Petit florilège:
Un jeune marié rentre le soir chez lui, et sa femme lui saute au cou en lui disant:
-Chéri, j'ai une grande nouvelle! Je suis en retard d'un mois! J'ai fait le test chez le docteur aujourd'hui, mais tant qu'on n'aura pas de certitude, on n'en parle à personne...
Le lendemain, un contrôleur de l'EDF sonne chez elle:
-Vous êtes bien madame Durand? Madame, vous avez un mois de retard.
-Comment le savez-vous? balbutie la jeune femme.
-Mais, madame c'est inscrit sur nos registres.
-Mais qu'est-ce que vous dites? C'est inscrit... sur vos registres?
-Absolument.
Le soir elle raconte tout cela à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain aux bureaux de l'EDF
-Qu'est-ce que c'est que cette histoire? hurle-t-il. Vous inscrivez sur vos registres que ma femme a un mois de retard? De quoi vous mêlez-vous?
-Ecoutez, dit le contrôleur, calmez-vous, ce n'est pas bien grave. vous n'avez qu'à l'acquitter et on n'en parle plus.
-La quitter? Il n'en n'est pas question! Je ne la quitterai jamais! Ni maintenant ni plus tard!
-Dans ce cas je vous préviens, si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper.
-Quoi? Me la couper? Mais qu'est-ce que fera ma femme?
-Je ne sais pas... Elle n'aura qu'à se servir d'une bougie!
Un chômeur marche le long d'un canal. Soudain, il entend des appels au secours et aperçoit un homme en train de se noyer. Il lui crie:
-Comment t'appelles-tu?
-Dubois, Maurice Dubois! je ne sais pas nager, aidez-moi!
-Tu travailles où?
-A la cimenterie à côté. Sauvez-moi!
Sans répondre, le chômeur court jusqu'à la cimenterie, demande à voir le chef du personnel, et lui dit:
-Vous avez un certain Maurice Dubois chez vous? Eh bien, il est mort. Je voudrais sa place...
-Ah, vous arrivez trop tard.
-Mais c'est impossible! Il vient juste de se noyer dans le canal! A qui auriez-vous donné la place?
-A celui qui l'a poussé...
Mon histoire est, je l'avoue, difficile à croire. Je ne suis qu'un modeste curé de campagne. Pendant des années, j'ai consacré tout mon temps à mes ouailles, assurant ponctuellement les messes, les mariages, les baptêmes et les enterrements. Un jour, alors que je traversais la route séparant la cure de l'église, j'aperçus au milieu de la chaussée une pauvre petite grenouille égarée qui risquait de se faire écraser. Je la pris délicatement dans ma main, et je la ramenai à la cure où je lui donnai de l'eau et quelques feuilles de salade. C'est alors, ô miracle, que la petite grenouille se mit à parler. "J'ai été victime d'un maléfice, dit-elle. En te penchant sur mon sort, tu as commencé à rompre l'enchantement et tu m'as déjà rendu la parole . Si maintenant tu me mets dans un bon lit bien chaud, je redeviendrai un joli petit garçon."
Et c'est ainsi, messieurs les jurés, que tout a commencé...
Alors qu'il passe à 100 à l'heure devant une asile d'aliénés, un automobiliste perd une roue. Il réussit à s'arrêter miraculeusement sans dommage, récupère sa roue, mais les 4 boulons, qui ont giclé dans la nature, sont introuvables.
Dans l'incapacité de remonter sa roue, le conducteur reste là, les bras ballants. Au bout d'un certain temps, un homme qui a suivi toute la scène d'une fenêtre de l'asile lui crie:
-Vous n'avez qu'à retirer un boulon sur chacune des 3 autres roues, et vous repartirez avec 3 boulons à chaque roue! En roulant doucement, vous pourrez atteindre le prochain garage...
-Je n'y aurais jamais pensé, fait l'autre admiratif. Vous faites quoi ici?
-Je suis pensionnaire depuis 10 ans.
-Hein? Je ne vous crois pas!
-Si je suis fou. Mais moi, je ne suis pas con...