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Pour Thomas Déruns, "le LHC a sa place en LNA"

02.04.2013 01:00 mise à jour à 01:12
Thomas Déruns et le Lausanne HC parviendront-ils à retrouver la LNA? [Sandro Campardo - Keystone]


Champion de LNB pour la troisième fois en cinq ans, le Lausanne HC s'attaque dès jeudi face à Langnau à la plus grosse partie de son objectif: le barrage de promotion/relégation LNA/LNB. Le Chaux-de-Fonnier Thomas Déruns, débarqué à Malley en décembre après un passage décevant à Berne, nous en parle.
Ce sera finalement Langnau. Mais pour Thomas Déruns, c'était de toute façon un peu égal. Rapperswil ou Langnau, le Chaux-de-Fonnier savait que son Lausanne HC devra sortir l'artillerie lourde pour obtenir son retour en LNA, attendu depuis sa culbute en 2005.
"Langnau ou Rapperswil, ce n'est pas tout à fait le même style de jeu, mais certaines spécificités sont les mêmes", analyse Thomas Déruns, débarqué à Malley en provenance de Berne en décembre dernier.
La recette est "simple": "jouer discipliné en défense!"

Même s'il sait que "ce ne sera pas facile", l'ex-attaquant de GE-Servette ne voit qu'un moyen pour le LHC de réussir son pari: "jouer discipliné en défense!". "On a vu dans cette série de finale des playout entre Langnau et Rapperswil que beaucoup de buts étaient marqués. C'est donc avant tout en défense qu'il faudra assurer...".
En tout cas, Déruns y croit à cette promotion. "Lausanne est une belle ville de hockey, ainsi qu'une belle organisation. Et elle a tout à fait sa place en LNA!". Le Neuchâtelois s'y sent parfaitement bien et se voit même rester. Mais si et seulement si... "Si le LHC monte, je resterai, c'est certain", assure-t-il.
Déruns aura connu un passage manqué à Berne (11 buts et 19 assists en 94 matches). [Peter Klaunzer - Keystone] A 31 ans, Déruns sait qu'il a encore quelques années de hockey devant lui, et de préférence parmi l'élite. Mais il refuse d'évoquer son avenir dans le cas où le LHC manquerait - encore - le grand saut, que d'aucuns jugent impossible tant le "cancre de LNA" paraît avantagé (il commence à domicile).
"Je suis prêté à Lausanne par Berne jusqu'à la fin de la saison. Ensuite, j'ai cassé mon contrat. J'attendrai de voir ce qui se passe avec Lausanne avant de parler de la suite de ma carrière".
Passer du CP Berne à la LNB n'a en tout cas pas dérangé Déruns, devenu par la même occasion ex-international, "Mais je sais que certaines personnes ont été surprises et déçues". Arrivé chez l'Ours en grandes pompes en février 2011, le Neuchâtelois n'y aura donc pas laissé de grande trace, y étant même très souvent relégué en bout de banc...
"Difficile pour moi en Suisse alémanique"

"C'était difficile pour moi en Suisse alémanique", se rappelle le no94 lausannois. "Je ne sais pas vraiment ce qui n'a pas fonctionné, et sur la fin j'ai encore perdu la confiance du coach. Je voulais alors juste rejouer et retrouver confiance".
Pour lui, "le meilleur challenge était alors le LHC, surtout que Berne ne voulait pas me laisser aller n'importe où". Un retour à Genève (réd: qu'il aura certainement souhaité...) était donc dans ce sens bien évidemment exclu...
Opposé ici à son ex-compère de l'équipe nationale Paul Di Pietro (en blanc), Déruns démontre qu'il a retrouvé son jeu à Lausanne. [Laurent Gillieron - Keystone] Aujourd'hui, Déruns a retrouvé une certaine confiance et une partie de son hockey dans la capitale vaudoise (6 buts et 13 assists en 25 matches, playoff de LNB - 5 matches seulement - y compris). "Avec ma commotion, je n'ai pas pu aider l'équipe comme j'aurais pu le souhaiter".
Mais voilà, c'est maintenant, dans ce barrage de promotion/relégation, que ça va vraiment compter, et l'ex-hockeyeur du HCC fera tout pour aider son LHC à remonter enfin (3e fois que le club vaudois est champion de LNB en 5 ans!) parmi l'élite. "Nous avons une belle équipe, c'est la bonne année", dit-il.
Le LHC réussira-t-il son pari, comme en 1995 et 2001 ces dernières années? Une ville, un canton et la Suisse romande en rêvent. Mais Langnau ne se laissera pas faire. Réponse sur la glace, dès jeudi.
Daniel Burkhalter (#DaniBurkhalter)

[Norton]

Un jeune Suisse, Tanner Richard, signe un contrat de 3 ans avec Tampa Bay, équipe de NHL

01.04.2013 22:02 mise à jour à 22:36

La Suisse compte un nouveau joueur en NHL. Tanner Richard, drafté par Tampa Bay en 2012, a obtenu un contrat de 3 ans avec la franchise de Floride, a annoncé Steve Yzerman, "GM" du club. Cet attaquant de 19 ans, qui a disputé 4 parties en LNA avec R'wil en 2010/11, évoluait ces 2 dernières saisons en Ontario Hockey League à Guelph. Avec 11 buts et 51 assists en 52 matches, Richard s'est classé au 9e rang du classement des compteurs de la Ligue.Tanner, fils de l'inoxydable Mike Richard (ex-Zurich et R'wil dans les années 90), avait pris part aux CM M20 tenus en Russie en début d'année.

[Norton]

Stefanie Voegele (WTA 63) a eu besoin de 3 sets pour passer l'obstacle Pereira (119) au 1er tour à Charleston

01.04.2013 22:38 mise à jour à 23:03

Stefanie Voegele (WTA 63) a eu besoin de 3 sets pour passer l'obstacle Teliana Pereira (119) au 1er tour à Charleston. L'Argovienne s'est imposée 4-6 6-2 6-4 en 2h06' face à la Brésilienne issue des qualifications.La droitière de Leuggern est revenue de loin avant de fêter son 17e succès de l'année (qualif' incluses) sur la terre battue américaine. Elle a été menée 2-4 dans la manche décisive, où elle a remporté cependant les 4 derniers jeux.L'Argovienne, qui a égalé lundi le meilleur classement de sa carrière, fera figure d'outsider en 1/16. Elle défiera l'Espagnole Navarro (20).

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Scénario catastrophe pour Anderlecht

Köteles anticipe du bon côté et détourne le penalty de Nuytinck. Nouveau psychodrame pour Anderlecht. © photo news.
MISE À JOUR Archi dominé pendant plus d'une heure de jeu, le Racing Genk est parvenu à renverser la vapeur en dix minutes de jeu et réalise le hold-up parfait au Parc Astrid (1-2, Nuytinck, Kara, Vossen). Grâce à cette victoire inespérée, les Limbourgeois relancent complètement le championnat et reviennent à trois longueurs du Sporting. Pour les protégés de John Van den Brom, ce fut le scénario catastrophe. Alors qu'ils asphyxiaient leur adversaire et auraient dû tuer le match en deuxième mi-temps, les Mauves ont fait preuve d'un laxisme coupable sur deux phases arrêtées. Ce manque de concentration leur a coûté la victoire. Comme si cela ne suffisait pas, Nuytinck a raté un penalty à trois minutes de la fin. Une fin de match avec un air de déjà-vu...
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1. Anderlecht peut avoir des regrets
La meilleure équipe ne gagne pas toujours, c'est la dure loi du football. Anderlecht l'a appris à ses dépens. Pendant plus d'une heure de jeu, le Sporting a maîtrisé son sujet, et cela faisait longtemps qu'il n'avait pas affiché un visage aussi séduisant. Percussion, organisation défensive, jeu en mouvement: les hommes de VDB ont survolé les débats avant de faire preuve d'une déconcentration incompréhensible. En effet, Kara (qui avait échappé au marquage de Safari) et ensuite Vossen profitaient coup sur coup du laxisme de la défense anderlechtoise. Un manque de rigueur qui se paie évidemment cash à ce niveau-là. Jusque-là, les hommes de Mario Been n'avaient pas eu voix au chapitre. Au-delà de ces dix minutes de décompression, Anderlecht s'en voudra de ne pas avoir tué le match en début de seconde mi-temps (Kljestan, De Sutter).

2. Inutile de tout remettre en question
Comme on l'a indiqué ci-dessus, Anderlecht a longtemps été la meilleure équipe sur le terrain. Malgré le goût amer que laisse cette défaite, il ne faut pas noircir le tableau. Il y a plusieurs points positifs à retenir. Suarez a effectué une bonne rentrée, De Zeeuw a trouvé ses marques dans l'entrejeu, Odoi a prouvé qu'il pouvait apporter sa pierre à l'édifice sur le flanc droit, et Iakovenko a délivré un nombre impressionnant de centres (dont l'assist pour Nuytinck). Quand il évolue de la sorte, aucune équipe n'est en mesure de contester sa domination. Sans Praet, Bruno, Mbokani et Jovanovic (!), Anderlecht a démontré qu'il restait le principal candidat à sa succession. Autre point positif: Cyriac a fait son grand retour ses les pelouses après plusieurs mois d'absence.

3. Un 14e (!) penalty raté
Difficile ne pas revenir sur cette fin de match épique. Alors qu'il pousse pour tenter d'égaliser, Anderlecht obtient un penalty (logique) pour un accrochage sur Suarez. Comme annoncé auparavant, c'est Nuytinck qui se charge du coup de réparation. Sous les yeux de Louis Van Gaal (présent dans les tribunes du Parc Astrid), le défenseur néerlandais s'élance... et voit sa frappe détournée par Köteles, qui avait déjà été le héros en Coupe de Belgique. C'est le 14e (!) penalty raté par Anderlecht cette saison. Nouveau psychodrame pour le Sporting. Culpabilisant pour ce raté aux lourdes conséquences, le défenseur néerlandais est allé s'excuser auprès de son public après la rencontre. Anderlecht et les penalties, la malédiction continue...

[Norton]

Foot - Ligue des Champions - Quarts : Le Barça ne veut pas revivre ça

Marqué par sa défaite face à l'AC Milan en huitième de finale aller (0-2), le FC Barcelone ne veut pas se faire avoir une deuxième fois , mardi soir, face au Paris-SG en quart de finale aller.
«On apprend de toutes les défaites», a insisté David Villa avant le quart de finale aller face au PSG, mardi soir. Une référence au revers du Barça à Milan en 8e de finale aller; (AFP)







Une équipe avertie en vaut deux. Il y a un mois, le FC Barcelone avait pris une claque en Lombardie sur la pelouse de l’AC Milan (0-2) lors d’un huitième de finale aller très mal maîtrisé. Les Catalans, qui ont survécu grâce à un match retour éblouissant (4-0), n’ont pas oublié ce couac au moment de livrer bataille à Paris. Ils assurent ne plus vouloir revivre ça. «On apprend de toutes les défaites, a reconnu David Villa. A Milan, nous avons beaucoup souffert. Heureusement, nous avons livré un gros match au retour à Barcelone. Demain (mardi), le match sera très difficile. Nous devrons être attentifs et ne surtout pas reproduire la prestation de Milan.»

Appelé à venir s’exprimer à la place de Tito Vilanova, tout juste de retour au sein du Barça, l’entraîneur adjoint Jordi Roura a confirmé que ses protégés avaient retenu la leçon. «L’expérience de Milan nous permet au moins de savoir ce que nous devons faire, mais aussi ce que nous devons surtout éviter (de faire). On doit être à 100 % physiquement et mettre beaucoup d’intensité.» A San Siro, les Blaugranas avaient longtemps tourné en rond, sans inspiration. Avant de se faire piéger...

«Le PSG est très fort dans le jeu aérien»

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Ce scénario peut-il de nouveau se reproduire au Parc des Princes ? Barcelone est arrivé avec cette crainte, d’autant que Paris a prouvé ces dernières semaines qu’il était particulièrement à l’aise en contre-attaque... «Le jeu en contre du PSG est une de leurs facettes mais ils en ont beaucoup d’autres, a tempéré Roura. Nous sommes d’ailleurs assez habitué à jouer contre des équipes recroquevillées. Je pense qu’ils vont essayer d’évoluer autrement qu’en contre-attaque.» Barcelone connaît les autres atouts d’un Paris aussi impressionnant dans l’impact physique. «Le PSG est très fort et dangereux dans le jeu aérien», se méfie Roura, qui a ciblé dans ce domaine les deux cracks parisiens Ibrahimovic et Thiago Silva. Pour autant, les Catalans ont expliqué qu’ils n’avaient pas l’intention de modifier leur façon de jouer.
D. Mi., au Parc des Princes

[Norton]

Rugby - RCT : Wilkinson : «J'ai pris le temps»

Le feuilleton n'est pas encore clos puisque Jonny Wilkinson n'a pas encore resigné pour un an au RC Toulon. Mais sa conférence de presse ce lundi refermait une séquence, celle de l'annonce du maintien de l'ouvreur anglais qui a surpris jusqu'à son président.
Jonny Wilkinson a confié avoir hésité avant de prendre la décision de poursuivre sa carrière. (L'Equipe)







POURQUOI CONTINUER ?

«L'envie était toujours là et je ne pense pas perdre un jour l'enthousiasme. Je suis joueur de rugby professionnel depuis l'âge de dix-sept ans et je pratique ce sport que j'adore de tout mon coeur. Je le fais le plus sérieusement possible mais je sais qu'il ne me reste plus beaucoup de temps à jouer.

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Alors, si je continue, c'est pour être à 100%, sinon j'arrête. (La saison de trop) est le pire pour un professionnel. Ce n'est pas de ne pas gagner des titres car toutes les équipes ont la même ambition et à la fin de la saison, il n'y en a qu'une qui y parvient. Si je faisais l'année de trop, je n'aurais pas amené de choses positives.»

A-T-IL HÉSITÉ ?


«Je me suis remis en question par rapport à moi-même, mes capacités physiques et mon niveau de jeu. La question était de savoir ce que je pouvais apporter de plus à l'équipe et si le club était toujours content de moi. Le plus important, c'est l'équipe, l'ambiance et le désir de succès. En novembre, j'hésitais encore à prolonger. Mourad (Boudjellal) m'a dit que cela ne le dérangeait pas et ça m'a beaucoup aidé. J'ai pris le temps de réfléchir et de poser des questions aux autres pour prendre la bonne décision. Je ne vais pas cacher que je me suis parfois levé le matin en pensant à arrêter ma carrière mais le lendemain, je changeais d'avis. Il ne fallait pas paniquer et ne rien décider trop tôt.»

OU EN SONT LES NEGOCIATIONS ?

«On est en train de discuter. Tout se passe très bien alors j'espère que ça va se concrétiser très vite. Pour le moment, je pense davantage aux grands matches qui se profilent qu'à ma prolongation.»
AFP

[Norton]

Foot - Bleus : Nasri : «J'ai eu tort»

Suspendu trois matches pour son comportement pendant l'Euro, Samir Nasri a reconnu lundi soir sur BeIn Sport avoir «mal géré la situation». «J'aurais dû faire mon mea culpa».
Samir Nasri reconnaît qu'il a «mal géré» l'après Euro. (L'Equipe)







Il s’était fait discret depuis l’Euro 2012. Invité de BeIn Sport, lundi soir, Samir Nasri a enfin rompu le silence. Suspendu trois matchs par la commission de discipline de la FFF pour son comportement en Ukraine, le milieu de Manchester City reconnaît qu’«après l’Euro, l’impact médiatique a été très difficile à digérer». «Je dirais que ça a un peu plombé ma saison. Tout le monde m’en a parlé. J’ai mal géré la situation, je le reconnais. J’aurais dû faire mon mea culpa, je me suis renfermé et avec le recul, je me rends compte que j’ai eu tort.»

«L'équipe de France reste quelque chose de très important». De nouveau sélectionnable depuis octobre 2012, l’ancien Marseillais n’a pour l’instant jamais été convoqué par Didier Deschamps. Il assure pourtant garder les Bleus dans un coin de sa tête. «Ça reste quelque chose de très important, a-t-il insisté. Quand on est footballeur au haut niveau, c’est le summum. L’Euro, la Coupe du monde, ce sont des compétitions que j’ai toujours rêvé de jouer étant gosse. Mais il faut être réaliste et être performant dans son club, tous les week-ends, et après je pourrai y repenser. Que je sois irréprochable dans mon club d’abord.»

[Norton]

Foot - Ligue des Champions - Juve : Conte : «Pas en victime»

Antonio Conte estime que la Juve sera «outsider» mardi soir face au Bayern en quart de finale aller de la Ligue des champions. «Mais on n'est pas ici par hasard», a aussi rappelé l'entraîneur du club bianconero.
Antonio Conte estime que le quart de C1 face au Bayern est un bon moyen pour la Juve de «comprendre ce qui nous manque pour concourir avec les meilleurs clubs en Europe.» (AFP)







«Antonio Conte, dans quel état d'esprit abordez-vous ce match ?
On est vraiment ravi de renouer avec ce niveau de la compétition après une si longue absence. Dans cette compétition, on est outsider face à l'une des meilleures équipes d'Europe. Mais on ne vient pas en victime. On est ici pour jouer notre football, avec notre philosophie. Jouer à ce niveau, c'est un rêve et les rêves se réalisent parfois.

«On viendra avec notre idée du football» Avez-vous détecté des points faibles au Bayern ?
On sait qu'on est confronté à l'un des favoris pour la victoire finale, comme Barcelone et le Real. Mais on n'est pas ici par hasard. On a mérité ce quart de finale et on va le jouer avec enthousiasme et le désir de bien faire. On a bien préparé le match. On a étudié les forces du Bayern et on connaît quelques faiblesses. On viendra avec notre idée du football, pour comprendre aussi ce qui nous manque pour concourir avec les meilleurs clubs en Europe.

«Un exemple pour nous»


Pensez-vous sacrifier un attaquant (Vucinic incertain, ndlr) ?
Il est possible qu'on joue avec un milieu de terrain supplémentaire. Mais au final, ça n'a pas beaucoup d'importance. Ce qui importe, c'est de ne pas trahir notre esprit du jeu, notre mentalité. Il nous faudra surtout être très disciplinés sur le plan tactique et jouer avec beaucoup d'abnégation. Les équipes italiennes jouent habituellement dans ce style. Mais j'espère qu'on va offrir plus que cela. Ce qui n'est pas toujours facile, surtout face à des équipes du niveau du Bayern.

Vous avez sorti Chelsea, le tenant, quelle différence y a-t-il avec le Bayern, le finaliste ?
On a fait deux très bons matches contre Chelsea (en phase de poules). Mais le Bayern, vice-champion, est plus fort. C'est agréable de les voir évoluer, ils jouent plus en équipe. En championnat, le Bayern possède 20 points d'avance sur le Borussia Dortmund, ça montre sa force. Ils ont des joueurs de grande qualité. On a vraiment envie de nous mesurer à eux. Car c'est aussi un club qui est un exemple pour nous.»
AFP

[Norton]

Le FC Bâle face à l'épreuve Bale

03.04.2013 15:52 mise à jour à 17:51
Diaz (à gauche) et Cabral espèrent que le ciel sera avec le FCB jeudi à Londres. [Keystone]


Le FC Bâle va tenter d'écrire un nouveau chapitre de son livre des exploits européens. En quart de finale aller de l'Europa League, les champions de Suisse affrontent Tottenham et sa star Gareth Bale jeudi soir (21h05/RTS deux) à Londres.
Evoluer dans un stade anglais typique tel que White Hart Lane, cela parle aux joueurs. "Ce sera le highlight de ma carrière", a expliqué Fabian Schär (21 ans), la révélation de la saison côté bâlois. "Mais je ne ressens pas de pression, c'est juste quelque chose à pleinement savourer", a dit le défenseur central auteur de sept buts depuis son arrivée au Parc St-Jacques.
Climat glacial

Gareth Bale, l'homme à surveiller de près côté rhénan. [Matt Dunham - Keystone] Après avoir joué contre deux clubs de l'Est, Dniepropetrovsk et Zénit St-Pétersbourg, le FCB ne va pas être tant dépaysé que ça au niveau du climat. Un froid inhabituel règne en effet sur la capitale anglaise, et le mercure devrait frôler le 0 degré jeudi lors de la rencontre. Cela n'empêchera sans doute pas les Londoniens de vouloir mettre le feu dans la défense suisse.
Ils ne manquent évidemment pas d'atouts pour y parvenir, à commencer par Gareth Bale. Le Gallois de 23 ans se profile comme l'un des acteurs majeurs du football mondial. Sa vitesse exceptionnelle, son pied gauche magique et ses inspirations en font un élément capable de mettre au supplice n'importe quelle organisation défensive. Bale n'est cependant pas le seul homme à surveiller parmi les Spurs.
Defoe out

Le danger peut aussi venir de Lennon ou de Sigurdsson. Les montées du défenseur belge Vertonghen devront également être bien gérées par les Bâlois. Tottenham sera par contre privé de Defoe (déchirure musculaire). "C'est une grande perte", a réagi le manager Andre Villas-Boas.
Privé de trophée depuis 2008 (Coupe de la Ligue), Tottenham ne cracherait pas sur un succès final en Europa League. Le club de White Hart Lane a d'ailleurs remporté deux fois la Coupe UEFA, ancêtre de la compétition actuelle, en 1972 et 1984. Il a aussi gagné la défunte Coupe des Coupes, en 1963. Champion d'Angleterre à deux reprises (1951, 1961), Tottenham a longtemps été l'équipe la plus titrée en FA Cup: elle y compte huit victoires, mais la dernière date de 1991.

[Norton]

un peu de spor

Barton devra s'expliquer sur ses tweets homophobes

Football

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Joey Barton, qui a provoqué un tollé en insultant à plusieurs reprises le défenseur brésilien du PSG Thiago Silva, a été convoqué par le conseil national de l'éthique français.
Mis à jour à 17h09 1 Commentaire

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Image: Keystone
Le conseil national de l'ethique a convoqué le Marseillais Joey Barton pour être auditionné le 15 avril prochain.
Pour rappel, Thiago Silva avait défendu son compatriote Neymar, souvent attaqué par l'Anglais via Twitter, dans les colonnes de L'Equipe mardi, avant le match contre le FC Barcelone. Joey Barton s'en était alors pris à l'ancien joueur de l'AC Milan, le traitant de «surcoté», de «gros» et de «transexuel».