Luthi et ses compatriotes

[danlos]

Envoyé par manu94600

C'est donc pas fini pour Interwetten, aucune difficultée financière...

Je pense qu'il préfère rester en Moto2 l'an prochain pour remettre à flot les comptes et ensuite avec la nouvelle réglementation arriver en Moto1. Alors que quoi qu'il arrive l'an prochain avec les 800, il n'aurait pas eu des résultats exceptionnels.
Mais c'est un peu surprenant car les gars (ingénieurs, tout ceux qui tournent autour de l'équipe...) ne vont pas rester un an sans boulot.

[Norton]

MOTOCYCLISME

Thomas Lüthi:
«C'est une vraie moto de course»


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La nouvelle vie de Thomas Lüthi a commencé sous le vent de Valence. Une première positive.
Jean-Claude Schertenleib - le 08 novembre 2010, 22h18
Le Matin
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TESTS MOTO 2
CHESTE (ESP)
Pilote de course est depuis longtemps un métier à plein-temps. Thomas Lüthi n’échappe pas à la règle et moins de 24 heures après avoir mené sa Moriwaki à la quatrième place du dernier GP de la saison, dimanche près de Valence, le champion du monde 125 cm3 2005 a découvert un premier prototype de la Suter qu’il utilisera l’an prochain: «La première impression est très positive. J’ai couvert une quarantaine de tours, pour commencer de comprendre le comportement de la Suter», explique Lüthi.
Une comparaison avec la Moriwaki? «Il y a des différences, c’est certain. La Suter est une vraie moto de course, plus efficace à la base. Mais, attention, nous n’en sommes qu’au début d’un long processus, qui doit nous mener au top au printemps prochain», reprend le Bernois.
Après cette première journée, par une température plus fraîche et sous un vent assez violent, Lüthi et son équipe vont rester en Espagne: «Ces deux prochains jours, pendant que les pilotes MotoGP seront en piste, nous allons effectuer avec toute l’équipe un travail de fond, pour mieux comprendre notre nouvelle moto. Jeudi, je serai de nouveau en piste.»
Rossi aujourd’hui
Ce mardi, l’événement, ce seront bien sûr les débuts de Valentino Rossi sur une Ducati toute noire. Quant à la Suter-BMW, qui sera alignée dès 2012 dans la catégorie reine? «Pour le moment, je n’ai aucune information», glisse Lüthi. Les tests qui devaient se dérouler pendant ces deux jours ont été reportés. Ils auront lieu, en Espagne toujours, plus tard dans le mois.
Dominique Aegerter a pour sa part dégrossi le châssis Suter 2011, pendant que Randy Krummenacher, qui rejoindra ses deux compatriotes en Moto2, découvrait, lui, la nouvelle catégorie, au guidon d’une Kalex allemande.

[Norton]

MOTOCYCLISME

Essais de Jerez de la Frontera: Lüthi aux fourneaux après l'exploit matinal


Image © KEYSTONE
Thomas Lüthi Dominateur de la fin de matinée sur le circuit de Jerez de la Frontera (Esp), Thomas Lüthi a troqué sa combinaison de cuir pour un uniforme civil: la pluie s'étant abattue soudainement sur l'Andalousie, les pilotes sont au repos forcé. Et le champion du monde 2005 est de corvée de café!
Jean-Claude Schertenleib - le 04 mars 2011, 13h22
LeMatin.ch
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"Comme je ne roule pas, mes techniciens m'ont puni: va nous faire un café bien chaud!": Thomas Lüthi est souriant dans le sud de l'Espagne. Même si la soudaine averse – de la grêle, quelques minutes! – survenue peu après 12 h a obligé tout le monde à mettre un terme prématuré à la première de trois journées d'essais pour les classes 125 cm3 et Moto2. "Je vais rester au circuit normalement jusqu'à ce soir; peut-être que les conditions s'amélioreront en fin de journée", précise, philosophe, celui qui a signé le meilleur temps des essais ce matin.
En patron
Lüthi a fait très forte impression. Prenant la piste après la plupart de ses adversaires, il n'a eu besoin que de quatre tours pour signer ce qui était alors le meilleur chrono du jour. Revenu à son stand pour de premiers réglages, il en est reparti alors que son nom avait glissé en quatrième position. Une quinzaine de minutes plus tard, le problème était effacé: meilleur temps du jour, Thomas Lüthi et sa Suter de fabrication suisse figureront, c'est certain, parmi les grands favoris pour le titre mondial.

Les chronos
125 cmc: 1. Teról (Esp), Aprilia, 1'49''168. 2. Viñales (Esp), Aprilia, 1'49''413. 3. Zarco (Fr), Derbi, 1'49''971. Puis: 18. Pedone (S), Aprilia, 1'54''447. 28 classés.
Moto2: 1. Lüthi (S), Suter, 1'43''802. 2. Redding (GB), Suter, 1'49''941. 3. Takahashi (Jap), Moriwaki, 1'44''340. Puis: 12. Krummenacher (S), Kalex, 1'46''204. 21. Aegerter (S), Suter, 1'46''892. 32 classés.

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Interview

Thomas Lüthi: «La mort de Tomizawa fut un cruel coup de projecteur sur nos réalités»


Image © Keystone


Homme fort des essais hivernaux dans la catégorie Moto2, le pilote bernois a encore mûri.
Jean-Claude Schertenleib - le 05 mars 2011, 21h38
Le Matin Dimanche
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En septembre 2010, pour la première fois de votre carrière, vous avez été directement confronté à la mort, celle de votre collègue et ami Shoya Tomizawa. Qu’est-ce qui a changé ce jour-là?
Ce fut un choc terrible, un cruel coup de projecteur sur nos réalités, un rappel soudain que tout peut basculer en une fraction de seconde.
Et malgré tout, il faut repartir, pour respecter la formule qui veut que le spectacle continue?
Attention aux raccourcis réducteurs. C’était dur, très dur, mais dès qu’on se retrouve sur sa moto, que l’on voit que tous les autres sont là, la motivation revient. La passion de refaire ce métier efface un peu la douleur; c’est peut-être terrible ce que je dis. C’est la vérité.
Mais vous n’êtes pas seul. Il y a vos parents, il y a Fabienne, votre fiancée.
Quand je suis en course, Fabienne est bien sûr nerveuse. Elle l’est plus si elle est restée à la maison et qu’elle regarde la télévision que si elle est sur place. Si je n’apparais pas à l’image après deux virages, elle ne peut que se poser des questions. Quand elle est avec moi sur le circuit, c’est différent, elle sait tout de suite ce qui se passe. Quand on s’est connu, je pratiquais déjà ce métier; elle savait donc que les risques étaient là. Et je crois qu’elle a confiance en moi.
Et vos parents?
L’idée de renoncer, d’arrêter ma carrière, de faire autre chose de ma vie, toute cette discussion n’a jamais existé avec mes parents. Ils me soutiennent depuis que je suis tout petit et eux aussi me font confiance.
Personnellement, il n’y a pas eu le moindre doute après cet accident mortel?
Non. Il n’y a pas de compromis en sport motocycliste au plus haut échelon. Soit tu le fais complètement, soit tu fais autre chose. C’est un sport extrême, dangereux, on doit le savoir et avoir beaucoup de respect pour ce métier, pour ses collègues, ses adversaires. Mais quand on voit une course réussie à la télévision, que l’on comprend que l’on a fait tout juste, il n’y a rien de plus beau. C’est un sentiment unique, très jouissif.
Si Thomas Lüthi n’était pas devenu pilote de moto?
J’imagine que j’aurais exercé un métier manuel. Enfin, je n’imagine pas du tout, car je n’ai jamais réfléchi à cette hypothèse.
Les médias, les millions, cela ne peut que faire rêver?
Les millions? Mais c’est vous qui rêvez! Il y a quelques années, il y avait plus d’argent dans le système. Désormais, tout le monde doit consentir des sacrifices.
On ne va pas vous plaindre…
Je ne me plains pas, mais il faut savoir que depuis mon titre mondial de 2005, j’investis toujours dans ma propre carrière. J’espère bien sûr pouvoir gagner plus d’argent un jour, mais pour cela, il faut encore construire.
Et on ne construit que par les performances, quand on représente un petit pays sur la scène mondiale?
Je vis de mon sport, c’est déjà quelque chose. Vous savez, pilote de moto, c’est un vrai métier, ce n’est pas un truc de guignols.
Donc, cela vaut de l’argent?
Bien sûr, à condition de représenter quelque chose. Soit rouler devant, si possible dans la catégorie reine, la classe MotoGP, avec Valentino Rossi.
C’est pour l’an prochain?
Dans ma tête, ce qui a longtemps été un rêve devient un peu plus une réalité. Je ne dis pas que j’entame dans deux semaines ma dernière saison dans la catégorie intermédiaire, mais je me sens plus prêt que jamais à faire le saut. Après, on en revient à la base de l’équation: il faudra des performances pour attirer le financement.
Le titre mondial en Moto2?
Ah, si c’était si simple!
Mais vous êtes l’un des favoris, il ne faut pas vous voiler la face. Les résultats des tests sont là pour le prouver, non?
Il faut bien séparer les choses. Etre devant sur les listes des temps, c’est toujours bon pour le moral. Mais le plus important, c’est ce que l’on ressent au guidon. Et il est vrai que jusqu’à présent, tout se passe très bien: la communication au sein de l’équipe, la collaboration technique avec Suter.
Physiquement, on vous sent aussi plus solide que jamais. On se trompe?
Non, et je suis très heureux de constater que quelqu’un a remarqué que j’avais bossé comme jamais cet hiver. L’essentiel du travail s’est concentré sur le haut de mon corps, les épaules, qui m’ont souvent posé des problèmes. J’ai pris trois kilos de muscles et j’ai perdu un kilo de mauvaise graisse, je suis fit comme jamais.
En plus de ce travail de fond, vous avez été opéré des yeux?
Oui, j’ai subi une implantation de lentilles dans mes deux yeux. Maintenant, ma vue est parfaite.
Mais dans cette catégorie Moto2, n’est-il pas préférable de ne pas voir grand-chose?
C’est vrai que parfois, on pourrait se poser la question. Mais soyons sérieux: ces dernières années, je voyais bien, mais le moindre déplacement de mes lentilles de contact altérait ma vision. Et quand on arrive à 40 de front dans le premier virage, il est toujours préférable de voir parfaitement.
Thomas Lüthi, si on vous dit que tout cela ressemble étrangement à l’avant-saison 2005, l’année de votre titre, vous adhérez?
Pas du tout.
Pourquoi?
Parce que je n’ai toujours pas compris comment j’ai fait pour gagner le titre en 125 cm3. Alors que désormais, je sais pourquoi j’évolue à ce niveau. J’ai tellement appris, depuis le sacre. Je me suis affirmé. J’ai notamment compris que le pilote devait être le vrai patron dans le stand, que le chef technicien était là pour proposer des choses, comme un garçon vient présenter un menu dans un restaurant, mais que les décisions devaient être prises par moi.

[Norton]

MOTOCYCLISME

GP du Qatar: Lüthi dans le bon groupe

Le champion du monde 125 cm3 de l’an 2005 termine la journée avec le cinquième chrono.
Jean-Claude Schertenleib - le 17 mars 2011, 20h45
LeMatin.ch
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Redding, Bradl, Iannone, Lüthi et Marquez, on prend les mêmes et on recommence en Moto2. Hier soir, pour la deuxième séance d’essais libres en vue du GP du Qatar de dimanche, qui se déroulera en nocturne sur le circuit de Losail, on en était là jusque dans les ultimes secondes, lorsque le Japonais Yuki Takahashi a mis tout le monde d’accord. Pour 53 millièmes par rapport au Britannique Redding. Lüthi? Le Bernois a encore fait toute la séance dans le peloton de tête, pour échouer finalement en cinquième position, au guidon de sa Suter de fabrication helvétique (le constructeur de Turbenthal place cinq de ses pilotes dans le top six!).
Randy Krummenacher a connu une séance plus difficile ce soir (20e), alors que Dominique Aegerter (31e) est toujours à la recherche de ses meilleures sensations.

[Norton]

MOTOCYCLISME

Lüthi, le premier jour J


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Thomas Lüthi a obtenu la septième place hier lors des essais.

Dans une catégorie où une douzaine de pilotes peuvent prétendre au titre mondial, il s'agira d'être présent d'entrée de jeu. Dès ce soir, pour les essais qualificatifs.
Jean-Claude Schertenleib - le 18 mars 2011, 22h56
Le Matin
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Depuis le début de l'année, depuis qu'il a troqué sa Moriwaki pour une Suter, Thomas Lüthi a toujours figuré dans le top 6 des différents essais. «Sauf aujourd'hui, mais il y a des explications.» Le champion du monde 125 cm3 de 2005 répète à l'envi que la régularité sera la clé du succès. Cette année plus que jamais. Il le dit, mais il sait aussi que les discours ne valent pas grand-chose, s'ils ne sont pas concrétisés par des faits. Alors, il a compris que ce samedi - entre 16 h 55 et 17 h 40, heure suisse -, il jouera déjà une carte importante lors des qualifications du GP du Qatar, le premier de la saison: «Il n'y a plus que trois places par ligne dès cette année, une de moins que dans le passé. Sur le papier, notre tâche est encore plus exigeante. Ce changement a été opéré pour des questions de sécurité; en théorie, il y aura un peu plus d'espace entre nous pour les premiers mètres de course. Quant à savoir à quoi ressemblera le premier freinage, rendez-vous dimanche.»
Fameux premier freinage
Thomas Lüthi a déjà son regard tourné vers la course. Même s'il sait qu'avant ce fameux premier freinage, il y aura les essais qualificatifs du jour. Et que l'écart creusé hier par l'Allemand Stefan Bradl (8 dixièmes de mieux que tout le monde) semble signifier qu'une des trois places sur la première ligne est déjà réservée: «A voir, rigole Lüthi, car aujourd'hui, je crois que nous n'avons pas tous fait les mêmes choix.»
Sérénité et solidité
Du secret dans l'air? Non, juste la gestion différente des moyens à disposition, puisque le nombre de pneumatiques est limité (16 pneus slick par grand prix, 7 pour la roue avant, 9 pour la roue arrière) dans la catégorie. «De notre côté, nous avons préféré économiser, pour avoir plus de possibilités lors des qualifications. Et je ne suis pas sûr que Bradl a fait la même chose.»

[Norton]

Commence bien le Tom, superbe course.......

[valentinette76]

tu es content norton????

[Norton]

Envoyé par valentinette76

tu es content norton????

Content et content...........Merci Valentinette

[Norton]

MOTOCYCLISME

Thomas Lüthi, la force tranquille


Image © Keystone
Lüthi a su se montrer sage dans les moments importants de la course.

Garder la tête froide au cœur de la bagarre, garder les pieds sur terre après une première bonne performance: tel est le costume que le Bernois a décidé de porter cette année.
Jean-Claude Schertenleib - le 20 March 2011, 22h14
Le Matin
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GP du Qatar
Il fait moyennement chaud dans l’air – 20 degrés, parce que la nuit est tombée depuis deux heures maintenant –, mais ça bout sous les casques.
Dixième tour du GP du Qatar Moto2. En tête depuis le départ, l’Allemand Stefan Bradl s’est échappé. A une poignée de secondes derrière lui, ils sont quatre roues dans roues, carénage contre carénage, séparés par quelques centièmes de seconde. Quelques centimètres. Voilà que, sur la ligne droite, l’Italien Andrea Iannone vient de bénéficier du sillage de Tom Lüthi; il passe. Mais, au freinage suivant, le Suisse veut contrer immédiatement. Le freinage extrême, c’est de l’art pur. C’est son truc. Voilà la Suter grise qui se frotte à la Suter tricolore d’Iannone: «Andrea est resté sur sa ligne, c’était correct. Moi, je me suis retrouvé en dehors de la trajectoire idéale. Et sur un terrain aussi particulier que le Qatar – le circuit est situé en plein désert –, avec le vent souvent violent, chaque écart de 50 centimètres peut avoir des conséquences sérieuses.»
Car, sur le sable fin, l’adhérence est aussi aléatoire que sur une plaque de glace. Lüthi aurait pu s’énerver, il a relevé légèrement sa moto. Perdu du coup deux places. Mais pas son calme: «Je sais que, vu de l’extérieur, on passe parfois pour des fous, mais il faut être très intelligent pour ne pas faire l’erreur de trop», rigole le Suisse.
Le podium sans champagne
Un tour et demi plus tard, il est de nouveau là. Encore à quelques centimètres de la roue arrière de ses adversaires. Toujours le nez caché dans la bulle de son carénage. Il est la force tranquille. L’un des grands favoris pour le titre mondial Moto2 en 2011. Un garçon désormais expérimenté, qui sait gérer un championnat. Qui ne s’emporte plus quand ce n’est pas nécessaire.
A sa descente du podium – sans champagne, on est dans un pays musulman –, Lüthi a rapidement fait les comptes. L’opération n’est pas mauvaise du tout: «Mais pas question pour autant de lancer des cris de joie. Il faut garder les pieds sur terre, ne jamais oublier que ce n’est qu’une étape réussie, qu’il reste 16 courses au programme. Qu’il faut travailler, travailler encore.» En course, hier soir au Qatar, Lüthi a bien tenté de rester avec Stefan Bradl, qui a dominé tout le week-end: «Mais, comme je le disais plus haut, j’ai vite compris qu’il ne servait à rien de taquiner le diable. L’avantage de l’Allemand? Beaucoup plus de traction à l’accélération, en sortie de virage. Voilà donc le point sur lequel nous devons nous pencher. Et nous avons quelques idées sur le sujet.»
Il vient de terminer une course à couper le souffle, mais il a eu le temps de cerner parfaitement le petit problème qui ne lui a pas permis de se battre pour la victoire. Pas cette fois. C’est Thomas Lüthi. La force tranquille.

MotoGP: Stoner, bien sûr
Casey Stoner continue de dire qu’il n’aime pas particulièrement le circuit de Losail, mais l’Australien continue d’y être imbattable. Pourtant, sa course n’a pas été aussi facile que le laissent penser les résultats bruts. Premièrement, parce que son propre équipier, Dani Pedrosa, a longtemps fait jeu égal avec lui (avant de devoir baisser de rythme, vaincu physiquement par des soucis dans son épaule gauche). Ensuite, parce que Jorge Lorenzo, champion sortant, a su hausser le niveau de sa Yamaha au bon moment. Rossi? Septième et heureux. La semaine prochaine, il testera un nouveau châssis Ducati. Le début de la fin de ses soucis? J.-C. S