Toutes New sportives autres que la moto - Page 1267

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 01/12/2011, 06h37

Europa League: l'Atletico Madrid qualifié, Tottenham en danger

AFP - 30. novembre 2011, 23h28

L'Atletico Madrid s'est qualifié pour les 16e de finale de l'Europa League en s'imposant 1-0 chez le Celtic Glasgow, lors d'une 5e journée de phase de groupes qui a vu Tottenham s'éloigner des 16e de finale en s'inclinant à domicile face au PAOK Salonique (2-1).

Daniel Majstorovic du Celtic (à droite) et Adrian Lopez de l'Atletico Madrid le 30 novembre 2011 à Glasgow. © AFP

Un but de Turan a permis à l'Atletico de s'arroger définitivement la première place du groupe I. La deuxième se disputera sur un match entre l'Udinese (0-0 à Rennes) et le Celtic, sachant cependant que les Italiens évolueront à domicile et n'auront besoin que d'un nul.
Le PAOK Salonique s'est qualifié avec deux buts inscrits tôt dans la partie, les Anglais ne pouvant que réduire le score sur penalty par Modric, malgré l'exclusion d'un Grec dès la 37e minute.
Tottenham n'est pas loin de la sortie: les Spurs doivent désormais s'imposer chez les Shamrock Rovers et compter sur un revers du Rubin Kazan à Salonique, tout en remontant la différence de buts (+6 pour Kazan, +1 pour Tottenham) puisque les deux clubs sont ex aequo à la différence particulière...
Le Standard Liège s'est emparé de la première place du groupe B en battant Hanovre (2-0), qui est également qualifié grâce au nul de Copenhague à Vorskla (1-1, deux buts inscrits par Ndoye) et la différence particulière favorable aux Allemands par rapport aux Danois.
Dans le groupe G, le Metalist Kharkov a giflé l'Austria Vienne (4-1) et assuré sa première place, au gré de la meilleure attaque jusqu'à présent de la phase de groupes (14 buts marqués). L'Austria et l'AZ Alkmaar guigneront à distance la deuxième place lors de la dernière journée.
Le suspense continue dans le groupe H, où trois clubs lorgnent encore la qualification. Bruges a pris la tête grâce à son succès à Maribor, acquis sur la fin puisque les Belges, menés 3-0, ont renversé la tendance dans le dernier quart d'heure pour l'emporter 4-3 ! Braga aussi a gagné (1-0 contre Birmingham). Du coup, Bruges et Braga se qualifieront tous deux en cas de nul lors du match qui les opposera mi-décembre, et Birmingham serait le dindon de la farce...

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 01/12/2011, 06h38

Handball: Montpellier reste invaincu

AFP - 30. novembre 2011, 23h41

Le leader Montpellier est resté invaincu après sa victoire à Créteil (36-29), tandis que son dauphin, Chambéry, a dominé Ivry (25-20), mercredi soir, lors de la 11e journée du Championnat de France de D1 messieurs de handball.

Un ballon de hand. © AFP/Archives

Au classement, Montpellier conserve sa première place (22 points) avec 11 victoires en autant de journées. Il maintient son avance sur Chambéry (20 pts), 2e, et augmente l'écart qui le sépare du 3e, Saint-Raphaël (14 pts), défait à Nantes (33-26).
A Créteil, les Héraultais, emmenés par un Issam Tej et un Nikola Karabatic en forme avec respectivement 7 et 5 buts, n'ont fait qu'une bouchée des Cristoliens.
De son côté, Chambéry a battu la lanterne rouge Ivry, grâce notamment à la performance de Bertrand Roiné (6 buts).
Saint-Raphaël a réalisé la mauvaise opération de la soirée en s'inclinant à Nantes, malgré l'énorme match de Dan Fortuneanu, auteur de 10 buts. Les Varois (14 pts) ont désormais 8 points de retard sur le leader Montpellier et sont talonnés par Dunkerque (13 pts), vainqueur de Tremblay mercredi (26-25).
En Seine-Saint-Denis, Dunkerque s'est imposé dans le sillage de son meilleur buteur (8 buts mercredi) Baptiste Butto et a conservé son petit but d'avance grâce aux 18 arrêts de William Annotel.
Vendredi Paris (12e) accueillera Nîmes (11e) dans un duel de mal classés tandis que le Toulouse (7e) de Jérôme Fernandez recevra Cesson (6e).
Istres (13e) se déplacera à Sélestat (9e) pour clore la 11e journée samedi.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 01/12/2011, 06h39

Euroligue de basket: Nancy explose en fin de match à Bilbao et perd gros

AFP - 30. novembre 2011, 23h36

Nancy a complètement craqué en fin de match à Bilbao 97 à 75 (mi-temps: 39-40), mercredi lors de la 7e journée d'Euroligue messieurs de basket, et a pu constater combien il était urgent de remplacer Nicolas Batum.

Marko Banic ( au centre) avec Victor Samnick de Nancy le 30 novembre 2011 à Bilbao. © AFP

Sans l'ailier de Portland, qui va repartir en NBA avec la levée programmée du lock-out, le champion de France a manqué d'un leader offensif dans les dernières minutes, capable de concrétiser le bon comportement pendant une demie-heure du Sluc.
Cette défaite est catastrophique pour Nancy, qui perd le point-average particulier sur les Basques (aller 87-73). Les Lorrains devront impérativement s'imposer dans leurs deux derniers matches à domicile contre Fenerbahçe et l'Olympiakos Le Pirée pour espérer accéder au Top 16.
Comme on s'y attendait, Nancy a été exposé sur le poste 3 (ailier), celui qu'occupait Batum, où Jamal Shuler a payé son manque de taille. L'ailier fort espagnol Alex Mumbru en a profité d'entrée pour aligner les paniers et lancer son équipe sur les bons rails (17-9, 6e).
Le Sluc a compensé ses soucis défensifs, par une belle adresse extérieure, Adrien Moerman, Shuler et Kenny Grant se mettant en valeur dans cet exercice (19-19, 9e).
Quelques ballons chipés dans les mains espagnoles lui ont permis de se maintenir au contact (34-30, 16e), la troisième faute rapide de Shuler (17e) assombrissant cependant le tableau d'une première période plutôt bien maîtrisée.
Si l'arrière américain ne s'en est pas laissé compter, se montrant précieux dans un troisième quart-temps où les Basques ont augmenté la pression physique (68-60, 30e), les Nancéiens ont progressivement lâché du lest.
Avec Raul Lopez, Mumbru et Janis Blums, Bilbao a inscrit 29 points dans le troisième quart-temps, Nancy subissant aussi au rebond, après la quatrième faute d'Akin Akingbala (27e).
Dans une ambiance lourdement tendue par les exclusions de Moussa Badiane et D'Or Fischer pour un accrochage, Nancy a commencé à perdre pied dans le "money time", précipitant ses tirs.
Sans Batum, qui à l'aller avait inscrit 11 points lors de deux dernières minutes échevelées, Nancy a été incapable d'endiguer la marée basque, encaissant encore 27 points dans les dix dernières minutes.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 01/12/2011, 07h15

Le Standard, Rouche de bonheur

Le Standard composte son ticket pour le second tour de l'Europa League. © belga
C'est désormais une certitude: le Standard accèdera au second tour de l'Europa League. Les hommes de José Riga ont dominé Hanovre ce soir, tant dans les chiffres que dans la manière (2-0, mi-temps: 1-0). A la suite d'un cafouillage dans les 16 mètres, Buyens décalait de la tête vers Tchité. La volée du pied droit de l'ancien joueur du RSCA faisait mouche (25e, 1-0). En début de seconde période, une action bien amorcée par Tchité, poursuivie par Bia et conclue par Cyriac mettait définitivement les Rouches à l'abri (58e, 2-0). Une bien belle soirée de football à Sclessin.

8 buts en 6 matches pour Tchité: pas mal du tout ! © photo news

Sinan Bolat, l'assurance tous risques du Standard. © belga

Standard-Hanovre sous les yeux de Legear. © belga

Intelligence, précision, physique: Vainqueur n'est pas loin d'être l'un des meilleurs joueurs du championnat belge. © reuters

Le Standard n'est pas le même avec ou sans Cyriac. © belga

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1 Tchité: 8 buts en 6 matches
Un joueur incarne parfaitement la renaissance du Standard. C'est Mémé Tchité. Le potentiel futur attaquant des Diables s'est métamorphosé depuis que le Standard évolue en 4-4-2 avec Cyriac. Deux doublés contre Bruges et Louvain, des buts à Saint-Trond, contre Poltava, face à Malines et le dernier en date contre Hanovre: l'ancien joueur du RSCA est dans la forme de sa vie avec 8 buts lors des 6 derniers matches.

2 Bonne gestion du match
Le Standard a progressé dans tous les lignes. Sa défense a gagné en expérience, son entrejeu travaille beaucoup entre les lignes (excellent Vainqueur ce soir) et son attaque (Seijas-Bia, Tchité et Cyriac) allient technique, puissance et vitesse. Bref, les Rouches ont parfaitement négocié ce rendez-vous contre Hanovre, une des équipes les plus difficiles à manoeuvrer en Bundesliga.

3 Bolat, l'assurance tous risques
Son départ laissera un grand vide au Standard. Sinan Bolat, et c'est peut-être le tournant du match, a réalisé un arrêt de classe mondiale lors de son duel avec Schlaudraff (34e). Un face-à-face où le dernier rempart turc a attendu le dernier moment pour jaillir comme un chat pour détourner le cuir. Sans son intervention, Hanovre serait revenu à la marque et la rencontre aurait pu prendre une autre tournure.

Christophe Da Silva

Matchs jouésVictoiresDéfaitesNulsGoal-averagePointsStandard53028-111Hanovre52126-68Copenhague51225-85Poltava50323-72

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 01/12/2011, 07h17

Bruges ou le miracle de Maribor

30 novembre 2011: Maribor-Club Bruges 3-4. Une rencontre à tout jamais historique pour les Blauw en Zwart. © photo news
De 3-0 à 3-4 en 15 minutes: le Club Bruges a réalisé l'impensable à Maribor (3-4, mi-temps: 1-0). Après une tête de Vleminckx sur la latte (7), la défense brugeoise a affiché toutes ses limites ce soir. La paire Almebäck-Donk a brillé par sa médiocrité. L'un a offert le ballon du 1-0 à Volas (10e, 1-0), le second a dévié le cuir dans ses propres filets (50e, 2-0). Volas, à l'affût, a marqué son second but de la soirée très facilement (67e, 3-0). Mais comme le football n'est pas une science exacte et que les miracles existent, les Blauw en Zwart ont marqué 4 buts en 15 minutes. En un mot incroyable!

Akpala, auteur du 3-3, et la rage de vaincre. © photo news

Dirar, un doublé en 3 minutes (74 et 77). © photo news

Comme Jorgavevic ne pouvait être aligné en Europa League, c'est Kujovic qui a défendu les buts brugeois. © photo news

Donk, très faible en défense centrale. © belga

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1 Club cherche défense
"Avant d'attaquer, il faut savoir bien défendre". A son arrivée à Bruges il y a trois semaines, Christoph Daum avait rapidement repéré la faiblesse de ce Bruges version 2011-2012. Avec une défense en carton comme l'était celle des Blauw en Zwart ce soir (hormis peut-être Hoefkens), les Brugeois ont réalisé un véritable miracle (le mot est pesé). Mention spéciale pour la faible paire Donk (malgré son but)-Almebäck qui avait décidé d'offrir des cadeaux à Maribor à une semaine de la Saint-Nicolas.

2 Comment marquer 4 buts en 15 minutes?
74e minute: le Club Bruges est mené par trois buts d'écart. Il frôle le ridicule. 16 minutes auparavant, Christoph Daum remplace Refaelov par Akpala. Et le miracle se dessine. Dirar plante deux pions en un temps record (74 et 77) et Akpala permet aux siens de recoller au score (81). A 60 secondes du coup de sifflet final, Donk place une tête imparable (89). Le miracle de Maribor est né.

3 Match décisif Braga
Le 15 décembre prochain, les Blauw en Zwart seront obligés de faire un résultat contre l'ancien finaliste de l'Europa League 2011 pour continuer à exister sur la scène européenne. Un résultat jouable dans la mesure où les Brugeois avaient déjà réalisé un exploit sur la pelouse des "Guerriers do Minho" il y a quelques semaines.

Christophe Da Silva

Le Club Bruges de Christopher Daum n'avait pourtant pas encaissé sur 180 minutes de championnat. © belga

A la 10e minute, Volas a profité d'une perte de balle d'Almeback pour ouvrir le score. © belga

© photo news
Groupe H Matchs jouésVictoiresDéfaitesNulsGoal averagePointsCLUB BRUGES531111-1010BRAGA531111-510BIRMINGHAM52217-67MARIBOR50416-141

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 02/12/2011, 07h59

SKI ALPIN
Didier Cuche, des tests en vue d’une première?

01. décembre 2011, 23h35

G. C. (Beaver Creek) | Le Matin

Le Neuchâtelois a essayé d’autres skis pour le second entraînement à Beaver Creek. Reste à choisir les bons pour s’imposer aujourd’hui sur l’une des rares descentes qui manquent encore à son palmarès.
Didier Cuche répète volontiers son plaisir de skier sur la «Birds of Prey» de Beaver Creek. «Il y a un peu de stress au départ, mais une fois qu’on est engagé, qu’on a le rythme, c’est vraiment beau.» Le Neuchâtelois y a déjà cueilli une victoire en super-G (en 2002), mais la première marche du podium s’est toujours refusée à lui en descente (2e en 2006 et 2009, 3e en 2007, 5e en 2002 et 2004). A la veille du départ, il souligne. «Je ne me mets pas pour autant de pression. Je ne l’aborde pas différemment des autres courses. Par contre l’envie est vraiment là.»
Pour le second entraînement de cette descente, Didier Cuche (4e) a ainsi testé un autre matériel que celui utilisé lors du premier test mercredi. Verdict. «Il faut faire confiance à ses sensations dans les courbes et aujourd’hui, j’ai l’impression que c’était moins bon. Mais peut-être que la neige a un peu évolué, c’est plus brillant et j’ai eu un peu plus de peine à faire entrer la carre dans la neige. Je vais devoir faire le point avec Chris (Krause, son service-man) pour savoir si on reprend ce que j’avais mercredi (il avait gagné ce premier entraînement) où si on repart encore une fois sur autre chose.»
Pour Carlo Janka, les interrogations viennent du corps. De son dos en particulier qui le dérange depuis la mi-septembre et l’a empêché jusqu’à maintenant de s’entraîner à 100%. Mais en signant le 7e chrono de l’entraînement, le Grison s’est rassuré. «Bien sûr, ce n’est pas encore parfait, mais je n’ai pas de douleurs lorsque je skie, alors j’espère que ça va continuer comme ça, de mieux en mieux. D’autant que cette piste me plaît beaucoup. Elle est parfaitement préparée, c’est vraiment plaisant à skier.»
De retour sur le circuit après une saison blanche, due à sa blessure au genou, le Valaisan Didier Défago (27e) cherche justement à retrouver ce plaisir. «Pour l’instant j’accumule les kilomètres afin de retrouver le bon rythme. Aujourd’hui, il y avait un peu de vent, ce qui modifie quelques paramètres, mais sinon j’ai eu un meilleur feeling qu’au premier entraînement. Il y a du bon à garder pour la course.»

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 02/12/2011, 08h01

FOOTBALL
SFL: quelle gaffe!

01. décembre 2011, 23h10

Renaud Tschoumy | Le Matin

2 commentaires

La commission de qualification de la Swiss Football League s’est trompée en qualifiant les six recrues sédunoises les 5 et 8 août dernier. Le FC Sion exige confirmation de l’éligibilité de ceux-ci jusqu’à ce matin.

Alexandre Zen-Ruffinen: «il ne suffit pas d’admettre sa faute pour que ce qui a été décidé par erreur devienne caduc» © Michel Perret

Pour une boulette, c’en est une! La Swiss Football League a en effet admis avoir fait une erreur en qualifiant les six recrues sédunoises début août dernier. Les qualifications de Glarner et de Gonçalves ont été officialisées le 5 août, celles de Feindouno, Gabri, Ketkeophomphone et Mustch étant effectives trois jours plus tard, selon les décisions de la commission de qualification.

Mercredi soir, la SFL a adressé au FC Sion un fax dans lequel elle reconnaissait sa faute. Elle évoque une «erreur évidente du secrétariat» qui ne permet en aucun cas au club sédunois de s’en prévaloir de bonne foi «pour considérer les joueurs comme formellement qualifiés». En clair, les joueurs étaient qualifiés sur le site, mais ne l’étaient pas dans les esprits des dirigeants de la League. L’informatique a parfois bon dos.

«C’est incroyable, réagissait au téléphone l’avocat du club sédunois, Alexandre Zen-Ruffinen. Je suis en train d’écrire à la SFL pour lui dire ma stupéfaction qu’on puisse commettre des erreurs à ce niveau-là, et, surtout, qu’on attende presque quatre mois pour reconnaître la faute en question. J’ajoute dans mon courrier que la plaisanterie a assez duré.»

De fait, le FC Sion demande à la SFL de confirmer la qualification des six recrues estivales jusqu’à ce vendredi matin 9 h, sur son site officiel via l’adresse www.football.ch.

Entre le marteau et l’enclume
Se pose maintenant la question des suites qui seront données à cette affaire, qui prend une tournure de plus en plus rocambolesque. Ce qui semble certain, c’est que la commission de discipline présidée par Daniele Moro, dont on attendait une décision cette fin de semaine, ne statuera pas avant une quinzaine de jours, selon des sources dignes de foi. Ce qui veut dire que la SFL attendra la fin de la première phase de championnat pour se décider.

Soumise à la pression de la FIFA, qui veut d’elle qu’elle sanctionne les matches dans lesquels les recrues sédunoises ont été alignées, la SFL est désormais bien empruntée. Le chef des licences, Claudius Schäfer, semble tenir à voir les matches en question perdus par forfait – ce qui entraînerait un retrait de 16 points au total sédunois –, mais dès le moment ou c’est la League qui a commis l’erreur, on la voit mal punir le club valaisan. La voilà entre le marteau et l’enclume et dans un sacré pétrin, pour ne pas écrire plus.

Et on vous laisse imaginer la réaction de Christian Constantin et de son avocat si la SFL administrait quand même ces forfaits! Les recours qui en découleraient feraient traîner l’affaire encore davantage! «Il ne suffit pas d’admettre sa faute pour que ce qui a été décidé par erreur devienne caduc», assène encore Me Zen-Ruffinen.

Cela semble évident.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 02/12/2011, 08h06

SKI ALPIN
Cuche - Svindal: hommes à battre

01. décembre 2011, 23h06

Cajeux Gaëlle | Le Matin

Brillants à Lake Louise, le Suisse et le Norvégien partent favoris des épreuves de vitesse de cette fin de semaine à Beaver Creek. Les deux champions n’en sont pas moins complices.

© Keystone

Vous voilà déjà en top forme, est-ce parce que vous êtes deux des plus grands travailleurs du circuit?

Aksel. – Je skie énormément, je pense que c’est la seule façon d’être bon.

Didier. – Je ne sais pas ce qu’il a fait, mais personnellement, j’ai passé un bel été. Allongé sur la plage… Non, la clé du succès est évidemment de travailler dur.

Aksel. – C’est ma façon d’être, j’ai besoin de beaucoup bosser pour m’améliorer dans tout ce que je fais. Comme je veux être le skieur le plus rapide, je m’entraîne beaucoup.

Didier. – Je pense que je skie moins qu’Aksel.

Aksel. – Oui, mais tu as aussi huit ans de ski en plus dans les jambes. Donc je dois combler cela.

Didier. – C’est vrai que désormais, grâce à cette longue expérience, je trouve plus vite la bonne technique et me sens plus rapidement en confiance qu’avant.

La comparaison entre vous tient également à vos come-back gagnants après de lourdes blessures. Des réussites dues à une force mentale hors norme?

Aksel. – Oui, mais là encore, si j’ai assez travaillé physiquement, je suis prêt mentalement. L’esprit se libère et tout devient beaucoup plus simple. Au lieu de parler pendant deux heures avec un psychologue du sport qui doit estimer si je suis prêt ou pas à revenir, il me suffit de skier durant deux heures pour le savoir.

Didier. - Je me suis toujours dit: «N’abandonne jamais. Même lorsque tu vis des moments difficiles. Après la pluie vient le soleil.» Bon, parfois la pluie revient. Je touche du bois. (Il touche son front.)

Derrière tout cela, il y a d’abord une énorme passion.

Didier. – Bien sûr, tu dois aimer ça.

Aksel. – J’adore le ski! Mais ce n’est pas toujours une vie facile.

Didier. – Oui, il suffit de comparer les mois de préparation physique et les manches d’entraînement durant l’été, au total de1 h 15’ de course pendant l’hiver…

Aksel. – Ce sont six mois de compétition, avec des courses à une fréquence très élevée, plus les entraînements que l’on effectue entre deux, les multiples déplacements; l’hiver est définitivement éprouvant pour les organismes.

Après des années sur le circuit, cela devient épuisant?

Aksel. – Au début, tout est nouveau et excitant. Mais ensuite on entre dans le rythme, on sait ce qu’il faut faire, on connaît les lieux. Cette expérience nous profite.

Didier. – Le succès rend aussi cela plus facile.

Aksel. – Bien sûr, quand tu fais tous ces voyages et que tu skies comme une m…, alors l’hiver paraît très long. Sans fin.

Didier. – Je ne sais pas si tu ressens la même chose, mais sauf si je commets une grosse erreur, que je me fais une frayeur sur la piste, j’ai toujours du plaisir.

Aksel. – Oui, à part quand tu dois lutter. Par exemple si tu sens que quelque chose ne va pas avec tes chaussures ou tes skis, c’est beaucoup de boulot pour chercher et résoudre le problème. Ou si tu as des douleurs, il faudrait faire une pause, mais c’est quasi impossible durant la saison.

Didier. – Ce que je veux dire, c’est que du moment que tu passes la ligne d’arrivée, si tu n’as pas mal quelque part, c’est du plaisir. Ensuite tu vois ton temps. 50 centièmes de retard, ça passe mal. Mais si tu es devant, sur le podium, alors c’est le bonheur.

Est-il toujours aussi intense après tant de podiums?

Aksel. – Assurément.

Didier. – Chaque podium est différent. Parfois l’émotion est plus forte, cela dépend de la façon dont s’est déroulée la semaine, s’il a vraiment fallu cravacher.

Quelle question aimeriez-vous poser à l’autre?

Aksel. - Sa façon de skier en descente est la plus impressionnante, la plus remarquable. Alors, comme j’aimerais vraiment gagner Kitzbühel, je devrais demander à Didier ses conseils pour m’imposer sur la Streif.

Didier, vous accepteriez d’aider Aksel?

Didier. – J’accepte d’aider Aksel à gagner Kitzbühel s’il m’apprend à skier en slalom pour obtenir quelques points en combiné…

Aksel. – Pour le classement général? (Ils rient.)

Didier. – Non, je préfère attaquer plus fort à Kitzbühel pour engranger des points sur la descente.

Aksel. – Oui, si je gagnais cette descente, ou si j’y décrochais 50 points de plus, je zapperais les slaloms pour toute la saison.

Didier, votre question à Aksel?

Didier. – Ah, mais je sais tout d’Aksel… C’est pour ça que je skie si vite.

(Ils rient.)

Didier. – Bon, alors comment ça se passe avec Jules (ndlr: Julia Mancuso, skieuse américaine et compagne de Svindal) sur le circuit? Ça ne doit pas toujours être évident…

Aksel. – Non, non, ça se passe très bien, je te rassure.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 02/12/2011, 08h08

Football
Europa League: Zurich battu et éliminé par le Sporting Portugal

01. décembre 2011, 23h05

LeMatin.ch & les agences

Le FC Zurich est désormais éliminé de l’Europa League: lors de la 5e journée du groupe D, le club suisse s’est incliné 2-0 à Lisbonne contre le Sporting Portugal.

Le FC Zurich s’est incliné 2-0 à Lisbonne contre le Sporting Portugal. © Keystone

Le FC Zurich est désormais éliminé de l’Europa League: lors de la 5e journée du groupe D, le club suisse s’est incliné 2-0 à Lisbonne contre le Sporting Portugal.
En alignant un onze de départ remanié, Urs Fischer affichait clairement ses priorités: le match important de la semaine ne se jouait pas dans la capitale portugaise, mais à Genève dimanche contre Servette en championnat. Ainsi, Rodriguez, Béda, Mehmedi et Chermiti n’étaient que remplaçants. Mais même avec une équipe au complet, Zurich aurait eu de la peine à régater avec son adversaire.
Le FCZ n’a certes pas mal entamé la partie, avec notamment un Chikhaoui très mobile en pointe. Mais le Tunisien galvaudait une superbe balle de contre (3 contre 2) à la 6e en manquant son centre. Ensuite, il allait régulièrement perdre les rares ballons reçus en se montrant trop individualiste.
A l’approche du quart d’heure, le Sporting prenait nettement l’ascendant. Johnny Leoni sauvait successivement devant Bojinov (13e) puis Carrico (14e).
Mais le portier valaisan du FCZ ne pouvait rien sur l’ouverture du score du buteur néerlandais Van Wolfswinkel (15e), idéalement servi par son compatriote Schaars. Le point de départ de cette action était un ballon perdu dans l’axe par Aegerter.
Sans trop forcer
Les Portugais, au bénéfice d’un jeu collectif bien huilé, proposaient plusieurs belles actions sur les côtés, mais sans se montrer extrêmement dangereux et sans trop forcer leur talent. Aligné en lieu et place de Rodriguez, Ludovic Magnin se retrouvait souvent en difficulté face à Capel. Le Vaudois était aussi à la peine dans le jeu aérien, comme sur le deuxième but portugais inscrit par Bojinov (58e), après un duel gagné face à l’ancien international suisse.
A l’issue d’une dernière demi-heure aux furieuses allures de match amical, le Sporting a donc engrangé un quatrième succès dans ce groupe, dans lequel il était déjà qualifié pour les 16es de finale. Les Portugais s’étaient déjà imposés sur un score identique au Letzigrund lors de la 1re journée.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 02/12/2011, 08h10

EXCLUSIF
Kadyrov veut liquider Chagaev

01. décembre 2011, 22h45

Ludovic Rocchi | Le Matin

5 commentaires

Les remous financiers et judiciaires autour du boss de Xamax prennent une dimension nouvelle et inquiétante. Selon les informations du «Matin», le Tchétchène est menacé de mort dans son pays.

Selon un proche du président tchétchène, Ramzan Kadyrov, le cas de Bulat Chagaev doit se régler de manière radicale: «On aimerait le ramener en Turquie. Là, c’est plus facile de s’occuper de lui.» © Keystone

La scène se déroule le 12 octobre dernier à Grozny. Face à des visiteurs européens venus se renseigner sur le profil de Bulat Chagaev, un homme très proche du président tchétchène, Ramzan Kadyrov, tient des propos qui font froid dans le dos.

«Chagaev, dit-il à ses hôtes, on aimerait le ramener en Turquie. Là, c’est plus facile de s’occuper de lui.» Le message est clair pour qui connaît les pratiques du tyran de Grozny et de son clan: la Turquie sert souvent de base arrière aux basses œuvres de ce régime mafieux.

La «brouille» entre Bulat Chagaev et celui qu’il continue de décrire comme son «frère» est donc bien sérieuse. Aux journalistes, Ramzan Kadyrov et ses sbires n’ont évidemment jamais indiqué qu’il existe une forme de contrat sur la tête du président de Neuchâtel Xamax.

Le président tchétchène s’est contenté de déclarer à la télévision d’Etat que «Bulat m’a mangé mon argent». Mais aucune précision n’a jamais été donnée sur un montant ou les circonstances de cette brouille entre «frères» tchétchènes. «Il s’agit d’une affaire privée entre notre président et M. Chagaev. S’il y a un malentendu entre eux, ils doivent le résoudre eux-mêmes, sans nos conseils», nous avait précisé à l’époque le ministre des Sports de Tchétchénie, Khaidar Alkhanov.

Mais comme le prouvent les témoignages dignes de foi recueillis par «Le Matin» dans les coulisses du pouvoir à Grozny, la manière choisie pour régler le différend avec le camarade Chagaev semble être radicale. Chagaev lui-même prend-il cette menace de mort au sérieux? Va-t-il demander protection aux autorités suisses, alors qu’il ne dispose plus de titre de séjour valable dans notre pays? Hier, ni l’homme d’affaires tchétchène ni son avocat, Jacques Barillon, n’ont répondu à nos questions.

Côté autorités, on n’est pas beaucoup plus loquace sur cette nouvelle dimension du feuilleton Xamax. A Genève, le chef de la police judiciaire, François Schmutz, nous a indiqué ne pouvoir «ni infirmer ni confirmer» la réalité d’une menace pour la sécurité de Bulat Chagaev.

A Neuchâtel, Pascal Lüthi, adjoint du commandant de la police cantonale, s’en tient à cette déclaration: «Nous n’avons pas d’informations selon lesquelles M. Chagaev serait menacé et il ne nous a pas demandé de mesures particulières.»

Lors de la dernière interview qu’il avait accepté de mener avec «Le Matin», le 7 octobre dernier, le boss de Xamax s’était évertué à minimiser ses problèmes avec Grozny. Pour bien montrer qu’il n’avait rien à se reprocher, et donc à craindre, il nous avait d’ailleurs juré qu’il ne disposait pas de gardes du corps armés. Ce qui est faux, comme nous avons eu l’occasion de le vérifier devant la villa de Saint-Sulpice (VD), où Chagaev séjourne parfois auprès de la mère de deux de ses enfants, dont il est officiellement séparé.

Plus sûr en Suisse
Trois gardes du corps s’y relaient en permanence. Syndic de Saint-Sulpice, Jean-Charles Cerottini avoue d’ailleurs que des voisins se sont plaints de la manière parfois trop voyante dont ces gorilles défilent avec leurs armes dans ce quartier chic des bords du Léman.

Le boss de Xamax cherche donc bien à protéger sa famille et lui-même. Selon nos confrères de L’Illustré, il aurait d’ailleurs fait évacuer une autre partie de sa famille de Moscou dans un palace à Dubaï. Et lui-même, pourquoi reste-t-il?

Face aux menaces qui semblent peser sur lui dans son pays, on comprend mieux pourquoi le Tchétchène préfère rester dans la lumière soudain protectrice des médias et de la justice en Suisse.