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La Fiat 500L s’agrandit et s’offre deux autres portes

Nouveauté

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Pour un peu, la petite 500 originelle, née voici cinquante-cinq ans, pourrait entrer dans le coffre de la nouvelle venue, affublée d’un «L» comme «Large». Même l’armoire longue de 2,40 m y trouve place.
Par Gil Egger. Mis à jour le 05.08.2012

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Les concepteurs n’ont pas voulu garder trop de signes distinctifs de la 500. Ils désiraient créer une nouvelle identité. Certes, mais est-elle séduisante? A vous de juger!

Fiche technique

Fiat 500L 1,4 16v FIRE

Dimensions (L × l × H) 4,15 × 1,78 × 1,66 m
Empattement 2,61 m
Places 5
Coffre 343 l (400 l sièges arrière avancés,
1310 l pliés)
Poids 1245 kg
Prix 24 800 fr. (versions Pop), 26 900 fr. (version Lounge). (TwinAir dès 18 900 fr., prime de lancement 2000 fr. déduite)

Moteur

Cylindres 4
Cylindrée 1368 cm3
Boîte Manuelle à 6 rapports
Chevaux (kW) 95 (70)
Couple maxi 127 Nm

Aides à la conduite

Drive Live (conseils pour améliorer la consommation), City Drive (direction assistée Dual Drive), ESC (ABS + EBD-contrôle de trajectoire), aide au démarrage en côte, antipatinage.

Performances

Vitesse max. 170 km/h
0-100 km/h 12’’8

Consommation

Mixte normalisée 6,2 l/100 km
Emissions de CO2 145 g/km
Etiquette énergie D
Autres versions 0.9 l TwinAir essence de 105 ch, 1,3 l 16 V Multijet diesel de 85 ch. Puis une Tracking contrôlant la traction en terrain difficile, une 4×4 plus tard encore, et une sept places.

Garantie

3 ans et Top Mobilité 24/24


Une avalanche de «cinq» marque l’arrivée d’un nouveau modèle important pour Fiat: (FIAT3.9843.89%) cinq ans que la nouvelle 500 est née, cinquante-cinq pour son ancêtre. Et voici la première cinq portes de la gamme, qui comprend un cabriolet et des versions sportives Abarth. C’est dans le trafic qu’on voit à quel point la taille de la 500L est différente. Dans les rues de Turin, elle a l’air aussi haute que la BMW X3 à côté de laquelle elle roule. En revanche, elle n’a pris que 8 cm en longueur, et de profil elle ressemble à un monospace compact. D’ailleurs, quand on s’étonne de la gestion des sièges, un responsable de la marque nous avoue que le fait de plier les sièges arrière d’une main préfigure le besoin d’un accès à deux places supplémentaires… Il y aura donc une version à sept places, encore plus longue que les 4,15 m de celle-ci.
Coffre très malin
La conception a répondu à plusieurs exigences. Le «test Ikea» pour commencer, avec un paquet long de 2,40 m. Doublé de la possibilité d’emporter un frigo. Le «coin business» ensuite, matérialisé par un dossier du siège passager avant qui devient une table pour accueillir l’ordinateur portable. Vient un impératif naturel, celui des courses. Malin, le coffre! Vous installez trois packs de six bouteilles d’un litre et demi sous le plancher, les sacs au-dessus. Ou vous laissez la planche tout en bas et vous profitez des crochets de côté. Voilà pour les bagages. Les occupants? Le conducteur regrette le placet trop court. Le fait de pouvoir coulisser en deux parties la banquette arrière donne un meilleur confort aux passagers, ou davantage de place pour le coffre. La position de conduite haute correspond aux demandes pour la ville. L’empattement long, le capot et les porte-à-faux courts profitent au volume. La visibilité vers l’avant souffre un peu de l’épaisseur des montants du pare-brise.
Consommation indiquée sur smartphone
Comment conduisez-vous? La 500L va vous le dire. Car, modernité oblige, elle a tout ce qu’il faut pour se connecter. Votre smartphone va vous révéler si vous avez eu le pied léger ou si vous êtes un incorrigible fervent des accélérations gourmandes. D’ailleurs, l’un des moteurs, celui à deux cylindres, réagit très rapidement aux tempéraments vifs. A bas régime, économe et écologique, il est très souple, vous voilà lent et doux. Demandez-lui un peu de dynamisme et sa sonorité vous décrochera un sourire… qui se transformera en moue dubitative devant la consommation. Pour notre part, nous estimons que le quatre cylindres à essence possède davantage de rondeur pour un usage principalement citadin.
Elle aime la mode
Poursuivant la carrière très mode de la nouvelle 500, la «L» fait appelle aux sons de la marque Beats, leader sur le marché américain des casques audio et issue de la musique hip-hop. Ce n’est pas tout. Les possibilités de combinaisons de couleur et de décors sont au nombre de 333! Lui manque-t-il quelque chose? Ne dites pas «elle fait tout sauf le café», car une petite machine spéciale Lavazza vous dispense des petits noirs à la demande. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour séduire les bobos urbains et… concurrencer la Mini!

http://www.lematin.ch/auto-moto/fiat...story/22460418

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Toyota rappelle 600'000 véhicules

Automobile

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Le constructeur automobile Toyota rappelle 600'000 véhicules en Europe à titre préventif.
Mis à jour le 02.08.2012

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Toyota rappelle 600'000 véhicules.
Image: AFP
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• Toyota redevient le no1 mondial de l'automobile

Le constructeur automobile japonais Toyota (81.065.23%)a annoncé jeudi le rappel préventif de 600'000 véhicules en Europe «pour vérifier le serrage des écrous d'alignement des roues arrière», après avoir lancé une campagne similaire aux Etats-Unis.
Ce rappel concerne le SUV RAV4, la berline Avensis et la citadine Auris vendus en Europe (Russie incluse), a précisé le groupe.
«Il ne s'agit pas en l'occurrence d'un défaut de conception ou de production mais d'une éventuelle erreur lors d'une opération d'entretien en après-vente», où les «écrous d'alignement des roues arrière (...) auraient pu être insuffisamment serrés lors d'un réglage», selon un communiqué.
Toyota vérifiera le serrage de ces écrous. Les propriétaires des véhicules concernés seront contactés par lettre recommandée avec accusé de réception, a ajouté le constructeur.
Toyota avait déjà annoncé mercredi le rappel de 800'000 véhicules aux Etats-Unis pour le même problème, pouvant entraîner de la rouille sur le système de suspension.

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Voyage dans un futur silencieux

BMW «C evolution»

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Le concept de mobilité individuelle de la marque allemande passe par le développement durable. Le «C evolution» électrique est le big scooter du futur. Essai exclusif.
Par Claude Bovey, Londres. Mis à jour le 02.08.2012 7 Commentaires

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1/13 Jason Critchell





Vidéo





FICHE TECHNIQUE

MOTEUR: Groupe motopropulseur-bras oscillant intégrant le moteur électrique, refroidi par liquide, avec transmission par courroie crantée et engrenage épicycloïdal. Batterie haute tension de grande capacité (8 kWh) à refroidissement par air.

PUISSANCE: 11 kW; 35 kW en puissance de pointe.

PERFORMANCES: 120 km/h (bridé); 140 km/h maxi. 0 à 50 km/h en 2,55 sec. Couple maxi: 590 Nm. Poids: 265 kg.

AUTONOMIE: 100 kilomètres assurés avant la recharge. Durée du système accu: 10 ans et 150 000 km. Recharge: 3 h (complète).
La forme olympique

Le choix de présenter leur révolution électrique pendant les Jeux olympiques de Londres n’a rien d’anodin. D’abord, BMW est l'un des partenaires officiels de cette manifestation à résonance planétaire et le concept de développement durable colle bien à la philosophie de cet événement. Ce choix permet aussi à BMW de démontrer qu’il est un constructeur qui se veut innovant et précurseur.

Bien sûr, les polices de nombreux pays s'équipent toujours avec des motos de la marque bavaroise qui possèdent encore ce look reconnaissable entre toutes... Mais l'ère de la moto de grand-papa est désormais révolue pour les sceptiques et autres allergiques aux deux-roues munichois.

Loin aussi le cliché du bicylindre à plat habillé d’un carénage mastoc dessiné dans un esprit bien «Kolossal»!
Non, BMW ne s'est pas endormi sur ses valeurs sûres et ses lauriers, bien que la GS cartonne encore et toujours.

Au contraire, la marque allemande a, depuis quelques années, réalisé un fabuleux bond en avant. Pour preuve, l’hypersportive S 1000 RR est, depuis qu'elle est apparue il y a trois ans déjà, la référence des amoureux de vitesse et des circuits. Puis, l'an dernier, il y a eu la venue de la grosse routière propulsée par un moteur de six cylindres inédit. Et, après avoir échoué une première fois dans la construction d'un scooter entièrement caréné, voilà que l'usine berlinoise débarque cette année avec deux gros scooters de 650 cm3, déclinés tant en version sportive qu’en Grand Tourisme.

L’avenir de BMW sera donc hi-tech et propre. Le gros e-scooter «C evolution» débarquera bientôt sous forme d'un grand coup de pied dans la fourmilière. Une révolution! Dès lors, qui osera encore dire que BMW est une marque ringarde?

Claude Bovey

De la suite dans les idées… Après les deux gros scooters de la gamme C à moteur atmosphérique de 650 cm3 déjà à son actif et à disposition du public, BMW (BMW58.122.94%)insiste et fonce vers le futur en présentant, de manière dynamique cette fois, le tout nouveau concept électrique «C evolution». Un nom qui sonne comme révolution pour la marque munichoise. Ce scooter électrique avait été présenté en 2011 dans un contexte baptisé «Urban mobility». La version définitive ne sera pas commercialisée avant le printemps 2014!
Le langage des formes du «C évolution» est la première innovation constatée. Les caches latéraux vert fluo éclairés et marqués du sceau «e» et d’un logo électrique stylisé façon USB prouvent immédiatement l’appartenance du véhicule à la planète «zéro émission». Une touche de rappel très classe se retrouve sous la forme d’une couture vert et blanc surpiquée détourant la selle. Des pièces de carénage superposées confèrent à l’avant de ce scooter une allure des plus dynamiques. Paré d’un blanc lumineux dans presque tout son ensemble, le «C evolution» se distingue encore par sa partie arrière courte et taillée à la sportive. L’ensemble se profile élégamment.
Une brève explication sur la manière de démarrer le «C evolution» et la façon d’interpréter les données affichées sur un écran façon tablette numérique et… Pas le moindre bruit ne signifie que l’engin est en marche. Un coup d’œil sur la tablette de bord permet d’identifier l’instant permettant d’ouvrir en grand. Oh là! Pas trop tout de même, car le fabuleux couple délivré par le moteur électrique arrache les bras instantanément. En version définitive, le «C evolution» devra impérativement disposer d’un antipatinage de série, sous peine d’accumuler de fortes montées d’adrénaline en utilisation pluvieuse, ou bien lors d’une accélération sur un revêtement parsemé «d’impuretés».
Juste un sifflement
L’absence de bruit délivré par le propulseur électrique a évidemment de quoi surprendre, voire déstabiliser. Juste un sifflement permet au pilote et aux autres usagers de la route d’identifier la masse en mouvement de cet engin du futur. Le concept «zéro émission» possède une multitude d’avantages, mais aussi quelques inconnues quant à la sécurité, en particulier celle des piétons!
Au bout de quelques centaines de mètres la notion de plaisir de conduite arrive aussi vite que la puissance délivrée, que l’on peut comparer à celle d’un big scooter, le couple en plus. Avec son centre de gravité placé bas, le «C evolution» est très agile, malgré un poids de 265 kilos. Et son freinage surpuissant muni d’un ABS confirme que nous sommes à bord d’un produit BMW.
Pneus verts
Trois groupes ont eu le privilège de parcourir chacun une bonne trentaine de kilomètres faits d’accélérations rageuses, d’arrêts brusques, de séances photos qui nécessitent toujours des stop and go fréquents où le moteur est mis à forte contribution. Verdict de la dépense d’énergie: Le «C evolution» est encore prêt à repartir à la conquête du futur car lors des freinages ainsi qu’à chaque décélération, le moteur génère un couple d’inertie qui agit comme frein moteur et récupère de l’énergie. Un gain de 10 à 20% est enregistré en fonction du profil de pilotage. Les modules d’accumulateur lithium-ion sont les mêmes que la future voiture BMW i3. Dans sa quête d’aller le plus loin possible sans recharge, le «C évolution» sera encore équipé de pneus économiseurs d’énergie développés par Metzeler, réduisant la résistance au roulement.
Voilà, il est temps de décrocher de ce voyage dans le futur «zéro émission», de brancher la prise pour trois heures et reprendre le rêve!

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Essai

La Nissan 370Z Roadster ne manque ni d'air ni d'allure

Par Marc-Henri Jobin. Mis à jour le 29.08.2012

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Quarante ans et des poussières et pas une ride: avec la 370Z, Nissan maintient sa «série Z» au goût du jour. Surtout en version décapotable à boîte séquentielle. Une découverte, dans tous les sens du terme.

1/5La 370Z Roadster dans son élément, sur une belle petite route secondaire au milieu d'un joli paysage.
Nissan





Fiche technique

Nissan 370Z Roadster, boîte automatique

Dimensions:
(L x l x H 4,25x1,845x1,325  m
Empattement 2,55  m
Places 2
Coffre 140 litres
Poids 1’565 kg
Prix 67'660 à 75’290 CHF

Moteur:

Cylindres 6 c en V, 24 soupapes
Cylindrée 3’696 cm3
Boîte automatique séquentielle
Chevaux (kW) 328 (241)
Couple maxi 363 Nm

Aides à la conduite

ABS/EBS (antiblocage, répartiteur), assistance au freinage, ESP (contrôle stabilité et traction), contrôle de la pression des pneus, «snow mode» (routes glissantes, antidémarrage, alarme.

Performances

Vitesse max. 250 km/h (limitateur)
0-100 km/h 5,8’’ (5,5’’ boîte manuelle)

Consommation
Mixte normalisée 10,9 l/100 km (automatique)
Emissions de CO2 254g/km
On a aimé: le côté sportif mais raisonnable, au niveau du prix mais aussi «à la pompe». Certes, il faut nourrir la bête à la sans plomb 98, mais la consommation reste raisonnable: le constructeur annonce 10,9 l/100 (automatique) en conduite mixte. Notre voiture d'essai a consommé en moyenne 10,8 l/100. (Image: MH Jobin)
On a moins aimé: le coffre de 140 litres ne permet pas d'emporter beaucoup plus que deux sacs de sport et sa carte de crédit. Pour les vacances à deux, c'est un peu juste. (Image: MH Jobin)



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La vague de chaud commençait a envahir la Suisse. Les yeux encore pleins d'images olympiques, l'analogie nous est venue à l'esprit à peine aperçue la poupe de notre 370Z Roadster d'essai: avec sa silhouette râblée et son toit de toile bien rentré dans ses larges épaules, la sportive décapotable de Nissan (7.385-0.86%)a l'allure d'un sprinter dans son starting-block.
Confortablement installé derrière le volant, le départ aussi est instantané. La clé intelligente reste dans la poche: une pression sur le bouton «start/stop» et le 6-cylindres en V de 3,7 litres laisse s'échapper une mélodie à faire pâlir les nouvelles sportives aux moteurs «downsizés».
Autant profiter d'emblée, car le moteur de la Japonaise se fait nettement plus discret une fois chaud et la voiture en mouvement. Vu la météo et pour ne pas en perdre une bribe, on découvre: le temps pour un bon finaliste olympique de courir le 200 mètres, soit 20,0 secondes chrono, et la capote de toile s'escamote joliment sous la carrosserie.
Tête à l'air et ventre à terre
Pas de doute possible, on roule bien dans la catégorie des sportives classiques de bonne lignée. En quarante ans, Nissan a affiné sa copie et su placer sa «Série Z» en digne concurrente des meilleures sportives européennes. Et ce pour un prix, à options égales, sensiblement inférieur.
Comme la 350Z qui l'a précédée, la 370Z rivalise avec les Porsche Boxter et autres BMW Z4. Surtout dans cette version découvrable qui profite d'un châssis retravaillé de A à Z: la position de conduite et celle du moteur ont été abaissées, le surpoids a été limité à 28 kilos par rapport à la version normale. Portes et capot sont en aluminium.
Nissan a voulu que son Roadster ne cède rien, sur le plan dynamique, au Coupé. Force est de dire que la promesse est tenue. Même ouverte, la voiture ne subit aucune torsion et peut être menée à bon train.
Même s'il a perdu 3 chevaux pour répondre aux normes Euro 5, le moteur assure des accélérations consistantes. Moyennant un foulard pour Madame ou une casquette pour Monsieur, il est possible de rouler presque sans turbulences jusqu'aux limites de vitesse autorisées. On entend alors la vitre de protection arrière émettre un gazouillis aérodynamique.
Épatante en mode automatique
On sent qu'en toutes circonstances, la deux places nippone a de la réserve, en accélération, au freinage, en courbe. Inutile de vouloir tester le rupteur électronique qui limite la vitesse maxi à 250 km/h: le vrai plaisir, au volant de cette 370Z Roadster, c'est d'enchaîner les courbes en plein air, de préférence dans un beau décor campagnard ou alpin.
Avec ses sièges (ventilés) placés presque sur l'essieu arrière, la voiture procure de belles sensations. On passe sans transition de la flânerie à la conduite sportive.
Quel que soit le régime, la nouvelle boîte automatique réagit finement aux sollicitations et enchaîne ses sept rapports sans coup férir. Le plus bluffant est de sentir la boîte rétrograder en phase de décélération ou au freinage, dans un style à la fois sportif et rassurant, toujours au bon moment.
Double débrayage enfin maîtrisé
Cette boîte automatique est une vraie réussite et multiplie les plaisirs. Qui veut faire exprimer au moteur toutes ses gammes n'a qu'à agir sur les palettes situées de part et d'autre du volant. La vitesse sélectionnée reste bloquée jusqu'au prochain passage. La poussée devient alors carrément franche.
En décélération, Nissan a poussé le raffinement jusqu'à faire exécuter à la boîte séquentielle un double débrayage, avec un coup de gaz central sonore et parfaitement maîtrisé, dès lors que le conducteur anticipe quelque peu le passage. L'effet est garanti, aussi devant les terrasses, où il remplace avantageusement le coup de klaxon.
En conduite appuyée, la 370Z Roadster vire bien à plat et «colle au parquet». Du moins sur un bon revêtement. Sur chaussée déformée ou dégradée, la voiture subit en revanche des trépidations et réclame de l'attention. Les réglages de suspension, qui privilégient un certain confort, et les pneus taille basse montés sur les belles jantes «RAYS» de 19 pouces fournies en option y sont pour quelque chose.
Adoptée pour son «air sympa»
La 370Z Roadster, au dessin moins classique que le Coupé, plaît et attire les regards. Elle fait partie de ces voitures qui valent de temps à autres un geste ou le regard sympathique du piéton à qui vous cédez le passage: ce qui, avouons-le, est denrée rare.
Lorsqu'on leur demande leur avis, les amis et voisins reviennent souvent avec la même remarque: «Elle a l'air sympa». Comprenez, elle a belle allure et paraît sympa à conduire.
D'ailleurs, tel est le cas. Le chat de la maison ne démentira pas, lui qui a profité de faire sa sieste sur la moelleuse capote, d'une qualité du reste irréprochable, même sur l'autoroute par temps de pluie. (Newsnet)

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Jaguar XJ 2013, le raffinement britannique

Auto-moto

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Un nouveau moteur 2,0 l turbo lui permet de passer sous la barre des 100 000 fr.
Par Philippe Clément. Mis à jour il y a 26 minutes

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En chiffres

Cylindrée: 1999 cm3, turbo.
Puissance: 240 ch à 5500 tr/min.
Couple: 340 Nm de 2000 à 2400 tr/min.
Transmission: aux roues AR.
Boîte: robotisée 8 à rapports
Dimensions (Lxlxh): 5,13 x 1,90 x 1,45 m.
Empattement: 3,03 m.
Coffre: 520 l Poids: xx
Performances: 241 km/h. 0-100: 7’’9.
Consommation mixte norm.: 8,9 l/100 km.
Emissions de CO2: 207 g/km.
Etiquette énergie: A
LE DÉTAIL

Avec une boîte robotisée à huit vitesses, pilotable par palettes au volant, impossible de ne pas trouver, à chaque seconde, le rapport idéal! Remarquable de vitesse, de précision et de douceur, elle convient parfaitement à la conduite chic et – à l’occasion – sportive qui convient à la XJ.
BIEN VU

Un nouveau bloc à essence, quatre cylindres, de 2.0 l avec un turbo: idée géniale! Avec ce «petit» moteur la XJ garde un punch très suffisant. Et ses 138 kilos permettent de diminuer la conso. Bien!
MAL VU

Génial, efficace et performant, le système permet de garder la consommation du nouveau V6 dans des limites plus qu’acceptables. Dommage qu’il ne soit pas disponible sur le 4 cylindres…

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La nouvelle Ninja prend du volume

Motocyclisme

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Une nouvelle Ninja à 300cm3.
Par Claude Bovey. Mis à jour le 08.09.2012
Kawasaki vient de présenter son arme absolue pour les jeunes et les débutants désirant pratiquer la moto au guidon d’un engin répondant aux normes des 25 kW. Cette nouvelle Ninja passe désormais à 300 cm3, se faufile aisément dans le trafic urbain et «tape» les 180 km/h au compteur. En attendant l’essai complet du Matin, découvrez la vidéo personnalisée des premiers tours de roues. (Le Matin)
http://www.lematin.ch/auto-moto/nouv...story/21940662

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Voyage en première classe

Motocyclisme

—
La Triumph Trophy 1200 SE vient d'être révélée. Une grande voyageuse à l'agilité incroyable.
Par Claude Bovey. Mis à jour le 08.09.2012
La nouvelle Triumph Trophy 1200 SE se vient d’être dévoilée à la presse internationale. Le Matin a parcouru 400 kilomètres sur les routes écossaises au guidon de cette grande voyageuse à l’agilité exceptionnelle et à l’équipement complet et haut de gamme. Visionnez une vidéo promotionnelle en attendant le test complet du Matin. (Le Matin)

http://www.lematin.ch/auto-moto/voya...story/31112055

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La voiture la plus chère du monde

Grande-Bretagne

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Une Aston Martin qui a gagné les 24 heures du Mans en 1959 est à vendre pour 30 millions de francs.










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Un marchand de voiture anglais a mis en vente ce qui pourrait devenir la voiture la plus chère du monde. Talacrest, une maison spécialisée dans les Ferrari de collection, basée dans le Berkshire, offre une Aston Martin DBR1 de 1957 pour la coquette somme de 30 millions de francs.
La voiture est unique, car elle a été modifiée pour participer aux 24 Heures du Mans de 1959 et aussi en raison de son histoire. Elle était conduite par Caroll Shellby, un pilote de course américain devenu célèbre non seulement pour avoir gagné cette compétition, mais aussi pour être le concepteur de célèbres voitures de sport américaines de série, telles l'AC Cobra et deux dérivés de la Ford Mustang, la Shelby GT 350, et la Shelby GT 500.
Cette Aston Martin est équipée d’un moteur six cylindres double allumage en alliage léger de trois litres développant 255 ch. La boîte de vitesses est une David Brown à cinq rapports. La première DBR1 était équipée d’un six cylindres dans une définition de 2,5 litres. Elle débuta aux 24 Heures du Mans 1956, où elle s’est avérée dépassée par ses concurrentes nettement plus puissantes. (Le Matin)








Vraiment belleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

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Ford multiplie les nouveaux modèles en Europe

Évènement

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L’envergure du grand rassemblement Ford Europe se mesure au tableau de traduction simultanée: dix-sept langues d’un coup! La stratégie européenne mise sur la croissance.
Par Gil Egger/Amsterdam. Mis à jour le 15.09.2012 1 Commentaire

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1/12La croissance des SUV incite la marque à proposer le gros Edge, luxueux et bien motorisé, à côté du nouveau Kuga et du petit EcoSport.






Innovations

1. Ford veut prendre la tête des constructeurs dans les émissions de CO2, les moteurs EcoBoost vont y contribuer, 800 000 devraient être installés en 2015

2. La Ford Focustout électrique arrive.

3. Sync,développé avec Microsoft, met la commande vocale en avant, avec la lecture de vos SMS.

4. La connectivité ira jusqu’à vous annoncer l’état de l’atmosphère, notamment quels sont les pollens présents.





Le grand patron avait fait le déplacement des Etats-Unis pour l’occasion. Alan Mulally salue ses 2500 hôtes, des concessionnaires et des journalistes de toute l’Europe, ainsi que les près de 100 000 employés devant leur écran. Entouré de tout son état-major, il multiplie les annonces sous le slogan «Go further». Tout d’abord, en déclarant sa foi dans la croissance du Vieux-Continent, Russie incluse: les relents de crise n’empêcheront pas un développement du parc de véhicules, privés et utilitaires, de vingt pour cent dans les cinq prochaines années, pour atteindre un total de 23 millions. Ford entend y accroître sa part, raison de ce rassemblement en forme de motivation géante.
Il profite des projecteurs et des roulements de tambour pour annoncer que la mythique Mustang va faire partie de la palette proposée en Europe. Avec son moteur maousse costaud, elle ne va pas faire des scores gigantesques, mais symboliquement elle revient dans le giron officiel. En Suisse, il s’en est tout de même vendu quatre cents l’an dernier, dans les circuits parallèles. Ces dernières sont de toute manière condamnées, la taxe CO2 renchérissant de manière massive les importations directes, ce qui n’est pas le cas pour un importateur généraliste.
Le B-Max et la Fiesta cette année, puis la Mondeo
Le présent d’abord. Le renouveau commence avec le monospace B-Max, original avec son absence de montant entre les portes avant et arrière. Il sera bientôt suivi de la nouvelle Fiesta. Sa ligne exprime les nouveaux codes voulus par Ford: calandre imposante, plis de la face avant dynamiques, phares effilés. L’un des principaux atouts se cache sous le capot, le moteur EcoBoost n’a que trois cylindres, un volume d’un litre, mais ses turbos lui donnent une sacrée pêche.
Economique, il tient une place essentielle dans la stratégie du constructeur, qui va l’installer partout où c’est possible. Même dans sa Mondeo, elle aussi complètement restylée et qui devrait apparaître l’année prochaine. Son nom avait été choisi pour bien marquer sa vocation planétaire. Dans cinq ans, ce seront quinze produits Ford qui auront la même ambition. De quoi faire des économies d’échelle, avec des adaptations locales en fonction des législations. La Mondeo se décline en quatre et cinq portes, et en break, une hybride et une version à quatre roues motrices sont promises.
Surprise de taille, le Kuga abandonne son design original, qui lui donnait une allure de tout terrain compact et presque agressif, pour une ligne plus élégante, peut-être, mais moins caractéristique. Ce doit être l’effet de cette mondialisation prônée par Ford et c’est un peu dommage. Un nouveau moteur 1,6 l EcoBoost l’animera et, parmi les éléments de confort, il suffira d’agiter son pied sous le pare-chocs arrière pour que le hayon s’ouvre… pour autant que la clé soit dans votre poche ou votre sac à main.
Une avalanche de produits
La gamme, déjà étendue, se verra compléter dans le segment du marché le plus prometteur, le seul qui n’a pas cessé de grandir ces cinq dernières années, celui des SUV (Sport Utility Vehicle). Fabriqué au Brésil, l’EcoSport a déjà été vendu à 700 000 exemplaires en Amérique du Sud. Court, il souffre d’un défaut, ne pas avoir de hayon, mais une porte arrière supportant une roue de secours. Promis, ce sera corrigé avant qu’il traverse l’océan! Voilà pour la petite taille, la grande sera occupée par le gros Edge, un succès en Amérique du Nord. Moyennant quelques adaptations, il figurera au catalogue en Europe.
L’offensive s’étend aux utilitaires
L’ambition ne s’arrête pas aux véhicules particuliers. Les premiers utilitaires attendus prochainement sont le Transit et le Transit Connect. Là aussi, on étire la gamme vers le haut et le bas, avec les gros estampillés «une tonne» et «deux tonnes». Les différents Tourneo adoptent un visage plus marquant. Des versions «famille» séduiront ceux qui apprécient les grands volumes.

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Le grand coupé CLS de Mercedes devient break

Nouveauté auto

—
De deux portes on est passé à quatre. En voici une cinquième!
Par Gil Egger . Mis à jour le 22.09.2012

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Donner du coffre à un coupé déjà hors du commun avec ses quatre portes? Mercedes l’a fait, démontrant une fois encore son audace à explorer de nouvelles pistes.
Vidéo: DR
Fiche technique

Modèle: CLS 350 CDI BlueEFFICIENCY
Dimensions: (L x l x H) 4,95x1,88x1,41 m
Empattement: 2,87 m
Places: 5
Coffre: 590 l (1550 dossiers arrière rabattus)
Poids: 1910 kg
Prix: 84900 fr.

Moteur
Cylindres: 6
Cylindrée: 2987 cm3
Chevaux (kW): 195 (265)
Couple maxi: 620 Nm

Aides à la conduite
Freinage adaptatif, détection de l’attention du conducteur, capteurs d’impact, freinage d’urgence assisté, antipatinage, ESP, PRE-SAFE® prévenant les collisions.

Performances
Vitesse max.: 250 km/h
0-100 km/h: 7’’8

Consommation
Mixte normalisée: 6,0 l/100 km
Emissions de CO2: 159 g/km
Etiquette énergie: B
Autres versions: Diesel 250 CDI, 350 CDI 4MATIC, essence 350, 500 et 500 4MATIC,63 AMG.

Garantie
Mercedes Swiss Integral 100 000 km, réparations gratuites 3 ans ou 100 000 km et services gratuits (hors liquides) 10 ans ou 100 000 km.




Plusieurs modes de conduite s’adaptent aux désirs du conducteur et à la configuration du terrain. En «Sport +», la performance n’empêche pas le confort. (Image: DR)
L’avertisseur d’angle mort s’allume d’abord en jaune, puis en rouge avant que la voiture évite elle-même la collision avec le véhicule que vous n’avez pas vu.
La version 63 AMG abrite un V8 explosif et ses freins en carbone composite assurent des ralentissements à la hauteur des 525 ch qui l’animent. (Image: DR)
Impossible de ne pas reconnaître l’élégance et le luxe que le plancher en bois original du coffre exprime. En plus, il est solide et les rails sont très pratiques. (Image: DR)



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D’habitude, les coupés ont deux portes. Tel était le cas du CLS avant que Mercedes-Benz en installe quatre en 2004, imité par d’autres – comme l’Audi A7 et sa cousine Volkswagen CC ou, plus récemment, la BMW Gran Coupé de série 6. En 2008 apparut une étude singulière de CLS avec une cinquième porte, autrement dit un break. En 2010 suivit le concept. Et voici ce nouveau venu désormais disponible à la commande et, dans quelques semaines, dans les concessions. Baptisé «Shooting Brake», il fait allusion à l’origine du nom: des voitures anglaises utilisées pour freiner (brake) les chevaux à dresser, puis pour la chasse (shooting).
Garder la ligne d’un coupé
L’arc de cercle tendu dans lequel s’inscrit le CLS n’a été que légèrement modifié pour aménager une malle arrière. Le profil des fenêtres conserve par contre la ligne pure originelle. Les plis de côté contribuent à donner l’impression de fluidité. Et de longueur. Mais là, c’est au-delà de l’impression puisqu’on joue dans la catégorie des autos de cinq mètres! Une superbe réussite de design, à même de susciter l’émotion.
Le hayon électrique fait apparaître un espace de chargement modulable. Il peut être recouvert d’un bois du plus bel effet, on le dirait issu d’un pont de yacht! Il est en merisier, séparé de lamelles en chêne fumé découpées au laser. Les décors en ronce de la planche de bord ne dépareillent pas. Conserver une allure sportive a contraint à dessiner des lignes de fuite basses. Le volume du coffre de 590 l apparaît généreux, mais les 1550 l du total, sièges rabattus, se trouvent dans des voitures plus petites. Un compromis indispensable afin de préserver le caractère unique du CLS.
La vie à bord du CLS Shooting Brake respire le luxe, le calme et la volupté. Tous les matériaux expriment la qualité et l’élégance. Le volant en cuir et bois, les coutures, les inserts du décor, le métal des ouïes d’aération, tout contribue à faire sentir le caractère exceptionnel de cette nouvelle création.
Aides discrètes mais efficaces
L’essentiel ne se voit pas, il consiste en une multitude d’aides à la conduite, poussées à leur extrême. L’avertisseur d’angle mort, un triangle jaune s’allumant dans l’un des rétroviseurs extérieurs, devient rouge en cas de danger et… une intervention discrète de l’électronique ramène la voiture dans le droit chemin pour éviter la collision. Et ce n’est qu’un exemple… Même chose pour la surveillance de la voie dans laquelle vous roulez, si vous vous en écartez, le volant vous remet doucement en ligne. Quant à votre état général, souriez, vous êtes observé! Si vous montrez des signes de fatigue, un avertisseur et le symbole d’une tasse à café vous suggèrent de faire une pause. S’y ajoutent des dispositifs de freinage d’urgence liés au régulateur de vitesse ou un éclairage inédit, entièrement constitué de LED (en option). Enfin, ne vous souciez pas de vous garer, cette auto le fait toute seule, moyennant tout de même une grande place capable de l’accueillir.
Les routes de Toscane étaient idéales pour rouler avec différentes variantes, dont la version 350 CDI, mue par un diesel de 265 ch. Elle révèle une étonnante agilité malgré sa longueur et son poids. Le recours à l’aluminium, notamment pour les portes et d’autres parties de la structure, a permis de ne pas l’augmenter. L’apport de la boîte automatique à sept rapports et l’arrêt du moteur au feu rouge diminuent la consommation, qui est de 6l/100 km.
Qu’en est-il des autres modèles? La 500, fidèle au V8 essence, possède des atouts réellement sportifs. Le châssis démontre une rigueur autorisant une conduite sportive. Pour pousser encore plus loin ce tempérament, la 63 AMG affiche plus de 500 ch et un caractère méchant. Ses quatre pots laissent échapper un son rageur dès le V8 lancé. Campée sur des roues surdimensionnées, elle bondit d’une courbe à l’autre pour les avaler avec une aisance époustouflante. Le plus étonnant, dans toutes les versions testées, tient au confort de l’amortissement. Même en choisissant le mode «Sport +», censé être extrême, jamais on n’a la sensation de dureté que l’on ressent dans d’autres voitures à l’ambition comparable.
Donner du coffre à un coupé déjà hors du commun avec ses quatre portes? Mercedes l’a fait, démontrant une fois encore son audace à explorer de nouvelles pistes.