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LNA: Grâce à Almond, Genève est reçu cinq sur cinq

Hockey sur glace

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Pour le premier derby romand de la saison de LNA, Genève-Servette s'est imposé 4-3 à St-Léonard contre Fribourg Gottéron. Les deux premiers buts de Cody Almond sous le maillot grenat ont fait la différence.
Mis à jour le 25.09.2012 3 Commentaires

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Genève-Servette s'est imposé face à Fribourg Gottéron.
Image: Keystone



Pour le premier derby romand de la saison de LNA, Genève-Servette a effacé un déficit de deux buts pour s'imposer 4-3 à St-Léonard contre Fribourg Gottéron. Les deux premiers buts de Cody Almond sous le maillot grenat ont fait la différence et permis aux Genevois de fêter une cinquième victoire en autant de journées.
Genève-Servette a-t-il vraiment besoin de Logan Couture? Sans permis de travail et donc contraint de suivre la rencontre depuis les tribunes, l'attaquant des San Jose Sharks a pu apprécier la réaction de ses nouveaux coéquipiers. Menés 3-1 après 28 minutes, les hommes de Chris McSorley ont su laisser passer l'orage fribourgeois pour répliquer par trois fois grâce à Romy et deux réussites d'Almond.
Genève avait bien entamé cette rencontre en jouant de manière extrêmement simple et en ouvrant le score grâce à Chris Rivera, superbement servi par Julian Walker(18e). Brouillon lors du premier tiers, Fribourg a retrouvé ses esprits au cours de la période médiane. Il n'a fallu que deux minutes aux locaux pour allumer la lampe rouge à trois reprises.
Chris McSorley furieux
Gamache (26e), Mauldin (27e) et Knoepfli (28e) ont rendu furieux Chris McSorley. Les deux premiers ont bénéficié d'un magnifique travail préparatoire du top scorer Christian Dubé, tandis que l'ancien Servettien a récupéré un rebond laissé par Tobias Stephan.
Seulement, ce Genève-là n'est pas leader par hasard. Et sur deux situations spéciales, les coéquipiers de Goran Bezina ont pu rétablir la parité (38e et 42e). Jusqu'à ce que la 60e minute lorsque Ryan Keller a pu déborder la défense fribourgeoise et transmettre une offrande à Almond pour sceller la victoire servettienne à 51 secondes de la fin.
Après un premier match où il a inscrit le but décisif contre Langnau, Yannick Weber a connu une soirée bien plus délicate à Saint-Léonard. Coupable de quatre pénalités,dont une a permis à Fribourg de prendre les devants (27e), passif sur la troisième réussite des hommes de Hans Kossmann, le défenseur du Canadien de Montréal n'a de loin pas eu le rayonnement que l'on attend d'un arrière de NHL. Heureusement pour lui que Cody Almond s'est transformé en match winner.

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Michel Platini veut un Mondial 2022 hivernal au Qatar

© belga.
Michel Platini, le président de l'UEFA, est un chaud partisan du déplacement du Mondial 2022, qui doit se jouer au Qatar, du mois de juin au mois de novembre et décembre 2021. Il a confié son idée dans une interview mardi au journal anglais London Evening Standard. Ce déplacement de date provoquerait l'interruption des compétitions européennes en novembre et décembre et une grande trêve hivernale.
© epa.© afp.

"J'espère qu'il se jouera en hiver. Nous devons nous rendre au Qatar quand c'est agréable pour tout le monde. Qu'est-ce qui est meilleur pour les fans?", a estimé Platini qui juge le mois juin beaucoup trop chaud au Qatar.
"En dix ans, nous pouvons déterminer comment nous pouvons reporter la saison (européenne) d'un mois. Janvier (2022) est difficile parce qu'il y a les Jeux Olympiques d'hiver. Si nous arrêtons (la saison européenne) du 2 novembre au 20 décembre, cela signifie qu'au lieu de terminer en mai, nous finirons en juin. Ce n'est pas un gros problème. C'est pour le bien de la Coupe du monde, la plus importante compétition de football."
Les organisateurs qataris sont eux favorables à une compétition en juin. Selon Platini, l'émir du Qatar lui avait promis de jouer le Mondial en hiver. "Avant le vote, je lui ai dit 'je vais voter pour vous mais je veux la Coupe du monde en hiver'. Il voulait mon vote et a dit 'Oui, bien sûr'. Maintenant, il a changé d'avis", a encore déclaré le patron du football européen.

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Ostende ne jouera pas l'Euroleague


Le champion de Belgique de basket Ostende ne jouera pas cette saison la phase de groupes de l'Euroleague (messieurs). Le club côtier s'est incliné mardi en début de soirée à Desio en Italie dès le premier tour du tournoi de qualification. Ostende s'est largement incliné 83-65 face aux champions de Tchéquie le CEZ Nymburk.
© belga.

Au repos, Ostende était toujours dans le coup n'étant mené que d'un point: 44-43. La suite a été beaucoup moins bonne. Les Ostendais n'ont plus marqué que 22 points dans les 20 dernières minutes de jeu. Matt Lojeski a terminé meilleur marqueur de son équipe avec 16 points.
Huit équipes se disputent de mercredi à vendredi l'unique billet encore à attribuer en vue de la phase de groupes de l'Euroleague. Nymburk rencontrera au 2e tour le vainqueur de Cantu (Ita) - Lukoil Academic Sofia (Bul).
Ostende est reversé en Eurocoupe où évoluera aussi le club vice-champion de Belgique Charleroi.

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John Van den Brom fustige les stades belges


Par:Michaël Bouche
25/09/12 - 17h10© afp.© afp.
John Van den Brom était l'invité de Frank Raes dans l'émission néerlandophone Extra Time sur la VRT. L'entraîneur néerlandais a confié qu'il s'était bien acclimaté à la vie en Belgique, qu'il considère comme beaucoup plus paisible qu'aux Pays-Bas. En revanche, il a émis de sévères critiques au sujet des infrastructures des clubs de division 1.

"Les stades en Belgique, c'est une grosse déception", a-t-il reconnu. "Pas au niveau des supporters, car à ce niveau-là, c'est assez bon enfant. En revanche, au niveau des installations, les vestiaires dans lesquels les joueurs doivent se changer..."

Selon le coach du Sporting, certains clubs amateurs néerlandais seraient mieux équipés que bon nombre de formations de l'élite ici. "Chez nous (Ndlr. à Anderlecht), ça va encore. Mais dans certains clubs où je suis déjà passé, je me suis dit que certains petits clubs amateurs aux Pays-Bas étaient mieux lotis".

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Le Standard est passé tout près de la catastrophe

Sauvega© belga.
MISE À JOURMené au score jusqu'à la 93e minute (1-0) contre Mouscron-Peruwelz, le Standard a finalement obtenu son billet pour les huitièmes de finale (2-3) de la Coupe de Belgique au bout d'un match complètement fou. L'équipe liégeoise a rétabli l'égalité sur penalty grâce à Ajdarevic (1-1) et a évité de justesse l'humiliation contre une formation de division 2 qui aura vendu chèrement sa peau. C'est Jelle Van Damme, exemplaire de générosité et de pugnacité, qui a délivré les Rouches à la 114e minute.
© photo news.© belga.© belga.© photo news.© photo news.© photo news.© photo news.© photo news.© photo news.
Le Standard est passé tout tout près de la catastrophe mardi soir en seizièmes de finale de la Coupe de Belgique. Menés 1-0 pendant près 90 minutes sur le terrain des pensionnaires de division 2 de Mouscron-Péruwelz, les Liégeois ont égalisé, sur penalty, à l'ultime seconde temps additionnel (90+4) par Ajdarevic. En prolongation, Domrane a placé la Standard au commandement (1-2) en trompant son gardien De Vlaminck, responsable du penalty égalisateur. Un nouveau penalty converti par Ruiz (99e) a remis les deux équipes à égalité (2-2). C'est de la tête que Van Damme a finalement offert la victoire 2-3 au Standard à la 114e minute.

Dès la 6e minute, Mezine a ouvert la marque, concluant un effort de Ruiz consécutif à une perte de balle de Van Damme (1-0). Les 'Rouches' ont eu la malchance de se retrouver à dix dès la 28e après l'exclusion de Batshuayi, auteur d'un mauvais geste sur Delacourt. Après une bonne fin de mi-temps du Standard, malgré une infériorité numérique, c'est Mouscron qui se montra le plus dangereux à la reprise.

Mouscron commença a accuser le coup physiquement dans les vingt dernières minutes. La pression du Standard augmenta. Ogunjimi (75e et 76e) et Ajdarevic (84e et 87e) et même Van Damme (90+2) manquèrent l'occasion jusqu'à ce que De Vleminck perde ses nerfs et accroche Ogunjimi dans le rectangle. En huitièmes de finale, le Standard, qui restait sur trois défaites consécutives en championnat, se déplacera chez les vainqueur d'Union (D3)-Genk.

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Le FC Bâle est-il le chouchou des arbitres?

Football

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La rumeur gronde dans le football suisse. Le FC Bâle profiterait systématiquement d’un arbitrage favorable.
Par Florian Müller. Mis à jour à 13h41 4 Commentaires

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Streller, Frei et leurs camarades n’ont pas à se plaindre des décisions arbitrales.
Image: Keystone
Quatres erreurs d'arbitrage qui ont profité au FC Bâle en 2012

31 MARS, THOUNE - BÂLE, 2-3

Huggel touche le ballon de la main dans la surface, le juge de touche signale la faute mais l’arbitre, M. Amhof, refuse pourtant de siffler penalty pour les Bernois.

15 AVRIL, WINTERTHOUR - BÂLE, 1-2

M. Bieri refuse un penalty évident pour une faute de Sommer sur Kuzmanovic (24e). Le portier bâlois aurait dû être expulsé; deux Zurichois sont avertis pour réclamation!

4 AOÛT, SION - BÂLE, 1-1

Sion égalise mais M. Haeni refuse le but de manière inexplicable. Le club sédunois devra marquer deux fois pour obtenir le point du match nul face aux Rhénans.

23 SEPTEMBRE, YB - BÂLE, 1-1

On joue la 88e, le score est toujours de 1-1 lorsque le Rhénan Park descend littéralement le Bernois Vitkieviez dans la surface. Penalty? «Non», dit M. Studer.
Super League

9e Journée

22.09.FC Zurich - Grasshoppers0 : 122.09.Sion - FC Thoune2 : 123.09.Lausanne - FC Lucerne1 : 023.09.FC St.Gall - Servette2 : 023.09.Young Boys - FC Bâle1 : 1État: 23.09.2012 18:08
Classement

NomJVNDButsP1.FC St.Gall963015:5212.Grasshoppers962111:5203.Sion961 212:6194.FC Bâle935113:9145.Young Boys934212:7136.FC Thoune93159:11107.FC Zurich92349:1298.Lausanne92256:1289.FC Lucerne91358:14610.Servette90273:172État: 23.09.2012 18:13
10e Journée

26.09.Servette - Lausanne- : -26.09.FC Zurich - FC St.Gall- : -26.09.FC Bâle - Sion- : -27.09.Grasshoppers - FC Lucerne- : -27.09.FC Thoune - Young Boys- : -



«Si ça avait été Frei ou Streller, l’arbitre n’aurait pas hésité à siffler penalty.» Matias Vitkieviez n’en revient toujours pas. Fauché brutalement dans la surface par le Bâlois Park dimanche, il attend toujours que l’arbitre, parfaitement placé, siffle la réparation. Dominé dans tous les secteurs du jeu par Berne, Bâle ne méritait rien. Les Rhénans s’en sortent pourtant avec un point, offert par l’arbitre.
«J’ai l’impression que c’est toujours comme ça contre Bâle, reprend l’attaquant d’YB. Et je peux vous assurer que c’est un sentiment partagé par une majorité des joueurs évoluant en Suisse.»
«C’est évident que les arbitres sont fans du FC Bâle, balance d’emblée Christian Constantin. On le voit presque chaque week-end sur les pelouses helvétiques. Si le FC Sion veut être champion, il doit faire plus de points que devraient en inscrire les Bâlois pour prétendre au titre.»
Les Bâlois sont rentables
Sébastien Fournier, récemment intronisé à la barre d’un navire «grenat» à la dérive, estime ne pas avoir assez de recul pour juger l’arbitrage suisse par rapport au FCB. Mais il assène une vérité qui ne souffre d’aucune remise en question: «Il ne faut pas oublier que si la Suisse dispose de deux places en Ligue des champions pour l’année prochaine, c’est grâce aux excellents résultats des Bâlois. Le foot suisse dans son ensemble en profitera.»
Une manne financière pour les clubs de Super League qui ne laisserait donc pas les arbitres indifférents. Au point de siffler irrémédiablement dans le même sens?
Une paranoïa?
Urs Meier, ancien arbitre international, tient à relativiser la polémique, et n’hésite pas à invoquer un syndrome de persécution. «C’est pareil dans tous les pays. Le champion serait systématiquement favorisé, mais c’est faux. C’est une interprétation subjective du rôle de l’arbitre. Croyez-moi, les arbitres font leur travail objectivement. Après, il peut leur arriver de commettre des erreurs, mais elles vont dans les deux sens.»
Pascal Zuberbühler, portier du FC Bâle durant huit saisons, confirme la dimension internationale du débat. Mais il en fait une interprétation différente. «Oui, dans chaque pays il y a un grand club, et c’est «normal» (ndlr: il insiste sur les guillemets) qu’il soit favorisé. C’est un avantage que le champion s’est octroyé au mérite et qui lui revient de droit.»
Ce soir, le FC Sion se déplace dans l’antre des «chouchous» de la Confédération. Avec une nouvelle polémique à la clé?

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Abbas Bayat: "Je quitte un milieu pourri"

© belga.
Depuis la remontée en D1 du Sporting Charleroi il y a cinq mois et trois semaines après la revente du club carolo, il s'était montré très discret. Pour le journal "Le Soir", Abbas Bayat a brisé le silence. Extraits.
"Mogi est doté d'une grande force de persuasion", estime Abbas Bayat.© belga.Abbas Bayat: "Je ne me suis pas senti roulé par Mehdi".© belga.
Abbas Bayat s'est longuement entretenu dans le journal "Le Soir". Avec des déclarations plutôt étonnantes à la clé.

"Je quitte de ma propre initiative un milieu pourri et corrompu", "J'ai souvent été victime d'une xénophobie qui ne dit pas son nom" ou encore "Je ne me suis pas senti roulé par Mehdi Bayat".

"Mogi a été plus manipulateur"
A la question de savoir si Mogi Bayat s'est montré plus rusé qu'Abbas Bayat, l'ancien président du Sporting Charleroi n'a pas tardé à charger son neveu.

"Il a été plus manipulateur, ça oui ! Il a un problème psychologique indéniable pour s'inscrire dans le bon fonctionnement d'une société commerciale mais il est doté d'une grande force de persuasion dont il est doté d'une grande force de persuasion dont il se sert, depuis son limogeage, pour tenter de me déstabiliser", soupire Abbas Bayat dans le "Soir".

Abbas a fait appel au FBI
Depuis quelques jours, une rumeur a circulé. Abbas Bayat aurait fait appel au FBI, comme tout citoyen américain peut le faire, pour avoir des informations en matière de faux en écritures présumés.

"C'est partiellement vrai. Il s'agit d'un laboratoire d'analyses scientifiques qui travaille en collaboration avec les autorités américaines. Cette requête m'a permis de confirmer mes craintes par rapport à certains documents."

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En douze mois, tout a changé

Hockey sur glace

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Tobias Stephan et les Servettiens ont gagné à Fribourg leur cinquième match d’affilée. L'Aigle, qui s’est bien remplumé, avait perdu ses cinq premières parties l’an passé.
Par Christian Maillard. Mis à jour à 06h02

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Pour le gardien Tobias Stephan et ses coéquipiers, ce début de saison ne ressemble en rien à celui de l’an dernier.
Image: Salvatore Di Nolfi/Keystone
LES CINQ PREMIERS MATCHES 2011-2012

10 septembre 2011
Langnau - GE Servette 4-3 ap
Un moment de flottement au début du 2e tiers et l’Aigle ne peut éviter les tirs au but, une défaite et des doutes.

17 septembre 2011
Zoug - GE Servette 7-3
Les Genevois marquent deux buts d’entrée mais craquent physiquement et mentalement dans le dernier tiers.

20 septembre 2011
GE Servette - Ambri 2-3
Les «grenat» mettent d’emblée la pression (il y aurait pu y avoir 5-1 au 1er tiers) avant de marquer… le pas.

23 septembre 2011
FR Gottéron - GE Servette 2-1
Julien Sprunger inscrit le but victorieux à neuf secondes du coup de gong. Un gros coup au moral.

24 septembre 2011
GE Servette - Berne 2-3
Un jour plus tard, la poisse colle aux patins des Servettiens battus cette fois-ci à onze secondes du terme.
LES CINQ PREMIERS MATCHES 2012-2013

14 septembre 2012
GE Servette - Berne 3-1
Trois buts en dix-neuf minutes. Ce début explosif permet au GSHC de se mettre d’emblée sur les bons rails.

15 septembre 2012
Bienne - GE Servette 1-2
Les Genevois commettent un hold-up en vainquant le signe indien à 77 secondes de la fin.

21 septembre 2012
Ambri - GE Servette 1-4
Pourtant dominés, les «grenat» inscrivent trois buts en 8 minutes au deuxième tiers. La roue a tourné.

22 septembre 2012
GE Servette - Langnau 2-1
Fatigué par son voyage au Tessin, le leader gagne avec ses tripes un match qu’il aurait perdu en 2011.

25 septembre 2012
FR Gottéron - GE Servette 3-4
Menés 3-1, les Genevois, en pleine euphorie, trouvent les ressources pour s’imposer à 51 secondes de la fin.
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C’était il y a douze mois, le 24 septembre 2011 aux Vernets. L’Aigle piquait du nez et broyait du noir. Ce soir-là, GE Servette s’était fait larguer par Berne au fond de la classe à onze secondes de la fin. Cinq matches, un point, 11 buts marqués, 19 reçus: les Genevois, plongés en pleine dépression, cumulaient alors autant les défaites que les blessés. On connaît la suite avec un sauvetage miraculeux, en play-out, contre Ambri.
Cinq matches, quinze points, quinze buts marqués et sept reçus. En douze mois, tout a changé. Mardi soir, à Fribourg, GE Servette a pris de la hauteur pour inscrire, via Cody Almond, le but victorieux à 51 secondes du terme. Comme à Bienne dix jours plus tôt, les «grenat» ont remporté une partie qu’ils auraient perdue il y a un an. A quoi ça tient…
Une question de confiance
«C’est une question de confiance et de croyance, estime Louis Matte, le coach adjoint des Servettiens. Tout le monde dans l’équipe croit au système de jeu, à la personne qui se trouve à côté de lui et il y a une autre énergie. Même quand tu perds 3 à 1, tu remontes…» Les nouveaux arrivés – Romy, Almond, Keller, Picard, Walker et Weber – ont apporté leur état d’esprit, leur talent, du caractère et leur grosse présence.
«L’an passé, cela manquait de punch, renchérit Marc Clément, entraîneur de karaté kyokushinkai qui inculque les vertus de son art martial aux boys de McSorley durant la saison. Il y a eu une bonne préparation physique et mentale avec Mathieu Desgrange et moi-même. Il y a des joueurs de qualité qui attaquent et qui marquent; des jeunes bien affûtés, un gardien qui arrête tout et moins de blessure que l’an passé: le cumul de tous ces détails donne cette confiance qui fait la différence.»
Et la ceinture noire 3e dan de préciser que «contrairement à l’an dernier, le groupe s’est moins donné dans les matches de préparation. Du coup, il y a eu moins de blessés et les gars ont pu démarrer la saison plus sereinement. Un succès en amène un autre et c’est ce qui se passe actuellement. Comme un gros paquebot, quand t’as pris ta vitesse de croisière il faut moins d’effort pour la maintenir. Le hockey est très mental.» Remplumé, l’Aigle plane désormais au sommet.

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Deux Suisses en lice avec Arsenal

Coupe de la Ligue anglaise

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Johan Djourou a enfin joué avec Arsenal. Le défenseur suisse, qui était capitaine, a participé au facile succès des Gunners 6-1 contre Coventry en 16es de finale de la Coupe de la Ligue.
Mis à jour le 26.09.2012

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Johan Djourou.
Image: ARCHIVES/AFP




Johan Djourou a enfin joué avec Arsenal.
Un autre Suisse, le jeune Martin Angha (18 ans), a également été titularisé par Arsène Wenger. Les buts d'Arsenal ont été inscrits par Giroud, Oxlade-Chamberlain, Arshavin, Walcott (2) et Miquel.
Tenant du trophée, Liverpool s'est qualifié grâce à un succès 2-1 sur la pelouse de West Bromwich Albion. Le Turc Nuri Sahin a inscrit un doublé. Une fois encore, Brendan Rodgers a laissé ses cadres au repos. Il a même offert quelques minutes de jeu à Jerome Sinclair, qui est devenu à 16 ans et 6 jours le plus jeune joueur de l'histoire des Reds en compétition.

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Decastel: «Mieux vaut perdre 4-1 que 2-1»

FOOTBALL

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Après la déroute du FC Sion au bord du Rhin, le coach du FC Sion déplorait la mauvaise gestion dans les moments clé d’un match qui a échappé au contrôle des visiteurs, remis à leur place (4-1).
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour le 26.09.2012 4 Commentaires

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«Pendant une mi-temps, on a vu un très bon FC Sion. On aurait même probablement assisté à un autre match si l’on avait alors pu prendre l’avantage.» Après la sévère correction essuyée par le FC Sion (plus au niveau du score que du jeu présenté), Michel Decastel regrettait les errements de ses joueurs, notamment sur l’ouverture du score signée Philipp Degen, auteur d’un doublé pour son retour au jeu. «Au lieu de dégager le ballon, on a essayé de jouer à la baballe.»
Le Neuchâtelois revoit aussi l’incompréhensible raté de Leo au retour des vestiaires, lorsque le Brésilien n’est pas parvenu à servir Lafferty, seul devant le but (49e). «C’était une balle de match. On n’a pas le droit de la rater comme ça. C’est inadmissible.»
A Bâle, Sion a présenté et offert deux visages, un conquérant d’abord, lui permettant de faire largement jeu égal avec son hôte, puis un visage moins concentré où le poids des erreurs combiné au réveil bâlois devait précipiter son échec. A l’arrivée, il n’y a pas photos d’ailleurs.
«Après le 3-1, admettait Decastel, on s’est laissé aller. L’équipe a manqué de concentration. Le recul de Serey Die a déséquilibré le milieu de terrain. Tout s’est enchaîné du mauvais côté (...) Mieux vaut s’incliner franchement 4-1 que d’avoir des regrets en ne perdant que 2-1 et en se répétant sans cesse que l’on n’était pas loin.»
Au Parc St-Jacques, Sion a paradoxalement montré qu’il était peut-être sur la voie de la guérison. «Contre Thoune, on avait bien joué 20 minutes. Ce soir, on joue bien durant une heure.» Decastel espère assister à un match complet dimanche pour la venue du FC Zurich.