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Paul-Henri Mathieu remporte le tournoi de Casablanca


Le Français Paul-Henri Mathieu (FRA/N.8) a remporté dimanche le tournoi de tennis sur terre battue de Casablanca, épreuve du circuit ATP dotée de 353.450 euros, en battant en finale l'Espagnol Albert Montanes 6-1, 6-1.

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Barthez impliqué dans une bagarre à la sortie du stade de Nantes


Le gardien de Nantes (L1) Fabien Barthez aurait été impliqué samedi dans une bagarre avec un supporteur en sortant de la Beaujoire après la défaite contre Rennes (0-2) lors de la 34e journée de L1 de football, a indiqué une source proche du club.

En quittant le stade au volant de son véhicule, le gardien aurait été pris à partie par un supporteur qui aurait porté un coup sur sa voiture. Fabien Barthez se serait alors battu avec lui avant que les deux hommes ne soient séparés par la police. L'ancien international, qui a ensuite regagné son domicile, avait été sifflé avant le match à lors de l'annonce de la composition des équipes.

Tensions
Puis après cinq minutes de jeu, des supporteurs de la tribune Loire l'avait insulté, sans que celui-ci ne réagisse ou ne montre de quelconque signe d'énervement. Depuis son arrivée à Nantes en janvier, son nom a déjà été évoqué à de nombreuses reprises, notamment lors de différentes tensions apparues entre les joueurs.

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Miami, tenant du titre, éliminé des play-offs


Les Miami Heat, champions NBA sortants, ont été éliminés dès le 1er tour de la phase finale du Championnat par Chicago qui a remporté le match N.4 (92-79) dimanche. Les Floridiens, vainqueurs de Dallas en finale l'an passé, ont été incapables de remporter la moindre rencontre de cette série au meilleur des 7 matches.

Pour la première fois de l'histoire de la NBA le tenant du titre est éliminé sur le score de 4 à 0 dès le 1er tour.

Résultats des matches du 1er tour de la phase finale du Championnat NBA de basket-ball disputés dimanche:

Conférence Est
Miami - Chicago 79 - 92
(Chicago remporte la série 4 à 0)

A suivre:
Conférence Ouest
Los Angeles Lakers - Phoenix
(Phoenix mène la série 2 à 1)

Conférence Est
New Jersey - Toronto
(New Jersey mène la série 2 à 1)

Conférence Ouest
Golden State - Dallas
(Golden State mène la série 2 à 1)

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Ivan Basso quitte Discovery Channel

Le cycliste italien Ivan Basso a quitté son équipe Discovery Channel, a annoncé lundi la formation américaine. Basso, vainqueur du dernier Tour d'Italie, avait été suspendu de toute compétition par Discovery Channel, le 24 avril, à la suite de sa convocation devant le procureur antidopage du Comité national olympique italien (Coni).

L'Italien est l'un des coureurs cités dans l'affaire de dopage présumé "Puerto", en Espagne, ce qui lui avait valu d'être écarté du dernier Tour de France. Il avait malgré tout obtenu à l'automne dernier le feu vert pour courir auprès des instances sportives de son pays et trouvé de l'embauche chez Discovery Channel.

On la certainement prié de partir........................

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Bilan de la première partie de la saison cycliste

Juan José Cobo.

Alberto Contador.

Tom Boonen.

Damiano Cunego.

Andreas Klöden.

Danilo Di Luca.

Davide Rebellin.

Dernière classique du mois d'avril, Liège-Bastogne-Liège a conclu en beauté la première partie de la saison cycliste 2007 en délivrant quelques précieux enseignements sur le volet à venir, à savoir celui des courses à étapes (Giro et Tour de France principalement). Quel bilan tirer de ce début de saison?

Les déceptions
Si l'on doit dresser un classement des déceptions de ce début de saison, l'équipe Quick Step semble prendre la première place. Passant à côté de ses principaux objectifs du printemps (Milan-SanRemo; Tour des Flandres, Paris-Roubaix, Gand-Gewelgem, Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège...), l'équipe de Patrick Lefévère semble avoir montré ses limites. Si Tom Boonen n'a pas failli depuis le Tour du Quatar en remportant succès sur succès (dont des semi-classiques flandriennes comme Kurne-bruxelles-Kurne ou le Het volk entres autres...), le "Lionceaux des Flandres" est passé à côté de ses objectifs principaux, par manque de force (Milan-SanRemo avec Freire, le Ronde avec Ballan) ou par mauvaise stratégie (Paris-Roubaix avec O'Grady). Tom Boonen devra patienter jusqu'au mois de juillet et le Tour de France pour pouvoir rattraper ses échecs printaniers. Autre star "décevante" de la Quick Step, le puncheur italien Paolo Bettini a joué de malchances en ce début de saison. Le Champion du Monde a du faire face également aux trentainenaires revanchards (Rebellin, Di Luca) et une nouvelle génération (Valverde, Schleck, Cunego...) de plus en plus forte.

Autre grande déception de ce début de saison 2007, le sprinteur italien Alessandro Petacchi. Terreur des pelotons il y a quelques mois encore, Petacchi ne semble pas se remettre de sa terrible chute de l'an dernier. Bien que signant quelques victoires (Tour de Basse-Saxe, quelques étapes de courses à étapes de second plan), le sprinteur n'est plus aussi explosif qu'avant, et voit de jeunes coureurs comme Gerald Ciolek ou Mark cavendish (T-mobile) pointés le bout de leur roue.

Les révélations
Les révélations de début de saison 2007 ne manquent pas. On assiste à une véritable effervescence de jeunes champions plein de panaches, et surtout avides de victoires. Première révélation: l'espagnol Alberto Contador. Le jeune grimpeur espagnol du team Discovery s'est imposé sur le Paris-Nice avec panache, en remportant deux étapes. Une fois encore, le jeune coureur a mis en avant l'explosivité des grimpeurs ibériques. Jeunes grimpeurs comme Juan José Cobo de l'équipe Saunier Duval. Le jeune coureur espagnol s'est imposé en patron dans le dernier Tour du Pays Basque (en glanant trois étapes) et a montré des qualités non-négligeables dans les classiques ardennaises. A l'image de son jeune coéquipier, Riccardo Ricco s'est affirmé, lui, dans le Tirreno-Adriatico (trois étapes) et la Flèche wallonne comme l'une des nouvelles valeurs montantes du cyclisme transalpin.

Les favoris du Tour à l'heure
Alors que les chasseurs de classique se sont démenés tout au long du printemps, on a vu les principaux protagonistes du Tour 2007 monter en puissance et remporter par la même occasion quelques succès de taille comme l'allemand Andreas Klöden du team Astana (Tirreno-Adriatico). Alexandre Vinokourov, Damiano Cunego, Frank Schleck, Cadel Evans, Denis Menchov, Levi Leipheimer et Alejandro Valverde se sont montrés ces dernières semaines particulièrement affutés. Le jeune prodige italien Damiano Cunego a écrasé le Tour du Trentin en remportant le général et deux étapes. Le luxembourgeois Frank Schleck est passé tout près du sacre sur Liège-Bastogne-Liège, et s'est placé depuis le début de saison dans les principaples courses à étapes... Si Cunego et Di Luca semblent être, dans un peu plus d'une semaine, les principales têtes d'affiches du Giro d'Italia, Valverde s'affirme comme le nouveau patron du cyclisme mondial en remportant coup sur coup des courses à étapes espagnoles, et démontrant une puissance et une aisance sans comparaison dans les classiques ardennaises (deux fois deuxième). L'espagnol de la Caisse d'Epargne s'annonce comme le grand favori de la Grande Boucle. Les prochaines semaines (avec les grandes courses à étapes) vont nous fournir, à ce propos, de précieux indices quant au futur visage du prochain Tour de France. Un Tour - faut-il encore le rappeler- toujours sans vainqueur 2006. A croire qu'il est difficile de déclasser Floyd Landis.

Classement PROTOUR
Le maillot de leader du Protour a beaucoup changé d'épaules en ce début de saison passant d'Alberto contador à Davide Rebellin via Oscar Freire ou Stuart O'Grady. Si le trentenaire italien de la Geroldsteiner semble assez bien armé pour pouvoir conserver son bien,le tenant du titre Alejandro Valverde (encore lui!) comme le vainqueur du protour 2005 Danilo Di Luca - deux vainqueurs potentiels de grands tours (Giro, Tour de France, Vuelta) - sont embuscades à quelques points derrières. Rebellin devra se surpasser dans les courses à étapes d'une semaine du mois de juin comme les classiques de fin de saison s'il veut gagner ce Protour 2007. Tout reste à faire, rien n'est jouer...

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"Il est plausible que Barthez ne revienne pas à Nantes"


Le président de Nantes (L1) Rudi Roussillon a indiqué dimanche qu'il était "plausible" que le gardien Fabien Barthez, parti se "ressourcer auprès de sa famille", ne revienne pas alors qu'il reste quatre matches aux Canaris, 20e, pour essayer de se maintenir en L1 de football.

"Il est très marqué, même traumatisé semble-t-il" par l'incident qui l'a opposé samedi soir à des supporters à la sortie de la Beaujoire, a expliqué le président nantais. "Il nous a demandé d'aller se ressourcer auprès de sa famille. J'espère le convaincre de rester, mais je considère comme plausible le fait qu'il ne revienne pas".

Accréditant l'hypothèse d'une fugue définitive, des commerçants de La-Chapelle-sur-Erdre, où Fabien Barthez s'est installé à proximité du centre d'entraînement nantais lors de son arrivée, ont indiqué dimanche que celui-ci était passé leur dire au revoir. Plus tôt dans la matinée, il ne s'était pas présenté à la Jonelière, apparemment à la plus grande surprise de l'entraîneur Michel Der Zakarian.

L'incident de samedi soir, ainsi que les insultes des supporters au bout de cinq minutes de jeu seulement, pourraient être à l'origine de ce départ soudain. "Sur le parking du stade, il a vu arriver cinq gars qui se sont précipités sur sa voiture et l'ont bloquée tout en l'insultant, a encore tenté d'expliquer M. Roussillon. Ils ont tapé sur le véhicule avec les pieds et les mains et l'un d'eux a même tenté de le faire sortir. Il s'est alors défendu".

"Nous sommes plusieurs à essayer de lui remonter le moral, a-t-il poursuivi. C'est exceptionnel ce qui lui arrive". L'ex-gardien international de 35 ans, à la retraite depuis la finale de la Coupe du monde 2006, avait repris du service en janvier à Nantes, convaincu par le président Roussillon en personne. Le "Divin chauve", que certains supporters ont rebaptisé la "Diva chauve", a depuis été de près ou de loin impliqué dans plusieurs incidents au sein du groupe.

Adepte de la blessure diplomatique, il avait usé de cet artifice pour quitter l'entraînement dès le 3 janvier, manifestement énervé par les tirs à bout portant de ses coéquipiers, avant de récidiver le 1er avril en fuyant de la Beaujoire, après avoir encaissé le but casquette de la défaite contre Sedan (0-1).

Le 24 avril, il avait sévèrement taclé Dimitri Payet lors d'un entraînement avant de déclarer qu'il s'était "bien amusé". Enfin, le 12 février, au lendemain de Nantes-Valenciennes (2-5), Barthez avait demandé lors d'une de ses rares interventions médiatiques qu'il n'y ait pas de "langue de p..." dans le groupe, sous peine de l'envoyer "direct dans le mur". Lors des six derniers mois, il a disputé 14 matches de championnat et encaissé 23 buts.

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Liverpool va devoir forcer la défense de Chelsea

Liverpool, battu 1 à 0 à l'aller, va devoir tromper au moins deux fois l'impressionnante défense de Chelsea s'il veut ruiner les espoirs londoniens d'entrer pour la première fois en finale de la Ligue des champions, mardi lors de la demi-finale retour à Anfield.

Pour se qualifier avant les tirs au but, Liverpool devra s'imposer par deux buts d'écart. Mission quasiment impossible. En 172 matches, depuis l'arrivée de Jose Mourinho, Chelsea n'a perdu que deux fois par plus d'un but d'écart: le 11 février 2006 à Middlesbrough (0-3) et le 20 janvier... à Liverpool (0-2). Ce jour-là, la défense des Blues était expérimentale, avec Michael Essien et Paulo Ferreira en charnière centrale. Devant la défense, John Obi Mikel et Claude Makelele se sont contentés de taches défensives à l'aller. En première mi-temps, ils ont respectivement touché quatre et cinq ballons dans le camp de Liverpool qui ne s'est procuré qu'une petite occasion par Steven Gerrard.

Les attaquants
C'est le domaine où Liverpool pêche. Craig Bellamy a été transparent à Stamford Bridge. Dirk Kuyt a essayé, mais a semblé léger face à la défense des Blues. Quand Peter Crouch est rentré, Liverpool a usé de longs ballons vers le géant. Gerrard est peut-être la principale arme offensive des Reds.

Le public
"On aura douze joueurs au match retour", dit Rafael Benitez. Parmi les grands d'Angleterre, Liverpool est le seul à disposer d'un public digne de ce nom. Roy Keane décrivait Old Trafford comme une assemblée de "mangeurs de sandwiches".

Dans leur stade neuf, immense et froid, les Gunners doivent se contenter des applaudissements bien élevés des "yuppies" qui peuvent se permettre d'acheter des billets avant de quitter le stade en avance pour ne pas être trop serrés dans le métro. A Chelsea, les matches commencent par des airs de tavernes bavaroises par hauts-parleurs et se poursuivent par les insultes et les doigts dressés à destination de l'entraîneur visiteur. Des chants d'Anfield émanent l'harmonie, la puissance et la joie d'un peuple en marche. "Ce qu'il faut se mettre dans la tête, c'est que la foule ne jouera pas", dit John Terry.

La fatigue et les absents
Chelsea en est à 59 matches cette saison, soit déjà cinq de plus que la saison passée et six de plus que Liverpool. Qualifiés pour la prochaine Ligue des champions, les Reds n'ont qu'à se concentrer sur leur demi-finale et Rafael Benitez fait tourner son effectif. A Portsmouth samedi, il a laissé au repos sept de ses onze titulaires du match aller. Ricardo Carvalho et Michael Ballack, blessés, ne joueront pas. Carvalho est au moins autant que John Terry l'homme essentiel de l'arrière-garde londonienne. Comme il l'a montré sur le but de l'aller, il dispose, à l'inverse de son comparse, du bagage technique pour relancer intelligemment. En outre, Bolton a égalisé samedi (2-2) après la blessure de Carvalho.

Le revenant
Suspendu à l'aller, Michael Essien revient. Et Mourinho est soulagé. Le Portugais considère celui qu'il surnomme le "Train" comme son homme de base.

Colère
Rafael Benitez est un homme placide. Aussi, les visages livides des joueurs de Liverpool après leur match à Stamford Bridge trahissaient-ils leur stupeur après son "coup de gueule" dans le vestiaire. . Petites phrases. Benitez: "Je veux offrir à mes joueurs la chance de montrer qu'ils veulent faire partie de ce club la saison prochaine".

Mark Gonzalez, milieu de Liverpool à propos de Chelsea à l'aller: "Ils n'ont pas vraiment existé dans ce match". Mourinho: "Si j'avais eu les résultats de Liverpool depuis trois ans en championnat, je pense que je ne serais plus à Chelsea".

Pas manquer ce match.................

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Miami a perdu son titre

Le Miami Heat a d'ores et déjà perdu son titre de champion NBA de basketball. La franchise floridienne a subi l'affront d'être éliminée dès le premier tour des playoffs par les Chicago Bulls sans gagner le moindre match. Chicago a gagné dimanche le 4e match, disputé à Miami, 79-92. Dallas, finaliste la saison dernière et grand dominateur de l'actuelle saison, est bien mal embarqué après une 3e défaite contre Golden State 103-99. L'équipe d'Oakland, dernier qualifié de ce tour final, mène désormais 3-1 et n'est plus qu'à une victoire de la qualification.

Les deux autres résultats de la soirée de dimanche sont plus conformes aux attentes. New Jersey a facilement pris le meilleur sur Toronto 102-81 et mène la série 3-1; et Phoenix a gagné sur le parquet des Los Angeles Lakers 103-113 pour accroître aussi son avantage à 3-1. Seules 8 des 164 équipes qui ont mené une série 3-1 ont été battues.

"Notre règne de champion est terminé"
Voilà 50 ans, que le tenant du titre n'a plus été "balayé" au 1er tour des playoffs. "Notre règne de champion est terminé", a déclaré Pat Riley, le coach des Floridiens. "Ce fut une super année, une super expérience. Cette équipe m'a remis à une place où je n'avais plus été depuis longtemps." Mais il est vrai que les Shaquille O'Neal, Alonzo Mourning, Gary Payton et autre Eddie Jones semblent désormais en fin de carrière et le talent de Dwayne Wade, gêné par une épaule en mauvais état ne pouvait compenser à lui seul le poids des ans. "Ils étaient le meilleure équipe. Ils nous ont battu proprement. Pas de si, et, ou mais." a déclaré de son côté Wade à l'adresse des Bulls.

Baron Davis, le meneur de Golden State, est en train de voler la vedette à Dirk Nowitzki, la star de Dallas dans la série qui les oppose. Davis a inscrit 33 points et les Warriors ont infligé un 15-2 dans les six dernières minutes aux grands favoris pour faire basculer la victoire. Richardson a marqué 22 points, Jackson 19 et Pietrus 16 pour les Californiens.

Dos au mur
"Nous voilà dos au mur. Nous avons beaucoup d'orgueil et de coeur. C'est tout ce qui nous reste" avoue Nowitzki (23 pts et 15 rbs). L'Allemand et les équipiers de Didier Mbenga doivent remporter les trois dernières rencontres pour éviter de devenir la 3e équipe de l'histoire tête de série N.1 à s'incliner dès les premier tour du tour final.

Steve Nash a offert 23 passes décisives, à une passe du record absolu en playoffs (détenu par Magic Johnson et John Stockton), et ajouté 17 points tandis que le pivot Amare Stoudemire a cumulé 27 points et 21 rebonds pour le compte des Suns et écoeurer les Lakers. Shawn Marion a été le 3e larron de Phoenix à faire des misères aux Angelinos en ajoutant 22 points et 11 rebonds. Kobe Bryant a tout tenté (31 pts, 9 ass, 7 rbs) rien n'y fit. Lamar Odom a aussi été très bon (19 pts, 13 rbs) mais en vain.

New Jersey a déroulé face à Toronto, déjà bien heureux de disputer les playoffs. Menés 32-15 après la premières période, les Raptors n'ont jamais été dans le coup. Vince Carter avec 27 points et Richard Jefferson avec 23 ont été les meilleurs marqueurs des Nets. Le rookie italien Andrea Bargnani a signé la meilleure performance des Canadiens avec 16 points.

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Voile: des avaries et une journée de folie

La 2e journée du round-robin 2 de la Coupe Louis-Vuitton a été marquée par de nombreuses avaries et des courses passionnantes, voire surprenantes. China Team a remporté sa première régate de cette édition face à BMW Oracle, le leader.

ATS - 30 avril 2007 | 21H31


La 2e journée du round-robin 2 de la Coupe Louis-Vuitton a été marquée par de nombreuses avaries et des courses passionnantes, voire surprenantes. China Team a remporté sa première régate de cette édition face à BMW Oracle, le leader.C'est la sensation depuis le début de la compétition: le défi chinois, dernier du classement avec aucune victoire, a battu l'ogre américain, premier avec une seule défaite de plus de trois minutes (3'15''). Les Américains, partis en tête, ont connu de gros problèmes de génois (grande voile d'avant) à deux reprises en tout début de course, des problèmes qui ont été rédhibitoires.Le défi chinois, avec son équipage majoritairement français (10 membres sur 17) dont l'expérimenté barreur Pierre Mas, est passé devant et s'est envolé pour remporter sa première victoire en douze matches.

Dans le haut du classement, Emirates Team New Zealand (3e), exempt de la 1re manche du jour a pris sa revanche de "l'aller" dans le second match reporté dimanche, en battant Mascalzone Latino de 0'25''. Les Italiens de Luna Rossa, vainqueurs de Victory Challenge (qui a perdu son spi à la 2e marque) de 0'27'', ont rejoint BMW Oracle à la première place.

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Il s'est éclaté sur le vieux Nürburgring!



Le pilote de l'écurie de formule 1 BMW Sauber a parcouru le week-end dernier les 20,8 km du tracé légendaire

- 30/04/2007
Le Matin

Depuis 31 ans, la formule 1 avait abandonné le vieux circuit du Nürburgring, un mythe au pied du massif de l'Eiffel long de 20,8 kilomètres. Un circuit de légende, que la F1 avait quitté en 1976, suite au terrible accident dont avait été victime Niki Lauda. L'Autrichien avait échappé par miracle à la mort.
Record pas battu
Le week-end dernier, l'équipe BMW Sauber a décidé de faire revivre le mythe, pour rendre hommage à ses fans. 45'000 spectateurs se sont massés le long du tracé pour voir Nick Heidfeld effectuer trois tours au volant de sa monoplace.
Le record de 6'11''130 établi par Stefan Bellof au volant du Porsche 956 n'a pas été battu, et de loin, puisque la consigne était à la prudence. En 8'54", «Quick» Nick s'est tout de même fait plaisir. «Ce fut tout simplement incroyable, a déclaré l'Allemand. Je savais que ça serait fantastique de piloter sur le «Nordschleife», mais ce fut encore mieux que ce à quoi je m'attendais. Tant que je vivrai, je n'oublierai pas cette journée.

Ben il en à de la chance