Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Quel tirage pour le Barça et le Real en C1?

Les 8 vainqueurs de phase de poules de la Ligue des Champions seront tête de série pour le tirage au sort des 8es de finale, jeudi (11h30) à Nyon, Suisse.
Ils seront opposés au second des groupes avec le match retour chez eux. Le vainqueur de son groupe dans la phase de poule ne pourra pas se retrouver avec le second de sa poule ni avec un club de son pays.

Les 8es de finale auront lieu les 12/13 et 19/20 février pour les matches aller et 5/6 et 12/13 mars pour les matches retour.

Les têtes de série: PSG, Schalke 04, Malaga, Borussia Dortmund, Juventus, Bayern Munich, Barcelone, Manchester United

Le second chapeau: Porto, Arsenal, AC Milan, Real Madrid, Shakhtar Donetsk, Valence, Celtic Glasgow, Galatasaray.

[Norton]

Le vilain geste de Ribéry


19/12/12 - 08h37vidéo
Hier soir, le Bayern Munich (avec Daniel Van Buyten dans ses rangs durant 90 minutes) a arraché sa qualification pour les quarts de finale de la Coupe d'Allemagne aux dépens d'Augsbourg (0-2).

L'équipe bavaroise a en revanche été réduite à dix après l'exclusion de Franck Ribéry pour une gifle dans le visage du Sud-Coréen Koo Ja-Cheol. Provoqué par ce dernier, l'international français n'a pu garder son sang-froid et a répondu à son vis-à-vis. Cette expulsion n'a pas porté à conséquence, heureusement. Les buts pour le leader de la Bundesliga ont été inscrits par Gomez et Shaqiri.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1759/Bund...e-Ribery.dhtml

[Norton]

André Greipel: "Je veux au moins dix victoires"

© photo news.
André Greipel entamera sa troisième saison chez Lotto-Belisol. La formation cycliste belge compte surtout sur son sprinter allemand pour décrocher des victoires. "Je vise au moins dix victoires, mais j'espère surtout rester en forme, et le reste suivra", a dit Greipel mercredi à Hasselt, lors de la présentation de Lotto-Belisol.
En début d'année, "Le gorille" tentera de s'adjuger Kuurne-Bruxelles-Kuurne et Gand-Wevelgem. Son grand objectifs est cependant de remporter plusieurs étapes sur le Tour.

"S'il y a un sprint, on doit être là. Il ne faut pas regarder les autres, comme par exemple Cavendish. Notre train est assez fort", a dit l'Allemand.

Jurgen Roelandts est un des pions importants de ce train. "Très important", selon Greipel. "Il a prouvé qu'il peut aussi gagner, mais il fait volontiers son travail dans le train. Je suis content qu'il se sacrifie pour moi".

Lotto-Belisol a dû attendre avant d'avoir sa licence WorldTour, ce dont s'est servi Gianni Meersman pour s'en aller. "Je n'ai personnellement jamais pensé à partir", a dit Greipel. "Je sais ce que j'ai avec cette équipe".

L'affaire Armstrong a également secoué le monde du vélo en cette fin d'année. Lotto-Belisol a rejoint le MPCC (Mouvement pour un cyclisme propre. Une bonne affaire, d'après Greipel. "Cela montre que la direction d'équipe fait confiance aux coureurs. C'est une période difficile pour le cyclisme. Je sais que j'ai gagné plus de cent courses et étant clean et cela me suffit".

[Norton]

Un boxeur sportif de l'année en Argentine, pas Messi

Le boxeur Sergio Martinez, champion des poids moyens WBC, a remporté mardi soir, à la surprise générale, le prix du meilleur sportif de l'année en Argentine, aux dépens du favori, l'attaquant du FC Barcelone Lionel Messi, qui a battu le record de buts sur un an (90).
© reuters.© reuters.© reuters.
"Maravilla" ("La Merveille") Martinez, 37 ans, qui a été élu par l'Association des journalistes sportifs, avait battu en septembre, à Las Vegas, le Mexicain Julio Cesar Chavez, pour décocher la ceinture WBC.

"Je suis très heureux, très ému. C'est un honneur de remporter ce prix face à des athlètes tels que Sebastian Crismanich (taekwondo, seul médaille d'or de l'Argentine aux JO de Londres) et "Leo" Messi. On ne s'attend pas à cela", a expliqué Martinez, lors de la cérémonie de remise du trophée.

De son côté, Messi a remporté le prix du meilleur footballeur, devant Sergio Agüero (Manchester City) et Gonzalo Higuain (Real Madrid).

[Norton]

Foot - Ligue 1 : Nene veut être «libéré» de son contrat

Le torchon brûle toujours plus entre le Paris-SG et Nene. L'attaquant brésilien espère être «libéré» de son contrat afin de «suivre une nouvelle voie».
Nene veut trouver un accord avec le Paris-SG pour être libéré de ses six derniers mois de contrat. (L'Equipe)





Nene a indiqué mercredi sur son site internet officiel qu'il voulait quitter le Paris-SG. «J'aime la ville, le PSG et ses fans, qui m'ont toujours traité avec beaucoup de respect. Personnellement et à travers les réseaux sociaux, j'ai reçu de nombreux messages de fans me demandant de rester, affirme l'attaquant brésilien. C'est une décision difficile à prendre, mais je pense qu'il est temps de suivre une nouvelle voie dans ma carrière. (...) Je crois que nous allons parvenir à un accord et que je vais pouvoir être libéré de mon contrat.» 'gé de 31 ans, l'ancien joueur de Monaco n'a plus que six mois de contrat. Il serait sur les tablettes de l'AC Milan, de Galatasaray et de plusieurs clubs brésiliens. Nene avait été écarté du groupe contre Evian et à Valenciennes (victoires parisiennes 4-0) en raison de son attitude sur le banc de touche contre Porto (2-1), le 4 décembre au Parc des Princes en Ligue des champions. Pour la réception de l'OL, le PSG avait avancé qu'il était «blessé». Le joueur, qui n'aurait pas du tout apprécié cela, avait ensuite posté une photo sur son compte instagram avec des patins à glace sur une patinoire du centre de la capitale

[Norton]

Rugby - LNR : Les chantiers de Goze

Elu à la tête de la LNR le 16 novembre dernier, Paul Goze évoque dans un entretien à l'AFP ses «nombreux chantiers». Il revient notamment sur la renégociation de la convention avec la FFR, les droits TV, et l'idée d'un retour au Top 16.
Paul Goze a de nombreux chantiers devant lui. (L'Equipe)





La convention FFR-LNR et la licence à points

«La licence à points, je n'y suis pas opposé a priori. Maintenant, quel intérêt cela peut-il avoir ? Je ne pense pas qu'il y ait d'excès. Les clubs sont assez responsables, les internationaux sont protégés avant ou au retour des matches internationaux. Je n'en vois pas l'utilité mais je ne suis pas contre. Il y a toujours des améliorations à apporter mais on ne va pas révolutionner la base (de la convention). Pour changer la relation FFR-LNR, il faudrait faire évoluer le calendrier international, mais ce sera à plus long terme».

Les droits TV

«Quand on négocie un contrat, on a toujours l'impression qu'on pouvait faire mieux, mais vu le contexte de la négociation, je suis persuadé que Pierre-Yves Revol a tiré le maximum (environ 32 millions d'euros par saison, ndlr). La valeur d'un contrat vient de l'offre et de la demande: si vous offrez un produit et qu'il n'y a qu'un seul candidat... Il manquait de concurrence à ce moment-là. On verra dans le futur ce qui peut se faire, on essaiera qu'il y ait plusieurs candidats. Il y a une possibilité de sortir du contrat deux ans avant son terme (en 2014, ndlr). On n'exclut rien selon le contexte, les événements peuvent arriver mais à ce jour, ce n'est pas d'actualité».

Retour au Top 16 ?




«Avant de pouvoir envisager cette modification, il faut régler le problème du calendrier pour dégager des dates. C'est quelque chose de très bien pour le rugby français mais, à ce jour, les conditions ne sont pas réunies. Ça ne peut être qu'un objectif à moyen terme après la réussite d'une négociation du calendrier international».

[Norton]

Rugby - Top 14 - ST : Jauzion évoque un départ

Peu utilisé cette saison, Yannick Jauzion a reconnu mercredi que «(s)on avenir est compromis» à Toulouse. A 34 ans, le trois-quarts centre pourrait aller voir ailleurs s'il était amené à poursuivre sa carrière.
Yannick Jauzion ne veut pas rester à Toulouse une saison de plus. (EQ)













Et si Yannick Jauzion finissait sa carrière ailleurs qu'à Toulouse ? En fin de contrat à la fin de la saison et très peu utilisé ces derniers temps, le trois-quarts centre âgé de 34 ans a évoqué son avenir ce mercredi, sans cacher ses envies de continuer à jouer, mais ailleurs qu'au Stade Toulousain. «Ici c'est sûr que mon avenir est compromis, je ne demanderai pas à René (Bouscatel, président) ou à Guy (Novès, manager général) de refaire une saison, a-t-il expliqué. J'ai de bonnes sensations sur le terrain mais je n'ai pas beaucoup d'années devant moi.»

«Je ne m'attendais pas à une telle situation, je ne l'accepte pas mais je vis avec.»L'international aux 73 sélections n'a disputé que huit matches cette saison dont quatre comme titulaire (Top 14 et Coupe d'Europe confondus). «Je ne m'attendais pas à une telle situation, je ne l'accepte pas mais je vis avec. C'est un changement radical par rapport aux autres saisons où j'ai joué beaucoup de matches.» Il est aujourd'hui concurrencé par Florian Fritz, Gaël Fickou et Yann David. «Il n'y a pas de souci par rapport à eux parce qu'ils font tous de bonnes performances, c'est normal qu'ils soient reconduits, a-t-il poursuivi J'ai le droit d'être déçu mais pas trop non plus.» Il n'évoquera en tout cas une éventuelle future destination qu'au dernier moment. Reste à voir où il pourrait atterrir, lui qui a tout gagné à Toulouse, trois Coupes d'Europe (2003, 2005, 2010) et trois titres de champion de France (2008, 2011, 2012). (Avec AFP)

[Norton]

Rugby - Top 14 : Wilkinson, décision en février

Jonny Wilkinson rêve du Bouclier de Brennus, de la Coupe d'Europe... et ne sait pas quelle suite donner à sa carrière. (L'Equipe)





A 33 ans, l’Anglais Jonny Wilkinson (91 sélections) n’a toujours pas tranché sur la tournure qu’il donnerait à sa carrière. Dans un entretien, rare, donné à L’Equipe, il explique qu’il se décidera en février entre continuer ou arrêter sa carrière. «Je suis capable de continuer, mais c’est un équilibre fragile, dit-il. (...) J’ai toujours envie. Mais comme lorsque j’étais à Newcastle, la question n’est pas de savoir ce que je veux faire mais est-ce que c’est bon pour mon équipe.» Le champion du monde 2003 parle, aussi de son obsession du geste bien fait. «Je prépare chaque entraînement dès la fin de la journée précédente. (...) Je dois me vider la tête pour avoir l’énergie d’attaquer le lendemain. Aller manger au resto le soir en semaine, c’est une distraction. Moi, je ne peux pas faire ça.» Enfin, Wilko rêve du Bouclier de Brennus avec Toulon ? «Ce serait la meilleure façon de les récompenser.» Et même d’un doublé en Coupe d’Europe. «Vous m’avez demandé si on peut faire le doublé ? Je vous dis oui.»

[Norton]

Tous sports : Estanguet : «Six mois, c'est long»

Aux Etoiles du Sport, Tony Estanguet trimballe sa casquette de jeune retraité aux trois titres olympiques. Il attend toujours de pouvoir remettre celle de membre de la Commission des athlètes du CIO, la décision devant être révélée fin mars. «Tout est possible», s'inquiète-t-il.
Tony Estanguet toujours en attente d'être élu au CIO (L'Equipe)





«Tony Estanguet, vous n'avez été élu que quelques heures à la Commission des athlètes du CIO avant qu'un appel ne suspende votre élection. Y croyez-vous toujours ?
Je le sentais bien au début mais je sais maintenant que tout est possible. Si ça traine, c'est sûrement parce que des éléments circulent. C'est incroyable de voir que c'est parti dans tous les sens. Ca a un peu "gâché" la fête (des JO) parce que sinon c'était grand chelem.

Maîtrisez-vous ce qui se passe ?
Non. J'ai fait la démarche de me rapprocher du CIO pour comprendre. On m'a expliqué la procédure du TAS mais on n'est pas directement impliqués dans le dossier. La procédure accélérée a été refusée par les deux parties, les pays qui font appel et le CIO, car c'est un sujet qui doit être traité dans les règles de l'art. Mais entre une décision prise dans les 21 jours et une autre qui prend plus de six mois... c'est un peu long.

Vous sentez-vous soutenu ?
On a essayé de faire ce qu'on pouvait mais le CIO et le TAS nous ont rapidement renvoyé dans nos buts en nous expliquant qu'on n'avait rien à faire.

Êtes-vous toujours motivé ?
C'est un projet qui me tient à coeur car je me suis demandé sur la fin de ma carrière comment donner du sens à tout ça. Il y a beaucoup de gens qui m'ont aidé, des bénévoles parfois, des professionnels souvent. Beaucoup d'argent a été dépensé autour de ma réussite, je n'ai pas le droit de tourner la page et me barrer dans un autre milieu. Je me dois de partager ma connaissance des sports olympiques.


«Au CIO, je ne serai pas celui qui vient d'un pays et d'un sport. Je serai celui qui a vécu quatre olympiades avec des réussites et des échecs.»Si vous êtes élu, comment devenir autre chose que celui qui promeut sa discipline ?
Ce n'est pas antinomique. Ce n'est pas parce qu'on s'intéresse à autre chose qu'on en oublie son sport. Je vais rester proche de ma fédération et de ses athlètes. Ils sont à Pau, je suis à Pau. Je n'ai pas de mission formelle mais je ne serai pas loin. Pareil pour la Fédération internationale, où j'ai joué un rôle de conseiller du président. Elle souhaite que j'ai un rôle plus officiel. Mais au CIO, je ne serai pas celui qui vient d'un pays et d'un sport. Je serai celui qui a vécu quatre olympiades avec des réussites et des échecs en devant concilier ses études et la recherche de partenaires, comme la grande majorité des athlètes qui disputent des JO. Le but sera d'être influent petit à petit.

Qui peut vous servir de mentor ?
Cela fait quelques années que j'essaie d'identifer des gens qui peuvent m'aider et que je pense pouvoir activer. Jean-Claude Killy et Guy Drut m'ont donné un coup de main sur la candidature, ont toujours été disponibles et ont beaucoup à m'apprendre. Bernard Lapasset, dirigeant d'une grosse fédération (de rugby) qui a réussi à faire entrer son sport aux JO, sera aussi d'une grande aide. Edgar Grospiron, dont je suis assez proche, me donne des conseils...»

[Norton]

Voile - Vendée Globe : Gabart repasse devant

François Gabart a repris le commandement du Vendée Globe mercredi matin entre la Tasmanie et la Nouvelle-Zélande après avoir dépassé Armel Le Cléac'h pendant la nuit.


Le mano a mano continue en tête du Vendée Globe entre François Gabart et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire). Alors que ce dernier avait repris les rênes du classement dans la nuit de lundi à mardi, il s'est à nouveau fait dépasser par son concurrent 24 heures plus tard. Alors que l'écart entre les deux bateaux n'était que de 2 milles lors du pointage de mardi soir, c'est Gabart (Macif) qui est repassé devant dans la nuit, pour compter cinq milles d'avance au pointage de 5h00. Autant dire que les skippers se livrent à une rude bataille et que les positions peuvent changer à tout moment. Les deux bâteaux marchent cap à l'est dans des vents de nord d'une quinzaine de noeuds et sont désormais à mi-parcours.

Derrière les deux leaders, Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) est toujours en troisième position et pointe à plus de 450 milles, devant le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss) et le Suisse Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), tous deux à plus de 800 milles.