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Notre conseil: oubliez les rennes!

Mission Noël J-4

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Avec le supercabrio SL 500, Mercedes renoue avec les fastes d’antan.
Par Philippe Clément. Mis à jour à 06h30 1 Commentaire

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La Mercedes SL 500 cabrio.
Image: Philippe Clément
PRIX DE BASE

156'100 francs
FICHE TECHNIQUE

MERCEDES SL 500

Cylindrée: V8 4663 cm3.
Puissance: 435 ch à 5250 tr/min.
Couple: 700 Nm de 1800 à 3500 tr/min.
Transmission: aux roues AR.
Boîte de vitesses: 7-G TRONIC PLUS.
Dimensions (Lxlxh): 4,61 x 1,88 x 1,32 m.
Empattement: 2,59 m.
Coffre: de 241 à 381 l.
Poids: 1785 kg.
Performances: 250 km/h (lim.) 0-100: 4’’6.
Consommation: 11,3 l/100 km.
Emissions de CO2: 214 g/km.
Etiquette énergie: G
BIEN VU

Sur le SL, la superbe boîte à sept rapports se manie sans aucun souci. Un petit levier permet de régler le mode. Les palettes au volant font le reste… (Image: Philippe Clément)
MAL VU

Evidemment, un V8 de 5 litres, c’est enthousiasmant. Alors soit, on peut rouler à moins de 10 l/100 km. Mais, quand on se laisse un peu emporter, eh bien, hum… (Image: Philippe Clément)
LE DÉTAIL: un châssis électronique magique

Imaginez une auto capable de ménager votre dos durant un voyage vers la Côte d’Azur «et» de battre le record du tour sur circuit. D’un simple tour de bouton, la SL passe de l’une à l’autre. Et peut même «monter» pour passer un trottoir. Magique! (Image: Philippe Clément)

Une quoi? Une liste pour le Père Noël? Hahaha! Mais vous n’y pensez pas! Comment voudriez-vous, parmi tous ces jolis joujoux, n’en choisir qu’un seul?
Réaction d’enfant gâté? On admet… Reste que, quand il s’agit de rêve et que la déraison est de mise, les occasions ne manquent pas de s’enthousiasmer. Durant les trois semaines à venir, on va donc s’en donner à cœur joie. Histoire de fêter dignement l’après-fin du monde, Noël et le Nouvel-An, voici la première de trois petites merveilles qu’on vous a gardées «pour la fin».
Et pour que le fun soit encore plus grand, en ces temps de grisailles et de frimas, soyons fous: on enlève le haut! Bienvenue à bord de la Mercedes SL 500 cabrio! Un bijou qui concentre tout ce que l’Etoile fait de mieux. Du design au moteur, de la sécurité aux assistants électroniques.
Dotée de – presque – toutes les options, notre auto de test était un parangon de technologie. Et s’il faut ne retenir qu’une chose, ce sera ce fabuleux châssis adaptatif qui permet, en un tournemain, de passer du cabriolet confortable à la voiture de course. Impressionnant! Littéralement scotché à la route, le SL rugit, bondit de toute la puissance de ses 435 chevaux. Oubliés, les rennes…
Et puis il y a tout le reste: le toit en dur, vitré, le «coussin d’air chaud» pour protéger la nuque, le tempomat adaptatif, le système stop & start, les essuie-glaces intelligents, la connectique dernier cri, le système audio digne d’une salle de concert, le…
Non, décidément, à part le prix…

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Essai

La Guzzi California ne donne plus que de bonnes vibrations

Par Jérome Ducret. Mis à jour le 21.12.2012

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Revue de fond en comble, la nouvelle California 1400 marque des points.

Essai mené sur la route reliant Cannes à Saint-Tropez. Sans pluie.
Image: DR
Infobox

Les Plus
- La ligne et le look.
- La stabilité, le freinage, l’équipement,
la relative maniabilité en
roulant, les vibrations contenues.

Les Moins
- Le poids et la taille lors
de manoeuvres.
- Les cale-pieds qui frottent
parfois en virage serré et rapide.

A l’essai
Moto Guzzi California Touring (Ambassador), avec
valises, pare-brise et feux de brouillard, 22 490 francs. Aussi dispo en version Custom plus «simple», pour 19 490 francs.

Performances
Puissance maximale de 96 CV (71 kW) à
6500 tr/min. Couple maximal de 12,3 kgm (120 Nm!) à 2750 tr/min.

Caractéristiques
Longueur: 2,445 m. Empattement: 1665 mm. Hauteur
de selle: 740 mm. Poids à sec: 337 kilos. Roue avant de 18 pouces, arrière de 16 pouces. Réservoir de 20,5 litres.

Elle tire son nom de la moto qui équipait les forces de police de Los Angeles dans les années 70. Mais la California 1400 est une Moto Guzzi résolument contemporaine. Par rapport au millésime 2012, le design a subi de nombreuses modifications. On reconnaît encore la California, mais le phare avant adopte un look original, les pots d’échappement également, et les roues gagnent en modernité.
Le moteur, lui, a crû en cylindrée, les vibrations sont bonnes et ne sont plus fastidieuses. La machine a reçu un ABS de série, un régulateur de vitesse, et le tout premier antipatinage de la roue arrière pour une bécane de cette catégorie.
A l’arrêt, il faut manoeuvrer avec soin les plus de 330 kilos (sans l’essence!) de la bête, qui mesure par ailleurs plus de 2,40m de long. Mais, en roulant, elle se révèle étonnamment agile et freine bien, tout en étant raisonnablement confortable.
Surtout, son moteur offre une accélération dantesque dès les premiers tours. Si on le désire, on peut d’ailleurs le calmer en optant pour le mode«pioggia»(pluie),où la réponse à la poignée des gaz est très adoucie. Ou au contraire l’exciter en choisissant le mode «veloce» (rapide)! Les valises, elles, sont magnifiques, mais ne comptez pas y glisser un casque. (24 heures)

[Cinquante]

Envoyé par Norton

Les valises, elles, sont magnifiques, mais ne comptez pas y glisser un casque.

Cette phrase, à elle seule montre l'état d'esprit de certains Motards du 21 ème siècle.

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De la piste à la route

Kawasaki ZX-6R

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Sportive hi-tech, la nouvelle Ninja 636 se transforme en bête de course à usage routier…
Par Claude Bovey, Monaco. Mis à jour le 22.12.2012

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La nouvelle ZX-6R propose une agilité exceptionnelle, permettant une approche très joueuse de la route…
Image: David Reygondeau/DR
Vidéo





Galerie Photos

La Kawasaki Ninja ZX-6R
La moyenne cylindrée sportive revisitée par la marque japonaise



PRIX DE BASE

14'990 francs
FICHE TECHNIQUE

MOTEUR 4 cylindres en ligne, 4 T à refroidissement liquide, DOHC, 16 soupapes.
Cylindrée: 636 cm3.
Puissance: 96,4 kW (131 ch) à 13 500 tr/min. Avec RAM Air: 101 kW (137 ch) à 13 500 tr/min.
Couple: 71 Nm à 10 500 tr/min.

CHÂSSIS Cadre périmétrique en aluminium embouti.
Transmission: chaîne, boîte de vitesses à 6 rapports.
Hauteur de selle: 830 mm.

POIDS 194 kg (tous pleins faits).

LIVRAISON Immédiate (uniquement en version ABS).

Récemment couronnée d’un titre mondial dans la catégorie des supersport 600 cm3 grâce aux faits d’armes hauts en couleur du pilote turc Kenan Sofuoglu, la Kawasaki ZX-6R change radicalement son orientation pour 2013. Une volte-face qui la dirige vers la route plutôt que sur la piste, tout en gonflant au passage sa cylindrée à 636 cm3. Que les fans de compétition se rassurent: pour des questions de règlements relatifs à divers championnats, la ZX-6R continuera d’être produite voire développée. L’honneur hypersportif de la marque est ainsi sauf!
Or donc la nouvelle ZX-6R cube plus gros, mais elle garde son nom de ZX-6R. On peut aussi l’appeler Ninja 636. Une appellation et une cylindrée qu’elle a déjà empruntées avec succès entre 2002 et 2006.
Cette toute nouvelle moto prend désormais l’option de régner mieux sur la route que sur la piste. D’abord grâce à un gavage de couple à mi-régime, qui l’a rendue civilisée et mieux exploitable sur des tracés tortueux. Mais, sous des airs apaisés, la ZX-6R garde une position et un tempérament des plus sportifs. Et, tout comme la MV Agusta F3, elle adopte en première mondiale un système d’antipatinage de série réglable sur trois niveaux. Pour la Ninja, un bonus supplémentaire propose une gestion de la puissance de 137 chevaux en deux modes. Un ABS non déconnectable et une fourche nouvelle génération utilisant un tube pour la compression et l’autre pour la détente et un système antidribbling encore plus performant. Au final: une moto de moyenne cylindrée sécurisée et radicale à la façon des grosses hypersportives. (Le Matin)
Créé: 22.12.2012, 09h10

http://www.lematin.ch/auto-moto/pist...story/10390587

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Chez Opel, c’est Adam qui est conçu pour tenter Eve

Nouveauté

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Un million de combinaisons possibles: les concepteurs de l’Opel Adam poussent la fantaisie à son paroxysme pour tenter les citadins (et les citadines).
Par Gil Egger, Lisbonne (Portugal). Mis à jour le 22.12.2012

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Très «fashion», la petite citadine d’Opel multiplie décors et couleurs pour convaincre les citadins branchés.
Image: Axel Wierdemann
Vidéo





FICHE TECHNIQUE

Opel Adam SLAM

Dimensions (L x l x H) 3,70 x 1,72 x 1,48 m
Empattement 2,31 m
Places 4
Coffre 170 l (663 dossiers arrière rabattus)
Poids 1120-1237 kg
Prix dès 19 950 fr.

Moteur
Cylindres 4
Cylindrée 1398 cm3
Chevaux (kW) 100 (74)
Boîte manuelle 5
Couple maxi 130 Nm

Aides à la conduite
ESP, avertisseur angle mort, régulateur-limiteur de vitesse, aide au démarrage en côte.

Performances
Vitesse max. 185 km/h
0-100 km/h 11’’5

Consommation
Mixte normalisée 5,1 l/100 km
Emissions de CO2 120 g/km
Etiquette énergie B
Autres versions ADAM 15'450 fr. (1,2 l 70 ch), JAM 18'950 fr. (1,4 l 87 ch)

Garantie
2 ans, kilométrage illimité

La connectivité avec les smartphones va jusqu’à inclure les photos et vidéos consultables… à l’arrêt. (Image: Axel Wierdemann)
Des éléments de décor, fixes ou amovibles, multiplient les possibilités de personnaliser ses jantes. (Image: Axel Wierdemann)
Le plafond imprimé, en option, peut aussi être orné de petites lampes LED qui lui donnent un air étoilé. (Image: Gerhard Graef)
Adeptes de la mobilité douce, prenez votre vélo avec vous et rejoignez le premier P+R, vous éviterez les vols! (Image: Axel Wierdemann)
Meilleur résultat du rapport DEKRA. Moins de défauts, meilleure qualité
fr.OPEL.ch



Pourquoi ce nom? Le fondateur de la marque Opel se prénommait Adam… rien à voir avec celui censé avoir donné naissance à l’humanité, donc. La petite voiture qui porte ce prénom assume une lourde responsabilité puisqu’elle doit damer le pion à des concurrentes arrivées bien avant elle et qui sont la DS3 de Citroën ou l’Audi A1 par exemple, il est vrai un poil plus grandes. Deuxième objectif: séduire Eve, cette clientèle féminine moderne qui aime assez décorer à son goût tout ce qu’elle utilise.
L’atout ville
Clairement, la cible se trouve en ville. D’abord par le format de l’Adam, courte, pas trop large et dont une option permet de se garer automatiquement, ôtant une épine du pied de tous ceux qui détestent cet exercice stressant. Elle rend inutile l’usage du frein à main en montée quand on redémarre, c’est aussi automatique. Ensuite par ce qui va être le pari: la possibilité de se composer «sa» voiture, avec des couleurs individuelles, des sièges à son goût, un ciel d’habitacle décoré, des jantes, des autocollants, etc. Le toit lui-même, voulu comme séparé du reste de la carrosserie, semble conçu comme un appel à marquer sa différence. Les vendeurs devront avoir un catalogue immense dans la tête pour titiller la curiosité de ceux qui vont franchir les portes des concessions, tant il est possible de combiner de choses ensemble: rien que pour le design extérieur, le nombre de possibilités atteint une trentaine de milliers.
Tout ce qui brille ne fait pas bouger une auto! Incontestablement, Lisbonne présente bien des caractéristiques propres à toutes les grandes villes, avec son lot de… bouchons comme de ruelles bien tortueuses. La petite taille de l’Adam y fait merveille, de même que la touche «City», qui allège la direction. Opel n’a rien inventé, soit dit en passant, les Fiat la connaissent depuis belle lurette. Pratique quand on a besoin de serpenter d’un virage à l’autre. Et tiens, l’hiver à nos portes rend agréable le volant chauffant, pour tous ceux qui détestent les frimas qui glacent les doigts. Hors de la ville, le châssis bien connu se révèle rigoureux et plutôt confortable. Reste que parmi le vaste choix des versions, la plus sportive avec les plus grandes jantes risque de bousculer un peu sèchement le dos des occupants.
Le moteur de 1,4 l réagit bien, la boîte à cinq rapports suffit pour un usage forcément concentré en ville, une sixième vitesse se justifierait en cas de trajets plus longs, sans que son absence soit dissuasive. L’insonorisation est correcte, correspondant à toutes les voitures du genre.
Roulez connectés!
L’une des exigences des citadins branchés à convaincre se situe dans la connectivité. Les principaux smartphones fonctionnant sous iOS d’Apple ou Android de Google peuvent avoir un niveau d’intégration très élevé. A l’arrêt, il est possible de faire défiler ses photos, de visionner les vidéos téléchargées personnellement ou les podcasts choisis. Les utilisateurs d’iPhone seront heureux d’utiliser Siri, la reconnaissance vocale actuellement la plus performante. Opel développe un navigateur spécial appelé BringGo, liant harmonieusement téléphone et affichage… mais qui n’était pas encore au point sur le plan vocal au moment où nous l’avons testé, la voix synthétique se faisant étrangement bégayante. (Le Matin)
Créé: 22.12.2012, 23h01

http://www.lematin.ch/auto-moto/opel...story/15884315

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automobile

Toyota contraint de verser 1,1 milliard de dollars

Mis à jour le 26.12.2012 1 Commentaire

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Le constructeur Toyota va payer 1,1 milliard de dollars à des propriétaires américains dont les véhicules ont perdu de la valeur à la suite de rappels massifs entre 2009 et 2010 pour des problèmes de freins.

Toyota avait mené entre fin 2009 et 2010 des rappels de sureté sur plus de 12 millions de véhicules dans le monde à la suite de problèmes de freins.
Image: Keystone
«Toyota (90.36-0.90%)Motor Amérique du Nord a annoncé un accord pour résoudre les poursuites liées à des pertes économiques aux Etats-Unis liés à la suite de rappels», explique le constructeur japonais dans un communiqué.
Il avertit qu’il va passer une charge de 1,1 milliard de dollars avant impôt pour être en mesure de financer cet accord amiable, portant sur des plaintes déposées en Californie.
Toyota n’admet ni ne nie aucune malversation ou erreur de sa part. Le constructeur affirme que la décision de passer cet accord amiable «a été difficile, surtout au vu des preuves scientifiques fiables et des évaluations indépendantes multiples qui ont confirmé que le système de contrôle électronique de Toyota était sûr», a commenté Christopher Reynolds, directeur juridique de la filiale américaine du groupe.
«Toutefois, nous avons conclu que tourner la page sur ce problème juridique prolongé (...) était dans le meilleur intérêt de notre entreprise, de nos employés, nos concessionnaires et nos clients». Cela va permettre à Toyota de «dédier plus d’énergie, de temps et de ressources à (sa) mission principale: fabriquer les meilleurs véhicules possibles».
Si cet accord est approuvé par le tribunal californien où ont été consolidées toutes les plaintes concernées, «Toyota va lancer un programme» pour «rajouter des garanties de couvertures sur certains composants». Et il installera gratuitement un système de freinage d’urgence sur certains véhicules concernés par les rappels de sureté de 2009 et 2010.
Toyota avait mené entre fin 2009 et 2010 des rappels de sureté sur plus de 12 millions de véhicules dans le monde à la suite de problèmes de freins qui sont accusés d’avoir été à l’origine de dizaines d’accidents aux Etats-Unis, dont de nombreux mortels. Il avait vu sa réputation de qualité irréprochable en pâtir et ses ventes avaient chuté. (ats/Newsnet)
Créé: 26.12.2012, 23h47

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Le patron de Tata, père de la Nano, passe la main

Inde

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L'Indien Ratan Tata, qui a lancé la voiture la moins chère du monde, quitte la tête de son entreprise, 20 ans après avoir réveillé ce colosse industriel.
Mis à jour il y a 14 minutes

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Ratan Tata, pose ici en mars 2009, aux côtés de la petite Nano.
Image: Keystone
Ratan Tata passe la main vendredi, jour de son 75e anniversaire, vingt ans après fait du groupe éponyme, alors considéré comme un "dinosaure endormi", un colosse industriel capable de s’offrir des proies aussi imposantes que le constructeur Jaguar ou le sidérurgiste Corus.
"Père" de la Nano, présentée comme la voiture la moins chère du monde, Ratan Tata sera remplacé par Cyrus P. Mistry, 44 ans, à la tête du premier conglomérat indien au chiffre d’affaires combiné de 100 milliards de dollars (75,5 milliards d’euros) sur l’exercice 2011/2012.
"Le groupe Tata a été le fer de lance de l’intégration indienne dans l’économie mondiale", titrait vendredi le quotidien The Hindustan Times.
Une dynastie vieille de 140 ans
Ratan Tata, descendant d’une dynastie industrielle vieille de 140 ans, a pris la tête de l’empire familial en 1991 à l’époque où l’Inde libéralisait son économie en suivant, peu ou prou, le modèle soviétique. Il réveille alors ce que les analystes appellent un "dinosaure endormi".
Formé dans les universités américaines de Cornell et Harvard, Ratan Tata a été un précurseur dans la conformation de ses entreprises aux pratiques internationales, a souligné le Hindustan Times. "Ce qu’il a fait sert aujourd’hui de tremplin pour toute une nouvelle génération de dirigeants d’entreprises indiens à l’international", selon le journal.
Le groupe a de fait bâti sa renommée en étant l’une des premières entreprises indiennes à acheter à l’étranger. Son premier coup d’éclat remonte à 2000 lorqu’il enlève le fabricant de thé britannique Tetley Tea. A l’époque, la presse indienne y voit la "contre-attaque de l’Empire britannique des Indes" sur le Royaume-Uni, l’ex-puissance coloniale.
Tata dépense des dizaines de milliards de dollars pour rafler des sociétés aux quatre coins de la planète, du fabricant de café américain Eight O’clock Coffee à l’aciériste anglo-néerlandais Corus en 2007 pour 13,7 milliards de dollars, puis en 2008, les marques haut de gamme Jaguar et Land Rover rachetées au constructeur automobile américain Ford.
Centaine de filiales
Du thé à la construction de camions en passant par la chimie, les télécoms, l’informatique et les services financiers, Tata compte aujourd’hui une centaine de filiales et réalise près de 60% de son chiffre d’affaires à l’étranger, principalement aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.
Aucun événement officiel n’est prévu pour la passation de pouvoirs. Ratan Tata, discret et fuyant les mondanités, est célibataire et sans enfants.

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Porsche se diversifie et lance une «baby» Panamera

Nouveautés

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Porsche veut élargir sa gamme. Vers le bas avec de petits modèles et une «baby Panamera» qui ira chasser sur les terres d'Audi, BMW et Mercedes. Et vers le haut, où le constructeur allemand entend rivaliser avec Ferrari.
Par Marc-Henri Jobin. Mis à jour le 27.12.2012 1 Commentaire


1/6L'une des photos les plus récentes de la Pajun publiée par la presse allemande. La forme et le gabarit de cette future quatre places se situent à mi-chemin entre la sportive 911 et la limousine Panamera.
AutoBild.de





Le futur Macan en test


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Porsche (58.070.87%)vise à la fois plus bas et plus haut. Pour se diversifier et augmenter ses volumes de production. Mais la marque de Zuffenhausen ne proposera pas pour autant de modèles en dessous de 50'000 euros (60'000 francs), indique le président de sa direction, Matthias Müller, dans une interview au magazine allemand Focus.
Même avec des voitures plus petites, Porsche ne descendra pas sous cette limite de prix, par crainte d'écorner son image «premium». Le constructeur allemand compte lancer aussi une nouvelle limousine avec «une version junior de la Panamera», précise son patron.
Selon des sources internes citées par la presse spécialisée, le constructeur de Zuffenhausen vient de donner son feu vert à la production de la «baby Panamera». Le prototype «Pajun», dont des images circulent depuis quelques mois sur Internet, préfigure cette future concurrente des Audi A6, BMW Série 5 et Mercedes CLS.
Une 960 pour rivaliser avec Ferrari
En plus de se diversifier vers le bas, Porsche songe aussi à se développer dans le très haut de gamme, avec une série venant surplomber les modèles les plus chers de la 911. Matthias Müller tient la production d'un tel modèle pour «hautement probable».
Une «Porsche 960 complèterait bien la gamme» actuelle, explique-t-il. «Une telle voiture viendrait rivaliser avec Ferrari». D'autres modèles sont à l'étude, notamment «une relance de la 964 Targa», sortie il y a vingt ans.
La gamme Porsche est actuellement constituée des modèles 911, Boxter/Cayman, Cayennes et Panamera. Elle va tantôt s'élargir au «Macan», un SUV dérivé du Cayenne, qui s'inscrit dans la volonté de la marque de produire des véhicules de plus petite taille.
Cette diversification doit non seulement permettre de proposer des modèles plus économiques mais aussi d'augmenter les volumes de production. Le constructeur allemand de voitures de sport s'est fixé pour objectif de produire 200'000 véhicules par année d'ici à 2018.
Porsche a récemment indiqué avoir vendu 128'978 voitures dans les 11 premiers mois de 2012. Un chiffre supérieur de 8,5% aux ventes réalisées sur l'ensemble de l'année 2011.

http://www.lematin.ch/auto-moto/pors...story/30558153

[Norton]

René Metge teste la Porsche Carrera 911 S

Quand René Metge, trois fois victorieux du Paris-Dakar dans les années 80, pilote la Porsche Carrera 911 S et nous parle bruit du moteur, on adhère.


http://www.sportetstyle.fr/videos/re...-carrera-911-s

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La Triumph Daytona 675R impose sa dictature

Nouveauté 2013

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La nouvelle perle de Hinckley débarque et touche juste et droit au cœur.
Par Claude Bovey Circuit de Cartagena (Esp) . Mis à jour le 30.12.2012

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Bien sûr, les motos sportives ne sont pas devenues impopulaires au point de ne plus faire recette que pour une niche d’irréductibles écervelés. Mais il n’empêche que les ventes de cette catégorie diminuent au fil des ans. Et, quand bien même ces bêtes de course accessibles à tout un chacun n’ont plus la cote d’antan, elles n’en restent pas moins un élément de haute importance, idéal pour booster le prestige et la promotion d’une marque.
Triumph, qui ne cesse de produire et d’innover, vient justement de présenter sa nouvelle moyenne cylindrée sur le circuit espagnol de Carthagène. Une moto qui, dès son apparition sur le marché en 2006 (avec un sérieux upgrade en 2009!), a toujours eu la faculté de «coller la banane» aux testeurs du monde entier. L’essai de cette version 2013 ne déroge pas à cette règle. Il suffisait d’écouter les commentaires dans les boxes, spontanément plus dithyrambiques que par le passé…
Un look revisité
C’est que la Daytona 2013 n’est cette fois pas un simple upgrade, mais bien une nouvelle moto. Côté look d’abord! A voir les images, volées ou non, diffusées via le Net, il paraissait que cette mouture ne changeait que très peu et demeurait «sage». En «live», la face avant redessinée et abaissée montre une forte agressivité. L’attention particulière portée à la finition et aux détails lui donne une allure très chic. Air renforcé par la partie arrière du cadre peinte en rouge: la touche qui tue et qui tranche avec le blanc et noir carbone de l’ensemble.
Lancée sur la piste, la Daytona 2013 montre immédiatement qu’elle a gagné en agilité grâce à un raccourcissement de son empattement et à une recentralisation des masses. Le fruit d’un changement radical de la position du système d’échappement, placé non plus sous la selle, mais en bas sur la droite de la moto. Les changements d’angle sont dès lors instinctifs, plus rapides et demandent moins d’efforts. Le train avant, lui, inspire une telle confiance qu’il permet des freinages sur l’angle sans que la moto n’esquisse l’ombre d’un relèvement. Une portion de ligne droite libère la possibilité d’actionner le nouveau Quickshifter (passage des vitesses sans débrayage), qui se montre hyperprécis. Le moment du gros freinage arrive et, là, le nouvel ABS enclenché en «mode circuit» retardera au maximum l’instant de sa mise en action. Ce système est si efficace que seulement de l’huile ou du gravier pourrait le forcer à entrer en action. Dans les portions plus sinueuses du tracé, la Daytona montre que, lorsqu’il s’agit de s’extraire des courbes, le souffle de son trois-cylindres, disposant maintenant d’un regain de couple à mi-régime, propulse avec vigueur. Même sur un rapport de boîte inadapté à la courbe. Et l’allonge superbe du moteur n’en finit plus de grimper, toujours soutenue par un son des plus envoûtant.
La Daytona 675R permet des changements d’angle instinctifs, plus rapides et demandant moins d’efforts. (Le Matin)

http://www.lematin.ch/auto-moto/triu...story/31006484