Toutes New sportives autres que la moto

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Le soleil est sur la glace

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  15. décembre 2011, 23h08
  

Christian Maillard | Le Matin


International suisse, le Biennois Patrick von Gunten a trouvé son bonheur à Göteborg, en Suède, avec Frölunda.
Patrick Von Gunte se réjouit de rentrer en Suisse pour fêter Noël, mais il devrait quand même prolonger son contrat en Suède. © AP


Celui qui n’ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile. Il aurait pu, comme William Blake, écrire ceci. Et rester prophète en son pays. Ou à l’instar de Roman Josi, Yannick Weber, Raphael Diaz et Mark Streit, tenter sa chance en NHL. «Mais comme je n’avais jamais été drafté, je ne pouvais pas me rendre là-bas, comme ça, au bonheur la chance…»
Finalement, c’est en Suède que Patrick von Gunten a trouvé l’Amérique. Là-haut, dans le nord de l’Europe, du côté de Göteborg, le défenseur seelandais vit, depuis cet été, une belle expérience avec les Frölunda Indians. Il évolue dans un club où le Bernois Martin Plüss avait décroché, en 2005, une couronne nationale. Or, avant de s’engager, le joyau d’Orpond de 26 ans a écouté les conseils avisés d’Anders Eldebrink; c’était son entraîneur quand il brillait avec les Kloten Flyers.

Jeu plus physique
«Le niveau est difficilement comparable avec le championnat de Suisse, estime l’ex-junior du HC Bienne. Les quatre lignes sont plus équilibrées. C’est un peu plus physique, un peu plus compliqué offensivement: les Suédois sont par nature plus robustes que nous.» Dirigée par Kenta Johansson, sa formation, qui a connu de nombreux blessés, occupe le sixième rang après 38 matches, à neuf points seulement du leader. «La compétition est très serrée, ici tout le monde peut battre tout le monde», se rassure-t-il dans son hôtel de Salzbourg, quelques heures avant que son équipe ne batte les Autrichiens de Red Bull (3-2), dans le cadre, cette fois-ci, des finales de l’European Trophy. Blessé aux adducteurs, l’Helvète s’est toutefois contenté de patiner le matin. «Ce n’est pas grave, je serai d’attaque pour nos matches du 26, 28 et du 30…» S’il se réjouit de rentrer au bercail, ce lundi, pour fêter Noël en famille et avec son amie, Amandine, PVG se plaît bien dans le comté du Västra Götaland, reconnu pour sa statue de Poséidon et ses maisons en bois du quartier de Haga. «J’aime bien cette ville même s’il fait moche tout le temps. Il y a plein de nuages comme en Angleterre et à partir de 15 h 30, il fait nuit…» Il n’en demeure pas moins que Patrick von Gunten devrait, en principe, prolonger de douze mois son aventure. «Ils sont contents de mes performances, je vais me décider tout soudain», sourit le défenseur, auteur de trois buts et de onze assists en championnat. «Contrairement à la Suisse, en Suède ce ne sont pas les étrangers qui doivent porter l’équipe, renchérit l’international, avant de préciser que le règlement, en Suède, n’autorise que deux éléments d’outre-Atlantique sur la glace.» Dans un club qui détient un record d’Europe depuis qu’il a joué en 2009 dans le stade Ullevi de Göteborg devant 31 144 spectateurs (mieux que le Berne - Langnau de 2007), Patrick von Gunten a trouvé le soleil sur la glace de Frölunda.

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Trophée
Golf: Luke Donald désigné joueur de l’année

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  15. décembre 2011, 21h40
  

LeMatin.ch & les agences


Luke Donald (34 ans) est le premier golfeur à remporter la même année le classement aux gains des circuits américain et européen.
Premier golfeur de l’histoire à remporter la même année le classement aux gains des circuits américain et européen, Luke Donald (34 ans) a été désigné joueur de l’année 2011 par les participants aux épreuves de l’EPGA. Il y a deux jours, l’Anglais avait été honoré par la PGA.
Donald est le premier Anglais à obtenir le trophée américain depuis sa création du prix en 1990. Il a été préféré aux Nord-Irlandais Rory McIlroy et Darren Clarke, vainqueurs respectivement de l’US Open et de l’Open britannique, deux majeurs, et au Sud-Africain Charl Schwartzel, couronné au Masters d’Augusta, première levée du tournoi du Grand Chelem de l’année.

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Football
Espagne: les joueurs peuvent rompre leur contrat s’ils ne sont pas payés

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  15. décembre 2011, 19h57
  

LeMatin.ch & les agences

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Les joueurs des première et deuxième divisions du championnat d’Espagne peuvent désormais rompre leur contrat si leur club«leur doit trois mois ou plus» d’impayés de salaires.
Espagne: si les joueurs ne sont pas payés, ils peuvent rompre leur contrat. © Keystone (archive)

La décision de cet accord a été annoncée par le syndicat des joueurs AFE (Association des footballeurs espagnols). «A dater du 15 décembre 2011 entre en vigueur le procédé abrégé de rupture de contrat, un accord souscrit le 25 août dernier entre l’AFE et la Ligue de football professionnel», rappelle le syndicat.
Les termes de cet accord sont les suivants: dorénavant, les joueurs «affectés par des impayés de salaires» pourront rompre leur contrat «si leur club leur doit trois mois de salaires ou plus, successifs ou pas», de manière à pouvoir signer dans un autre club, explique le syndicat des joueurs. «Ce procédé abrégé pourra être utilisé à n’importe quel moment de la saison, sauf au cours des 10 dernières journées», spécifie toutefois le communiqué.
Cet accord fait partie des mesures négociées au cours de la grève des footballeurs espagnols à l’été dernier, qui avait retardé d’une journée le début de l’actuelle saison de Liga. Les footballeurs, avec l’appui du syndicat des joueurs, s’étaient mis en grève pour protester contre les nombreux impayés de salaires des clubs professionnels. En août, ces clubs devaient ainsi encore 50 millions d’euros à quelque 200 joueurs de première et deuxième division.

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HOCKEY SUR GLACE
Amende pour Hans Kossmann

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  15. décembre 2011, 15h42

LeMatin.ch & les agences

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Le juge unique a infligé une amende de CHF 1000.-- à l'entraîneur de FR Gottéron suite à ses propos envers les arbitres contre GE Servette.
Hans Kossmann doit passer à la caisse. © Keystone

Le juge unique du domaine disciplinaire du Sport d'élite Reto Steinmann a infligé une amende de CHF 1000.-- au coach principal de FR Gottéron Hans Kossmann suite aux propos de ce dernier envers les arbitres pendant la deuxième pause du match de championnat entre GE Servette et FR Gottéron du 10 décembre 2011.
Le comportement n'était pas compatible aux principes du fair-play et du sport et devait par conséquent être qualifié d'infraction à l'article 88 du règlement juridique (principes régissant le comportement).

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TENNIS
Coupe Davis Albert Costa quitte le capitanat de l’équipe d’Espagne

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  15. décembre 2011, 14h14

LeMatin.ch & les agences


Albert Costa a quitté le capitanat de l’équipe d’Espagne de Coupe Davis pour devenir directeur des équipes nationales.
Albert Costa a gagné la Coupe Davis cette année en étant capitaine de l'Espagne. © AFP

Albert Costa a quitté le capitanat de l’équipe d’Espagne de Coupe Davis pour devenir directeur des équipes nationales, a annoncé jeudi la Fédération espagnole. L’ancien joueur, 36 ans, vainqueur de Roland-Garros en 2002, a décroché à la tête des Ibères deux saladiers d’argent en trois ans, il y a deux semaines contre l’Argentine et en 2009, contre la République tchèque.

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Handball dames: éviter tout excès de confiance face au Danemark


AFP - 15. décembre 2011, 18h50


La France, après avoir suscité tant d'espoirs en éliminant la Russie, doit veiller à ne pas se laisser gagner par la suffisance face au Danemark, une nation qui ne lui a pas trop réussi récemment, en demi-finale du Mondial-2011 dames de handball, vendredi (20H15) à Sao Paulo.
L'équipe de France de handball après sa qualification pour les demi-finales le 14 décembre 2011 à Sao-Paulo. © AFP

La décontraction était de mise jeudi matin dans le camp des Françaises. Elles ont effectué le tirage au sort de la Coupe de France, en puisant les boules dans le bassin d'un jet d'eau, dans la cour de leur hôtel.
Puis elles ont bu un verre en compagnie des supporteurs et du ministre des Sports David Douillet, venu soutenir la candidature française à l'organisation du Mondial-2017 messieurs. Mais dès l'entraînement de l'après-midi, elles ont replongé dans la réalité de la compétition.
Car la décompression et la déconcentration sont sans doute les principaux écueils sur la route d'une nouvelle finale mondiale pour la France. Le Danemark, décimé par les blessures, lui est a priori actuellement inférieur.
En faisant rouler la tête de la Russie, quadruple championne du monde, la France, qui n'a jamais perdu une demi-finale mondiale en trois tentatives (1999, 2003 et 2009), a frappé les esprits.
Le Danemark, lui, n'est plus le pays qui vampirisait le handball mondial au tournant des années 2000 (champion olympique en 1996, 2000 et 2004, champion du monde 1997). Il n'a plus figuré sur un podium international depuis 2004 et sa dernière apparition dans une demi-finale mondiale date de 2005.
Mais, animé par la foi des rescapés, après avoir frisé l'élimination en huitièmes de finale face au Japon (22-23 a.p.), il n'aura rien à perdre et n'en sera que plus dangereux.
"Elles ne vont pas se laisser faire, prévient la pivot Nina Kanto. C'est une équipe qui est un peu retombée ces dernières années, alors qu'avant tout le monde voulait aller là-bas. Alors, elles ne vont pas vouloir laisser passer cette chance. Ca va être un combat de titans."
Ceci d'autant plus que le Danemark ne réussit pas trop, historiquement, à la France. La dernière victoire française en compétition officielle remonte à décembre 2006, à l'Euro en Suède. Et le bilan de la France est pour le moins déficitaire (30 défaites, 11 victoires, et 4 nuls).
Les Françaises peuvent cependant s'appuyer sur certaines garanties, à savoir leur état d'esprit irréprochable, leur condition physique exceptionnelle et leur défense intraitable, qui leur ont permis d'asphyxier les Russes.
"Tant qu'on aura cette défense, même si en attaque on pêche un peu, on peut battre n'importe qui", estime Kanto. "C'est vraiment là-dessus qu'il faut s'appuyer, sans s'enflammer."
La Messine reconnaît que l'équipe de France n'est "jamais meilleure" que contre une équipe qui lui est théoriquement supérieure. Mais elle est convaincue qu'elle est "capable d'éviter le piège" du relâchement face au Danemark.
"La pression ne va pas retomber, assure-t-elle. Moi, personnellement, j'aurai encore plus de pression que contre les Russes. J'ai fait énormément de sacrifices pour en arriver où je suis. Ils commencent à payer et je ne veux pas que ça s'arrête là."

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Handball dames: Alexandra Lacrabère, la botte secrète


AFP - 15. décembre 2011, 19h47


La gauchère Alexandra Lacrabère est depuis le début du Mondial-2011 dames de handball la botte secrète des Bleues, toujours présente dans les moments d'extrême tension pour transpercer les défenses adverses.
La française Alexandra Lacrabère (à gauche) avec la russe Irina Bliznova le 14 décembre 2011 à Sao-Paulo. © AFP

Avec son collectif axé sur la cohésion défensive, l'équipe de France a longtemps cherché des leaders offensifs. Elle s'en est trouvé deux au Brésil, avec les comparses Alexandra Lacrabère et Allison Pineau, qui aiguisent chaque jour un peu plus leur complicité.
En quarts de finale contre la Russie, quand Pineau a dû être décalée sur le poste d'arrière gauche, Lacrabère est venue prendre sa place au centre, où sa vision du jeu et son timing de passe font fureur.
Et quand les Russes ont pris la Messine en "stricte", Lacrabère a fait résonner la puissance de son bras gauche. "Alex est en train de devenir le patron de l'attaque", pouvait apprécier après coup l'entraîneur Olivier Krumbholz.
La Béarnaise n'est pas née de la dernière pluie. Elle a fait ses débuts sous le maillot tricolore à l'Euro-2006, qui s'était soldé par une médaille de bronze pour la France. La suite a été moins rose. Des blessures lui ont fait manquer les deux dernières éditions du Mondial.
Mais la joueuse (85 sélections, 1,77 m, 24 ans), formée à Bordes, puis passée par Bègles, Bera Bera (Espagne), Toulouse, et depuis 2010 Arvor-Brest, où elle a fait de gros progrès en défense, s'est peu à peu rendue indispensable.
Depuis le début du tournoi, son bras cause des misères aux défenses adverses. Mais c'est contre la Suède, en huitièmes, puis la Russie, qu'elle s'est véritablement décomplexée.
"Quand je rentre sur le terrain et que je dis un truc, on m'écoute", goûte-t-elle. "Je sais que dans tous les matches, il va falloir que je prenne mes responsabilités à un certain moment. Je ne force pas les tirs, j'attends mon heure pour mettre les buts qu'il faut et délivrer de bons ballons."
"C'est quelque chose que je ne faisais pas du tout par le passé. Mais j'arrive à maturité", remarque-t-elle à quelques heures d'affronter le Danemark en demi-finale du Mondial. "Là, j'arrive à être patiente, à bien décoder les situations. Je n'ai rien à perdre, je lâche tout, je suis vraiment bien."
Sa progression en équipe de France, elle la doit aussi à sa proximité avec Eric Baradat, l'entraîneur adjoint, qui l'a connue dans les équipes de jeunes. Une entente qui facilite les échanges avec Krumbholz, lequel apprécie sa capacité d'analyse.
"J'ai plus d'échanges avec Olivier qu'avant", note-elle. "C'est aussi ce qui me permet d'être plus relâchée sur le terrain. Mais c'est donnant donnant. Quand il me dit quelque chose, je l'écoute parce que je sais qu'il a raison."
Elle alterne avec le même naturel sur les postes d'arrière droite et de demi-centre, et a noué une relation particulière avec Pineau qu'elle complète à la perfection.
"C'est le talent des deux joueuses qui fait qu'on a cette complicité", dit-elle. "C'est la vision du jeu qu'on partage, c'est l'amour du beau jeu. Ca ne s'est pas forcément travaillé à l'entraînement. C'est ça qui est beau, c'est que c'est vraiment le feeling."

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Handball dames: France et Norvège entrevoient la finale


AFP - 15. décembre 2011, 20h45


La France et la Norvège partiront avec les faveurs des pronostics dans leur demi-finale du Mondial-2011 dames de handball face au Danemark et l'Espagne vendredi à Sao Paulo.
La norvégienne Linn Kristin Riegelhuth (au centre) avec les croates Andrea Penezic (à gauche) et Miranda Tatari le 14 décembre 2011 à Sao-Paulo. © AFP

Après avoir créé la sensation face à la Russie, les Françaises, vice-championnes en titre, doivent surtout veiller à ne pas se laisser gagner par la suffisance face au Danemark.
L'équipe scandinave n'est plus celle qui vampirisait le handball mondial au tournant des années 2000 (champion olympique en 1996, 2000 et 2004, champion du monde 1997) et est en plus décimée par les blessures.
Mais, animée par la foi des rescapés, après avoir frisé l'élimination en huitièmes de finale face au Japon (22-23 a.p.), elle n'aura rien à perdre et n'en sera que plus dangereuse.
Ceci d'autant plus que le Danemark ne réussit pas trop, historiquement, à la France. La dernière victoire française en compétition officielle remonte à décembre 2006, à l'Euro en Suède. Et le bilan de la France est pour le moins déficitaire (30 défaites, 11 victoires, et 4 nuls).
Mais les Bleues ont frappé les esprits en faisant rouler la tête de la Russie, quadruple championne du monde en quarts (25-23), et comptent continuer à cultiver une statistique étonnante, celle ne n'avoir perdu aucune demi-finale mondiale en trois tentatives (1999, 2003 et 2009).
Dans la seconde demi-finale, ce sont les Scandinaves qui partent avec l'avantage. Le palmarès parle incontestablement pour la Norvège, championne olympique en titre et quadruple championne d'Europe en titre. A côté, l'Espagne n'a à opposer qu'un statut de vice-championne d'Europe en 2008.
Dans le jeu aussi, la Norvège, qui a l'avantage d'être déjà qualifiée pour les JO en tant que championne d'Europe, dispose sans doute de plus d'atouts, avec son cocktail d'expérience et de jeunesse, au service d'un handball explosif, misant tout sur la vitesse de course et d'exécution.
Mais l'Espagne a frappé un grand coup en éliminant le Brésil en quart de finale (27-26) dans une ambiance franchement hostile et arrive lancée.

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Handball messieurs: le Mondial-2017 attribué à la France


AFP - 15. décembre 2011, 21h04


La Fédération internationale de handball (IHF) a attribué à la France l'organisation du Championnat du monde 2017 messieurs de handball, jeudi à Sao Paulo.
Un ballon de hand. © AFP/Archives

Ce sera la troisième fois que la France, dont le dossier a été préféré à celui du Danemark, organise le Mondial masculin, après 1970 et 2001. Elle a aussi organisé une fois le Mondial dames, en 2007.

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Top 14: Biarritz interdit L. Harinordoquy de stade jusqu'à la fin de saison


AFP - 15. décembre 2011, 21h14


Le club de Biarritz a interdit d'accès au stade Aguilera Lucien Harinordoquy, le père d'Imanol Harinordoquy qui avait pénétré sur la pelouse en plein derby basque contre Bayonne, jusqu'à la fin de la saison 2011-2012, a-t-on appris jeudi auprès de la direction du club.
Lucien Harinordoquy le père de Imanol Harinordoquy avec Benoit August le 29 novembre 2011 à Biarritz. © AFP/Archives

La commission de discipline de la Ligue nationale de rugby (LNR) avait annoncé dans la matinée que le stade Aguilera de Biarritz était suspendu pour une rencontre de Top 14, à compter du 1er janvier 2012, après l'intrusion de M. Harinordoquy. Ce dernier ne pouvait faire l'objet de sanctions de la part de la LNR, n'étant pas licencié d'un club de rugby.
Lors de la rencontre en retard de la 10e journée de Top 14 le 29 novembre dernier, Lucien Harinordoquy, père du troisième ligne international Imanol Harinordoquy (31 ans, 77 sélections), était descendu des tribunes et avait fait intrusion sur la pelouse pour défendre son fils pris dans une bagarre avec le Bayonnais Jean-Jo Marmouyet.
Les clubs de Biarritz et Bayonne ont également écopé d'une amende de 5000 euros pour "une bagarre ayant impliqué des joueurs des deux équipes".