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Cinq raisons d'y croire

Tennis

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La Suisse n’a plus franchi le premier tour de la Coupe Davis depuis neuf ans. Même face au tenant du trophée, elle a les moyens de briser cette malédiction.
Par Matthieu Aeschmann. Mis à jour à 14h32 2 Commentaires

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Image: Salvator Di Nolfi/Keystone
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PROGRAMME

COUPE DAVIS
SUISSE - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE
À GENÈVE (PALEXPO)
Jeudi, 13 h: tirage au sort
Vendredi, 13 h: deux simples
Samedi, 13 h 30: double
Dimanche, 12 h 30: deux simples

Le 8 février 2004 à Bucarest, l’équipe de Suisse passait le premier tour du groupe mondial pour la dernière fois. Marc Rosset était assis sur la chaise, Roger Federer ne régnait sur l’ATP que depuis six jours et Stanislas Wawrinka vivait son baptême contre Victor Hanescu. Depuis, les mois de février suisses ne sont qu’absences, frustrations et déceptions. Une malédiction que le Vaudois compte bien briser contre la République tchèque «parce que c’est l’année où l’on nous attend le moins». On y ajouterait volontiers les cinq raisons suivantes.
1 WAWRINKA A CHANGÉ DE DIMENSION
Une rencontre de Coupe Davis se gagne derrière un vrai leader. Or Stanislas Wawrinka a justement changé de statut à Melbourne au bout de son duel titanesque contre Djokovic. Le circuit savait déjà le Vaudois capable de bousculer le «Big Four» grâce à sa frappe limpide. Mais il y a découvert un «guerrier» se relevant de la perte des 2e et 3e sets pour faire jeu égal avec le patron durant cinq heures. De quoi «puiser de la confiance» et semer le doute dans l’esprit de ses adversaires.
2 STEPANEK LAISSE UN VIDE
La grimace de Tomas Berdych résumait hier le poids de son absence. «C’est une première sans lui et on se doute bien que tout sera plus compliqué», tentait de résumer son capitaine, Jaroslav Navratil. Mais les mots ne peuvent pas tout dire. Ils cachent l’impact du meneur d’hommes et l’expérience du maître tacticien. Pour le reste, Radek Stepanek (ATP 32) pèse un saladier, 17 rencontres, 14 doubles remportés sur 16 et 4 victoires dans un simple décisif. En cachette, les Suisses se frottent les mains.
3 BERDYCH N’AIME PAS JOUER STAN
Stanislas Wawrinka présente un bilan positif contre deux joueurs du top 10: Janko Tipsarevic (1-0) et… Tomas Berdych (5-4). Mieux, il reste sur trois victoires contre le No 1 tchèque. A ce niveau d’excellence, ces statistiques font sens. «Une fois sur le court, elles ne veulent plus rien dire, mais, sur le fond, ces chiffres attestent que je lui pose des problèmes. Au moins autant que Stepanek m’en pose (0-4).» C’est donc le «bon adversaire» qui a déclaré forfait.
4 LES TCHÈQUES SONT APAISÉS
«Après notre victoire, je me suis posé des questions mais jamais au point de songer à abandonner la Coupe Davis.» Hier, Tomas Berdych a forcément balayé les rumeurs qui ne lui prêtent plus grand intérêt pour un territoire conquis. C’est de bonne guerre. Il demeure que depuis son retour dans le groupe mondial et un barrage gagné contre la Suisse (2007), le duo Berdych-Stepanek avait fait du saladier une obsession. Aujourd’hui assouvie, l’obsession est devenue obligation.
5 LE TABLEAU EST TROP OUVERT
L’argument du tirage au sort peut sembler déplacé, étrangement optimiste voire irrespectueux. Mais Roger Federer l’a tant de fois brandi comme l’impondérable majeur de l’épreuve, qu’il convient ici de souligner que le vainqueur du week-end affrontera l’Autriche ou le Kazakhstan. En quart de finale, on a connu plus effrayant. Parions que cette perspective ne peut que fédérer encore davantage les envies. Car l’exploit se ferait boulevard.

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La Suisse s'offre le Brésil avant l'heure

Football

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L'équipe de Hitzfeld recevra la Seleçao le 14 août à Bâle. Dix mois plus tard, elle espère bien traverser l'Atlantique pour le Mondial 2014.
Mis à jour à 14h17 2 Commentaires

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1/9Bâle, le 15 novembre 2006
L'entrée sur la pelouse de Saint-Jacques: les capitaines Johann Vogel et Kaka conduisent leur équipe au centre du terrain.
Image: Keystone





Déjà 7 précédents

La Suisse et le Brésil se sont déjà affrontés à sept reprises dans l'histoire. Le bilan est naturellement à l'avantage de la sélection auriverde: trois victoires brésiliennes, trois matches nuls et une seule victoire suisse.

Le seul succès suisse remonte au 21 juin 1989. Ce soir-là à Bâle, l'équipe de Suisse, alors dirigée ad interim par Paul Wolfisberg (Daniel Jeandupeux était parti et Ulli Stielike n'avait pas encore signé), s'était imposée 1-0 grâce à un but de Kubilay Türkyilmaz, à la 50e minute.

R. Ty

Après l'Argentine (29 février 2012) et l'Allemagne (26 mai 2012), l’équipe de Suisse un troisième grand du football mondial: le Brésil! Le match aura lieu le mercredi 14 août 2013 au Parc Saint-Jacques à Bâle.
«Avoir le quintuple champion du monde et pays hôte de la Coupe du monde 2014 comme adversaire pour le premier match international après la pause estivale, c’est sensationnel», se réjouit le sélectionneur Ottmar Hitzfeld.
Qui ajoute: «C’est un grand moment pour chaque joueur et chaque fan de football. Au niveau sportif, cette partie, qui sera disputée avant le sprint final de la qualification pour le Mondial, sera un vrai test, avec une forte notion symbolique: le Brésil vient en Suisse en été 2013, et la Suisse veut aller au Brésil en été 2014.»
Un deuxième match en 2015-2016
L’équipe nationale disputera dans les trois prochaines années un deuxième match contre le Brésil en Suisse. L’ASF a signé un accord en ce sens avec le Brésil et son promoteur. L’accord assure, en plus du match convenu du 14 août 2013, l’option d’un match ultérieur en 2015/2016. Selon Hitzfeld, cet accord est «un indice pour l’estime de l’ASF au niveau international».
Le dernier match contre le Brésil date du 15 novembre 2006 à Bâle. La «Seleçao» s'était imposée 2-1, sur des réussites de Luisão (22e) et Kaka (35e). La Suisse avait réduit le score grâce à un autogoal de Maicon (70e).

:c ontent:J'y serais

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Kriens n’a pas voulu avancer le match contre Sion

FOOTBALL

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Afin de permettre à ses joueurs de participer au repas de gala, Sion a demandé au club lucernois de disputer son match de Coupe samedi au lieu de dimanche. Refus poli de son adversaire.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 12h02 8 Commentaires

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On jouera dimanche, et non samedi, au bucolique Kleinfeld de Kriens.
Image: Keystone
Renvoyé le 9 décembre dernier en raison des conditions climatiques (neige), le huitième de finale Kriens - Sion a été refixé à ce dimanche, heure du coup d’envoi inchangée (14 h30).
Une date malencontreuse, car entrant en collision avec le repas de soutien du club valaisan, une gigantesque bastringue qui réunira 6000 participants ce samedi à partir de 19 h. Conséquence: les joueurs n’y participeront pas. Cantonnés dans leur hôtel lucernois, ils se contenteront d’un message vidéo.
Dans un premier temps, les dirigeants sédunois ont cherché à avancer le match de 24 h, dans le but louable de permettre à l’équipe de faire son apparition au CERM de Martigny dans la soirée, au retour de son périple en Suisse Centrale. «Il aurait été sympa de pouvoir être au contact de nos supporters, précise Marco Degennaro, directeur sportif de Tourbillon. On aurait apprécié que Kriens fasse un geste. Mais de toute évidence, ils n’ont rien voulu savoir. Ce n’est pas grave, on s’adaptera.»
Du côté du Kleinfeld, on se retranche derrière les sponsors pour justifier pareille intransigeance. «Notre principal sponsor est un grand garage de la région, souhaitant notamment inviter tous ses employés au match. Or tout le monde travaille le samedi, ce qui rendait cette opération promotionnelle impossible.» Entraîneur du SC Kriens, Jean-Daniel Gross trouve un autre argument, plus percutant encore: «On préfère battre Sion le dimanche que le samedi!», s’exclame-t-il, hilare.
Entre le pensionnaire de 1re ligue promotion et le champion de la Coupe de Suisse, la petite guerre psychologique a commencé...

Antisport

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Martin Laciga dit stop

Beach-volley

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A 38 ans, le cadet des frères Laciga cesse la compétition. Après 20 ans de compétition, il est obligé de s'arrêter, miné par des problèmes de genou.

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Martin Laciga a été un des pionniers du beach-volley en Suisse.
Image: Keystone
C’est une page qui se tourne pour le beachvolley suisse. Martin Laciga, à 38 ans, a décidé de prendre sa retraite après 20 ans de compétition.
Miné par des problèmes de genoux qui l’empêchent de poursuivre au plus haut niveau, Laciga baisse le rideau sur une riche carrière, faisant du Fribourgeois le beach-volleyeur le plus titré de l’histoire nationale. Martin et son frère aîné Paul avaient été les pionniers de la discipline en Suisse, décrochant notamment trois titres de champions d’Europe consécutifs entre 1998 et 2000.
A cela s’ajoutent également l’argent au championnat du monde de 1999, cinq victoire dans le World Tour et une place de no 1 mondial, une première pour des Européens. Martin Laciga a disputé trois fois les Jeux olympiques, avec son frère ou avec Jan Schnider.
Ces JO qui ont laissé un goût amer au Fribourgeois, notamment ceux de 2000 à Sydney où, favoris de l’épreuve, il s’était incliné avec Paul en quart de finale 15-11 dans le dernier set contre Maia/Brenha alors que la fratrie menait encore 11-6. A Pékin, en 2008, Laciga/Schnider s’étaient inclinés au tie-break des 8es de finale contre les futurs champions olympique Rogers/Dalhausser.

Dommage mais tu reste un grand

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Stan: une petite mousse avant de passer aux Tchèques

TENNIS

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Wawrinka a assisté mardi soir à la rencontre de hockey sur glace entre GE Servette et Bienne. Il en a profité pour rendre visite aux joueurs genevois dans leur vestiaire.
Par R. Ty. Mis à jour à 11h18 1 Commentaire

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Aux côtés du capitaine Séverin Lüthi (à g.), Stanislas Wawrinka se désaltère aux Vernets.
Image: SRF2
Tony Salmeloainen (à g.) a posé aux côtés du seul joueur à avoir véritablement inquiété Novak Djokovic à Melbourne. (Image: Twitter Tony Salmelainen)
Stanislas Wawrinka (au centre) pose avec Daniel Vukovic, Chris Rivera, Juraj Simek, Gian-Andrea Randegger, Tobias Stephan et Goran Bezina (de g. à dr.). (Image: Twitter Chris Rivera)

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Palerme offre 4,5 millions pour Kyle Lafferty

FOOTBALL

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L'attaquant du FC Sion est dans le viseur du club sicilien, où jouent les Suisses Von Bergen et Morganella. Les négociations se poursuivent.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 10h04 5 Commentaires

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Kyle Lafferty: quittera-t-il le Valais pour la Sicile?
Image: Keystone
Super League

18e Journée

01.12.FC Bâle - FC St.Gall1 : 001.12.FC Lucerne - Lausanne0 : 002.12.Servette - FC Thoune0 : 002.12.Young Boys - Sion3 : 102.12.Grasshoppers - FC Zurich1 : 0État: 02.12.2012 17:54
Classement

NomJVNDButsP1.Grasshoppers18114323:17372.FC Bâle1896332:18333.FC St.Gall1896322:13334.Sion1895427:20325.Young Boys1866628:21246.Lausanne1856716:20217.FC Lucerne1846818:24188.FC Thoune18531019:28189.FC Zurich1845919:251710.Servette18251113:3111État: 02.12.2012 18:01
19e Journée

09.02.Servette - Grasshoppers- : -09.02.Young Boys - FC Lucerne- : -10.02.FC St.Gall - FC Thoune- : -10.02.FC Zurich - Lausanne- : -10.02.FC Bâle - Sion- : -

Kyle Lafferty poursuivra-t-il sa saison sous le maillot du FC Sion ou abrègera-t-il son passage en Valais? L’international nord-irlandais de Tourbillon (1061 minutes de jeu, 4 buts) suscite l’intérêt de plusieurs clubs européens, principalement de l’US Palermo.
Directeur sportif du FC Sion, Marco Degennaro confirme l’approche insistante du club transalpin. «Palerme a pris des renseignements. Le mercato va s’achever (ndlr: il fermera jeudi pour les transferts internationaux), et tout le monde s’excite. Mais il ne faut pas paniquer non plus. Les clubs transalpins ont l’habitude de coucher une dizaine de noms sur le papier, et finir par n’en retenir qu’un seul, quand cela se concrétise. Au moment où je vous parle, Lafferty est toujours sédunois.»
Il n’empêche que les dirigeants italiens ont adressé une offre concrète au FC Sion - un prêt de 600'000 francs jusqu’en juin, assorti d’une option d’achat de 3,9 millions de francs - et que les négociations doivent reprendre ce mercredi. «Un rendez-vous avec Palerme est prévu dans la journée», confirme notre interlocuteur.
La volonté première du FC Sion est de ne pas lâcher son attaquant, du moins pas en prêt, et à ce prix-là. «Si Lafferty devait nous quitter, nous lui trouverions un remplaçant...» Mais chaque chose en son temps.

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Oprandi jouera pour la Suisse

TENNIS

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La Bernoise tourne le dos à l'Italie. Elle sera engagée en Fed Cup contre la Belgique, les 9 et 10 février prochains à Berne.

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Romina Oprandi servira à domicile les 9 et 10 février prochains.
Image: Keystone
Romina Oprandi effectuera bel et bien ses débuts en équipe de Suisse de Fed Cup les 9 et 10 février contre la Belgique (oremier tour du groupe mondial II). La Bernoise, no 67 à la WTA, vivra son baptême du feu devant son public, sur la terre battue de la Wankdorfhalle de la capitale, dont la contenance est de 2300 places.
Swiss Tennis se réjouit de pouvoir aligner la meilleure équipe possible puisque, outre Oprandi, seront présentes Stefanie Vögele (WTA 100), Timea Bacsinszky (185) et Amra Sadikovic (236).
Oprandi, qui a longtemps joué pour l’Italie, n’avait encore jamais servi sous la bannière à croix blanche. «Je suis particulièrement heureuse de faire cette première apparition sous les couleurs helvétiques, sur le pas de ma porte, a-t-elle déclaré. J’espère que les Bernoises et les Bernois viendront en grand nombre et qu’ils donneront de la voix pour nous soutenir.»
Si la formation du capitaine Heinz Günthardt devait battre la Belgique - dont la sélection n’a pas encore été dévoilée -, elle disputerait en avril un barrage pour une place dans le groupe mondial I des huit meilleures nations.

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Alex Thomson est à bon port

Voile

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La skipper gallois a franchi la ligne d'arrivée du Vendée Globe mercredi matin. Il termine la course à la troisième place.

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Après deux abandons, Alex Thomson a enfin terminé le Vendée Globe.
Image: AFP
Le Britannique Alex Thomson («Hugo Boss») a pris mercredi matin aux Sables-d’Olonne (Vendée) la troisième place du Vendée Globe, la course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance remportée dimanche par le Français François Gabart.
Thomson, 38 ans, marié et père d’un enfant, a franchi la ligne d’arrivée (située au large des Sables, entre la bouée Nouch sud et le bateau comité) à 8 h 25 heure française, après 80 jours 19 heures et 23 minutes de course.
Le skipper du monocoque argenté Hugo Boss est ainsi devenu le troisième Britannique à monter sur le podium d’un Vendée Globe, après Ellen MacArthur en 2001 et Mike Golding en 2005.
C’était la troisième participation du skipper gallois à cette épreuve, surnommée «l’Everest des mers» et dont le départ avait été donné le 10 novembre dernier aux Sables. Thomson avait abandonné en 2004 et 2008.
La troisième place de Thomson est d'autant plus remarquable que le Britannique était à la barre d’un bateau déjà ancien, un plan Farr de 2007 (ex-«BT», ex-«Veolia Environnement», ex-«

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Pause bibine, donne soif le sport

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petite suite? attentifs?