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La FIFA repousse sa décision concernant le Kosovo

© ap.
La FIFA a décidé vendredi de repousser une nouvelle fois sa décision concernant la possibilité pour le Kosovo de disputer des matches amicaux à son prochain comité exécutif le 14 décembre à Tokyo.
"Le comité exécutif a estimé qu'il fallait laisser un certain temps pour régler des questions en supsens. Nous en reparlerons le 14 décembre à Tokyo", a déclaré le président de la FIFA Sepp Blatter.

En mai, le comité exécutif avait donné son accord pour que les équipes nationales puissent disputer des matches amicaux contre le Kosovo, qui n'est pas une fédération membre de la FIFA.

La Fédération serbe de football (FSS) avait alors élevé une "vive protestation" et la FIFA avait "suspendu" sa décision en attendant que le comité exécutif tranche la question, ce qui n'a été fait ni en juillet, ni en septembre.

Ancienne province serbe, le Kosovo a été le théâtre d'un conflit (1998-1999) entre indépendantistes albanais kosovars et forces de Belgrade. En février 2008, la majorité albanaise du Kosovo a proclamé l'indépendance de ce territoire, que la Serbie refuse de reconnaître.

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«Il faut rester les pieds sur terre»

Hockey

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Tobias Stephan a fêté son premier blanchissage de la saison, samedi soir à Davos (0-3). Il revient sur un début de championnat ébouriffant réalisé par GE Servette, qui a désormais le record de victoires d’affilée fêtées en début d’exercice dans le viseur. Il est détenu par les Kloten Flyers depuis la saison 2010-11 (huit succès de rang, dont deux fêtés aux tirs au but).
Par Frédéric Lovis. Mis à jour le 29.09.2012

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Image: Keystone




Tobias Stephan, on a l’impression que GE Servette est invincible…
Actuellement, tout nous sourit. Ce soir, nous avons disputé notre meilleur match de la saison. L’équipe est pleine de confiance. Il faut essayer de continuer sur cette lancée le plus longtemps possible.
Est-ce que l’équipe sait que, mardi aux Vernets face à Lugano, elle peut écrire l’Histoire?
Oui, depuis que nous avons lu ça dans les journaux. Ok, si nous arrivons à battre ce record, ce sera un petit plus, mais ce qui importera le plus mardi, ce sera récolter encore des points.
Depuis les tribunes, on se régale parfois. Et vous, est-ce que vous vous régalez en regardant évoluer vos coéquipiers devant vous?
Oui. En principe, j’ai le temps quand il patine dans la zone adverse. Nous avons maintenant d’excellents joueurs offensifs dans nos rangs. Certains jouent vraiment très, très forts, de manière très puissante aussi. Cette saison, nous pouvons dominer nos adversaires avec notre jeu offensif et notre jeu physique. C’est ce qu’il nous manquait la saison passée. Mais attention: la chose la plus difficile à gérer après ce genre de départ, c’est de ne pas tomber dans la satisfaction et d’arrêter de travailler. Il faut rester les pieds sur terre, rester concentré.
Un mot sur votre blanchissage?
J’ai toujours dit que ce n’était pas important. Ça ne va pas changer aujourd’hui. (Le Matin)

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Un bon nul pour le LS face à Bâle

Football

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Tout roule en ce moment pour le Lausanne-Sport, qui a obtenu le nul 1-1 chez lui face au FC Bâle, lors de la 11e journée de Super League.
Mis à jour le 29.09.2012 7 Commentaires

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Chris Malonga aux prises avec Alex Frei.
Image: Keystone




Menés au score, les Vaudois ont non seulement fait preuve d'une belle force mentale, mais aussi d'une capacité nouvelle à produire du jeu.
Trop lent au démarrage, le LS a été pris à froid dès la 2e minute, sur une ouverture de Cabral pour Salah dont la frappe est passée entre les jambes de Favre. Cette entame de partie, et toute la première demi-heure à vrai dire, laissaient craindre le pire pour les pensionnaires de la Pontaise. Les Lausannois allaient peut-être bien, en effet, payer leur importante débauche d'énergie de mercredi à Genève (victoire 1-0 à dix contre onze durant 40 minutes).
Tout a au contraire basculé aux alentours de la 30e, grâce à un replacement tactique a priori anondin opéré par Laurent Roussey. En densifiant son milieu de terrain, le coach français a privé Bâle de son point d'ancrage (Cabral), faisant perdre au champion tout le liant de son jeu.
Alors Lausanne a commencé de reprendre des couleurs, de se montrer dangereux, de bousculer un FCB qui n'y était pas vraiment. L'égalisation aurait en fait pu tomber juste avant la pause, à la 45e, sur un tir de Matt Moussilou mal cadré de peu ou une tentative de l'ancien Lyonnais Yannis Tafer - son premier match en Super League - détourné en corner par Yann Sommer.
Délivrance pour les Vaudois
La délivrance est finalement venue à la 63e des pieds de Moussilou, tout étonné de se retrouver seul en possession du cuir dans les six mètres bâlois et devant un but vide (mésentente entre Dragovic et Sommer, lequel a été pressé par Malonga). Le LS a ensuite fait le plus souvent jeu égal avec les Rhénans, se procurant quelques occasions et en concédant aussi quelques unes, dont un missile de Stocker sur la transversale (84e).
Ce nul contre Bâle, après deux succès de rang, est un excellent résultat pour un Lausanne-Sport qui s'éloigne peu à peu de la zone dangereuse. Les Vaudois se retrouvent dix points au-dessus de Servette, qui ira dimanche chez les Young Boys. Mieux encore, les hommes de Roussey prennent provisoirement six longueurs d'avance sur le 9e Lucerne (qui reçoit Thoune) et trois sur Zurich (qui se rendra à Sion).
Aarau accroché
Samedi, Aarau a été accroché par Lugano lors de la 11e journée de Challenge League. Les Argoviens, qui dominent le championnat, ont dû s'employer pour ramener un point du Cornaredo au terme d'un affrontement spectaculaire (3-3).
Les Tessinois ont mené 1-0 puis 2-1, avant qu'Aarau ne prenne à son tour l'avantage à la 80e par Garat. Mais Lugano est parvenu à répliquer et à égaliser grâce à De Pierro (86e). Au final, aucune équipe ne méritait de perdre ce match. (si/Newsnet)

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Une à deux semaines de pause pour Rick Nash

Hockey

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Chargé par le Finlandais Ikka Heikkinen vendredi soir à Lugano, la star des New York Rangers est victime d’une contusion sans gravité à l’épaule.
Par Frédéric Lovis. Mis à jour le 29.09.2012 1 Commentaire

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Image: Keystone




Rick Nash devra observer une pause d’une à deux semaines avant de pouvoir rejouer au hockey. L’information a été donnée aux médias samedi soir par le médecin du club grison, quelques minutes avant le coup d’envoi de la partie contre GE Servette.
Par ailleurs, Beat Forster a également subi une commotion à la Resega. La durée de son indisponibilité est plus difficile à estimer. (Le Matin)

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But d’Ambri annulé face à FR Gottéron: les explications de Bertolotti

Hockey

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La réussite inscrite par Inti Pestoni à la 29e à été, aux yeux du chef des arbitres de la Ligue nationale, justement annulée. L’ennui? Didier Massy aurait dû infliger deux minutes de pénalité à Benjamin Conz, ce qu’il n’a pas fait. Explications.
Par Frédéric Lovis. Mis à jour le 29.09.2012 1 Commentaire

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Inti Pestoni
Image: Keystone
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Peu avant la mi-match, vendredi soir à la Valascia, un puck très mal négocié par Shawn Heins lors d’une sortie de zone permettait à Alain Miéville et Inti Pestoni de se présenter seuls face à Benjamin Conz. Servi par le premier nommé, le second parvenait à glisser le puck au bon endroit. La Valascia explosait en croyant que le chouchou local venait de donner l’avantage (2-1) à Ambri. A tord. Après une longue consultation de la vidéo, Didier Massy annulait la réussite du Tessinois en raison d’une cage déplacée par Benjamin Conz. Bronca dans l’antre des biancoblù. «La décision de Didier Massy est correcte, vu que la cage a été déplacée avant que le puck ne franchisse la ligne, explique Reto Bertolotti. Par contre, Benjamin Conz aurait dû recevoir une pénalité de deux minutes sur ce coup-là pour avoir déplacé sa cage volontairement.»Le gardien de FR Gottéron ne sera toutefois pas sanctionné. «Didier Massy aurait dû lever son bras quand l’action se déroulait, ce qu’il n’a pas fait. Il ne pouvait pas donner cette punition après coup. Une pénalité ne peut pas être sifflée après consultation des images TV.»Benjamin Conz et FR Gottéron s’en sont donc bien sortis sur ce coup-là. Ce but annulé a même coupé momentanément les ailes de l’hôte et permis au club romand de prendre l’avantage par Simon Gamache peu après (32e). Problème: le Dragon n’a pas su, dans la foulée, enfoncer la tête sous l’eau d’un adversaire s’étant momentanément senti floué par la tournure des événements. (Le Matin)

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Le FC Sion dort à l'hôtel même quand il joue à domicile

Football

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Les trois clubs romands de Super League ne sont pas égaux en termes de préparation. En Valais, Decastel privilège les mises au vert, y compris quand l’équipe joue chez elle. Gattuso & Cie dormiront samedi soir aux Bains de Saillon. LS et Servette sont plus économes.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour le 29.09.2012 27 Commentaires

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C’est du côté des Bains de Saillon que le FC Sion va préparer son match de dimanche contre le FC Zurich.
Image: Sabine Papilloud
À CHACUN SON PLANNING

LAUSANNE
SAMEDI
9 h Réveil musculaire, séance vidéo.
12 h Repas au restaurant (Pinte) de la Pontaise. Les joueurs rentrent ensuite chez eux faire la sieste.
16 h 45 Collation en commun à la Pinte, causerie et théorie.
18 h 15 Retour aux vestiaires.

SION
SAMEDI
16 h 30 Entraînement à Martigny.
19 h 30 Repas d’équipe aux Bains de Saillon, nuit à l’hôtel.
DIMANCHE
8 h 30 Réveil, petit-déjeuner, promenade.
12 h 30 Repas d’avant-match, sieste, départ pour Tourbillon.


SERVETTE
DIMANCHE
8 h Rendez-vous aux Evaux (GE).
8 h 30 Départ du car, petit-déjeuner à bord.
10 h Pause collation dans les environs de Payerne.
12 h 15 Arrivée au Stade de Suisse.




Tout à l’heure, les joueurs vaudois arriveront à la Pontaise en voiture pour y défier Bâle en toute décontraction. Un morceau avalé au restaurant du stade, une sieste à domicile, et hop, les voilà prêts pour l’exploit. Autant pour des raisons budgétaires – le repas est offert par un sponsor – que philosophiques, le LS fait dans la simplicité. En matière de mises au vert, équivalant à un coup d’envoi mental précédant le vrai coup d’envoi, il existe moult stratégies mais aucune garantie. «S’il existait une préparation garante de succès, on s’y engouffrerait tous!» s’exclame Laurent Roussey, plutôt réfractaire à ce genre de conditionnement psychologique. «Ce qui compte avant tout, c’est de ne pas perdre son énergie à trop gamberger. Une mise au vert ou non dépend aussi de la capacité d’un groupe à se prendre lui-même en charge, à gérer son alimentation. Un joueur marié ou un jeune adepte du McDo ne seront pas à égalité. A Saint-Etienne, j’avais des joueurs capables de s’échapper. Je devais constamment les avoir sous la main pour les surveiller.»
Systématique en Tunisie
En Valais, Michel Decastel s’avère être un adepte convaincu des mises au vert, qu’il a remises au goût du jour depuis son arrivée, y compris lors des matches à Tourbillon. «Pour moi, cela fait partie du métier, au même titre que l’entraînement. C’est la prolongation du travail, une façon de se placer dans les meilleures conditions possibles. Une mise au vert est une manière de ne pas banaliser l’événement que constitue un match, surtout quand celui-ci est important.» Un mode de faire que le Neuchâtelois a eu l’occasion d’expérimenter lors de son long exil africain. «Là-bas, c’était même systématique. Cela permettait de sortir les joueurs d’un contexte toujours très chaud en les éloignant des supporters.» Quand il dirigeait l’Espérance, Decastel disposait d’une vingtaine de chambres réservées à l’année à Gammarth, en bord de mer, dans un hôtel propriété du club.
Quand le patron fait des prix
Avant la venue de Thoune, le FC Sion avait dormi dans son stamm valaisan, la Porte d’Octodure, l’hôtel de Christian Constantin à Martigny, là même où ses joueurs s’entraînent et ont leurs habitudes. L’équipe y dispose d’une vingtaine de chambres – double pour les joueurs, simple pour l’encadrement et le staff technique – à un tarif préférentiel. «L’hôtel du président envoie ses factures au club du président», s’amuse Domenicangelo Massimo, directeur du FC Sion. Chaque saison, le club dépense 350'000 francs en frais de déplacement, nuits d’hôtel et repas.
Pour varier les plaisirs, l’équipe profite aussi parfois des installations du centre de formation de Riddes, où des repas lui sont servis en provenance des cuisines octoduriennes. Cette fois, Sion préparera la venue de Zurich à l’Hôtel des Bains de Saillon, un quatre-étoiles de 70 chambres attenant au complexe thermal, espérant y trouver, loin de la Foire du Valais (et de ses tentations…), un calme régénérateur. «En ayant le groupe sous la main, reprend son entraîneur, je peux continuer à faire passer un message, des idées de jeu. Loin des tracas du quotidien, d’un enfant qui pleure la nuit pour les jeunes pères, c’est en même temps l’occasion de regarder tous ensemble dans la même direction.»
A Genève, à la tête d’une lanterne rouge qui n’en finit pas de gamberger, Sébastien Fournier ne croit pas trop aux vertus des mises au vert systématiques. Voilà qui tombe bien et permet au club de la Praille de réduire ses coûts de déplacement. Le dernier de classe voyage ainsi sans chichis, s’offrant, à l’heure du casse-croûte, une mystérieuse halte dans un lieu gardé secret (l’aire de service d’Estavayer?). «On dort toujours mieux dans son lit, sur son oreiller. Les joueurs savent gérer leur temps libre comme leur alimentation. Je leur fais confiance.» En l’emportant demain à Berne, Servette a l’occasion de porter ce qui serait sans doute le coup de grâce à Rueda, dont le siège commence à fortement vaciller. (Le Matin)

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Timea Bacsinszky prend la porte dès le premier tour

29.09.2012 11:30 mise à jour à 13:34
Timea Bacsinszky n'a plus connu la victoire sur le circuit WTA depuis avril. [Paul Bereswill - Keystone]

Le parcours de Timea Bacsinsky à Pékin s'arrête déjà. La Vaudoise a subi la loi de l'Espagnole Carla Suarez Navarro au premier tour. Romina Oprandi s'est elle qualifiée.
Timea Bacsinszky (WTA 217) quitte déjà la Chine. La Lausannoise est demeurée impuissante face à Carla Suarez Navarro (48) au premier tour à Pékin (6-4 6-1).
La Vaudoise de 23 ans, qui restait sur un succès au tournoi ITF de Mont-deMarsan/FRA, n'a donc fait illusion que l'espace d'un set. Toujours en quête de repères au plus haut niveau après ses blessures à répétition, elle n'a plus gagné sur le circuit WTA depuis avril.
Timea Bacsinsky gardait pourtant un bon souvenir de ce tournoi puisque lors de sa dernière participation en 2010, elle était parvenue à se hisser jusqu'en quarts de finale. Elle s'était inclinée 7-6 6-4 face à l'Israélienne Shahar Peer.
Fin de la spirale négative pour Oprandi

Romina Oprandi a elle passé le premier obstacle. La Bernoise (WTA 64) a mis fin à une série négative de trois défaites au premier tour lors de ses trois derniers tournois en se débarrassant de la Polonaise Urszula Radwanska (WTA 36) sur le score de 7-5 6-2 en 1h31 de jeu. Il s'agissait de la première confrontation entre Oprandi et la petite soeur d'Agnieszka Radwanska.
si/jbla

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Stanislas Wawrinka (ATP 16) se mesurera au Japonais Hiroki Moriya (204) au 1er tour à Tokyo

29.09.2012

Stanislas Wawrinka (ATP 16) se mesurera à un invité japonais au 1er tour du tournoi de Tokyo. Le Vaudois se frottera pour la première fois à Hiroki Moriya (204). Tête de série no7, Wawrinka devrait logiquement affronter Jérémy Chardy (30) au 2e tour. Le no2 suisse est appelé à défier le vainqueur de l'US Open Andy Murray (3) au stade des quarts de finale. Le Britannique aura cependant un 1er tour difficile à négocier face à Gaël Monfils (45).

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Joaquin Rodriguez est devenu samedi le premier Espagnol à remporter le Tour de Lombardie. Oliver Zaugg 8e

29.09.2012

Il a fallu attendre le 106e Tour de Lombardie pour voir enfin un Espagnol triompher. Joaquin Rodriguez s'est imposé légèrement détaché sous une pluie battante. "Purito" a profité de la dernière ascension pour attaquer. Samuel Sanchez et Rigoberto Uran ont terminé respectivement 2e et 3e. Vainqueur surprise l'année dernière, le Suisse Oliver Zaugg a réalisé une belle course pour se classer au 8e rang. Favori de cette 106e édition, Philippe Gilbert a abandonné à près de 80 km de l'arrivée. Le champion du monde belge a chuté dans une descente. Rien de cassé mais des brûlures et des coupures.

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C'était trop facile pour Anderlecht

Sauve© belga.
Une victoire sans histoire. Anderlecht a assuré l'essentiel contre Lokeren (3-0), en faisant la différence après la pause grâce à des buts des buts de Dieumerci Mbokani (50e et 88e) et Olivier Deschacht (60e). Sans forcer, les champions de Belgique reviennent provisoirement à un point du FC Bruges, qui joue demain à La Gantoise, et préparent idéalement leur rencontre de Ligue des Champions contre Malaga.
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1. Deschacht explose ses stats
Olivier Deschacht n'avait marqué que deux buts durant sa carrière avant cette saison. Le blondinet du RSCA a déjà doublé ses chiffres. Déjà auteur d'un but à Courtrai qui avait permis aux Mauves d'éviter une défaite de justesse, le back gauche a encore marqué ce soir. Après le but d'ouverture de Dieumerci Mbokani, il a tenté sa chance à l'entrée du rectangle après un corner joué au sol par Lucas Biglia. Avec un peu de chance, le ballon a atterri au fond des filets du but de Copa. Doucement mais sûrement, Deschacht est en train de gagner son duel à distance contre Safari.

2. Mbokani côté pile et côté face
En fin de première période, Dieumerci Mbokani s'est rendu coupable d'un mauvais geste sur De Bock. Après avoir débordé sur le flanc gauche, il a été stoppé fautivement par le défenseur de Lokeren. Jusque-là, rien d'anormal. Sauf qu'en retombant, le Congolais a donné un petit coup de pied sur la tête du joueur adverse. Monsieur Makkelie, l'arbitre de la partie, n'a rien vu et a accordé la faute aux Anderlechtois. Comme il n'y a pas eu de sanction directe de l'homme en noir, on peut s'attendre à ce que le joueur mauve soit rattrapé par les images télés, qui sont très claires. Et si John van den Brom devait faire sans son attaquant-vedette au Standard le week-end prochain ? Après ça, le meilleur attaquant du championnat a quand même montré son meilleur visage en inscrivant un doublé, dont un deuxième but superbe. Il rejoint Carlos Bacca en tête du classement des buteurs avec 6 buts.

3. Malaga, les Mauves sont prévenus
Anderlecht se frottait les mains à l'heure du tirage au sort de la C1 en piochant Malaga. Les Espagnols seront toutefois tout sauf des oiseaux pour le chat. Déjà large vainqueurs du Zenit Saint-Petersbourg, les Andalous sont en grande forme puisqu'ils ont étrillé le Betis Séville ce samedi soir grâce à des buts de Joaquin, Saviola et Isco (score final 4-0). Si les Mauves veulent faire un résultat mercredi, ils devront considérablement hausser leur niveau de jeu face à une équipe qui a encore impressionné. Les voilà prévenus.