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Toyota a vendu plus d'un million de voitures hybrides

Auto

—
Le premier constructeur d'automobiles mondial a annoncé mercredi avoir vendu plus d'un million de voitures hybrides lors de la seule année 2012, un but qu'il atteint pour la première fois.
Mis à jour le 17.04.2013

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Toyota Auris.
Image: AFP
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Le groupe japonais a expliqué avoir écoulé 1,219 million de véhicules hybrides (à essence et électricité), en partie grâce au succès mondial confirmé de sa gamme vedette Prius et à la réussite au Japon de sa nouvelle venue, l'Aqua («Prius c» en Amérique du Nord).
Il a précisé que les véhicules hybrides avaient représenté 14% de ses ventes d'automobiles dans le monde en 2012, une proportion qui a atteint 40% sur le marché japonais où ces voitures se sont peu à peu imposées et ont bénéficié de subventions publiques à l'achat.
Les modèles hybrides disposent d'un moteur classique à essence mais embarquent, en plus, un autre moteur, électrique, alimenté par une batterie qui se recharge lorsque le véhicule roule, freine ou descend une côte. Le tout permet réduire sa consommation d'essence.
Un porte-parole de Toyota (TM 111.98 1.29%) a précisé que le constructeur visait la vente de 1,25 million de véhicules hybrides en 2013.
«Notre objectif était de dépasser le million d'unité par an. Maintenant que nous y sommes parvenus, nous souhaitons rester au-dessus à l'avenir», a-t-il déclaré, ajoutant que Toyota prévoyait de lancer 18 nouveaux modèles hybrides d'ici à décembre 2015.
Depuis la sortie en 1997 du premier modèle de ce type destiné au marché mondial, la Prius, Toyota a écoulé au total 5,125 millions de véhicules hybrides dont il a commercialisé 21 modèles dans quelque 80 pays.
Emission de dioxyde de carbone moindre
«Nous avons développé notre premier modèle hybride en partant de zéro», a rappelé un vice-président de Toyota, Takeshi Uchiyamada, le chef du projet Prius à l'origine.
L'utilisation des hybrides de Toyota a généré une émission de dioxyde de carbone (CO2) inférieure de 34 millions de tonnes à celle qu'auraient produite des voitures à essence classique de même gabarit, et permis une économie de 12 milliards de litre d'essence, a affirmé le groupe basé dans la région de Nagoya (centre du Japon).
Le CO2 est l'un des principaux gaz à effet de serre jugés responsables du réchauffement climatique.
Pionnier de la technologie hybride, Toyota mise depuis longtemps sur ces modèles, plus facilement commercialisables dans l'immédiat que les véhicules électriques, en partie parce que les modèles électriques nécessitent des infrastructures de recharge actuellement peu développées.
Des constructeurs concurrents, comme l'alliance franco-nippone Renault-Nissan, ont à l'inverse davantage parié sur les voitures électriques, avec un succès pour l'instant mitigé. (afp/Newsnet)
Créé: 17.04.2013, 09h38

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Panda 4x4: la Jeep de poche

Fiat

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Dans sa version «traction intégrale», la petite italienne est absolument bluffante.
Par Philippe Clément. Mis à jour à 07h33

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Image: Philippe Clément
Prix de base

19 600 fr.
LE DÉTAIL

Nous ne sommes pas les seuls à louer les qualités motrices de la Panda 4×4. La célèbre émission «Top Gear» l’a confrontée à de «vrais» 4×4 gros modèles. Verdict: elle a remporté plusieurs comparatifs! Non, franchement, à part une ornière trop profonde ou un mur de neige, rien ne l’arrête!
PANDA CLIMBING 4×4 1.3 DIESEL (dès 22 350 fr.)

Cylindrée: 1248 cm3.
Puissance: 75 ch à 4000 tr/min. Couple: 190 Nm à 1500 tr/min.
Transmission: 4×4.
Boîte: Man. 5 rapports.
Dimensions (L×l×h): 3,68×1,67×1,60 m. Empattement: 2,30 m. Coffre: De 225 l à 870 l.
Poids: 1190kg.
Performances: 159 km/h. 0-100: 14’’5. Consommation: 5,4 l/100 km. Emissions de CO2: 125 g/km. Etiquette énergie: B.
BIEN VU

Blocable via un bouton, le différentiel permet une répartition 50%-50% de la traction entre avant et arrière. De quoi effacer bien des obstacles.
MAL VU

On a beau faire, le coffre de la Panda n’embarquera jamais d’armoire normande. Et la place à l’arrière est très ristrette…

Dans le terrain, le conducteur a deux ennemis mortels: l’adhérence et le poids de son véhicule. Mais pas besoin de se lancer dans du franchissement extrême: dans la vraie vie, sur la route, ces deux facteurs jouent un rôle tout aussi essentiel.
C’est dire si on apprécie le fait qu’un constructeur, l’air de rien, nous propose un véhicule qui fait fi de ce genre de contingences! Parce que, à l’aune de la motricité, de la débrouillardise et de l’efficacité, la «puce» de Fiat a de quoi damer le pion à des concurrentes bien plus huppées!
Dès que les conditions deviennent difficiles, la Panda 4×4 n’a qu’une seule limite: celle imposée par sa garde au sol. Pour tout le reste, elle collectionne les bons points. Son différentiel blocable lui confère des aptitudes de Jeep, tandis que son poids réduit lui autorise toutes les audaces. Pour l’arrêter, il faut un chemin très creux aux sillons marqués. Ou un mur de neige. Sinon, pas de souci: elle passe! Inconvénient de ces aptitudes, la place à bord – et dans le coffre… – est très limitée.
Ce qui empêche d’en faire un vrai «utilitaire». Mais, question passe-partout, elle se pose en leader. Et, pour ce qui est de la conduite normale, elle ravira tous les stressés du radar. Dotée d’un moteur très light, elle ne dépasse les 140 km/h que sous la contrainte. Et un voyant vous indique comment gérer au mieux les cinq rapports de sa boîte. Au volant donc, c’est «conduite détendue» de rigueur. L’idéal pour les routes helvétiques à la sauce Via sicura.
Son terrain de prédilection? N’importe quel endroit où côté pratique et maniabilité font loi. En ville ou au milieu des prés, peu importe. Simple, efficace, peu gourmande: on adore! (Le Matin)

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Une association s'en prend aux radars «pièges»

France

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Installés en descente, cachés, situés après le danger ou à un endroit où la vitesse est momentanément abaissée: «40 millions d'automobilistes» a recensé les radars fixes «pièges» et publie lundi les résultats d'un audit.
Mis à jour à 12h12 82 Commentaires

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Radar fixe sur une autoroute suisse.
Image: Keystone
L'association, qui veut remettre cet «audit participatif» au ministre de l'Intérieur français Manuel Valls, affirme avoir recueilli plus de 67'000 témoignages depuis le 30 octobre. Elle distingue 10 situations jugées «piégeuses» et propose sept mesures pour permettre une «meilleure acceptation du système».
«Pour qu'une vitesse soit respectée», «elle doit être respectable», explique «40 millions d'automobilistes».
Manuel Valls rétorque
Interrogé lundi matin sur RTL, Manuel Valls a déclaré: «il y 66% de morts en moins à proximité des radars, donc je ne faiblirai pas. On peut s'adresser à la commission nationale de sécurité routière si on estime qu'il y a un abus. Je regarderai avec intérêt les propositions qui aujourd'hui sont faites, mais nous ne pouvons pas baisser la garde». «Les radars sauvent des vies. S'il y a ici ou là un radar qui serait inutile, pourquoi pas, mais attention à ce débat», a ajouté le ministre. «Je me suis fixé pour les années qui viennent de passer de 4000 à 2000 morts d'ici à 2020, grâce notamment à la limitation de la vitesse».
Selon «40 millions d'automobilistes», qui revendique 320'000 adhérents, «bien loin de récolter des réactions antiradaristes, les histoires recueillies (...) sont bien celles d'automobilistes qui ne s'opposent pas frontalement au système mais en dénoncent les excès».
Le plus rentable
Certains témoignages évoquent par exemple un radar qui flashe au dessus de 70 km/h sur une route entre Tours et Le Mans alors que la vitesse est limitée à 90 km/h dans l'autre sens de circulation . Ou encore le radar de Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie) sur l'autoroute A41, réputé le plus rentable de France, qui flashe les usagers de la route circulant à plus de 50 km/h à 200m de la frontière avec la suisse.
Outre son étude de 32 pages que l'association veut aussi remettre aux députés et sénateurs, 40 millions d'automobilistes publie une carte de l'implantation de 72 radars «pièges». En 2012, les 4047 radars mobiles ont flashé plus de 21 millions de fois et ont rapporté 730 millions d'euros.
Ou sont les radars «pièges» en Suisse?
Et en Suisse? Si vous estimez que tel ou tel radar fixe entre dans la catégorie des radars «pièges», sur la route qui par exemple vous mène de votre domicile à votre travail, vous pouvez nous le signaler sous la forme d'un commentaire ci-dessous ou via l'adresse email suivante: reporter.mobile@lematin.ch. (afp/Le Matin)

Phil calme quand tu vas au boulot...........

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Des centaines de Lamborghini défilent en Italie

50e anniversaire

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Milan a accueilli mercredi la première étape d'un grand tour italien de Lamborghini à l'occasion des 50 ans du constructeur automobile.
Mis à jour le 08.05.2013 1 Commentaire

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1/14 .
Image: AFP

http://www.lematin.ch/auto-moto/cent...story/10575438


Des centaines d’automobiles de la marque Lamborghini de toutes les époques ont traversé mercredi la ville de Milan (nord), première étape d’un "grand tour" italien organisé à l’occasion du 50e anniversaire du constructeur.
Les 350 voitures rouges, jaunes ou bleues ont formé un cortège de quatre kilomètres lors du début du Grand Tour, qui s’achèvera samedi au quartier général de Lamborghini, près de Bologne. Les pilotes qui participent à l’événement, avec des voitures privées ou appartenant à la compagnie, viennent de 29 pays différents, ont indiqué les organisateurs.
Les Anglaises en force
La plus grande délégation est celle du Royaume-Uni avec 71 voitures, suivie par celles venues d’Allemagne, d’Italie et de Suisse comptant chacune 30 bolides. L’Indonésie, le Japon, le Koweït, le Liban, Singapour, la Corée du Sud, la Tunisie et l’Ukraine sont également représentés.
Lamborghini a commencé sa production en 1948 en fabriquant des tracteurs et ce n’est qu’en 1963 qu’elle a commencé a fabriquer des automobiles de luxe surpuissantes. Aujourd’hui elle compte 120 concessionnaires dans le monde et fait partie du groupe allemand Volkswagen.
Le mois dernier, la police de Dubaï a annoncé avoir acheté une voiture de patrouille Lamborghini pour 550'000 dollars (418.000 euros) afin de renforcer l’image "de luxe et de prospérité" de l’émirat dans les zones touristiques. (afp/Newsnet)

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L'iconique VW Golf GTI a doublé sa puissance d'origine

Phénomène

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Quand VW sortit sa fameuse Golf de 110 ch ornée des trois lettres GTI, elle pensait à une petite série de 5000 exemplaires. Nous étions en 1976, on se l’est arrachée et, depuis, il s’en est vendu 1,9 million. La septième génération confirme son statut d’icône.
Par Gil Egger. Mis à jour le 05.05.2013 4 Commentaires

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La Golf GTI Performance est très équilibrée et d’une incroyable agilité.
Image: DR

La continuité scrupuleuse habite les ingénieurs, tout comme les designers, lorsqu’il s’agit de concevoir une nouvelle génération de Golf. La numéro VII se reconnaît au premier coup d’œil et poursuit une tradition qui a participé à la santé florissante du groupe Volkswagen. (VW 187.1 0.48%) Quant à la GTI, l’engouement du début a alourdi les responsabilités pour ceux qui étaient chargés de cette succession.
La puissance croît, la consommation baisse
Notre monde actuel n’est pas simple. Les clients veulent, individuellement, une voiture séduisante, puissante et, collectivement, ce sont les émissions qui doivent rester aussi mesurées que possible. A cela, les ingénieurs travaillent sans relâche et inventent toutes sortes de solutions. Ainsi, entre la sixième et la septième génération, le gain de puissance de 10 ch n’empêche pas une réduction de la consommation de 18%, soit 1,3 l/100 km (14% avec la boîte à double embrayage DSG, total 6,5 l/100 km). Sur la balance, une quarantaine de kilos superflus ont été gagnés par rapport au modèle précédent et l’aérodynamisme progresse légèrement. De série, toutes les GTI disposent du système «Start/Stop» qui arrête le moteur au feu rouge.
De base, le 4 cylindres 2 l turbo affiche 220 ch, mais une version «Performance», pour un petit supplément de 1250 fr., devrait séduire une majorité de clients suisses, toujours friands de voitures solidement motorisées. Ce sont encore 10 ch de plus, 230 au total, avec des freins plus largement dimensionnés et ventilés à l’arrière comme à l’avant. C’est celle que nous avons pu essayer aux environs de Saint-Tropez (F) et qui ne fera honte à personne sur un circuit, tant elle est équilibrée et d’une incroyable agilité.
Le différentiel veille au grain
Faire passer une telle cavalerie sur le train avant a toujours quelque chose de délicat. VW a résolu le problème en installant sur la GTI la plus musclée un différentiel à glissement limité. Il répartit judicieusement la force de traction entre les deux roues avant, conférant une motricité exemplaire et une tenue de route fascinante à la nouvelle GTI. Pour que le pilote n’ait pas à trop déplacer ses mains sur le volant, une assistance progressive équipe la direction. Là encore, on gagne en efficacité, il suffit de moins d’un tour et demi pour passer d’une butée à l’autre. Sur un parcours très sinueux, d’abord on s’y habitue instantanément, ensuite on définit sa trajectoire, et on la maintient, avec une remarquable économie de gestes. Sur le plan visuel, le filet rouge apparu en 1976 autour de la calandre est devenu un simple soulignement qui la traverse de part en part, jusque sous les phares. A l’arrière, deux sorties d’échappement de chaque côté et les étriers de freins rouges affirment son caractère.
Que l’on soit seul à bord ou en déplacement familial, le mode de conduite que l’on choisit va différer. Leur nom se passe de commentaire: «Eco», «Normal», «Confort», «Sport» et enfin «Individual», à paramétrer selon ses goûts. Les différences de comportement sont sensibles et correspondent à la dénomination. Pour des réactions plus vives, davantage de fermeté dans les suspensions et des échappements plus libres, il convient d’opter pour la sportivité. La GTI approche alors les performances de voitures encore plus typées. A nous la piste… (Le Matin)

Les 4 détails


En sélectionnant le mode «Sport», les réglages s’affermissent et l’échappement prend une sonorité rauque enthousiasmante. (Image: DR)
L’agilité de la nouvelle GTI tient à un châssis excellent, mais aussi à un différentiel à glissement limité efficace. (Image: Volkswagen)
Les clients suisses devraient se laisser tenter par la version Performance, avec 10 ch de plus et des freins puissants. (Image: Uli Sonntag)
L’assistance progressive de la direction permet de ne pas avoir à trop balader ses mains pour aller d’une butée à l’autre. (Image: Uli Sonntag)
Fiche technique

Golf GTI Performance DSG

Dimensions (L x l x H) 4,27 x 1,80 x 1,44 m
Empattement 2,63 m
Places 5
Coffre 380 l (1270 dossiers arrière rabattus)
Poids 1392 kg
Prix 41 800 fr.

Moteur

Cylindres 4
Cylindrée 1984 cm3
Boîte DSG double embrayage 6 rapports
Chevaux (kW) 230 (169)
Couple maxi 350 Nm

Aides à la conduite

Electronic Stability Control (ESC) avec ABS, assistance de freinage d’urgence, régulation d’antipatinage à la traction, blocage électronique de différentiel XDS +, assistance de contre-braquage et stabilisateur de remorque, ESC Sport, détecteur de fatigue, freinage multicollision, direction progressive.

Performances

Vitesse max. 248 km/h
0-100 km/h 6’’4

Consommation

Mixte normalisée 6,5 l/100 km
Émissions de CO2 148 g/km
Étiquette énergie D
Autres versions Base, 220 ch (162 kW) 38 050fr.
Garantie 2 ans sans limite de kilométrage.
Mots-clés

• Volkswagen

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Ay ay caramba, quelle auto!

Test

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Compacte, esthétique et économique, la Seat Leon cumule les bons points.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 03.05.2013 3 Commentaires

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Seat leon FR 1.4 TSI (dès 29650 fr.)

Cylindrée: 1395 cm3.
Puissance: 140 ch de 4500 à 6000 tr/min.
Couple: 250 Nm de 1500 à 3500 tr/min.
Transmission: aux roues AV.
Boîte: manuelle à 6 rapports.
Dimensions (Lxlxh):4,26 x 1,78 x 1,46 m. Empattement: 2,64 m.
Coffre: de 380 à 1210 l. Poids: 1231 kg.
Performances: 211 km/h. 0-100:8’’2. Conso: 5,8 l/100km.
Emissions de CO2: 119 g/km.
Etiquette énergie: C
BIEN VU

Juste parfait, ce TSI 1,4! Petit, donc peu gourmand, il tire profit du turbo pour pallier son manque de couple. Le punch arrive très tôt et permet une conduite fun. Surtout en mode sport.
MAL VU

Black is beautiful, certes. Mais même le plus gothique des fans de Seat devra quand même bien admettre que, tout noir, cet intérieur est un rien rébarbatif. De l’audace, por favor!

On a beau dire, c’est beau, l’Europe! Tiens, prenez l’Espagne, par exemple. Un pays exsangue, en plein marasme, rongé par la crise et le chômage. Tout va mal? Non. Car, du côté de Martorell, un petit village résiste!
Soutenue par l’armada du Volkswagen Group, Seat déploie des efforts méritoires pour sortir de l’anonymat qui l’a longtemps plombé.
Dernier cheval de bataille en date, la Leon symbolise à elle seule ce formidable redressement. Belle, racée, elle aimante le regard d’une œillade de ses phares soulignés d’un trait de LED. Mais le meilleur est à venir: sous le capot de notre FR battait l’un des meilleurs «cœurs» du marché: le TSI 1.4 de Wolfsburg.
Un petit moteur qui n’a l’air de rien mais qui, par la grâce d’un turbo, offre à la sémillante ibère des performances dignes d’un 2.0 litres. Economie de carburant en plus.
Ce d’autant plus que notre modèle de test permettait le choix entre 4 modes: éco, normal, sport ou individuel. Et était doté d’un système stop & start idéal pour rouler malin en ville.
Au bout du compte, une moyenne de 5,8 l/100 km, pour une conduite assez sportive: qui dit mieux!
Et puis il y a ces petits «gadgets», souvent dispensables, mais qui rendent la vie à bord sympa. Un menu déroulant donnant toutes les indications sur la consommation ou la température des fluides, le morceau MP3 en lecture via Bluetooth, les indications du GPS ou la température extérieure.
Sans oublier le confort soigné, la place dans le coffre et l’accès facile aux cinq places… N’en jetez plus: le test est convaincant. Très convaincant même, surtout au vu du prix raisonnable.   (Le Matin)

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Suzuki reporte une concentration

Manifestation

—
La journée d'essais Suzuki Virus/Freegun prévue demain 25 mai à Moléson est reportée au samedi 8 juin.
Par Claude Bovey. Mis à jour à 10h18

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Ptêtre que cela intéresse certains de vous? comme je sais pas ou la mettre....
Les mauvaises conditions météorologiques prévues pour demain ne permettent pas d'assurer le bon déroulement de la manifestation.

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Adieu break, Peugeot 2008 joue la carte crossover

Stratégie

—
Les breaks et les monospaces perdent du terrain dans le segment des voitures compactes. Peugeot joue l’atout crossover avec sa 2008.
Par Gil Egger.

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Remplaçant le break 207 SW, la 2008 est un crossover plus haut, plus modulable et qui suit les désirs du marché.
Image: Jean-Brice Lemal
Vidéo





Fiche technique

Modèle Peugeot 2008 1,6 VTi
Dimensions (L x l x H) 4,16x1,74x1,56 m
Empattement 2,54 m
Places 5
Coffre 350 l (1194 dossiers arrière rabattus)
Poids 1283 kg
Prix dès 24 600 fr. (Féline 29 700 fr.)

Moteur

Cylindres 4 essence
Cylindrée 1598 cm3
Boîte manuelle 6
Chevaux (kW) 120 (88)
Couple maxi 160 Nm

Aides à la conduite

ABS à répartiteur électronique de la force de freinage, ESP incluant l’assistance au démarrage en côte, Grip Control® modes standard, neige, boue, sable, ESP off (version Féline, en option sur Allure 500 fr.)

Performances

Vitesse max. 196 km/h
0-100 km/h 09’’5

Consommation

Mixte normalisée 5,9 l/100 km
Émissions de CO2 135 g/km
Étiquette énergie D
Autres versions 1,2 VTi 82 ch dès 19 900 fr. (prime 3000 fr. à déduire). Diesel 1,4 HDI 68 ch dès 22 500 fr.

Garantie

2 ans, km illimité
Les 4 détails


Le seuil de chargement bas ouvre un accès facile à un coffre qui joue au maximum la carte de la modularité. (Image: Jean-Brice Lemal)
Le gros bouton de commande adapte la motricité en fonction du terrain à affronter: boue, neige ou route normale. (Image: Jean-Brice Lemal)
De nuit, des nervures rétroéclairées au moyen de LED décorent le ciel de toit pour agrémenter la vie à bord. (Image: Jean-Brice Lemal)
Le profil du toit dessine une vague pour exprimer le dynamisme et donner un esprit incitant à l’aventure. (Image: Jean-Brice Lemal)


Toutes les Peugeot avec un double zéro font partie de séries à part. La 2008 reprend plus des deux tiers des pièces de la 208, en poussant les dimensions dans tous les sens. Elle remplace le break 207 SW. La réflexion n’a pas eu à durer trop longtemps: les chiffres montrent que dans le segment des compactes, l’unique forme de carrosserie qui progresse est celle des crossover, au détriment des monospaces et de celles qu’on appelait des «commerciales». Une catégorie où la transmission intégrale reste rare. L’Europe ne sera pas seule à les accueillir. Des 2008 seront construites en Chine et au Brésil, où la demande a quadruplé pour la première, doublé pour le second.
L’électronique pour se sortir des ornières
Qui dit crossover entend un véhicule un peu plus haut que la moyenne, avec des solutions pratiques pour le chargement et une capacité de franchissement améliorée. Peugeot propose un système sophistiqué de contrôle de la traction sur ses 2008 les mieux équipées. Dans la boue, par exemple, il détecte la peine qu’ont les roues à trouver de l’adhérence. Il en laisse ainsi tourner une des deux suffisamment rapidement pour qu’elle creuse son sillon jusqu’à atteindre un sol plus dur. Au même endroit, sans ce dispositif, la voiture patine sans avancer. Le bouton de commande propose plusieurs choix: neige, sable, tout chemin et standard.
Avec seulement deux roues motrices, la 2008 peut se sortir de situations difficiles, que peu de ses acquéreurs rencontreront. Elle est aidée par le travail effectué sur la structure pour diminuer le poids, réduit de plus de 100 kilos par rapport à la 207 SW. Cette cure offre également l’avantage de rendre les performances meilleures avec des moteurs aux puissances raisonnables. Corollaire positif à l’usage: les consommations et les émissions de dioxyde de carbone sont en baisse.
A noter que des pneus spéciaux appelés «Mud Snow» la chaussent, leur particularité étant qu’ils conviennent autant à l’été qu’à l’hiver. Un argument qui devrait porter en France, où les automobilistes sont peu enclins à changer leurs gommes à la mauvaise saison.
Des clients urbains, mais pas trop
Convaincre les fidèles, en attirer de nouveaux: les solutions doivent avoir quelque chose d’imaginatif pour parvenir à ce résultat. Car, côté concurrence, les Nissan Qashqai, Chevrolet Trax ou Renault Captur ne manquent pas d’arguments. La 2008 mesure un peu plus de 4 mètres et ses concepteurs ont soigné son habitabilité. Le seuil de chargement n’est qu’à 60 cm du sol, toutes celles et ceux qui ont des sacs de courses pesant des tonnes diront merci! Pour emporter des colis plus encombrants, il suffit d’un geste pour abattre les dossiers des sièges arrière et dégager un plancher plat, pouvant aller jusqu’à 1,77 m de longueur.
En prenant place, surprise, le volant apparaît tout petit. Pourtant, il a suffisamment de précision et de sensibilité pour guider la voiture en toutes circonstances. Le châssis rigoureux, le poids limité augmentent l’agilité et procurent un vrai plaisir de conduire. La vision périphérique rassure, l’affichage haut en face du conducteur empêche les distractions. Les ingénieurs de Peugeot ont songé à cette source de danger et concocté un ensemble de dispositifs électroniques rendant inutile de détourner le regard pour pianoter sur un écran.
Les commandes vocales et la lecture des messages évitent les pires comportements. Des applications spécifiques répondront à la majeure partie des besoins, comme l’intégration du «Guide Michelin» vert, qui fourmille de découvertes touristiques, avec photos à l’appui. Les «apps» sont actives dans sept pays européens, sans frais de roaming. Complètes lorsque le véhicule est à l’arrêt, elles ne proposent que des fonctions essentielles quand il roule. (Le Matin)

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Nous avons testé la Tesla S, la «meilleure voiture du monde»

Industrie automobile

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La Tesla Model S, une Américaine luxueuse entièrement électrique, débarque en Suisse dès juillet. Le Matin a testé cette berline élue «meilleure voiture du monde» par un magazine spécialisé. Avec raison.
Par Christine Talos. Mis à jour le 28.05.2013 18 Commentaires

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1/18 La voiture phare de Tesla, la Model S, a reçu la note de 99 sur 100 par le magazine traditionnellement austère Consumer Reports.
Tesla Motors

http://www.lematin.ch/news/standard/...story/29409007



Liens

• Le site de Tesla Motors en Suisse

Livrable dès l’été en Suisse

La Tesla Model S débarque en Suisse dès cet été. La production spécifique a démarré dans les ateliers de l’usine de Palo Alto, en Californie, et la voiture sera livrable dès juillet. Le constructeur Tesla Motors possède par ailleurs, un siège en Suisse, à Zurich, où il dispose d’un showroom. Pour l’instant, il n’existe qu’un seul Service Center en Suisse, à Winterthour. Mais un 2e est prévu dans la région genevoise dans le courant du 2e semestre 2013.

Particularité de Tesla Motors : il vend directement ses bolides à ses clients, sans passer par un concessionnaire, à travers ses magasins et ses boutiques en ligne. Ce qui permet d’offrir un prix unique de ses modèles, quel que soit le pays, explique Jaques Michel, le représentant de la marque en Suisse romande. Seules les taxes d’importation changent en fonction des pays.

Tesla Motors cartonne en bourse

La Tesla Model S est la 2e génération seulement de voitures construites par Tesla Motors, une entreprise appartenant au PDG milliardaire Elon Musk, fondateur de SpaceX, spécialisée en transport de matériel de l’espace et cofondateur de PayPal. Fondée en 2003, la firme croulait sous les dettes en 2008, au point qu’elle a failli disparaître.
Cinq ans plus tard, l’entreprise s’est redressée et a même engrangé son premier bénéfice, 11 millions de dollars. Au premier trimestre 2013, elle a généré des revenus de 562 millions de dollars, en hausse de 83%. Elle s’est également placée en tête des ventes aux USA, devant Mercedes, BMW et Audi.

Du coup, l’action en Bourse a explosé et est en hausse de 160% depuis le début de l’année après la diffusion de rapport d’analystes favorables dont Morgan Stanley. Tesla Motors vaut en Bourse plus que Fiat, qui a vendu 1 million de voitures au 1er trimestre.

C'est avec une énorme curiosité que l'on aborde la Tesla Model S, du constructeur californien Tesla Motors. Il faut dire que cette berline de luxe, dont les livraisons sont prévues cet été en Suisse, est auréolée des critiques les plus élogieuses. Ainsi, elle a été élue ce printemps meilleure voiture du monde par le magazine américain Consumers Reports qui, après une batterie de tests, lui a attribué la note de 99 sur 100! La 2e fois seulement dans l'histoire du journal. Elle a aussi été sacrée voiture de l'année 2013 par Automobile Magazine et Motor Trend.
Autonomie loin devant les autres électriques
Les revues ont en effet été impressionnées par l'autonomie moyenne du bolide, 320 km (480 km à 88km/h selon Tesla Motors), soit pratiquement le double que tous ses concurrents électriques. Une performance obtenue grâce à une batterie lithium-ion de pointe à 85 kwh. (Découvrez ses caractéristiques dans la galerie ci-desssus).
Ce qui fait la différence, c'est que cette voiture a été entièrement conçue pour être dès le départ à 100% électrique. Son aérodynamisme, la distribution de ses poids et ses composants ont été soigneusement étudiés pour économiser un maximum d'énergie», vante Jacques Michel, porte-parole de la marque en Suisse. «En outre, c'est la seule voiture évolutive, puisque nous sommes capables d'effectuer des mises à jour grâce à un simple téléchargement via sa connexion 3G sans passer par un garage!»
Lignes épurées et aérodynamiques
Alors quand un modèle S Performance attend sagement, dans la cour d'un hôtel de luxe à Vevey, d'être emmené pour un petit tour sur les routes de la région, on commence par scruter ses extérieurs sous toutes les coutures. Et déjà, rien à dire: ses lignes sont superbes. Les poignées des portières sont rétractables pour diminuer la prise à l'air. Tout respire l'élégance et l'aérodynamisme.
En outre, les rangements sont somptueux: un coffre arrière spacieux et classique et surtout, un coffre sous le capot de 150 litres, le moteur étant placé entre les roues arrières! Au total: près de 1800 litres de chargement! Un record pour sa catégorie.
Ecran tactile de 17 pouces
Cette impression de luxe est confortée par la découverte de l'intérieur de la Tesla qui, au-delà des finitions, frappe par une sensation d'espace inhabituelle.
Il faut dire qu'il n'y a plus de boîtier de vitesse, tout se commande par des manettes autour du volant et surtout via la pièce maîtresse de l'habitacle, un écran tactile de 17 pouces. Il s'agit d'un bijou de technologie, plus grand qu'un iPad, et qui régit musique, climatisation, carte GPS, l'accès au web et bien plus encore!
Silence impressionnant
Mais que vaut tout cela une fois sur la route? Première surprise quand on s'installe derrière le volant, c'est l'absence de clé de contact. Pourtant elle existe, mais elle ressemble surtout à une souris mac qui ne se branche nulle part! C'est seulement en l'ayant dans la poche et après avoir bouclé sa ceinture, que l'on peut démarrer la Tesla Model S.
Et là, 2e surprise: le moteur est enclenché, mais le silence est absolu ou presque. Pas une vibration. Rien. Car la Model S intègre une ingénierie de pointe qui permet d'obtenir le confort sonore d'un studio d'enregistrement, dixit le site internet de Tesla Motors. Et cela s'entend! Lors de la conduite, l'on perçoit à peine le roulement des pneus sur la route. Déconcertant mais ô combien agréable!
Puissance dans l'accélération
Une fois lancée, la Tesla Model S se conduit d'une main, tant elle est maniable, agile et réactive. Sa suspension est telle que l'on sent à peine la chaussée. En outre, la Model S de base, atteint les 100 km/h en 5,6 secondes, celle que nous avons testée, la Model S Performance, fait encore mieux avec 4,4 secondes!
Et cette puissance se sent. Dès que l'on presse un peu l'accélérateur, elle bondit et «scotche» son conducteur au siège. Une sensation grisante. Et dès que l'on relâche la pédale, elle freine instantanément, procurant une sensation de sécurité appréciable.
8 ans de service compris
Quand on quitte à regret la berline, on se dit que cette Tesla S a tout de la voiture du futur, alliant conduite sportive et confort, tout en préservant l'environnement. Et quand on apprend qu'elle est proposée en Suisse avec 8 ans de service (ou 160'000 km) à domicile compris dans son prix d'achat, on craquerait bien volontiers.
Dommage que son prix soit pour l'instant dissuasif pour bien des bourses. En effet, il faut sortir près de 86'000 francs pour le Model S (60 kwh) ou 111'800 francs pour le Model S Performance. C'est sans doute le seul bémol que l'on peut trouver à cette voiture d'exception. Et encore... Une fois calculé le gain sur les services d'entretien et les pleins d'essence qu'il ne faudra jamais effectuer, elle n'est plus aussi chère comparée aux voitures thermiques de sa catégorie...
Reste à attendre 2016-2017. En effet, le constructeur s'est attelé à concevoir une génération de Tesla plus petites et moins onéreuses. Mais avant cela, il sortira un SUV entièrement électrique à 4 routes motrices et 7 places, ceci pour 2015. Il comprendra 2 moteurs, l'un pour gérer au mieux les roues avant, l'autre pour s'occuper des roues arrière. Là aussi une petite révolution dans le monde des 4x4.

(Newsnet

[Norton]

Le Yamaha XMax 400 en fait un max!

Nouveauté

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Sportif jusqu’au bout des pneus, il en jette d’abord par son design. Agile et puissant, il se joue de la ville avec facilité.
Par Claude Bovey. Mis à jour le 24.05.2013 1 Commentaire

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1/6 DR / Yamaha


http://www.lematin.ch/auto-moto/yama...story/25210011


Yamaha Day, la fête de la moto

Demain samedi 25 mai, l’importateur suisse Hostettler AG organise son traditionnel Yamaha Day à Sursee (LU). Au menu des festivités: animations, shows de stunt et la présence de nombreux sportifs d’élite dont les deux stars de la moto suisse, Dominique Aegerter et Randy Krummenacher à la dédicace.

Fiche technique

MOTEUR Monocylindre, 4 T à refroidissement liquide, 2 ACT, 4 soupapes. Injection électronique. Cylindrée: 395 cm3.

PUISSANCE Ch (kW): 31,5 ch (23,18) à 7500 tr/min.

COUPLE 33,88 Nm à 5000 tr/min.

CHÂSSIS Cadre double berceau en tubes d’acier.

TRANSMISSION Par variateur. Transmission finale par courroie.

FREINSAV: double disque hydraulique ø 267 mm avec étriers
à 2 pistons.

ARR: simple disque hydraulique ø 267 mm avec étrier à 2 pistons.

SUSPENSIONS AV: fourche télescopique ø 35 mm. Débattement 110 mm. ARR: 2 amortisseurs réglables en précharge, débattement 110 mm.

RÉSERVOIR14 l; consommation: 4,7 l/100 km (constructeur).

Autonomie: 300 km.

HAUTEUR DE SELLE 785 mm. Garde au sol 103 mm.

POIDS En ordre de marche: 211 kg.

LIVRAISON Fin mai.

Dans la «Max Family» trône le TMax 530, roi des gros scooters sportifs à succès en Europe… La série XMax, à peine plus sage en termes de sportivité et produite depuis 2005 en 125 cm3 et 250 cm3, est là pour satisfaire une catégorie de scootéristes recherchant un confort légèrement plus cossu et surtout plus pratique quant à ses capacités de chargement. Manquait dans cette gamme un maxiscooter mid-size. Avec l’arrivée toute prochaine du XMax 400, Yamaha comble un vide. Le cahier des charges imposé aux concepteurs était limpide: satisfaire pleinement aux besoins d’une clientèle européenne orientée fashion au quotidien et désireuse de disposer d’un maximum de fun le week-end. Il fallait concevoir un scooter contenant tout l’ADN XMax! A savoir un engin sportif bien sûr, possédant une maniabilité d’enfer, des fonctionnalités modernes, mais aussi un design exclusif.
Milan, son trafic intense, ses rues pavées, ses avenues défoncées et ses innombrables rails de tramway. L’endroit est un magnifique banc d’essai pour juger du punch et des facultés de mouvement en milieu «hostile». L’assise est bonne, naturelle, bien confortable et pas trop haute (785 mm). Les petits gabarits devront pourtant arquer les jambes et ainsi perdre un peu de distance afin d’atteindre le sol… La faute du besoin de volume afin de cacher deux casques intégraux à l’intérieur. On peut être compact et sportif sans oublier d’être pratique. La preuve!
Scooter insolent
Premier croisement. La bande de testeurs s’agglutine en grappe comme tous bons scootéristes milanais qui se respectent. Le feu vert donne le signal du départ. Wouah, bluffant! La force de propulsion nous en met vite plein la vue. Le travail d’optimisation de la puissance (31,5 ch) délivrée sur les premiers mètres est une réussite. La suite ressemble à un ballet virevoltant lorsqu’il s’agit de déboîter et de se faufiler dans le trafic. La maniabilité du XMax 400 est époustouflante. Facile, la ville! Le système de freinage performant assure une sécurité sereine. Les versions ABS très prisées dans nos contrées arriveront en 2014. Restent des suspensions réglées au maximum de leur dureté qui, en milieu urbain, mettent à mal les lombaires mais qui, en extérieur, sur des routes sinueuses et roulantes, exacerbent le côté sportif du XMax 400. Au point que même les motards pourraient y trouver une alternative de pilotage très fun en ces temps de législations routières très répressives… (Le Matin)