Toutes New sportives autres que la moto

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Une tempête contraint Stamm à repartir

24.12.2012 13:59 mise à jour à 16:16
Bernard Stamm doit mettre le cap vers le sud de la Nouvelle-Zélande. [Laurent Gillieron - Keystone]


En mouillage au nord de l'île d'Auckland, en Nouvelle-Zélande, depuis dimanche, Bernard Stamm a été contraint de reprendre la mer lundi dans le Vendée Globe pour se trouver un autre abri.
Les réparations que doit effectuer le Vaudois sur les hydrogénérateurs fournissant l'électricité de son bateau sont plus longues que prévues, explique Cheminées Poujoulat dans un communiqué. La situation était donc loin d'être simple pour le skipper, gêné qui plus est par la pluie incessante qui ralentissait notamment considérablement la prise de la stratification. A cette humidité permanente est venue s'ajouter une tempête annoncée pour le 24 décembre au soir.
"Quand elle touchera l'archipel, le bateau ne sera plus en sécurité et risquera d'être drossé à la côte", souligne le communiqué diffusé sur le site du Vendée Globe. Bernard Stamm a donc décidé d'appareiller en direction du sud de la Nouvelle-Zélande afin de trouver un abri sûr et de pouvoir poursuivre les réparations. L'opportunité de récupérer du carburant auprès d'un bateau russe venu mouiller dans la même baie a été écartée par le Vaudois, fermement décidé à poursuivre la course.
Wavre toujours 8e

Deuxième Suisse en lice, Dominique Wavre (Mirabaud) figure pour sa part en 8e position. "Je n'ai pas encore eu le temps de songer à Noël: j'ai d'autres priorités. Le vent s'est levé relativement brutalement cette nuit (réd: pendant la nuit de dimanche à lundi), et j'ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres", a expliqué le Genevois dans un communiqué diffusé sur son site internet.
"Le voilier est prêt pour le coup de vent; la dépression va passer juste devant moi, mais je vais en subir les effets et je suis bien content car j'avais peur de rester encalminé juste derrière et de voir Mike (Golding, qui pointait au 7e rang) filer avec...", a souligné Wavre. "Lorsque la situation se sera stabilisée, je vais prendre un petit moment pour moi. J'ai un petit sapin de Noël et un grand sac sur lequel il est marqué "Noël". J'ouvrirai ce sac lorsque les conditions le permettront: au bout du compte, c'est le bateau qui décide."

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La NHL et ses stars s'invitent à Davos

24.12.2012 11:04 mise à jour à 12:19
Ryan Smyth, ou "Captain Canada" (à gauche), s'amène à Davos. On le voit ici lors des célébrations après la finale du Mondial 2004 gagnée face à la Suède à Prague. [Chuck Stoody - Keystone]


Vainqueur l'an dernier de sa 15e Coupe Spengler, le HC Davos espère bien réaliser le doublé. Mais la tâche des Grisons à l'occasion de cette 86e édition s'annonce périlleuse avec un Team Canada en mode NHL.
L'an dernier, le HC Davos écartait le Dinamo Riga en finale (3-2) et mettait fin à un règne de trois ans de la KHL (Dinamo Moscou en 2008, Dinamo Minsk en 2009 et SKA St-Pétersbourg en 2010). Mais cette année, le principal contradicteur des Davosiens ne vient pas de Russie, mais du Canada.
Sam Gagner viendra épauler son coéquiper des Edmonton Oilers Ryan Smith. [Terry Lee - EQ]Point de Sidney Crosby mais une pléiade de talents avec Tyler Seguin, Matt Duchene, Patrice Bergeron, John Tavares, Jason Spezza, Ryan Smyth et Sam Gagner. En ajoutant les défenseurs Carlo Colaiacovo, Cam Barker et Jason Demers, ainsi que les gardiens Devan Dubnyk et Jonathan Bernier, on obtient un assemblage qui comptabilise 4193 parties de NHL, 1100 buts marqués et 2860 points. A noter que Bergeron risque de disputer ses derniers matches sur sol suisse avant longtemps lors du tournoi grison. Le Québécois retournera ensuite au pays afin de de préparer à une éventuelle reprise en NHL.
De solides renforts pour Davos et Gottéron

A Davos, au but, le Biennois et ancien Davosien Reto Berra vient donner un coup de main à Leonardo Genoni. En défense, Rafael Diaz quitte la Bossard Arena quelques jours pour rejoindre la bande d'Arno del Curto. Il est imité par son coéquipier de Zoug et meilleur compteur du championnat de LNA, Damien Brunner. Et last but not least, l'Américain de Bienne Patrick Kane s'amène dans la cité rhétique.
Davos et Joe Thornton devront se passer des services de Rick Nash de retour au pays pour se soigner. [MARCEL BIERI - Keystone]Après Genève-Servette en 2010 et Kloten en 2011, un 3e club suisse se joint à la fête dans les montagnes grisonnes. Pour célébrer ses 75 ans, Gottéron, déjà présent dans le tournoi en 1992, se rend à Davos avec la ferme intention de faire main basse sur le trophée, si l'on en croit l'entraîneur Hans Kossmann. Pour ce faire, les Fribourgeois ont engagé le gardien NHL d’Ambri Cory Schneider, le défenseur de Philadelphia Bruno Gervais et son compère attaquant Maxime Talbot, ainsi que le Suédois de Nashville Patric Hörnqvist.
Des Russes moins "bling-bling"

Salavat Yulaev Ufa revient à Davos pour la deuxième fois après un passage remarqué en 2007 et une défaite en finale face au Team Canada. Les Russes n'affichent pas un effectif aussi clinquant que d'autres formations de KHL, mais Igor Mirnov et Nikita Filatov ont suffisamment de talent pour conduire leur formation au sommet.
Restent les Allemands d'Adler Mannheim et les Tchèques de Vitkovice, déjà présents l'an dernier. La formation dirigée par Harold Kreis domine actuellement la DEL et peut compter sur trois grévistes de NHL: le défenseur Dennis Seidenberg (Boston), ainsi que les attaquants Marcel Goc (Florida) et Jason Pominville (capitaine de Buffalo). Les Allemands enregistrent également les arrivées pour la durée de la compétition des défenseurs suisses Luca Sbisa et Marco Maurer.
Formation la moins reluisante sur le papier, Vitkovice connaît un championnat d’Extraliga difficile (9e sur 14 équipes). Le capitaine vétéran Jiri Burger mènera sa troupe renforcée par le défenseur de Bienne Thomas Wellinger et dont font partie Marek Malik (ex-Genève) et Michal Barinka (ex-Gottéron).

[Norton]

Phelps et Schumacher, les adieux des Michael

24.12.2012 10:30 mise à jour à 10:43
Schumacher peut partir à la retraite le coeur léger. Sa carrière en F1 ne pouvait pas être plus réussie. [Apichart Weerawong - Keystone]


Deux monstres sacrés ont tiré leur révérence en 2012: Michael Phelps, qui a pêché 6 nouvelles médailles dans la piscine olympique de Londres, pour un total record de 22 dont 18 d'or en trois JO, et Michael Schumacher, septuple champion du monde de F1, qui s'en va sur une modeste 13e place au Championnat du monde des pilotes. Liste non exhaustive des retraités 2012.
MARS 15. Anja Paerson (30 ans) se retire, après avoir été l'une des rares à s'être imposée en Coupe du monde dans les 5 disciplines alpines (42 succès au total). La Suédoise compte également 6 médailles olympiques et 11 médailles mondiales. 17. Didier Cuche (37 ans) déchausse après 21 victoires en Coupe du monde dans une carrière ponctuée de 4 globes de cristal en descente, 1 en géant et 1 en super-G, mais aussi une médaille d'argent olympique et de 4 médailles mondiales, dont l'or en super-G (2009). Il est le seul à avoir gagné 5 fois la prestigieuse descente de Kitzbühel.
MAI 14. Ruud Van Nistelrooy (35 ans) s'en va après 20 saisons qui l'ont vu jouer notamment à Manchester United et au Real Madrid. Avec 60 buts, le Néerlandais est le 2e buteur de la Ligue des champions derrière l'Espagnol Raul (71). 20. L'Australien Robbie McEwen (39 ans) s'en va avec 12 étapes du Tour de France et 12 du Tour d'Italie à son palmarès.
"Sheva" devient politicien

JUILLET 28. Football. Andreï Shevchenko (35 ans), Ballon d'Or 2004, se retire pour se consacrer à la politique. Vainqueur de la C1 2003 avec l'AC Milan, l'attaquant ukrainien a fini sa carrière au Dynamo Kiev.
Phelps, une soif d'or insatiable. [Patrick Kraemer - Keystone]AOUT 2. Le défenseur Roberto Carlos (39 ans) raccroche à Makhachkala. Le Brésilien, champion du monde 2002 et vainqueur de 3 Ligues des Champions avec le Real Madrid, avait rejoint la Russie en 2011. 4. Michael Phelps quitte les bassins sur une 18e et dernière médaille d'or olympique. L'Américain de 27 ans porte à 22 le record du nombre de médailles gagnées par un athlète aux JO.
14. Alexandre Vinokourov, vainqueur de la course sur route des JO de Londres, raccroche à 38 ans. Le Kazhak avait aussi conquis l'argent, aux JO 2000. Il a gagné la Vuelta en 2006. 25. La Suédoise Carolina Klüft (29 ans), championne olympique et triple championne du monde de l'heptathlon reconvertie à la longueur, arrête aussi.
SEPTEMBRE 2. Kim Clijsters raccroche à 29 ans. La Belge compte à son palmarès 4 tournois du Grand Chelem: 3 US Open et 1 Open d'Australie (2011). 5. Andy Roddick tire sa révérence, à 30 ans. L'Américain, ancien no1 mondial a remporté 32 tournois, dont l'US Open 2003, son seul Grand Chelem, et la Coupe Davis 2007.
L'âge a raison de Dominik Hasek

OCTOBRE 2. Michael Ballack arrête à 36 ans. Le meilleur joueur allemand des années 2000, ex-Bayern Munich et Chelsea, a bouclé la boucle à Leverkusen. Son bilan: 4 Championnats d'Allemagne, 1 Championnat d'Angleterre 1 finale de Coupe du monde en 2002 et une 3e place en 2006. 4. Oscar Freire, triple champion du monde, remise son vélo, à 36 ans. L'Espagnol a aussi gagné 4 étapes du Tour de France et 7 de la Vuelta.
Hasek a gagné deux Coupes Stanley en NHL avec Detroit. [Paul Sancya - Keystone]9. Le légendaire gardien Dominik Hasek, double vainqueur de la Coupe Stanley avec Detroit et champion olympique 1998, raccroche définitivement les patins à 47 ans. Le Tchèque compte notamment aussi une médaille de bronze aux JO 2006. 23. Tennis. La carrière de Juan Carlos Ferrero, vainqueur de Roland-Garros en 2003 et ancien no1 mondial, s'achève à 32 ans à Valence. L'Espagnol a remporté 16 titres ATP et 2 Coupes Davis.
NOVEMBRE 7. Max Biaggi, 4 fois champion du monde en 250cc et 2 fois en Superbike, annonce sa retraite, à 41 ans, après 63 victoires. 11. A 27 ans, l'Australien Casey Stoner, champion du monde de MotoGP 2007 et 2011, arrête, après 45 victoires. 25. Dernier tour de piste en F1 pour Michael Schumacher, au volant de sa Mercedes. L'Allemand rentre définitivement au stand, à 43 ans, après 307 Grands Prix et 91 victoires.

[Norton]

Djokovic-Murray, rivaux parce qu'il le faut bien


Novak Djokovic et Andy Murray se sont rencontrés sept fois cette saison. Tête-à-tête en 2012: 4-3 en faveur du Serbe et un titre de Grand Chelem chacun. [AFP]


Alors que les bras de fer entre Roger Federer et Rafael Nadal se font rares, une nouvelle rivalité pointe à l'horizon, celle entre Novak Djokovic et Andy Murray. Complices dans la vie, le Serbe et l'Ecossais ont déjà croisé dix-sept fois les raquettes sur un court, dont sept en cette seule année 2012.
Devenue tendance en 2012, la rivalité entre Novak Djokovic no1 mondial, et Andy Murray, no3, a tout pour éclipser le duel entre Roger Federer et Rafael Nadal dans les années qui viennent. En onze mois, les deux hommes, nés à sept jours d'intervalle en 1987, se sont rencontrés sept fois, un total plus élevé que tous les autres face-à-face dans le "Big Four". A dos. La rivalité entre Djokovic et Murray a pris du volume en 2012. Les deux compères ont cependant croisé leurs raquettes pour la première fois lorsqu'ils avaient 11 ans. [Eugene Hoshiko - AFP]Jamais Federer et Nadal ne s'étaient autant rencontrés en une saison.
Boris Becker: "La grande rivalité à venir"

Et les chocs entre Djokovic et Murray ont toujours été croustillants, avec en point d'orgue la victoire historique de l'Ecossais en finale de l'US Open pour le premier britannique titré en Grand Chelem depuis 1936. Ce duel de titan mis à part, il y a eu un match épique en demi-finales de l'Open d'Australie, remporté 7-5 au cinquième set par Djokovic; la revanche de Murray en demi-finale des JO de Londres; et la victoire de Djokovic en finale du Masters 1000 de Shanghai après avoir sauvé cinq balles de match.
"Djokovic et Murray ont été les principaux animateurs des derniers mois. Pour moi, ce sera la grande rivalité dans les années qui viennent", estime l'ancien champion Boris Becker qui rappelle que Federer "ne devient pas plus jeune" (32 ans en août 2013) et que Nadal "est souvent blessé". L'avis est partagé par la plupart des observateurs du circuit. Federer et Nadal seront toujours capables de coups d'éclats mais plus à l'unisson.
Premier face-à-face à l'âge de 11 ans

Pas certain toutefois que la rivalité naissante va plaire autant que celle, magnifique par son opposition de style, entre Federer, l'attaquant suisse à l'élégance raffinée, et Nadal, l'infatiguable défenseur au look d'Apache. Les deux nouveaux rois n'ont pas le même caractère: Murray est plus réservé que Djokovic le farceur. Dijana Djokovic, ici (à droite) à Wimbledon avec la douce moitié de son fils Jelena Ristic, ne manque pas une miette du parcours de "Nole". [Anja Niedringhaus - Keystone]Mais sur un terrain ils opèrent de la même manière, avec un jeu du fond du court indébordable, basé sur un solide revers à deux mains, et une propension à galoper pendant des heures.
Mais les deux joueurs ont un parcours similaire, malgré des origines différentes, qui a forgé une vraie complicité. Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois à l'âge de 11 ans sur un tournoi en France. Tous deux ont quitté tôt le nid familial pour apprendre leur métier à l'étranger, l'Espagne et l'Académie Sanchez-Casal à Barcelone pour Murray, l'Allemagne et le camp d'entraînement de Niki Pilic à Munich pour Djokovic.
"On a grandi ensemble"

Tous deux sont suivis de près par leur mère, Judy Murray, ancienne joueuse aujourd'hui capitaine de l'équipe britannique de Fed Cup, et Dijana Djokovic qui couve du regard celui qu'elle appelle "l'enfant de Dieu". "Avec Andy, on se connaît par coeur. On a grandi ensemble et au fil des ans, on est devenus amis", rapporte Djokovic. "Notre histoire commune rend notre rivalité très spéciale. Je pense qu'elle a de belles années devant elle."

[Norton]

Le 24/12/2012 à 12:37:05 | Mis à jour le 24/12/2012 14:50:20
Foot - Ligue 1 - 19e j. : ''PLM'' en première classe

Tous les trois victorieux ce week-end, Paris, Lyon et Marseille ont conforté leurs positions sur le podium. A la différence de buts, le PSG termine l'année champion d'automne. Lille remonte la pente, Toulouse stoppe sa chute. Le bilan à la trêve.












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Grand favori annoncé pour le titre, le Paris-SG est à mi-parcours en tête de la L1. A la différence de buts sur Lyon et Marseille. (L'Equipe)




La Perf

Valenciennes

Ses difficultés hivernales (une seule victoire entre la 13e et la 18e journées) ne doivent pas faire oublier la bonne première partie de saison de VA. Le club nordiste, leader potentiel avant sa défaite à Saint-Etienne (1-0, 14e j.), a d’ailleurs signé dimanche contre Evian-TG (2-1) sa huitième victoire en L1, qui le replace à trois points du billet pour la Ligue Europa. Rien n’a changé l’été dernier, et pourtant Valenciennes offre un visage totalement différent. Et qui pourrait encore être modifié par le mercato.




Le Top

Payet (Lille)

En dents de scie cette saison, les résultats de Lille pointent de nouveau vers le haut. Le LOSC finit l’année sur quatre matches sans défaite, et il peut remercier notamment Dimitri Payet. Ce dernier a été buteur lors des trois dernières sorties de son équipe, dont un bijou contre Toulouse (2-0) et le but du break samedi face à Montpellier (4-1). Alors que Kalou, son pendant à droite, peine à faire la différence, l’international tricolore se montre de plus en plus percutant. Lui reste le plus difficile : confirmer sur la durée.




La Stat

25

Soit le nombre de points empochés par Lyon à Gerland, sur 30 possibles. L’OL, co-leader du Championnat avec Paris et Marseille, présente à mi-parcours le meilleur bilan à domicile, confirmé samedi par la victoire contre Nice (3-0). La politique de réduction des coûts, qui donne un rôle plus important aux jeunes, n’empêche pas l’ancien roi de France de se mêler à la lutte pour la première place. C’était un peu inattendu. "JMA" doit savourer d’autant plus, et remercier Gomis et Malbranque notamment.

[Norton]

Rugby - Top 14 : Perpignan «grappille»

Grâce à son succès sur Montpellier samedi, Perpignan boucle la phase aller à la septième place du Top 14. Avec Grenoble et Montpellier dans le viseur pour une place de barragiste en fin de saison.
Perpignan reste au contact grâce à son succès sur Montpellier. (L'Equipe)








C'est presque un événement. En s’imposant samedi contre Montpellier (30-19), Perpignan a remporté une deuxième rencontre d’affilée en championnat, pour la deuxième fois seulement sur la phase aller. «L’USAP fait son petit chemin. Ce n’est pas ce que l’on espérait en début de saison mais on grappille au fur et à mesure», confiait Marc Delpoux après le match. Désormais septième, à quatre points de la dernière place de barragiste occupée par Grenoble, l’USAP va passer un Noël tranquille avant de basculer sur le déplacement très glissant à Toulon le week-end prochain. Le début d’une phase retour que Perpignan espère plus régulière.

«Un tournant de la saison»«C’était un match hyper important pour nous, appuie Bertrand Guiry, auteur d’un essai face au MHR. Il faisait partie des tournants de la saison. On a un déplacement énorme à Toulon mais on va aborder la deuxième partie de saison dans les meilleures dispositions.» Le match à Mayol, où Toulon est invaincu et tourne à une moyenne de 39 points par match sur la phase aller, a des allures de voyage bonus. «On y va sans pression. Pourquoi ne pas faire une petite surprise», explique Cazenave.

Seulement deux victoires face aux meilleurs




Ce n’est pourtant pas sur ce match que Perpignan va jouer sa fin de saison. Ce sera contre les équipes comme Montpellier ou Grenoble qu’il faudra batailler, sans Luke Charteris, pour décrocher un ticket de barragiste. «Quand on met 30 points à Montpellier, c’est forcément un gros match, poursuit Cazenave. On les prive de bonus défensif et on a su s’adapter à leur défense inversée. C’est le genre d’équipes contre lesquelles on avait du mal à jouer auparavant. On peut la considérer comme un concurrent direct pour les qualifications et cette victoire nous prouve que nous sommes capables de le faire.» C’est la deuxième fois seulement, après Toulouse (34-20) mi-septembre, que Perpignan l’emporte face à une équipe qui le précède en Top 14. Un bilan qu’il faudra absolument améliorer pour espérer poursuivre la saison 2012-2013 au-delà de la 26e journée.

[Norton]

Rafael Nadal, souffrant, renonce à Abu Dhabi

TENNIS

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Le joueur espagnol, tout récemment remis d'une blessure au genou qui l'a éloigné des courts depuis juin dernier, a annoncé mardi sur les réseaux sociaux qu'il renonçait à faire son retour en compétition.
Mis à jour le 25.12.2012

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Rafael Nadal, le 24 juin 2012.
Image: AFP
"Je suis désolé de ne pas pouvoir participer cette année à Abu Dhabi. Tout était prêt et j'ai vraiment envie de revenir à la compétition, mais les médecins m'ont interdit de participer à Abu Dhabi en raison d'une infection virale à l'estomac qui m'a donné de la fièvre", a indiqué l'Espagnol sur son compte Twitter et Facebook.
Rafael Nadal dont la dernière apparition sur le circuit ATP remonte au 28 juin 2012, avait lui même fait savoir il y a une quinzaine de jours sur les réseaux sociaux qu'il allait faire son retour à la compétition à l'occasion du tournoi-exhibition d'Abu Dhabi qui doit débuter jeudi.
"Ma convalescence s'est bien passée, mes genoux vont mieux et comme je le dis, j'ai hâte de revenir à la compétition. Je suis désolé pour mes fans dans les Emirats et partout dans le monde. J'espère pouvoir être là l'année prochaine", a ajouté le champion de 26 ans.
Reprise des entraînements
Le septuple vainqueur de Roland-Garros et actuel N.4 mondial a repris l'entraînement fin novembre alors qu'il était éloigné des courts depuis sa défaite surprise au deuxième tour de Wimbledon face au Tchèque Lukas Rosol.
Il souffrait depuis le printemps du syndrome de Hoffa, une inflammation de la boule graisseuse située derrière le tendon rotulien du genou gauche.
En raison de cette blessure, Nadal a notamment été privé des jeux Olympiques 2012, de l'US Open et de la finale de la Coupe Davis, perdue par l'Espagne face à la République tchèque.

[Norton]

Stamm perd une place

Voile

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Alors que Le Cléac’h mène toujours le bal, le Vaudois, contraint de faire route vers la Nouvelle-Zélande, pointe désormais en sixième position.
Mis à jour le 25.12.2012

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Conséquence de ses problèmes techniques, Bernard Stamm a rétrogradé au sixième rang du Vendée Globe.
Image: AFP
Le Français Armel Le Cléac’h était toujours en tête mardi soir du Vendée Globe. Il devançait de moins de 4 milles son compatriote François Gabart à qui il avait cédé le commandement pendant quelques heures dans l’après-midi, dans le Pacifique, après 45 jours de mer.
Les deux leaders ont près de 500 milles d’avance sur un autre Français, Jean-Pierre Dick et 1000 sur le quatrième, le Britannique Alex Thomson.
Contraint de faire route vers la Nouvelle-Zélande pour terminer les réparations sur son bateau, Bernard Stamm a perdu une place au classement. Le Vaudois est désormais sixième. Pour sa part, le Genevois Dominique Wavre occupe toujours le huitième rang.
Vendée Globe. Positions mardi à 20h après 45 jours et 4 heures de course: 1. Armel Le Cléac’h (Fr) à 9570,7 milles de l’arrivée. 2. François Gabart (Fr) à 3,9 milles. 3. Jean-Pierre Dick (Fr) 487,6. 4. Alex Thomson (GB) 998. 5. Jean Le Cam (Fr) 1872,1 . 6. Bernard Stamm (S) 2021,7. Puis: 8. Dominique Wavre (S) 2319,3.

[Norton]

Deux changements dans l’équipe de Suisse M20

Hockey sur glace

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Baltisberger et Ness remplaceront Dotti et Praplan aux Mondiaux M20.
Mis à jour le 25.12.2012

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Sean Simpson a dû opérer deux changements de dernière minute.
Image: Freshfocus
Sean Simpson a dû opérer deux changements dans la sélection de l’équipe M20 appelée à disputer le Championnat du monde d’Ufa. Le défenseur d’Ambri Isacco Dotti et l’attaquant de Kloten Vincent Praplan, tous deux blessés, ont dû renoncer à la dernière minute.
Le coach national a ainsi appelé deux joueurs de Grasshopper pour compléter sa sélection: Phil Baltisberger et Martin Ness.
La Suisse affrontera la Lituanie ce jeudi lors de son entrée en lice dans le tournoi.

[Norton]

Un KO terrible

Combat libre

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James Harrington se souviendra de sa défaite face à Cody Land.
Lors d’un combat organisé par «Disorderly Conduct MMA», il y a quelques jours dans le Nebraska, le malheureux s’est pris une violente gauche qu’il l’a fait tomber raide, comme un arbre.
On notera aussi le manque évident de réactivité de l’arbitre, qui a conduit le perdant à prendre encore quelques coups inutiles.

http://www.lematin.ch/sports/autres/...story/25987934