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Coupe Davis: la Suisse bat l'Australie et retrouve le groupe mondial


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La Suisse retrouvera le Groupe mondial de Coupe Davis en 2012 après avoir battu l'Australie 3 à 2 en match de barrage, grâce à la victoire dans le dernier simple de Stanislas Wawrinka sur Lleyton Hewitt en cinq manches (4-6, 6-4, 6-7, 6-4, 6-3), lundi à Sydney.

Cette rencontre avait été interrompue par la nuit alors que Wawrinka menait 5-3 face à Hewitt au 5e et dernier set.

Le N.3 mondial Roger Federer avait remis dimanche les deux équipes à égalité (2-2) en battant Bernard Tomic en quatre manches (6-2, 7-5, 3-6, 6-3).

La Suisse avait été reléguée l'an dernier après une défaite 5-0 en barrage contre le Kazakhstan, tandis que l'Australie tente de regagner le Groupe mondial depuis 2007.

Bravo et merci Federer et stanislas, 2 derniers simples (MAGIQUE)

:am oureux:

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Divers



18 septembre 2011 22:44

David Rudisha, recordman du monde du 800 m (1'41"01), a été battu pour la première fois depuis deux ans, au meeting de Milan. Le Kenyan n'a pu résister au finish du jeune (17 ans) Ethiopien Mohammed Aman, vainqueur en 1'43"50. Rudisha suit à 0''07. Sous une pluie diluvienne, l'athlète amputé sud-africain Oscar Pistorius a dominé le 400 m en 45''97.

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Foot: Marseille en eaux très troubles


AFP - 19. septembre 2011, 15h51


Aucune victoire en six matches, trois défaites d'affilée, dont la dernière (2-0) dimanche chez le nouveau leader lyonnais et une place de dernier de la classe: le début de saison de l'Olympique de Marseille est celui d'un cancre qui doit vite réagir pour échapper à la crise.
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Le Lyonnais Bafetimbi Gomis trompe le gardien de Marseille Steve Mandanda, le 18 septembre 2011 à Lyon. AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1316440185747-1-0.jpg L'entraîneur de l'Olympique de Marseille Didier Deschamps lors du match contre Lyon, le 18 septembre 2011 à Gérland. AFP




Premier à se présenter devant la presse dimanche soir au sortir d'une nouvelle désillusion, l'entraîneur Didier Deschamps ne s'en cachait pas, qualifiant de "difficile" la période de disette que traverse son équipe.
Son sentiment après une rencontre que l'OM a prise par le mauvais bout, encaissant deux buts en moins d'une demi-heure ? "De la tristesse, de la déception. Mais je crois en mes joueurs".
Dépassés au milieu de terrain, pris de vitesse sur les deux débordements côté gauche de Michel Bastos conduisant à deux buts, les Olympiens ont bien tenté de réagir en début de seconde période (à la 52e minute notamment, Hugo Lloris s'interposant devant Loïc Rémy) mais ils sont tombés sur un OL en confiance et au jeu bien huilé.
Avec seulement deux changements par rapport à l'équipe qui avait ramené une victoire encourageante de l'Olympiakos mardi en Ligue des champions (0-1), Valbuena entrant à la place d'Amalfitano et Fanni suppléant Nkoulou suspendu, on pouvait espérer que le dispositif tactique de Deschamps fonctionne.
Après une entame de match équilibrée, l'OM craquait pourtant rapidement sur la première véritable offensive lyonnaise, le très en jambe Bastos dominant sans difficulté son vis à vis, l'Espagnol Azpilicueta, à court de compétition. Le Brésilien servait ensuite Gomis qui, en position de hors jeu, trompait Mandanda.
Confiance maintenue à Deschamps
Face à un milieu de terrain lyonnais extrêmenent physique et autoritaire, le milieu marseillais donnait de graves signes de faiblesse et avec deux buts de retard, Deschamps n'avait d'autre choix que de lancer dans le bain juste après la pause des joueurs à vocation offentive. Très discret, Alou Diarra cédait ainsi sa place à Amalfitano tandis qu'André Ayew remplaçait Morel.
S'il acceptait les choix tactiques de son entraîneur, Diarra, l'un des rares joueurs à avoir eu le courage de s'exprimer, ne cachait cependant pas son amertume et en appelait à une prise de conscience collective.
"Je ne suis pas le sauveur de l'OM, je suis un joueur comme les autres mais qui ne doit pas payer les erreurs du collectif. Il faut que tout le monde pense collectif avant de penser individuellement", lâchait l'ancien Bordelais.
Avec 11 points de retard sur le leader lyonnais après six journées, une place de lanterne rouge inconnue depuis la saison 2005/2006, l'OM va donc devoir cravacher pour retrouver un classement plus conforme à ses ambitions, même si, avec des moyens limités, le président Vincent Labrune assure que prétendre au titre n'est pas "notre objectif cette saison".
Evoquant à propos de cette défaite à Gerland un "scénario catastrophe", l'homme de confiance de l'actionnaire majoritaire Margarita Louis-Dreyfus, présente à Gerland, répondait sans détour à une question qui se pose déjà: Didier Deschamps a-t-il encore les clés? "Oui, et pour longtemps! Il garde toute notre confiance".

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Mondial de rugby: les All Blacks s'attendent à l'inattendu face au XV de France


AFP - 19. septembre 2011, 11h02


Les All Blacks refusent de se fier aux deux premiers matches poussifs du XV de France dans la Coupe du monde pour préparer le choc de la poule A samedi face aux Bleus, qui ont l'habitude de les surprendre en Coupe du monde.
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Le demi d'ouverture néo-zélandais Daniel Carter à l'entraînement le 19 septembre 2011 Christchurch. AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1316422672768-1-0.jpg Le centre All Black Ma'a Nonu marque un essai contre le Japon, le 16 septembre 2011 à Hamilton. AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1316422899952-1-0.jpg Le troisième ligne aile et capitaine des All Blacks Richie McCaw face au Tonga, à Auckland le 9 septembre 2011. AFP




Les All Blacks ont déjà payé pour avoir sous-estimé les Français.
En 1999, sortis de leur poule sans vraiment convaincre, les Bleus, emmenés par Christophe Dominici, Christophe Lamaison, mais aussi... les actuels entraîneurs Marc Lièvremont et Emile Ntamack, les avaient renversés en demi-finale (43-31) à Twickenham.
En 2007, après une cinglante défaite face à l'Argentine lors du match d'ouverture (17-12), les Français avaient sorti les Néo-Zélandais en quart de finale (20-18).
Samedi à l'Eden Park d'Auckland, pour le premier grand test de "leur" Mondial, les All Blacks arriveront une fois de plus en position de favoris.
Le XV de France a remporté ses deux premiers matches sur des scores en trompe-l'oeil (47-21 face au Japon, 46-19 sur le Canada) grâce à des fins de matches menées tambour battant qui ont compensé des contenus approximatifs.
Lors de ces deux matches, les Français "n'ont pas dévoilé grand-chose", a estimé l'entraîneur adjoint Wayne Smith. "Mais on a étudié leurs matches du Tournoi des Six Nations et leurs matches de préparation, donc on connaît leur modèle de jeu", a-t-il prévenu.
Pas d'impasse
"De mon expérience, je sais que les grandes lignes ne changent pas trop selon les individualités. Certains joueurs apportent des points forts différents, des talents différents mais le modèle global reste", a-t-il expliqué.
Smith a également exclu toute "impasse" de l'une ou l'autre équipe après la victoire samedi de l'Irlande sur l'Australie (15-6) qui offrira au deuxième de la poule A (vraisemblablement le perdant de samedi soir) un tableau de phase finale sans l'Australie, ni l'Afrique du Sud, tenante titre.
Les All Blacks doivent prouver leur solidité à leur public qui attend d'être convaincu après un match d'ouverture face aux Tonga (41-10) durant lequel ils ont peiné en deuxième mi-temps et un autre sans grand enseignement face au Japon très vite débordé (83-7).
Ils devraient d'ailleurs aligner leur équipe-type après avoir enregistré les retours à l'entraînement lundi de plusieurs joueurs clés: le troisième ligne et capitaine Richie McCaw, touché à un mollet, l'ouvreur Dan Carter (dos), l'arrière Mils Muliaina (adducteurs) et l'ailier ou arrière Israel Dagg (abdominaux).
La France, elle, devra peut-être sceller sa qualification pour les quarts de finale lors de son dernier match face aux Tonga, le 1er octobre. "Et je ne pense pas qu'une équipe ait envie d'arriver dans ce dernier match avec l'obligation de gagner. Ca rajoute de la pression", a souligné Wayne Smith.
"Ce sera un match énorme (samedi) parce que les Français seront prêts et je sais que nous aussi, a-t-il assuré. Je suis sûr qu'ils voudront nous faire chuter, c'est important psychologiquement pour une équipe. Et nous on veut faire pareil".

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Rugby : premier entraînement de Laporte avec Toulon


AFP - 19. septembre 2011, 14h04


Bernard Laporte a dirigé lundi sa première séance d'entraînement du RC Toulon, son nouveau club où il succède à Philippe Saint-André nommé sélectionneur de la France, rappelant qu'il ne pouvait "se satisfaire" des résultats moyens de son équipe.
Bernard Laporte en survètement, accompagné du président RC Toulon Mourad Boudjellal, va diriger son 1er entraînement, le 19 septembre 2011 © AFP

Devant une cinquantaine de supporteurs, Laporte est resté en retrait toute la matinée sur la pelouse du stade Berg, siège et centre d'entraînement du club varois, se contentant d'observer les joueurs dirigés sur le pré par Pierre Mignoni, l'un de ses adjoints. Il avait cependant inauguré l'entraînement par une séance vidéo.
"On commence à dessiner ensemble ce que l'on veut. On rentre dans le vif du sujet mais je découvre, je demande encore qui est qui. Il y a du plaisir, une envie de partager mon expérience et mon savoir avec Pierre (Mignoni) et Olivier (Azam, autre adjoint, ndlr). Cela fait quatre ans que je n'avais pas fait ça, donc ce n'est pas une matinée comme une autre", a déclaré Laporte devant la presse.
"Je ne vais pas révolutionner le club mais j'ai une exigence de haut niveau. On ne peut pas se satisfaire des derniers résultats. On va beaucoup travailler pour affronter le Stade Français samedi. C'est une bonne équipe, j'ai oeuvré au recrutement, je ne vais pas dire le contraire", a poursuivi Laporte, qui avait largement pris part au projet de reprise avorté du club parisien cet été avant d'être évincé par les nouveaux dirigeants.
Au bord du terrain, le président du RCT, Mourad Boudjellal, affichait le sourire: "Bernard va impulser de l'énergie et son savoir, j'ai entièrement confiance en lui. Il a pris quelques chemins de traverse, avec la politique notamment (Laporte a été secrétaire d'Etat aux Sports de 2007 à 2009, ndlr), là, il revient à ce qu'il fait de mieux. Il avait seulement oublié qu'il était un grand entraîneur, ici, il va se le rappeler".
"Il y a beaucoup de choses à reprendre dans le club, j'attends plus de l'équipe. Sans le dénigrer, Philippe (Saint-André) était consensuel, participatif, Bernard est plus directif, ça me correspond mieux", a poursuivi Boudjellal, dont les relations avec "PSA" s'étaient vivement dégradées depuis l'annonce de la nomination de ce dernier comme sélectionneur en remplacement de Marc Lièvremont.
Après sa victoire à Bordeaux-Bègles vendredi, Toulon est 6e, à 7 points du leader Clermont.

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Les meilleurs joueurs de tennis bientôt en grève?


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Le Britannique Andy Murray, qui avait critiqué dimanche l'incohérence du calendrier de tennis professionnel, a déclaré lundi que s'il ne venait pas à être modifié par l'ATP, les meilleurs joueurs du circuit pourraient aller jusqu'à faire grève.
"Il y a clairement un risque de grève, a prévenu le N.4 mondial. Je sais pour en avoir déjà parlé avec eux, que certains joueurs n'ont pas peur d'y recourir."

"Il faut espérer qu'on en n'arrivera pas là, mais les joueurs y songent", a insisté l'Ecossais, ajoutant que les discussions entre les joueurs reprendront le mois prochain au Masters 1000 de Shanghai Masters, après avoir débuté durant l'US Open.

"Nous entamerons des discussions avec l'ATP et la Fédération internationale de tennis (ITF), pour voir si des compromis peuvent être trouvés, a poursuivi Murray. Si ce n'est pas possible, nous prendrons des dispositions. Nous voulons juste que certaines choses changent.

Qu'il y ait un tout petit peu moins de tournois chaque année, soit deux à trois semaines de moins. Ce n'est pas déraisonnable."

Vendredi, l'Espagnol Rafael Nadal avait également évoqué la possibilité de faire grève, après avoir fait part de son agacement contre le calendrier, "inacceptable", qui ne séparait que de quelques jours la finale de l'US Open des demi-finales de Coupe Davis.

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Contre-la-montre espoirs: victoire de l'Australien Durbridge


L'Australien Luke Durbridge est devenu champion du monde espoirs (moins de 23 ans) du contre-la-montre, lundi à Copenhague. Deuxième l'année passée à moins de 2 secondes de l'Américain Taylor Phinney, le jeune Australien de 20 ans a bouclé le parcours des 35,2 kilomètres en 42:47, à plus de 49 km/h de moyenne.

Durbridge a battu de 35 secondes le Danois Rasmus Quaade et de 46 secondes un autre Australien, Michael Hepburn, retardé par une chute à la sortie d'un virage. Côté belge, Kevin De Jonghe a terminé 24e, à 2:51 du vainqueur, et Arthur Vanoverberghe 33e, à 3:16.

Durbridge, originaire de Perth, et Hepburn avaient décroché l'or aux Mondiaux sur piste en mars dernier, avec le quatuor de la poursuite par équipes, en compagnie de Jack Bobridge et de Rohan Dennis

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Matthäus n'est plus le sélectionneur national bulgare


Lothar Matthäus, a été limogé de son poste de sélectionneur national bulgare avant le terme de son contrat qui expirait en novembre prochain, a annoncé lundi la Fédération bulgare de football. "Les causes de son limogeage sont nombreuses, pas seulement les faibles résultats", a déclaré le président de la Fédération, Borislav Mihaïlov. "Il est informé de cette décision et ne touchera pas de dédommagement".

Premier sélectionneur bulgare étranger, Matthäus, qui avait signé son contrat le 23 septembre 2010, s'était alors assigné comme objectif de hisser la Bulgarie au deuxième rang du groupe G de qualification au championnat d'Europe 2012 en Pologne et en Ukraine. La Bulgarie avait alors déjà encaissé deux défaites, 4-0 en Angleterre et 0-1 contre le Monténégro, menant à la démission du sélectionneur Stanimir Stoïlov.

A un match de la fin des qualifications, la Bulgarie est aujourd'hui 4e du groupe G, n'ayant marqué que 3 buts et en ayant encaissé 12. Le séléctionneur de l'équipe bulgare des juniors, Mihaïl Madanski assurera l'intérim lors du match amical contre l'Ukraine le 7 octobre et du dernier match de qualification à l'EURO 2012 contre le Pays de Galles le 11 octobre.

Dans plusieurs interviews, Matthäus s'était déclaré déçu du peu d'efforts déployés par les footballeurs bulgares et du manque de discipline et de volonté de vaincre. Pourtant, il y a un mois, Matthäus et Mihaïlov avaient déclaré que le contrat du sélectionneur serait reconduit jusqu'à la fin, en 2013, des qualifications à la Coupe du monde 2014 au Brésil.

Milieu de terrain, champion du monde en 1990 et recordman des sélections en équipe nationale d'Allemagne (150), Matthäus a été l'un des grands footballeurs des années 1980 et 1990, jouant notamment au Borussia Mönchengladbach, au Bayern Munich et à l'Inter Milan. Il a remporté le Ballon d'Or en 1990 et a été nommé joueur FIFA de l'année en 1991

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Pearson vise le record du monde et le titre olympique


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La championne du monde australienne du 100 m haies, Sally Pearson, a déclaré viser en 2012 l'or olympique et le record du monde, lundi lors d'une réception organisée dans sa ville de Gold Coast (est).

"L'or olympique et le record du monde !", a répondu Pearson lorsqu'on a lui a demandé ses objectifs pour 2012. "Après avoir gagné la finale, j'ai senti que j'aurais pu faire plus. C'est probablement bon signe car j'ai eu l'impression que c'était facile de faire (un temps de) 12.28. J'espère pouvoir courir un peu plus vite la saison prochaine", a poursuivi l'Australienne.

Pearson, qui fêtait ses 25 ans ce lundi, a remporté aux Mondiaux 2011 de Daegu la seule médaille d'or de l'Australie, gagnant le 100 m haies, en 12 sec 28, et devenant la quatrième meilleure performeuse de tous les temps. Seules la Bulgare Yordanka Donkova, détentrice du record du monde en 12.21 (le 21 août 1988 à Stara Zagora, en Bulgarie), sa compatriote Ginka Zagorcheva (12.25 en 1987) et la Suédoise Ludmila Engquist (12.26 in 1992) ont couru plus vite.

"J'espère ne pas avoir atteint ma limite chronométrique. Je suis encore jeune. Je ne pense pas que j'aurai la pression à Londres bien que je sois championne du monde", a ajouté Pearson, qui avait décroché la médaille d'argent olympique à Pékin en 2008.

Pearson a été fêtée par les siens lors d'une réception organisée également en l'honneur de la joueuse de tennis Samantha Stosur, vainqueur de son premier Grand Chelem, l'US Open, le 11 septembre à New York.

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Monaco gagne son premier match de la saison :



Seule la victoire comptait, et seule la victoire on retiendra. Cinq mois que les Monégasques n'avaient plus gagné à Louis II, et cette longue soirée face à Arles-Avignon, lundi, leur a au moins offert une satisfaction à défaut de spectacle (1-0). Le premier succès de la saison - pour la première de Marco Simone sur le banc à domicile - a en effet été long à se dessiner, et il ne s'est pas dessiné de la plus jolie des manières, dans un stade vide où les 22 acteurs n'ont guère brillé. Mais il fait déjà un grand bien aux hommes du Rocher, qui migrent de la zone rouge pour une plus rassurante 14e place, en attendant la suite de la 8e journée mardi.
Deux points devant au classement (12es), les Provençaux pourront regretter leur manque d'audace offensive alors qu'ils eurent, le plus longtemps, la maîtrise des débats, et signèrent les rares tentatives de jeu de la soirée. Ils regretteront aussi leur passivité totale sur le coup-franc d'Eysseric - seule bonne surprise de la soirée avec le jeune Terence Makengo en pointe - qui amena le but monégasque (53e), une tête esseulée de Rabiu Afolabi, décisif pour sa première sous la tunique rouge et blanche.
Dernier motif de satisfaction : sous pression jusqu'en fin de rencontre, l'ASM a réussi à garder sa cage inviolée, comme le coach l'avait demandé. «Je suis satisfait, car on a cherché à trouver le plus vite possible un bloc. Mais s'il est mal interprété, parfois il devient un bloc bas et peu offensif. En deuxième mi-temps, il y a eu une interprétation différente. Il faut développer la phase offensive, on ne l'a pas encore fait», a expliqué Marco Simone, au coup de sifflet final, au micro d'Eurosport, «On sait qu'on est encore dans la difficulté. Je répète, rien n'est terminé, c'est bien de prendre un bon départ mais la situation n'est pas encore réglée».