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Nadal - Federer, acte 32

TENNIS (LIVE)

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L'Espagnol et le Suisse revisitent le classique qu'ils offrent depuis de longues années. La demi-finale du Masters débute dans quelques instants. A suivre en direct sur «LeMatin.ch».

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Alison Van Uytvanck remporte son premier tournoi à Taipei

Alison Van Uytvanck et Yanina Wickmayer (archives, 2011) © belga.
MISE À JOUR La joueuse belge Alison Van Uytvanck, 19 ans, a remporté son premier tournoi WTA en s'imposant face à Yanina Wickmayer, 24 ans, lors de la finale 100% belge du tournoi de Taipei, épreuve WTA dotée de 125.000 dollars.
Alison Van Uytvanck, 129e au classement WTA, a battu Yanina Wickmayer, 59e mondiale et tête de série N.2, en deux sets, 6-4, 6-2, en une heure et cinq minutes de jeu.

Il s'agissait de la première finale belgo-belge sur le circuit WTA depuis la finale du tournoi de Brisbane en 2010, qui avait opposé Justine Henin à Kim Clijsters. La Limbourgeoise s'était imposée 6-3, 4-6, 7-6 (8/6). La dernière victoire belge sur le circuit WTA a eu lieu l'année dernière à Québec, où Kirsten Fkipkens a décroché le premier et unique titre de sa carrière.

C'était la première fois qu'Alison Van Uytvanck se retrouvait en finale d'un tournoi WTA, tandis que Yanina Wickmayer disputait à Taipei la dixième finale WTA de sa carrière. Les deux joueuses belges s'étaient déjà affrontées une première fois au tournoi de Bruxelles en 2011. Yanina Wickmayer l'avait alors emporté 7-6 (7/2), 6-4.

Alison Van Uytvanck s'est par ailleurs également qualifiée samedi pour la finale du double du tournoi de Taipei. La paire formée par la joueuse belge et l'Allemande Anna-Lena Friedsam rencontrera en finale la Française Caroline Garcia et la Kazakhe Yaroslava Shvedova.

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Foot Ligue 1 13e j. L'OM profite de l'aubaine
Sevré de victoire depuis la 8e journée, l'OM a profité d'un penalty obtenu et transformé par Gignac pour renouer avec le succès face à Sochaux (2-1), dimanche soir. Mais il aurait pu écoper de la même sanction trente secondes avant.
André-Pierre Gignac a inscrit le deuxième but marseillais sur penalty face à Sochaux, dimanche. (L'Equipe)







En trente secondes, tout a basculé. Tout juste entré en jeu, André-Pierre Gignac a obtenu un penalty dont venait d’être privé Sochaux à l’autre bout du terrain pour une faute de Romao sur Mayuka. D’une frappe en force, plein axe, l’international français a profité de l’aubaine - une main de Peybernes – pour offrir à l’OM sa première victoire (2-1) depuis la 8e journée. Et accessoirement rappeler à Elie Baup qu’il valait certainement mieux que le banc de touche auquel il est abonné depuis trois journées.

En une action et dix minutes de jeu, Gignac aura davantage pesé que Jordan Ayew, sorti sous les sifflets. Une nouvelle fois préféré à l’ancien Toulousain, le cadet des frères Ayew a pourtant eu les occasions de donner raison à son entraîneur. Mais sa première tentative a manqué de puissance (22e), et il s’est montré par la suite trop tendre physiquement (36e) avant de manquer de réactivité et de précision alors qu’il se trouvait seul face à Pouplin (58e).

Mandanda décisif devant Contout

Mayuka, un but sublime... pour rien. S’il ne s’est finalement pas révélé rédhibitoire, ce manque d’efficacité a maintenu Sochaux dans la partie. Sans que l’international ghanéen n’en soit toutefois l’unique responsable. Buteur de la tête dès la 5e minute sur un centre de Benjamin Mendy, Florian Thauvin aurait lui aussi pu faciliter la tâche de son équipe. Mais il a manqué le cadre sur un corner de Valbuena (12e), avant de buter sur Pouplin sur une action quasiment jumelle avec celle qui lui avait permis d’ouvrir le score (25e).

Au regard de la physionomie du match, Sochaux pourra nourrir des regrets. Outre le penalty qu’ils auraient dû obtenir juste avant celui de Gignac, les joueurs d’Hervé Renard ont eu le mérite d’afficher une envie quasi-constante de jouer vers l’avant. Juste avant la pause, Roudet a failli profiter d’une bévue de Diawara pour concrétiser ces bonnes intentions (42e). Mais c’est finalement Mayuka qui s’en est chargé d’une sublime frappe tendue dans la lucarne de Mandanda (60e). A dix minutes de la fin, Contout a été tout proche de doubler la mise, mais sa reprise a été claquée en corner par le portier marseillais (81e). La suite, on la connaît…
E. T.

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Van Persie fait tomber Arsenal
Manchester United a mis fin à la série de neuf matches sans défaite d'Arsenal en Premier League en s'imposant (1-0) à Old Trafford dimanche. Les Gunners sont toujours leaders, mais ils n'ont plus que deux points d'avance sur Liverpool.
Robin van Persie a encore marqué contre Arsenal avec Manchester United. (Reuters)







Fin de série pour Arsenal. Invaincus depuis la première journée et leur défaite inaugurale contre Aston Villa (1-3), les Gunners se sont inclinés ce dimanche (0-1) contre Manchester United lors du choc de la 11e journée de Premier League. Les Gunners sont toujours leaders, mais ils n’ont plus que deux points d’avance au classement sur Liverpool, auteur d’un carton samedi sur Fulham (4-0), et trois sur Southampton, surprenant troisième. Huitièmes en début de journée, les Mancuniens sont désormais cinquièmes, à cinq unités des Londoniens.


Pour son cinquantième match contre Manchester United sur le banc d’Arsenal, Arsène Wenger a été «trahi» par un de ses anciens protégés : Robin Van Persie. Le Néerlandais, qui a passé huit ans à Londres, a marqué le seul but de la rencontre, catapultant de la tête un corner tiré par Wayne Rooney (27e). Un des rares occasions des Red Devils dans un match très fermé entre deux équipes très bien organisées. L’international anglais s’est toutefois mis en évidence à l’heure de jeu, mais il n’a pas cadré son tir du gauche, qui a longé le poteau de Szczesny (61e). Il a également tenté une frappe en feuille morte, à côté (67e). Quant à Chris Smalling, seul devant le gardien polonais, il a complètement raté sa tête (82e). Szczesny n’a donc pas eu d’arrêt à effectuer, mais il a été victime d’un gros choc tête contre tête avec Phil Jones (41e). Légèrement sonné, il est resté au sol et a pu terminer la partie.


Nemanja Vidic a eu moins de chance que le gardien d’Arsenal. Auteur d’une première période solide au cours de laquelle il n’a pas laissé le moindre espace à Olivier Giroud, le défenseur serbe a été contraint de sortir à la mi-temps, après un choc avec son propre gardien. En son absence, les Mancuniens ont beaucoup subi, mais ils ont très peu été mis en danger, si ce n’est sur une frappe du gauche de Mesut Özil dans le petit filet (58e), une reprise de Gibbs dans les bras de De Gea (77e) ou deux centres de Sagna que personne n’a repris (73e, 90e+2). Olivier Giroud a également eu deux situations intéressantes, mais il n’a pas eu le temps de frapper (83e), avant d’être contré (84e). La défense de Manchester United, qui avait encaissé un but à chaque rencontre de Championnat depuis deux mois, a retrouvé sa solidité au meilleur moment.
Alexis DANJON

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Rugby XV de France PSA : «Fier de mes joueurs»
A Marcoussis, au lendemain de la défaite, 26-19, samedi soir, face aux All Blacks, le manager du quinze de France, Philippe Saint-André, débriefe le match, reconnait les erreurs commises mais souligne aussi les points positifs.
Philippe Saint-André, entouré de son staff, voit des raisons d'espérer après ce match face aux All Blacks. (L'Equipe)







«Philippe Saint-André, au lendemain de cette défaite face à la Nouvelle-Zélande, quel est votre sentiment ?
Le futur est en train de se construire. J’ai vu des joueurs ambitieux, qui ont tenté pendant quatre-vingt minutes, qui ont eu une force mentale exceptionnelle pour revenir au score après avoir encaissé deux essais. Je suis très fier de mes joueurs, fier de cette équipe de France.

Mais tout n’a pas été parfait pour autant…
Nous manquons d’expérience. Certains joueurs ont commis des erreurs dans un match de cette intensité. Mais il y a beaucoup de choses intéressantes, comme la première sélection de Rabah Slimani, l’entrée de Gaël Fickou. J’ai bien aimé aussi notre charnière, même si en première mi-temps, notre jeu au pied ne nous a pas permis de sortir de notre camp. C’est sans doute le meilleur match de Morgan (Parra) depuis que Patrice (Lagisquet), Yannick (Bru) et moi sommes à la tête de l’équipe de France. Dans l’ensemble, nous sommes sur la bonne voie. Il manque la victoire mais nous faisons confiance à ce groupe car il a de la valeur, le public du Stade de France l’a remarqué : il a été derrière les Bleus pendant quatre-vingt minutes.

Sur les contenus, la France rivalise

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Que disent les statistiques, à l’issue de ce match ?
Les statistiques ne font pas les victoires, mais nous avons soixante pour cent de possession de balle, nous avons franchi douze fois la défense all black, alors que nous n’avons été franchis que cinq fois. Nous avons encaissé sept pénalités et eux douze. Sur les contenus, nous avons rivalisé avec la meilleure équipe du monde. Mais sur les moments stratégiques, il nous manque quelque chose…

Qu’est-ce qui manque, précisément ?
A chaque fois qu’on marque, on prend trois points ou des séances de trois minutes derrière. On se retrouve à trois mètres de leur ligne et après une série de pick and go, on néglige d’aller au large, ce que l’on fait très bien sur notre essai en fin de match ; c’est un but de pénalité qui peut nous faire passer devant en fin de première-mi-temps alors qu’on sait combien c’est important, mentalement, d’être en tête face à cette équipe ; c’est un duel aérien perdu ; un passe de trop alors qu’on a cassé la défense ; c’est un manque de patience en fin de match sur une mêlée cruciale. Les All Blacks, eux, savent intelligemment éviter ces petites fautes.

«J'assume cette série de défaites»

«On a des joueurs de grande qualité et il faut les laisser mûrir, en acceptant de perdre des matches. Mais j'ai confiance en l'avenir», dit Saint-André. Sept défaites en neuf matches cette année, c’est tout sauf un bon bilan…
C’est pourquoi nous avons un goût amer dans la bouche, car nous nous étions préparés pour gagner. Il faut vite qu’on retrouve le goût de la victoire. J’assume cette série de défaites, mais sur ces sept défaites, il y a quatre tests de suite face aux All Blacks, ce qui n’est jamais arrivé dans l’histoire du rugby français.

Par rapport à ce que vous aviez prévu de mettre en place, tactiquement, qu’est-ce qui a fonctionné ?
La composition de notre troisième-ligne, avec deux joueurs très forts dans les duels et les rucks… Du coup, les Néo-Zélandais ont mis moins de volume. Notre banc, aussi, a rempli son rôle. Dimitri (Szarzewski) a apporté son expérience et son explosivité. Debaty et Rabah (Slimani) ont emmené de la puissance. On connait les qualités de Sébastien (Vahaamahina)… Au centre, pour la quatrième fois d’affilée, Wesley (Fofana) et Florian (Fritz) ont fait plus que rivaliser face à ce qui se fait de mieux au monde. Et quand Gaël Fickou entre, il fait une passe après contact qui amène l’essai. On a des joueurs de grande qualité et il faut les laisser mûrir, en acceptant de perdre des matches. Mais j’ai confiance en l’avenir, et dans cette jeunesse qui est en train de tout faire, vraiment, pour se hisser au plus haut niveau.»
Propos recueillis par Richard ESCOT, à Marcoussis.

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Foot Ligue 1 13e j. Nantes fait rechuter Bordeaux
Bordeaux a pris une leçon de réalisme de la part du FC Nantes (0-3), dimanche après-midi à Chaban-Delmas. Les Girondins manquent l'occasion de revenir à hauteur de leur adversaire du jour. Quatrièmes, les Canaris ne sont plus qu'à trois points de Monaco.
Malgré plusieurs occasions franches, Cheick Diabaté est resté muet face à Nantes. (L'Equipe)







Les défaites se suivent et ne se ressemblent pas toujours. Jeudi, sur la pelouse de l’Apoel Nicosie (1-2), Bordeaux était tombé après avoir été nettement dominé en seconde période. Dimanche après-midi face au FC Nantes (0-3), les Girondins se sont procurés une bonne dizaine d’occasions franches, ce qui ne les a pas préservés d’une nouvelle contre-performance. Pour la première fois depuis la sixième journée, les joueurs de Francis Gillot ont rechuté en Championnat. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est qu’ils n’auront pas besoin d’aller chercher très loin les raisons de cette défaite.

Diabaté a incarné à lui seul ou presque la maladresse des Bordelais. Pas assez tueurs devant le but, les Girondins se sont également montrés bien trop apathiques derrière pour ne pas être punis en retour. En première période, ce sont pourtant eux qui se sont montrés les plus dangereux. Mais Diabaté a incarné à lui seul ou presque la maladresse des Bordelais. Le festival de ses occasions manquées a commencé à la 19e minute lorsqu’il a buté sur Riou après une jolie transversale de Maurice-Belay. Il s’est poursuivi soixante secondes plus tard par un raid annihilé par le retour de Vizcarrondo alors qu’il venait d’éliminer Riou d’un crochet. La suite ? Un but refusé pour une position de hors-jeu (30e) ou encore un moment d’hésitation qui a débouché sur un ballon mal négocié alors qu’il avait été trouvé en position idéale par Obraniak (57e).

Certes, les Bordelais n’ont pas non plus été en réussite à l’image d’une tête d’Obraniak sur le montant de Riou (18e). Mais s’ils veulent redevenir une équipe qui compte en haut du classement, ils feraient bien de s’inspirer de la prestation livrée par les Nantais. Comme l’a souligné Julien Faubert au micro de BeIN Sport, il ne leur a fallu qu’«une demi-occasion» pour ouvrir le score juste avant la pause. A la réception d’un touche, Bedoya a centré d’un retourné acrobatique pour la demi-volée gagnante de Bessat. Mieux en seconde période, les Canaris n’ont eu ensuite besoin que de deux minutes pour éteindre les derniers espoirs bordelais. Djilobodji (61e) et Djordjevic (64e) ont tous les deux profité des errements de la défense bordelaise pour tromper Carrasso. Grâce à ce premier succès en trois journées, Nantes ne compte plus que trois unités de retard sur Monaco (3e). Pour les Girondins, «c’est une semaine à oublier très vite».
E. T.

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Manif des fans privés de derby...

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Jacques-Vabre Riou et Le Cam en profitent
Vincent Riou et Jean Le Cam (PRB) ont pris les commandes de la course en Imoca, ce dimanche, après l'escale technique de François Gabart et Michel Desjoyeaux (Macif).
Vincent Riou et Jean Le Cam (PRB) mènent désormais le bal. (D.R)







Annoncée comme «assez rapide», l'escale technique du monocoque Macif ce dimanche, dans le port de Peniche (Portugal), a en tout cas coûté la tête de la course à François Gabart et Michel Desjoyeaux. Au pointage de 16h00, ils n'occupaient plus que la quatrième position de la catégorie Imoca, totalement relancée. Vincent Riou et Jean Le Cam (PRB) ont donc pris les commandes, devançant Jérémie Beyou et Christopher Pratt (Maître Coq) d'un petit mille et le duo Guillemot/Bidégorry (Safran) de 2,5 milles.

En Multi50, le trimaran Maître Jacques a confirmé son abandon lors de son arrivée à La Corogne (Espagne) dans la matinée après une quinzaine d'heures de convoyage. Yves Le Blévec et Kito de Pavant (Actual) ont repris la tête de la catégorie. Après leur escale à Roscoff (Finistère), les Class40 sont repartis avec de meilleures conditions météo et Sébastien Rogues et Fabien Delahaye (GDF Suez) menaient la flotte à 16h00. Chez les MOD70, voguant à plus de 25 nœuds au nord-ouest de Madère, Sébastien Josse et Charles Caudrelier (Edmond de Rothschild) étaient devant.

Les classements (positions à 16h00 GMT) :




Imoca (monocoques de 18,28 m, 10 bateaux) :
1. Vincent Riou/Jean Le Cam (FRA/FRA - PRB) à 4.586,9 milles de l'arrivée
2. Jérémie Beyou/Christopher Pratt (FRA/FRA - Maître CoQ) à 0,9 mille du premier
3. Marc Guillemot/Pascal Bidégorry (FRA/FRA - Safran) à 2,4 milles
...

Class40 (monocoques de 12,18 m, 26 bateaux) :
1. Sébastien Rogues/Fabien Delahaye (FRA/FRA - GDF Suez) à 5.086,2 milles de l'arrivée
2. Alex Pella/Pablo Santurde (ESP/ESP - Tales Santander 2014) à 9,1 milles du premier
3. Jörg Riechers/Pierre Brasseur (GER/FRA - Mare) à 17,2 milles
...

MOD70 (trimarans de 21,20 m, 2 bateaux) :
1. Sébastien Josse/Charles Caudrelier (FRA/FRA - Edmond de Rothschild) à 4.129,5 milles de l'arrivée
2. Sidney Gavignet/Damian Foxall (FRA/IRL - Oman Air Musandam) à 80,3 milles du premier

Multi50 (trimarans de 15,24 m, 5 bateaux, après l'abandon de Maître Jacques) :
1. Yves Le Blevec/Kito de Pavant (FRA/FRA - Actual) à 4.540,9 milles de l'arrivée
2. Lalou Roucayrol/Mayeul Riffet (FRA/FRA - Arkema-Région Aquitaine) à 11,5 milles du premier
3. Erwan Le Roux/Yann Eliès (FRA/FRA - FenêtréA Cardinal) à 12,9 milles
...
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Lloris sera apte, selon Villas-Boas...

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Wawrinka rejoint Federer... en vacances

10.11.2013 22:47 mise à jour à 23:47
Stan n'a rien pu faire face à l'homme en forme du moment, Djokovic. [Andy Rain - Keystone]

Novak Djokovic

Stanislas Wawrinka



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Il n'y aura pas de Suisse en finale du Masters de Londres. Comme Roger Federer face à Rafael Nadal, Stanislas Wawrinka s'incline 6-3 6-3 devant Novak Djokovic en demi-finales. Finale Nadal-Djokovic lundi.
Cet échec cinglant ne doit pas ternir le remarquable bilan du no 2 helvétique dans ce tournoi, qu'il disputait pour la première fois au terme d'une saison en tous points remarquable. Stan a fêté dans le Round Robin ses 8e et 9e victoires de l'année face à des membres du top-10 (Tomas Berdych et David Ferrer).
Seuls Rafael Nadal - auquel Stanislas Wawrinka a offert une superbe résistance mercredi (défaite 7-6 7-6) - et Novak Djokovic ont d'ailleurs fait mieux que lui cette année.
Plus de 50 succès cette saison, une première

Le Vaudois, qui n'avait, avant cette saison, remporté que 18 matches face aux dix meilleurs joueurs du monde, a progressé du 17e au 8e rang mondial en 12 mois. Vainqueur d'un titre (Oeiras) et finaliste à trois reprises (Buenos Aires, Madrid, Bois-le-Duc), il a passé pour la première fois la barre des 50 succès. Il conclut 2013 avec 51 succès à son actif, soit 6 de plus que Roger Federer, pour 23 défaites. Son meilleur bilan avait été jusque-là enregistré en 2008 (38-21), au terme d'une année pendant laquelle il s'était hissé pour la première fois dans le top-10.
Le match de trop, peut-être

Djokovic aura l'occasion, lundi, de défendre son titre. [Sang Tan - Keystone] Stanislas Wawrinka n'a pas offert dimanche la réplique que l'on était en droit d'attendre après son remarquable parcours londonien. Crispé et impatient, fatigué par les efforts consentis depuis lundi dernier dans l'O2 Arena, il terminait ainsi la partie avec 34 fautes directes pour seulement 14 coups gagnants à son compteur.
Il concédait quatre breaks, alors qu'il n'avait lâché que quatre jeux de service dans ses trois premiers matches... Novak Djokovic a pu se contenter d'attendre son heure. Le Serbe n'a, ainsi, réussi son premier coup gagnant que dans le dernier jeu du premier set !
Stanislas Wawrinka avait pourtant démarré son 17e affrontement avec le quadruple vainqueur de l'Open d'Australie de manière idéale. Il signait logiquement le premier break de la partie pour mener 2-1, après avoir réalisé une merveille de passing de coup droit puis une volée de revers très tranchante.
3-3, puis l'écroulement...

Las pour lui, il concédait son service dans la foulée, en commettant deux fautes directes consécutives en coup droit. Le Champion junior de Roland-Garros résistait ensuite jusqu'à 3-3, avant de perdre cinq jeux consécutifs.
A 6-3 2-0 pour Novak Djokovic, la messe était dite. De plus en plus solide, le résident monégasque ne perdait que 2 points (!) sur son engagement dans la deuxième manche.
Stanislas Wawrinka avait le mérite de se battre jusqu'au bout, effaçant trois balles de double break en continuant de pratiquer un tennis offensif. Il ne parvenait néanmoins pas à contraindre son adversaire à servir pour le match.

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"J'accepte une année comme celle-là, pas plus"

10.11.2013 Réagir
Roger Federer se réjouit désormais d'avoir des vacances [Andy Rain - Keystone]

Rafael Nadal

Roger Federer


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Logiquement battu par Rafael Nadal (no 1) en demi-finales du Masters de Londres (7-5 6-3), Roger Federer (no 6) ne se voilait pas la face à l'heure de tirer le bilan de son année 2013. "J'ai bien commencé et bien terminé la saison, mais le reste est à oublier", lâchait-il sans ambage.
"J'ai certes gagné le titre à Halle et atteint les quarts de finale à Roland-Garros ce printemps. Mais j'ai vraiment vécu une période difficile d'avril à octobre", rappelait l'homme aux 17 titres du Grand Chelem, qui parlait d'une année "compliquée".
Les chiffres lui donnent raison: gêné pendant de longs mois par ses problèmes de dos, il n'a glané qu'un seul titre et n'a remporté que 45 matches sur le circuit (17 défaites). Il faut remonter à l'année 2001 - celle de son premier titre ATP à Milan - pour trouver trace d'une saison au cours de laquelle il a enlevé moins de 50 victoires et glané moins de trois titres. Il avait alors tout juste 20 ans.
Il n'exclut pas d'engager un nouveau coach

Severin Lüthi (à gauche) devrait continuer à suivre Federer. Sa femme Mirka aussi... [Georgios Kefalas - Keystone] Roger Federer affirmait néanmoins que cette saison avait été "intéressante" sur certains aspects. "Ce n'est jamais drôle d'être blessé. Mais cela m'a obligé à me poser de nombreuses questions concernant la manière de m'entraîner et la gestion de mon calendrier. Le fait d'avoir dû gérer toutes ces difficultés a constitué une nouvelle expérience intéressante. Mais j'accepte de vivre une année comme celle-là, pas plus", précisait-il.
"J'ai également été critiqué pour mon niveau de jeu, alors que j'ai toujours fait de mon mieux. C'était également intéressant de devoir gérer ces critiques, de voir qui les émettait et à quel moment", expliquait Roger Federer, qui n'exclut pas d'engager un nouveau coach à temps complet au cas où Severin Lüthi n'est pas en mesure de passer suffisamment de temps à ses côtés.
"La fin de saison m'a apporté quelques certitudes", poursuivait-il. "Même sans avoir évolué à mon tout meilleur niveau, je suis parvenu à battre des membres du top-10 (réd: Juan Martin Del Potro à deux reprises, et Richard Gasquet). C'est une bonne chose, car je n'avais pas fêté de succès face à un top-10 depuis sept ou huit mois" (depuis l'Open d'Australie en fait).
"Je me réjouis surtout d'avoir des vacances"

"J'ai disputé deux demi-finales (à Paris-Bercy et dans ce Masters) et une finale (à Bâle). Tout s'est bien passé au cours de ces trois semaines consécutives, alors que j'ai joué de nombreux matches en trois sets", relevait-il. "Si l'on tient compte de mes problèmes de dos que j'ai connus, il est très satisfaisant d'avoir joué si longtemps sans ressentir de douleurs. Cela me donne confiance tant au niveau physique que mental."
Roger Federer se réjouit-il d'ores et déjà de commencer sa préparation pour la saison 2014? "Je me réjouis surtout d'avoir des vacances", lâchait-il. "J'ai beaucoup joué ces dernières semaines, et ai beaucoup travaillé dans l'ombre également au cours des mois précédents. Je ressens une certaine fatigue maintenant, et je dois me relaxer avant de songer à 2014."
Le sextuple vainqueur du Masters a prévu de s'astreindre à un mois de préparation intensive dans son camp de base de Dubaï avant d'entamer sa saison 2014 à Brisbane. "J'espère simplement ne pas connaître de pépins pendant cette phase de préparation. Cela se paie en compétition, je l'ai constaté cette année", glissait Roger Federer, qui rendra par ailleurs sa décision concernant sa participation à la Coupe Davis dans quelques semaines.
Il parlait tout de même d'ores et déjà d'objectifs précis pour 2014. "J'espère gagner des titres, cinq par exemple. Je veux aussi briller dans les tournois majeurs", lâchait-il. "En revanche, mon classement n'a que peu d'importance étant donné que je ne peux pas viser le 1er rang mondial. Je veux juste rester dans les quatre ou les huit meilleurs afin de figurer parmi les principales têtes de série".

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Le Mont recevra l'ogre bâlois, Lausanne ira à Lucerne

10.11.2013 19:13 mise à jour à 19:26
Les joueurs du Mont réaliseront-ils un nouvel exploit contre Bâle? [Pascal Muller - EQ]


Beau choc au programme des quarts de finale de la Coupe de Suisse! Tombeur de YB au tour précédent, Le Mont LS, pensionnaire de 1L promotion, se frottera au grand FC Bâle. Lausanne, lui, se déplacera à Lucerne. Autres affiches au programme: St-Gall-Zurich et Bienne/Thoune -GC.
Le tirage n'a pas été clément avec le dernier "petit" encore en lice en Coupe de Suisse. Le club vaudois, tombeur de YB 4-1 samedi, recevra Bâle.
Les dirigeants montains ne gardent pas un excellent souvenir de leur dernière confrontation face au FC Bâle en Coupe. C'était en octobre 2009 au stade des seizièmes de finale et le match s'était déroulé au stade de la Pontaise et les Rhénans s'étaient imposés 3-1 devant 1200 spectateurs.
A la peine en championnat, le Lausanne-Sport se rendra à Lucerne. Les deux dernières affiches mettront aux prises St-Gall à Zurich et le vainqueur de Bienne/Thoune contre le tenant du titre GC.
Les parties auront lieu le 4 décembre.