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Le Bernois Florian Salvisberg a décroché l'or aux Championnats d'Europe M23 de triathlon aux Pays-Bas

29.06.2013 19:25 mise à jour à 19:34

Florian Salvisberg a remporté l'or aux Championnats d'Europe M23 de triathlon à Holten (PB). Le Bernois a su faire la différence lors de l'épreuve de cyclisme et s'est imposé avec une belle marge de 45 secondes. Il suit ainsi les traces de Sven Riederer (2002) et Ruedi Wild (2005), eux aussi titrés dans cette catégorie.

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Lance Armstrong attise le feu

Cyclisme

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Déjà marqué par les aveux de Jan Ullrich et le contrôle positif de Laurent Jalabert, le peloton a été attaqué par Lance Armstrong à la veille du Tour, qui part de Corse ce matin.
Par Julien Caloz. Mis à jour à 09h22 15 Commentaires

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Image: AFP
Croyez-vous aux jeunes cyclistes «propres»?











Chargé comme un septuple vainqueur du Tour, le ciel de Corse donnait déjà peu d’éclat aux maillots des 198 coureurs de la Grande Boucle, hier lors des derniers entraînements, lorsque Lance Armstrong noircit un peu plus le tableau dans les colonnes du quotidien Le Monde.
«Il est impossible de remporter le Tour de France sans dopage, car c’est une épreuve d’endurance où l’oxygène est déterminant, a réaffirmé le Texan, lui-même déchu de ses sept titres hexagonaux pour dopage. Pour ne prendre qu’un exemple, l’EPO ne va pas aider un sprinteur à remporter un 100 m, mais elle sera déterminante pour un coureur de 10 000 m.» Ce n’est pas la première fois que Lance Armstrong ne croit pas au vainqueur de la Grande Boucle, et même si certains rappellaient hier que ses accusations portaient sur une période révolue (1999-2005), le moment choisi pour renouveler ses accusations marque durement organisateurs et coureurs du 100e Tour de France.
Ces déclarations interviennent avant le départ de la compétition, donné ce matin en Corse, mais également après les aveux de Jan Ullrich –qui a reconnu avoir eu recours au dopage– et la révélation du contrôle positif de Laurent Jalabert sur le Tour 1998. Cela fait beaucoup pour un peloton qui estime payer les erreurs des anciens et, dès lors, ne pas être reconnu à sa juste valeur. Les coureurs ont demandé hier à ce que leurs droits fondamentaux soient respectés, avant que les démarches individuelles ne révèlent l’ampleur de la contestation. Plusieurs équipes refusèrent ainsi de commenter les propos tenus par l’Américain. Cette démarche ressuscita la pensée de l’auteur irlandais George Bernard Shaw, lequel affirma un jour que le silence était «l’expression la plus parfaite du mépris». Ceux qui se sont exprimés évoquèrent un mensonge, comme Cadel Evans, qui prit bien soin de ne pas se fâcher «afin de ne pas gaspiller d’énergie».
Constatant les dégâts causés par l’intervention du Texan, le président de l’UCI himself, Pat McQuaid, est venu au secours de coureurs. «La culture du cyclisme a changé depuis l’époque Armstrong et il est aujourd’hui possible de courir et gagner proprement.» Pour être certain que le message soit bien passé, une délégation de coureurs aurait prévu de rencontrer la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, avant le départ ce matin.
Au coeur de cette lutte entre anciens et modernes se dresse Bernard Hinault. Le Français de 58 ans, quintuple vainqueur de la Grande Boucle entre 1978 et 1985, serait ainsi le dernier représentant du cyclisme propre. Interrogé il y a quelques jours sur le contrôle positif de Jalabert, le Blaireau s’était emporté une première fois: «C’était il y a 15 ans. Il faut arrêter de sortir les morts. On veut tuer le Tour de France.» Hier, au micro de BFM TV, il s’est de nouveau lâché, cette fois au sujet de Lance Armstrong. «Il faut arrêter des penser que tous les coureurs sont des voyous, des drogués (...) La suspicion est permanente. Pensez à autre chose!», a ordonné Hinault, avant de mettre brutalement un terme au duplex organisé par la chaîne.
Le Tour de France se terminera le 21 juillet sur les Champs-Elysées.

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Kirsten Flipkens sortie au 2e tour du double dames

© belga.
Kirsten Flipkens a été éliminée au deuxième tour de l'épreuve du double dames des Internationaux de Grande-Bretagne de tennis, samedi sur le gazon de Wimbledon. Associée à la Slovaque Magdalena Rybarikova, la Campinoise a été battue par la Serbe Jelena Jankovic et la Croate Mirjana Lucic-Baroni en trois manches: 6-3, 4-6 et 6-3. La rencontre a duré 1h43.
Kirsten Flipkens est qualifiée pour les huitièmes de finale du simple dames. Elle y rencontrera l'Italienne Flavia Pennetta (WTA 166).

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Nico Rosberg signe encore le meilleur temps

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L'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) a signé le meilleur temps, sous un soleil retrouvé, de la 3e et dernière séance d'essais libres du Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, samedi matin sur le circuit de Silverstone.
© reuters. © getty.
En 1 min 31 sec 487/1000, Rosberg a amélioré de sept dixièmes de seconde son meilleur temps de la 2e séance, vendredi après-midi, et devancé de 146 millièmes de seconde seulement son coéquipier britannique, Lewis Hamilton, qui a longtemps occupé le haut de la feuille de temps.

En prélude à la formidable bataille qui s'annonçait aux qualifications, à partir de 13h00 locales (12h00 GMT), les deux Flèches d'Argent, conçues à Brackley tout près de Silverstone, ont devancé les deux Red Bull préparées à Milton Keynes, à peine plus loin.

Dans l'écurie triple championne du monde en titre, l'Allemand Sebastian Vettel a devancé son coéquipier australien Mark Webber, deux fois vainqueur à Silverstone lors des trois dernières saisons (2010, 2012) et futur retraité de la F1, en fin de saison. Le Top 6 de cette dernière répétition a été complété par la Lotus du Français Romain Grosjean et la Toro Rosso de l'Australien Daniel Ricciardo, meilleur temps vendredi matin d'une 1ère séance sous la pluie.

Grosjean et Ricciardo ont devancé deux champions du monde, l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) et le Finlandais Kimi Räikkönen (Lotus), au terme d'une séance interrompue pendant cinq minutes par un drapeau rouge, le temps de nettoyer la piste de débris de pneus laissés à la suite d'une crevaison du Mexicain Sergio Pérez (McLaren).

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Tomic élimine Gasquet au troisième tour

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Le Français Richard Gasquet a été éliminé samedi au troisième tour de Wimbledon par l'Australien Bernard Tomic en quatre sets 7-6 (9/7), 5-7, 7-5, 7-6 (7/5).
© getty.
Gasquet, tête de série N.9, restait sur six huitièmes de finale en Grand Chelem, tous perdus. Tomic, 20 ans, est un des grands espoirs du circuit. Sa meilleure performance dans un tournoi majeur date d'il y a deux ans à Wimbledon, où il avait atteint les quarts de finale après être sorti des qualifications.

Le match a été très équilibré, les deux joueurs restant solides sur leur service (un break chacun seulement). Tout s'est joué sur quelques points, bien joués tactiquement par le jeune Australien. Sur le point d'être mené deux manches à zéro, Gasquet a retardé l'échéance en sauvant quatre balles de set à 4-5, dont trois de suite (0-40), avant d'égaliser.

Tomic a dirigé les échanges du fond du court dans les deux derniers sets, notamment avec son beau revers à deux mains, et a remporté un succès mérité, son premier en trois matches contre le Biterrois, âgé de 27 ans.

L'Australien, 59e mondial, affrontera en huitième le Tchèque Tomas Berdych, finaliste en 2010, ou le Sud-Africain Kevin Anderson. "J'ai très bien joué. C'était ma première fois sur le Central et j'étais nerveux de jouer sur le Central. J'espère pouvoir y revenir", a déclaré Tomic.

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Murray qualifié pour les huitièmes de finale

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Andy Murray n'en a rien à faire du vent de folie qui s'est emparé de Wimbledon depuis le début de la quinzaine en traçant imperturbablement sa route dans une moitié de tableau désertée. Alors que les têtes les plus prestigieuses ont roulé ces derniers jours et qu'il n'y avait que quatre joueuses du Top 10 au troisième tour, une première en Grand Chelem, le héros local n'a pas cillé pour devenir le premier grand favori à atteindre les huitièmes de finale.
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Comme lors de ses deux premiers tours, Murray n'a pas perdu un set face à l'Espagnol Tommy Robredo, repoussé 6-2, 6-4, 7-5 sous le toit du Central, fermé à cause de la pluie qui a perturbé une grande partie de la journée. "C'était un match de grande qualité, j'ai tapé très bien dans la balle, j'ai réussi beaucoup de points gagnants, a-t-il dit. J'espère que je vais continuer à jouer mieux. On m'a testé dans les premiers tours et j'ai bien répondu."

Attendu comme le messie par tout un peuple qui espère applaudir le premier Britannique à remporter Wimbledon depuis Fred Perry en 1936, Murray a l'air de s'affranchir remarquablement bien avec la pression. Il faut dire qu'il a l'habitude et le fait d'avoir ouvert son palmarès en Grand Chelem en septembre dernier à l'US Open a fini par le libérer.

"Mouais, moi je trouve que cela me met encore plus de pression. Je dois rester concentré et ne pas m'en occuper, même si parfois c'est dur", a nuancé Murray, vainqueur sous les yeux de sa mère et de sa copine de son quatorzième match de suite sur gazon, après ceux décrochés en route pour le titre olympique l'été dernier à Wimbledon et au Queen's récemment.

Reste que l'Ecossais avance dans le désert dans une partie de tableau saccagée où l'Ukrainien Sergiy Stakhovsky est retombé sur terre 48 heures après son exploit contre Roger Federer en s'inclinant face à Jürgen Melzer. Murray, hormis quelques gros serveurs, type Janowicz ou Gulbis, n'a, sur le papier, pas grand-chose à craindre jusqu'en finale. Et ce n'est pas son prochain adversaire, à choisir entre le Russe Mikhail Youzhny ou le Serbe Viktor Troicki qui devront revenir samedi, qui allait l'empêcher de dormir.

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Un bus qui ne passe pas
Un bus coincé sous le portique d'arrivée a provoqué un gros coup de stress à la fin de la première étape.
Fait très inhabituel : le bus d'une équipe, en l'occurrence Orica-GreenEdge, a été coincé devant la ligne d'arrivée, samedi, lors de la 1re étape. (AFP)







La première étape a été marquée par un problème très inhabituel puisqu'un bus d'équipe, celui des Australiens d'Orica-GreenEDGE, est longtemps resté coincé sous le portique de la ligne d'arrivée à Bastia. Quand les coureurs lancés à plus de 60 km/h se sont retrouvés à moins de dix kilomètres du bus, les organisateurs ont même annoncé que l'arrivée serait jugée trois kilomètres plus tôt. Cependant, le bus a été débloqué in extremis, provoquant l'annulation de cette décision.

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«Sale journée» chez Omega Pharma - Quick Step
Pas de sprint pour Mark Cavendish et une lourde chute pour Tony Martin : Omega Pharma-Quick Step a perdu gros samedi dans les derniers kilomètres de la première étape.
Pris dans la chute collective, Tony Martin a vu son Tour gâché dès la première journée. (L'Equipe)














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Jusque là, le plan fonctionnait parfaitement : l’équipe "OPQS" avait joué au chat et à la souris avec les cinq échappés toute la journée, leur laissant un peu de champ avant de les croquer à 36 kilomètres de la ligne. Le groupe faisait corps autour de Mark Cavendish. Et tout à coup, tout s’est déréglé avec l’annonce de l’anticipation de l’arrivée après le problème du bus d’Orica-GreenEDGE. Dans un peloton hyper nerveux, une chute collective a jeté de nombreux coureurs à terre dont Tony Martin. Le maillot déchiré, l’épaule touchée, l’Allemand a réussi à rallier l’arrivée mais a perdu connaissance dans le bus avant d’être évacué en ambulance. «Il ne va vraiment pas bien», s’est désolé Mark Cavendish, craignant comme l'ensemble de l'équipe un abandon, ce qui avait déjà été le cas pour lui l'an dernier avec une fracture du scaphoïde dès la première étape. Néanmoins, aucune fracture n'avait été décelée à en croire le premier bilan médical.


Au moins le champion de Grande-Bretagne est-il sorti indemne de cette chute - «J’ai été arrêté mais je ne suis pas tombé», a-t-il précisé - mais il n’a pas disputé le sprint massif dont il était le grand favori : «Ça va. Je ne suis pas le seul favori à avoir perdu gros», a-t-il essayé de relativiser, pensant sûrement aux Greipel, Sagan et autre Goss. Mais même le câlin de sa fille n’a pu retirer la terrible déception de son visage.

Un coup dur pour le chrono par équipes

«C’est une sale journée, a résumé Jérôme Pineau.On a perdu gros aujourd’hui (samedi). Elle a été rendue encore plus difficile par l’histoire du bus. Tout le monde voulait être devant, les vingt-deux équipes.» En plus de la rare occasion d'endosser le Maillot Jaune que lorgnait Cavendish en cette première journée, la formation belge a hypothéqué ses chances pour le contre-la-montre par équipes de mardi où Tony Martin devait être la locomotive. Il n'y a pas à dire, c'était vraiment «une méchante journée» pouvait répéter à son tour le Néerlandais Niki Terpstra sur twitter.

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Paire éliminé
Benoît Paire ne verra pas les 8es de finale de Wimbledon cette année. Le Français a été éliminé samedi au 3e tour par Lukasz Kubot (6-1, 6-3, 6-4, en 1h55'). Ce dernier sera opposé à un autre Tricolore au prochain tour, Adrian Mannarino.
Eliminé samedi au troisième tour de Wimbledon, Benoît Paire dit être content de quitter le tournoi londonien. (AFP)







Quand Benoît Paire n'a pas envie, il ne peut plus se forcer. Pas même lors d'un 3e tour en Grand Chelem. Le Français a coulé (6-1, 6-3, 6-4) face à Lukasz Kubot, qui n'est pas un cadeau sur cette surface. «Je le sentais un peu venir car depuis le début du tournoi j'ai du mal à me motiver, n'a pas caché Paire. J'ai peut-être trop joué en début d'année et là le gazon c'est vraiment une surface très difficile, il faut rester concentré, on ne fait que tomber... Il a retourné ''incroyable'', il a bien servi. Mais c'est surtout dans la tête. Ce n'est pas grave, je n'ai qu'une envie c'est partir en vacances. (...) Même ce matin à l'échauffement je ne mettais pas une balle dedans. (...) Je vais beaucoup moins jouer les saisons prochaines, faire plus de coupures pour être à 100% sur chaque tournoi.»

Après une première manche à sens unique, le 27e joueur mondial a quand même tenté de revenir dans la partie et a même semblé pouvoir prendre le troisième set quand il a eu un break d'avance (4-3) puis quand son adversaire a semblé se blesser à la cuisse gauche. Mais non. Une raquette fracassée sur le court, une autre après le match : Paire n'a pas pu contrôler ses émotions négatives et a donc manqué l'occasion de voir la deuxième semaine.

«Aujourd'hui je préférais 100 fois jouer Nadal, qui était peut-être à 50% et sur un genou. (...) Ma seule envie c'est de partir d'ici.» Mais pour lui, l'occasion n'était pas si belle que ça et rien n'a pu le faire sortir de son ras le bol : «Non parce que quand il y a une usure, il y a une usure. Je suis sur un court de tennis alors que je n'en ai pas trop envie, c'est difficile. Et puis ça me rend dingue quand on me dit que j'ai un bon tableau : moi aujourd'hui je préférais 100 fois jouer Nadal, qui était peut-être à 50% et sur un genou. Ce n'était pas un très bon tableau aujourd'hui, il a très bien joué. (...) Dans les premiers tours mon niveau de jeu n'était pas très bon, mon comportement non plus... Avec tout ce qui m'est arrivé depuis le début de l'année où j'ai eu de bons résultats c'est peut-être un peu de décompression.»

Paire n'a pas non plus caché qu'il n'était pas un fan de Wimbledon : «Wim, j'aime pas. Quand on rentre sur le court, on nous prévient qu'il faut faire attention au terrain mais les terrains ne sont pas bons ! A un moment si tout le monde se blesse, tout le monde a mal c'est simplement parce que les terrains ne sont pas bons. Là je finis j'ai mal aux adducteurs. Je me fais appeler par le juge-arbitre le premier jour parce que je fais une trace de 1mm, faut qu'ils arrêtent. Ma seule envie c'est de partir d'ici. C'est un enfer. On n'a pas une place, si on veut manger on est obligé de se mettre à 12 sur une table...Ce n'est pas un tournoi que j'adore.» Il s'attend d'ailleurs à recevoir quelques amendes : «Oui, ils n'aiment que ça. J'avais pris 1000$ pour un ''merde'' une fois : ils se régalent. Peut-être que comme ça ils pourront réparer leurs terrains...»
Carole BOUCHARD, à Wimbledon

Bizarre machin le terrain et pour tous, belle excuse

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Michel Denisot vers Monaco
Ancien dirigeant de Châteauroux et du PSG, Michel Denisot pourrait endosser un rôle de conseiller à Monaco.

Denisot en contact avec Monaco. (L'Equipe)







Info L'Equipe. Ancien président de Chateauroux et du PSG, Michel Denisot a de bonnes chances de rejoindre très vite l'AS Monaco. Le journaliste vedette a rencontré Dimitri Rybolovlev, le milliardaire russe propriétaire et président du club monégasque, pendant le dernier festival de Cannes. Au cours des discussions, il a été question d'un rôle de conseiller pour Denisot. Celui qui vient d'arrêter la présentation du Grand Journal, sur Canal+, et qui est directeur de la rédaction du nouveau mensuel "Vanity Fair" ne s'occuperait pas du domaine sportif, mais aurait un rôle institutionnel. Il pourrait notamment représenter le club auprès des institutions du football (Ligue et Fédération). Denisot et Rybolovlev sont convenus de se revoir dans les jours qui viennent pour tenter de finaliser les contours de leur collaboration.
Etienne MOATTI