Toutes New sportives autres que la moto

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Le 07/01/2013 à 18:24:00
Rallye raid-Dakar : Gache : «On me crache dessus»

Un petit qui mange (presque) un gros, ça fait jamais plaisir au gros. Après les perfs des buggy de Chabot et Chicherit, Philippe Gache, le constructeur, a essuyé le courroux de Sven Quandt, le patron de l'écurie BMW-XRaid qui engage Peterhansel. Gache n'a pas aimé...
Les performances des buggys de Philippe Gache font parler sur le Dakar. (L'Equipe)







«Philippe Gache, Sven Quandt est passé vous voir. Pour vous féliciter ?
Il est venu plusieurs fois me dire que lui dépensait des millions de dollars et qu'une "pastèque", qu'un garagiste comme moi, qui se bricole un buggy deux roues motrices à 100.000 dollars, et qui peut lutter avec lui, c'est pas supportable pour une structure d'usine comme BMW. Alors je l'ai pris par la main, je lui ai expliqué que ca faisait dix ans que je bossais là-dessus, que j'ai trois ingénieurs, qu'une voiture c'est 5000 heures de travail, que ça revient à 500.000 euros l'unité, que pour ce Dakar ça me coûte en tout quatre millions d'euros, et que la voiture de Chicherit c'est la 22e voiture qui sort de chez nous. Il fait passer un message honteux.

Il défend ses intérêts non ?
Qu'est-ce qu'il veut ? Gagner tout seul, gagner la Coupe BMW. On a besoin l'un de l'autre. Alors je previens : si l'un de nous deux doit mourir je préfére que ce soit lui. Y a que lui. Trop c'est trop. Depuis 2000 et Schlesser, les buggys c'est juste deux quatrièmes places de spéciale. Ca va quoi... Il crie au scandale et vient deux fois me cracher à la gueule, envoie des SMS partout.

«Un bon résultat pour nous c'est vital. J'ai une vision économique à un mois. Je me bats pour survivre.»Le réglement, notament la bride d'admission d'air, passée pour vos voitures de 37mm à 39 mm, vous serait trop favorable ?
Lui a une bride de 38mm. Ca fait donc 25 chevaux de différence ! On n'a pas fait un monstre imbattable. J'avais posé une question à la Fédération Internationale : est-ce qu'on a le droit éventuellement de gagner ? La réponse a été oui. A partir de là, je me défends. Il y a un réglement, nous on a choisi ce concept car c'est un peu moins cher. Al-Attiyah avec son buggy fabriqué aux Etats-Unis aussi. Il peut faire pareil. Je ne suis pas un garageot qui bricole le soir au fond de son garage.

La victoire au bout c'est assez illusoire ?
Bien sûr. Gagner une étape serait déjà bien. En montagne, nous on est en essence, lui en diesel, alors on va pleurer. Le sable du début de rallye nous avantage. Ils vont le gagner leur rallye. Mais un bon résultat pour nous c'est vital. J'ai une vision économique à un mois. Je me bats pour survivre.

Ca irait peut-être mieux si vous représentiez une marque et pas seulement vous-même...
Et bien justement, on est à deux doigts de signer avec un constructeur appuyé sur un gros groupe industriel, d'un pays émergeant. En rentrant du Dakar, je vais là-bas.

Vers le Sud-Est Asiatique ?
Non.

Vers un pays à combien d'heure de vol ?
C'est loin.
Recueilli par Stéfan L'HERMITTE à Nazca

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Le 07/01/2013 à 15:23:00 | Mis à jour le 07/01/2013 15:32:40
Rallye raid - Dakar : Sainz réintégré en tête

Carlos Sainz reprend finalement la tête du classement général avec quelques heures de retard après décision des commissaires. Stéphane Peterhansel lui rend les commandes.
Carlos Sainz a été reclassé et récupère la première place. (Reuters)







L'Espagnol Carlos Sainz a été déclaré vainqueur de la deuxième étape du Dakar 2013 dimanche et réintégré en tête du classement général à la place du Français Stéphane Peterhansel, sur décision des commissaires. Le Buggy de l'Espagnol aurait été victime d'un problème apparent de GPS, ce qui l'avait empêché de pointer correctement à l'un des passages obligatoires sur cette boucle de 327 km autour de Pisco (Pérou).

Après réclamation de Sainz, le jury s'est réuni dimanche soir et a décidé de le reclasser en lui décomptant les 21'26'' perdues lors du pointage raté. La direction de course n'a pas précisé la raison de cette décision des commissaires. Selon un communiqué de l'équipe Red Bull de Carlos Sainz, la confusion a été causée par les satellites de course du Dakar et non par le GPS du Buggy de Sainz. Carlo Sainz a donc parcouru la spéciale de dimanche en 2 h 32'15'', ce qui en fait le vainqueur de l'étape et non pas Stéphane Peterhansel. Nasser Al-Attiyah, qui avait bien raté un pointage, a lui reçu une pénalité d'une heure et est reparti lundi en lanterne rouge, à la 132e place.

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Un smoking en hommage à Diego Maradona?

FOOTBALL

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Pour recevoir son 4e Ballon d'or, Lionel Messi avait revêtu un smoking original à poids. Comme Diego Maradona, il y a quelques années.
Par Y. D.. Mis à jour le 07.01.2013 1 Commentaire

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Depuis ses débuts avec le FC Barcelone, Lionel Messi est comparé à l'idole argentine Diego Maradona.
Ils sont les deux gauchers, ils ont tous les deux portés le No10 du Barça et de la sélection argentine et ils ont tous deux inscrits un but de légende en traversant presque tout le terrain balle au pied.
Depuis hier soir, on peut ajouter une ligne à ces similitudes, celle du smoking. Le site du quotidien sportif argentin Olé.com.ar a retrouvé une image surprenante de Maradona portant pratiquement le même smoking que Lionel Messi lundi soir à Zurich.
On ne sait pas si Messi a voulu rendre hommage à son idole en portant ce smoking Dolce & Gabanna. Il avoue juste avoir eu envie de: «varier un petit peu, je voulais quelque chose de différent».

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Le fils de Pirmin à Adelboden

Ski alpin

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Elia Zurbriggen disputera samedi, dans l’Oberland, le géant, sa première course en Coupe du monde. Papa sera là.
Par Christian Maillard. Mis à jour le 07.01.2013

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Image: Thomann Sven/Blicksport




Les chiens ne font pas des chats, dit-on. Ou vice versa, c’est selon. Il suffit qu’il vous regarde, qu’il sourie, la ressemblance est si frappante que le doute n’est pas permis. Son visage est celui rayonnant de son père, l’un des plus grands skieurs de tous les temps: champion olympique, champion du monde, quadruple vainqueur de la grande boule de cristal, inutile d’en rajouter, la Coupe est pleine, il a tout gagné. Elia est le premier des cinq enfants de Pirmin Zurbriggen. L’aîné, né le 9 octobre 1990, membre du cadre C, disputera ce samedi sa première Coupe du monde. C’est à Adelboden, en géant, que ce garçon de 22 ans va tenter d’être aussi grand que son prestigieux papa, victorieux à trois reprises dans l’Oberland. «Il est un peu timide, remarque son entraîneur, Michel Weyermann. Mais, très perfectionniste, il sait ce qu’il se veut. Maintenant, ce n’est pas évident pour lui d’être le fils d’un si grand champion.» Le frère d’Anita Weyermann, ex-championne d’Europe de cross-country, sait ce que signifie être dans l’ombre des projecteurs.
«Il a cette étiquette de fils de, difficile à porter, reconnaît son père. Du coup, il se met beaucoup de pression. Il a beaucoup de volonté, mais il ne passe pas toujours ses deux manches. Il veut parfois aller trop vite en besogne.» En bon éducateur qu’il est, Pirmin Zurbriggen lui répète sans cesse qu’il doit encore acquérir cette régularité qui avait fait de lui un métronome, un géant autant dans les disciplines techniques qu’en vitesse. «Elia aurait la mentalité d’un descendeur, mais il est trop maigre, il n’a pas le corps pour le faire.» Et celui qui est désormais patron hôtelier ainsi que président de la Fédération valaisanne de ski de raconter que son premier a longtemps souffert de sa petite taille avant de montrer le bout de son nez au premier plan, cette saison en Coupe d’Europe. «Si on compare nos caractères, il est très similaire au mien, reconnaît l’homme aux 40 succès de Coupe du monde. Mais je n’avais pas le même physique. En ce qui me concerne, j’avais percé trois ans plus tôt que lui. Il a commencé à grandir à partir de 19 ans. Avant, il était toujours le plus petit, le dernier qu’on sélectionnait. Ce n’était pas une situation agréable pour lui.»
Et il arrive, comme hier à Laax, que son frère cadet, Pirmin Jr (20 ans), lui passe devant. «Or, relativise Michel Weyermann, Elia, qui a beaucoup progressé mentalement, n’était pas dans un grand jour.» Peut-être avait-il déjà la tête ailleurs, à cette première dans la course des grands ce samedi. «C’est déjà un beau succès qu’il soit au départ», renchérit le multiple champion de Saas Almagell, fier de son Elia, auteur d’une manche d’anthologie avec son dossard 71, le 19 décembre dernier à Zuoz. «A Adelboden, son objectif est de se qualifier pour le second tracé et il en a le potentiel», assure encore le papa de Maria, sa troisième, qui suit, elle aussi, la trace du phénomène qui avait 17 ans lorsqu’il avait disputé son premier géant en Coupe du monde. «C’était à Madonna di Campiglio et j’avais terminé 32e», se souvient celui qui fêtera ses 50 ans cette année. En 1980, il avait déjà ce même sourire et ce visage aussi rayonnant qu’Elia, prêt à bondir comme un chat.

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Hitzfeld a voté pour Messi

FOOTBALL

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Le coach de l'équipe de Suisse a donné le maximum de points à la star argentine. Découvrez tous les votes du Ballon d'or 2012.
Par Y. D.. Mis à jour le 07.01.2013 3 Commentaires

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Faites un petit tour sur la liste des votes et découvrez ce qu'ont voté les capitaines, sélectionneurs et journalistes concernés par l'élection du Ballon d'or 2012.
Vous y découvrirez,par exemple, le tiercé du coach de l'équipe de Suisse, Ottmar Hitzfeld, ainsi que celui du capitaine de la Nati, Gökhan Inler. Mais aussi tous les autres votes.

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Les Français prennent le commandement

AUTO-MOTO

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Cyril Despres (moto) et Stéphane Peterhansel (auto) se sont installés en tête du classement général au terme de la troisième étape.
Mis à jour le 07.01.2013 2 Commentaires

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Le Chilien Francisco Lopez (KTM) a remporté la 3e étape du Dakar 2013, fêtant son deuxième succès depuis le départ et le huitième de sa carrière. Cyril Despres (Fr/KTM) prend la tête du général des deux roues.
Lopez a profité d’une position favorable sur la ligne de départ (30e), ce qui lui a permis de foncer derrière les autres sans trop se soucier de la navigation pour éviter les pièges. Ceux qui se sont élancés parmi les premiers ont par contre perdu un peu de temps pour lire le road-book sur ce tronçon entre Pisco et Nazca, qui proposait 243 km de spéciale.
Le motard chilien s’est imposé avec 1’08 d’avance sur Paulo Goncalves (Por/Husqvarna) et 4’08 sur Despres. Le Français, quatre fois vainqueur de l’épreuve (2005/2007/2010/2012), possède 2’51 d’avance sur le vainqueur du jour. Le Norvégien Pal Anders Ullevalseter (KTM) se retrouve au 3e rang à 4’59. La situation est encore loin d’être décantée puisque le 10e est à moins de dix minutes.
Les deux motards du Défi suisse poursuivent leur bonhomme de chemin. Philippe Cottet (118e) et Michel Pythoud (119e) ont une fois encore pu rouler ensemble, ce qui est leur objectif. Tout roule jusqu’ici pour les deux pilotes établis en Gruyère.
Sur quatre roues, l’étape est revenue au prince du Qatar Nasser Al-Attiyah, le vainqueur de l’édition 2011. Au volant de son Buggy, le médaillé olympique de Londres en tir (bronze en skeet) a précédé le sulfureux Américain Robby Gordon (Hummer) de 1’18 et le Français Stéphane Peterhansel (Mini) de 3’52.
Ce dernier conserve cependant la tête du classement général, avec 6’33 d’avance sur Al-Attiyah et 18’11 sur l’étonnant pilote argentin Lucio Ezequiel Alvarez (Toyota). L’Espagnol Carlos Sainz (Buggy), handicapé par des problèmes électriques durant l’étape, a terminé au 14e rang à plus d’une demi-heure. L’ancien double champion du monde des rallyes et vainqueur du Dakar en 2010 occupe le 5e rang au général à 21’16. Il a déposé une réclamation qui a été admise concernant le temps perdu lors de l’étape de dimanche suite à une défaillance de son GPS.
Mardi, la 4e étape s’annonce particulièrement difficile entre Nazca et Arequipa, avec notamment un champ de dunes de 25 km à traverser.
Dakar 2013. 3e étape, Pisco - Nazca (243 km de spéciale). Motos: 1. Francisco Lopez (Chili), KTM, 2h37’54. 2. Paulo Goncalves (Por), Husqvarna, à 1’08. 3. Cyril Despres (Fr), KTM, à 4’08. 4. Alessandro Botturi (It), Husqvarna, à 5’05. 5. Jakun Brzygonski (Pol), KTM, à 5’20. 6. Daniel Gouët (Chili), Honda, à 6’35. Puis: 118. Philippe Cottet (S), KTM, à 1h37’38. 119. Michel Pythoud (S), KTM, à 1h39’47. Général: 1. Despres 6h15’03. 2. Lopez à 2’51. 3. Pal Anders Ullevaseter (No), KTM, à 4’59. 4. Olivier Pain (Fr), Yamaha, à 6’03. 5. David Casteu (Fr), Yamaha, à 6’08. 6. Jeremias Israel Esquerre (Chili), Honda, à 6’19. Puis: 118. Cottet à 2h52’02. 120. Pythoud à 2h53’57.
Autos: 1. Al-Attiyah-Cruz (Qat-Esp), Buggy, 2h30’14. 2. Gordon-Walch (EU), Hummer, à 1’18. 3. Peterhansel-Cottret (Fr), Mini, à 3’52. 4. Alvarez-Graue (Arg), Toyota, à 9’36. 5. Roma-Périn (Esp-Fr), Mini, à 12’20. 6. Novitskiy-Zhiltsov (Rus), Mini, à 15’29. Général: 1. Peterhansel 5h34’26. 2. Al-Attiyah à 6’33. 3. Alvarez à 18’11. 4. Novitskiy à 21’20. 5. Sainz-Gottschalk (Esp-All), Buggy, à 21’16. 6. De Villiers-Von Zitzewitz (AfS-All), Toyota, à 30’22.

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Entraîneur à succès du FC Barcelone, Pep Guardiola a annoncé qu'il reprendra du service la saison prochaine



L'ancien entraîneur de Barcelone Pep Guardiola a confirmé son intention de reprendre du service la saison prochaine après un an sabbatique. L'Espagnol, qui aura 42 ans ce mois-ci, avait mis sa carrière entre parenthèses à la fin du dernier exercice après 4 saisons triomphales au Barça (14 trophées).Perisic de Dortmund à Wolfsburg Wolfsburg a engagé le milieu de terrain Ivan Perisic pour 3 ans et demi. L'international croate (23 ans) évoluait depuis 2011 à Dortmund (49 matches, 12 buts). Dans le club de Benaglio et Rodriguez, Perisic sera en concurrence avec son compatriote Ivica Olic pour occuper le flanc gauche de l'attaque.

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Le Canada pousse un soupir de soulagement


Obligés de ronger leur frein, les fans de hockey vont enfin pourvoir revivre leur passion. [Darryl Dyck - Keystone]


L'accord de principe conclu entre les dirigeants de la NHL et le syndicat des joueurs a dominé l'actualité au Canada, le pays poussant un énorme soupir de soulagement de voir les matches reprendre bientôt. Le hockey sur glace est souvent qualifié, sans grande exagération, de première religion du Canada.
"Le palet s'arrête là", a titré lundi matin en une le quotidien national de référence The Globe and Mail, utilisant une expression de hockey signifiant "C'est réglé". "L'Eglise de hockey rouvre pour la messe", a ajouté le journal dans un commentaire affirmant que les Canadiens "ont retrouvé une partie de leur vie qui était portée disparue".
"Place au hockey!", s'est félicité en première page La Presse, tandis que le Journal de Montréal a annoncé que "La saison est sauvée" et que les fans ont devant eux "10 ans de paix".
Une bataille de 113 jours

Avec un peu plus de recul qui convient à sa réputation de journal des intellectuels, Le Devoir a commenté "la paix des riches", conclue "au 113e jour d'une bataille de tranchées plutôt difficile à comprendre et coûteuse, ardue à expliquer parce que tellement coûteuse", paix "entre les enfants turbulents qui voulaient les jouets et l'argent des jouets".
Effectivement, il était plus question d'argent que de sport dans cette bataille et, selon les calculs des médias canadiens, la grande industrie du hockey y aurait perdu jusqu'à un milliard de dollars. Elle aurait en outre pris le risque de se fâcher durablement avec ses aficionados, comme semble le montrer une vague de messages critiques circulant sur Twitter au sujet de cet affrontement entre propriétaires de club milliardaires et joueurs millionnaires.
Les fans suivront-ils?

"Le hockey est de retour, mais ses fans suivront-ils?", s'est demandé lundi The National Post. Sur le même ton, The Gazette a estimé que "les dommages risquent d'être considérables".
La crise a touché non seulement les clubs, mais aussi les bars où les fans avaient l'habitude de se réunir pour regarder les retransmissions. Selon le président de l'association de propriétaires de bar du Québec, Peter Sergakis, interviewé lundi matin par la chaîne publique CBC, la baisse de leur chiffre d'affaires dans le centre de Montréal aurait atteint 40%.
"Les gens n'étaient pas heureux. Et quand les gens ne sont pas heureux, ils ne dépensent pas leur argent", a-t-il expliqué, annonçant que les bars préparaient "plein d'offres spéciales" pour faire revenir les clients.

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La mine déconfite de Cristiano Ronaldo


Une nouvelle fois, la pilule a été difficile à avaler pour Cristiano Ronaldo.
Comme c'est le cas depuis quatre années d'affilée, Cristiano Ronaldo doit reconnaître la supériorité de Lionel Messi. Ce soir, "La Pulga" a enlevé son quatrième Ballon d'Or. A seulement 25, s'il vous plaît !

Au moment où le nom de Lionel Messi a été prononcé, les caméras se sont également tournées vers CR7. Et comme vous pouvez le voir sur la photo, la mine déconfite de la star lusitanienne du Real Madrid est plutôt éloquente.

Déjà amer avec Iniesta
On se souvient que Cristiano Ronaldo n'avait pu cacher son amertume quand Andres Iniesta avait été récompensé comme le "meilleur joueur européen de 2012".

En Espagne, on dit que le "visage est le miroir de l'âme". Si c'est réellement le cas, Cristiano Ronaldo est profondément déçu.

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Iniesta: "Leo ne laissera pas s'échapper un 5e Ballon d'or consécutif"

© belga.
Le milieu du FC Barcelone Andrés Iniesta a terminé 3e de l'élection au Ballon d'or 2012, remporté par son coéquipier Lionel Messi.
"Leo, s'il continue comme cela, ne laissera pas s'échapper un cinquième Ballon d'or consécutif. Je le félicite à nouveau pour son quatrième trophée qui le rend unique. Il n'est pas question de le donner à d'autres parce que quelqu'un en aurait déjà beaucoup, non, il faut savourer le travail bien fait, ce que nous faisons aujourd'hui. Le fait que nous ayons tant de représentants d'une même équipe (dans l'équipe de l'année) signifie que nous avons rempli notre mission", a déclaré Iniesta.