Toutes New sportives autres que la moto

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Philippe Gilbert mis à l'amende pour pollution

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Une dizaine de coureurs de l'édition 2012 de Liège-Bastogne-Liège ont écopé d'une amende de 500 euros pour avoir jeté leurs bidons sur la voie publique, a-t-on appris de source judiciaire vendredi.

Après une enquête faisant suite à des plaintes déposées par des associations écologistes, le parquet de Liège "a proposé une transaction de 500 euros à un dizaine de coureurs", a indiqué une porte-parole du Parquet, précisant qu'en cas de refus de payer cette amende, les cyclistes pourraient être poursuivis devant un tribunal correctionnel. Le Parquet n'a pas voulu communiquer le nom des coureurs inquiétés.

Ces coureurs pourront participer à l'édition 2013 de la Doyenne des classiques programmée dimanche. "Nous n'avons pas la compétence d'interdire à un coureur de prendre le départ d'une course", a indiqué la porte-parole du Parquet. Le champion du monde Philippe Gilbert, figure dans le lot des coureurs concernés, selon la déclaration du manager de l'équipe BMC, John Lelangue, qui a confirmé l'audition du coureur wallon "dans une très bonne ambiance".

"Il n'a pas été question d'interdire de départ (Gilbert), l'instruction est en cours, ça clôt le chapitre", a conclu John Lelangue en regrettant "un article un peu sensationnel repris sans vérification".

Vendredi matin, le journal français L'Equipe avait affirmé que la police belge pourrait interdire le départ à une vingtaine de coureurs. "Une action policière préventive se doit toujours d'être proportionnée à la gravité de l'infraction potentielle. Ce n'est évidemment pas le cas ici. La course aura lieu avec tous les coureurs inscrits", a déclaré une source policière au correspondant de l'AFP.

Alain Lebrun, l'avocat d'une des associations écologistes, a lui affirmé qu'"il n'entre pas dans les intentions de ses clients d'empêcher les coureurs de participer aux épreuves".

Plusieurs groupements belges de défense de l'environnement font pression depuis plusieurs mois sur l'Union cycliste internationale (UCI) "pour un cyclisme propre, au sens premier du terme", selon Alain Lebrun. "Nous demandons que l'UCI prenne des sanctions sportives contre les coureurs pollueurs, comme il existe des sanctions à l'encontre des coureurs dopés", a ajouté l'avocat.

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Mourinho: "Casillas sera sur le banc samedi"

L'entraîneur portugais, qui est en froid avec Casillas, s'est réjoui de pouvoir compter sur "deux gardiens aussi en forme qu'eux deux et deux jeunes derrière également au niveau (Antonio Adan et Jesus Fernandez, Ndlr)". © epa.
L'entraîneur du Real Madrid José Mourinho a révélé vendredi que le gardien madrilène Iker Casillas continuerait d'être sur le banc au profit de Diego Lopez samedi, en match de championnat contre le Betis Séville, affirmant toutefois que ce ne serait "pas une surprise pour moi s'il rejouait un jour".
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"Demain (samedi), Casillas sera sur le banc, mais il est en parfaite condition pour jouer. Ce ne serait donc pas une surprise pour moi de le voir rejouer un jour parce qu'il est en pleine forme", a expliqué vendredi Mourinho en conférence de presse.

Relégué sur le banc depuis qu'il est revenu après son opération de la main gauche pour une fracture, Casillas, 31 ans, n'a plus joué depuis le 23 janvier dernier.

Ce jour-là, le champion du monde aux 143 sélections s'était fracturé le pouce de la main gauche après un choc avec son coéquipier Arbeloa, ne parvenant pas ensuite à reconquérir sa place de titulaire après l'arrivée au club de Diego Lopez.

Initialement débarqué au Real pour assurer l'intérim, l'ancien gardien de Séville, 31 ans lui aussi, a depuis prolongé son bail dans les cages madrilènes.

L'entraîneur portugais, qui est en froid avec Casillas, s'est réjoui de pouvoir compter sur "deux gardiens aussi en forme qu'eux deux et deux jeunes derrière également au niveau (Antonio Adan et Jesus Fernandez, Ndlr)".

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Bradley Wiggins jette son vélo de rage

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Lors de la dernière étape du Tour du Trentin, Bradley Wiggins avait encore une bonne chance d'empocher la victoire finale. Hélas pour lui, le dernier vainqueur du Tour de France a connu des ennuis mécaniques et n'a terminé qu'à la cinquième place au général, à 1'40 de Nibali.

Comme vous pouvez le voir sur ces images, le champion olympique n'a pas caché sa frustration et a lancé son vélo contre le mur... sans le faire tomber.

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Nadal s'est fait très peur contre "Baby Fed"

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MISE À JOUR Rafael Nadal a dû puiser dans ses réserves pour venir à bout du talentueux Bulgare Grigor Dimitrov (6-2 2-6 6-4) en quarts de finale du Masters 1000 de Monte-Carlo. L'Espagnol a commis un nombre inhabituel de fautes directes, tandis que son adversaire a joué crânement sa chance jusqu'au dernier point. Considéré par certains comme le "nouveau Federer", Dimitrov a souffert de crampes en fin de match. Auteur de quelques coups exceptionnels, il a reçu l'ovation du public monégasque. Quant à "Rafa", il reste en course pour son neuvième (!) succès de rang sur le Rocher et affrontera le chouchou local Jo-Wilfried Tsonga en demi-finales samedi.
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"Dimitrov, c'est le présent et l'avenir du tennis mondial. Il joue bien. Il est capable de très bien jouer, d'être très agressif. Il a une excellente technique. C'est un joueur complet", avait lancé Rafael Nadal avant son duel contre le joueur de tennis bulgare. C'est dire comme le Majorquin se méfiait comme de la peste de son adversaire.

Si Nadal, N.5 mondial et 3e tête de série, a remporté sa 45e victoire de suite sur le Rocher, il a souffert comme rarement, perdant son premier set depuis deux ans dans le tournoi, face au "Federer bulgare", qui l'a menacé jusqu'au bout.

Mené 3-4 dans la manche décisive, "Rafa" est parvenu à "serrer" le jeu en fin de partie pour s'imposer. Criblé de crampes, Dimitrov a terminé le match sur une jambe, mais peut se réjouir d'avoir poussé Nadal dans ses derniers retranchements.

Nadal: "Content de m'en être sorti"
"Grigor est un talent magnifique, ça a été un grand match, je suis content de m'en être sorti", a commenté Nadal, très soulagé après avoir claqué un ace sur la balle de match, après 2h08 de combat et d'angoisse. Après un premier set serein, le N.5 mondial a été proche de la sortie à 3-4, 30-30 sur son service dans la troisième manche face à un Dimitrov à la hauteur de tous les superlatifs qui l'accompagnent depuis le début de sa carrière.

Appelé le "Federer bulgare" depuis de nombreuses années déjà alors qu'il ne fête ses 22 ans que le mois prochain, Dimitrov a multiplié les coups gagnants, comme ce coup droit gagnant chronométré à 169 km/h sur la première balle de match, avant de craquer physiquement, perclus de crampes. Dimitrov, qui avait déjà embêté Novak Djokovic à Indian Wells et Andy Murray à Miami, a réussi un match formidable.

Une défaite aurait été une énorme sensation tant Nadal a fait du tournoi de Monte-Carlo son jardin. Il n'y a perdu qu'une seule fois, lors de ses débuts en 2003 à l'âge de 16 ans et a enchaîné depuis sur huit titres. A quatre reprises, il a gagné le tournoi sans lâcher un seul set. Il a perdu ses deux derniers en 2009 face à Novak Djokovic et en 2011 face à Andy Murray. Malgré les difficultés affichées vendredi, il sera encore le grandissime favori de sa rencontre face à Jo-Wilfried Tsonga, vainqueur 2-6, 6-3, 6-3 du Suisse Stanislas Wawrinka un peu plus tôt Il mène 7 à 3 dans ses rencontres avec Tsonga qu'il a surclassé 6-0, 6-2, 6-4 lors de leur unique confrontation sur terre battue, en 2011 en Coupe Davis.

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Fognini joue un sale tour à Gasquet

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L'Italien Fabio Fognini, N.32 mondial, s'est qualifié pour les demi-finales du Masters 1000 de Monte-Carlo en battant le Français Richard Gasquet, N.9, en deux sets 7-6 (7/0), 6-2 vendredi. C'est la première fois que Fognini, vainqueur du N.6 mondial Tomas Berdych au tour précédent, atteint le dernier carré dans un Masters 1000. Il rencontrera le Serbe Novak Djokovic ou le Finlandais Jarkko Nieminen.
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Pour Gasquet, il s'agit d'une grosse déception, d'autant que le N.2 français s'est procuré une balle de premier set avant de s'écrouler dans le tie-break.

Il n'a pas su trouver les ressources pour renverser la situation au deuxième set et atteindre une huitième demi-finale en Masters 1000, un mois après la dernière à Miami où il a souffert d'une entorse à la cheville droite.

C'est d'autant plus décevant qu'il avait gagné ses deux premières rencontres contre Fognini en ne lâchant que quatre jeux en route.

Mais le N.2 italien lui a cette fois posé énormément de problèmes en proposant un jeu flamboyant. Très encouragé par le public, en grande majorité italien, il a enflammé la partie avec 37 coups gagnants.

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Nibali remporte le Tour du Trentin

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L'Italien Vincenzo Nibali (Astana) a remporté le Tour du Trentin cycliste (2.HC), en s'imposant dans la 4e et dernière étape, disputée vendredi sur 166,8 km entre Arco et le sommet à Sega di Ala. Au terme de la dernière difficulté, Nibali a devancé son compatriote Mauro Santambrogio (Vini Fantini-Selle Italia) de 8 secondes et le Polonais Przemyslaw Niemiec (Lampre) de 44 secondes. L'Australien Cadel Evans a fini 5e, à 1:02 de Nibali.
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Le Français Maxime Bouet (AG2R La Mondiale), qui se présentait en leader du classement général, avec 3:19 d'avance sur le Belarusse Kanstantsin Siutsou (Sky) et 3:57 d'avance sur Nibali, a fini la dernière étape, qui se terminait par une montée difficile, à 4:42 de l'Italien. Il rétrograde à la 3e place du classement final à 55 secondes de Nibali, et à 34 sec de Santambrogio. L'Anglais Bradley Wiggins a pris la 5e place du général, à 1:40 de Nibali.

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L'Australien James Magnussen suspendu par sa fédération

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Les six membres du relais 4x100 m masculin australien, dont James Magnussen, champion du monde du 100 m libre 2011 et médaillé d'argent des derniers JO, qui avaient participé à un bizutage aux jeux Olympiques de 2012 à Londres, seront sanctionnés par des amendes et des suspensions, a annoncé vendredi leur Fédération nationale, Swimming Australia.
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"Les six athlètes seront condamnés à verser de l'argent à Swimming Australia et seront frappés de suspensions pour non-respect de leurs obligations en matière de comportement", a indiqué la fédération dans un communiqué, sans préciser le montant et la durée des sanctions.

Après les Jeux de Londres, les relayeurs avaient reconnu avoir eu des "agissements stupides" avant le début des compétitions.

"Nous avons effectivement participé à un bizutage pendant lequel des membres du relais ont pris du Stilnox (un médicament classé dans les psychotropes, ndlr) , avaient déclaré à la presse James Magnussen, Eamon Sullivan, James Roberts, Matt Targett, Cameron McEvoy et Tommaso D'Orsogna. Nous reconnaissons aussi que nos agissements cette nuit-là ont été stupides (...) et nous sommes profondément désolés".

Leur relais a échoué à la 4e place à Londres, où la natation australienne, habituée aux premières places, n'a remporté qu'une seule médaille d'or, six d'argent et trois de bronze, soit son plus mauvais bilan depuis les JO de 1992. .

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Jo-Wilfried Tsonga premier demi-finaliste à Monte-Carlo

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Jo-Wilfried Tsonga, 8e mondial, a atteint pour la première fois les demi-finales du Masters 1000 de Monte-Carlo en battant le Suisse Stanislas Wawrinka (ATP-17) en trois sets 2-6, 6-3, 6-4 vendredi.
C'est même la première fois que le N.1 français, 6e tête de série à Monte-Carlo, se hisse dans le dernier carré d'un Masters 1000 sur terre battue. Il rencontrera samedi le Bulgare Grigor Dimitrov (ATP 34) ou l'octuple tenant du titre, l'Espagnol Rafael Nadal, 5e mondial et 3e tête de série.

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Foot - Coupe de la Ligue : Galtier : «Que du bonheur»

A la veille de la finale de la Coupe de la Ligue, samedi (21h00) au Stade de France contre Rennes, Christophe Galtier est apparu très détendu. «Il faut que ce ne soit que du bonheur», a déclaré l'entraîneur de l'AS Saint-Etienne.
Christophe Galtier apprécie l'athmosphère qui règne avant la finale. (L'Equipe)







Christophe Galtier était tout sourire, à la veille de la finale de la Coupe de la Ligue. Un trophée qu’il s’est permis de toucher ce vendredi, car «samedi, ce ne sera pas sûr». Alors que l’AS Saint-Étienne n’a plus remporté de titre majeur depuis 1981, les Verts ont l’occasion de mettre fin à cette période de disette samedi contre le Stade Rennais. Un évènement qui suscite énormément d’engouement à Saint-Étienne et dans toute l’Hexagone. «La France est derrière nous ? Je le constate, mais ce n’est pas grâce à nous. Ce sont nos aînés, les prédécesseurs qui ont marqué le football français. J’espère que nous serons les dignes héritiers de cette génération là, a déclaré l’entraîneur de l’ASSE. La symbolique des Verts existe. Il faut faire avec et il faut que ce soit un moteur pour l’équipe. Quand vous êtes stéphanois, vous avez des devoirs. Samedi, nous devrons tout donner, tout donner (il le répète deux fois, ndlr), pour remporter ce trophée».

«Il n'y a pas de favori dans une finale ! Je ne vois pas beaucoup de différence entre le Stade Rennais et l'AS Saint-Étienne» L’entraîneur des Verts a fait tout son possible pour enlever la pression à ses joueurs, préférant parler d’«engouement». «Il faut accepter et prendre l’engouement avec beaucoup de joie. On a tout fait dans les tours précédents pour venir ici. Il faut que ce ne soit que du bonheur. Le match de demain ne va rien changer. Il va peut-être permettre au club de rajouter une ligne à son palmarès, mais il ne faut pas prendre le match comme un fardeau». D’autant que, «derrière cette finale, il y aura des matches de Championnat très importants. Je serai menteur de vous dire qu’il n’est pas important. Il est important. Mais les matches suivants le seront aussi».


Au grand jeu du «C’est toi le favori. Ah nan, c’est toi», Christophe Galtier a répondu à Frédéric Antonetti, qui a qualifié cette semaine l’ASSE d’«archi-favorite» et avait dit de sa propre équipe : «Nous sommes les tocards de la finale». «En finale, il n’y a jamais de tocard, a rétorqué Galtier. Quand on est en finale, on mérite d’y être. Je pense qu’il y a beaucoup plus d’expérience chez les Rennais, a-t-il poursuivi. Il y a quatre ans, ils étaient en finale de la Coupe de France. Ils ont joué des matches de Ligue Europa. Il n’y a pas de favori dans une finale ! Je ne vois pas beaucoup de différences entre le Stade Rennais et l’AS Saint-Étienne. Dans les dix dernières années, l’ASSE n’a jamais fini devant Rennes en Championnat. C’est une belle finale entre deux équipes très proches l’une de l’autre». Pour éviter toute mauvaise surprise, il mettra quand même sa doudoune porte bonheur…

Alexis DANJON, au Stade de France

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Foot - Ligue 1 - 33e j. : Lyon, le hold-up parfait

Dominé dans le jeu à Montpellier, Lyon a arraché la victoire (2-1) à la dernière minute grâce à une frappe puissante de Clément Grenier. L'OL passe provisoirement devant Marseille à la 2e place de L1.
Les Lyonnais ont été dominés mais sont parvenus à l'emporter. (L'Equipe)







Si Lyon avait besoin d’un signe pour croire en ses chances de deuxième place à l’entame de l’emballage final du Championnat, il l’a eu ce vendredi. Dernière minute de jeu à La Mosson : après avoir été acculé sur son but durant toute la deuxième période, l’OL obtient un ultime corner, inespéré. La défense de Montpellier repousse le ballon, qui revient sur Clément Grenier aux vingt mètres. Le milieu de terrain déclenche une frappe superbe qui se loge sous la barre de Jourdren (2-1) et offre trois points précieux à son équipe. Cinq jours après sa victoire contre Toulouse (3-1), l’OL est bien sur la voie de la guérison. Au moins au niveau comptable, car sur le plan du jeu, les hommes de Rémi Garde ont alterné le très correct durant 35 minutes, et une dernière heure critique, durant laquelle ils n’ont pas respiré.

Belhanda remet les compteurs à zéro

Mieux organisé, plus vif et technique au milieu avec un quatuor Gonalons-Malbranque-Grenier-Gourcuff, l’OL a d’abord pris l’ascendant sur son adversaire. Les Rhodaniens ont monopolisé le ballon en première période, et ont logiquement ouvert le score à la 29e, Lisandro reprenant d’une belle tête un centre parfait de Grenier (0-1). Ils n’ont pêché dans les 45e premières minutes que sur des erreurs de concentration. La première, dès la 9e, a été réparée par un arrêt de Vercoutre devant Mounier. La seconde, un enchaînement de Belhanda, a en revanche permis aux Héraultais de revenir au score avant la pause (40e, 1-1). Est-ce cette égalisation inespérée ? Ou bien la probable colère de René Girard à la mi-temps ? Toujours est-il que les champions de France en titre sont revenus des vestiaires avec une volonté décuplée.

Le coup de canon de Grenier


Une envie et des mouvements qui ont complètement déréglé la mécanique lyonnaise. La défense inexpérimentée de l’OL (sans Bisevac, Lovren et Réveillère) a dès lors couru derrière le ballon avec un temps de retard, laissant Mounier (57e) Charbonnier et autre Cabella (50e, 89e sur le poteau) attaquer avec beaucoup de liberté la cage de Vercoutre. Fragiles, les Lyonnais n’ont toutefois pas flanché, et c’est peut-être ce mérite qui différencie cet OL-là de celui qui a encaissé défaite sur défaite en mars. Quand Vercoutre a fait une faute de main, Koné l’a ainsi sauvé (62e). Et quand l’OL a eu une dernière chance sur corner, Grenier l’a pleinement exploitée (90e+2). Lyon reprend ainsi la 2e place de L1, un point devant l’OM. Et retrouve sourire et confiance, une semaine avant le derby face à Saint-Etienne. - Y.S.

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1
2

Montpellier
41eY.Belhanda




Lyon
29eL.Lopez
90eC.Grenier







Voir le film du match





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