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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
04/12/2011, 07h58
FOOTBALL
Sepp Blatter: «Oui, je peux vous assurer que Dieu aime le foot»
Ariane Dayer et Christian Despont | Le Matin Dimanche
Au cœur de la polémique, le Valaisan a reçu «Le Matin Dimanche» pour évoquer sa relation au pouvoir et sa foi, voire sa fonction messianique, à la tête de la première économie mondiale.
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Le bureau du président est aussi son salon. Toute sa vie est là. © Sabine Papilloud
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/blatter_7.jpg Sepp Blatter: «J’ai une force intérieure, une petite voix qui me pousse.» © Sabine Papilloud
Viège n’est pas exactement la première marche vers le pouvoir. Comment êtes-vous devenu le Valaisan le plus puissant du monde?
Quand j’étais jeune, j’ai travaillé de nombreuses années, l’été, dans les hôtels. On y rencontrait plein de gens et ça m’a toujours donné envie d’aller voir d’où ils venaient. Parce que les montagnes sont trop étroites, je devais sortir, j’avais cette très grande envie d’«extérioriser».
«Forbes» vous classe parmi les hommes les plus puissants du monde. Vous ressentez-vous comme quelqu’un de puissant?
Je suis le seul Suisse dans ce classement… Mais ce qui est puissant, c’est le jeu, le football lui-même. Parce qu’il est basé sur le mouvement instinctif de l’être humain de donner des coups de pied. Chaque homme naît footballeur. La fascination pour le football est presque philosophique puisque, quand on se met à en jouer, on tend vers le déséquilibre: on tire sur un seul pied. Ensuite, d’autres symboles très forts viennent s’ajouter: la balle est la sphère qui reflète la terre, nous sommes dans un jeu qui a un but, au propre comme au figuré.
Soit, mais vous êtes un homme puissant, ne le niez pas.
Oui. Mais justement parce que le football rassemble les peuples et leur donne ce dont ils ont tellement besoin dans ce monde perturbé: des émotions. Parce que, aussi, ce sport maintient l’espoir. Ces cinq dernières années, en Irak, par exemple, personne n’a interdit le football. Nous avons même pu installer une ligue féminine en Palestine. C’est cela qui donne de la popularité et de la puissance à la FIFA, donc à son président. On me reproche d’avoir trop de pouvoir, de cumuler les fonctions de président et directeur général, soit, mais cette situation est venue de la croissance rapide de ces dernières années. Nous allons en changer.
Franchement, du pouvoir, vous en avez et vous aimez ça.
Oui, j’en ai bien sûr. Mais je ne suis pas comme Machiavel qui disait: «A quoi sert le pouvoir si ce n’est pas à en abuser?» Je mets toujours le pouvoir en balance avec la responsabilité. En fait, je suis extrêmement seul. J’ai un gouvernement qui n’est pas nommé par moi, mais par les continents. Ceux-ci n’ont pas les mêmes priorités. Quand ils viennent chez moi, ils défendent leurs intérêts.
A quel moment avez-vous ressenti ce vertige de la solitude devant une décision à prendre?
D’abord, quand j’ai voulu convaincre mon comité exécutif d’organiser, un jour, une Coupe du monde en Afrique. J’étais seul. Personne n’y croyait, tout le monde pensait que nous perdrions de l’argent. Or nous n’en avons jamais gagné autant. Pas seulement nous, la FIFA: aucune nation n’a autant profité du Mondial que l’Afrique du Sud. Ce pays fait partie du G20. Des entreprises européennes lui demandent même de l’aide. L’autre moment de solitude, c’était pour ma réélection, en 2002. Là, c’était d’une telle méchanceté, on n’en parle même pas. Cette année aussi, devant le Congrès, j’étais seul. Mais dans cet isolement, je me sens bien. J’ai une force intérieure, une petite voix qui me pousse. Corinne, ma fille, me dit parfois: «Pourquoi tu continues? Laisse-les.» Mais je dois le faire. Je n’ai pas fini.
La Coupe du monde en Afrique était un but suprême. Vous auriez pu vous arrêter là?
Non, je vous le répète, je ne peux pas partir maintenant, je n’ai pas fini ma mission. Il faut améliorer l’image de l’organisation. La FIFA, c’est une population de 300 millions de personnes, soit à peu près la taille des Etats-Unis. Dans un pays aussi grand, il y a forcément des crimes, des tricheries. Mais personne ne dit jamais que les Américains dysfonctionnent, que leur Constitution est mauvaise, que leur président est corrompu. Pour la FIFA, on ne se gêne pas. On dénigre systématiquement une institution qui sauve des vies, qui aide les peuples, qui donne des émotions.
Vous avez un grand sens politique. Auriez-vous rêvé d’être conseiller fédéral?
La politique directe ne m’a jamais tenté. On m’avait approché pour être élu en Valais, mais j’ai refusé.
Vous auriez eu moins de pouvoir.
Oui, et je vous citerai Confucius: «Si tu as été cheval, ne deviens pas âne.»
Avez-vous les portables de Clinton, d’Obama, de Medvedev?
Je n’ai pas leurs lignes directes, mais je sais comment les atteindre. Le football joue un rôle social et politique si important que le président de la FIFA est reçu partout comme un chef d’Etat.
Vous parlez souvent de votre foi, de votre sens de la mission. La fonction de pape vous aurait-elle plu?
Au Collège de Saint-Maurice, j’ai été tenté un moment par une sorte de vocation mystique. Je me sentais bien entouré, dans un internat très religieux. Mais l’été je retournais dans le monde hôtelier, et la vie était trop plaisante.
Dieu aime-t-il le foot?
Ah ça, oui, bien sûr!
Comment pouvez-vous en être sûr?
Je peux vraiment vous l’assurer. Si le Bon Dieu n’aimait pas le football, nous aurions eu des problèmes énormes en Afrique du Sud. Dieu nous a protégés. J’étais allé prier la Madone à Einsiedeln avant de partir. J’y suis retourné après. Cela dit, prier ne suffit pas, à côté il faut bosser.
En Afrique du Sud, on vous ressentait comme un missionnaire.
Oui, d’une certaine façon. Mon travail dans le foot, je l’avais commencé en 1976 à Addis-Abeba. J’essayais d’appliquer les programmes de développement et les Africains m’ont tout de suite soupçonné d’imposer des règles européennes. J’ai dû m’expliquer, j’ai compris. Après, nous avons organisé plein de choses là-bas. Quand l’Afrique du Sud a été choisie pour la Coupe du monde, Nelson Mandela a remercié «Blatter l’Africain». C’était une belle reconnaissance.
Dans quel état voulez-vous laisser la FIFA?
Je suis certain que nous arriverons à redorer un peu son image. Pour le reste, la FIFA est solide. Elle est bien la maison de la FIFA. Elle abat un travail énorme, dans le monde entier. Regardez: le football est la première économie mondiale, avec un chiffre d’affaires annuel de 300 milliards de dollars.
On vous prête un instinct redoutable.
J’ai d’abord un instinct de survie. Je suis né prématurément, avec deux mois d’avance. On m’a jeté dans une petite corbeille à linge pendant des semaines, il n’y avait même pas de berceau. Mais avant l’instinct, je crois, il y a la conviction de faire juste. Quand vous êtes seul à décider, sans personne vers qui vous tourner, cette conviction est indispensable. Un autre principe que j’ai appris est de sentir intuitivement si un problème doit être résolu tout de suite, ou si le temps peut le régler. C’est un facteur de succès très important.
Quand vous avez des phrases «chocs» sur le racisme, ou sur les footballeuses qui devraient porter des shorts moulants, est-ce de l’instinct ou du calcul politique?
Non, je ne calcule pas. Je dis ce que je pense, c’est purement instinctif. Je suis toujours étonné des réactions que je provoque.
Franchement? Un homme malin comme vous?
C’est toujours ce qu’on me dit… Mais je suis sincère. Les shorts pour les femmes, qu’ai-je dit de choquant? Regardez le volleyball, avec ses petites tenues. Mon idée, ce n’est rien du tout, c’est un non-lieu. Dans l’affaire du racisme, j’ai dit que sur un terrain de football les insultes devraient finir par une poignée de main. On en a déduit que Blatter niait l’existence du racisme. Moi, je ne calcule pas, je ne provoque pas. Je dis ce que je pense. Et je vais vous le dire: si nous tirons le bilan de mes années à la FIFA, les faits parlent pour moi. En toute immodestie.
Vous vous êtes débarrassé de tous vos ennemis. Quel est votre secret?
Ecoutez… Ça fait mal, tout de même. Il faut le dire: ça fait mal. En 2002, onze membres du comité exécutif ont tenté de m’envoyer en prison. De ses onze personnes, deux siègent encore.
Vous n’avez pas réussi à les éliminer?
Ce n’est pas nécessaire. Ils sont devenus de bons serviteurs du football.
Mais vous gagnez tout le temps. Quel est ce talent particulier?
Dans votre journal, il y avait une caricature de l’équipe de Suisse. Un joueur avait encore raté un penalty et ne savait plus comment les tirer. L’entraîneur lui disait: «Demande à Blatter, il réussit tout.»
Pourquoi la presse anglaise vous déteste-t-elle autant?
Dans les années 60-70, les grandes fédérations sportives étaient en main britanniques. Ce n’est plus le cas. Les Anglais ont perdu le pouvoir et, plus récemment, la Coupe du monde 2018. Ils y tenaient beaucoup, bien plus qu’aux Jeux olympiques. Ils estimaient que le football devait rentrer à la maison. Ce Mondial leur revenait de droit: quand ils sont venus ici, avec Beckham, le prince William, et le premier ministre Cameron, ils étaient sûrs de gagner. Or ils ont fait deux voix. Depuis, ils cherchent par tous les moyens à justifier leur défaite.
Parlons du football romand. Vous inquiète-t-il?
La situation en Europe est devenue globalement très difficile, car la Ligue des champions écrase tout. Les pays souffrent. En Suisse, à deux exceptions près, les clubs vivent au jour le jour, en cherchant des mécènes et en oubliant de former des joueurs locaux.
Mais qu’arrive-t-il à Servette, à Xamax, à Lausanne?
Dans le passé, la ligue a laissé Servette partir en faillite quand elle a découvert que Marc Roger, l’agent français aux ambitions démesurées, n’avait pas d’argent. Il arrivera pareil à Xamax. Avec les investisseurs étrangers, on ne fait pas assez attention. Cela dit, Neuchâtel n’avait déjà plus de public, comme Lausanne où l’engouement est trop faible. Servette, lui, s’en sortira. C’est un bon marché. Pour moi, à l’opposé de toute logique, il y a le FC Sion. Ce club est le contre-exemple parfait. Il est devenu une institution valaisanne, un lieu de rassemblement, quels que soient les joueurs alignés sur le terrain.
Partagez-vous la philosophie «altermondialiste» de Michel Platini, qui regrette le rachat du Paris Saint-Germain par des capitaux qatariens?
Michel est destiné à la plus haute fonction du football.
La vôtre?
Pour moi, c’est clair.
Vous dialoguez souvent, de là-haut, avec votre père. Ce père est-il fier de vous aujourd’hui?
Il est très fier, ça oui! Mon père était un ouvrier, il a fini comme mécanicien pour vélos. Il m’a vu entrer à la FIFA, avant d’être écrasé par une voiture. Il disait que je ne gagnerai jamais ma vie avec le football. Et là, il est fier, je le sais.
EN DATES
1936 Prématuré
Joseph Blatter naît le 10 mars à Viège, avec deux mois d’avance. Son père est ouvrier chez Lonza.
1960 Droit au but
«Bon petit avant-centre au FC Sierre», en première ligue, il passe un diplôme de commerce et d’économie politique à HEC Lausanne.
1970 Voies multiples
Il entre à la direction de Neuchâtel Xamax, après avoir été journaliste sportif, directeur des relations publiques à l’Office du tourisme valaisan, et secrétaire général de la Ligue suisse de hockey sur glace.
1975 Grande entrée
Il intègre la FIFA, dont il est le douzième employé (contre 350 aujourd’hui), à la tête des programmes de développement.
1998 Indétrônable
Il est élu président, puis reconduit en 2002, malgré des accusations de gestion frauduleuse stimulées par ses ennemis politiques. Nouvelles réélections en 2007 et le 1er juin de cette année, avec un suffrage soviétique (91,63% des voix), après que son sérieux rival, Mohamed Bin Hamman, ait écopé d’une radiation à vie pour corruption.
Déjà que ce dictateur est un vrai con en plus il devient débile.....
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04/12/2011, 08h07
Football
Xamax s'impose à Lausanne
LeMatin.ch & les agences
Mauvaise opération pour le Lausanne-Sport à l'occasion de la 17e journée de Super League de football. Les Vaudois se sont inclinés 3-1 à domicile face à Neuchâtel-Xamax.
Les Neuchâtelois fêtent leur premier goal © KEYSTONE
Sans forcer son talent, Xamax a logiquement pris la mesure d’un LS aux abois, lors de la 17e journée de Super League de football. La victoire des hommes de Victor Munoz était déjà scellée à la pause, après deux beaux buts inscrits par les mercenaires ibériques Victor Sanchez (29e) et Javier Arizmendi (45e).
L’ex-junior de Barcelone a trouvé l’ouverture sur une subtile frappe directe de 18 mètres, ne laissant aucune chance à un Anthony Favre avancé. L’ancien avant-centre de Getafe a lui conclu un mouvement bien senti, initié par Tréand et relayé par Uche.
Si les 612 mètres d’altitude de la Pontaise marquaient visiblement la fameuse limite pluie-neige, le stade olympique a également été le théâtre des limites, récurrentes et rédhibitoires, de Lausanne. Bien entrés dans la partie - surtout sous l’impulsion d’Alexandre Pasche au milieu de terrain -, les Vaudois ont peu à peu payé leurs lacunes, principalement une défense friable et une attaque fantôme.
L’introduction à l’heure de jeu de Junior Negrao pour un Aleksandar Prijovic pas au niveau a quelque peu redonné des couleurs à la formation de Martin Rueda. Le Brésilien, qui s’était créé l’occasion la plus dangereuse du LS à la 63e (main gauche ferme de Bédénik), a ravivé les espoirs lausannois en trompant le portier xamaxien d’un tir au premier poteau (74e). Des espoirs étouffés sur contre par Uche à la 82e.
Ce premier succès de Neuchâtel cette saison face à un adversaire romand - après deux nuls et trois défaites - lui permet de demeurer candidat à une place européenne. Pour Lausanne, ce cinquième revers consécutif, le cinquième à la maison en huit matches et le treizième de l’exercice, résonne comme une promesse de relégation. On voit mal comment les Vaudois pourraient s’en sortir sans le concours de la SFL, laquelle menace toujours Xamax et Sion. A noter qu’il s’agissait de la dernière rencontre de l’arbitre Jérôme Laperrière, qui a notamment officié lors de la dernière finale de la Coupe de Suisse.
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04/12/2011, 08h09
Football
La requête du FC Sion est rejetée03. décembre 2011, 16h12
LeMatin.ch
15 commentaires
Le Comité de la Swiss Football League (SFL) rejette une requête du FC Sion – OLA SA du 2 décembre de renvoyer le match de l’Axpo Super League contre le BSC Young Boys de ce dimanche. Le match aura donc lieu comme prévu.
© Keystone
Le FC Sion avait envoyé la requête au Comité de la SFL en se basant sur l’article 13 du Règlement de compétition de la SFL. Il avait argumenté qu’il s’agissait d’un cas de « force majeure ». Le Comité de la SFL estime que les conditions de l’art. 13 ne sont pas remplies. Il a rejeté la requête.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
04/12/2011, 08h13
Natation: Bernard battu sur 200m nage libre aux Championnats de France
AFP - 03. décembre 2011, 20h52
Le champion olympique (100 m nage libre) Alain Bernard, gagnant vendredi du 50 m nage libre, s'est incliné samedi pour la deuxième journée des Championnats de France petit bassin à Angers sur 200 m se contentant de l'argent mais s'est dit "confiant pour le 100 m" dimanche.
Alain Bernard lors d'un 200 m nage libre à Tokyo, le 13 novembre 2011. © AFP/Archives
Deuxième temps des séries (1:47.60) derrière Benjamin Stasiulis (1:47.43), l'Antibois, en tête dès les premiers mètres du 200 m, a dû d'abord composer avec Metella puis Stasilius qui fournissait son effort dans la dernière longueur et remportait l'épreuve, Metella se contentant de la troisième place.
"Une belle bagarre avec Benjamin", a déclaré le champion olympique, "Je suis confiant pour le 100 mètres".
Sur le 100 m dos Jérémy Stravius (1er de sa série en 52.17) et Benjamin Stasiulis (2e en 53.34) se sont à nouveau affrontés.
Mais après une belle empoignade Stasilius a cédé dans les tous derniers mètres et concédé 8 centièmes au final, ce juste avant de décrocher le bronze sur le 50 m papillon.
Une épreuve remportée par Amaury Leveaux, malchanceux vendredi sur 50 m mais qui s'est offert samedi une belle ovation du public angevin.
Hugues Duboscq, sur 200 m brasse, a empoché son 42e titre de champion de France en 2:08.23, après une série bouclée en 2:09.57.
Chez les femmes le 200 m féminin a tenu toutes ses promesses, Coralie Balmy prenant la tête dès les premiers mètres pour ne rien lâcher ensuite malgré le retour de Charlotte Bonnet et d'Ophélie-Cyrielle Etienne dans une empoignade pour la seconde place.
Sur le 100 m dos, Alexianne Castel (Dauphins de Toulouse) s'est imposée sans souci devant Alexandra Putra (St Germain en Laye), réalisant le doublé après sa victoire sur le 100 m dos la veille. Sur le 50 m papillon, Mélanie Henrique (Amiens) n'a pas fait de détails pour l'emporter (25.87).
Dimanche: séries à partir de 9h00, finales à partir de 16h00
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04/12/2011, 08h14
Ligue 1: Montpellier s'envole, Lille dépasse un PSG sous pression
Lematin.ch & les agences - 03. décembre 2011, 21h16
Et quand on dit Montpellier, on dit forcément Giroud, qui a encore marqué et conforte sa place en tête du classement des buteurs, avec désormais 12 réalisations. Et le néo-Bleu, s'est offert en prime trois passes décisives dans ce match contre les Merlus !
L'équipe de René Girard s'avance vers une place de leader à la trêve avec un calendrier-cadeau avant les fêtes de Noël: Valenciennes, Toulouse et Evian. Les choses sérieuses ne recommenceront qu'en janvier avec la réception de Lyon.
Derrière les Héraultais, Lille, qui a idéalement préparé son match capital en Ligue des champions grâce à son succès à Ajaccio, a mis un coup de pression supplémentaire au PSG en lui chipant sa 2e place. Le PSG est 3e et n'avait pas besoin de ça.
Le club parisien est donc à six points du leader et devancé d'un point par le LOSC. Le tout avec un mercato qui pèse 85 millions d'euros... Voilà qui fait désordre dans un climat empoisonné par quatre matches sans succès d'affilée dont trois défaites de rang toutes compétitions confondues.
L'insolente réussite de Montpellier et la belle opération de Lille ont dû faire mal à des joueurs parisiens devant leur télé samedi soir avant de recevoir dimanche Auxerre au parc des Princes. Antoine Kombouaré, leur entraîneur, s'est présenté devant la presse ce samedi en qualifiant ce match de "capital" pour "relancer la machine".
Le Kanak, posé, calme, n'a pas voulu parler de sa situation personnelle, mais ce sera pourtant l'enjeu du match.
Les rumeurs de limogeage pullulent, alimentées par la rencontre, il y a quelques semaines à Paris, entre Leonardo, le directeur sportif brésilien du PSG et Carlo Ancelotti, entraîneur sur le marché.
Dans cet environnement malsain, Kombouaré reste philosophe: "Ce n'est que du foot ! Si on traverse bien tout ça, cette période difficile, on sera plus forts. A travers les défaites, on voit les hommes". Mais les nouveaux propriétaires qataris du PSG sauront-ils rester aussi zen ?
Clin d'oeil de l'histoire, l'entraîneur d'Auxerre se nomme Laurent Fournier. Fournier, qui avait été limogé en décembre 2005 alors qu'il entraînait un PSG pourtant 6e du classement à un point du deuxième. Le parallèle avec la situation de Kombouaré est tentant.
Dans les autres matches, Brest a été accroché par Saint-Etienne (2-2). Le match entre Dijon et Sochaux s'est soldé par un triste 0-0 qui a toutefois eu le mérite d'épargner deux des plus mauvaises défenses de L1. Evian a de son côté dominé Valenciennes (2-1). Le coup d'envoi de Nice-Rennes était donné à 21h.
Fin de la 16e journée dimanche, avec, outre Paris SG-Auxerre, Bordeaux-Nancy et Lyon-Toulouse.
Résultats de la 16e journée de la Ligue 1 de football:
vendredi
Caen - Marseille 1 - 2
samedi
Brest - Saint-Etienne 2 - 2
Ajaccio - Lille 2 - 3
Evian/Thonon - Valenciennes 2 - 1
Dijon - Sochaux 0 - 0
Montpellier - Lorient 4 - 0
(21h00) Nice - Rennes
dimanche
(17h00) Paris SG - Auxerre
Bordeaux - Nancy
(21h00) Lyon - Toulouse
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
04/12/2011, 08h14
Espagne: Real Madrid et Barcelone s'imposent
Si - 03. décembre 2011, 21h49
Une semaine avant le Clasico, Real Madrid et Barcelone ont tous deux gagné sans problème. Les Madrilènes conservent trois points d'avance sur les Catalans, qui ont joué un match en plus.
L'équipe de Jose Mourinho s'est montrée souveraine à Gijon, où elle a gagné 3-0. Les buts ont été marqués par Di Maria, Ronaldo et Marcelo.
Devant son public, Barcelone n'a fait qu'une bouchée de Levante, laminé 5-0. Fabregas (2), Cuenca, Messi et Sanchez ont inscrit les buts des Catalans. Le choc entre les deux poids lourds de la Liga aura lieu samedi 10 décembre à 22h00 au Santiago Bernabeu de Madrid.
Résultats: Gijon - Real Madrid 0-3. Santander - Villarreal 1-0. Barcelone - Levante 5-0.
Classement: 1. Real Madrid 14/37. 2. Barcelone 15/34. Valence 13/27. 4. Levante 14/26...
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04/12/2011, 08h15
Ski à Beaver Creek: une première pour Sandro Viletta en super-G
AFP - 03. décembre 2011, 21h59
Le Suisse Sandro Viletta a remporté samedi le super-G de Beaver Creek, sa toute première victoire en Coupe du monde de ski alpin, devant le Norvégien Aksel Lund Svindal et le Suisse Beat Feuz.
Le Suisse Sandro Viletta, lors du super-G de Beaver Creek, le 3 décembre 2011. © AFP/Getty Images
Le Suisse Sandro Viletta a enlevé samedi sa première victoire en Coupe du monde de ski alpin en remportant le super-G de Beaver Creek (Colorado), alors que l'équipe de France a fini sans coureur dans le Top 15 après en avoir eu trois dans la descente vendredi.
Sous les flocons de neige et sur une piste en partie enveloppée par le brouillard, le skieur des Grisons a arraché la victoire avec le dossard 30 alors qu'Aksel Lund Svindal pensait bien avoir remporté sa 4e victoire à Beaver Creek, sur la piste où il s'était gravement blessé fin 2007.
Mais la démonstration de Viletta sur la partie plate du haut de piste a été telle que le Norvégien, champion du monde de la discipline, s'est contenté de la 2e place, à 20/100 de Viletta. Didier Cuche et toute l'équipe suisse ont brandit le poing haut et fort, comme un seul homme, quand leur compatriote de 25 ans a coupé la ligne avec le meilleur temps, à la surprise générale.
Svindal, vainqueur du premier super-G de la saison à Lake Louise (Canada) la semaine dernière, prend la tête du classement général de la Coupe du monde au Suisse Didier Cuche, encore 9e samedi, comme en descente vendredi.
Théaux 18e
"Cela fait longtemps que j'attends ça, a réagi Viletta. Ces dernières années, j'ai vu tous mes copains d'équipe monter sur les podiums (Janka, Feuz, ndlr) pendant que moi je devais me battre contre des problèmes au dos."
"C'est d'autant plus beau que je monte sur le podium avec un ami (Feuz)", a ajouté celui dont le meilleur résultat en super-G était jusqu'ici une 7e place.
Chez les Bleus, Yannick Bertrand, avec le dossard N.1, a pris la 17e place, à 1 sec 34/100 du vainqueur, juste devant Adrien Théaux. Mais autant le week-end de vitesse a été fructueux pour le premier (avec une belle 6e place en descente), autant il ne l'a pas été pour le second (seulement 31e en descente).
Théaux sortait d'une belle prestation à Lake Louise (6e en descente et 2e en super-G), mais il n'a jamais réussi à être à l'aise sur la +Birds of prey+ alors qu'il y avait décroché son premier podium l'an dernier (2e du super-G).
"J'ai eu du mal à m'adapter à cette neige, à avoir le bon ressenti, je n'ai pas skié comme je voulais le faire", a indiqué le Pyrénéen, qui va aussi prendre part aux deux géants, dimanche puis mardi.
Pour le deuxième super-G de sa carrière en Coupe du monde, Alexis Pinturault a marqué des points, prenant la 27e place. Le grand espoir du ski français est attendu en géant après sa 2e place à Soelden en ouverture de la saison.
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04/12/2011, 08h16
Mondial de handball: les Françaises déroulent face au Japon
AFP - 03. décembre 2011, 22h02
La France, habituée à bafouiller ses débuts de compétition, n'est cette fois-ci pas passée au travers et a déroulé face au Japon (41-22) pour son premier match du Mondial-2011 dames de handball, samedi à Sao Paulo.
Les handballeuses françaises après une victoire face à l'Espagne, le 25 septembre 2011 à Aarhus au Danemark. © AFP/Scanpix/Archives
Les vice-championnes du monde se sont montrées extrêmement appliquées de bout en bout pour maîtriser une équipe qui, si elle ne figure pas parmi les ténors, a les moyens d'enquiquiner quelques adversaires.
Le scénario des deux dernières compétitions internationales auxquelles a pris part la France ne s'est donc pas reproduit. En 2009, au Mondial en Chine, elle avait perdu son match d'ouverture. Elle avait fait de même lors de l'Euro-2010.
Les Françaises, qui ambitionnent de finir premières de ce groupe C, qui comprend encore le Brésil, Cuba, la Roumanie et la Tunisie, pour s'offrir un 8e de finale théoriquement plus aisé, se sont facilité la tâche en entrant parfaitement dans la partie.
Leur défense très compacte a tenu à distance les Japonaises, en grosses difficultés sur les postes d'arrières, par manque de gabarits (7-2, 8e). La réussite aux tirs des Françaises, avec une Allison Pineau parfaite aux manettes, leur a permis de porter leur avance à sept buts (11-4, 17e).
Un court passage à vide offensif a donné l'occasion aux Japonaises de revenir dans le match (12-8, 22e), mais le "One woman show" de Camille Ayglon (6 buts à 100% de réussite en première période) a redonné une marge confortable à la France à la pause (18-13).
Déterminées à ne pas laisser l'ombre d'un espoir aux Japonaises, les Bleues ont attaqué la dernière demi-heure pied au plancher. Haussant encore l'intensité en défense, elles se sont goinfrées de ballons de contre-attaque.
Siraba Dembélé puis Paule Baudouin, toujours impeccables à la finition, s'en sont régalées sur leur aile gauche, et la France a passé un 9-1 en dix minutes aux Japonaises (27-14, 40e).
Les filles d'Olivier Krumbholz ont gardé leur sérieux pour faire croître l'écart (38-19, 57e), le sélectionneur se permettant de pianoter à loisir sur sa gamme de permutations, pour donner du temps de jeu à chacune et ménager ses joueuses majeures.
La France aura lundi, contre la Tunisie (20H15), un autre match pour monter en puissance, avant de retrouver ses deux rivaux présumés pour la première place du groupe, le Brésil et la Roumanie.
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04/12/2011, 08h17
Lake Louise: Lindsey Vonn et les autres
Si - 03. décembre 2011, 22h15
Lindsey Vonn a encore écoeuré son monde. Pour le deuxième jour consécutif, l'Américaine a survolé la descente de Lake Louise (Can).
La skieuse de Vail a largué sa dauphine Marie Marchand-Arvier à 1''68. La Française peut toutefois s'enorgueillir d'avoir fait mieux que la deuxième de vendredi, Tina Weirather (Lie), battue de 1''95.
Voir Lindsey Vonn dominer une descente n'a rien d'une surprise. Reste qu'elle ne l'a jamais fait avec de tels écarts. La frustration de la fin de saison dernière, lorsque Maria Riesch lui avait soufflé le globe du classement général pour 3 points, a manifestement dopé son appétit: l'Américaine ne veut plus seulement gagner des descentes, mais écraser la concurrence.
Et comme elle ne semble pas plus perturbée que ça par son divorce, annoncé lundi dernier, l'Américaine est bien partie pour faire un carton cet hiver. Un cinquième globe d'affilée en descente lui semble ainsi d'ores et déjà promis.
Non contente de dégoûter ses adversaires, Lindsey Vonn fait des ravages dans les annales du ski alpin. A seulement 27 ans, elle compte dorénavant 44 succès en Coupe du monde, soit le 4e total de l'histoire. Le record de la légendaire Annemarie Moser-Pröll (62 victoires) ne semble plus si inaccessible que ça.
A Lake Louise en revanche, Lindsey Vonn est déjà seule au monde. Depuis 2004, elle y a triomphé 10 fois (9x en descente, 1x en super-G). Elle rejoint ainsi l'Autrichienne Renate Götschl, qui avait aussi atteint la barre des 10 victoires sur une même piste à Cortina d'Ampezzo (It).
Face à la mainmise de l'Américaine, les Suissesses se sont battues avec des adversaires à leur niveau. La meilleure d'entre elles, Dominique Gisin, s'est classée 5e à seulement 0''05 de la 3e place d'Elisabeth Görgl (Aut). Par rapport à sa performance de vendredi (3e), l'Obwaldienne s'est montrée plus brouillonne. Ce résultat prouve toutefois que la skieuse d'Engelberg fait partie des meilleures viennent-ensuite, derrière l'inaccessible Lindsey Vonn.
De son côté, Lara Gut a pris une méritoire 8e place (elle était 11e vendredi), sur une piste qui ne favorise pas les petits gabarits. Par rapport aux précédentes éditions de Lake Louise, où elle n'avait jamais fait mieux que 24e, la Tessinoise s'est montrée en nets progrès cette année.
La plus grosse déception suisse du jour est venue de Marianne Kaufmann-Abderhalden. Alors qu'elle était dans les temps d'un podium, la St-Gallois s'est mal réceptionnée sur un saut. Visiblement touchée au genou, elle a coupé son effort et terminé debout son pensum.
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04/12/2011, 08h18
Serie A: le cauchemar de l'Inter
Si - 03. décembre 2011, 22h43
Naples a infligé une correction à Lecce (4-2) lors de la 14e journée de Serie A. Au stade San Paolo, Blerim Dzemaili a participé à la fête en inscrivant le 3e but parthénopéen.
Contre la lanterne rouge, Gökhan Inler et ses coéquipiers ont fait la différence en un gros quart d'heure par Lavezzi (26e), Cavani (33e) et enfin l'international suisse (42e), auteur de sa première réussite de la saison. De retour de blessure, Cavani en a profité pour marquer son 2e but de la soirée (82e), le 7e de sa saison.
La saison cauchemardesque de l'Inter de Milan se poursuit. A San Siro, contre l'Udinese, les nerazzurri ont concédé leur 6e défaite de l'exercice (1-0). Le but d'Isla (73e) a permis à la formation du Frioul de rejoindre l'AC Milan en tête du championnat avant le match de la Juventus qui reçoit Cesena dimanche.
A noter que Gianpaolo Pazzini a manqué la balle de l'égalisation sur penalty à la 89e, une minute après le break raté par Di Natale...sur penalty.
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