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Foot Angleterre Arsenal Wenger «pas pressé de prolonger»
Arsène Wenger, qui arrive en fin de contrat à la fin de la saison avec Arsenal, a expliqué ce jeudi «avoir du temps» avant de discuter avec ses dirigeants. Il assure aussi qu'il partira seulement à condition que son équipe réussisse.
Arsène Wenger estime avoir du temps avant d'évoquer une prolongation avec ses dirigeants. (L'Equipe)









Dix-sept ans après son arrivée à Arsenal, Arsène Wenger va-t-il rempiler une nouvelle fois avec les Gunners ? Le Français, qui arrive en fin de contrat en fin de saison, a évoqué ce jeudi le sujet, toujours avec patience. «Nous ne sommes pas pressés. Nous sommes en septembre et mon contrat se termine en juin, a-t-affirmé. Il y a encore beaucoup de temps, ce n'est pas encore nécessaire de planifier (des discussions avec les dirigeants)».

«Quand le moment sera venu, je vais me poser la question "Est ce que j'ai été performant avec l'équipe que j'avais en ma possession ?" Cela sera suffisant pour me décider.» Pour autant, Wenger s'impose une condition à son départ : «avoir réussi avec son équipe (...) Comme je l'ai dit à plusieurs reprises, je veux réussir avec ce club. Quand le moment sera venu, je vais me poser la question "Est ce que j'ai été performant avec l'équipe que j'avais en ma possession ?" Cela sera suffisant pour me décider», indique l'Alsacien, qui est notamment convoité par le Paris-SG. Entraîneur le plus ancien en poste au sein du même club de Premier League depuis le départ de sir Alex Ferguson de Manchester United, l'Alsacien a été très critiqué cet été, notamment à cause des déboires d'Arsenal durant le marché des transferts (Higuain, Suarez etc.).

«Dans une position financière forte»




Mais le club londonien a finalement fait signer Mesut Özil dans les dernières heures du mercato. «Ce qui est très important pour nous est de trouver des joueurs de classe mondiale et il n'y en a pas beaucoup, a glissé Wenger. Nous avons traversé une période où nous avions un potentiel financier limité et le but était de rester en Ligue des champions. On est parvenus à le faire et maintenant, nous sommes dans une position financière forte.»
Avec AFP

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Golf Evian Les cartes sont rebattues
Nouveau label, donc nouveau parcours. En devenant majeur, l'Evian Championship a du repenser son parcours historique. Plus dur, plus franc, après un an de travail titanesque, le tracé alpin n'a plus qu'à vieillir pour être à la hauteur de son statut.
Le green du 18 de l'Evian Resort Golf Club et quelques uns des 180 arbres plantés cette année. (D.R)









En passant dans le giron des tournois majeurs, l’Evian Masters est devenu The Evian Championship. Plus que le nom, l’événement alpin en aurait presque changé son identité, puisque le parcours même a fait peau neuve.
Selon les désirs du tout puissant LPGA, l’Evian Resort Golf Club a investi 7 millions d’euros cette année pour s’améliorer. Des rotations d’hélicoptères pour remplir les nouveaux bunkers, des buttes qui disparaissent pour réapparaitre ailleurs (90 000 m3 de terre bougées) et des greens totalement repensés. Un taf gigantesque accompli alors que les conditions météos de 2013 étaient totalement inadaptées à la transformation d’un parcours (gel, puis neige, puis boue et enfin pluie durant le printemps…).


Petterssen : « Plus dur qu'avant »

Les 120 joueuses du dernier Grand Chelem de la saison ont débarqué cette semaine, pour dépuceler le théâtre alpin. Alors qu’un parcours classique met au moins deux, voire trois saisons à se remettre d’un lifting, Évian tente le coup d’accueillir l’élite mondiale, juste deux mois après la fin des travaux. Suzann Petterssen, n°3 mondiale : « Ce genre de projet nécessite au moins deux ans pour être au point. Les modifications réalisées sont immenses, difficiles. Le tracé sera au final bien plus dur qu’il ne l’était déjà. »

Nocera : « Plus franc »




Avec un score vainqueur toujours au delà des -14 depuis 2008, l’ancien Évian était effectivement bien trop tendre pour le label Grand Chelem. Avec des trous totalement repensés (le 5 notamment, anciennement par 4 en aveugle, aujourd’hui merveille de par 3, par dessus un tout nouveau plan d’eau), le parcours rebat presque les cartes. Stacy Lewis, 2e ici en 2011 et 2012 : « Je suis presque déçue de voir le tracer changer autant, je jouais si bien sur l’ancien… »
Avec un finish 13-18 repensé, d’autres gladiatrices moins en veine par le passé vont tenter de briller. Comme Gwladys Nocera, qui n’a jamais réussi à intégrer le top 30, souvent piégée par un « amen corner » réputé aussi franc qu’un notaire véreux : « J’aime beaucoup les changements opérés, c’est plus dur, mais plus franc. Le 16, par 3, est vraiment magnifique, notamment. Avec le temps, Évian deviendra le meilleur de nos parcours. »

Lewis : « Un an et ça sera parfait »

Alors que jardiniers et bénévoles s’activent pour virer l’eau tombée sur les greens depuis la semaine dernière (le jeu a été interrompu deux fois jeudi matin), personne n’a cherché à masquer grossièrement la jeunesse de l’endroit. Un peu de terre nue apparente au 3, notamment, ou de rares jointures visibles entre ancien et nouveau gazon sur les greens étendus. Quelques sauts de balles sur les surfaces de putts, mais rien de méchant, donc, vu l’urgence des opérations réalisées : « Le parcours n’est pas encore tout à fait prêt, poursuit une Lewis malgré tout admirative du boulot fournit. Il est encore trop tôt pour juger le parcours, mais dans un an, tout sera parfait ! »


Benjamin Cadiou, à Évian

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Nouvelle victoire des Kiwis

12.09.2013 Réagir
Le voilier de TNZ (au second plan) a encore pris le dessus sur le défi américain. [Eric Risberg - Keystone]


Team New Zealand, le challenger néo-zélandais, a remporté jeudi à San Francisco la 6e régate de la finale de la Coupe de l'America, battant une fois de plus le "defender" américain Oracle Team USA.
C'est la 5e victoire des Néo-Zélandais depuis le commencement de la finale, samedi dernier. Le score officiel est cependant de 5-0, Oracle ayant été pénalisé de deux points pour avoir triché en 2012 dans des courses préparatoires (America's Cup World Series/ACWS) à la "Cup".
Oracle doit gagner 11 régates pour conserver le trophée remporté en février 2010 à Valence (Espagne), deux de plus que ETNZ (9). Une 7e régate devait avoir lieu dans la nuit.
si/alt

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Le LHC, entre euphorie et réalité

12.09.2013
Cristobal Huet ne devrait pas manquer de travail cette saison. [Laurent Gilliéron - Keystone]


Néo-promu après huit saisons de LNB, le Lausanne Hockey Club a retrouvé en avril l'élite du pays. Mais dans une LNA extrêmement compétitive, la tâche des Vaudois s'annonce difficile.
Vendredi soir à 19h45 à la BCF Arena, le LHC va redécouvrir la LNA contre Fribourg-Gottéron. Et du côté de la patinoire de Malley, les interrogations sont plus nombreuses que les certitudes.
Que de questions

Est-ce judicieux de démarrer l'exercice avec quatre attaquants étrangers - Colby Genoway, Oliver Setzinger, Daniel Bang et Juha-Pekka Hytönen - lorsque la défense ne compte pas, hormis John Gobbi, d'éléments rompus au rythme de la LNA? Est-ce que les défenseurs parviendront à contrer la vitesse des meilleurs attaquants du championnat? Alain Reist et le LHC ont notamment battu 2-0 en amical le Genève-Servette. [Martial Trezzini - Keystone] Et enfin malgré son CV et sa très grande expérience, Cristobal Huet pourra-t-il amener ces quelques points si précieux en fin de saison?
"Nous avons un très bon système de jeu, rétorque John Gobbi. Les cinq joueurs sont inclus dans le système défensif. Et 80% des défenseurs possèdent une bonne expérience de la LNA. Sans oublier Cristobal Huet aux goals."
Mission périlleuse

Comme pour tous les néo-promus, la mission qui attend les Lausannois fait assurément partie des plus périlleuses. Le niveau des formations de LNA est tel que l'objectif des Vaudois ne peut être que le maintien. Incapable d’attirer de gros poissons, le directoire lausannois a misé sur quelques éléments du relégué Langnau (Joel Genazzi, Etienne Froidevaux, Federico Lardi et Caryl Neuenschwander).
Et à Malley, on espère que Thomas Déruns et Paul Savary retrouveront le niveau qui était le leur lors de la saison 2009/10. "A Genève, on n'avait rarement beaucoup de crédit en début de saison, poursuit le nouveau patron de la défense lausannoise, John Gobbi. Surtout durant la saison où nous avons échoué en finale lors du septième match à Berne. C'est un état d'esprit. Des gars comme Conz, Savary ou Déruns connaissent parfaitement la situation. On sait que l'on n'a pas le droit à l’erreur et qu’il faudra se serrer les coudes comme jamais."
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Genève-Servette en embuscade derrière les grosses cylindrées
Les Dragons ont hâte d'en découdre

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Walker de Genève à Lugano, Morant au LHC

12.09.2013 19:35 mise à jour à 21:56
Julian Walker ne portera plus le maillot grenat. [Salvatore Di Nolfi - Keystone]


C'est désormais officiel, Julian Walker (27 ans) quitte Genève pour Lugano. L'attaquant international a signé un contrat de 3 ans avec le club tessinois. Johann Morant (27 ans) quitte, lui, Lugano pour Lausanne. Le défenseur français à licence suisse s'est engagé pour une saison avec le néo-promu.
Le départ de Walker était dans l'air depuis quelques jours. Il s'agit d'un retour au Tessin pour le médaillé d'argent du dernier Championnat du monde, qui avait évolué avec Ambri entre 2008 et 2012. A ce jour Walker a disputé 427 matches en LNA et a inscrit 133 points. A Genève, il n'avait jamais vraiment trouvé sa place dans le dispositif de Chris McSorley (seulement 4 buts).
Le défenseur luganais Johan Morant va lui quitter le Tessin pour Lausanne, où il a signé pour l'exercice 2013/2014. Le Français à la licence suisse n'aura disputé qu'une seule saison avec Lugano. Il avait fait ses débuts en LNA sous le maillot du CP Berne.
La situation financière d'Ambri toujours compliquée

La situation économique d'Ambrireste tendue. Lors de l'assemblée générale, le conseil a présenté un bilan financier profondément ancré dans les chiffres rouges, avec un déficit structurel de 1,633 millions de francs. Une nouvelle augmentation du capital d'actions est planifiée.
Ces derniers mois, les Léventins avaient déjà augmenté leur capital de 1,6 million. Au cours des deux prochaines années, deux millions doivent être trouvés pour stabiliser les finances du club tessinois.
si/alt

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Wawrinka ouvrira les feux vendredi

12.09.2013 14:07 mise à jour à 20:37 Réagir
Wawrinka sera le premier à défendre les couleurs suisses face à l'équateur. [Salvatore Di Nolfi - Keystone]


Stanislas Wawrinka ouvrira les feux vendredi à Neuchâtel lors du barrage de Coupe Davis contre l'Equateur. Dès 13h00, le no 10 mondial affrontera Emilio Gomez (ATP 340).
Pour le deuxième simple, Marco Chiudinelli a finalement été préféré à Henri Laaksonen. Le Bâlois (ATP 164) en découdra ainsi avec le no 1 équatorien, Julio Cesar Campozano (ATP 295). Quant au double du samedi, il mettra aux prises la paire Wawrinka/Chiudinelli au duo Roberto Quiroz/Gonzalo Escobar.
La Suisse favorite

La Suisse part largement favorite pour ce barrage du Groupe mondial. Reste toutefois à savoir si Wawrinka aura suffisamment récupéré, une semaine après la fin de son formidable parcours à l'US Open, où il a atteint les demi-finales.
"Je me sens encore cassé physiquement et mentalement. Du coup, je pense que cela sera l'une de mes rencontres de Coupe Davis les plus difficiles à négocier", a reconnu Wawrinka. "On ne pourra toutefois jamais m'enlever ma motivation pour la Coupe Davis. De plus, le fait d'évoluer à domicile constitue un avantage. Nous sommes également conscients que nous aurions pu affronter des adversaires plus redoutables".

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Le match des Diables en Croatie débutera bien à 18h

© belga.
La prochaine rencontre de qualifications des Diables Rouges pour le Mondial 2014 prévue le 11 octobre à Zagreb contre la Croatie aura bien lieu à 18h00, a officialisé l'Union belge de football dans un communiqué jeudi soir.
"'1895' travaille à une solution pour les supporters qui atterrissent à Rijeka à 15h40 le jour du match", a ajouté le porte-parole de l'Union belge, Stefan Van Locke.

Ces derniers jours, les spéculations allaient bon train quant au coup d'envoi de la rencontre en Croatie. La FIFA a décidé de maintenir le coup d'envoi à Zagreb à 18h00, alors que des supporters belges atterrissent à Rijeka à 15h40 le jour du match, et ne seraient pas forcément en mesure de rallier Zagreb dans les temps.

"Ils ne seront pas laissés à l'abandon", a promis l'Union belge. "1895 travaille en effet à une solution pour la remise des tickets et le transfert de l'aéroport au stade. 1895 examine la possibilité de proposer le transport en car gratuit entre l'aéroport et le stade".

Un point suffit à la Belgique de Marc Wilmots pour obtenir son billet pour le Mondial au Brésil l'an prochain.

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A 42 ans, Chris Horner peut-il créer la sensation?


Kiryienka a remporté l’étape, le maillot de Nibali ne tient plus qu’à un fil

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Vuelta Le Bélarusse Vasil Kiryienka (Sky) s'est adjugé jeudi la 18e étape du Tour d'Espagne au sommet de l'Alto de Pena Cabarga, en Cantabrie (nord), où l'Italien Vincenzo Nibali (Astana) a sauvé de justesse son maillot rouge de leader.
© photo news. © photo news.
Au terme d'une étape de 186 km, le coureur de 32 ans a faussé compagnie à son groupe d'échappés pour s'imposer en solitaire. Kiryienka a devancé de 28 secondes le Danois Chris Anker Sörensen (Saxo Bank-Tinkoff) et l'Australien Adam Hansen (Lotto-Belisol) d'une minute 18.

Dans l'ultime difficulté du jour, l'Américain Chris Horner (42 ans) a attaqué Nibali qui conserve de justesse son maillot de leader pour 3 secondes. Vendredi, la 19e étape conduira les coureurs de San Vicente de la Barquera à l'Alto del Naranco sur 181. Samedi, on assistera à la myhtique arrivée au sommet du terrible Angliru.

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Ferrari met le paquet pour 2014

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En associant le Finlandais Kimi Räikkönen, champion du monde 2007, à l'Espagnol Fernando Alonso, sacré en 2005 et 2006 et qui l'avait remplacé fin 2009 au sein de la Scuderia, Ferrari a mis le paquet pour tenter de briser l'hégémonie de Red Bull en 2014.

© getty. © epa. © epa.
Räikkönen, 33 ans, pilote Lotus depuis début 2012, avait fait un retour fracassant la saison dernière, terminant 3e du championnat alors qu'il venait de passer deux années sabbatiques en Mondial des rallyes (WRC), pour le plaisir, à la suite de son départ de la Scuderia moyennant plusieurs millions d'euros d'indemnités.

Le Finlandais, actuellement 4e du championnat 2013, remplacera le Brésilien Felipe Massa, 32 ans, chez Ferrari depuis 2006 et qui avait annoncé mardi soir son départ, sur son compte Twitter, après en avoir été informé par la Scuderia.

Chez Lotus, la première réaction a été assez violente. Son départ a d'abord été salué par un tweet vengeur, accompagné d'une photo figurant deux lapins s'accouplant.

"C'est vrai que l'on peut avoir le sentiment de l'avoir perdu, mais il ne faut pas oublier que Ferrari, c'est Ferrari", a nuancé plus tard le directeur de l'écurie Eric Boullier sur Canal+ sport.

Surnommé "Iceman", Räikkönen, qui n'a pas l'habitude de parler pour ne rien dire, composera avec Alonso, 32 ans, dauphin de l'Allemand Sebastian Vettel en 2010 et 2012, une paire très expérimentée qui a déjà remporté 52 GP de Formule 1 (32 pour Alonso, 20 pour Räikkönen) et trois titres mondiaux.

Ce sera une révolution pour la Scuderia où la tradition a toujours été, sauf rares exceptions, d'avoir un pilote numéro 1 et un numéro 2.

C'était le cas au début des années 2000 quand Michael Schumacher, enchaînait titres (7 au total) et victoires (91) pendant que Rubens Barrichello était abonné par contrat aux deuxièmes places, un peu comme Massa avec Alonso.

La cohabitation entre Alonso et Räikkönen, le feu et la glace, a tout pour donner des cauchemars à Vettel et Red Bull, car les deux pilotes auront tout à gagner s'ils enrayent la domination de l'écurie autrichienne.

Surtout si le jeune Daniel Ricciardo, 24 ans, n'est pas tout de suite aussi efficace que le vieux Mark Webber, 37 ans, aux côtés de Vettel. Hülkenberg chez Lotus ?

En faisant revenir Räikkönen chez Ferrari, le patron de la Scuderia Luca di Montezemolo vient déjà de réaliser le rêve de beaucoup de fans: composer un tandem explosif composé des deux champions les plus populaires de la F1 moderne, ce qui va forcément relancer l'intérêt de la discipline après quatre saisons de domination Red Bull.

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Dans le grand jeu de chaises musicales, dont le top départ a été donné par Massa mardi soir, la place de Räikkönen chez Lotus sera vraisemblablement prise par l'Allemand Nico Hülkenberg (Sauber) que convoitait aussi Ferrari... au cas où Kimi n'aurait pas accepté de revenir à Maranello.

Et si "Hulk" quitte Sauber, ce qu'on devrait savoir bientôt, Massa devrait pouvoir survivre en F1 une saison de plus, dans l'écurie suisse, toujours équipée de moteurs Ferrari, où il avait débuté en 2002.

Il servirait alors de grand frère, et de professeur, au Mexicain Esteban Gutiérrez, 22 ans, s'il reste, ou au Russe Serguey Sirotkin, 18 ans, s'il lui prend sa place.

Nicolas Todt, l'agent de Felipe Massa, a cependant indiqué mercredi soir que l'objectif prioritaire de son pilote "serait d'être chez Lotus".

Cela fait longtemps que les effectifs de trois écuries de pointe sur quatre (Red Bull, Ferrari, Lotus) n'avaient pas été renouvelés de moitié, avant même la fin de l'été.

Et comme Mercedes pourra toujours compter, en 2014, sur un tandem très complémentaire, avec Lewis Hamilton et Nico Rosberg, la bagarre sera encore plus acharnée en tête du peloton.

Côté français, les quatre mousquetaires ont déjà fait tout ce qu'il fallait pour garder leur place en F1, sans changer d'équipe, qu'il s'agisse de Romain Grosjean (Lotus), Jean-Eric Vergne (Toro Rosso), Charles Pic (Caterham) ou Jules Bianchi (Marussia). S'ils font encore mieux lors des sept dernières manches du Championnnat 2013, leur position en sera même renforcée.

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Foot Ligue 1 PSG Alex: «On doit s'améliorer»
Resté à Paris pendant la trêve internationale, Alex fait partie des quelques joueurs «frais» pour le déplacement à Bordeaux vendredi soir (20h30). Le défenseur brésilien est revenu sur le début de saison du PSG et réclame du temps : «Les automatismes vont venir.»
Alex est conscient que Paris n'a pas encore affiché son meilleur visage. (L'Equipe)









«Alex, comment s’est passée la trêve internationale ?
Cela nous a donné un peu de temps pour travailler mais, évidemment, il manquait beaucoup de joueurs avec les matches internationaux. On a bien travaillé ici mais l’entraîneur préfèrerait avoir tout l’effectif. Pour ceux qui sont restés, ça a été une bonne semaine de travail.

Que pensez-vous du jeu du PSG depuis le début de la saison ?
On sait qu’on doit s’améliorer. Certes, on a gagné les deux derniers matches mais on a une marge de progression. Le programme va se compliquer avec ce match à Bordeaux et la Ligue des champions qui arrivent donc on va devoir faire mieux. L’important, ça reste les trois points, comme on dit, mais on attend mieux de nous.

Cavani ? «Avec Ibrahimovic, il faut créer une entente en attaque» Sur quels points en particulier cette équipe doit-elle progresser ?
Beaucoup de nouveaux joueurs sont arrivés, surtout devant. Il faut du temps pour trouver les automatismes, ça demande du travail. On aurait pu le faire cette semaine mais beaucoup de joueurs sont partis et rentrent tard. Certains ne sont même pas encore revenus. C’est la difficulté de ce début de saison mais ça va s’améliorer. Les automatismes vont se mettre en place.

Pourtant, sur les quatre premiers matches de la saison, l’équipe de départ n’a pas trop changé, à part Edinson Cavani…
Justement, Cavani est arrivé il y a peu de temps et on n’a pas beaucoup travaillé avec lui. Avec Ibrahimovic, il faut créer une entente en attaque et c’est difficile quand les joueurs ne sont pas là. Mais avec un peu plus d’entraînement, ça va aller.

«J'ai toujours espoir de revenir en sélection»




Sur le plan personnel, on a l’impression que vous vous êtes installés dans cette équipe, d’autant que Sakho est parti et Marquinhos n’est pas encore à 100% ?
La concurrence nous pousse à travailler plus fort, c’est sûr. Sakho était un très grand joueur mais il veut jouer la Coupe du monde, donc je pense que c’est un bon choix de quitter le club. Comme Marquinhos, c’est un joueur d’avenir. Marquinhos, c’est un joueur très rapide, qui a un excellent sens de l’anticipation, comme Thiago Silva. Il est jeune et veut apporter à cette équipe. Cette concurrence ne peut me faire que du bien. Après, le meilleur jouera…

Quand vous voyez Maxwell, Lucas et Thiago Silva partir en sélection, est-ce que cela vous donne des idées ?
J’ai toujours espoir de revenir en sélection. Il faudra faire une très grosse saison, il faudra notamment que je réponde présent en Ligue des champions. Je vais faire de mon mieux et on verra bien…»
Rédaction

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