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Foot Coupe du Monde 2014 Gr. I L'Espagne est presque qualifiée pour le Mondial
L'Espagne a battu la Biélorussie vendredi (2-1) et compte trois points d'avance sur l'équipe de France à une journée de la fin des qualifications.
Alvaro Negredo a marqué le deuxième but des Espagnols. (Reuters)







L’Espagne n’est pas encore assurée de terminer première du groupe I, mais elle a fait un grand pas vers la qualification directe pour la Coupe du monde. Elle a pris son temps pour battre la Biélorussie (2-1) ce vendredi, ce qui lui permet de prendre trois points d’avance sur l’équipe de France à une journée de la fin des qualifications. Un nul contre la Géorgie mardi suffira aux Espagnols pour valider leur billet pour le Brésil. Pour cette rencontre, Vicente Del Bosque avait décidé de titularisé Victor Valdes dans les buts, laissant Iker Casillas sur le banc. Le gardien du Barça a passé une soirée relativement tranquille : il n’a effectué qu’un seul arrêt en fin de match (83e).

En pointe, le sélectionneur espagnol avait décidé de lancer Michu, dont c’était la première sélection, à la place d'Alvaro Negredo. L’attaquant de Swansea n’a pas réussi à déstabiliser le bloc biélorusse pour marquer, au contraire de Negredo, buteur à la 78e minute, quelques minutes après son entrée en jeu (57e). L’attaquant de Manchester City a doublé la mise après l’ouverture du score de Xavi (61e). Il a été bien inspiré, puisque Kornilenko a réduit le score à la 89e.
Rédaction

-

2
1

ESPAGNE
61eXavi Hernandez
78eA.Negredo




BIÉLORUSSIE
89eS.Kornilenko







Voir le film du match





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Lahm : «On a bien travaillé»...

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Tennis ATP Shanghaï Monfils n'a pas tenu
Novak Djokovic (n°1) est difficilement venu à bout de Gaël Monfils, vendredi, en quarts de finale à Shanghaï (6-7 [4], 6-2, 6-4 en 2h22'). Prochain adversaire : Jo-Wilfried Tsonga (n°7).
Gael Monfils n'a pas tenu physiquement. Un tournoi encourageant, néanmoins, pour le 42e joueur mondial. (Reuters)







Le jour d'après. Tombeur de Roger Federer la veille, Gaël Monfils avait la lourde tâche de doubler la mise face à un autre ex-numéro 1 mondial. Un joueur plus en verve que le Suisse, puisqu'il vient de s'imposer à Pékin, mais que le Français n'a jamais battu en huit confrontations sur le circuit principal. Premier au service, Novak Djokovic était le premier à le céder (0-1). La faute à ses propres erreurs (un revers puis un coup droit dans le filet à 30A). Mais aussi aux bonnes intentions de son adversaire, qui donnait le "la" en remportant le premier point avec autorité (revers gagnant sur la ligne).


Par deux fois, Gaël Monfils fait appel au kiné Sous les yeux de Rod Laver, Monfils s'est offert une balle de 2-0. En vain (1-1, revers dans le filet). Un échange de breaks qui a duré jusqu'à 2 partout. Plus "saignant" que le Serbe dans ses frappes (16 points gagnants pour 8 petites fautes directes contre un ratio de 14/16), plus mobile, le 42e joueur mondial dictait le jeu sans reculer. Et c'est fort logiquement qu'il s'offrait une balle de break (à 5 partout) avant de virer en tête, sur un service gagnant, dans le jeu décisif (7 points à 4 après 1h02').

Une débauche d'énergie qui lui coûtait cher. Le souffle plus court, l'organisme qui se mettait à montrer des signes de fatigue et une carapace qui se fissurait. Imperméable jusque-là, Gaël Monfils commençait à se parler. Puis à parler avec l'arbitre, qui l'avertissait pour dépassement de temps. Par deux fois, il faisait appel au kiné pour, semble-t-il, des soucis aux abdominaux. Rapidement breaké (0-1 puis 0-2), il cédait la deuxième manche en 41 minutes face à un adversaire au niveau constant (6-2). Fidèle à son image, l'ex-numéro 7 mondial repartait à l'assaut dans la dernière ligne droite. Une seule balle de break lui était pourtant fatale (double faute puis erreur en revers dans le "fameux" septième jeu). Toute rage dehors, Novak Djokovic (31 points gagnants/34 fautes directes, 18/22 à la volée) n'en demandait pas tant. Invaincu depuis dix-huit matches en Chine, il poursuivra sa leçon de français au prochain tour face à Jo-Wilfried Tsonga.
Julien GIOVANELLA

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Nadal fait rompre Wawrinka...

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Tennis ATP Shanghaï Tsonga marque (encore) des points
Jo-Wilfried Tsonga (n°7) s'est qualifié sans trembler pour les demi-finales du Masters 1000 de Shanghaï, vendredi, aux dépens de Florian Mayer (6-2, 6-3 en 1h04'). Le Manceau est virtuellement qualifié pour le Masters (9e).
Shanghaï - Londres : le grand écart pour Jo-Wilfried Tsonga ? (Reuters)







Jo-Wilfried Tsonga est pile à l'heure. Finaliste à Metz mais battu dès le 2e tour à Tokyo, le Manceau fait le plein de points au meilleur moment. Après ses succès en deux sets sur Pablo Andujar et Kei Nishikori (n°12), il a mis la manière pour se défaire tranquillement de l'atypique Florian Mayer, tombeur de Benoît Paire et David Ferrer (n°3). Avec 3010 points, il déloge Richard Gasquet de la 9e place à la Race, synonyme de qualification virtuelle pour le Masters de Londres après le forfait d'Andy Murray. Bousculé d'entrée (une balle de break écartée dès son premier jeu de service), le numéro 1 français va rapidement poser sa patte sur le match. En tête 3-2, il s'est échappé sur un coup droit adverse dans le couloir (4-2). Avant de transformer l'essai (6-2 en 27 minutes après un retour de coup droit croisé).

Confronté à trois balles de débreak au moment de servir pour le match, Jo-Wiflried Tsonga enchaîne cinq points de rang Plus puissant, plus entreprenant et bien en jambes, Jo-Wilfried Tsonga (4 aces, 23 points gagnants, 18 fautes directes, aucun jeu de service perdu) a fait voyager un adversaire souvent pris de vitesse. Incapable de neutraliser le Français avec ses chops de coup droit ou de revers, l'Allemand n'a pu se défaire de son rôle de faire-valoir dans la seconde manche. A 5-3, deux doubles fautes mettaient pourtant le Tricolore dans l'embarras (0/40). Cinq points plus tard, dont deux derniers coups droits gagnants, il pouvait pourtant s'adonner à sa traditionnelle danse des pouces. Pour une place en finale, il retrouvera Novak Djokovic (n°1) ou Gaël Monfils, qui s'affrontent ce vendredi (pas avant midi). Histoire de capitaliser encore un peu plus ? Pas banal en temps de crise.
J.G.

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Del Potro sort Almagro...

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Basket Pro A 2e j. Le Mans, c'est solide
Après avoir brillamment gagné à Levallois la semaine dernière, Le Mans a encore repoussé un gros client avec sa victoire sur Gravelines, vendredi à Antarès (69-63).
Le Manceau Charles Kahudi devant l'ailier de Gravelines Yakhouba Diawara. (L'Equipe)







Le Mans a-t-il trouvé ce petit supplément d'âme qui fait les grandes saisons ? Celle-ci n'en étant qu'à ses débuts, autant rester prudent. Mais gagner de 23 points à Levallois en ouverture (85-62) avant de confirmer la semaine suivante contre le roi de la saison régulière de ces deux dernières années, Gravelines (69-63), cela fait très bel effet. Il ne fallait pas s'attendre à ce que le match soit facile comme face à un PL totalement à côté de la plaque, sachant que le BCM avait montré la semaine dernière qu'il avait attaqué la saison du bon pied en battant Roanne (65-64). Cela ne l'a pas été.


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Keith Jennings ovationné




La deuxième journée








Les Nordistes ont eu un ballon pour pousser leur avance à deux chiffres dans le troisième quart-temps (31-39, 23e). Ce qui semblait être leur envol était en fait le début de la fin puisqu'ils n'ont plus jamais été devant à partir de la 27e minute. Le match était encore serré dix minutes plus tard (61-59) mais le MSB a été le plus fort dans le money time, le champion d'Europe Charles Kahudi (10 points, 7 rebonds) lançant le rush final d'un panier à trois points après avoir livré un beau duel face à son prédécesseur en équipe de France, Yakhouba Diawara (9 points). Cette rencontre a permis de constater une nouvelle fois l'excellent niveau de maîtrise du meneur DaShaun Wood (18 points, 7 passes), qui a contribué à "tuer" son adversaire direct, Solo Diabaté (1/12 aux tirs, -6 d'évaluation !) sous les yeux d'un glorieux ancien, Keith Jennings.
X. C.

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Jennings en visite au Mans...

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Peter Gilliéron: «La Suisse a changé de statut»

FOOTBALL

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Le président de l’ASF était calme et serein vendredi soir dans les salons de l’hôtel Sheraton de Tirana. Il goûtait à ce plaisir – presque habituel - d’une qualification pour la Coupe du monde.
Interview: Mathieu Aeschmann, Tirana. Mis à jour à 11h20 2 Commentaires

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Peter Gilliéron: «Pour l'Euro 2016, qui va rassembler 24 équipes, on pourra exiger une qualification.»
Image: Keystone
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Peter Gilliéron, on va commencer par vous demander comment vous avez vécu cette soirée sur le plan émotionnel?
Ecoutez, moi je suis quelqu’un qui verse difficilement dans l’émotionnel. Lorsqu’on est déçu, je tente toujours de ne pas sombrer dans le fatalisme et, du coup, quand c’est la fête, je ne m’emporte pas trop. Alors bien sûr que je suis très content. Mais franchement, avec cette équipe-là, j’attendais une qualification. Il y a certes eu quelques petits moments délicats, à Chypre et contre l’Islande, mais, au final, ces joueurs sont mûrs. Malgré leur jeunesse, ils dégagent une vraie maturité. On l’a vu ce soir (vendredi soir) avec l’attitude d’un Behrami qui a su rester calme malgré le contexte. J’aime la solidarité et la maturité de ce groupe.
Nous sommes à l’hôtel, les joueurs viennent de manger ensemble. Et il n’y a aucune folie, pas de liesse. C’est donc normal que la Suisse se qualifie pour une coupe du monde?
Je ne dirais pas qu’une qualification constitue vraiment la normalité. Mais je suis d’accord pour admettre que la Suisse a changé de statut. Jusqu’à maintenant, se qualifier représentait l’exception. Eh bien je veux commencer à dire que l’exception doit être de ne pas se qualifier. Ce d’autant plus que l’Euro 2016 qui arrive va rassembler 24 équipes. Je pense donc qu’on pourra exiger une qualification.
Quels sont les mots que vous avez adressés à l’équipe?
J’ai dit que la Suisse du football était fière d’eux. Je les ai remerciés. Puis j’ai ajouté qu’on allait se rendre au Brésil pour faire quelque chose. Parce que je crois en leur potentiel.
Enfin, qu’en est-il du contrat d’Ottmar Hitzfeld? Allez-vous prolonger son bail dans les jours qui viennent?
(Il soupire en rigolant) Quelle originalité ! Je ne m’attendais pas à cette question… J’ai déjà dit et je répète que nous discuterons tranquillement après le match contre la Slovénie. Et ne venez ma me voir un quart d’heure après le coup de sifflet final mardi!

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Lorik Cana: «On soutiendra la Suisse au Brésil»

FOOTBALL

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Le capitaine albanais était déçu, vendredi soir, du manque de réalisme de son équipe. Il se montrait toutefois beau perdant à l’heure de féliciter les Suisses pour leur qualification.
Interview: Mathieu Aeschmann, Tirana.

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Lorik Cana (à dr., qui tente ici de contrer Xherdan Shaqiri): «La Suisse n’a rien à envier à l’immense majorité des équipes qui seront au Mondial.»
Image: Keystone
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Lorik Cana, quel est votre regard sur ce match qui condamne l’Albanie et envoie la Suisse au Brésil?
Je ne pense pas que les spectateurs ont vu un très grand spectacle. Sans doute est-ce dû en grande partie à l’état de la pelouse. C’était évidemment difficile pour les Suisses, qui ne sont pas habitués à ce terrain. Mais même pour nous, ce n’est pas évident, car nous sommes une équipe qui aime poser le jeu et cela n’est pas toujours possible dans ce stade. Après, je suis un peu déçu, car sur deux-trois moments clés, nous n’avons pas eu de réussite. C’est le football et je me console en me disant que l’Albanie est en phase de construction.
Vous avez d’ailleurs plié au moment où vous mettiez la pression sur la Suisse...
C’est vrai. On était revenu très fort des vestiaires après la mi-temps. Mais ce n’est pas la première fois durant cette campagne que l’on manque de réalisme et que l’on se fait punir. On l’a vécu ici contre l’Islande, puis en Slovénie. Et sur l’ouverture du score suisse, je trouve qu’on est très malchanceux. Il y a une faute de main (ndlr: de Rodriguez) que tout le stade voit, sauf l’arbitre, et dans la continuité de l’action, Xhaka manque sa frappe, ce qui permet à Shaqiri de trouver la faille.
Quelles sont d’après vous les chances suisses au Brésil?
Pour moi, la Suisse aurait dû se qualifier bien avant ce soir, tant elle a dominé le groupe. Avec tous ces joueurs de qualité qui jouent la Ligue des champions dans de grands clubs, cette équipe arrive à maturité. Du coup, je pense qu’elle n’a rien à envier à l’immense majorité des équipes qui seront au Mondial.
Avec ses joueurs albanophones, la Suisse ne représentera-t-elle pas aussi un peu l’Albanie au Brésil?
Je vais être très sincère en vous disant que je les préfèrerais avec nous. Parce que, selon moi, leur place est en équipe d’Albanie. Maintenant, ils ont fait un choix. On les félicite pour la qualification, et on sera leurs premiers supporters en juin prochain.

[Norton]

Wawrinka préfère zapper Moscou

12.10.2013 Réagir
Stanislas Wawrinka préfère s'économiser un peu ces prochains jours... [Eugene Hoshiko - Keystone]


Battu en quarts de finale du Masters 1000 de Shanghai par Rafael Nadal, Stanislas Wawrinka renonce au tournoi de Moscou, la semaine prochaine. Le Vaudois préfère s'économiser avant deux épreuves plus cotées, à Bâle (dès le 21 octobre) et Paris-Bercy (28.10). Avant une éventuelle participation au Masters...
Wawrinka est pour l'instant qualifié pour Londres, alors que cinq joueurs se disputent les trois dernières places disponibles. Le natif de St-Barthélemy affiche 3150 points au classement de la Race, suivi de Roger Federer (3145), Jo-Wilfried Tsonga (3010), Richard Gasquet (2960) et Milos Raonic (2770).
Si Wawrinka et Federer seront au repos la semaine prochaine, Gasquet (à Moscou), Raonic (à Stockholm) et normalement Tsonga (à Vienne) seront sur le pied de guerre lors de tournois ATP 250.
si/dbu

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Fribourg double la mise, pas Genève

12.10.2013 21:54 mise à jour à 22:22
La double confrontation entre Lugano et Fribourg a été pour le moins serrée. [Karl Mathis - Keystone]


Fribourg a su profiter de sa double confrontation contre Lugano pour engranger six points. Les Dragons ont cette fois-ci gagné à la Resega (1-2). Genève n'est lui pas parvenu à rééditer sa performance de la veille et s'est incliné à Berne (3-1).
Comme à Fribourg, la décision s'est faite dans la dernière période. C'est Marc-Antoine Pouliot qui s'est chargé de donner la victoire aux Dragons en marquant le 2-1 à la 47e. Les Fribourgeois, pas forcément en verve offensivement, alignent tout de même un troisième succès consécutif et une sixième victoire en sept rencontres.
Martin Plüss égalise. Mais le capitaine bernois ne terminera pas la rencontre. [Keystone] Berne gagne malgré Plüss en moins

Brillants vainqueurs hier soir aux Vernets, les Genevois ont cette fois dû s'incliner face au champion. Kaspars Daugavins avait pourtant ouvert la marque à la 6e et confirmé son très bon week-end, mais les Ours ont refait leur retard et pris l'avantage en 78 secondes par l'éternel Martin Plüss et par Pascal Berger, qui s'est offert un slalom spécial au milieu de la défense genevoise.
Blessé aux adducteurs, Martin Plüss n'est d'ailleurs pas réapparu au troisième tiers. Cela n'a pas fait dérailler le train bernois puisqu'Alexei Dostoinov a réussi le troisième but de son équipe. Il s'agit de son premier goal en LNA.
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Lausanne passe un bien mauvais week-end

12.10.2013 21:53 mise à jour à 22:42 Réagir
Park peut tranquillement ouvrir le score au milieu de la défense vaudoise. [Martial Trezzini - Keystone]


La double opposition contre Ambri n'aura pas débouché sur le résultat escompté pour Lausanne. Battus vendredi à la Valascia, les pensionnaires de Malley ont encore subi la loi des "Biancoblu" à domicile (2-4). Rien à faire cette fois-ci pour Bienne, corrigé (7-1) à Davos.
Pourtant toujours privés de leurs excellents mercenaires Jason Williams et Maxim Noreau, les joueurs d'Ambri étonnent à chaque sortie.
Mais les Lausannois peuvent nourrir de gros regrets, surtout au cours d'une troisième période outrageusement dominée par Colby Genoway et ses coéquipiers. Seulement voilà, les Vaudois connaissent depuis longtemps de sérieux problèmes de concrétisation et malgré de nombreuses possibilités, les hommes de Heinz Ehlers n'ont pas trouvé la faille plus de deux fois devant Nolan Schaefer.
Les hommes de Del Curto ont parfaitement réagi après leur défaite dans le Seeland. [Keystone] Cette fois-ci, Davos avait envie de jouer

On attendait une réaction davosienne après leur défaite en terres seelandaises. Celle-ci a eu lieu et de la plus sèche des manières. Les Grisons ont atomisé les Biennois dans un deuxième tiers remporté 5-0.
Dino Wieser et Sven Ryser ont inscrit deux buts et un assist chacun pour un leader qui n'a pas fait de cadeaux à des Biennois visiblement fatigués.
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si/bond


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Cinq à la suite pour Vettel, mais pas encore de couronne

13.10.2013 09:50 mise à jour à 12:46
Sebastian Vettel signe son 9e succès 2013, le 5e d'affilée! [EPA/Diego Azubel - Keystone]


Sebastian Vettel est bien intouchable cette saison en Formule 1. Le pilote allemand de Red Bull a signé son 5e succès d'affilée lors du GP du Japon, son 9e de l'exercice. Mais le triple champion du monde attendra encore avant de fêter un 4e sacre, Fernando Alonso ayant fini 4e. Belle 6e place pour Sauber et Nico Hülkenberg.
Vettel (Red Bull-Renault), avec une stratégie à deux arrêts, a pris le meilleur sur son coéquipier Mark Webber, qui avait décroché la pole position. Le vétéran australien a choisi de s'arrêter à trois reprises, ce qui lui a sans doute coûté la victoire. Mais il a assuré le doublé pour son équipe.
Sebastian Vettel, grâce au 35e succès de sa carrière en F1, possède désormais 90 points d'avance sur Alonso à cinq courses de la fin. Il devrait mathématiquement assurer le titre dès le prochain Grand Prix en Inde (27 octobre), où une 5e place lui suffirait.
"Je n'ai pas pris un bon départ, mais ensuite j'ai été patient. J'ai pu dépasser Romain et devancer Mark grâce à la stratégie concernant les pneus", a expliqué le vainqueur. "La décision de s'arrêter deux fois a été prise lors du premier relais, qu'on a pu faire durer longtemps. Cela n'a pas été facile lors du deuxième relais, mais tout a bien fonctionné sur la fin."
Les Sauber bien placées

Parti en tête après un fulgurant départ, Romain Grosjean (Lotus-Renault) a livré une belle course conclue sur la troisième marche du podium. Il a été le seul à menacer les Red Bull. Derrière, Fernando Alonso (Ferrari) a pris la 4e place, mais bien loin des premiers, devant Kimi Raikkonen (Lotus-Renault), son futur coéquipier.
La course a souri aux Sauber-Ferrari, avec la 6e place de Nico Hülkenberg (All) et la 7e d'Esteban Gutierrez. Ce sont les premiers points inscrits cette saison par le jeune rookie mexicain.
C'est la première fois depuis septembre 2012 (Monza) que les deux monoplaces suisses terminent un Grand Prix dans le top 10. Les 14 points récoltés au Japon constituent aussi un joli cadeau d'anniversaire pour le fondateur de l'écurie suisse: Peter Sauber fêtait dimanche son 70e anniversaire.
si/jbla

Une minute de silence pour Maria de Villota

Les pilotes de F1 ont respecté une minute de silence, dimanche, sur le circuit de Suzuka, en mémoire de Maria de Villota, la pilote automobile espagnole décédée vendredi à l'âge de 33 ans, des suites de son accident l'an dernier pendant une séance d'essais privés.

Les 22 pilotes se sont retrouvés dans les stands, avant de participer à la parade, pour cette minute de silence en présence du président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), Jean Todt, et de celui de l'Association des pilotes de Grand Prix (GPDA), l'Espagnol Pedro de la Rosa.

La famille de Maria de Villota a précisé samedi que son décès, selon le médecin légiste, était une conséquence "des blessures neurologiques qu'elle avait subies le 3 juillet 2012" sur l'aérodrome de Duxford (Angleterre) quand sa monoplace, qu'elle pilotait pour la première fois, avait heurté à grande vitesse le camion de l'écurie.