claire ? Claire ?
c'est le nom de mon ex
mais à part ça, comme je n'y étais pas, j'ai plutôt une vague idée.
c'est un vaste sujet sur lequel on pourrait écrire une pleine bibliothèque de livres.
vous êtes un peu partis dans tous les sens, c'ést délicat de comparer les époques.
il y a un siècle, les pilotes d'usines changeaient leurs soupapes seul au bord de la route, sur des parid madrid ils dormaient dans des granges...
la première année du championnat du monde après la deuxième guerre, il n'y avait que des pilotes d'usine.
de mémoire dans des 60's ya un anglais qui a gagné un grand prix de grande bretagne, mais ago et hailwood n'étaient pas là, c'était un ancien pilote d'usine norton, sur une ancienne manx d'usine, sur un circuit qu'il fréquentait fréquemment. (accessoirement il doit aussi détenir le record d'age pour un vainqueur de GP)
ya aussi eu read et ago qui ont couru sous statut "privé" mais personne n'était dupe que c'était pas des motos que tu pouvais acheter, un simple autocollant ne suffisait pas à masquer que c'était des machines d'usine.
'faut attendre l'ère moderne pour que ça bouge, mais les team sont à peu près organisés comme les équipe d'usine, ils ont un matos à peu près proche, des technicien à peu près au même niveau de compétence et de toutes façons, ils ne touchent plus au motos.
certes ils montent, démontent, règlent, contrôlent.... mais t'aura plus un mec qui va se pointer avec des cylindres retouché à la mano pour gagner 1 cheval.
si tu veux une modif, il faut extraire les donnée, argumenter ta requete, elle passera entre les mains des ingé à l'usine, testée par les pilotes essayeurs, validée par les pilotes officiels et ensuite, si tout va bien tu l'aura.
mais en contrepartie, t'as une moto qui roule bien, avec une base de réglages corrects et des pilotes qu'ont un pédigréé qui tient la route.
c'est pas comparable avec l'époque où les pilotes privés devaient gérer les pièces, les finances, la logistique...
ceci dit, quand tu regarde les photos des mécanos japonais des 60's/70's, il bossaient à genoux dans l'herbe avec une malheureuse servante à côté, aujourd'hui n'importe quel poireau en ligue est mieux équipé
mébnon, même à l'époque, les mécanos jap's avaient bossé à la production, à la logistique, au bureau d'études... c'était des pros confirmés qui connaissaient chaque rouage de l'entreprise autant que de la moto.