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[Stoner27]

Envoyé par Norton

n'a pas soulevé l'enthousiasme du public de la Rod Laver Arena. (afp/7sur7)

pourtant avec deux bonnasses pareilles, j aurais été enthousiasmé moi

[Norton]

Envoyé par Mr Ducati

pourtant avec deux bonnasses pareilles, j aurais été enthousiasmé moi

Tu m'étonnes...............?

[Norton]

Niels Albert champion du monde espoirs


Le Belge Niels Albert a dominé la course espoirs (moins de 23 ans) des Championnats du monde de cyclo-cross, ce samedi après-midi, sur le circuit de Trévise (nord-est de l'Italie).

Albert, seul en tête dès le premier tour, a repoussé à une quarantaine de secondes le Français Aurélien Duval (19 ans), mal parti. La troisième place est revenue à l'Italien Cristian Cominelli (19 ans), un membre de l'équipe Bianchi présidée par l'ancien champion Felice Gimondi, qui a devancé au sprint les Français Jonathan Lopez et Clément Bourgoin.

Deuxième l'année passée en espoirs derrière le Néerlandais Lars Boom, Albert avait déjà enlevé le titre mondial en juniors en 2004 sur le circuit français de Pontchâteau.

Le Belge, vainqueur de la Coupe du monde en espoirs, fêtera son 22e anniversaire le 5 février prochain. Référence de sa catégorie, il compte à son palmarès une centaine de succès, dont 39 en Coupe du monde.

"Je n'ai pas voulu le dire mais, ce matin, j'avais de très bonnes sensations. Je savais que ce serait très difficile de me battre", a-t-il déclaré. "Mon but était de durcir la course et de faire la différence le plus tôt possible".

En tête dès les premiers hectomètres, le Flamand de Tremelo s'est vite assuré un avantage supérieur à une trentaine de secondes. Il a pu se relever avant la dernière ligne droite et poser pied à terre pour brandir son vélo au moment de franchir la ligne sous le ciel bleu azur de Vénétie.

Albert, ravi de conquérir son titre en Italie ("un pays de cyclisme", a-t-il souligné), s'est déjà projeté dans l'avenir. Il rivalise déjà avec la catégorie supérieure, en élites, et compte bien faire carrière en cyclo-cross. "Comme Nys, Wellens et Boom", a-t-il énuméré en citant trois des favoris de la course élites programmée dimanche après-midi.

[Norton]

SKI ALPIN - CHAMONIX
Didier Cuche: la preuve par neuf

Keystone
Une deuxième place qui permet à Didier Cuche de consolider sa place de leader de la descente et d'occuper le deuxième rang du classement général, à 18 points de Raich

Après son triomphe sur la Streif, le skieur des Bugnenets trouve les ressources pour s'offrir un nouveau podium et la 18e deuxième place de sa carrière derrière Marco Sullivan, le glisseur américain. Le Neuchâtelois participe, ce matin, au super-combiné

Laurent Guyot - 26/01/2008
Le Matin Dimanche

Son neuvième podium est tombé comme un fruit mûr. Comme cette mandarine qu'il a savourée après sa bonne opération de la journée. Celle qui offre à Didier Cuche une jolie marge de manoeuvre dans l'optique d'une seconde victoire du globe de cristal de descente. Et qui lui permet, tout en établissant un nouveau record de ses podiums sur une saison, de souffler dans la nuque de Benjamin Raich toujours en tête du classement général de la Coupe du monde. Souriant et détendu à la vue d'une foule jamais vue à Chamonix, le Neuchâtelois n'en a pas oublié pour autant de remettre une couche à propos des cinq portes changées sur le haut de la Verte des Houches. «J'en veux à Günter Hujara, pas à Chamonix, pas aux slalomeurs. Moi je me prépare durant tout l'été pour des descentes, pas pour des pistes qui sont dénaturées par les responsables de la FIS. Il m'étonnerait fort, demain (ndlr. aujourd'hui) que le traceur écarte les portes du slalom pour me permettre d'aller tout droit.»
Avant d'enfoncer encore un peu plus le clou à propos de la polémique qui a alimenté toutes les conversations, le skieur d'Head s'est surtout réjoui de sa seconde place. «C'était chaud! Sur le bas du parcours, je me suis fait tasser dans une compression. Du coup, je n'ai pas réussi à garder la bonne ligne. Et en raison du manque de pente, je me suis retrouvé sans la vitesse nécessaire. Avec 6/10 de plus, je n'avais plus droit à une place dans le top-15. C'est dire si je ne vais pas faire la fine bouche. Aujourd'hui, avec quatre coureurs intercalés entre moi et Miller mais aussi la 18e place de Walchhofer, c'est tout bon pour le dossard rouge. Le moral est excellent tout comme la forme. Même si j'ai tout de même ressenti mes jambes en raison du gros travail foncier effectué en début de semaine. Je suis constant et je compte bien continuer de la sorte si le petit facteur chance continue de m'accompagner.»


AUJOURD'HUI
Chamonix. Coupe du monde. Ordre de départ du super-combiné (descente à 11h/slalom à 14h): 1 Rainer (Su). 2 Paquin (Fr). 3 Staudacher (It). 4 Znrcic-Dim (Cro). 5 Scheiber (Aut). 6 Cuche (S). 7 Gorza (Sln). 8 Défago (S). 9 Myhre (No). 10 Berthod (S). 11 Olsson (Su). 12 Larsson (Su). 13 Fill (It). 14 Jerman (Sln) 15 Matt (Aut). 16 Schönfelder (Aut). 17 Miller (EU). 18 Baumann (Aut). 19 Kostelic (Cro). 20 Grange (Fr). 21 Albrecht (S). 22 Raich (Aut). 23 Kucera (Can). 24 Byggmark (Su). 25 Koll (Aut). 26 Stutz (Can). 27 Lanning (EU). 28 Théaux (Fr). 29 Eisath (It). 30 Innerhofer (It). Puis: 35 Janka (S). 38 Zueger (S).
CLASSEMENTS
Chamonix (Fr). Coupe du monde. Descente messieurs
1. Sullivan (EU) 2'00''11. 2. Cuche (S) à 0''40. 3. Jerman (Sln) à 0''46. 4. Schönfelder (Aut) à 0''50. 5. Osborne-Paradis (Can) à 0''62. 6. Büchel (Lie) à 0''74. 7. Miller (EU) à 0''80. 8. Hoffmann (S) et Kostelic (Cro) à 0''88. 10. Kröll (Aut) à 1''00. 11. Gruber (Aut) à 1''03. 12. Innerhofer (It) à 1''06. 13. Heel (It) à 1''10. 14. Fill (It) à 1''13. 15. Bertrand (Fr) à 1''16. 16. Streitberger (Aut) à 1''18. 17. Guay (Can) à 1''21. 18. Walchhofer (Aut) à 1''22. 19. Bourque (Can) à 1''40. 20. Kucera (Can) à 1''44. 21. Poisson (Fr) à 1''45. 22. Baumann (Aut) à 1''53. 23. Lanning (EU) à 1''56. 24. Grünenfelder (S) à 1''60. 25. Défago (S) à 1''64. 26. Fayed (Fr) à 1''69. 27. Albrecht (S) à 1''90. 28. Staudacher (It) à 1''94. 29. Dixon (Can), Sporn (Sln) et Branch (Aus) à 2''02.
Puis les autres Suisses: 34. Hofer à 2''09. 36. Hari à 2''16. 39. Züger à 2''40. 46. Berthod à 2''74.
64 skieurs en lice, 62 classés. Eliminés: Dalcin (Fr), Clarey (Fr). Données techniques: piste La Verte, 3370 m long, 870 m déniv., 45 portes; traceur Helmut Schmalzl (FIS/It).
Coupe du monde
Messieurs. Général (26/45): 1. Raich (Aut) 892. 2. Cuche (S) 874. 3. Miller (EU) 867. 4. Grange (Fr) 636. 5. Albrecht (S) 576. 6. Ligety (EU) 567. 7. Mölgg (It) 518. 8. Matt (Aut) 440. 9. Walchhofer (Aut) 415. 10. Jerman (Sln) 379. 11. Kucera (Can) 376. 12. Défago (S) 371. 13. Palander (Fin) 367. 14. Gruber (Aut) 353. 15. Schönfelder (Aut) 352. 16. Büchel (Lie) 350. 17. Scheiber (Aut) 349. 18. Kostelic (Cro) 338. 19. Maier (Aut) 319. 20. Byggmark (Su) 310. Puis: 21. Sullivan (EU) 308. 29. Berthod (S) 232. 30. Larsson (Su) 230. 31. Hoffmann 217. 37. Gini 165. 51. Zurbriggen 107. 55. Grünenfelder 91. 84. Viletta 41. 102. Hofer 20. 107. Hari 17. 112. Züger 15. 113. Janka 13. 139. Brand 2.
Descente (7/10): 1. Cuche (S) 464. 2. Miller (EU) 399. 3. Walchhofer (Aut) 343. 4. Sullivan (EU) 278. 5. Jerman (Sln) 241. 6. Buder (Aut) 211. 7. Défago (S) 177. 8. Hudec (Can) 174. 9. Büchel (Lie) 173. 10. Osborne-Paradis (Can) 171. Puis: 25. Grünenfelder 55. 39. Hofer 20. 42. Albrecht et Hari 17. 44. Züger 15. 53. Zurbriggen 7.
Au programme
Samedi 2 février
12.00 Descente messieurs à Val d'Isère
12.30 Descente dames à Saint-Moritz
Dimanche 3 février
10.30/14.00 Super-combiné messieurs à Val d'Isère
12.00 Super-G dames à Saint-Moritz

[Norton]

Sports
RSS Rallye Monte-Carlo: Loeb toujours en tête, abandon de Sordo

AUTOMOBILISME | 13h36 Sébastien Loeb (Citroën C4) était toujours en tête du 76e Rallye Monte-Carlo après les trois premières spéciales de la 3e journée, samedi matin en Ardèche et en Haute-Loire, mais son coéquipier Dani Sordo, alors 2e, a dû s'arrêter dans l'ES11 (problème moteur).
Le pilote Sébastien Loeb, le 25 janvier 2008 lors du Rallye Monte-Carlo
AFP | 26 Janvier 2008 |


"C'est pas de chance pour Dani, et c'est inquiétant pour moi, car c'est toujours embêtant d'apprendre que l'autre voiture a un problème, vu qu'on a le même moteur", a dit Loeb à son retour à Valence pour la pause de la mi-journée. C'était le seul souci du quadruple champion du monde, auteur de deux temps scratch sur trois (ES10, ES11).
Dans la première spéciale du jour (ES9) entre Labatie d'Andaure et Lalouvesc, Loeb avait les paupières lourdes, lui qui a horreur de se réveiller à cinq heures du matin, et Sordo en avait profité pour faire le meilleur temps, son troisième du week-end.
Dans la deuxième spéciale, la boucle de Saint-Bonnet-le-Froid, le froid et le brouillard n'ont pas gêné le patron. Il y avait aussi beaucoup de monde le long des 25 km chronométrés, près de 50'000 personnes selon une journaliste de France Bleu Drôme Ardèche, mais "tout le monde était bien discipliné", a souligné Daniel Elena, le copilote de Loeb.
La panne de Sordo, pas encore explicitée par les ingénieurs de Citroën Sport, fait bien les affaires de Ford puisque Mikko Hirvonen, sur sa Focus bariolée, pointe désormais à la 2e place, à 1 minute 53 secondes du champion du monde en titre.
Ce serait pour le nouveau leader de chez Ford un résultat idéal, sur les terres de Loeb, dans la perspective du championnat, mais il reste plus de 100 km chronométrés avant de rentrer au port de Monaco, dimanche après-midi, donc il peut encore y avoir des rebondissements.
Le rallye continue samedi après-midi avec trois nouveaux passages dans les mêmes spéciales que le matin (ES12 à ES14).
Classement provisoire du 76e Rallye Monte-Carlo, 1re manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les trois premières épreuves spéciales (ES9 à ES11) de la 3e journée, disputées samedi matin en Ardèche et en Haute-Loire, à l'ouest de Valence:
1. Sébastien Loeb-Daniel Elena (FRA-MON/Citroën C4) 2 h 13:43.8
2. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Ford Focus RS) 1:53.5
3. Chris Atkinson-Stéphane Prévot (AUS-BEL/Subaru Impreza) 3:05.3
4. François Duval-Eddy Chevaillier (BEL/Ford Focus RS) 3:15.4
5. Petter Solberg-Philip Mills (NOR-GBR/Subaru Impreza) 3:53.9
6. Gigi Galli-Giovanni Bernacchini (ITA/Ford Focus RS) 6:53.5
7. Jean-Marie Cuoq-Philippe Janvier (FRA/Peugeot 307 WRC) 6:56.1
8. Per-Gunnar Andersson-Jonas Andersson (SWE/Suzuki SX4) 8:26.3
9. Jari-Matti Latvala-Mikka Anttila (FIN/Ford Focus RS) 9:15.9
10. Henning Solberg-Cato Menkerud (NOR/Ford Focus RS) 9:37.3
Vainqueurs des spéciales: Loeb 8 (ES2, ES3, ES5, ES6, ES7, ES8, ES10, ES11), Sordo 3 (ES1, ES4, ES9)
Principaux abandons: Dani Sordo-Marc Marti (ESP/Citroën C4), problème moteur (ES11)
NDLR: le rallye continuait samedi après-midi avec trois nouveaux passages dans les mêmes spéciales que le matin (ES12 à ES14).

[Norton]

Rallye: Dani Sordo trahi par son moteur à Monte-Carlo




ARIS (Reuters) - L'Espagnol Dani Sordo a été trahi samedi par le moteur de sa Citroën C4 WRC lors de la troisième journée du Rallye Monte-Carlo alors qu'il était deuxième au classement général.
Sordo a été contraint à l'arrêt par un ennui mécanique dans la troisième des six spéciales du jour. Ses espoirs de victoire s'envolent ainsi. Citroën décidera après avoir inspecté sa voiture s'il peut repartir dimanche.
Les malheurs de Sordo permettent au Finlandais Mikko Hirvonen (Ford) de s'emparer de la deuxième place au général derrière la Citroën du Français Sébastien Loeb.
Le rallye s'achève dimanche avec une super spéciale sur une portion du circuit de F1 de Monaco.

[Norton]

Rallye de Monte Carlo - Etape 2 : déclarations

Eurosport - sam., 26 janv. 21:02:00 2008

Impressions recueillies à l'issue de l'étape 2 du Rallye de Monte Carlo, samedi.
Plus d'infos

• Loeb contrôle, Sordo s'arrête

Sébastien Loeb (Citroën C4 WRT, leader) : "Il y a mieux comme "p'tit dej" que d'affronter des morceaux aussi sélectifs que 'Lalouvesc' ou 'St Bonnet le Froid'. Le jour était en train de se lever, la chaussée était couverte de plaques de verglas et le brouillard était épais dans l'ES10. Difficile dans ces conditions de rouler complètement libéré. Je suis donc resté sur mes gardes. Le dernier tronçon de la matinée était moins délicat. Nous avons essayé d'attaquer fort pour nous faire une idée plus précise des réactions des Pirelli PZero sur ce terrain. Au cours de l'après-midi, je me suis surtout méfié de 'St Bonnet' encore très humide. Je suis content d'avoir achevé la partie nord de ce Monte-Carlo. Nous mettons le cap au sud pour disputer cinq spéciales qui peuvent encore entraîner des rebondissements".
Dani Sordo (Citroën C4 WRT, abandon - moteur) : "Tout avait très bien débuté. Ma Citroën C4 WRC me donnait entière satisfaction. En deux spéciales, nous avions réussi à augmenter notre avance sur le 3e, notre cadence était bonne sans être excessive. Cela nous permettait de bien envisager la suite. Dans 'Lamastre' (ES11), nous avons eu une alerte moteur. Je me suis arrêté pour voir si on pouvait réparer. Après quelques minutes, l'équipe a pris la décision de ne pas essayer de repartir. Je suis évidemment très déçu de ne pas pouvoir inscrire des points importants pour Citroën".
Olivier Quesnel (Citroën WRT, directeur) : Le bilan de notre journée est contrasté. Sébastien, Daniel et la Citroën C4 WRC ont encore fait étalage de leur talent aujourd'hui. Ils se sont joués des difficultés et ont superbement franchi les embûches. Il faudra reproduire cette performance demain. Je compte sur l'expérience de notre équipage pour bien négocier le dimanche qui nous attend et notamment le passage du Col du Turini où les spectateurs ont l'habitude de jeter de la neige sur la route. Cela crée des pièges qui ne sont pas dans les notes et peut entraîner des surprises. Satisfait de la prestation de Sébastien, j'aurai aimé que Dani et Marc puissent poursuivre la course parfaite qu'ils étaient en train de réaliser. Une défaillance de leur turbo les a contraints à interrompre leur démonstration. Après réparation, la voiture repartira dimanche en superally. Classé 9e parmi les pilotes nominés pour inscrire des points, il peut espérer en inscrire".
Mikko Hirvonen (Ford Focus WRT, 2e) : "Quand je me suis réveillé ce matin, j'espérais être 2e, mais je ne pensais pas que ça pourrait arriver de cette manière-là.L'abandon de Dani [Sordo] m'a vraiment aidé, et je veux conserver cette position car les deux points supplémentaires qu'elle m'apporte sont vraiment appréciables pour moi. J'espérais être plus proche de Loeb mais ce n'est pas possible ici. J'étais content des Pirelli ; ils fonctionnent bien par temps froid et sec. Il reste quatre spéciales. Je vais m'attacher à garder la voiture sur la route sans prendre de risques car j'ai une bonne avance sur Atkinson. Je n'ai pas une énorme expérience des spéciales du Col de Turini et je m'attends à tout. Il y a usuellement de la neige, dela glace, du brouillard au sommet".
Jari-Matti Latvala (Ford Focus WRT, abandon - accident) : "J'ai opéré des changements sur le différentiel à mi-journée et ça a bien repris. J'avais confiance en la voiture, mes intermédiaires étaient bons. A mi-distance, sur une route étroite, dans un gauche, j'ai essayé de suivre la trajectoire des voitures devant. J'aurais dû prendre une ligne plus tenue car j'ai tapé un mur de béton, et une suspension. J'ai encore fait 500 mètres avant de trouver un endroit suffisamment large pour me garer".
Chris Atkinson (Subaru Impreza WRT, 3e) : "Nous avons attaqué aujourd'hui, et le combat fût rude ! L'écart est plus grand que l'an passé mais l'adrénaline et la pression sont les mêmes. Certains disent que l'ES10 est la plus dangereuse car elle est rapide et sineuses mais je l'ai adorée. J'avais gagné la spéciale en 2007 et, dans le second passage aujourd'hui, j'ai attaqué pour augmenter l'écart avec Duval. J'y ai éprouvé de bonnes sensations et j'en frissonnait encore une demi-heure après."
Petter Solberg (Subaru Impreza WRT, 5e) : "Une bonne journée, à l'issue de laquelle nous nous retrouvons en bonne position. Les routes glissaient le matin mais elles avaient plus de grip l'après-midi.C'était compliqué d'équilibrer la voiture."
François Duval (Ford Focus Stobart, 4e) : "La journée s'est bien passée, mon feeling de la voiture s'est beaucoup amélioré et les spéciales plus lentes étaient sympa ; je pense que nous pouvons nous améliorer dans les sections rapides. L'écart avec Atkinson est trop grand à présent pour espérer le ratrapper étant donné que ça va être piégeur dimanche, spécialement quand on attaque".
Gigi Galli (Ford Focus Stobart, 6e) : "J'ai trouvé les spéciales matinales difficiles car les températures étaient basses et les routes très glissantes. C'était mieux pour moi de ralentir et d'être prudent pour ne pas commettre d'erreurs. L'après-midi a été meilleur, la voiture et les pneus fonctionnaient mieux sur les routes sèches. Le plan reste pour moi de finir ce rallye et en revenir avec un maximum d'expérience de la voiture."
Henning Solberg (Ford Focus Stobart, 9e) : "J'ai perdu du temps en matinée car je n'avais pas un bon niveau de confiance en la voiture. Nous avons fait des changemenst au service et la seconde boucle était bien meilleure".
Matthew Wilson (Ford Focus Stobart, 11e) : "J'ai adoré la journée. Je prends confiance au fil des spéciales, je commence à bien mieux utiliser la voiture et les pneus. Nous apprenons à mieux chauffer les pneus sur zones humides et sales."
Malcolm Wilson (Ford Focus Stobart, directeur) : "Une nouvelle journée sans soucis pour l'équipe Stobart, avec pour l'instant quatre voitures dans le top 11 ."

[Norton]

MELBOURNE (Reuters) - Avec la finale surprise qui opposera dimanche Novak Djokovic, 20 ans, et Jo-Wilfried Tsonga, 22 ans, un vent de fraîcheur souffle sur l'Open d'Australie.
Depuis 1987 et un ultime affrontement entre Stefan Edberg et Pat Cash, jamais Melbourne n'avait accueilli une finale aussi jeune.

Puisque les deux patrons du circuit, Roger Federer et Rafael Nadal, ont été éliminés en demi-finales, respectivement par Djokovic et Tsonga, l'un des deux finalistes va ouvrir son palmarès en Grand Chelem.
Pour Novak Djokovic, il s'agit de la deuxième tentative après son échec en septembre dernier à Flushing Meadows face à Federer.
Pour le Français, 38e mondial, ce serait carrément son premier titre sur le circuit ATP, ce qui apparaît irréel.
Il rejoindrait alors dans l'histoire du jeu Mats Wilander et Gustavo Kuerten, sensationnels lauréats à Roland-Garros, respectivement en 1982 et 1997.
Novak Djokovic part logiquement avec les faveurs des pronostics. Depuis le début de la quinzaine, il a rendu une copie parfaite. Le troisième joueur mondial n'a pas perdu le moindre set en six matches.
Et pourtant, son tableau était compliqué, avec Lleyton Hewitt dès les huitièmes, David Ferrer en quarts et bien sûr Roger Federer en demi-finale.
Son chef d'oeuvre, c'est bien sûr sa victoire face au Suisse, qui a tout de même servi pour le gain du premier set et manqué deux balles de troisième manche. Mais "Nole" - son surnom - déboule en finale en pleine possession de ses moyens physiques, même s'il ne bénéficie que d'un seul jour de repos, un de moins que son adversaire.
TSONGA : "LA TÊTE HAUTE"
Tous les voyants sont également au vert pour Jo-Wilfried Tsonga, qui est tout sauf un finaliste chanceux ou hasardeux. Dès le premier tour, "Jo" avait frappé fort en éliminant en quatre sets l'un des outsiders du tournoi, l'Ecossais Andy Murray, neuvième mondial et récent vainqueur à Doha.
Après deux tours "en contre" bien négociés, le Manceau a ensuite sorti son pote Richard Gasquet (n°8), en quatre manches également.
Ensuite, Tsonga a été touché par la grâce : trois sets énormes pour se débarrasser du 14e mondial, Mikhail Youzhny, alors qu'il disputait son premier quart de finale en Grand Chelem. Et trois sets hallucinants, du tennis total, pour dynamiter la muraille Rafael Nadal.
Avec deux jours pour récupérer, Tsonga sera sans doute au top physiquement.
"J'aborde ma finale sereinement, dans ma cellule, avec ma routine habituelle", a souligné Jo-Wilfried Tsonga. "J'avoue que je me sens impatient. Quoi qu'il arrive, je vais arriver relax, en pleine possession de mes moyens. Et avec la tête haute", a déclaré Jo-Wilfried Tsonga, samedi.
Il semble avoir assimilé l'attente suscitée en lui. Yannick Noah est en effet le dernier Français vainqueur d'un Grand Chelem. C'était à Roland-Garros en 1983.
"Je fais mon sport pour représenter ce que je suis, mes valeurs, ma famille, mes amis et surtout mon pays, a-t-il affirmé, ému. Pouvoir avoir la reconnaissance de mon pays, c'est un sentiment au-dessus de tout. Ca ne m'affole pas, au contraire. C'est génial."

[Norton]

Djokovic brise le rêve de Tsonga

Novak Djokovic avait atteint la finale du dernier US Open. Cette fois, il n'a pas laissé échapper l'occasion.
Jo-Wilfried Tsonga, qui disputait la...première finale de sa carrière, ne succèdera pas à Yannick Noah, dernier français vainqueur d'un Grand Chelem.
Novak Djokovic remporte son premier titre du Grand Chelem.

7S7 mise à jour Le Serbe Novak Djokovic, 3e joueur mondial et 3e tête de série, a remporté dimanche l'Open d'Australie de tennis, premier tournoi du Grand Chelem 2008. Il a battu en finale le Français Jo-Wilfried Tsonga (ATP 38) en quatre manches: 4-6, 6-4, 6-3, 7-6 (7/2). La rencontre a duré 3h06. Djokovic remporte à 20 ans son premier titre du Grand Chelem et sa 8e victoire sur le circuit professionnel.


Masters Series
Djokovic qui devient le premier Serbe vainqueur d'un tournoi majeur, a confirmé son exploit des demi-finales contre Roger Federer, N.1 mondial et tenant du titre, battu en trois sets. Troisième joueur mondial depuis la mi-saison 2007, il avait perdu sa première finale de Grand Chelem au dernier US Open contre le Suisse. C'est le huitième titre de la carrière de Djokovic, qui avait notamment remporté les Masters Series sur dur de Miami et de Toronto l'année dernière.

Libération
Le Serbe a commencé le match beaucoup plus tendu que son adversaire malgré sa plus grande expérience. Malgré un break d'entrée, Djokovic a tout de suite vu Tsonga lui reprendre sa mise en jeu. A 4-5, le Français a remporté la manche sur un point exceptionnel. Le Manceau n'a toutefois pas réussi à concrétiser au début de la 2e manche. Djokovic s'est libéré à partir du milieu du deuxième set et s'est mis à dicter le rythme du jeu avec ses solides coups de fond de court face à un Tsonga moins explosif que lors de ses précédents matches. Il réussissait le break dans le 8e jeu (5-3) et égalisait à une manche partout.

Expérience
Dans la 3e manche, l'emprise du Serbe fut encore plus nette. A 5-3, Tsonga sauva 6 balles de set, dont 3 consécutives, mais céda finalement sur la septième. Mais la partie a failli tourner de nouveau au milieu du quatrième set, lorsque Djokovic a commencé à souffrir d'une cuisse. Il demanda même l'intervention d'un kiné. Tsonga s'accrocha et obtint le droit de disputer un jeu décisif (6-6). L'expérience de Djokovic paya sans doute à cet instant crucial de la rencontre. Menant 2/0, il fila ensuite à 5/1 puis 6/2 avant de conclure.

18e mondial
Malgré sa défaite, Jo-Wilfried Tsonga, 22 ans, a créé une des plus grosses sensations de ces dernières années en atteignant la finale alors qu'il n'était que 38e mondial et participait seulement à son cinquième tournoi du Grand Chelem. Il jouait sa première finale sur le circuit et jamais n'a disputé de matchs en cinq sets. Le Français, sosie du jeune Mohammed Ali, va grimper dès lundi à la 18e place au classement mondial de l'ATP.

[Norton]

Boom sacré champion du monde de cyclocross


Le Néerlandais Lars Boom a décroché le titre de champion du monde de cyclo-cross, dimanche à Trévise en Italie, où il s'est imposé devant le Tchèque Zdenek Stybar, 2e, et notre compatriote Sven Nys, 3e. Erwin Vervecken, vainqueur les deux dernières années, a pris la quatrième place.

C'est le 3e titre mondial du champion des Pays-Bas dans cette discipline après ceux conquis en catégorie espoir en 2007 et en junior en 2003. Également champion du monde en titre du contre-la-montre espoir en cyclisme sur route, Boom, 22 ans, a ainsi stoppé l'hégémonie des coureurs belges, invaincus dans la catégorie élite depuis 2001.

Il permet aussi aux Pays-Bas de totaliser son cinquième maillot arc-en-ciel chez les professionnels, après Stamsnijder (1981), Henk Baars (1990), Adrie Van der Poel (1996) et Richard Groenendaal (2000). Boom a construit son succès dans le neuvième et dernier tour de l'exigeant circuit italien, qui n'avait pourtant pas permis à la course de se décanter avant l'ultime attaque du Néerlandais. Le numéro un mondial, Sven Nys, le grand dominateur de la saison, n'a jamais pu mettre ses adversaires en difficulté, devant se contenter d'une course d'observation.

Restant dans la roue de son compatriote et champion du monde sortant Erwin Vervecken lors de l'attaque de Boom, le coureur de Baal parvenait néanmoins à sauver l'honneur pour ses couleurs lors du sprint final, prenant la médaille de bronze derrière le Tchèque Zdenek Stybar, un autre représentant de la jeune génération (22 ans).