Pour Ago, je ne sais pas mais Reed comme tous les pilotes de cette époque (ou presque) était d'un abord très facile. Moins sollicités, c'est vrai mais comme l'accès au parc à coureurs était beaucoup plus facile, ils étaient quand-même bien emmerdés par le public et ils l'acceptaient joyeusement.
Je ne parle même pas des privés qui, si tu parlais leur langue entamaient la conversation