Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Tennis - ATP - Queen's : Pas de finale pour Tsonga

Malgré un bon départ, Jo-Wilfried Tsonga na su résister au retour d'Andy Murray qui s'est finalement qualifié pour la finale (4-6, 6-3, 6-2).
Jo-Wilfried Tsonga a craqué face à Andy Murray. (Reuters)







Et de sept ! Sept défaites de rang face à Andy Murray pour Jo-Wilfried Tsonga qui ne sera donc pas en finale du Queen's. Le Français était pourtant bien parti mais n'a pas su résister à la montée en puissance du n°2 mondial. En effet, face à un Murray en mode diesel, Tsonga avait fait le début parfait. Profitant d'un très mauvais jeu de service de son adversaire, Tsonga faisait le break au meilleur moment (5-4) pour remporter le premier set sur son engagement. Les deux hommes allaient rester au contact jusqu'à la fin du set où Murray réalisait le break pour mener 5-3. Il gagnait le deuxième set dans la foulée.

Le combat durait depuis 1h15 mais on sentait que le Britannique prenait la mesure de son adversaire. Plus constant dans ses frappes, plus précis, il obligeait le Français à frapper le coup de trop et à multiplier les fautes. Sept balles de break lui ont été nécessaires pour breaker rapidement et mener 2-1 dans le dernier set. La brêche était ouverte dans l'armure de Tsonga et Murray n'allait plus lâcher son emprise sur la rencontre. Face à un Tsonga clairement dépassé par le regain de forme de son adversaire, Murray arrachait sans trop trembler la qualification pour la finale où il retrouvera Cilic, tombeur d'Hewitt.

Andy Murray : «J'ai bien retourné la situation dans le deuxième set. Une fois que j'ai fait le break, j'ai beaucoup mieux joué. Lors des derniers matchs, j'ai eu de très bons moments et d'autres où j'ai été plus irréguliers, mais je joue bien, je tape bien dans la balle. Contre Cilic, ce sera un match difficile. Il joue bien ici. Il reste sur neuf victoires d'affilée (au Queen's) et il a battu de bons joueurs de gazon cette semaine.»
B.L., avec AFP

[Norton]

Rugby - XV de France : «On a tout tenté »

Le demi de mêlée du quinze de France, Maxime Machenaud, note à quel point ses coéquipiers et lui ont multiplié les initiatives face aux All Blacks, samedi. Mais sans succès.
Le demi de mêlée tricolore Maxime Machenaud et le Néo-Zélandais René Ranger à la lutte pour faire vivre le ballon, lors du deuxième test, à Christchurch. (L'Equipe)







Florian Fritz (trois-quarts centre de l’équipe de France) : «La stratégie des All Blacks a été claire : ne pas s’exposer, jouer dans notre camp. Ils ont eu un jeu au pied exceptionnel. Ils ont exploité le moindre turn-over contre nous. La stratégie de départ, on l’a tout de suite vue. Nous, nous n’avons été efficaces nulle part. Nous avons tenté des choses, on ne peut pas nous reprocher de ne pas avoir tenté, mais leur équipe était mieux organisée et elle a su nous contrer à la perfection. »

Adrien Planté (trois-quarts aile de l’équipe de France): «Nous avons été dans l’approximation tout le match. Nous avons connu vingt minutes où nous avons été vraiment dans le dur en touche et dans le replacement, derrière. Grâce à l’état d’esprit du groupe, on vit bien ensemble et il faut qu’on relève la tête pour essayer d’accrocher ce troisième test (samedi prochain, à New Plymouth) parce que sur l’ensemble du boulot qu’on fait, on le mérite »

Maxime Machenaud (demi de mêlée de l’équipe de France): « Ils ont fait un match irréprochable en défense. On a pourtant tout tenté. Ils ont été très bons dans le jeu au pied d’occupation. Ils ne se sont pas embêtés : ils ont mis de grands coups de pied devant. Peut-être que notre côté, on a trop voulu mettre du jeu au pied de pression alors qu’ils étaient très bons dans le domaine aérien, contrairement à nous. »
Propos recueillis par Maxime MALET, à Christchurch

-

30
0

NOUVELLE-ZELANDE




FRANCE







Voir le film du match





http://medias.lequipe.fr/img-stade:r...e//0-665-0-80/


Article suivant
Les Samoa dominent l'Italie...

[Norton]

Voile - Solitaire : Lagravière premier à Roscoff

Morgan Lagravière, skipper de Vendée, s'est adjugé l'avant-dernière étape, samedi soir, entre Gijon et Roscoff.
Morgan Lagraviere a remporté la troisième étape. (L'Equipe)







A 26 ans, et après trois ans seulement après son arrivée sur le circuit Figaro (monocoque de 10,10m), Morgan Lagravière a remporté, ce soir à Roscoff, sa première étape de la Solitaire du Figaro. Le skipper de Vendée, en tête pratiquement depuis le départ de Gijon (Espagne) jeudi dernier. Nicolas Lunven, lauréat de l’épreuve en 2009, était attendu en deuxième position. Leader au classement général depuis son large succès sur la première étape (Bordeaux-Porto), Yann Eliès pointait à quelque treize milles de Lagravière, il lui restait moins de vingt milles à parcourir, soit près de deux heures de course.

Le skipper de Groupe Queguiner est handicapé depuis samedi après-midi, suite à la casse de l’étai (câble tenant les voiles d’avant). Avant la troisième des quatre étapes, Morgan Lagravière était 5e à 1h53’56’’ de Yann Eliès qui pourrait perdre son leadership au bénéfice de Fred Duthil (2e à 57’6’’), qui n’était qu’à trois milles du vainqueur du soir. L’ultime tronçon mènera les 40 solitaires de Roscoff à Dieppe. Départ le 20 juin, arrivée estimée trois jours après.
Ak.C. à Roscoff

[Norton]

Natation - Rome : Manaudou prend date

Le champion olympique du 50m a remporté le 100m dans un temps certes inférieur à celui des séries du matin (48''55 contre 48''41) mais porteur de grands espoirs pour la suite.
Florent Manaudou a souffert sur 100 m, mais a serré les dents pour s'imposer. (L'Equipe)







Florent Manaudou reprend son souffle, accoudé à la barrière de la zone mixte. «Là, je suis bien fatigué, glisse-t-il en souriant. Il n’aurait pas fallu que ça dure deux mètres de plus…» Après son coup d’éclat du matin (48’’41 en série du 100m, meilleur temps français de l’année, 0’’83 rabotés à son record et une place de sixième performeur français de l’histoire hors combinaisons polyuréthane), le champion olympique du 50m a confirmé en finale. Un peu moins vite, certes (48’’55) mais suffisant pour celui qui ne s’est vraiment mis à l’aller-retour qu’il y a… un mois et demi avec comme objectif, une place cet été dans le relais 4x100m aux Mondiaux de Barcelone (28 juillet-4 août).

«Je pensais pouvoir faire mieux mais malheureusement, j’ai eu beaucoup de fatigue. Enchaîner deux fois 100m, pour moi, c’est déjà beaucoup. C’est satisfaisant et de bon augure pour l’an prochain. J’ai serré les dents parce que faire un bon temps en série, c’est bien mais gagner une finale relevée, c’est aussi important.»

«Il y a des choses qu'il doit encore maîtriser. Il lui reste tant à découvrir.» Son coach à Marseille Romain Barnier savourait lui l’instant sans en rajouter : «Sa performance est en relation avec ce qu’il a fait à l’entraînement mais on est en apprentissage. Il y a des choses qu’il doit encore maîtriser. Il lui reste tant à découvrir. On va en combler un petit peu pour cet été et essayer de trouver le bon mélange pour qu’il soit le plus performant possible pour le relais s’ils ont besoin de lui. C’est une journée complète, pile au bon endroit, un peu trop vite ce matin, bien réajusté ce soir et finalement, on est en phase avec l’objectif qu’on s’était fixé. Maintenant, on va plus se consacrer sur la nage du 50.» C’est en effet sur cette distance (libre et papillon) que le Marseillais d’adoption s’est qualifié pour Barcelone.

Autre vainqueur du jour, Camille Muffat, impériale sur 200m mais peu satisfaite de son chrono (1’56’’01). «Je suis morte et je n’ai pas réussi à réaliser une course aboutie. Je pars vite mais j’ai du mal à finir. Mais le bilan ici est bon. Je repars au boulot.» Prochain et ultime rendez-vous avant les Mondiaux pour les Bleus, l’Open de France à Vichy les 6 et 7 juillet.
J-P.B., à Rome

[Norton]

Athlé - Besançon : Tamgho reverdit !

Le triple-sauteur Teddy Tamgho a retrouvé des couleurs sur le sautoir de Besançon, samedi, en bondissant à 17,30 m, synonyme de minima pour les Mondiaux de Moscou.
Teddy Tamgho a retrouvé le plus haut niveau mondial (4e). (L'Equipe)







Le jour de son 24e anniversaire, Teddy Tamgho, qui avait lui-même demandé l'ajout d'un concours de triple saut en début de semaine à l'organisateur du meeting de Besançon, s'est offert comme un grand son cadeau d'anniversaire : un triple bond à 17,30m, sous le soleil comtois, avec un vent à la limite de la régularité (+2m/s), qui le propulse au 4e rang mondial de l'été, devant le champion olympique et du monde Christian Taylor (17,25m).

«C'est un soulagement, confie celui qui enrageait de tant de sauts mordus depuis le début de l'été. Cela va maintenant me permettre de prendre tous les risques que je veux pour préparer au mieux les Mondiaux de Moscou (10-18 août). Je sens qu'il y a un truc à y faire. Je fais 17,30m aujourd'hui avec un saut assez moche mais je suis en bonne santé et j'ai les minima (17,20m) pour Moscou. C'est tout ce qui compte.» Vingt-trois mois jour pour jour après sa fracture de la cheville, le nouveau Tamgho sait désormais apprécier un bonheur simple tel que celui d'une crédibilité sportive retrouvée.
N.H. à Besançon

[Norton]

Rugby - Tests : L'Angleterre mange les Pumas





Deuxième test du XV de la Rose face à l'Argentine et deuxième victoire anglaise (51-26). Si les Pumas ont fait mieux que lors du premier test (32-3), ils n'ont pas présenté assez de solidité pour endiguer les mouvements offensifs des Anglais qui ont inscrit pas moins de sept essais. Freddie Burns, buteur remplaçant d'Owen Farrel partie faire la tournée des Lions Britanniques, s'est mis en évidence en marquant 19 points. Cette victoire marque une nouvelle étape dans le renouveau du XV de la Rose puisque c'est la première fois qu'une sélection anglaise rentre invaincue d'une tournée en Argentine.

-

26
51

ARGENTINE




ANGLETERRE







Voir le film du match





http://medias.lequipe.fr/img-stade:r...e//0-665-0-80/

[Norton]

Squash - ChM éq. (Hommes) : L'Angleterre sacrée





L'Angleterre a été sacrée championne du monde par équipe de squash après sa victoire 2-1 face à l'Egypte. Championne en titre depuis 2009, l'Egypte a été surclassée durant cette finale et n'a pu remporter qu'une seule victoire grâce au n°1 mondial Ramy Ashour qui s'est imposé face à Nick Matthew (5-11, 11-6, 11-9, 11-9) lors du deuxième match. Le match initial avait été remporté par Daryl Selby qui s'était imposé face à Tarek Momen (11-8, 11-3, 11-7). James Willstrop a apporté le point décisif face à Karim Darwish (11-3, 11-13, 11-3, 11-4). Favorite à sa succession, l'Egypte se contente donc de la médaille d'argent alors que la France avait conquis la médaille de bronze plus tôt dans la journée.

[Norton]

Phil Mickelson peut en finir avec sa malédiction

16.06.2013 09:57 mise à jour à 10:15 Réagir
Mickelson aura l'occasion dimanche de s'offrir un joli cadeau le jour de ses 43 ans. [Tannen Maury - Keystone]


Phil Mickelson a l'occasion de mettre fin à son histoire douloureuse à l'US Open, où il a terminé deuxième à cinq reprises. L'Américain occupe la tête du deuxième tournoi du Grand Chelem de la saison après avoir rendu à l'issue du 3e tour une carte de 70 (par) qui lui a permis d'afficher un total de 209 (-1).
Seul joueur sous le par après trois tours, il devance d'un coup ses compatriotes Hunter Mahan et Steve Stricker ainsi que le Sud-Africain Charl Schwartzel (210). A deux coups de Mickelson, les Anglais Justin Rose, Luke Donald et l'Américain Billy Horschel étaient toujours dans le coup pour la victoire. Tout comme l'Australien Jason Day, qui pointait à trois coups du leader.
Woods et McIlroy distancés

Sept joueurs ont occupé provisoirement la tête, seul ou ex aequo, lors du 3e tour mais c'est Mickelson qui a le mieux fini sa partie: alors que Schwartzel, Mahan et Donald ont tous les trois commis un bogey au no 17, "Lefty" a lui réussi un birdie pour reprendre la tête juste avant le dernier trou.
Tiger Woods et Rory McIlroy, ont poursuivi leur parcours quasi similaire. L'Américain a fini le 3e tour sur une carte de 76 et le Nord-Irlandais sur un 75. Ils semblent maintenant trop loin de Mickelson (+9 pour McIlroy, +10 pour Woods) pour espérer un retournement de situation.
si/fayet

[Norton]

Boston égalise face à Chicago

16.06.2013 Réagir
Boston peut remercier son gardien, Tuukka Kask, qui a sorti le grand jeu en première période. [Nam Y. Huh - Keystone]


Les Boston Bruins sont allés s'imposer samedi chez les Chicago Blackhawks (2-1 après prolongation) pour égaliser à 1-1 en finale de la NHL, s'appropriant l'avantage du la glace.
Lors du match no1 mercredi, Chicago s'était imposé (4-3) après 112 minutes de jeu. C'est la deuxième année consécutive que les deux premiers matches de la Coupe Stanley vont en "overtime". Le Canadien Daniel Paille a offert la victoire aux Bruins après 14 minutes de jeu en prolongation sur un tir après un palet mal dégagé par les Blackhawks, scellant une rencontre que Boston avait médiocrement entamée.
Tuukka Rask sauve Boston

"Nous avons très mal joué dans la première période, nous étions absents et Chicago avait le contrôle total du match, a déclaré l'entraîneur de Boston Claude Julien. C'est Tuukka qui nous a gardés dans le match. On a commencé à jouer dans la deuxième période et on s'est amélioré au fil du match jusqu'à la prolongation, où l'on a eu beaucoup d'occasions."
Tuukka Rask a stoppé 33 tirs adverses (97% d'arrêts), dont 18 lors de la première période, au plus fort de la domination des Blackhawks. Patrick Sharp avait ouvert le score pour Chicago en première période mais Boston a égalisé par Chris Kelly en fin de deuxième tiers.
Le match no3 de la Coupe Stanley aura lieu lundi à Boston.
afp/fayet

[Norton]

Le Brésil fête son entrée dans la Coupe des confédérations

© ap.
Le Brésil a célébré la nette victoire de sa Seleçao face au Japon (3-0) samedi à Brasilia en match d'ouverture de la Coupe des confédérations, sans pour autant que la grogne sociale ne cède du terrain. Le jeune prodige du football brésilien Neymar a rapidement rassuré les supporteurs brésiliens en marquant un but magnifique d'entrée de jeu, faisant exploser de joie les 90.000 spectateurs du stade flambant neuf Mané Garrincha.

Plus de 70.000 personnes ont assisté au match en dehors du stade, sur neuf écrans géants installés sur l'immense Esplanade des ministères, et à l'issue du match l'ambiance était festive et les supporteurs assistaient à des concerts organisés en plein air. Quelque 300.000 personnes devaient circuler sur l'Esplanade, selon les organisateurs.

La fête se répétait dans d'autres villes, comme à Rio où 10.000 personnes ont assisté au match sur grands écrans dans le "Terreirao du samba, près du sambodrome. Mais quelques heures plus tôt à Brasilia, la police brésilienne a une nouvelle fois dispersé avec des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc une manifestation devant le stade de Brasilia contre la facture des grands événements sportifs dans le pays.

Une trentaine de manifestants et sept policiers ont été blessés, a indiqué à l'AFP la police qui a procédé également à une vingtaine d'interpellations. La manifestation avait commencé de façon pacifique mais a dégénéré après l'ouverture de la cérémonie colorée en prélude au match d'ouverture Brésil-Japon et l'arrivée des supporteurs.

Milliards d'investissements
Plus de 800 danseurs en costumes folkloriques des huit pays représentés ont effectuée une grande ronde sur la pelouse du stade avant d'y déployer une immense banderole blanche portant l'inscription "Brésil-Fifa 2013".

Test en miniature du Mondial-2014 au pays du football roi, la Coupe des confédérations inaugure un cycle qui culminera avec les jeux Olympiques de Rio de Janeiro en 2016, et dont la préparation engloutit des milliards de dollars d'investissement dans des travaux d'infrastructures.

La Coupe des confédérations va opposer les huit meilleures sélections continentales du moment. Avec en têtes d'affiche le Brésil, quintuple champion du Monde, et l'Espagne, championne du Monde et double championne d'Europe en titre, à qui il ne manque que la Coupe des Confédérations à son palmarès. Les autres sélections en lice sont l'Italie, le Mexique, l'Uruguay, le Nigeria, le Japon et la modeste sélection amateur de Tahiti. La finale se disputera le 30 juin au mythique stade Maracana de Rio de Janeiro, dont la remise à neuf a duré deux ans et demi et coûté 600 millions de dollars.

Les protestations sociales se multiplient depuis plusieurs jours au Brésil, où 54.000 policiers sont mobilisés pour garantir la sécurité de la Coupe des confédérations. Manifestation au Maracana Samedi soir 2.000 manifestants selon la police et 8.000 selon les organisateurs ont manifesté pacifiquement à Belo Horizonte, autre ville hôte du tournoi. Une manifestation est prévue dimanche à 17H00 locales contre l'augmentation du prix des transports publics aux abords du stade Maracana de Rio où se disputera le match Mexique-Italie.

Des manifestations à Sao Paulo et Rio de Janeiro ont été violemment réprimées jeudi soir par la police. Bilan: des dizaines de blessés, des centaines d'arrestations. Concentrées depuis des mois à répondre aux critiques sur les retards accumulés dans la rénovation des stades et d'infrastructures précaires, les autorités ont visiblement été prises de court par cette soudaine fronde sociale.

Les Brésiliens avaient pourtant accueilli avec enthousiasme et fierté l'attribution des grands événements sportifs. Mais c'était dans l'euphorie des années de la présidence Lula (2003-2011) marquées par une forte croissance économique. Les protestations d'aujourd'hui interviennent dans un climat économique morose, avec une inflation à la hausse, notamment des produits alimentaires de base.

La présidente Dilma Rousseff a dû monter au créneau pour défendre l'intérêt du Brésil à organiser ces grands événements sportifs. "Quand ils vous demandent ce que nous gagnons avec la Coupe du Monde, outre la joie de voir le Brésil jouer, outre la Coupe des confédérations où nous tous espérons voir le Brésil gagner, nous gagnons en améliorations dans la sécurité publique, nous gagnons avec tous ces travaux d'infrastructure qui sont essentiels comme le métro, les routes", a-t-elle déclaré à la veille du tournoi.