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Granit Xhaka, le Cristiano Ronaldo suisse

10.10.2012 17:26 mise à jour à 18:51
Granit Xhaka allie toujours style et élégance. [Gonzalo Garcia - Keystone]

Granit Xhaka est avec Xherdan Shaqiri la "star" de l'équipe de Suisse. A 20 ans, le milieu de terrain de Mönchengladbach est déjà devenu une pièce incontournable du dispositif d'Ottmar Hitzfeld. Il a d'ailleurs inscrit le premier but helvétique dans les éliminatoires pour le Mondial 2014, lors du succès 2-0 en Slovénie le 7 septembre. C'est simple, l'ex-Bâlois semble déjà faire figure de "vieux" routinier, alors qu'il n'affiche que 12 sélections en équipe "A".
Reconnu pour son immense talent, Xhaka ne laisse également pas insensible la gente féminine, qui lui trouve une certaine ressemblance avec Cristiano Ronaldo. A deux jours de Suisse-Norvège, Granit Xhaka s'est confié à la presse.
- Avec 6 points récoltés en 2 matches, la Suisse a réalisé le départ idéal. Quel regard portez-vous sur la suite de ces qualifications pour le Brésil?
GRANIT XHAKA: Il était important de bien commencer, mais le plus dur reste à faire. La Norvège sera un adversaire difficile à manoeuvrer, alors que l'Islande sera dure à battre chez elle. Je reste cependant persuadé que la 1ère place dans ce groupe se jouera entre la Suisse et la Norvège. L'objectif, c'est bien entendu de remporter ces deux parties. Battre la Norvège, ce serait bien, mais si c'est pour perdre ensuite en Islande cela n'aurait aucun sens.
"Je dois accepter ce rôle"

- Que savez-vous à propos de l'équipe norvégienne?
A l'image de Johan Djourou, il a plus été question de water-polo que de football mercredi sur la pelouse de Rapperswil-Jona. [Keystone]GRANIT XHAKA: On connaît la mentalité des équipes scandinaves. Elles misent sur le jeu physique et mettent beaucoup d'intensité dans les duels. La Norvège évolue dans un schéma 4-1-4-1. Comme la Suisse il y a un peu plus d'une année, elle a connu un changement générationnel. Beaucoup de jeunes joueurs sont arrivés, mais ils n'ont pas encore trouvé la bonne alchimie.
- Vous portez le maillot no10. Mais êtes-vous vraiment un no10?
GRANIT XHAKA: En réalité, je préfère évoluer un peu plus en retrait comme no6 ou no8. Mais si Ottmar Hitzfeld m'aligne en no10, je suis satisfait. Je dois accepter ce rôle et réussir de bonnes prestations.
"J'ai déjà accumulé beaucoup d'expérience"

- Comment analysez-vous vos débuts dans le championnat d'Allemagne?
GRANIT XHAKA: J'ai déjà accumulé beaucoup d'expérience. Tout va plus vite en Bundesliga. Le rythme est très élevé et j'essaie également de l'apporter en équipe de Suisse.
- Vous avez été beaucoup critiqué après vos "déclarations d'amour" pour l'Albanie. Comment le gérez-vous?
GRANIT XHAKA: Cette rencontre face à l'Albanie a été difficile d'un point de vue émotionnel. Comme je l'ai déjà dit, beaucoup d'albanophones sont fiers de nous, même si nous sommes plusieurs à évoluer avec l'équipe de Suisse.
- La question de votre départ dans une future équipe nationale du Kosovo a également fait couler beaucoup d'encre.
GRANIT XHAKA: Ce n'est pas du tout le moment de parler de ça. Il faudra bien attendre 3-5 ans avant de voir une équipe du Kosovo. Qui sait si dans 3 ans je serai toujours convoqué en équipe de Suisse...
"J'essaie beaucoup de nouvelles coiffures"

- En équipe de Suisse, les joueurs peuvent choisir une chambre double ou individuelle. Quel est votre cas?
Granit Xhaka et Ricardo Rodriguez, complices sur le terrain et en chambre. [Keystone]GRANIT XHAKA: Je suis en chambre double avec Ricardo Rodriguez, c'est le cas depuis les équipes juniors. Il amène toujours des DVD ce qui nous permet de voir beaucoup de films. C'est un super joueur qui a gardé les pieds sur terre. C'est un très bon ami à moi.
- Comme Cristiano Ronaldo, vous aimez bien faire attention à votre look.
GRANIT XHAKA: Le style est important. J'essaie beaucoup de nouvelles coiffures. On m'a souvent dit que je ressemblais à Cristiano Ronaldo. Mais rassurez-vous, je suis toujours Granit.
Rapperswil, Stéphane Altyzer

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Des doutes planent sur l'avenir de la Patrouille des glaciers

10.10.2012 16:38 mise à jour à 16:42
L'incertitude plane quant à l'avenir de la course militaire au-delà de 2014. [Olivier Mair - Keystone]

Le Conseil fédéral a adopté un rapport sur l’impact et la pérennité de la course de haute montagne. L’armée soutiendra encore la prochaine édition en 2014, mais la suite n'est pas garantie.
La Patrouille des glaciers pourrait ne plus avoir lieu après 2014. Le Conseil fédéral a adopté un rapport sur la célèbre manifestation sportive, qui lie le sort de la Patrouille à celui de l'armée. Pour le Conseil fédéral, il ne fait certes aucun doute que "cette compétition a des effets positifs sur le canton du Valais et sur l'image de l'armée". Seulement, les moyens manquent: "L'armée aimerait beaucoup maintenir cette manifestation, mais il convient de distinguer l'utile du souhaitable dans la période actuelle d'application de mesures d'économies".
Un coût qui atteint des sommets

L'armée devra faire donc faire un choix et décider à quel point elle tient à organiser la Patrouille de glaciers. Sa réalisation requiert en effet des ressources de plus en plus importantes en personnel et en moyens financiers. Pour l'édition 2012, le budget global de la manifestation était de 7,3 millions de francs, alors qu'il se chiffrait à 5,8 millions de francs deux ans plus tôt.
Vers un sponsoring privé?

Il faudra attendre "les décisions définitives concernant le développement de l'armée avant de pouvoir fixer le sort de la Patrouille des glaciers après 2014". Le rapport envisage plusieurs pistes pour maintenir la course, comme une hausse de la taxe d'inscription ou le recours au sponsoring privé. La Patrouille pourrait même devenir un événement purement commercial.

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Sport: la conquérante Espagne frappée par la crise

10.10.2012 13:53 mise à jour à 14:00
Championne sur le terrain, l'Espagne fait la grimace en dehors. [Kerim Okten - Keystone]

Le sport espagnol, porté au sommet par Rafael Nadal, la "Roja" championne du monde de football ou encore Fernando Alonso en F1, est rattrapé par la crise économique, la baisse des subventions publiques et le retrait de nombreux sponsors frappant professionnels comme amateurs. Comme un symbole, la Fédération de football a annoncé mardi qu'aucune chaîne espagnole n'avait acquis les droits du match de qualification pour le Mondial 2014 de la sélection au Belarus, vendredi, jugés trop élevés. On parle de 1,5 million d'euros.
La télévision publique espagnole (RTVE) va arrêter de diffuser en 2013 les matches à domicile de la Roja car elle ne peut plus continuer à payer 40 millions d'euros par an. En 2010-2011, les clubs de football de première division, eux, ont encore enregistré des dépenses (1,830 milliard d'euros) supérieures à leurs recettes (1,669 milliard) en raison notamment de masses salariales pléthoriques et d'une répartition inégalitaire des droits télé, selon l'économiste Gay de Liebana, auteur d'un rapport sur les comptes du football espagnol.
Et même si les autorités espagnoles ont mis en place en avril un protocole pour contenir la dette abyssale des clubs professionnels envers le fisc (752 millions d'euros), l'amélioration est lente. Cet été, Malaga s'est ainsi vu brutalement couper les vivres par son propriétaire-mécène, le cheikh qatari Abdullah Al-Thani. Et Valence, 3e du dernier championnat d'Espagne, continue à éponger 250 millions d'euros de dettes liées notamment à la construction de son nouveau stade, arrêtée depuis 2009 faute de paiements.
Subventions des régions coupées

Derrière la crise spécifique du foot, nombre d'autres sports ont dû réduire la voilure. Obligées de couper dans les budgets de la santé ou de l'éducation, régions et communes ont aussi taillé dans leurs subventions aux clubs jusque là très généreuses.
En première division de basket, le budget global des clubs a baissé de 42 millions d'euros en deux ans. En handball, deux clubs ont été relégués pour raisons économiques et le Cuatro Rayas Valladolid a dû renoncer à la Coupe d'Europe (EHF) cette saison.
"Valladolid est victime de la crise et de son succès sportif", explique Raul Torres, dirigeant du club. "En plus du handball, le foot, le basket, le hockey sur gazon et même le rugby sont en première division. Avec Barcelone, nous sommes les seuls dans ce cas mais nous n'avons que 300.000 habitants. Allez donc, dans ces conditions, demander de l'argent aux institutions publiques!"
Un club de basket vend sa place au promu

Les sponsors privés ont aussi largement raboté leurs budgets publicité. L'Ademar Leon, qui dispute la Ligue des Champions de handball, a perdu ses deux principaux sponsors et vu ses recettes diminuer de 30%.
Le basket, deuxième sport en Espagne après le football, n'échappe pas à la règle. Estudiantes et Valladolid, qui auraient dû être relégués, sont finalement restés en première division car les promus n'avaient pas les fonds pour monter. A l'inverse, Alicante, 8e du dernier championnat, a assuré sa survie en vendant sa place au promu Iberostar Canarias, qui a ainsi pu s'offrir la montée.
Si certains ont vécu au-dessus de leurs moyens, d'autres ont vu leurs budgets, pourtant étroitement ficelés, menacés par le désengagement brutal d'un partenaire financier.

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Tracy McGrady passe la muraille

10.10.2012 13:18 mise à jour à 13:54
McGrady est bien connu en Chine car il a joué pendant 6 ans aux côtés de Yao Ming à Houston. [Ng Han Guan - Keystone]

Devenu indésirable en NBA, Tracy McGrady évoluera cette saison en Chine aux Qingdao DoubleStar Eagles. L'arrière de 33 ans, meilleur marqueur du prestigieux championnat nord-américain en 2003 et 2004 sous le maillot d'Orlando, tentera ainsi de relancer une carrière touchant à sa fin.
"Il y a des moments dans la vie où une nouvelle voie se présente et il semble que ce temps est désormais venu pour moi à présent", a-t-il annoncé sur son site officiel. L'Américain de 33 ans est bien connu des fans chinois de basket car il a évolué durant six saisons aux Houston Rockets aux côtés du pivot Yao Ming, désormais retraité mais qui reste toujours une des plus grandes stars du sport de l'empire du Milieu.
Sept "All-Star Games" en 15 saisons

McGrady (2m03) a connu une carrière fructueuse en NBA avec notamment sept participations au All-Star Game. Mais après avoir quitté les Atlanta Hawks qu'il avait rejoint en agent libre en décembre dernier, il n'a su convaincre ni les San Antonio Spurs ni les New York Knicks, lors de plusieurs essais, de lui offrir un contrat. Il s'est donc résigné après 15 saisons en NBA à accepter la proposition de l'équipe de Qingdao, 8e l'an passé du championnat chinois dont la prochaine saison débute en novembre.
"T-Mac" marche dans les pas de plusieurs autres joueurs de la NBA partis relancer leur carrière en Chine. A l'instar de Stephon Marbury qui a mené les Beijing Ducks au titre de champion la saison passée, pour la première fois de leur histoire.

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"Le médecin de US Postal avait une politique de dopage agressive"

© afp.
Lors de sa première année à la tête de l'équipe US Postal, Johan Bruyneel a engagé le médecin espagnol Luis Garcia del Moral. Les deux hommes se connaissaient du temps où le Belge était coureur cycliste chez ONCE et le praticien était le médecin de la formation cycliste espagnole.
"Del Moral a été beaucoup plus agressif que le médecin Pedro Celaya dans la fourniture de dopage", a déclaré l'actuel directeur sportif de Garmin Jonathan Vaughters.

"En 1999, il est arrivé au début de saison lors du camp d'entraînement en Californie afin de parler de son programme avec chaque coureur. Il a présenté un tableau Excel dans lequel était indiqué quand on devait utiliser de l'hormone de croissance et quand il fallait commencer l'EPO", a témoigné Vaughters devant l'agence américaine antidopage (USADA). Armstrong a remporté son premier Tour de France en 1999.

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Dopage: Armstrong a payé son médecin plus d'un million de dollars

© afp.
Selon le rapport de l'agence américaine antidopage (USADA), l'Italien Michele Ferrari, impliqué et condamné dans des affaires de dopage, est une des figures centrales dans l'ascension de Lance Armstrong. Les deux hommes ont collaboré de manière intensive entre 1996 et 2006.
Lance Armstrong a payé pendant cette période plus de un million de dollars le médecin italien.

L'USADA a publié comme preuve les extraits de banque d'un compte en banque suisse appartenant à une société au docteur Ferrari.

Ces données réfutent les allégations d'Armstrong qui déclare avoir cesser ses relations en 2004.

Autre élément à charge des e-mails échangés entre Ferrari, son fils et Armstrong, des échanges qui ont duré après 2004.

L'ancien équipier d'Armstrong George Hincapie a aussi avoué mercredi l'usage de dopage sur son site internet. C'est Armstrong qui l'a présenté au dr. Ferrari. Hincapie et Ferrari ont travaillé ensemble entre 2000 et 2006.

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Ibrahimovic: "Je pourrais retourner à Milan"

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"Je pourrais imaginer retourner (au Milan AC) si je devais choisir aujourd'hui", a glissé mercredi Zlatan Ibrahimovic, en marge d'un rassemblement de l'équipe de Suède, une petite phrase qui fait déjà grand bruit en Italie.

"Je veux du bien au Milan. Je me suis plu et je me sentais chez moi là-bas. C'est l'un des clubs où je pourrais imaginer retourner si je devais choisir aujourd'hui", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Solna, dans la banlieue de Stockholm.

"Souvent tu ne retournes pas là où tu as été, mais Milan je peux l'imaginer. C'est un club fantastique", a-t-il poursuivi. "Je veux qu'ils réussissent et tout ce que j'espère c'est que cela aille mieux. Mais s'ils ont besoin d'aide, ils savent où je suis", a conclu Ibrahimovic.

Ibrahimovic, 31 ans, a été vendu au Paris SG en juillet peu après une autre pièce maîtresse de l'effectif milanais, le défenseur brésilien Thiago Silva.

Dimanche soir, "Ibra" est reparti visiblement déçu du Vélodrome où il a paru bien seul pour arracher un nul grâce à son doublé face à Marseille (2-2) lors du choc au sommet du Championnat de France.

Le capitaine suédois prépare un déplacement aux îles Féroé vendredi pour les qualifications du Mondial-2014.

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Kompany a 9 chances sur 10 de jouer

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Seul Vincent Kompany ne s'est pas entraîné avec les Diables Rouges mercredi à Neerpede au centre d'entraînement d'Anderlecht, mais le capitaine des Diables Rouges devrait suivre la séance de jeudi avec le groupe, a annoncé Marc Wilmots, le sélectionneur national.
La Belgique prépare ses deux prochaines rencontres de qualifications pour le Mondial 2014 en Serbie vendredi et face à l'Ecosse le 16 octobre au stade Roi Baudouin. Si Romelu Lukaku (cheville) et Marouan Fellaini (genou) ont déclaré forfait, Vincent Kompany (mollet) est incertain, mais l'optimisme était de mise dans le clan belge.

"Vincent Kompany pourra s'entraîner normalement avec le groupe jeudi", a expliqué Marc Wilmots. "Ces trois derniers jours, il a suivi un programme particulier comme prévu pour résorber son problème au mollet. Tout le monde sait que Vincent est très important pour cette équipe, tant en dehors que sur le terrain. Mais si un joueur devait encore être forfait pour la Serbie, je trouverai une solution au sein du groupe. Il y a 9 chances sur 10 qu'il soit prêt."

Les nouvelles étaient positives aussi pour Guillaume Gillet (contracture, mais suspendu vendredi) et Axel Witsel (adducteurs), qui s'étaient entraînés à part la veille. "Gillet s'est entraîné normalement (mercredi) et n'a plus mal. Il n'y a plus de problèmes non plus avec Witsel. J'ai d'ailleurs vu un très bon entraînement aujourd'hui. Après deux jours de repos, l'intensité était au rendez-vous."

"La Serbie joue à la maison et en ce qui me concerne, tient le rôle de favori. Nous examinerons ce soir leur système de jeu et leurs deux derniers matches", a encore ajouté Wilmots en réponse à son homologue serbe, Sinisa Mihajlovic, qui estime que ce sont les Diables Rouges favoris de cette rencontre.

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Guardiola à l'AC Milan, ça se précise

Parmi les autres candidats potentiels à prendre la relève sont cités les noms de Roberto Baggio et Paolo Maldini, mais la priorité de Berlusconi est de convaincre Guardiola de sortir de sa retraite.© photo news.
Un contrat de 4 ans, à raison de six millions d'euros par an, a été proposé au technicien espagnol Pepe Guardiola pour sortir l'AC Milan de la crise, rapporte La Repubblica mercredi. Le quotidien italien explique que le patron de l'AC Milan, adversaire du Sporting d'Anderlecht en Ligue des Champions, Silvio Berlusconi s'est déplacé à New York pour tenter de convaincre l'ex-mentor de Barcelone.
© ap.© photo news.
Guardiola est l'homme tout désigné pour sortir Milan de la crise, ajoute La Repubblica qui précise que Berlusconi s'est rendu à New York pour rencontrer Guardiola, là où l'Espagnol a décidé de passer son année sabbatique après son retrait du Barça.

L'AC Milan occupe pour l'heure la 11e place en Serie A avec 7 points en 7 rencontres et traverse l'une des crises les plus importantes de ses dernières années après la vente de ses meilleurs joueurs, Ibrahimovic, Thiago Silva ou Cassano, pour réduire sa masse salariale.

Baggio, Maldini...
Malgré les mauvais résultats, le vice-président Adriano Galliani avait assuré Massimiliano Allegri de son soutien à l'issue de la défaite de Milan dans le derby contre l'Inter (0-1).

Parmi les autres candidats potentiels à prendre la relève sont cités les noms de Roberto Baggio et Paolo Maldini, mais la priorité de Berlusconi est de convaincre Guardiola de sortir de sa retraite.

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Scepovic veut venger son frère contre les Diables

Marko Scepovic (à droite)Stefan Scepovic
Marko Scepovic a la rancune tenace. Cet attaquant de 21 ans du Partizan Belgrade a prévenu qu'il était plus que jamais avide de revanche envers la Belgique. Mais pourquoi donc? En fait, il n'a jamais accepté l'échec de son frère, Stefan, dans notre championnat. Acheté par le Club de Bruges en juillet 2010, celui-ci n'a jamais réussi à s'imposer chez les Blauw en Zwart, qui l'avaient prêté à Courtrai, avant de le vendre définitivement.

Selon Marko, son frère n'a jamais reçu sa chance en Belgique et il est bien décidé à n'offrir aucun cadeau aux hommes de Wilmots. Il mettra un point d'honneur à réparer l'affront qui a été infligé à sa famille.

"Mon frère n'a jamais reçu sa chance en Belgique. C'est pour cela que j'ai un message personnel pour les Diables: je veux venger mon frère. J'ai énormément parlé de ce match avec Stefan et il m'a donné beaucoup de tuyaux sur le football belge", explique-t-il.

En voilà déjà un dans les rangs serbes qu'il ne faudra pas motiver pour le match de vendredi...