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Auto - Formule1



14 octobre 2011 11:03

Lewis Hamilton pose le décor. Sous la pluie, le Britannique a réussi le meilleur temps des essais libres du GP de Corée. Le pilote McLaren a devancé son coéquipier Jenson Button et le tout frais champion du monde Sebastian Vettel, couronné dimanche à Suzuka/JPN. Lors de la 1ère séance, également disputée sous des conditions extrêmes (la pluie a rendu la piste glissante, d'où de nombreux tête-à-queue et sorties), Michael Schumacher (Mercedes) avait devancé Sebastian Vettel. Sébastien Buemi a pris la 9e place de la 2e séance, à plus de 0"500 de son coéquipier Jaime Alguersuari.

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Ski



14 octobre 2011 10:23

Marlies Schild (30 ans) fera l'impasse sur le géant de Sölden samedi prochain. L'Autrichienne n'entend pas prendre de risque sur le glacier du Rettenbach, où elle s'était gravement blessée au genou il y a 3 ans à l'entraînement. La petite amie de Benjamin Raich, championne du monde de slalom, entamera donc sa saison de Coupe du monde le 12 novembre à Levi/FIN.

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Formule 1 - Grand Prix de Corée

14/10/2011 - 10:50 - Mis à jour le 14/10/2011 - 13:13 "Des conditions idéales pour McLaren"




AFP

• Infos liées :
• L1 : Vergne assure
• L2 : Hamilton et Button attaquent
• Yeongam décrypté

Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes à l'issue des essais libres 1 et 2 de la 16e manche du Mondial 2011, vendredi à Yeongam.

Michael Schumacher (Mercedes, 1er et 4e) : "C'était trop mouillé pour passer des pneus "sec", alors que la météo annonce un temps sec pour le reste du week-end."
Nico Rosberg (Mercedes, 8e et 8e) : "J'ai un sentiment très confortable en intermédiaire en Libres 2, et j'ai testé des variantes de set-up qui ont bien répondu. Ma voiture fonctionnait bien mais le temps va changer samedi et dimanche. La collision (avec Alguersuari) est survenue dans une situation piégeuse et a malheureusement abrégé ma session. Au moins n'ai-je manqué aucun roulage sur le sec."
Sebastian Vettel (Red Bull, 2e et 3e) : "Une journée intéressante. La météo prévoit un temps sec samedi et dimanche, donc quels que soient les enseignements, il se pourrait fort qu'ils ne soient pas très utiles ; bien que nous pourrions les utiliser pour le futur. Malheureusement, la piste n'a pas séché de toute la journée, nous n'avons donc pas eu l'opportunité de passer des slick. C'est une piste qui sollicite les pneus : à part la longue ligne droite, il n'y a presque aucun répis. La voiture était bien aujourd'hui, c'est ce qui compte."
Mark Webber (Red Bull, 10e et 5e) : "C'était assez limpide : chacun a passé un train de pneus, ce n'était donc pas particulièrement excitant. Notre travail fut limité, sachant que le reste du week-end sera probablement sec. McLaren a l'air rapide avec les inter et nous n'avons pas passé les slick à la fin."
Fernando Alonso (Ferrari, non chronométré et 4e) : "Un vendredi difficile. Impossible de tirer la moindre conclusion pour le reste du week-end. Considérant qu'il ne devrait pas pleuvoir samedi et dimanche, il est clair que la journée n'avait que peu d'intérêt. Nous avions un nouvel aileron avant, mais il était vraiment difficile de l'évaluer dans ces conditions. En revanche, ces conditions étaient idéales pour McLaren. Nous allons improviser en qualification et en course. L'entrée de la pit lane a été améliorée par rapport à l'an passé mais il y a de quoi faire mieux à la sortie".
Felipe Massa (Ferrari, 19e et 7e) : "C'était une journée compliquée. Ça a été difficile de se préparer le mieux possible pour la course et la qualification. Mais c'est pareil pour tout le monde."

Adrian Sutil (Force India, 4e et 12e) : "La piste était humide toute la journée et la seule chose que nous avons pu réaliser, ce sont des runs avec les pneus pluie et inter. L'après-midi, il ne pleuvait plus trop mais le tracé a mis longtemps a séché. Nous avons attendu longtemps pour que les conditions s'améliorent mais ça ne s'est jamais vraiment produit. Le set-up que nous avions à l'issue des deux séances était proche d'un set-up pour piste sèche. Je pense donc que nous avons une bonne base pour samedi."
Paul di Resta (Force India, 3e et 10e) : "Les conditions n'étaient pas idéales pour une première. L'équipe m'a laissé réaliser un maximum de tours et j'ai pris confiance petit à petit. Lors des Libres 1, le circuit était très humide et il y avait un peu d'aquaplaning, particulièrement au virage 7 et 8. Lors des Libres 2, la voiture s'est bien comportée en inter et une ligne sèche est peu à peu apparue. Comme quelques autres voitures, nous sommes sortis avec les pneus tendres à la fin de la journée mais ce n'était pas facile."
Lewis Hamilton (McLaren, 7e et 1er) : "J'ai entendu dire que le temps allait s'améliorer les deux prochains jours. Mais s'il pleut dimanche, je pense que nous sommes en bonne position. Ce serait génial de décrocher la pole. C'est difficile de tirer quelque chose des chronos du jour - les tours effectués avec des slicks en fin de journée était impossible - mais je pense que nous sommes rapides. Jenson a montré lors de la dernière course que nous étions compétitifs. Je n'ai aucun doute sur le fait que nous allons nous battre avec les Red Bull en qualification."
Jenson Button (McLaren, 24e et 2e) : "Nous n'avons pas appris grand chose. Il y avait tellement d'humidité que le circuit n'a jamais vraiment séché. Lors des dernières courses, nous avons vu que nous étions solides en qualification. J'adorerais bien me qualifier ici et je vais tout faire pour. Les Libres 3 seront très importants parce que personne ne sait comment la voiture se comporte avec le plein d'essence et les pneus slicks. Il y a beaucoup de chose à apprendre."
Vitaly Petrov (Renault, non chronométré et 11e) : “Cela a été humide toute la journée. Notre voiture a un peu de mal dans ces conditions parce que nous devons encore définir le meilleur réglage aéro. Aussi, nous avons passé beaucoup de temps cet après-midi pour tenter de le déterminer. Nous avons beaucoup roulé, ce qui va nous aider à améliorer demain, je suis plutôt optimiste. Nous avons aussi effectué deux tours d’installation en pneus pluie pour avoir une idée du niveau de grip avec ces gommes. Pour l’instant, la voiture se comporte normalement Demain est un autre jour, espérons qu’il soit sec."
Bruno Senna (Renault, non chronométré et 15e) : “Pas grand-chose à dire sur ce matin, à part qu’il est très frustrant pour les pilotes de ne pas pouvoir sortir pour faire un tour lancé. Cet après-midi, notre temps de piste a été productif, mais nous avons rencontré des soucis avec l’équilibre de la voiture. J’espère que nous pourrons rectifier cela. Nous devons trouver où nous pouvons améliorer l’aérodynamique, sinon nous allons au-devant de plus grandes difficultés encore ce week-end. Je croise les doigts pour que nous puissions rouler sur le sec demain, afin d’être plus accoutumés aux conditions qui nous attendent dimanche.”

Jean-Eric Vergne (Toro Rosso, 13e et non engagé) : "C'était la première fois que je pilotais cette voiture. J'avais conduit pour la dernière fois une Toro Rosso l'année dernière lors des tests réservés aux jeunes pilotes, à Abou Dabi. J'admets que je n'ai pas été heureux de voir la pluie en tirant les rideaux ce matin. J'ai trouvé cette session (de Libres 1) difficile car la piste était vraiment détrempée, même si je suis content de ce que j'ai fait, car je ne me suis pas crashé et que j'ai pris du plaisir. C'est difficile de juger ce que j'ai fait car dans une séance comme celle-là, normalement, on fait deux runs chronométrés et on regarde les data pour savoir où améliorer. Mais la météo a rendu ça impossible. Je n'ai pas de point de répère ni de quoi comparer ma performance à un autre pilote. Il s'agissait de gagner en expérience et apprendre comment l'équipe opère. Quelles que soient les conditions de piste, je suis ravi d'avoir eu cette opportunité, même si je n'ai pas tellement tourné (9 tours). Ça signifie que je serai mieux prépare pour les Libres 1 d'Abou Dabi."

[Stoner27]

Envoyé par Norton

Autres sports

Une planète ovale coupée en deux dès samedi

13 octobre 2011 15:51 Servat, Dusautoir, deux routiniers dont la France aura bien besoin samedi pour contenir la fougue galloise. [Christophe Ena - Keystone]

France - Pays de Galles samedi, puis Nouvelle-Zélande - Australie dimanche en demi-finales de la Coupe du monde: chaque moitié du globe aura droit à un prétendant au sacre suprême. L'Eden Park d'Auckland prendra la forme d'un championnat des hémisphères.

Samedi, la jeunesse triomphante des Gallois fera face à l'expérience des Français. La "finale" des Européens proposera un duel très contrasté. Davies et les Gallois n'ont fait qu'une bouchée de leurs "cousins" irlandais en quarts de finale (22-10). [Keystone] Grand classique du Tournoi des six nations, ce match constituera une première très attendue en Coupe du monde. Notamment parce que les Gallois ont enchanté la planète ovale depuis le début du Mondial, avec leur jeu enlevé, pratiqué par une bande de jeunes insouciants, conduits par le capitaine Sam Warburton, 23 ans.
L'émotion comme salut

Et si les Gallois rééditent la performance accomplie face à l'Irlande (22-10) en quart de finale, les Français pourraient bien s'arrêter en demi-finale, comme en 2003 et 2007, où les Anglais leur avaient barré la route. Inconstants pendant la première phase, battus par la Nouvelle-Zélande (37-17) puis humiliés par les Iles Tonga (19-14), les Bleus ont joué sur l'émotion pour se rebeller et éliminer l'Angleterre (19-12) en quart de finale.
Seront-ils capables de trouver une autre source de motivation pour se hisser en finale, comme en 1987 et 1999? Ils peuvent compter sur quelques vieux guerriers (Servat, Nallet, Harinordoquy, Bonnaire, Dusautoir) pour appuyer sur les bons boutons.
Les All Blacks décimés

L'autre demi-finale opposera deux équipes aux trajectoires opposées. Les All Blacks ont matraqué leurs adversaires au cours de la première phase, avant d'être frappés par une cascade de blessures. le Néo-Zélandais Colin Slade a dû jeter l'éponge face à l'Argentine en quarts de finale. [Keystone] Le demi d'ouverture Daniel Carter a d'abord dû renoncer le 2 octobre, bientôt suivi par son... remplaçant Colin Slade, et par l'arrière aux 100 sélections, Mils Muliaina.
Ces renoncements successifs ont éveillé de nombreuses interrogations autour des Néo-Zélandais, qui courent après le titre depuis 1987. Surtout, le feuilleton Richie McCaw, le capitaine encore ménagé toute la semaine en raison de douleurs permanentes à un pied droit opéré en février, renforce les doutes sur les All Blacks, pas franchement convaincants face à l'Argentine en quart de finale (33-10).
En pleine confiance

A l'inverse, les Australiens, qui ont été touchés par une épidémie de blessures au cours de la première phase, semblent aborder ce match décisif, face à leur vieil ennemi, en pleine confiance, après leur difficile succès en quart de finale sur l'Afrique du Sud (11-9). Ce match entre les deux voisins passionne la planète ovale.
Et il est pimenté par la polémique de la semaine, sur les prétendues fautes répétées commises par le troisième ligne australien David Pocock en quart de finale face aux Springboks. L'entraîneur-adjoint des All Blacks Steve Hansen a gentiment mis la pression sur l'arbitre sud-africain Craig Joubert. Les Wallabies ont répliqué que Richie McCaw lui-même était un expert pour repousser les limites de la règle. Le match a déjà commencé. Vivement dimanche!
agences/lper

j'espère une finale australie - pays de galle!

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«Les Gallois au-dessus»

Pour Thierry Dusautoir, les Gallois sont une classe au-dessus des autres équipes depuis le début de la compétition. Le capitaine des Bleus estime que le XV du Poireau a davantage de matches références.



Thierry Dusautoir avant Galles.(EQ)


«Thierry Dusautoir, comment l'équipe de France aborde-t-elle cette demi-finale ?
La semaine a plutôt été positive. On a une certaine expérience de ce genre de match sachant qu'après une belle performance, on ne sait jamais si on sera à la hauteur de l'événement. C'est toujours la difficulté que l'on a à préparer ce genre de match. Il reste une étape importante en suivant. C'est une grande chance d'être là aujourd'hui. Il faut que l'on soit capable de la saisir.

«Le véritable baromètre, c'est le niveau affiché par les équipes depuis le début de la compétition. Les Gallois sont une classe au-dessus. Ils ont deux matches auxquels ils peuvent se référer. Nous, on en a beaucoup moins.»

Vous avez remporté vos trois derniers matches face aux Gallois. Vous pensez que cela aura une incidence ?
Le véritable baromètre, c'est le niveau affiché par les équipes depuis le début de la compétition. A ce niveau-là, les Gallois sont une classe au-dessus. Ils sortent d'une poule qui était la plus relevée. Ils ont perdu d'un point face aux Sud-Africains (17-16) au terme d'un match de très haut niveau. Ils ont réussi à sortir des Irlandais qui étaient très en forme. Ils ont deux matches auxquels ils peuvent se référer. Nous, on en a beaucoup moins.

«On est capable de réaliser l'exploit tant recherché»


Vous avez connu la désillusion de 2007 contre l'Angleterre après avoir battu les All Blacks. Le XV de France est à l'abri d'un tel scénario ?
En 2007, on avait sorti la meilleure équipe au monde. Les All Blacks étaient les grands favoris. Aujourd'hui, même si on a battu les Anglais, je ne pense pas que l'Angleterre faisait partie des prétendants. On a la possibilité d'être en finale de Coupe du monde. Après, tout est vraiment possible pour nous. Cette demi-finale regroupe toute la pression que l'on peut avoir pour la suite. On est vraiment capable de réaliser l'exploit tant recherché. C'est pour ça que ce match est vraiment difficile à jouer.»
Vincent PERE-LAHAILLE, à Auckland (Twitter, Photos)

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Tennis - ATP - Shanghaï

Mayer n'a pas digéré

Après son exploit Contre Rafael Nadal, Florian Mayer tombe sans gloire (6-2, 6-4) contre Feliciano Lopez qui rejoint ainsi David Ferrer en demi-finale.



Florian Mayer n'avait pas digéré son exploit de la veille contre Nadal. Il est passé complètement à côté de son quart face à Lopez.(REUT)



De la grande fiesta à la gueule de bois, il n'y a qu'un pas. Florian Mayer peut en témoigner. Après son exploit de la veille face à Rafael Nadal, l'Allemand tombe (6-2, 6-4 en 1h08') contre Feliciano Lopez qui rejoint ainsi David Ferrer en demi-finale. Pendant 1h08', le 23e mondial traîne sa peine et sa tension sur le central. Avec son jeu de serveur-volleyeur, l'Espagnol ne l'aide pas à trouver son rythme. Le premier set tourne au calvaire pour Florian Mayer, auteur de 17 fautes directes pour seulement 5 points gagnants (29 fautes pour 14 points au total).
Son revers de tailleur de haie selon l'expression de Guy Forget se transforme en coupeur de bâches. Son coup droit ne trouve pas la cible et ses jambes ont pris dix ans en une nuit. En s'appuyant sur son service (10 aces) et sa volée, Feliciano Lopez récolte tranquillement. Sa seule alerte : une balle de break à 6-2, 1-1. Une bonne première balle et un coup droit gagnant effacent l'occasion. Sans réaliser des prouesses, le 28e mondial attend son heure qui arrive à 6-2, 5-4. Sur un plateau garni de quatre fautes directes, Florian Mayer lui offre le break et le match. Les lendemains de fête ne sont pas toujours joyeux.

S.D.

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M. Fink, je ne vous salue pas

Enfin une bonne nouvelle dans le football suisse: Thorsten Fink s'en va. Vous l'aurez compris, je ne l'aimais pas trop l'ami Thorsten. Peut-être un bras d'honneur au public servettien en travers de la gorge. Du coup je peine à trouver un prédicat positif pour le décrire. Ah si en fait: M. Fink est un winner. Un win-ner!
Oui il gagne. Et les Bâlois l'aimaient pour ça. Fort de sa culture munichoise, Thorsten Fink savait distiller son état d'esprit de gagnant à ses troupes. Avec le succès que l'on connait.
Voilà, fini les compliments. M. Fink était surtout arrogant, mauvais perdant, irascible, condescendant, froid, irrespectueux, imbu de lui-même, opportuniste, immodeste, canailleux. Et j'en passe, faute de plaisir à cette énumération. Son rictus trahissait constamment son manque de bonhommie. A l'image des Bâlois, M. Fink, sans états d'âme, était plus proche de la machine que de l'homme.
Fidèle à lui-même, M. Fink l'opportuniste est parti sous d'autres cieux. Au pire moment: alors que la saison bat son plein, et que le FCB est engagé dans trois compétitions différentes. Il aurait versé des larmes. Mon œil. De crocodile tout au plus.
M. Fink n'attendait que cela, et son départ prouve toute sa condescendance pour le championnat suisse. Bâle joue la Ligue des champions, plutôt bien même. Et M. Fink s'en va pour rejoindre la lanterne rouge de Bundesliga. Certes Hambourg est une grande équipe historique du championnat allemand, mais dans toute son arrogance, M. Fink a décidé de laisser tomber le beau défi bâlois. Du jour au lendemain.
M. Fink, vous aviez un des plus beaux jouets du football suisse entre les mains, vous l'avez cassé. Enfant gâté du ballon rond, je ne vous salue pas. Je suis dur, je sais. Mais c'est le jeu qui veut ça. Ce n'est pas à vous, M. Fink, que je vais l'apprendre.

[Norton]

Nadal n'ira pas au Queen's en 2012, à cause... des impôts

Rafael Nadal ne prendra pas part au Queen's la saison prochaine, à cause... des impôts britanniques. "La vérité, c'est que la fiscalité est lourde en Grande-Bretagne, a expliqué l'Espagnol jeudi au Times. C'est vraiment difficile. Quand j'y joue, je perds de l'argent. J'ai fait beaucoup d'efforts depuis quatre ans, mais ça devient de plus en plus compliqué. C'en est trop." En effet, la loi outre-Manche veut que les sportifs de haut niveau, en plus de reverser la moitié de leurs gains du tournoi disputé en Grande-Bretagne, doivent également dépenser une certaine partie de leur salaire glané hors du territoire, au prorata du temps passé sur le sol britannique. Mais doit-on vraiment plaindre le n°2 mondial ? Toujours est-il que l'Espagnol, avant Wimbledon 2012, changera donc ses habitudes et se rendra à Halle.

Newsweb.

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RugbyInternational

vendredi 14 octobre 2011 à 07:10


CM 2023: La Russie est candidate

Après avoir effectué ses grands débuts dans la compétition suprême cette année, en Nouvelle-Zélande, avec à la clé quatre défaites en autant de rencontres dans la phase de poule, la Russie voit plus loin et annonce par le biais de sa fédération (RRU) qu'elle sera candidate à l'organisation de la Coupe du monde 2023. "Au cours d'une réunion, le président de la fédération Viatcheslav Kopiev, a déclaré que la Russie ferait acte de candidature pour organiser la Coupe du monde 2023", indique la RRU dans un communiqué publié sur son site internet (www.rugby.ru). Les deux prochaines éditions seront organisées par l'Angleterre en 2015 et par le Japon en 2019.

Newsweb.

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Montpellier : Girard veut embêter les favoris (14/10/2011) Moins bien armé financièrement que les grosses écuries du championnat, Montpellier s'appuie sur des valeurs comme le mental et l'envie pour réussir un bon début de saison. L'entraîneur montpelliérain, René Girard, estime que l'argent ne fait pas tout dans le football. "Ce qui est important, c'est aussi de montrer qu'avec de petits moyens, on peut tenir la dragée haute à des budgets de 150 millions d'euros. C'est la plus belle des récompenses. Le football, ce n'est pas que le fric. Il en faut, c'est bien quand on en a, mais on peut obtenir quelque chose avec le mental, l'envie, la continuité, les jeunes et en travaillant bien", a déclaré le coach du MHSC sur le site de la FIFA. Le club héraultais occupe actuellement la 2e place en Ligue 1, à trois points du PSG. (Par Romain Rigaux)