne, seule la régate côtière, remportée par Paul Cayard, a pu se dérouler hier entre Rolle et Genève. En attendant, Michel Desjoyeaux se dévoile.
Jean-Guy Python - le 06 May 2011, 21h15
Le Matin
Vulcain Trophy
Lausanne
De retour d'une Barcelona World Race avortée au sud du Cap, Michel Desjoyeaux, le skipper de «Foncia» attaque sa saison sur le Léman à la barre d'un catamaran Décision 35. Totalisant plus de 25 victoires - dont deux extraordinaires «Vendée Globe» en 2001 et 2009 -, le Finistérien est l'un des marins en solitaire les plus titrés. Au moment d'entamer le Championnat lémanique des grands multicoques, il nous livre ses impressions de navigateur «lacustre».
Michel Desjoyeaux, vous êtes sur le Léman pour toute la saison. Après vos déboires à la Barcelona World Race, vous repartez sur de nouvelles bases?
Pas du tout, ça reste du bateau à voile. Changement de support, oui, même si j'ai déjà une expérience en D35: trois Bol d'Or et une fois Genève-Rolle-Genève.
Vous vous entraînez depuis quelques jours sur le lac. Vos premières impressions?
Je connaissais le Léman pour ses vents faibles. Il y a un proverbe marin qui dit: «Va là où il n'y a pas de vent, parce que le temps que tu y arrives, il y en aura!» Ça veut tout dire.
Le Léman n'est pas trop ennuyeux pour un marin océanique?
Aucun problème. Ça reste de la navigation. Ici, c'est sympa parce que c'est de l'eau douce et lorsqu'on en prend plein la figure, on n'a pas les yeux qui piquent.
Alors, naviguer ici, c'est plus cool?
Non pas du tout, venez à bord. Les conditions lémaniques réclament une navigation très précise. Ces bateaux sont très nerveux et bien adaptés au lac. Lorsque le vent rentre, il faut savoir réagir très vite et rester concentré.
Comment appréhendez-vous cette saison de championnat en D35?
Je sais qu'il y a un très bon niveau. Je suis plus à l'aise quand il y a du vent, mais il va bien falloir que j'apprenne à faire avec moins. A la fin du week-end au large de Genève, on aura identifié les cadors du circuit. En résumé, on a hâte d'en découdre.
Comment considérez-vous les marins suisses?
Je ne fais pas de différence entre marin d'eau douce et marin d'eau salée. Il y a ici des gens qui ont une expérience de plusieurs années sur ces multicoques. Ce sont de véritables références. Sur un lac ou au milieu des océans, pour moi, c'est pareil.
Voyez-vous cette saison comme un bon terrain d'entraînement pour les MOD 70 (série de trimarans océaniques construits par Stève Ravussin)?
Ce championnat est déjà une belle compétition en soi. Il nous faudra être à la hauteur de ce qu'a fait Alain Gautier sur «Foncia» la saison passée. Etre dans le coup tout de suite. Ça me permettra de me remettre à niveau en multicoques. On touchera le MOD 70 fin août. Tout ou partie de l'équipage du Décision 35 sera reconduit dans ses fonctions sur le MOD 70 à la fin de la saison.
Qu'est-ce que vous préférez: mono ou multi?
J'ai toujours aimé les deux. Mais au niveau du spectacle, le multi, c'est ce qu'il y a de plus drôle, de plus rapide et de plus spectaculaire.
CYCLISME
Ils rêvent d'une étape
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Johann Tschopp (28 ans) et Danilo Wyss (25 ans), les deux Romands de l'équipe BMC, s'élancent dans un Giro à la difficulté extrême avec le même objectif.
Laurent Guyot - le 06 mai 2011, 21h20
Le Matin
Tour d'Italie
Turin
Les deux font la paire. Johann Tschopp et Danilo Wyss se sont même retrouvés à Martigny pour rallier dans la même voiture leur premier hôtel de la course en rose. Le Valaisan et le Vaudois ont aussi en commun un objectif identique au moment de prendre le départ de la 94e édition du Tour d'Italie. Celui de gagner l'une des 21 étapes d'un Giro comprenant 11 étapes plates ou très peu accidentées, 6 arrivées en altitude, un chrono par équipes, un en côte et un contre-la-montre final à Milan. Toutefois, les deux Romands ne risquent pas de s'affronter dans un duel fratricide pour la conquête d'un bouquet réservé au vainqueur.
Le plus montagneux
Le grimpeur de Miège vise la répétition de l'exploit réussi le 29 mai 2010. Une chevauchée solitaire qui lui avait permis de gagner l'étape reine de l'épreuve jugée au Passo Tonale après avoir déjà franchi en tête le Gavia. «Je ne suis pas près d'oublier cette journée. Et j'aimerais bien sûr le rééditer cette année. Le Tour d'Italie est de loin le plus montagneux des trois grands tours. Il me semble devenir de plus en plus dur au fil des ans. Ce qui n'est pas pour me déplaire même si je n'ai pas encore retrouvé toutes mes sensations après la mauvaise grippe connue au mois de mars. Heureusement le Tour de Romandie est venu me rassurer.» Presque «un vieux», comme le dit l'intéressé en rigolant, en raison des sept «monuments» (4 Giro, 2 Tours de France, 1 Vuelta) à son actif, Johann Tschopp parle de sa force. «Je préfère les difficultés supérieures. Plus c'est haut, mieux je me sens. Dès que nous dépassons les 2000 mètres, je me trouve vraiment à l'aise. La haute montagne, c'est mon truc.»
Sueur et douleurs
Danilo Wyss ne tient pas vraiment les mêmes propos. Les 40 cols au programme du Giro lui offriront sueur et douleurs. Le citoyen d'Orbe parle d'un chemin de croix à gérer de la même façon que lors de son baptême du feu reçu voici une année dans un tour de trois semaines. «Je ne pars pas dans l'inconnu. De plus cette année, l'absence d'un chef de file comme Cadel Evans (5e en 2010 à 3' 27" d'Ivan Basso) change la donne. Nous disposerons de plus de liberté au moment de prendre une échappée. Raison pour laquelle je me fixe une victoire d'étape comme but. Tout en sachant que nous serons, tout à l'heure au départ du chrono par équipes, autant de coureurs à rêver de lever les bras sous la banderole d'arrivée.»
Celui qui compte deux succès (étapes aux Trois-Jours du Vaucluse 2007 et au Tour de Beauce 2009) à son palmarès sait que son jour de gloire s'apparentera à une arrivée au sprint. «Le travail effectué toutes ces dernières années pour un chef de file m'a permis de progresser. Je suis convaincu d'avoir encore franchi un palier à l'entre-saison. J'ai pu le voir notamment lors de Paris-Nice (4 fois dans le top 15).» Satisfait du joli succès de Cadel Evans dans le récent Tour de Romandie, le Vaudois sait que tout ne sera pas facile sur les routes italiennes. «Je vais devoir m'accrocher. Mais je suis bien dans ma tête. Avec un peu de fraîcheur et en restant calme dans les moments chauds, je peux tirer mon épingle du jeu lors de l'emballage.»
tennis
Revoilà Federer face au mur Nadal
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Roger Federer a passé l’obstacle Söderling et gagné le droit d’affronter Rafael Nadal sur sa terre.
Le Bâlois s’est qualifié pour les demi-finales en battant Söderling 7-6 6-4. Il retrouvera l’Espagnol pour une 24e confrontation.
le 06 May 2011, 23h13
LeMatin.ch & les agences
Masters 1000 Madrid
Roger Federer a gagné le redoutable droit de défier Rafael Nadal en demi-finale du Masters 1000 de Madrid. Le Bâlois a en effet sorti son bleu de travail pour venir à bout de Robin Söderling 7-6 6-4 en 1 h 41. Il passera aujourd’hui, dès 16 h, à l’épreuve de vérité contre l’intouchable No 1 mondial.
Bousculé par le cogneur de Tibro, Federer (No 3) a tout d’abord misé sur son talent pur pour rester à flot, lui qui n’a marqué que 2 points sur les 20 premiers disputés sur l’engagement du Suédois (3 jeux blancs). S’il a pu garder la tête hors de l’eau, le Bâlois le doit à l’agilité de sa main, symbolisée par plusieurs amortis aussi déroutants que décisifs.
Passé l’effet de surprise, Federer a dû hausser son niveau pour faire face à la lourde frappe de son puissant adversaire. D’une solidité à toute épreuve en coup droit, dans le tie-break surtout (7/2), le Bâlois a peu à peu pris l’ascendant dans un match qui l’avait vu jusque-là courber l’échine sur la majorité des échanges longs.
Nadal expéditif
Federer s’est offert s’une 16e victoire en 17 confrontations contre Söderling et un 24e duel contre Rafael Nadal. L’Espagnol a une fois de plus connu une journée tranquille sur cette terre qu’il affectionne tant. Opposé pour la première fois sur le circuit ATP à Michael Llodra, le No 1 mondial s’est littéralement promené, s’imposant 6-2 6-2 en 1 h 15.
Sans concéder la moindre balle de break et remportant 61% des points disputés (69/44), le gaucher a cueilli son 36e succès de rang sur ocre, dont 11 cette saison après ses victoires à Monte-Carlo et à Barcelone. Une chose est sûre, il faudra un Federer en état de grâce pour venir à bout du Majorquin, dont le lift gicle encore plus qu’ailleurs en raison de l’altitude.
Toujours largement mené au bilan des confrontations directes (15-8), le Bâlois reste sur une défaite mortifiante face à Nadal, en demi-finale du Masters 1000 de Miami au début du printemps (6-3 6-2). Battu l’an dernier en finale à Madrid par son successeur sur le trône de l’ATP, Federer pourra peut-être puiser dans ses souvenirs afin de réussir l’exploit. Il avait en effet dompté le taureau lors de la finale dans la capitale espagnole en 2009. Un triomphe qui avait posé les jalons de son unique sacre à Roland-Garros quelques semaines plus tard…
boxe
Marvin Hagler le «Merveilleux»
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Le légendaire boxeur américain est de passage à Genève. Souriant et détendu, il se confie au «Matin».
Laurent Donzel - le 06 May 2011, 22h15
Le Matin
Champion du monde
Genève
«Mon meilleur souvenir durant ma carrière de boxeur? Le jour où j'ai arrêté!» Marvin Hagler éclate de rire. «Non, sérieusement, le fait d'avoir atteint mes objectifs en boxe et d'avoir arrêté en bonne santé, c'est ce que j'ai fait de mieux.» Surnommé «Marvelous Marvin Hagler» (le merveilleux, l'extraordinaire), le natif du New Jersey est une légende. Sans doute le meilleur poids moyen de l'histoire.
Avec une formidable puissance, une fantastique technique et une agressivité notoire, le gaucher en or a régné sans partage sur le titre mondial unifié (IBC/WBC/WBA) de 1980 à 1987. Il ne connaît la défaite que face à Sugar Ray Leonard dans un combat fantastique, avec une décision arbitrale controversée par beaucoup. Très déçu, il arrête peu après la compétition. Et son refus du verdict est toujours là: «Ils peuvent m'avoir retiré le titre, mais pas le sentiment que j'ai gagné du coeur , dit-il en posant sa main sur sa poitrine. Et Leonard le sait aussi au fond de lui que j'ai gagné.»
Gant en or au cou
Training élégant et gant de boxe d'or autour du cou il sourit, détendu, et répond aux dernières questions de la télévision dans le salon d'un bel hôtel genevois. Il commande un thé chaud. De sa voix grave et un peu éraillée, il lance un aimable «merci beaucoup» à la serveuse. Avant de plaisanter en italien, car l'Américain est aussi Milanais depuis plusieurs années.
Apaisé, le champion a l'habitude des médias et des caméras. Son combat aujourd'hui, c'est d'être acteur. «J'aime tourner dans des films. C'est mon nouveau défi. Le jeu d'acteur, ce n'est pas la réalité. Mais si je peux mettre dans le cinéma les ingrédients que j'avais dans ma boxe, je pense que je connaîtrai le succès.»
Les ingrédients de sa boxe? La passion et une méthode d'entraînement, totalement spartiate dans des quartiers et immeubles vides. Elle fut fameuse à l'époque. «C'était comme se mettre soi-même en prison: sans femmes, ni discothèque, sans distraction aucune, coucher tôt et lever tôt. J'ai appris ça d'un autre champion Rocky Marciano. Les gens osent parfois croire que c'est facile, mais le chemin est long et rude. Il faut se préparer physiquement et aussi mentalement.»
Et, surtout, il faut avoir l'amour de ce sport. «Love» carrément, comme il le dit. «La première fois que j'ai enfilé des gants, j'ai ressenti de la passion, se souvient-il. Au début, tu essaies d'imiter des modèles, comme Muhammad Ali. Jusqu'à ce que tu saches qui tu es. C'est vraiment important d'apprendre à être soi-même. Et également de penser par soi-même.» Se rapprocher de soi-même, et trouver également son style. «Mon style? Je le définirais entre le pitt-bull et le doberman», rigole-t-il. Une présence sur le ring donnant des combats qui font partie de l'histoire de la boxe. Sa rencontre le 15 avril 1985 face à Thomas Hearns à Las Vegas est surnommée «The War» (la guerre). Un match d'une intensité exceptionnelle où les deux hommes se sont livrés sur un rythme de fou.
Huit minutes sont suffisantes à «Marvellous» pour mettre k.-o. son adversaire. Thomas Hearns a la main cassée: «C'est vrai que j'ai le crâne dur», sourit Marvin Hagler. «Mais je reconnais que j'ai toujours des frissons quand je vois des images de ce match.» Pour «The War», les cachets se sont montés à plus de 5 millions de dollars par combattant. «The Marvelous» est au milieu des années 1980 le sportif le mieux payé de la planète. «Mais avec les années, on voit que l'argent n'est pas essentiel. La santé reste primordiale», constate le quinquagénaire. Aujourd'hui, le champion s'investit beaucoup pour aider les enfants et les jeunes. Lui qui connut une enfance difficile s'estime chanceux. Il veut donner «quelque chose en retour aux enfants».
«Pour moi les deux choses principales sont le sport et l'éducation, explique l'Américain. Dans la «Fondation pour le sport des enfants», nous sommes 46 athlètes volontaires, dont Boris Becker, Edwin Moses, Michael Johnson, qui voyageons dans le monde. Nous nous rendons en Afrique du Sud. Les enfants sont formidables: ils apprennent avec plaisir et développent des jeux incroyables.»
Père de plusieurs enfants, il partage sa vie entre les Etats-Unis et Milan, où il vit avec sa femme italienne. «J'aime ce pays, parce que je trouve que les Italiens ont un grand coeur. Mais c'est un autre challenge que de comprendre leur culture. Parler leur langue, c'est aussi un défi!» ( Il rit en agitant les mains «à l'italienne» .)
Le Panthéon des sports et arts martiaux organise ce soir un dîner de gala avec Marvin Hagler à l'Hôtel du Rhône, à Genève..
Rens: www.championspantheon.com (http://www.championspantheon.com)
Automobilisme
Fernando Alonso chante sous la pluie
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Fernando Alonso: «Dans la voiture, je sentais bien que nous avions plus d’adhérence».
De nouveaux ailerons, de nouvelles écopes de freins, et l’Espagnol se sent de nouvelles ambitions. Hier matin, sous la pluie d’Istanbul, il a signé le meilleur chrono des premiers essais libres.
Luc Domenjoz - le 06 May 2011, 22h22
Le Matin
GP de Turquie
Alors que le soleil écrase l’ouest de l’Europe, le temps devrait rester pluvieux tout au long du week-end dans la région d’Istanbul.
Hier matin, les F1 ont ainsi tourné pour la première fois de la saison sur une piste détrempée, ce qui leur a donné l’occasion d’évaluer les pneus pluie Pirelli. Chez Ferrari, cette première séance constituait aussi le baptême du feu des nombreuses modifications alignées ce week-end par la Scuderia («Le Matin» d’hier), comportant notamment de nouveaux ailerons avant et arrière ainsi que de nouvelles écopes de freins.
Au terme de cette première séance, Fernando Alonso s’est hissé tout en haut du classement, des débuts encourageants pour Ferrari. «Bien sûr, nous avons fait un pas en avant, mais il est encore difficile de l’estimer exactement», tempère pourtant le double champion du monde espagnol. «Dans la voiture, je sentais bien que nous avions plus d’adhérence, mais il est difficile de dire d’où cette sensation provient. En plus, l’écurie Mercedes semble vraiment avoir progressé ici, et les Renault ont aussi l’air rapides.»
L’après-midi, sur piste sèche, les McLaren et les Mercedes ont en effet tenu le haut du classement.
Jérôme D'Ambrosio pénalisé de cinq places sur la grille
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Jérôme d'Ambrosio (Virgin) sera pénalisé de cinq places sur la grille du Grand Prix de Turquie de Formule 1 dimanche pour n'avoir pas ralenti comme les commissaires de pistes le lui demandaient lors des deuxièmes essais libres vendredi après-midi, a indiqué la Fédération internationale de l'automobile (FIA).
Les drapeaux jaunes ignorés par D'Ambrosio ont été agités alors que le Vénézuélien Pastor Maldonado (Williams) était sorti de piste en fin de séance. Cette pénalité condamne avec quasi-certitude le Belge, dont la Virgin est notoirement sous-performante, à partir du dernier rang sur la grille dimanche. Jérôme D'Ambrosio a signé les 19e et 20e temps des deux séances d'essais libres de vendredi.
Mourinho prend 3 matches fermes et 1 avec sursis
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© ap
L'instance disciplinaire de l'UEFA a infligé vendredi trois matches de suspension ferme et un avec sursis, dans ses compétitions européennes, à l'entraîneur du Real Madrid José Mourinho pour ses déclarations sur un arbitrage trop favorable à Barcelone à son goût.
Les "déclarations inappropriées" reprochées à Mourinho remontent au 27 avril après la demi-finale aller de Ligue des champions perdue par le Real à domicile face au Barça (2-0). Son sursis court pendant trois ans. Le technicien portugais est également condamné à une amende de 50.000 euros.
"Pourquoi arrive-t-il toujours la même chose à chaque demi-finale? Je ne sais pas si c'est pour l'Unicef (le sponsor maillot du Barça), je ne sais pas si c'est le pouvoir de M. Villar (président de la Fédération espagnole de football et président de la commission des arbitres à l'UEFA). Je ne comprends pas", avait feint de s'interroger le Portugais, après avoir été exclu lors de ce match.
Adepte des joutes verbales, Mourinho a sans doute payé ses écarts à répétition et les provocations multiples dont il a le secret.
;)Va lui faire que du bien a ce gonflé....:langueŽ:
Omega Pharma-Lotto lancera le Giro 2011
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© belga
Omega Pharma-Lotto aura l'honneur de lancer le Tour d'Italie 2011. La formation belge sera, à 15h50, la première équipe à s'élancer lors du contre la montre par équipes de 19,3 km qui marquera le début du Giro, samedi à Turin. Quick Step sera une des dernières équipes à partir, à 17h06. Movistar sera la dernière à 17h18.
Ordre de départ:
15h50 Omega Pharma-Lotto
15h54 Katusha Team
15h58 Team Astana
16h02 Androni Giocattoli
16h06 Colnago-CSF Inox
16h10 Acqua&Sapone
16h14 Euskaltel-Euskadi
16h18 Rabobank
16h22 Team Sky16h26Geox-TMC
16h30 Farnese Vini-Neri Sottoli
16h34 Saxo Bank-Sungard
16h38 BMC Racing Team
16h42 HTC-Highroad
16h46 Team Garmin-Cervelo
16h50 Lampre-ISD
16h54 Liquigas-Cannondale
16h58 Team Leopard-Trek
17h02 AG2R-La Mondiale
17h06 Quick Step
17h10 Vacansoleil-DCM
17h14 Team RadioShack
17h18 Movistar Team
FOOTBALL
Le manager est fidèle à Manchester United depuis 1986
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Sir Alex Ferguson a connu les plus grands succès avec Manchester United.
Après 25 ans, Sir Alex Ferguson n’en a même pas marre! Les débuts avec le prestigieux club d’Old Trafford n’ont pas été faciles. Mais, depuis 1991, il vole de succès en succès.
Renaud Tschoumy Manchester - le 07 mai 2011, 23h39
Le Matin Dimanche
6 novembre 1986. Cette date ne vous dit rien? C’est tout simplement ce jour-là que l’Ecossais Alex Ferguson, qui ne savait pas encore qu’il allait devenir Sir, a été nommé manager de Manchester United.
L’homme s’était certes forgé un palmarès avec Aberdeen (trois titres, quatre Coupes d’Ecosse et une Coupe des vainqueurs de Coupe en battant Real Madrid en finale), mais il était à des lieues de penser, à ce moment-là, qu’il allait devenir ce qu’il est aujourd’hui. Un personnage incontournable du football européen et mondial. Un mythe.
Une période sombre
Ferguson, qu’on surnommait «Furious Fergie» à Aberdeen en raison de sa discipline stricte, s’est donc couvert de lauriers à Old Trafford. Mais tout n’a pas été rose dans un premier temps. Durant la saison 1989-1990 par exemple, nombreux furent ceux qui ont demandé sa démission. Il parle de cette période comme de «la plus sombre» de sa carrière. «C’est en tout cas celle qui m’a fait le plus souffrir.» Il sauve sa peau en éliminant Nottingham Forest au troisième tour de la Cup, et United va dans la foulée gagner en finale, le premier grand titre de Fergie avec les Red Devils.
La saison suivante, United remportait la Coupe des vainqueurs de Coupe. Le train était lancé. La légende naissante allait être renforcée par la conquête du titre en 1993, moment attendu depuis 26 ans par les supporters rouges. Depuis, Ferguson, qui a toujours su imposer son style – «Un manager va toujours être jugé sur ses résultats, mais il devrait aussi l’être sur les fondations qu’il bâtit ou la philosophie de jeu qu’il inculque» –, court de succès en succès. Il cherche cette année à récolter un douzième titre avec MU, ce qui ferait du club mancunien le recordman unique de victoires en Premier League (19). Et ce qui ne ferait qu’asseoir encore plus Sir Alex au panthéon du foot British.
Cantona, puis des gamins
Amoureux de la France, de ses vins et de sa cuisine, il l’est aussi de ses footballeurs. Il avait eu fin nez en arrachant Eric Cantona à Leeds United lors de la saison 1992-1993, celle de son premier titre. «Cantona? Un excellent footballeur, évidemment. Mais bien plus que cela: il est un des meilleurs achats que j’ai faits en termes d’impact général sur l’équipe et les supporters.»
Ferguson n’hésite pas non plus à faire confiance aux jeunes. Au milieu des années 90, il lance dans le bain les frères Neville, Scholes, Butt et un certain Beckham. La saison commence mal et la presse de boulevard se déchaîne: «Comment peut-on espérer gagner avec des gamins?». Mais, encore une fois, Ferguson tient bon.
En 1999, ces gamins offriront à Manchester et à son manager le rare triplé Ligue des champions-championnat-Cup. Les années passent, Manchester United occupe toujours le haut du tableau mondial, et Sir Alex est toujours là. Comme au premier jour. Aujourd’hui, MU peut faire un pas décisif vers sa 19e couronne en battant Chelsea. et dans un peu moins de trois semaines, il défiera Barcelone à Wembley. Presque à domicile.
La suite, la fin? Elle n’est pas prévue. «Tant que j’ai du plaisir, je continuerai», martèle Sir Alex. Et c’est ce qu’il fait depuis 25 ans.
FOOTBALL
Rencontre avec le manager de Manchester United
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Alex Ferguson
En marge de la présentation de la troisième édition spéciale de Hublot pour Manchester United, Alex Ferguson s’est confié au «Matin».
Renaud Tschoumy Manchester - le 07 May 2011, 23h36
Le Matin Dimanche
C’est à la veille du sommet de Premier League Manchester United - Chelsea que Jean-Claude Biver, patron de Hublot, a présenté la troisième édition spéciale de sa montre King Power à l’effigie du club d’Old Trafford (Hublot est montre officielle depuis 2008). Particularité de cette montre: des brins de vrai gazon d’Old Trafford en formeront les index horaires.
C’est donc au milieu de la pelouse du stade mythique de Manchester, et en présence de toutes les stars du club que s’est déroulée cette présentation. Sir Alex Ferguson (70 ans le 31 décembre prochain), entraîneur à succès du club mancunien, a accepté de se lâcher entre deux accolades à son ami Biver et quelques autographes.
Sir Alex Ferguson, vous portez une montre de luxe. Mais quelle est votre définition du luxe?
C’est ce que j’ai pu offrir une fois à quelques amis, sur ma terrasse, dans le sud de la France, où je vais me ressourcer. Pour moi, la définition du luxe, c’est la bouteille de Château Pétrus 1961 que j’ai ouverte ce jour-là. C’était au mois d’août, il y a quelques années. Oui, partager un grand cru, c’est quelque chose.
On est au centre d’Old Trafford. Que représente pour vous le gazon de ce stade, que l’on trouvera dans la nouvelle montre Hublot?
Le gazon, c’est la seule chose qui soit là depuis 1910 et l’arrivée de Manchester United en ce Théâtre des Rêves. C’est lui, le véritable témoin de l’histoire du club. Il est immuable. Les tribunes se sont transformées, le stade s’est agrandi, le club et le football dans son ensemble ont changé, mais le gazon, lui, est resté là.
Vous êtes entraîneur depuis 1974, mais, à chaque fois que votre équipe marque, on a l’impression que c’est le premier but que vous célébrez devant votre siège.
D’où vous vient cette joie si communicative?
(Il rigole.) Oh, vous savez, je ne suis pas toujours content de mon équipe. Mais il se trouve qu’en football, seul le résultat compte. Je parviens donc à m’enthousiasmer pour un but décisif marqué dans les dernières minutes, tout en pensant au plus profond de moi que je ne suis pas content de la performance de mes joueurs.
Les joueurs, justement. Si vous ne deviez n’en citer que trois que vous avez eus sous vos ordres à Manchester, de qui s’agirait-il?
Sans hésitation, je vous réponds Scholes, Giggs et Phil Neville. Ces trois-là ont créé, écrit l’histoire du nouveau Manchester United. Ils sont les garants de la norme MU pour toutes les jeunes générations, actuelles ou futures.
Ce dimanche après-midi, c’est Chelsea qui débarque à Old Trafford. Une victoire rapprocherait Manchester de son 19e titre national, ce qui serait un record, mais Chelsea, qui comptait quinze points de retard à moment donné, n’en a plus que trois. Votre avis?
Je ne sais pas combien nous avons possédé d’avance à un moment donné. C’est égal. La place que nous occupons aujourd’hui est exactement celle… qui est la nôtre. Ce qui s’est passé dimanche passé, il y a quatre semaines, il y a quatre mois ou il y a quatre ans, tout cela ne compte plus. Nous sommes où nous sommes, point. Il nous reste trois matches, nous avons trois points d’avance, et nous jouons encore deux fois à la maison. Rien ne peut changer la réalité des chiffres.
Votre sentiment avant ce match?
Je sens que ce groupe fantastique est capable d’aller chercher le titre, comme il peut remporter la finale de la Ligue des champions (ndlr: le 28 mai contre Barcelone). Ces garçons sont pleins d’envies et de détermination. Et puis ils ont si souvent su forcer le destin et se créer le leur…
Tennis
Madrid: Nadal-Djokovic, la finale rêvée sur terre battue
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L’Espagnol et le Serbe planent sur le tennis mondial en ce début de saison.
Sur le même sujet
Madrid: Nadal élimine Federer en demi-finale (http://www.forum-motogp.com/sports/tennis/madrid-nadal-elimine-federer-demi-finale-406932)
Madrid: Novak Djokovic qualifié pour la finale contre Nadal (http://www.forum-motogp.com/sports/tennis/madrid-novak-djokovic-qualifie-finale-contre-nadal-406977)
Une finale très attendue au tournoi de Madrid se tiendra dimanche entre le N.1 mondial Rafael Nadal et son premier challenger Novak Djokovic.
le 07 May 2011, 22h58
LeMatin.ch & les agences
La finale tant attendue au tournoi de Madrid entre le N.1 mondial Rafael Nadal et son premier challenger Novak Djokovic aura bien lieu dimanche, mais elle fut très longue à se dessiner, les deux joueurs ayant éprouvé d’immenses difficultés samedi pour se qualifier.
L’Espagnol et le Serbe planent sur le tennis mondial en ce début de saison. Cette finale sera la troisième les opposant en 2011, après celles de Miami et Indian Wells, deux Masters 1000 comme Madrid, remportées par Djokovic. Une donnée sera cependant cette fois-ci différente: au revêtement en dur des deux tournois américains succède la terre battue madrilène. Et jamais encore le N.2 mondial n’a battu Nadal sur cette surface, en neuf tentatives.
La dernière fois, toutefois, le coup n’est pas passé loin. C’était en 2009, à Madrid déjà. Le Serbe s’était incliné en 4 h 03 et trois sets 3-6, 7-6, 7-6, après avoir eu trois balles de match, au terme d’une partie considérée comme l’une des plus marquantes de la décennie. "C’est super pour le tournoi, super pour nous. Nous attendons tous les deux ça avec impatience", a estimé Djokovic, au sortir d’une victoire difficilement arrachée aux griffes de l’étonnant brésilien Thomaz Bellucci, 36e mondial, 4-6, 6-4, 6-1. "Je ne pense pas trop à ça", a-t-il ajouté en référence au fait qu’il n’ait jamais battu Nadal sur terre. "Je pense à le battre. Il est le défi ultime sur terre. Je dois croire en moi."
Contre Bellucci, le Serbe a tremblé comme rarement cette saison avant de préserver son invincibilité, avec une 31e victoire consécutive en 2011, soit le meilleur début de saison jamais réalisé depuis John McEnroe en 1984 (42 succès de rang). Avant Madrid, jamais Bellucci n’avait dépassé les 8e de finale d’un Masters 1000. Et il n’avait battu qu’un top 10 (Fernando Verdasco en février à Acapulco).
Quelques heures plus tôt, après une émouvante minute de silence à la mémoire de Severiano Ballesteros le golfeur espagnol décédé le matin même, Nadal avait ajouté un volet à la saga de ses matches avec son éternel rival Roger Federer.
A l’issue de cette 24e confrontation entre deux joueurs qui ont remporté 21 des 24 derniers titres du Grand Chelem (12 pour Federer, 9 pour Nadal), le N.1 mondial a confirmé qu’il restait au-dessus sur terre battue.
Mais Roger Federer, dominé 5-7, 6-1, 6-3, n’a pas tout perdu dans ce match qui a basculé sur des détails. Il a bousculé le tenant du titre, qui n’a toujours pas perdu une demi-finale sur terre battue depuis 2003.
Vainqueur cette année des tournois de Monte-Carlo et Barcelone, l’Espagnol a enchaîné sur une 37e victoire de suite sur cette surface, soit une invincibilité de quasiment deux ans. "Bien entendu Novak peut me battre. Il l’a fait les deux dernières fois (à Indian Wells et Miami, Ndlr)", a convenu Nadal. "Je ne pense pas que ça l’affectera de ne m’avoir jamais battu sur terre." La finale dames mettra aux prises la Bélarusse Victoria Azarenka et la Tchèque Petra Kvitova, deux des stars en devenir du tennis féminin, à chacune 21 ans.
Azarenka, victorieuse en demi-finale de l’Allemande Julia Görges 6-4, 6-2, est assurée de figurer à la 4e place du classement WTA lors de sa prochaine publication lundi. Kvitova, qui a surclassé la Chinoise Li Na (N.6) 6-3, 6-1, la finaliste de l’Open d’Australie cette année, intègrera elle le Top 10 pour la première fois.
Football
Paris SG grappille, Bordeaux s’éparpille
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Mevlut Erding, à gauche, célébre sa victoire avec l'entraîneur du PSG Antoine Kombouare.
Au Cha,pionnat de France, le Paris SG, avec un nul arraché samedi 1 à 1 à Monaco, a grappillé un point et pris seul la 3e place, tandis que Bordeaux a été humilié sur sa pelouse contre Sochaux (4-0).
le 07 mai 2011, 22h18
LeMatin.ch & les agences
Le Paris SG, avec un nul arraché samedi 1 à 1 à Monaco, a grappillé un point et pris seul la 3e place, provisoirement en attendant le choc Lyon-Marseille dimanche, tandis que Bordeaux a été humilié sur sa pelouse contre Sochaux (4-0), lors de la 34e journée du championnat de France.
Le match le plus attendu de ce samedi pour la tête du classement, Nancy-Lille, aura lieu plus tard dans la soirée (coup d’envoi 19h00 GMT). Pour rappel, Lille, leader, possède pour l’instant un point d’avance sur Marseille, son dauphin.
Le PSG a donc un petit point d’avance sur Lyon en attendant "l’olympico" entre OL et OM dimanche. Le club de la capitale a souffert en première période, payant la gestion de l’effectif d’Antoine Kombouaré qui avait laissé sur le banc au coup d’envoi Sakho, Giuly et Hoarau.
Egalisation par Erding
Kombouaré doit en effet gérer un calendrier consistant avec un match avancé de la 35e journée mardi au Parc des Princes contre Nancy, avant sa finale de Coupe de France samedi prochain contre Lille au Stade de France. Sakho aurait sans doute été utile sur le but d’Adriano encaissé en première période. Le PSG a égalisé ensuite par Erding, qui n’avait plus marqué depuis le 29 janvier en championnat.
L’évènement de la soirée de samedi fut l’incroyable naufrage à Chaban-Delmas des Girondins de Bordeaux, avec 4 buts -- dont un doublé d’Ideye -- encaissés dans la première demi-heure! Impuissance et lassitude se lisaient sur le visage de Jean Tigana, écrasé dans son siège sur le bord du terrain. La course aux dernières places européennes se jouera sans doute sans les Bordelais, 9e.
Dans le bas du classement, Lens, 19e, est allé prendre un point à Caen (1-1), autre mal classé (15e avec 40 points). Le premier non relégable, Valenciennes qui reçoit Rennes dimanche, est à 8 points devant le RC Lens: un gouffre alors qu’il ne restera plus que 12 points en jeu après cette 34e journée disputée ce week-end.
Lens n’est pas le seul club à trembler: Monaco, 14e, ne possède que deux points d’avance sur le premier relégable, Nancy.
Auxerre s’est offert une victoire précieuse sur son terrain contre Montpellier (1-0). L’AJA passe de la 15e à la 12e place avec 42 points.
Nice, également dans le doute, 16e avec 40 points, ne s’est pas non plus rassuré (0-0) à Brest, 13e avec 42 points.
Pinotti en rose pour lancer le Giro
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7S7 mise à jour Comme un symbole de l'Italie, le champion national du "chrono" Marco Pinotti a revêtu le maillot rose de leader du Giro, samedi, à Turin, après le succès de son équipe HTC dans le contre-la-montre d'ouverture.
Devant une foule en fête estimée par les organisateurs à plusieurs centaines de milliers de personnes, à l'occasion du rassemblement des "alpini" (chasseurs alpins), le Giro a honoré sportivement le 150e anniversaire de l'unité du pays, thème récurrent de cette 94e édition.
Outre la prise de pouvoir de Pinotti, un Bergamasque de 35 ans qui compte à son palmarès cinq titres de champion d'Italie du "chrono", les deux candidats italiens au maillot rose ont réalisé une excellente opération comptable. L'équipe de Vincenzo Nibali (Liquigas) a pris la troisième place, celle de Michele Scarponi (Lampre) la sixième.
Tous deux ont surtout précédé le favori de la course, l'Espagnol Alberto Contador, dont la formation Saxo Bank s'est classée huitième de l'étape. Mais à quelques secondes seulement de Nibali et Lampre, un écart négligeable au regard de l'accumulation des difficultés à venir dans ce Giro hyper-montagneux.
Contador, qui affiche profil bas depuis son arrivée en Italie en se gardant de toute polémique, a gagné du temps en revanche sur ses autres adversaires. Sur les grimpeurs espagnols Joaquin Rodriguez et Igor Anton, peu avantagés par un parcours très rapide (55,186 km/h pour l'équipe victorieuse). Mais aussi sur le Russe Denis Menchov et le Tchèque Roman Kreuziger.
"Un très beau cadeau"
Menchov, vainqueur du Giro 2009, a lâché 23 secondes par rapport au Madrilène. Kreuziger a cédé 20 secondes, soit une performance sensiblement inférieure à celle des gabarits légers de l'équipe Androni (Serpa, Sella, Rujano), qui se sont situés en milieu de tableau (12e de l'étape), à 9 secondes seulement des Saxo Bank de Contador.
"C'est un très beau cadeau !", s'est félicité Pinotti, tout heureux de retrouver une tunique qu'il a déjà portée pendant quatre jours dans le Giro 2007. Mais l'Italien s'attend à devoir céder le maillot rose dimanche au terme de la deuxième étape, la plus longue de l'épreuve, entre Alba et Parme.
Le parcours de 244 kilomètres, qui relie la capitale de la truffe blanche à celle du jambon italien, s'annonce entièrement favorable aux sprinteurs. Entre autres à Mark Cavendish, le coéquipier de Pinotti, qui revient sur le Giro après un an d'absence.
En 2009, dans le précédent contre-la-montre par équipes disputé en ouverture du Giro, la formation de Cavendish s'était déjà imposée dans l'exercice, sur le lido de Venise, et le Britannique s'était habillé de rose.
Cette année, le rendez-vous n'a peut-être été différé que d'une journée, puisque "Cav" a franchi la ligne parmi les cinq premiers coureurs de HTC (avec Pinotti, Bak, Sivtsov et Lewis) et a été classé dans le même temps que Pinotti, héros de la fête sous le soleil du Piémont.
Vettel à nouveau en pole, D'Ambrosio bon dernier
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© reuters
Sebastian Vettel (Red Bull-Renault) a signé la pole position lors des qualifications du Grand Prix de Turquie de Formule 1, 4e épreuve du championnat du monde, samedi après-midi sur le circuit d'Istanbul. Le champion du monde en titre a signé sa 4e pole de la saison, en quatre courses, et la 19e de sa carrière. Il a réalisé lors du Q3 le meilleur temps en 1:25.049.
Il a très largement devancé (de 405/1000es de seconde) son équipier l'Australien Mark Webber qui partagera la première ligne dimanche (1:25.454). La deuxième ligne sera occupée par l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes), 3e chrono en 1:25.574, et le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), 4e en 1:25.595.
L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), en 1:25.851, et le Britannique Jenson Button (McLaren-Mercedes), en 1:25.982, 5e et 6e, s'élanceront de la 3e ligne. Au classement provisoire du championnat, Vettel compte 68 points. Il précède Hamilton (47), Button (38), Webber (37) et Alonso (26).
Jérôme D'Ambrosio (Virgin-Cosworth) a signé le 20e temps du Q1, la première partie des qualifications du Grand Prix de Turquie de Formule 1, 4e épreuve du championnat du monde, samedi après-midi sur le circuit d'Istanbul. Son meilleur tour a été chronométré en 1:30.445.
D'Ambrosio pointe à 3.432 secondes du meilleur temps signé dans le Q1 par le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) en 1:27.013. L'équipier de D'Ambrosio Timo Glock s'est classé 22e en 1:30.813, mais s'élancera de la 21e place puisque notre compatriote a été pénalisé de cinq places sur la grille pour n'avoir pas ralenti comme les commissaires de pistes le lui demandaient lors des deuxièmes essais libres vendredi après-midi.
D'Ambrosio s'élancera donc de la dernière place de la grille. Pour être qualifié les pilotes ne devaient pas dépasser les 107% du chrono de Massa (1:33.103).
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