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Nadal rejoint Del Potro dans le dernier carré

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Le numéro 1 mondial Rafael Nadal s'est qualifié pour les demi-finales du Masters 1000 de Shanghai en battant le Suisse Stanislas Wawrinka en deux sets 7-6 (12/10), 6-1.
Le Majorquin retrouvera en demi-finale l'Argentin Juan Martin Del Potro (5e mondial) qui a éliminé l'Espagnol Nicolas Almagro (16e) en deux sets (6-3, 6-3).

S'il s'impose samedi, Nadal pourrait rencontrer en finale son dauphin Novak Djokovic, opposé au Français Jo-Wilfried Tsonga dans l'autre demi-finale.

Le Serbe, à qui il a repris la place de N.1 mondial, l'a battu le week-end dernier en finale du tournoi de Pékin.

Vendredi, Nadal a remporté son onzième match en autant de confrontations avec Stanislas Wawrinka, lequel n'a jamais réussi à remporter une manche contre l'Espagnol.

Le N.1 mondial a fait le plus dur en remportant un premier set à rallonge au cours duquel ni lui ni son adversaire n'ont concédé leur mise en jeu.

Wawrinka s'est procuré une occasion de faire le break et a eu des opportunités de remporter cette manche déterminante pour l'issue de la rencontre. Le N.1 mondial s'est quant à lui créé trois balles de break sauvées par le Suisse.

Libéré par le gain de ce premier set, le "Taureau de Manacor" a passé la vitesse supérieure face à un adversaire qui a lui baissé de régime, multipliant les approximations.

Nadal a rapidement creusé l'écart remportant deux mises en jeu de son adversaire pour mener 5-0. Wawrinka a sauvé l'honneur avant que l'Espagnol ne conclut le match.

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Steve Darcis privé de tennis durant plusieurs mois

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Tout comme Olivier Rochus, opéré mercredi à la hanche, Steve Darcis est lui aussi indisponible pour plusieurs mois suite à une intervention chirurgicale à l'épaule. Le Sprimontois, 165e au classement ATP, sera privé de tennis durant 4 à 6 mois, ont annoncé vendredi les journaux du groupe Sudpresse.
"Shark" s'était blessé à l'épaule au début de l'été lors de sa victoire contre Rafaël Nadal au premier tour de Wimbledon. Darcis avait retrouvé les courts de tennis quelques mois plus tard, mais la blessure n'était pas entièrement guérie et la douleur était toujours bien présente.

"On craignait une lésion, mais on est tombé sur le pire", a confié le Docteur Messens au groupe Sudpresse. "On a dû procéder à une reconstruction totale du tendon sus-épineux. Ce qui veut dire quatre mois sans toucher une raquette pour Steve, avant de seulement penser à la revalidation..."

Olivier Rochus, opéré mercredi pour enlever un bout de cartilage dans sa hanche, sera lui indisponible pour trois mois, alors que David Goffin termine sa revalidation après une blessure au poignet. Le numéro 1 belge, 93e mondial, peut lui déjà se réentraîner.

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"Le Dakar 2014 plus dur que les deux précédents"

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Le prochain rallye-raid Dakar, qui se déroulera du 5 au 18 janvier 2014 en Amérique du Sud (Argentine, Bolivie, Chili), sera "plus long, plus dur et demandera plus d'endurance que les deux dernières éditions", a affirmé vendredi le directeur sportif de l'épreuve, David Castera.
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"Le Dakar se porte très bien", a déclaré Castera, précisant qu'environ 225 motos et quads seront au départ de l'épreuve mythique, ainsi que quelque 150 autos et 70 camions.

"Il y aura à peu près autant de concurrents en 2014 qu'en 2013", a-t-il ajouté, en marge d'une journée de formation des pilotes de motos, de quads et d'autos dont ce sera la première participation.

La liste est close pour les motos et les quads, a précisé Castera. Elle le sera à la fin du mois pour les autos et les camions.

Le kilométrage exact du rallye-raid sera révélé lors de la présentation officielle de la course le 20 novembre à Paris mais, selon le directeur de course, "il sera plus long d'environ 1.000 km que celui de cette année, avec plusieurs étapes de plus de 500 km. L'une d'entre elles dépassera même les 600 km".

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À NOUS LE BRÉSIL !!!

Et dire que Wilmots et Van Buyten avaient joué ensemble lors du Mondial 2002. © afp.
MONDIAL 2014 OBRIGADO LES DIABLES !!! Après une interminable attente de douze ans et une absence lors des cinq grands tournois internationaux en date, les Diables Rouges participeront au Mondial 2014 au Brésil. Ce soir, les hommes de Marc Wilmots ont livré une prestation cinq étoiles en déplacement à Zagreb (1-2, mi-temps: 0-2). Si tout le groupe aura brillé en Croatie, un homme a surtout tiré son épingle du jeu: Romelu Lukaku, auteur d'un doublé. Dotée d'une génération dorée, notre équipe nationale retrouve (enfin !) ses lettres de noblesse dans le monde du football. Avec une tel noyau, tous les rêves seront permis dans le pays de la samba l'été prochain. Et on a déjà hâte d'y être !
Romelu Lukaku avait mangé du lion ce soir. © reuters. Wilmots se voit déjà à Rio. Son imitation du Christ Rédempteur est parfaite. © reuters. Fellaini exceptionnel ce soir à Zagreb. © reuters. Même sans Kompany et Benteke, les Diables ont fière allure. © belga. Defour a mis Modric sous l'éteignoir. Il s'est même permis le luxe de livrer une passe décisive sur le premier but de Lukaku. © photo news.
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1 Lukaku, le roi Midas
Trainé dans la boue par ses détracteurs il y a deux mois, Romelu Lukaku est probablement dans la forme de sa vie. Son penalty loupé en finale de la Supercoupe d'Europe avec Chelsea fait désormais partie du passé. Depuis son prêt à Everton (4 buts, 3 matchs), l'ancien joueur du Sporting Anderlecht, tel le roi Midas, transforme tout ce qu'il touche en or. Il a eu l'excellente idée de choisir Zagreb pour déflorer son compteur personnel en équipe nationale (matchs officiels). José, c'est pour toi !

2 Les choix tactiques gagnants de Wilmots
7 septembre 2012: Wilmots offre les clés de l'équipe à Witsel en le faisant évoluer comme numéro 6. Le choix de mettre Mertens sur le côté droit est le meilleur. Résultat: 0-2 au Pays de Galles.
12 octobre 2012: les Diables s'imposent en Serbie après avoir souffert pendant 30 minutes. Hazard glisse sur le côté gauche, Chadli occupe le flanc droit et De Bruyne brille juste derrière Benteke. Résultat : 0-3.
16 octobre 2012: pas vraiment en réussite en Serbie, Hazard est relégué sur le banc au détriment de Mertens. Sans pardon. Après l'entrée au jeu de l'ailier de Chelsea, les Diables marquent à deux reprises. Résultat: 2-0.
7 juin 2013: Wilmots avait choisi de ne pas aligner Fellaini contre la Macédoine au mois de mars. Face à Serbie, le sélectionneur surprend tout le monde en laissant Dembélé sur le banc. "Big Mo" est titularisé et marque le second but des Diables. Résultat: 2-1.
6 septembre 2013: Hazard forfait de dernière minute, Wilmots choisit Defour. Une surprise. Lors de 45 premières minutes, le médian du FC Porto fait sauter le verrou écossais. Mirallas sort du banc pour doubler les chiffres. Résultat: 0-2.
11 octobre 2013: privé de Kompany en Croatie, Wilmots accorde sa confiance à Lombaerts. Le défenseur du Zénit joue quasi à la perfection. Benteke absent? Lukaku saisit sa chance en plantant un doublé en moins de 45 minutes: Résultat: 1-2.

3 Au Brésil comme tête de série?
Mais où s'arrêteront les Diables? Tout au long de leur parcours dans ce groupe A, les ouailles de Marc Wilmots se sont montrés intraitables. Leur qualification est logique et incontestable (25/27). A un tel point que notre équipe nationale pourrait débarquer au Brésil en tant que tête de série. Ce qui n'est pas rien avant d'aborder un Mondial. Pour ce faire et si la FIFA ne change pas son règlement, les Diables seront assurés du top 8 mondial avec seulement un point récolté contre le Pays de Galles (mardi prochain). Ils éviteraient ainsi des nations comme le Brésil, l'Espagne, l'Italie, l'Argentine ou encore l'Allemagne.

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Lourde amende pour l'écurie Williams au GP du Japon

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L'écurie Williams a écopé d'une amende de 60.000 euros suite à un incident ayant impliqué son pilote Pastor Maldonado lors des essais libres du Grand Prix du Japon, vendredi à Suzuka.
Le pilote vénézuélien avait perdu sa roue arrière gauche lors de la 1ère séance d'essais libres, provoquant une situation jugée dangereuse par le jury des commissaires. Maldonado avait ensuite terminé dans le mur de pneus l'après-midi, après six tours seulement.

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Philippe Gilbert: "Je trouve les saisons un peu folles"

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Philippe Gilbert a couru dimanche sa dernière course de l'année à l'occasion du Tour de Lombardie. Sur son site internet, le coureur de l'équipe BMC a écrit un message où il revient sur sa saison disputée sous le maillot arc-en-ciel. L'ancien champion du monde en a profité pour s'adresser à l'UCI et à son nouveau président.
"Je suis passé par des phases très différentes cette saison, chutes, manques de réussite ou places d'honneurs à répétition! Et également par une journée inoubliable lors de la Vuelta et mon unique victoire avec ce beau maillot", a confié le Remoucastrien, avant de lancer un message à l'UCI et aux organisateurs de courses.

"Je trouve les saisons un peu folles tant au niveau du nombre de courses qu'au niveau des difficultés. Au niveau des organisateurs, c'est la course à celui qui aura le plus de mètres de dénivellation positive, la plus longue côte, la côte la plus raide ou encore l'étape la plus longue. Le but étant d'établir un record et faire parler de leurs excès. A l'heure où nous luttons plus que jamais contre le dopage, il y a un réel décalage entre ce que les coureurs peuvent encaisser et ce qui nous est proposé."

Gilbert dénonce aussi les extrêmes imposés aux coureurs mettant leur santé en danger. "J'ai couru deux courses complètement opposées au niveau du climat, une où il neigeait, Milan Sanremo, et une où il faisait plus de 50 degrés, le Tour de Californie. Dans ces deux cas les journaux télévisés préconisaient au public de rester chez lui et d'éviter tout déplacement inutile. De notre côté, nous nous avons été prié de faire le spectacle malgré les risques importants pour notre santé. Sans parler des déplacements interminables lors des courses à étapes qui réduisent notre temps de repos. Ma question est simple, avons-nous besoin de tant d'excès pour voir des coureurs donner le meilleur d'eux même et offrir un spectacle à tous les fans de cyclisme?".

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Décision suspendue pour le huis clos de l'AC Milan

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La sanction d'un match à huis clos contre l'AC Milan pour "discrimination territoriale" a été suspendue vendredi en appel en attente d'approfondissements.
La cour de justice de la Fédération italienne de football (FIGC) "a estimé nécessaire de suspendre l'exécution de la sanction objet d'appel" et "a demandé l'étude de nouveaux éléments", est-il écrit dans le communiqué fédéral.

La décision de l'appel est repoussée à la semaine prochaine, au plus tard jeudi selon la presse italienne, soit à deux jours du match des Milanais.

L'AC Milan devait jouer le match contre l'Udinese, le 19 octobre, dans un stade vide, sanctionné pour récidive de chants anti-napolitains de la part de certains de ses tifosi, un acte de "discrimination territoriale", notion contestée par de nombreux acteurs du football italien.

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Foot Bleus Festival offensif des Bleus au Parc des Princes !
Certes, son adversaire n'était que l'Australie, mais l'équipe de France a régalé le public du Parc des Princes (6-0), ce vendredi soir. Ribéry (1-0, 8e, s.p.), Giroud (16e, 26e), Cabaye (29e), Debuchy (47e) et... Karim Benzema (51e), enfin, ont participé à la fête.
Y'a dl'a joie dans les rangs tricolores après la large victoire face à l'Australie, vendredi soir. (L'Equipe)







Le Parc des Princes ne sera plus uniquement le théâtre du pire souvenir de Didier Deschamps. Un mois avant les vingt ans du funeste France-Bulgarie (1-2) qui avait privé les Bleus du Mondial 1994, l’enceinte parisienne restera aussi celle où ses joueurs ont enregistré leur plus large victoire depuis sa nomination au mois de juillet 2012. Mais plus que l’environnement – pas si différent de celui auquel Ribéry et ses équipiers sont habitués au Stade de France -, la faiblesse de l’opposition y a été pour beaucoup dans le festival offensif offert par les Bleus. Contre une formation australienne dans la lignée de ses dernières sorties – elle restait sur deux défaites 6-0 et 4-3 contre le Brésil et la Chine -, même Karim Benzema a marqué (51e). C’est dire.

Benzema, fin de disette

On exagère, évidemment. Mais le mutisme de l’attaquant madrilène en sélection était tel que tout le Parc des Princes y est allé de son «il a marqué, il a marqué» pour accompagner son premier but depuis 1222 minutes. Remplaçant au coup d’envoi et beau joueur, Benzema a salué les supporters d’un pouce levé avant de les applaudir. Cela faisait déjà un long moment que ce France-Australie était plié. C’est d’ailleurs peut-être aussi la raison pour laquelle Deschamps l’a (re)lancé dès le début de la deuxième période.




Il ne faut évidemment pas minimiser la prestation tricolore. Par le passé, l’équipe de France a déjà affronté des formations présumées plus faibles sans pour autant se montrer flamboyante. Mais ce n’est pas tous les jours qu’elle bénéficiera de failles aussi béantes que celles affichées par les Socceroos vendredi soir. S’ils ont d’abord profité d’un penalty (inexistant) pour ouvrir le score par Ribéry (8e), les Bleus ont ensuite pu tranquillement dérouler sans trouver de répondant en face. A leur crédit tout de même : l’axe Ribéry-Nasri a très bien fonctionné. Ce n’est donc pas un hasard si les deux joueurs – chacun leur tour ou tous les deux en même temps - ont été impliqués sur tous les buts français.

En s'offrant un doublé (16e, 27e), Giroud a, lui, confirmé qu'il était devenu plus qu'une simple alternative à Karim Benzema. En s’offrant un doublé (16e, 27e) – dont un lob subtil du pied gauche -, Giroud a, lui, confirmé qu’il était devenu plus qu’une simple alternative à Karim Benzema. Dans la foulée, Cabaye y est lui aussi allé de son but – d’une frappe sèche (29e) – avant d’être imité par Debuchy dès la reprise (47e). Que ce soit par Rémy (72e), Benzema (80e) ou Nasri (82e, 84e), les Bleus auraient encore pu creuser l’écart, mais ils avaient déjà obtenu ce qu’ils voulaient : de la confiance avant leur dernier match de qualification au Mondial face à la Finlande, mardi soir. Officiellement assurés d’être au moins barragistes après la victoire obtenue un peu plus tôt par l’Arménie face à la Bulgarie (2-1), il ne leur a manqué que des résultats favorables en Suède (2-1 face à l’Autriche) et en Ukraine (1-0 contre la Pologne) pour passer une vraie bonne soirée. Dans leur quête d’être tête de série au mois de novembre, ils n’ont pas beaucoup avancé.
Emery TAISNE, au Parc des Princes

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F1 GP du Japon Webber en pole devant Vettel
Mark Webber (Red Bull) a décroché sa première pole position de la saison, samedi à Suzuka. L'Australien a devancé son coéquipier Sebastian Vettel et Lewis Hamilton (Mercedes).
Mark Webber partira dimanche en pole position, pour la première fois de la saison. (Reuters)







C'est un petit évènement dans cette saison 2013 souvent prévisible : pour la première fois, Mark Webber (Red Bull) s'élancera devant son coéquipier Sebastian Vettel. Samedi à Suzuka, l'Australien a décroché la pole position du Grand Prix du Japon, en 1'30''915, au terme d'une séance de qualification mouvementée et après avoir déjà été le plus rapide lors des libres 3. Dans les derniers instants de la Q3, Vettel a bien tenté de récupérer son bien, en vain. L'Allemand ne partira donc "que" de la deuxième place sur la grille. Un moindre mal pour le grand favori de la course, qui pourrait décrocher le titre mondial en terres nippones.

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La grille de départ








Plus tôt dans la matinée, Vettel s'était fait une petite frayeur lors de la troisième séance d'essais libres, avec un problème de KERS sur sa monoplace. Peut-être la chance du champion, car il vaut mieux pour lui que cela arrive maintenant qu'en course... La chance, Webber l'a donc retrouvée après une longue période de poisse. Ce qui n'est pas le cas de Jean-Eric Vergne (Toro Rosso), encore gêné en qualifications. Cette fois, c'est un souci de freins arrières qui a mis le feu à sa monoplace, dès la Q1.

Alonso et Räikkönen encore à la traîne




En forme depuis le début du week-end et depuis plusieurs courses d'une manière générale, Romain Grosjean (Lotus) partira en deuxième ligne sur la grille, à la quatrième place. A ses côtés, Lewis Hamilton (Mercedes), qui avait montré le potentiel de sa Flèche d'argent lors des libres 1 vendredi. Habitués des remontées fantastiques, Fernando Alonso (Ferrari, 8e) et Kimi Räikkönen (Lotus, 9e) auront une nouvelle fois fort à faire.
L.V.

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Alerte pour Vettel...

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Rugby Coupe d'Europe Toulouse s'en paye une tranche
Avec six essais, bonus offensif à la clé, le Stade Toulousain, vainqueur (38-5), n'a fait qu'une bouchée des Parmesans, pas assez épais pour espérer figurer à Ernest-Wallon. Dans cette poule 3, les Saracens se sont imposés sur le fil au Connacht, 23-17.
Doublé pour l'ailier international de Toulouse, Maxime Medard, face aux Zèbres de Parme un peu trop courts. (L'Equipe)







Franchement, on peut comprendre que les présidents des gros clubs français aient envie d’une compétition dont les participants seraient choisis au mérite sportif et non pas en fonction de la géographie européenne. Parce que ce Toulouse-Zèbre n’a rien ajouté à la gloire de la H Cup. L’écart était trop important, comme lors du France-Australie de football qui se disputait au même moment, pour qu’on puisse accorder à ce match la moindre valeur sportive.

Les Italiens ont joué exactement deux minutes et trente secondes, non-stop. Et même crânement une touche au lieu de tenter un but de pénalité. Et puis après, rideau. Ou presque. Après trente-quatre minutes, les Toulousains avaient déjà récupéré le bonus offensif, leur principal objectif, grâce à quatre essais signés Huget (12e, 21e), Lamboley (18e) et Médard (34e) au terme d’actions de grande envergure, bien menées.

On retiendra que le premier essai de Maxime Médard trouve son origine sur un ballon prestement récupéré en touche sur un lancé italien, le talonneur international sud-africain, Chiliboy Ralepelle, pour ses débuts à Toulouse, trouvant d’une main Gillian Galan qui fit des dégâts dans la défense avant que Yann David, remarquable hier soir, ne transperce la ligne jaune pour mieux servir son ailier gauche, lancé.

Dusautoir et Picamoles sur le pré

A Galway, les Saracens l'emportent 23-17 face au Connacht. La suite ? Les entrées simultanées d’Albacete, de Dusautoir et de Picamoles, comme prévu, un score bien tenu par Toulouse, 24-0 à la mi-temps, puis rapidement un doublé de Médard (44e) pour porter le score à 31-0. L’originalité de cette rencontre à sens unique fut l’essai inscrit acrobatiquement par l’ailier gauche des Zèbres de Parme, Dion Berryman (45e, 31-5), plongeant hors du terrain, arrachant le poteau de coin tout en parvenant à déposer le ballon dans l’en-but toulousain.

Les Toulousains reprirent alors vite la main par le flanker Yannick Nyanga, auteur d’un bel essai (57e, 38-5) à l’intérieur de son centre Florian Fritz, le sixième de son équipe, sans jamais craindre un retour au score de leurs adversaires, lesquels n’abdiquèrent jamais et continuèrent à se faire des passes quand bien même ils n’avançaient pas d’un centimètre, voire même reculaient nettement à l’impact.

A un quart d’heure de la fin, les Zèbres, décimés par les blessures, furent obligés de replacer leur centre Kameli Ratuvou (90 kg) dans le pack en mêlée et ne s’en trouvèrent pas plus mal pour autant, Toulouse ayant décidé de laisser flotter les rubans. Pendant ce temps, à Galway, les Saracens s’envoyaient pour vaincre la province irlandaise du Connacht, 23-17, après avoir mené 14-3 au bout de dix minutes. Les Toulousains, prévenus, sont attendus en leader de cette poule 3, vendredi soir 18 octobre à Wembley.
Richard ESCOT

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38
5

Toulouse




Parme







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