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Envoyé par Cinquante

Ah merde, je voulais en prendre une pour l’anniversaire de "25"...
Tant, pis, je lui offrirai des fleurs

Rouge Ferrari? oublie tu ne le trouve pas dans le commerce. Mon petit frère en a depuis l'usine mais que pour des retouches (il est carrossierheureusement pour moi

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Salon de l’auto

La nouvelle Golf élue voiture de l’année 2013

Mis à jour le 04.03.2013

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La dernière version de la Volkswagen Golf a été élue lundi voiture de l’année 2013 par 58 journalistes de 22 pays européens, à la veille de l’ouverture pour la presse du salon automobile de Genève.

Ulrich Hackenberg, chef du développement chez Volkswagen, montre le prix reçu par la Golf 7
Image: Keystone
Chaque membre du jury disposait de 25 points à répartir entre les finalistes. La Golf 7 a obtenu 414 points, devant la Toyota GT86/Subaru BRZ à 202 points et la Volvo V40 à 189 points.
«C’est un grand honneur de recevoir le prix ... Je dois dire que je suis un peu fier», a déclaré Ulrich Hackenberg, chef du développement chez Volkswagen.
La Golf avait déjà obtenu ce prix en 1992. «Pour moi il s’agit de la voiture la plus complète parmi les finalistes», a affirmé la journaliste spécialisée l’allemande Ulla Elmer, la seule femme du jury.
Il s’agit cette année de la 50éme édition de ce prix. Parmi les finalistes de cette édition il y avait aussi la Mercedes Classe A, la Ford B-Max, la Renault Clio et la Peugeot 208

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Les voitures électriques pas aussi «vertes» que prévu



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La voiture électrique promet de moins polluer demain que son homologue à essence ou diesel. Toutefois, son impact sur l'environnement durant les prochaines décennies sera plus important que ce que d'aucuns imaginent aujourd'hui.
Mis à jour à 09h43 4 Commentaires

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Une voiture électrique
Image: AFP
C'est sûr, la voiture électrique permettra de réduire les émissions de CO2 en Suisse, dont 44% proviennent du trafic motorisé. Comme pour l'attester, les bornes de recharge se multiplient déjà à travers le pays. Selon les experts du Centre d'évaluation des choix technologiques (TA-SWISS), une nouvelle automobile sur dix sera électrique en 2025 et une sur deux en 2035.
La faîtière suisse des transports et de l'énergie Swiss eMobility prévoit elle déjà 130'000 voitures électriques sur les routes pour 2020. Leur arrivée ne promet toutefois pas que des lendemains verts: à l'avenir, le CO2 qui ne sera pas lâché sur les routes le sera en partie lors de la fabrication de ces véhicules et de la production de courant supplémentaire pour les alimenter.
Ecart de pollution réduit
Selon une étude de TA-SWISS sur la mobilité, la construction d'une voiture électrique est quatre fois plus polluante que celle d'un véhicule traditionnel. L'extraction des matières premières et la fabrication de la batterie engendrent aussi des émissions nocives. Le recyclage des matériaux employés devra être amélioré à l'avenir et la dépendance aux matières premières réduite.
L'impact sur l'environnement des véhicules électriques diminuera sans aucun doute avec les progrès technologiques futurs, mais celui des voitures traditionnelles davantage encore. Des avancées importantes sont à prévoir au niveau du rendement des moteurs et des émissions de CO2 des véhicules à carburant. En conséquence, l'écart de pollution entre les deux types de véhicule diminuera.
Reste qu'une voiture électrique génère en Suisse actuellement 70% d'émissions de CO2 en moins qu'une voiture traditionnelle sur l'ensemble de son cycle de vie, de l'extraction des matières premières à la propulsion. Si l'on prend par contre la moyenne des pays de l'UE, elle ne génère que 20% d'émissions en moins.
Courant moins vert
Cette différence de taille tient à la nature du courant produit. En prenant le mix d'électricité moyen de l'UE, qui repose actuellement à 52% sur les énergies fossiles, le courant nécessaire au fonctionnement des véhicules est essentiellement mis à disposition par les centrales à gaz et à charbon, qui libèrent une plus grande quantité de CO2 dans l'atmosphère.
Ce n'est pas le cas en Suisse, où une majeure partie du courant est généré par les énergies hydraulique et nucléaire. Il promet toutefois d'être moins vert en 2035: pour sortir de l'atome, le gouvernement prévoit de créer des centrales à base d'énergies fossiles - dont une centrale à gaz d'ici à 2020 - jusqu'à ce que les besoins puissent être couverts par les énergies renouvelables.
En prenant les chiffres de l'Office fédéral de l'énergie (OFEN), il apparaît qu'une moyenne quatre fois plus élevée qu'aujourd'hui de CO2 par kilowattheure d'électricité serait rejetée dans l'atmosphère en Suisse en 2035. «Cette augmentation paraît impressionnante, mais ne représente que le cinquième de ce qui est rejeté aujourd'hui par la moyenne européenne», nuance Marcel Gauch, chef de projet au Laboratoire fédéral d'essai des matériaux et de recherche (Empa).
Potentiel de hausse
Cette hausse, due à la part croissante des centrales à gaz dans le mix électrique suisse, sera plus importante si la demande en voitures électriques - et donc en courant supplémentaire - entre 2020 et 2035 croît rapidement. Les énergies renouvelables ne suffiraient plus à alimenter les véhicules.
Les propriétaires des réseaux suisses de bornes de recharge pour voitures électriques, qui s'engagent à utiliser du courant vert, devraient alors revoir leur approvisionnement. «On n'exclut pas d'utiliser dans ce cas le courant provenant de centrales à gaz», relève Christophe Kaempf, porte-parole du Groupe E, propriétaire d'un réseau de bornes.
Christophe Kaempf ne croit pas à une hausse de la demande à court terme, mais pense que cette «évolution, difficile à estimer, se fera très probablement en fonction du prix des voitures électriques.» Or celui-ci peut rapidement chuter si le coût de composantes actuellement très chères comme les batteries est réduit grâce à des progrès technologiques.

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Genève

Coup de cœur du Salon de l'auto

Par Olivier Wurlod. Mis à jour à 19h56 1 Commentaire

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Notre journaliste a flashé sur la Lamborghini Veneno, aux lignes agressives qui évoquent la Batmobile.

La Lamborghini Veneno, star du Salon de l'auto
Image: AFP
Dans l’ultra-luxe, la Lamborghini Veneno est la star de ce 83e Salon de l’auto. Ce bolide, qui célèbre avec faste les 50 ans de la marque italienne, doit son nom à l’un des taureaux les plus agressifs et rapides de l’histoire de la Corrida. Il est surtout connu pour être parvenu à encorner à mort le toréador José Sánchez Rodríguez. Contrairement à la Lamborghini Aventador, sa ligne est beaucoup plus agressive et vu du dessus fait un peu penser à la Batmobile des premiers films. Avec son V12 de 750 chevaux, la Veneno pourra passer de 0 à 100 km/h en 2,6 secondes et atteindre la vitesse maximale de 355 km/h. Cette voiture ne sera produite qu’à 3 exemplaires, chacune bénéficiant d’une des couleurs du drapeau italien (rouge, blanc, vert). Les trois modèles seront vendus pour la somme de 4,3 millions de francs. Plus besoin de se battre toutefois, puisque les modèles auraient déjà été vendus selon Lamborghini.

Voulais en commander une mais le cendrier est trop petit......

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Salon de l’auto

Les voitures de luxe à l’honneur à Genève

Mis à jour le 05.03.2013

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Les voitures de prestige sont à l’honneur au salon automobile de Genève avec les nouveaux modèles de Ferrari, McLaren ou encore Alfa Romeo qui côtoieront les nouveautés des constructeurs automobiles plus grand public.

1/49Durant la visite du salon, Ueli Maurer s'est dit impressionné par les progrès de la technologie.
Image: Keystone



Plus de 130 premières mondiales et européennes seront présentées à la presse à partir de mardi, puis aux visiteurs à compter de jeudi et jusqu’au 17 mars.
La marque britannique McLaren présente sa «supercar» P1. Inspirée de l’univers de la formule 1, elle est équipée d’un moteur de plus de 900 chevaux et peut monter à 350 km/h, avec une accélération de 0 à 200 km/h en sept secondes. Son prix ? Un million d’euros.
La mythique Enzo
Elle est en compétition avec la nouvelle Ferrari (groupe Fiat), dont le prix devrait être équivalent selon la presse spécialisée. Les 499 exemplaires de la remplaçante de la mythique Enzo, dont le nom de code est "F150", ont déjà été écoulés avant même son lancement officiel.
Alfa Romeo dévoile sa nouvelle 4C. Le petit coupé doté de 240 chevaux devrait être mis en vente d’ici la fin de l’année, avec une production limitée à 2.500 unités par an. Il permettra à Alfa Romeo de remettre pied aux Etats-Unis alors que sa maison mère, Fiat, veut relancer les ventes de sa marque de luxe.
Lamborghini, Rolls-Royce
Pour ses 50 ans, Lamborghini (groupe Volkswagen) avait promis une surprise: il s’agit de Veneno, un coupé à 3 millions d’euros hors taxes. Les trois seuls modèles produits ont déjà été vendus.
Rolls-Royce (groupe BMW) expose un nouveau coupé, le Wraith, qui devrait être le modèle le plus puissant jamais construit par le britannique.
En face, Bentley (groupe VW) montre la nouvelle version de son modèle Flying Spur, présenté comme le modèle à quatre portes le plus rapide de l’histoire du constructeur.
Une cabriolet et une électrique
Parmi les constructeurs généralistes, l’allemand Volkswagen arrive avec plusieurs versions de son modèle phare, la Golf, dont une cabriolet et une électrique.
Les marques françaises Peugeot et Renault se lancent sur le segment très porteur des petits crossover, avec le 2008 et le Captur. L’italien Fiat, lui, propose une version baroudeuse de son petit monospace 500L, dénommée "trekking".
Le japonais Nissan améliore sa voiture électrique Leaf, dont les ventes n’ont pas été à la hauteur des espérances en Europe l’an dernier, et lui offre une autonomie plus grande.
Pour la première fois, le chinois Qoros, filiale du constructeur Chery, est présent sur le salon européen, avec une berline destinée à répondre aux goûts des clients européens et deux concepts cars. (afp/Newsnet)

http://www.24heures.ch/auto-moto/voi...story/31840723

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Honda contrôle ses dérapages

Par Jérôme Ducret. Mis à jour le 13.03.2013

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La quatrième version du crossover CR-V gère la stabilité de manière plus subtile, et offre plus de sécurité et de confort.


En chiffres

A l’essai: Honda CR-V, diesel, boîte manuelle à 6 vitesses, finition Executive, 44 900 fr. Existe aussi avec boîte auto 5 vitesses (plus 2500 fr.) et en version essence.

Dimensions: longueur: 4,570 m; largeur: 2,096 m; hauteur: 1,685 m; poids: 1823 kg (modèle testé). Coffre: 1627 l (sièges rabattus)ou 589 l (sièges en position
haute.

Performances: 150 ch à 4000 tr/min, 350 Nm à 2000 tr/min; 0 à 100 km/h en 9,7 s. Vitesse max.: env. 190 km/h. Version essence: 155 ch à 6500 tr/min, 192 Nm à 4300 tr/min.

Consommation: 5,8 l/100km (version testée); équivalent essence: 6,5 l/100 km. Réservoir: 58 l.
Emissions: 154 g CO2/km.

En résumé

Les plus
– Tenue de route, vraies aptitudes au tout-terrain, confort, sécurité , capacité de charge.
– Silence dans l’habitacle.

Les moins
- design intérieur un peu triste.
- version essence manque un peu de couple.

Un petit slalom sur la neige par –10˚C? Pas de problème. La nouvelle version du contrôle de stabilité Honda (HMC39.51.26%)est là pour vous empêcher de glisser de manière dangereuse tout en permettant de petits dérapages festifs. C’est l’un des progrès tangibles accomplis sur la mouture 2012 du CR-V, le tout premier crossover urbain du monde lors de son apparition, en 1996. Auparavant, le système de sécurité de la voiture intervenait de manière bien moins subtile, au détriment parfois du plaisir de conduire.
Les autres plus de ce CR-V de quatrième génération construit en Angleterre sont un bruit très réduit dans l’habitacle, une consommation d’essence ou de diesel mieux contenue et une habitabilité encore améliorée. Le coffre peut accueillir deux vélos de cross ou quatre équipements de golf complets.
Pour le reste, châssis et carrosserie ont été revus pour offrir plus de sécurité en cas d’accident, tant pour les occupants du CR-V que pour un éventuel piéton. Et le gros moteur diesel incite toujours à jouer de l’accélérateur en sortie de virage. (24 heures)

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La Škoda Rapid, simple et très convaincante

Auto

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La petite dernière arrive en Suisse. Pas d’esbroufe, mais des idées.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 15.03.2013

Avec sa Rapid, Škoda revient aux classiques qui ont fait son succès. Pas de superflu, pas d’esbroufe: l’essentiel de la voiture, sans les fioritures.
Par contre, pas question pour autant d’une voiture au rabais. La Rapid ne manque de rien. Surtout pas de sécurité. Truffée d’airbags, extrêmement rigide, elle procure un sentiment de sécurité instantané.
L’intérieur, simple mais soigné, se révèle aussi confortable qu’accueillant. Mais ne cherchez pas les inserts en bois ou les incrustations de carbone. Tout ce qui est à bord est simple, utile et fonctionnel. Sans pour autant que l’ensemble fasse «cheap». Les matériaux sont de bonne qualité et l’ensemble ajusté aux petits oignons. Dame! On est dans le Volkswagen Group tout de même…
Bref, vous ne manquerez de rien. Et surtout pas de place! L’espace aux jambes est généreux et le coffre tout simplement gigantesque. Malgré sa forme de pseudo «trois corps», le hayon arrière englobe la vitre. Ce qui fait que, au moment d’ouvrir le coffre, vous découvrez une véritable soute à l’accès ultrafacile! A conduire, la Rapid se montre convaincante. Sans excès de punch, mais sans «trou». Cerise sur le gâteau, le bloc diesel de notre modèle d’essai s’est montré aussi sobre qu’endurant. Et comme le prix est très raisonnable…

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La Škoda Rapid 1600 TDI.
Image: Philippe Clément
PRIX DE BASE

19'990 francs
FICHE TECHNIQUE

ŠKODA RAPID 1,6 TDI

Cylindrée: 1598 cm3.
Puissance: 105 ch à 4400 tr/min.
Couple: 250 Nm de 1500 à 2500 tr/min.
Transmission: aux roues AV.
Boîte: Man. 5 rapports.
Dimensions (Lxlxh): 4,48 x 1,71 x 1,46 m.
Empattement: 2,60 m.
Coffre: de 550 à 1490 l.
Poids: 1265 kg.
Performances: 190 km/h. 0-100: 10’’4.
Consommation: 4,3 l/100 km.
Emissions de CO2: 106 g/km.
Etiquette énergie: A
BIEN VU: le coffre

La soute de la Rapid est tout bonnement géante! Et, en plus, hyperpratique d’accès. Une réussite magistrale! (Image: Philippe Clément)
MAL VU: le réservoir

On croyait définitivement bannis les bouchons de réservoir à clé: raté! Agaçant, mal pratique et compliqué, ça énerve… (Image: Philippe Clément)
LE DÉTAIL: «Ecosurveillance» incluse

Pour faire moins cher, on a opté pour une boîte manuelle. Mais pour économiser de l’essence, cette boîte à 5 rapports est munie d’un indicateur qui vous aide à choisir le bon rapport. Utile. (Image: Philippe Clément)

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L’eau qui rend euphorique

BMW R 1200 GS

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En 2013, la star bavaroise vit une révolution. Son Flat Twin adopte un refroidissement air/eau. Résultat: sa conduite en devient plus souveraine encore.
Par Claude Bovey Almería (Espagne). Mis à jour le 17.03.2013

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Fiche technique

BMW GS 1200
Dimensions (L × l × H) 2207 x 952,5 (avec rétros) x 1412 mm (sans rétros)
Empattement 1507 mm
Hauteur de selle 850/870 mm
selle basse: 820 mm.
Kit de surbaissement 790 mm
Réservoir 20 l. (dont 4 l. de réserve)
Poids tous pleins faits 238 kg
Prix Dès 16 450 fr.
Livraison Immédiate

Moteur

Cylindres Boxer 2 à plat, 4 T, refroidissement air/liquide, entraînement des ACT par pignons cylindriques hélicoïdaux
Cylindrée 1170 cm3
Chevaux (kW) 125 (92) à 7750 tr/min
Couple maxi 125 Nm à 6500 tr/min
Alimentation Injection électronique numérique séquentielle phasée. BMS-X avec
E-Gas

Châssis

Transmission Par cardan, boîte
de vitesses à 6 rapports
Cadre concept en 2 parties
(AV et AR) avec ensemble moteur-boîte de vitesse intégré à la structure portante
Suspensions AV Telelever combiné ressort-amortisseur central. Diamètre
des fourreaux 37 mm, Débattement 190 mm. AR Monobras oscillant système Paralever. Précontrainte et détente réglable. Débattement 200 mm

Freins

Avant Double disque flottant
de 305 mm, avec étrier fixe à 4 pistons, ABS
de série partiellement couplé, déconnectable
Arrière Simple disque
de 276 mm, étrier flottant à 2 pistons, ABS de série partiellement couplé, déconnectable

Galerie Photos

Moto: la BMW R 1200 GS
Galerie de photos







Plus de trente ans. Presque une éternité que le nom GS, pour «Gelände/Strasse» (terrain/route), résonne dans l’esprit des motards. Le modèle est devenu mythique auprès des passionnés de deux-roues en mal d’évasion, de performances et de confort. Aujourd’hui, le concept de la moto polyvalente à l’extrême fait encore et toujours rêver. D’autant que la reine de Munich n’a pas cessé d’évoluer. Sa cylindrée, d’abord, a passé de 800 à 1200 cm3 en 2004. Puis sa suspension inédite, où l’électronique sophistiquée permettant l’adoption de moult systèmes de sécurité et d’agréments de conduite, a remplacé les ressorts. Son look, lui, est toujours resté fidèle à une identité forte. Signe particulier: le pilote est haut perché (un kit de surbaissement permet d’atteindre au mieux 790 mm sur la version 2013). Et la face avant, spectaculaire, dévoile un gros bicylindre à plat et un garde-boue proéminent, style «bec de canard».
Virage technologique
Preuve de sa profonde mutation, le flat Twin voit sa boîte et son embrayage intégrés dans le carter moteur. Conséquence: la traditionnelle transmission par cardan change de côté. A l’inverse, le système d’échappement se fixe maintenant à droite. Côté identité visuelle, la GS version 2013 a juste affiné ses traits. On la trouvera plus acérée, plus étroite, plus racée, voire plus sportive. Bref, la GS vient de vivre une véritable révolution. Virage technologique, son flat Twin est désormais doté d’un refroidissement air/eau. De quoi encore mieux évoluer dans le futur et faire face aux nouvelles normes antipollution. Mais pas que… Cette «option liquide» lui a permis de gagner en puissance et de disposer de 125 chevaux gavés par un gros couple, ce qui la rend plus forte et plus onctueuse que par le passé. Le son du moteur a changé. Il est désormais plus rauque et dispense une virilité sportive. Les vibrations, gênantes pour d’aucuns, ont presque disparu. Même le mythique effet de balancement gauche droit en mettant des gaz à l’arrêt ne se fait quasi plus ressentir. Mais, c’est une fois au guidon de la GS que l’eau bavaroise distille immédiatement ses effets euphorisants. La pléthore d’informations à l’écran a de quoi donner le tournis… Mais après une brève initiation, on gère les «clics» et on joue de la molette comme un pro! Avec cinq modes de gestions moteur (Rain, Road, Dynamic, Enduro et Enduro Pro), la nouvelle GS permet d’adapter la conduite soit au terrain soit aux conditions climatiques. De plus, un réglage pointu du système d’antipatinage est disponible pour chaque mode, couplé à la gestion électronique des suspensions. Pour disposer de la «totale», il faudra bien sûr opter pour des packs disponibles en option. Lors de notre essai, l’eau (encore elle) nous a fait opter pour les modes Rain, Road et quelques kilomètres en Dynamic. A chaque instant, le plaisir – agrémenté parfois de montées d’adrénaline… – fut au rendez-vous. Sur route détrempée, la sensation de sécurité est immédiate. Grâce tant à la confiance que dispense l’excellent ABS qu’au système d’antipatinage qui fait merveille et évite le stress. Les glissades sont contrôlées sans même s’en apercevoir. Tout juste un signal lumineux prouve-t-il que le système s’est mis en action. Signal qui, dans ces conditions, émet souvent… en continu! Sur route sèche, le mode Dynamic s’impose. Et dès cet instant, les vertus d’agilité de la GS dopent le pilotage. D’autant plus que la tenue de cap s’avère radicale. Le tout dans un confort souverain. La R 1150 GS est à l’aise en toutes circonstances. Peu importent les conditions atmosphériques désastreuses. (Le Matin

http://www.lematin.ch/auto-moto/eau-...story/14643694

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Le 83e Salon de l'auto ferme ses portes

Genève

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Le 83e Salon de l'auto de Genève a fermé ses portes. Durant les 11 jours, quelque 690'000 visiteurs sont venus admirer les belles carosseries présentées à Palexpo, un chiffre légèrement en-dessous (-2%) de celui de l'an dernier.
Mis à jour à 19h46 1 Commentaire

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1/13Genève, le 9 Mars 2013. Premier week-end du Salon de l'auto. La foule est présente dès l'ouverture des caisses ce samedi matin.© Magali Girardin.






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Les voitures du Salon de l'auto 2013: notre sélection
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«Nous sommes très satisfaits de ce résultat», commente Maurice Turrettini, président du salon, dans un communiqué transmis dimanche soir. «Nous accueillons près de 40% de visiteurs venant des pays voisins, et au vu de leur situation économique difficile, un net recul aurait pu être envisagé.»
Selon les premiers résultats d'une enquête, les exposants ont été très satisfaits du déroulement de la manifestation et de l'intérêt des visiteurs, assurent les organisateurs. Ils ont présenté plus de 130 premières mondiales.
5000 m2 de surface en plus
La manifestation a accueilli 260 exposants de 30 pays. Grâce à l'extension de la Halle 6 de Palexpo, les organisateurs ont pu offrir 5000 m2 de surface d'exposition supplémentaire. Les voitures peu gourmandes en carburant ou à propulsion alternative ont représenté pour cette édition 10% des véhicules exposés.
L'événement a aussi été l'occasion pour l'association des importateurs auto-suisse de lancer l'initiative populaire pour un financement équitable des transports, dite «vache à lait», et de récolter les premières signatures. Cette initiative demande que les impôts et taxes prélevés sur les automobiles soient affectés aux infrastructures routières.
Le 84e Salon international de l'automobile se déroulera du 6 au 16 mars 2014. (ats/Newsnet)

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Mercedes crée le break le plus puissant de son histoire

Nouveaté

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Technologie, merci! Assurer un confort digne d’un salon à un break qui roule comme s’il ne connaissait que la piste, relève de l’exploit. La Mercedes-Benz E63 AMG y parvient, grâce à des astuces omniprésentes
Par Gil Egger, Barcelone. Mis à jour le 16.03.2013 3 Commentaires

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Mercedes-Benz E63 AMG
Les quatre détails

http://www.lematin.ch/auto-moto/merc...story/20012204



Fiche technique

Mercedes-Benz E 63 AMG S 4Matic

Dimensions (L x l x H) 4,90x1,85x1,50 m
Empattement 2,87 m
Places 5
Coffre 695 l (1950 dossiers arrière rabattus)
Poids 2045 kg
Prix 161 700 fr.
Moteur V8 biturbo
Cylindres 8
Cylindrée 5461 cm3
Boîte Speedshift 7 rapports
Chevaux (kW) 585 (430)
Couple maxi 800 Nm
Aides à la conduite «Intelligent Drive»
Avertisseur de collision et freinage d’urgence assisté, surveillance de l’attention, régulateur de vitesse et de distance, freinage d’urgence surveillant le trafic perpendiculaire, Pre-Safe détecteur de piétons, avertisseur de franchissement de ligne. Différentiel bloquant à l’arrière.

Performances

Vitesse max. Vitesse max. 250 km/h (bridée)
0-100 km/h 03’’7
Consommation Mixte normalisée 10,5 l/100 km
Emissions de CO2 246 g/km
Etiquette énergie G
Autres versions E63 AMG 4Matic (557 ch-410 kW) 147 000 fr. Classe E break dès 59 900 fr. (diesel E200 CDI BlueEFFICIENCY), E200 essence 61 300 fr.
Garantie Garantie Mercedes-Swiss-Integral toutes réparations, usure comprise, 3 ans ou 100 000 km. Services gratuits 10 ans (ou 100 000 km). Garantie mobilité Mobilo.





Après avoir pris en main différentes variantes de la nouvelle Classe E, un doute s’insinue quand vient le moment de rouler en E63 AMG. Car le simple énoncé de dotation de son moteur la désigne comme une voiture ultra-performante: 585 ch, ce qui en fait la berline la plus puissante jamais proposée par Mercedes-Benz. Va-t-elle coller à la chaussée, comme il se doit pour assurer une tenue de route digne de sa cavalerie, en soumettant nos vertèbres à un traitement propre à les tasser? Pas besoin d’effectuer des centaines de kilomètres: après quelques-uns, le miracle des suspensions pilotées se révèle et, oh surprise, le confort est à la hauteur de celui qu’on attend d’une luxueuse Mercedes.
Elle change de tempérament
Mercedes-Benz a tout prévu. Sa division AMG consacrée à la performance propose même cette E63 sous une livrée discrète, dépourvue de signes distinctifs comme la mention de côté «V8 biturbo» et remplace les quatre sorties d’échappements originales par deux, moins voyantes. Vous pouvez ainsi vous rendre au bureau sans le moindre élément tape à l’œil. Seul le coup de gaz rageur à la mise en route dénoncera le style réel de la voiture. Le mode de conduite le plus raisonnable ménage vos passagers. Le démarrage s’effectue le plus souvent en deuxième et la souplesse générale est de rigueur. Superconfortable, on vous dit. Mais le bouton de commande arborant d’autres choix est trop tentant: «S», «S +» ou «M», pour deux variantes de sportivité, le dernier désignant le conducteur comme seul responsable des rapports qu’il enclenche manuellement. Les deux premiers ont un dynamisme de plus en plus poussé. Afin d’assurer le passage des vitesses le plus rapide possible, des cylindres sont brièvement désactivés pour éviter les pics de couple dans la boîte. Petit effet collatéral très agréable aux oreilles, l’échappement fait entendre une détonation étouffée aussi enthousiasmante que le coup de gaz lorsqu’on rétrograde.
Un break exceptionnel
Nous avons effectué le plus grand nombre de kilomètres des parcours d’essai autour de Barcelone avec le break. Jamais une voiture de ce gabarit, avec un volume de chargement plus que géant, ne nous avait paru aussi bien balancée. Il faut un savoir-faire de haut niveau pour donner à une berline de deux tonnes cette agilité époustouflante. Bien sûr, les dimensions imposent une certaine prudence sur des routes étroites, peu habituées à voir se déchaîner des testeurs séduits par cette AMG. Cette «S» extraordinaire passe sa puissance à raison de 67% sur les roues arrière, 33% sur celles de l’avant, un choix expliquant l’équilibre que l’on ressent à son volant. En comparant les chiffres, on s’aperçoit que la nouvelle venue signée AMG surpasse de deux dixièmes en accélération de 0 à 100 km/h la référence en la matière, l’Audi RS6 Avant, tout un symbole de la lutte des marques «premium» pour convaincre une clientèle au niveau d’exigence élevé. D’ailleurs, la lettre «S» va peu à peu orner d’autres AMG d’exception, comme le grand coupé break CLS Shooting Brake.
Davantage de sécurité
Mercedes-Benz équipe ses voitures de la classe E avec un ensemble très complet de dispositifs de protection. Mentionnons seulement ceux qui réduisent au maximum les conséquences d’un choc. A l’arrêt, un radar arrière détecte un véhicule s’approchant trop rapidement sans décélérer. Les feux de détresse se mettent à clignoter frénétiquement et, si aucun freinage n’intervient, les ceintures se tendent, les freins se bloquent afin de minimiser le déplacement de l’auto. Objectif: éviter les contre-chocs aux passagers et autant que possible une collision en chaîne.