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All Blacks champions!


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La Nouvelle-Zélande a remporté la Coupe du monde de rugby pour la deuxième fois de son histoire, en battant la France (8-7) en finale dimanche à Auckland.

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Les All Blacks, sacrés en 1987 et 2011, rejoignent l'Australie (1991, 1999) et l'Afrique du Sud (1995, 2007) au premier rang des nations les plus titrées.

Les points de la deuxième période de la finale de la Coupe du monde de rugby entre la France et la Nouvelle-Zélande, dimanche à l'Eden Park d'Auckland: 45e: l'arbitre sanctionne les plaqueurs français Thierry Dusautoir et François Trinh-Duc pour ne pas avoir quitté la zone de plaquage après avoir fait tomber Ma'a Nonu. De 30 mètres face aux poteaux, Stephen Donald passe la pénalité. France 0- Nouvelle-Zélande 8

47e: la France réduit immédiatement le score avec un essai de Thierry Dusautoir, qui concrétise une action opportunément initiée par Aurélien Rougerie puis relayée par François Trinh-Duc. L'ouvreur tricolore transforme. Score final: France 7 - Nouvelle-Zélande 8 (afp)


Adieu veaux - vaches - cochons et couvées..........

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Autres sports

Les All Blacks font la France "haka kiri"

23.10.2011 11:44 - mise à jour: 14:37 La puissance d'Israel Dagg a été bien embêtée par la défense française. [Themba Hadebe - Keystone]

Dans une finale à la fin haletante, et où le XV de France a dominé (!), la Nouvelle-Zélande a offert au pays le sacre tant attendu. Mais que ce fut dur dans l'antre de l'Eden Park pour ceux que l'on croyait invincibles. Le score parle de lui-même: 8-7 pour les Océaniens. La France échoue en finale pour la troisième fois.

La Nouvelle-Zélande a remporté la Coupe du monde pour la deuxième fois de son histoire, en battant la France (8-7) en finale à Auckland. Les All Blacks, sacrés en 1987 et 2011, rejoignent l'Australie (1991, 1999) et l'Afrique du Sud (1995, 2007) au premier rang des nations les plus titrées.
A l'inverse, les Français, battus par la Nouvelle-Zélande (29-9) en 1987, puis par l'Australie (35-12) en 1999, s'inclinent pour la troisième fois en finale.
Les All Blacks comptaient cinq points d'avance à la mi-temps (5-0), grâce à un essai du pilier Tony Woodcock, servi après une déviation en touche de Jerome Kaino à cinq mètres de la ligne française (15).
Les ouvreurs pas gâtés

Plutôt dominateurs, les Néo-Zélandais avaient su profiter de la seule faute d'inattention de la défense François Trinh-Duc, entré en lieu et place de Parra, s'est montré largement à la hauteur. [Keystone] française. En revanche, leur buteur Piri Weepu a laissé filer 8 points (2 pénalités, une transformation) en première période.
Chaque équipe a perdu son ouvreur au cours des quarante premières minutes. Le Français Morgan Parra est sorti groggy après un coup de genou de Richie McCaw (23e) alors que le Néo-Zélandais Aaron Cruden, 3e numéro 10 des All Blacks depuis le début du Mondial, a quitté le terrain, touché au genou (34e).
Les Français ont inscrit leur unique essai du match (47e) par leur capitaine Thierry Dusautoir, à la suite d'un beau renversement d'attaque. Revenus à un point (8-7), ils ne sont jamais parvenus à franchir la ligne défensive néo-zélandaise en fin de match, malgré une possession du ballon largement favorable au cours des quarante dernières minutes.
Impériaux depuis le début du mondial, tellement dominateurs en demi-finale face à l'Australie (20-6) une semaine plus tôt, les All Blacks ont sorti leur dernier déguisement: celui du travailleur acharné, courageux, prêt à défendre le moindre pouce de terrain, sans commettre de faute.
Les Français ont guetté le moindre coup de sifflet de l'arbitre sud-africain Craig Joubert, qui n'est jamais venu. Nallet (au centre) réconforte ses coéquipiers, sentant bien qu'ils sont passés tout près d'un exploit. [Keystone] "J'ai rencontré M. Joubert deux jours avant le match, a raconté l'entraîneur français Marc Lièvremont. Je lui ai dit que la pression devait être très forte sur ses épaules. Et qu'il était un homme, et donc qu'il pouvait se tromper. Je me suis engagé quoi qu'il arrive à ne pas critiquer son arbitrage". Certains resteront néanmoins dubitatifs sur le fait que l'arbitre Joubert a à plusieurs reprises averti oralement les Néo-Zélandais dans les dernières minutes, sans donner de pénalité aux Bleus. Une telle décision aurait pu donner la victoire à ces derniers.
Les réactions

Thierry Dusautoir (capitaine du XV de France): "C'est dur à encaisser. La semaine a été difficile, nous avons pas mal souffert. J'espère quand même qu'on a pu apporter un peu d'émotion aux gens. C'est rude. On a eu de la réussite dans d'autres matches, pas cette fois. L'ensemble des joueurs et du staff, on peut être fier de ce qu'on a montré. On a montré une force mentale, et ça vaut quelque chose en rugby. On est moins talentueux que les Blacks mais on les a fait douter. Ce n'est pas l'essentiel puisqu'on a perdu mais on peut rentrer la tête haute."
Marc Lièvremont (entraîneur du XV de France): "Les Blacks méritent cette victoire. J'ai déjà dit que c'est la plus belle équipe de tous les temps. Ce soir (dimanche), le XV de France a été grand, immense même. Mais ça n'a pas suffi. C'est difficile de se battre contre tout un peuple qui attend ça depuis 24 ans. On a eu un match énorme du XV de France. On aurait aimé ramener la Coupe en France, ce ne sera pas le cas. On réalisera plus tard. On a juste conscience d'être passé près de Richie McCaw et les siens le tiennent enfin ce trophée... [Keystone] l'exploit."
Dimitri Yachvili (ouvreur du XV de France): "On s'était dit qu'on ne voulaient pas avoir de regrets. On a fait preuve d'une grande solidarité. Il nous a manqué ce petit déclic, cette réussite. Malgré tout, on est très fier de ce qu'on a fait".
Keven Mealamu (talonneur du XV de Nouvelle-Zélande, remplacé à la 49e minute par Andrew Hore): "C'est un grand soulagement! Je n'avais pas bien dormi ces deux derniers mois, mais je vais bien dormir cette nuit. C'étaient les 20 dernières minutes les plus difficiles que j'ai eu à voir. Je suis très fier des garçons!"
Israel Dagg (arrière du XV de Nouvelle-Zélande): "C'était la Troisième Guerre mondiale ici. La France a tout donné pendant 80 minutes. Je suis sûr qu'ils (sa famille) étaient debout dans les tribunes en train de verser quelques larmes. Je suis impatient de les retrouver à l'hôtel pour les embrasser."


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[Norton]

Vous charrie les amis, en fait j'ai vu 3 - 4 match de rugby. Sans connaître les règles du jeux pas de plaisir, un ami plus ferru de ce sport que moi ma expliqué (en gros) les dites règles.

Chez nous ce n'est vraiment pas un sport très médiatisé...

Ceci dit 1 but d'écart c'est dur à avaller la pilule, la France à fait un super match Moi novice dans ce sport m'attendais à une raclée.

Bravo la France, sans rancune les amis du rugby?

[Norton]

RUGBY
24 ans d’attente pour les All Blacks


23. octobre 2011, 21h53
LeMatin.ch & les agences


Les Néo-Zélandais n’avaient plus gagné un titre mondial depuis 1987. Hier, à Auckland, contre la France, en gagnant d’un point (8-7), ils ont offert une immense joie à tout un pays.
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La Nouvelle-Zélande, qui attendait la consécration depuis 1987, a décroché le deuxième titre mondial de son histoire pour un petit point (8-7) au terme d’une finale étouffante, épique et serrée. La France s’est inclinée pour la troisième fois à ce stade de la compétition.

Soudain, une énorme clameur monta des tribunes de l’Eden Park. On jouait la 78e minute, le demi de mêlée remplaçant français Jean-Marc Doussain venait de commettre un en-avant sur un enchaînement dans le camp des All Blacks, rendant le ballon aux Néo-Zélandais. Il libéra ainsi 4 millions d’habitants dont les All Blacks sont l’emblème.

«Je me sens en paix», a lancé l’entraîneur Graham Henry, qui vivait son dernier match à la tête de la célèbre équipe à la fougère, pour résumer son sentiment et… celui de tous ses compatriotes. Pendant les deux dernières minutes, les Néo-Zélandais ont conservé le ballon, au chaud, à grands coups d’épaule au ras des mêlées ouvertes, s’accrochant à leur point d’avance comme à un radeau dans la tempête.

L’essai de Woodcock
Le coup de sifflet final de l’arbitre sud-africain Craig Joubert entraîna une folle sarabande des All Blacks, qui attendaient ce titre depuis 1987. Eux qui dominent largement la planète rugby avaient été battus en finale en 1995, en demi-finale en 1991 et en 2003, et en quart de finale en 2007. «Je crois que cette victoire va faire plaisir à beaucoup de gens à travers le pays», a souligné le capitaine Richie McCaw.

Battus d’un point, les Français regretteront sûrement l’essai encaissé à la sortie du premier quart d’heure, et marqué sans opposition par le pilier néo-zélandais Tony Woodcock après une combinaison en touche (15e). Les All Blacks ont vécu sur cet avantage jusqu’à la mi-temps, avant d’être sérieusement secoués par les Français tout au long de la seconde période. Mais les Bleus, qui jouaient en blanc pour l’occasion, ne sont passés qu’une fois, pour inscrire un essai par leur capitaine Thierry Dusautoir (47e).

Travailleurs acharnés
Entre-temps, Stephen Donald, quatrième ouvreur All Black depuis le début du Mondial, après les blessures successives de Carter, Slade et Cruden, sorti à la 34e minute, avait passé une précieuse pénalité (45e). Cette dernière a permis aux Blacks de vivre sur leur avance d’un point tout au long de la seconde période, passée à défendre. Et à regarder deux pénalités des buteurs français Yachvili (48e) et Trinh-Duc (64e) frôler leurs poteaux. Impériaux depuis le début du Mondial, tellement dominateurs en demi-finale face à l’Australie (20-6) une semaine plus tôt, les Néo-Zélandais ont sorti leur dernier déguisement: celui du travailleur acharné, courageux, prêt à défendre le moindre pouce de terrain, sans commettre de faute.

Les Français ont guetté le coup de sifflet de l’arbitre sud-africain Craig Joubert, qui n’est jamais venu. «J’ai rencontré M. Joubert deux jours avant le match, a raconté l’entraîneur français Marc Lièvremont. Je lui ai dit que la pression devait être très forte sur ses épaules. Et qu’il était un homme, et donc qu’il pouvait se tromper. Je me suis engagé quoi qu’il arrive à ne pas critiquer son arbitrage.»

La pénalité tant espérée n’est jamais venue, et les Français ont été battus en finale, comme en 1987 et en 1999.

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France: le PSG reste leader


Si - 23. octobre 2011, 22h52


Paris Saint-Germain a conservé la tête de la Ligue 1 au terme de la 11e journée. Le PSG a logiquement dominé Dijon 2-0 grâce à un doublé de Nene.
Après avoir concédé l'ouverture du score de Briand, Lille a renversé la situation et battu Lyon 3-1 dans le match au sommet du week-end. Sow, Basa et Joe Cole ont marqué pour le champion en titre, qui se retrouve 3e à quatre points du leader parisien.
Auxerre, sans Grichting (remplaçant), a perdu 1-0 à domicile contre Rennes.
Résultats: Auxerre - Rennes 0-1. Paris Saint-Germain - Dijon 2-0. Lille - Lyon 3-1.
Classement (11 matches): 1. Paris Saint-Germain 26. 2. Montpellier 23. 3. Lille 22. 4. Rennes 21. 5. Lyon 20...

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L'euphorie continue à Anderlecht


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7S7 mise à jour Mené au score suite à un but signé De Petter à la 32e minute, Anderlecht est parvenu à renverser la situation dans les 10 dernières minutes pour finalement s'imposer 1-2 à Westerlo, dimanche lors de la 11e journée du championnat de Belgique. Un but contre-son-camp de Wils (81e) et un autre de Gillet (88e) ont permis aux Bruxellois de se maintenir en tête du championnat avec 26 points.

Canesin hérita de la première occasion au quart d'heure mais trouva un Deelkens attentif. Westerlo prit les commandes à la 32e quand De Petter se trouva à la réception d'un centre de Dekelver. Les Mauves durent attendre la fin de la rencontre pour renverser la situation. À la 81e, un coup-franc de Biglia trouva la tête de Juhasz. Deelkens repoussa...sur Wils, son défenseur, et le ballon termina sa course au fond des filets. Puis De Sutter de la tête eut deux fois l'occasion de donner l'avantage aux siens, sans succès.

Guillaume Gillet de la tête, à nouveau sur un coup-franc de Biglia, trompa Deelkens et donna la victoire aux visiteurs. Mbokani se heurta au poteau dans les arrêts de jeu. Cette victoire permet à Anderlecht de rester en tête du classement avec 26 points. La Gantoise, le Cercle de Bruges et le FC Brugeois suivent avec 22 points. Ce dernier jouera à Courtrai à 18 heures. Standard/Zulte Waregem clôturera ensuite cette 11e journée à 20h30. (belga/mb)



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La France s'estime lésée par l'arbitrage


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Les joueurs du XV de France se sont unanimement estimés floués par l'arbitrage du Sud-Africain Craig Joubert en finale du Mondial 2011 face à la Nouvelle-Zélande, remportée (8-7) par les All Blacks dimanche à l'Eden Park d'Auckland.

L'entraîneur du XV de France Marc Lièvremont, qui avait qualifié dans la semaine le Sud-Africain Craig Joubert de "meilleur arbitre du monde", s'est abstenu du moindre commentaire après la finale gagnée par les All Blacks, qui attendaient ce sacre mondial depuis 24 ans. "J'ai rencontré Craig Joubert il y a deux jours et je lui ai dit, effectivement, que je pensais que c'était le meilleur arbitre du monde. Je lui ai dit que la pression sur ses épaules devait être extrêmement forte. Je lui ai dit aussi qu'un homme pouvait se tromper et je me suis engagé, quoi qu'il arrive, ce (dimanche) soir, à ne pas critiquer son arbitrage", a-t-il éludé.

Ses joueurs ont été moins mesurés après la rencontre. "Je suis dégoûté", a notamment déclaré le centre Maxime Mermoz.
"Je n'ai pas l'impression que tous nos efforts aient été récompensés. C'était chez eux, c'était écrit, tout a été fait pour que ça soit respecté, malgré nos efforts. C'est une équipe magique! Ils ne font jamais de fautes au sol, en mêlée, même quand ils reculent, ils ne sont jamais à la faute... Ils sont vraiment très forts, quoi", a-t-il fulminé.

La tonalité était la même, quoique plus fataliste, chez le pilier Fabien Barcella. Dans les dix dernières minutes, alors que les Français dominaient la partie, "on savait qu'il n'allait pas siffler sinon il n'allait pas pouvoir sortir du pays. On savait qu'il n'allait pas mettre une pénalité pour nous, qu'il nous faudrait un drop ou un essai", a-t-il estimé.

Le talonneur Dimitri Szarzewski était parmi les plus remontés. "J'aurais franchement préféré perdre de quarante points que d'un point (...) McCaw (capitaine néo-zélandais) et Kaino (autre 3e ligne), ils ont fait ce qu'ils ont voulu sur le terrain. Ce sont des joueurs que je respecte énormément mais à un moment donné, on ne peut pas les laisser faire ce qu'ils veulent sur le terrain. Sinon, on arrête de jouer", a-t-il déclaré. La France a échoué pour la troisième fois de son histoire en finale de Coupe du Monde.

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Le pilote Dan Wheldon enterré à St. Petersburg


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Les funérailles du pilote britannique Dan Wheldon, décédé dimanche passé dans un terrible accident lors du Grand Prix d'IndyCar de Las Vegas, ont eu lieu samedi à St. Peterburg, la ville de Floride où il habitait avec sa femme et ses deux jeunes enfants.

Lors de la cérémonie religieuse, sa veuve Susie, mère de Sebastian (2 ans) et Oliver (7 mois), également présents à l'office et à l'enterrement, a partagé son malheur en faisant lire une lettre: "Mon Dan, la douleur enveloppe tout mon corps, jusqu'au plus profond de mon âme. Mon coeur est brisé en un millions de morceaux. Je n'arrête pas de penser qu'il s'agit d'un mauvais rêve. Je veux me réveiller et entendre ta voix rassurante."

Le cercueil du double vainqueur des 500 miles d'Indianapolis (2005, 2011) a notamment été porté par ses amis pilotes d'IndyCar Dario Franchitti, Scott Dixon et Tony Kanaan alors que son père tenait le casque de course de Wheldon. La quasi-totalité des pilotes d'IndyCar ont assisté à la cérémonie, ainsi que des pilotes d'autres séries automobiles.

Une cérémonie du souvenir ouverte au public doit avoir lieu dimanche dans une salle de sports à Indianapolis, à quelques hectomètres du circuit emblématique de l'IndyCar, le "Brickyard", où Wheldon avaient levé les bras en vainqueur au mois de mai pour la deuxième fois de sa carrière.

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Zurich: 700 supporters bâlois font demi-tour sans assister au match



Sept cents supporters du FC Bâle ont renoncé à entrer au stade du Letzigrund à Zurich, où leur club devrait affronter dimanche après-midi le FC Zurich. Après une mise en garde de la police, ils ont préféré rentrer chez eux.
A leur descente du train spécial en provenance de Bâle, quelques fans du FCB ont allumé des engins pyrotechniques avant de prendre le chemin du stade. La police les a alors avertis qu'elle ne tolèrerait ni cagoules ni fusées lors de la marche en direction du Letzigrund.
Après de longues discussions, 700 supporters des 800 arrivés par le train spécial ont renoncé à assister au match et sont repartis pour Bâle.
Tracts distribués

Des tracts distribués dans le train durant le trajet aller avaient par ailleurs déjà conseillé aux fans de ne pas acheter de billets pour le match en raison d'un renforcement des contrôles à l'entrée du stade, a indiqué la police.
Les mesures de sécurité au stade du Letzigrund ont été renforcées après que des affrontements entre supporters ont conduit à l'interruption d'un match entre le FC Zurich et Grasshopper début octobre.

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Ski alpin - CM

Pinturault : «D'abord gagner»

Deuxième du géant de Sölden dimanche, le Français Alexis Pinturault se pose déjà en candidat pour le globe de la spécialité, à seulement 20 ans.



Le prochain objectif d'Alexis Pinturault est une victoire en Coupe du monde.(EQ)


Le podium d'Alexis Pinturault est-il une surprise ?

Non. Ni l'encadrement, ni les skieurs de l'équipe de France, ni Alexis Pinturault n'ont feint la surprise à l'issue de la course d'ouverture. En monde géantiste, il avait déjà fait ses preuves chez les jeunes avec deux titres de champion du monde juniors (2009 et 2011). Il avait dominé la Coupe d'Europe, antichambre de l'élite, l'hiver dernier. Il avait surgi sur le podium du géant de Kranjska Gora (2e) avec le dossard 34 en mars. Et tout au long de l'été, il a confirmé sa progression. «Il était déjà devant aux entraînements. Il a réussi à reproduire son ski en course dès la première Coupe du monde de l'hiver», observe Thomas Fanara, 6e dimanche. «Avec les entraîneurs, ça m'a permis d'acquérir de l'expérience et de la sobriété. Une grosse confiance qui m'a servi aujourd'hui», raconte Pinturault.

Comment a-t-il vécu la course ?

Alexis Pinturault est certes monté sur son deuxième podium en Coupe du monde mais dans un contexte inédit puisqu'il était cette fois-ci au pied du podium à mi-géant. «Après avoir été dans les 30 à Hinterstoder et Kranjska Gora, je sais ce qu'est le niveau en deuxième manche. Tu ne peux pas te permettre de faire une faute, avance-t-il. Je pensais que je pouvais monter sur la boîte, gagner j'en étais moins sûr.» A seulement un dixième de la 3e place mais sans une seconde de doute ou de stress : «La pression était sur les épaules de Ligety, c'est lui qui était premier. Je n'avais qu'une chose à faire : aller chercher le podium». Malgré une petite faute sur le deuxième tracé, Pinturault a déjà confirmé cette sérénité en réalisant la meilleure deuxième manche des sept derniers concurrents.