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Les salariés de Hyundai et Kia votent pour la grève

Industrie automobile

—
Ignorant un appel de l'entreprise, les salariés du constructeur automobile sud-coréen Hyundai et de sa filiale Kia Motors ont décidé de faire grève. Ils revendiquent d'être mieux payés et de meilleurs conditions de travail.
Mis à jour à 11h18

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Les syndicats de Hyundai et de sa filiale Kia Motors ont décidé de faire grève.
Image: Keystone

Les salariés du constructeur automobile sud-coréen Hyundai ont décidé mercredi par un vote de se mettre en grève.
Ils revendiquent de meilleurs salaires et conditions de travail, juste un an après la fin du conflit le plus coûteux de l'histoire de l'entreprise.
Ignorant un appel de l'entreprise, les syndicats de Hyundai et de sa filiale Kia Motors ont décidé de faire grève, mouvement qui débutera après une période légale de médiation de 10 jours.
Les syndicats de Hyundai réclament 130'500 wons (112 francs) d'augmentation du salaire mensuel de base des travailleurs, une prime équivalente à huit mois de salaire ainsi que le partage aux salariés d'une somme de 2,4 millions de dollars -ou 30% du bénéfice net annuel du groupe de 2012.
Les syndicats de Kia ont présenté les mêmes revendications.
La direction de Hyundai souhaite éviter un arrêt coûteux de travail invoquant auprès des syndicats des salariés que la firme ne pourrait accéder à leurs exigences au moment même où la concurrence se fait de plus en plus rude et où la la croissance ralentit sur les marchés étrangers.
Recul des bénéfices
«Nous avons enregistré un recul de nos bénéfices en raison de la concurrence des marques étrangères dont les parts de marché augmentent et souffrons également d'une économie atone tant sur le marché national qu'international», indique le communiqué de la société.
Le syndicat a organisé l'an dernier 28 grèves partielles entre juillet et septembre, réduisant la production de plus de 82'000 véhicules pour un coût de 1,7 milliard de wons.
Les pertes dues aux grèves qui ont eu lieu au sein du groupe Kia en 2012 ont été estimées de leur côté à 1,03 milliard de wons.
Hyundai a annoncé un bénéfice net en baisse de 1% au deuxième trimestre 2012 à 2520 milliards de wons. (ats/Newsnet)

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Automobile

Le top 20 des voitures les plus chères au monde

Par Matthieu Hoffstetter. Mis à jour le 16.08.2013

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L'été est propice aux sorties en voiture de sport. Et c'est justement dans cette catégorie que se retrouvent les automobiles les plus chères au monde.

1/21 Et c'est une Lamborghini qui se retrouve avec le titre officieux de voiture la plus chère au monde: la Veneno coûte près de quatre millions de francs. Avec son V12 de 750 chevaux, elle passe de 0 à 100 km/h en 2,9 secondes.
Image: Reuters


http://www.24heures.ch/economie/Le-t...story/23665346


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Mots-clés

• Audi
• Porsche
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• Volkswagen
• Mercedes

Innovations technologiques, nouvelles performances moteur, design des carrosseries, aménagement intérieur, richesse des matériaux: les voitures qui sortent des ateliers automobiles les plus prestigieux rivalisent en superlatifs... et en prix.
Loin des chaînes de montage standardisées, ces autos de prestige sont le fruit du travail des meilleurs ingénieurs et artisans. Certes, quelques constructeurs grand public placent là des modèles d'exception (Audi, Mercedes), et les spécialistes des grandes voitures de sport (Lamborghini, Ferrari, Aston Martin, Maybach, Porsche, (PAH3 65.78 -0.57%) Bugatti) sont présents.
Les moteurs hybrides font leur apparition
Mais ce palmarès donne également l'occasion de voir surgir des noms d'ateliers automobiles peu connus du grand public et qui produisent des voitures en nombre très restreint. Koenigsegg, Pagani ou Wolf Motors placent donc ici des modèles construits à moins de dix exemplaires.
Et force est de constater que les puissants moteurs gourmands en essence ne détiennent plus le monopole: plusieurs véhicules hybrides essence/électricité font leur entrée dans ce classement.
Les Allemands trustent le classement
A noter que le groupe Volkswagen (VW 176 0.49%) effectue un tir groupé à travers ses différentes marques en plaçant pas moins de sept modèles dans le Top 20 (avec Lamborghini, Audi, Bugatti, Porsche), suivi par le groupe Daimler AG (Mercedes et Maybach) avec trois modèles et qui fournit également les moteurs pour Pagani.
(Newsnet)

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La plus belle, c'est une décapotable

Concours d'élégance

—
Une Packard de 1934 a remporté le concours d'élégance de Pebble Beach. Les autres «old timers» n'ont pas démérité.
Par lematin.ch. Mis à jour le 19.08.2013 1 Commentaire

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1/25 C'est cette Packard de 1934 qui a remporté le concours d'élégance de Pebble Beach cette année.
Image: Reuters

http://www.lematin.ch/auto-moto/bell...story/13793785


Véritable institution dans le monde de l'automobile ancienne aux Etats-Unis, le concours d'élégance de Pebble Beach récompense chaque année un propriétaire pour la qualité de la restauration et le caractère historique du modèle présenté.
Cette année, c'est un cabriolet Victoria de 1934 équipé d'un V12 d'environ 150 ch et carrossé par Dietrich qui l'a emporté.

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offensive de son histoire
Auto

—
Entamé sur le plan du design avec le beau cabriolet Cascada, le programme conquérant d’Opel se poursuit avec les moteurs. Un diesel, un essence entament une série qui en totalisera treize en 2016.
Par Gil Egger Francfort . Mis à jour le 18.08.2013 10 Commentaires

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Le recours à l’aluminium réduit considérablement la masse. L’intégration d’éléments comme la pompe à huile rationalise la fabrication.
A côté du traditionnel bouchon pour le diesel, un autre, bleu, recueille l’additif nécessaire à la réduction des émissions d’oxydes d’azote.
Le moteur turbo essence SIDI symbolise les ambitions que la marque à l’éclair affiche pour regagner sa place en Europe.
Le CEO d’Opel Karl-Thomas Neumann présente le concept Monza qui montre les idées inspirant les futurs modèles.
FICHE TECHNIQUE

Opel Zafira Tourer CosmoDimensions (L x l x H) 4,66 x 1,88 x 1,68 m
Empattement 2,76 m
Places 5 ou 7
Coffre 7 places: 152 l (1792 dossiers arrière rabattus),
5 places: 710-1860 l.
Poids 1664 kg (7 places 1691 kg)
Prix 43 400 fr.
Moteur Cylindres 4 diesel
Cylindrée 1598 cm3
Boîte manuelle 6
Chevaux (kW) 136 (100)
Couple maxi 320 Nm
Aides à la conduite Contrôle de stabilité, de traction, de freinage et de couple en courbe, de trajectoire ESP, ABS avec EDB (répartition électronique du freinage)
PerformancesVitesse max. 193 km/h 0-100 km/h 11’’2
Consommation Mixte normalisée 4,1 l/100 km
Emissions de CO2 109 g/km
Etiquette énergie A
Autres versions Active essence 1,4 l dès 33 000 fr., diesel CDTi 1
6 l 38 200 fr.
Garantie2 ans, kilométrage illimité


La marque la plus européenne de General Motors ne veut pas perdre de l’argent plus longtemps. Elle fait valoir ses atouts sur le Vieux-Continent en annonçant d’ores et déjà vingt-trois nouveaux modèles à venir dans les neuf prochaines années. Le concept-car Monza, vedette du stand du salon de Francfort en septembre prochain, préfigure les lignes du futur. Avant cela, Opel annonce deux premiers nouveaux moteurs, le troisième, plus petit, vient en 2014, et tous les autres suivront. Un véritable plan d’attaque.
Le renouvellement de huit moteurs sur dix
En fait, 80% des groupes propulseurs vont être soit nouveaux soit complètement modifiés. Les deux premiers montrent la direction choisie par Opel. Qu’ils fonctionnent à l’essence ou au diesel, ils sont fabriqués dans la même usine de Szengotthard en Hongrie, sur la même chaîne car ils partagent leurs bases. Une économie nécessaire pour conserver des prix acceptables, car les exigences écologiques alourdissent de plus en plus la conception et l’industrialisation.
Le moteur turbo essence baptisé SIDI (Spark Ignition Direct Injection) pourra afficher plusieurs niveaux de puissance. Pour le moment, il développe 170 ch et est installé dans le cabriolet Cascada, l’Astra GTC et le monospace Zafira Tourer. Il prendra ensuite place sous le capot de la berline Insignia. Des déclinaisons à 140 ch ou à 200 ch montrent l’étendue de ses possibilités. Son couple de 280 Nm le place devant la plupart de ses concurrents de la gamme moyenne. Pour les ingénieurs, il fallait assurer le confort d’utilisation, ils ont ainsi favorisé la réactivité: sur autoroute, quand on appuie sur les gaz, il suffit de moins de deux secondes pour avoir 90% du couple disponible. L’accélération entre 80 et 120 km/h est ainsi plus rapide de 20% par rapport à son prédécesseur. Son efficacité énergétique a été améliorée de 13%.
Son cousin diesel de 136 ch abaisse les émissions de CO2 de 10% par rapport à son prédécesseur, le 1,7 qu’il remplace. Le couple a crû de 30%. Un travail particulier a été effectué sur le bruit, qui baisse de 2dB (A), ce qui correspond à près de 50% par rapport à l’ancien. Selon Opel, cela en fait le plus silencieux de sa catégorie. Il est prêt pour les normes Euro 6, dont l’introduction est prévue l’an prochain. Il parvient à les respecter grâce à un additif à base d’urée. En Suisse 65% des acquéreurs du monospace à cinq ou sept places Zafira choisissent la motorisation diesel. En milieu de gamme, le nouveau venu devrait les convaincre facilement avec sa consommation théorique de 4,1 l/100 km. Des astuces comme une pompe à eau déclenchable grignotent des millilitres. Sa souplesse de construction permet d’envisager pour lui aussi une gamme de puissances variée.
Les progrès indispensables
Nous avons roulé avec les deux nouveaux moteurs sur le Zafira Tourer. Celui à essence se montre particulièrement agréable grâce au couple généré par le turbo. La commande de boîte de vitesses a été améliorée pour davantage de douceur. La réactivité est bonne et la puissance suffit pour un usage familial courant. Son cousin diesel a un couple encore plus conséquent et incite à une conduite toute en souplesse. Un comportement qui va évidemment favoriser la consommation, même si l’on sait qu’il n’est pas possible d’atteindre les chiffres officiels. Avec ce programme, avec les annonces prévues à Francfort cet automne, Opel entend bien revenir sur le devant de la scène. Outre ces progrès technologiques, elle entend bien mettre en avant un design résolument avant-gardiste, afin de se démarquer de concurrents que la clientèle pourrait trouver trop classiques.
Reconquérir des parts de marché passe par un effort considérable sur tous les plans. Première étape, proposer des moteurs parmi les plus modernes qui soient. (Le Matin)

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L’Audi S3 Sportback se renouvelle

Succès

—
Les modèles Audi les mieux dotés en cavalerie plaisent aux Suisses. Mais ils les veulent en cinq portes.
Par Gil Egger. Mis à jour le 08.09.2013

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Le modèle S3 Sportback combine les critères fondamentaux d’une sportive dans une carrosserie à cinq portes que réclame une majorité des acquéreurs de notre pays.
Image: DR
Les 4 détails


Les 4 sorties d’échappement désignent la S3 comme une sportive, elles émettent un petit coup de fusil au changement de rapport. (Image: DR)
La commande de tous les éléments importants s’effectue au moyen d’un gros bouton, proche du levier de la boîte S tronic. (Image: DR)
Le terme Sportback s’applique à toutes les cinq-portes, sur cette S3 les places arrière sont peu généreuses mais suffisantes. (Image: DR)
La traction intégrale quattro permet une excellente motricité sans étouffer les sensations d’une conduite dynamique. (Image: DR)
Fiche technique

Audi S3 Sportback 2.0 TFSI quattro S-tronic

Dimensions (L x l x H) 4,32 x 1,78 x 1,40 m
Empattement 2,63 m
Places 5
Coffre 340 l (1180 dossiers arrière rabattus)
Poids 1520 kg
Prix 57 350 fr. (eurobonus à déduire)

Moteur

Cylindres 4
Cylindrée 1984 cm3
Boîte S tronic 6 double embrayage
Chevaux (kW) 300 (221)
Couple maxi 380 Nm

Aides à la conduite

Transmission quattro à contrôle électronique, différentiel à blocage électronique, contrôles de trajectoire, de motricité

Performances

Vitesse max. 250 km/h (limitée)
0-100 km/h 4’’9

Consommation

Mixte normalisée 6,9 l/100 km
Émissions de CO2 159 g/km
Étiquette énergie E
Autres versions boîte manuelle dès 54 600 fr.

Garantie

3 ans ou 100 000 km avec réparations (entretien 10 ans ou 100 000 km).

Les Suisses aiment Audi, surtout quand les moteurs sont du genre musclé. Dans la gamme A3, plus de quatre voitures sur dix sont des S3 ou RS3, cette dernière étant actuellement encore basée sur l’ancienne architecture. Nous avons découvert la nouvelle S3 Sportback, cette dénomination désignant la cinq portes. Elle représente la majorité des ventes, les trois portes ont moins la cote.
Nouveau moteur
En travaillant sur le 2l TFSI, Audi a réussi à le rendre plus puissant et plus économe. Avec seulement 6,9l/100 km, cela fait 1,5l/100 km de moins que sur le modèle précédent. Un gros progrès, partagé avec la VW Golf R, cousine très proche et motorisée de même manière. Au total, le chiffre tout rond de 300 ch impressionne sur le papier. Qu’en est-il au volant? Ce n’est pas tellement le total qui se manifeste, mais plutôt la disponibilité du couple, de 380 Nm, qui réveille l’auto dès 1800 t/min, autant dire que le pied droit a en permanence suffisamment de chevaux à solliciter. Les accélérations sont puissantes, mais sans brutalité. Sur les autoroutes allemandes, il est facile d’atteindre les 250 km/h, limités électroniquement, ce n’est pas la voiture qui l’empêche, seulement le trafic!
Pour les gens pressés, ou qui désirent effectuer un démarrage canon sur circuit, la fonction «launch control» gère un léger patinage et maintient la motricité à son maximum. De série, le conducteur choisit le profil qu’il préfère en fonction du trajet qu’il veut accomplir en sélectionnant le mode «comfort», «auto», «dynamic» ou «efficiency», en option il peut aller plus loin en le personnalisant sous l’appellation «individual». Les suspensions «magnetic ride» sont également en option, elles gèrent la rigidité des amortisseurs en fonction de la manière de rouler.
Un châssis qui joue l’équilibre
Nous avons pris contact avec la S3 dotée de la boîte à double embrayage S tronic, elle représente 55% des ventes sur toute la gamme A3 dans notre pays. Six rapports bien étagés, dont les changements sont accompagnés d’un petit coup de fusil sourd dans l’échappement, confirmant le caractère de cette S3, et, heureusement, restant discret pour les oreilles des passants.
Les amateurs de cette variante S3 se recrutent partout, ils sont même souvent pères, ou mères, de famille. Répondre à leurs besoins demandait de porter une attention particulière au confort. Car la puissance sans un minimum de souplesse devient rapidement lassante, surtout pour ceux qui ne conduisent pas. Le train roulant cumule plusieurs qualités. Tout d’abord, la précision. La direction inscrit la S3 au millimètre dans les courbes. La traction sur les quatre roues quattro se charge de gérer automatiquement la répartition du couple au cas où la chaussée présenterait des surfaces glissantes. Ensuite, l’essieu avant a été avancé par rapport au modèle précédent, le moteur a perdu 5 kg, la voiture 70 kg au total, et la répartition des masses s’en trouve améliorée, elle est de 59% à l’avant, 41% à l’arrière. Les suspensions et l’amortissement réussissent l’exploit de préserver les vertèbres lombaires des occupants sans pénaliser le comportement sportif.
Réussir à proposer un modèle réunissant des qualités sportives tout en le positionnant à côté de modèles compacts luxueux est un pari bien réussi pour cette nouvelle S3. Elle va bientôt apparaître dans les vitrines des concessionnaires. Elle est reconnaissable à ses quatre sorties d’échappement, ses roues imposantes, son spoiler arrière et son bouclier avant. Toutefois, cela reste assez peu ostensible. (Le Matin

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La VW Polo R WRC possède les gènes du rallye

Série limitée

—
Les règles de la compétition automobile imposent de construire 2500 exemplaires de la voiture qui sert de base au bolide de rallye. Tant mieux! La VW Polo R WRC a de quoi susciter l’excitation.
Par Gil Egger. Mis à jour le 01.09.2013 6 Commentaires

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Bien motorisée, équilibrée, la version civilisée de la voiture de rallye conçue par VW séduira les amateurs de puissance et d’agilité.
Image: Volkswagen
Fiche technique

VW Polo R WRC

Dimensions (L x l x H) 4,00 x 1,68 x 1,46 m
Empattement 2,70 m
Places 5
Coffre 204 l (882 l dossiers arrière rabattus)
Poids 1324 kg
Prix 33 900 fr.

Moteur

Cylindres 4 turbo
Cylindrée 1984 cm3
Boîte 6 manuelle
Chevaux (kW) 220 (162)
Couple maxi 350 Nm

Aides à la conduite

Différentiel électronique XDS, contrôle de trajectoire et de traction.

Performances

Vitesse max. 243 km/h
0-100 km/h 6’’4

Consommation

Mixte normalisée 7,5 l/100 km
Émissions de CO2 174 g/km
Étiquette énergie F
Autres versions 300 exemplaires pour la Suisse, sinon on se consolera avec la Polo GTI, mais qui a 180 ch «seulement».
Garantie 2 ans
La voiture de rallye affiche 100 ch de plus et 100 kg de moins que celle qui est sur le marché, mais elles se ressemblent bien! (Image: Bildagentur Kräling)
La Polo dispose d’une boîte manuelle, contrairement à la GTI, disponible qu’avec la DSG et développant 180 ch. (Image: DR)
Les sièges sport sont marqués du sigle WRC (World Rallye Championship) et maintiennent bien le dos. (Image: DR)
Le volant recouvert d’alcantara assure une prise en main à la fois douce et sûre, idéale pour les tempéraments sportifs. (Image: DR)


A un jet de pierre de l’aéroport de Luxembourg, les coteaux de la Moselle sont recouverts intégralement de vignobles, dégageant des routes sinueuses et étroites idéales pour un rallye sur asphalte. Celui d’Allemagne s’y déroulait le week-end dernier, qui devait permettre à Volkswagen (VW 166 -0.60%) Sport de confirmer sa suprématie de début de saison et le talent de ses pilotes, Sébastien Ogier et Jari-Matti Latvala. Le premier dut céder sa place au second, pour cause de tutoiement trop familier avec quelques ceps, à cause d’un freinage un poil tardif.
Le pilote de la deuxième voiture connut peu après une mésaventure peu banale puisque son copilote Milla Anttila, occupé à retenir sa portière qui voulait reprendre sa liberté, annonça trop tard un freinage. Sortie de route, la poisse. Les ambitions de Volkswagen dans son pays s’arrêtèrent là et Citroën fêta sa victoire. Rien n’est joué, les funambules de la route savent trop bien qu’à ce niveau, la moindre anicroche vous prive de tout. Chez VW, on sent comme un sentiment de revanche.
La Polo R WRC pour la route
VW n’a pas entamé sa première saison dans le World Rallye Championship (WRC) pour jouer les figurants. D’emblée, les Polo se sont hissées aux avant-postes. L’expérience de vieux routards que sont Luis Moya et Carlos Sainz, deux fois champions du monde, a permis de peaufiner le développement de la Polo de compétition. Les pilotes confirmés, Ogier et Latvala en particulier, ont trouvé là un instrument à la hauteur de leur ambition.
Le règlement de la FIA (Fédération internationale de l’automobile) exige que la voiture de course soit issue d’une base accessible à Monsieur-Tout-le-monde. Ce qui nécessite de produire une série de 2500 exemplaires. VW le fait de belle manière avec la Polo R WRC présentée en marge de ce rallye d’Allemagne. Sur le spoiler arrière figure son numéro: nous avons conduit la 4/2500.
Bien sûr, pas question de conserver les 315 ch de la bête de course, mais les 220 suffisent largement pour assurer un tempérament allègrement sportif. D’autant que le poids n’atteint pas les 1400 kg. Pas de traction sur les quatre roues comme en compétition, mais une gestion soigneuse du train avant assurée par un différentiel électronique. Il a le bon goût de ne pas intervenir de manière trop insistante. Résultat: la Polo R WRC est une «voiture à conduire», elle demande de l’attention, de choisir ses trajectoires, elle combine le plaisir et l’exigence. La seule version disponible possède une boîte manuelle à six rapports. Cela compense l’absence de ce choix sur la Polo GTI, que l’on ne peut avoir qu’avec la boîte à double embrayage DSG.
Confortablement calé dans des sièges bien dessinés, élégants, en deux couleurs, le conducteur pourra prendre en main un volant en alcantara au toucher doux, favorisant la maîtrise. L’équipement n’a rien de spartiate, au contraire, il est très complet et compte une climatisation automatique, des sièges chauffants, un système de navigation, un régulateur de vitesse, une alarme antivol notamment.
Les Suisses en redemandent
Au départ, en décembre dernier lors de l’annonce de cette nouvelle Polo, le quota pour la Suisse était fixé à 111 voitures, pour un prix dépassant les 40 000 fr. Pour donner une idée du goût des Suisses, la France en a prévu 50. Aujourd’hui, VW fait un effort digne d’un champion du monde – son objectif annoncé – et importera 300 voitures pour le prix compétitif de 33 900 fr. Les concessionnaires, certains privés, ont sollicité rapidement la marque pour obtenir cette variante musclée de la Polo, ce qui fait que près de 170 commandes ont d’ores et déjà été engrangées. Il faut dire que les voitures fortes en tempérament ont toujours trouvé un terrain de jeu très ouvert dans notre pays. (Le Matin)

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Harley met de l’eau dans son Twin

Projet Rushmore

—
Pour 2014, la marque américaine optimise entièrement sa gamme Touring en collaboration serrée avec ses clients. Révolution: un moteur qui prend l’eau!
Par Claude Bovey. Mis à jour le 01.09.2013

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1/7 prova test momapix
Harley-Davidson


http://www.lematin.ch/auto-moto/harl...story/27369049


Fiche technique

Harley-Davidson Street Glide

Dimensions Longueur 2450 mm
Empattement 1625 mm
Hauteur de selle 695 mm
Réservoir 22,7 l
Poids pleins faits 372 kg
Prix 28 800 fr.
Livraison Dès mi-septembre

Moteur

Cylindres High Output Twin Cam 103B™ 4 T, refroidi par air avec radiateur d’huile intégré
Cylindrée 1690 cm3
Chevaux (kW) Non communiqué
Couple maxi 138 Nm à 3500 t/min
Alimentation Injection électronique

Châssis

Transmission Par courroie crantée, boîte de vitesses à 6 rapports
Cadre Double berceau en acier
Freins (ABS) Reflex ABS combiné avant 2 disques
de 300 mm, étriers fixes à 4 pistons. AR 1 disque de 300 mm, étrier fixe à 4 pistons

Equipement
Infotainment Boom Box 4.3 Puissance audio 25 watts par canal, 2 haut-parleurs.
Phares lampes halogène Dual améliorées

«Nous roulons avec vous!» cette phrase de l’emblématique ex-patron Willie G. Davidson résume au mieux ce qu’est le projet Rushmore de Harley-Davidson. Optimiser fondamentalement tous les aspects de la conduite d’une moto. D’où le nom de code Rushmore, qui peut se résumer en trois parties. Rush pour la fougue, more pour les plus apportés aux modèles et enfin Rushmore, lieu mythique des randonnées des bikers américains. Tout un programme, qui au final, reflète une somptueuse réussite.
Les effets directs dudit projet se traduisent par l’arrivée de 150 nouveaux composants sur les quatre modèles qui composent la famille Touring de Harley-Davidson, à savoir: la Road King Classic, la Street Glide, l’Ultra Classic Electra Glide et la plus spectaculaire de la famille, l’Electra Glide Ultra Limited.
Encore plus spectaculaire, cette révolution qu’on n’osait même pas imaginer: Harley adopte désormais un refroidissement à eau en supplément de son traditionnel refroidissement par air sur son célèbre moteur High Output Twin Cam 103! Le voilà donc rebaptisé Twin-Cooled High Output Twin Cam 103 uniquement sur les deux Electra Glide Ultra et Limited. Les radiateurs de ce système de refroidissement liquide ont été astucieusement apposés dans les carénages latéraux des pare-cylindres. Quant à la pompe, elle se situe maintenant au bas du bloc-moteur, bien dissimulée. Autre petite révolution chez le numéro un des ventes de motos en Suisse, un système de freinage ABS couplé, baptisé Reflex. Ce véritable plus équipe de série les quatre modèles de la Gamme Touring. A l’usage, il s’avère d’une belle efficacité. De plus, il a la particularité de redevenir indépendant de l’avant et de l’arrière, en dessous de 40 km/h.
Un autre pan du projet Rushmore a consisté à retravailler d’un commun élan l’esthétisme, le confort, l’aérodynamisme et la convivialité de ces quatre reines du bitume. Exemple frappant: les valises latérales peuvent maintenant, et au besoin, être ouvertes latéralement par le passager lorsque la moto roule, grâce à une fermeture située près de ses mains, alors qu’auparavant il fallait descendre de la moto et actionner la fermeture placée sur le côté. Le design des valises et du coffre a été affiné et donne une impression moins massive. Bel effet d’illusion! Car le volume de chargement a, d’un autre côté… augmenté. On peut ainsi déposer deux casques intégraux mis à plat dans le coffre. Côté confort, l’assise passager-pilote a été réétudiée. La place dont ils disposent est plus grande, plus pratique et plus moelleuse. Pour le confort du pilote, Harley a encore revu le carénage si caractéristique des Touring. Avec un défi de taille à relever: réduire considérablement les turbulences gênantes au-dessus de la tête. Là encore, la réussite est au rendez-vous. Spectaculaire, le bidule porte admirablement son nom: carénage Batwing! Quelques miles parcourus au guidon d’une Street Glide au son envoûtant du bicylindre de Milwaukee nous auront vite démontré que ce modèle a gagné tant en agilité qu’en onctuosité. Le projet Rushmore a tout juste!
Best-seller des ventes de Touring en Suisse, aux États-Unis et dans le monde, la Street Glide envoûte par la sonorité qu’elle diffuse et aussi par son agilité surprenante. (Le Matin)

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Optima: l'hybride optimale

Test

—
KIA Spacieuse, high-tech, suréquipée, garantie 7 ans, la coréenne écolo est un must.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 30.08.2013 1 Commentaire

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Ce qui frappe le plus, au volant? L’efficacité du système hybride, qui n’a d’égal que sa simplicité.
Image: DR
Prix de base

47 950 francs
BIEN VU

Commandes claires, détails soignés, place: à bord tout n’est que richesse et qualité. Les sièges sont tous chauffants, celui du pilote est même ventilé!
MAL VU

Prétéritée par la présence de la batterie, la soute à bagages (381 litres seulement!) est le seul élément de cette auto qui n’est pas à la hauteur.
En chiffres

Cylindrée: 1999 cm3 (essence), électrique D/C.
Puissance: 150 ch à 6000 tr/min (essence), 40 ch (électrique).
Couple: 180 Nm à 500 tr/min (essence) 205 Nm de 1 à 1400 tr/min (électrique).
Batterie: lithium-polymères, 270 V, 34 kW, 1,5 kWh.
Transmission: aux roues AV.
Boîte: automatique à 6 rapports
Dimensions (Lxlxh): 4,85 x 1,83 x 1,46 m.
Empattement: 2,79 m. Coffre: 381 l.
Poids: 1585 kg.
Performances: 185 km/h.
0-100: 9’’4.
Consommation: 6,6 l/100 km.
Emissions de CO2: 125 g/km.
Etiquette énergie: B


Son gabarit respectable la place, d’emblée, dans le haut du segment des berlines familiales. Sa technologie hybride ultra-efficace et d’une simplicité d’emploi déconcertante la hisse à la pointe des joujoux high-tech. La qualité de ses finitions et la richesse de ses équipements lui entrouvrent même la porte des voitures de luxe.
Et, comme si ces arguments ne suffisaient pas, sa garantie de sept ans l’installe au sommet des voitures intéressantes au niveau budget. Mais l’atout massue arrive, comme une griotte sur le gâteau: hormis la peinture métallisée ou le toit ouvrant en verre – les deux seules options possibles! – la Kia Optima se négocie à moins de 50 000 francs!
Ce qui frappe le plus, au volant? L’efficacité du système hybride, qui n’a d’égal que sa simplicité. C’est bien simple: en tant que conducteur, vous ne vous occupez de… rien! L’Optima démarre par la seule force de son moteur électrique de 40 chevaux. Ensuite – et sans avoir rien à faire pour cela – le moteur à essence de 150 chevaux arrive en renfort au moindre besoin. Montée, accélération forte ou pointe de vitesse: le système électronique surveille tout et gère les échanges de sources de transmissions. Alternées ou conjointes. Enfantin. Et ultraefficace: au terme de l’essai, la consommation moyenne atteignait ainsi 6,6 litres pour 100 kilomètres. Pas mal pour un objet pesant quand même la bagatelle de 1600 kilos! De quoi envoyer l’autonomie flirter avec les 1000 kilomètres.
Au volant? On est clairement dans un trend «vert». Inutile de vouloir chercher la performance. La direction, assez floue, et le caractère très souple du moteur incitent d’ailleurs à la conduite éco. sans oublier la petite branche d’arbre, se couvrant de feuilles au fur et à mesure de vos progrès. De quoi vous inciter à rouler léger et à profiter tant du confort global que de la qualité du système audio embarqué.

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Automobile

Avec Rolls-Royce, le luxe se lance dans le SUV

Par Matthieu Hoffstetter. Mis à jour le 09.10.2013

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Porsche a initié le mouvement en 2003. Dix ans plus tard, d'autres marques automobiles de luxe envisagent de lancer des 4x4 haut-de-gamme: Rolls-Royce vient de rejoindre Bentley, Lamborghini et Maserati.

1/6 Rolls-Royce a lancé son nouveau modèle, la Wraith, cet été, et envisage désormais de se lancer sur le créneau des SUV.
Image: Alexander Demianchuk/Reuters





En dix ans de commercialisation, Porsche a vendu plus de 200'000 exemplaires de son Cayenne (trois versions différentes). Et avec un modèle de prix qui a de quoi faire pâlir la concurrence: 8000 euros (10'000 francs) en moyenne de bénéfice par véhicule vendu. Soit 1,6 milliard d'euros (2 milliards de francs) de bénéfice sur un seul et unique modèle.
Si les réactions ont été mitigées au lancement, avec des observateurs qui criaient au crime de lèse-majesté, dix ans de succès pour le Porsche Cayenne ont fait taire (presque) toutes les critiques. A tel point que ce succès a mis en appétit d'autres marques de luxe. Ainsi, cet été, c'est Bentley qui a annoncé le lancement prochain d'un SUV, suivi quelques semaines plus tard par Maserati. Lamborghini avait pour sa part dévoilé dès 2012 son concept Urus sur le salon de Pékin, et Jaguar avait fait de même avec son CX-17.
Au tour de Rolls-Royce
Dès lors, rares sont encore les marques automobiles de luxe qui résistent à la mode du 4x4 de luxe. Parmi les derniers bastions, quelques constructeurs de sportives (Aston-Martin, Bugatti), des ateliers confidentiels (Lykan, Pagani, Koenigsegg, Zenvo) et deux légendes des limousines de luxe: Maybach et Rolls-Royce.
Dans les mois à venir, ces derniers résistants pourraient perdre une unité et pas des moindres: «J'ai demandé à nos concepteurs de coucher sur le papier des idées et d'imaginer à quoi une Rolls-Royce ressemblerait dans ce segment», a annoncé mardi 8 octobre Torsten Müller-Ötvös, directeur général de Rolls-Royce.
Une réflexion, pas encore de décision
Face au risque d'abimer l'image de marque de l'entreprise, le directeur général a immédiatement ajouté qu'il ne s'agissait à l'heure actuelle «que d'une réflexion», que celle-ci était lancée pour un modèle «sans pour autant perdre notre âme», et que le constructeur de légende n'entendait «pas devenir une marque de luxe de masse».
Une prudence dans les termes qui s'accompagne de formules tout aussi mesurées: «Aucune décision n'a encore été prise et nous ne nous précipitons pas. Nous n'avons en fait pas besoin de pénétrer ce segment. Cela n'a du sens que si Rolls-Royce peut y être crédible», ajoute Torsten Müller-Ötvös.
Le volume des ventes, clef du luxe
Et d'ajouter, pour rassurer son actuelle clientèle que «Rolls-Royce n'est pas une marque de voitures de sports. Rolls-Royce n'est pas une marque de voitures utilitaires, ce n'est pas dans les gènes de la marque».
Actuellement, le Rolls Royce GRP (0.00%) (propriété de BMW (BMW 80.74 0.45%) depuis 1998) commercialise cinq modèles: trois déclinaisons de la Phantom (Phantom, Phantom Drophead Coupé et Phantom Coupé), la Ghost et, depuis cet été, la Wraith. Au total, ce sont moins de 4000 voitures qui sont vendues chaque année (3575 en 2012, nouveau record). Et Torsten Müller-Ötvös ne souhaite pas augmenter démesurément ce chiffre: «Je pense que l'exclusivité est vraiment reliée au volume... Nous ne cherchons pas à atteindre les 10'000 ou 15'000».
Si le projet voyait le jour, les rues des villes ne seraient donc pas envahies par ce nouveau SUV. Mais la stratégie marketing de Rolls-Royce appliquée au SUV pourrait porter ses fruits même avec un nombre restreint de véhicules commercialisés. De là à imaginer la reine Elisabeth renoncer à son vieux Land Rover (qu'elle conduit encore elle-même) pour prendre le volant d'un SUV de la même marque que ses limousines?

http://www.tdg.ch/economie/entrepris...story/19572116

[Norton]

Hyundai IX35, en route vers les sommets

Test

—
Relifté, corrigé, amélioré, le SUV coréen fait encore mieux, partout.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 11.10.2013

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Image: DR
Prix de base: 23 990 francs

Cylindrée:1995 cm3.
Puissance: 184 ch à 4000 tr/min.
Couple: 392 Nm de 1800 à 2500 tr/min
Transmission: 4x4 permanent.
Boîte: automatique à 6 rapports

Dimensions (Lxlxh): 4,41 x 1,82 x 1,67 m.
Empattement: 2,64 m.
Poids: 1787 kg.
Performances: 195 km/h. 0-100: 9’’8.
Consommation mixte: 6,9 l/100 km.
Emissions de CO2: 182 g/km.
Etiquette énergie: F
LE DÉTAIL
Vous le préférez comment?
ADAPTATIVE Miracle de l’électronique moderne, la direction à résistante variable a tendance à se généraliser. Après le Santa Fe et la i30, la ix35 y a droit à son tour. De «NORMAL» à «SPORT», le volant devient plus dur, la direction plus directe. En ville, par contre, le mode «KOMFORT» – eh oui, les Hyundai européennes sont conçues en Allemagne... – permet des parcages tout en douceur. Et, au-dessus de 45 km/h, le bidule repasse tout seul en mode «NORMAL».
MAL VU
DÉTAIL On a aimé les panneaux de porte revêtus de garnissage moussé. Dommage, à ce stade, de garder cette console centrale en plastique dur. Bon, OK, on chipote…
BIEN VU
LIGHTSHOWSoulignés d’un trait de LED, les phares sont désormais disponibles en bi-xénon. Un seul projecteur, muni d’un cache, adapte le faisceau lumineux.

En Suisse, la guerre des petits SUV fait rage. Les consommateurs sont friands de ces engins qui allient la place et la modularité d’un tout-terrain avec la taille réduite d’une voiture «de ville».
Si la palme revient, «bien sûr», au VW Tiguan, le Hyundai ix35 décroche une honorable 10e place, juste derrière le Mazda CX5. Un Mazda tout beau tout neuf.
C’est dire que, pour rester dans la course voire, même, regagner quelques places au classement, il était impératif pour Hyundai de donner un coup de jeune à son «fast seller». Fast seller? Un surnom qu’il a gagné de haute lutte, puisque c’est le modèle que Hyundai a vendu le plus dans un court laps de temps.
Et ce n’est pas étonnant. Conçu en Allemagne, pour «coller» au plus près des attentes des clients européens, il avait d’entrée marqué les esprits. C’est dire si la version 2014 fait l’objet de nombreuses attentes.
Pour se faire une idée précise, on s’est donc installés au volant et on l’a emmené faire un tour sur une portion de test englobant ville, petites routes et col en lacets.
Le verdict? Mention très bien! Sur tous les plans, le ix35 est en progression. Ce qui frappe d’entrée de jeu, c’est l’amélioration… de l’insonorisation! En reprise à bas régime, les bruits de «camion» ont entièrement disparu. Le moteur, lui, a encore gagné en souplesse et en puissance de reprise. La tenue de route, vu le type d’engin, est très bonne, le freinage parfaitement dosable et l’agrément de conduite remarquable.
Et puis il y a les détails… Des finitions impeccables, une ergonomie aussi logique que soignée, un équipement de classe supérieure, une modularité aisée et un très bon degré de confort.
En bref, le ix35 poursuit sa route en direction des sommets. Dans sa version la plus chère (diesel 4WD «Premium»), il se négocie à 39 990 fr. Et pour ce prix, la seule option reste… la peinture métallisée. Pour le reste, il a tout: du toit panoramique au volant chauffant. Un must! (Le Matin)