Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Les messages coquins de Nadal à Murray

© photo news.
Invité du talk-show britannique The Jonathan Ross Show, Andy Murray a fait quelques confidences au sujet de Rafael Nadal, qui aime bien faire quelques plaisanteries.
Rafael Nadal et Andy Murray s'apprécient. L'Ecossais l'a confirmé à la télévision britannique, en racontant quelques anecdotes croustillantes au sujet du Majorquin, qui est un petit farceur.

"Andy, tu es tellement sexy"
Le numéro 4 mondial a raconté une petite histoire pendant qu'il était en train de dîner avec sa compagne à New York. "J'étais tranquillement en train de dîner avec ma copine, et pendant le repas, j'ai regardé mon téléphone. Je sais que ce n'est pas poli de faire ça mais je l'ai quand même fait et j'ai lu un message d'un numéro que je ne connaissais pas. "Oh mon Dieu, Andy, tu es tellement sexy ce soir, c'est une honte que tu sois ici avec ta copine".

En rentrant chez lui, Murray a compris qu'il s'agissait de Nadal, qui lui avait fait une blague. Il a d'abord pensé que c'était l'oeuvre d'une admiratrice. "Je ne l'ai pas dit à ma copine au début bien sûr, je ne voulais pas gâcher le repas donc j'ai remis mon téléphone dans ma poche. Puis en rentrant de mon dîner, j'ai compris de qui il s'agissait. Cette personne devait être en train de m'espionner et de regarder ma tête quand je lisais les messages pendant le repas."

Comme quoi, même s'il a l'air très sérieux sur les courts, Nadal peut aussi se révéler être un grand farceur!

[Norton]

Thuram en a marre d'être sur le banc

© belga.
Dans une interview accordée à L'Est Eclair, Yohann Thuram a avoué qu'il trouvait le temps long sur le banc du Standard. Quand il a signé à Sclessin, le portier français avait imaginé autre chose...
© belga. © belga. © belga.
Yohann Thuram pensait qu'il allait profiter de la blessure de Kawashima pour enfin s'installer entre les perches. Malheureusement pour lui, quand le Japonais a retrouvé toutes ses sensations, il a retrouvé le banc de touche face à Bruges. Un coup dur.

"J'ai signé au Standard pour jouer, être n°1. C'est comme cela qu'on m'avait présenté le projet. (...) Quand les dirigeants du Standard m'ont contacté à l'intersaison, ils voulaient me faire venir le plus vite possible pour être rapidement dans le bain. Mais les négociations ont pris plus de temps que prévu. Quand j'ai rejoint la Belgique, la saison avait déjà débuté. Le gardien, Kawashima, était performant et l'équipe marchait sur l'eau. Dans ces conditions, c'était difficile pour le coach de sortir un gardien qui faisait l'affaire."

"Je ne peux pas rester sur le banc"
En attendant d'obtenir à nouveau du temps de jeu, Thuram va donc devoir ronger son frein. Une situation difficile selon lui. "Je comprends la situation mais je ne l'accepte pas. (...) Je me dois d'être patient, mais je ne peux pas me permettre d'être dans cette situation toute la saison. Après deux bonnes années à Troyes, je m'étais offert le luxe de ne pas dépendre des prestations de quelqu'un. Il va falloir que je joue car je n'accepterai pas cette situation toute la saison..."

[Norton]

"J'aurais dû avancer pour que Falcao soit hors-jeu"

© belga.
Thomas Meunier peut être crédité d'une bonne sortie, même si elle ne fut pas parfaite, à l'issue de son premier match en équipe nationale contre la Colombie (0-2), jeudi soir au Stade Roi Baudouin. Le sélectionneur Marc Wilmots ne l'a certes pas couvert d'éloges, mais l'a jugé "très bon et très discipliné" avant de résumer: "il a fait ce que je lui avais demandé. Il a fait son match...."
L'intéressé a de son côté constaté que le jeu était "beaucoup plus rapide". Les attaquants colombiens, Falcao en particulier, l'ont fortement impressionné sur ce plan. "Dommage qu'on n'ait pas marqué", déplorait-il aussi. "On a eu les occasions pour mener, mais elles n'ont pas été au fond. J'aurais aimé faire rimer première cape et première victoire. Mais les gens auront quand même apprécié notre prestation. Je trouve en effet qu'on a très bien joué. Malheureusement cela n'a pas suffi..."

"En ce qui me concerne j'étais assez nerveux au début. Je suis aussi conscient que j'aurais dû me trouver devant Falcao pour qu'il soit hors-jeu. Je m'excuse d'ailleurs pour cette erreur d'appréciation (Thomas Meunier est un attaquant de formation, ndlr). Mais je suis dans l'ensemble quand même assez content de ma prestation..."

La Colombie a fait mesurer aux Diables le chemin à parcourir pour faire partie du subtop mondial. Pour Meunier il s'agira à présent de tenter de convaincre le sélectionneur de son utilité. "Je vais essayer", avoue-t-il. "C'est un magnifique et exaltant défi. Mais il n'y a pas trente-six recettes pour le gagner. Je dois coûte que coûte me montrer régulièrement parmi les meilleurs avec Bruges en Pro League. J'espère en tout cas avoir l'occasion de jouer encore d'autres matches avec les Diables", conclut Thomas Meunier.

[Norton]

Football Coupe du Monde 2014 Barrages aller Ukraine-France, 20h45 Giroud :"J'ai plus de crédit"
vendredi 15 novembre 2013
Guillaume Dufy

Le statut d'Olivier Giroud, qui devrait être titulaire ce soir à Kiev, a changé en équipe de France. (Photo Alain Mounic/L'Équipe)











OLIVIER GIROUD, l'attaquant d'Arsenal, devrait être titulaire, ce soir, pour la cinquième fois de suite en bleu. Son statut a changé, il le sait. Mais il veut rester prudent.
A vant, quand il rejoignait l'équipe de France, Olivier Giroud savait que ses chances de commencer une rencontre ailleurs que sur le banc étaient minimes. Mais la méforme de Karim Benzema et les bonnes performances de l'ancien Montpelliérain, avec Arsenal et les Bleus, ont amené Didier...

[Norton]

Rugby XV de France«Pas question d'oublier Wellington»
Le talonneur international Dimitri Szarzeswki lève un voile sur ce qui le motive, lui et ses partenaires, avant le match de samedi, au Havre (18h00), face aux Tonga, vainqueurs de l'équipe de France en 2011.
Morgan Parra, Dimitri Szarzewski et Thierrry Dusautoir étaient de l'humiliante défaite, à Wellington, en 2011. Sébastien Vahaamahina, lui, va découvrir les Tongiens samedi au Havre. (L'Equipe)










«Dimitri Szarzeswki, face aux Tonga, la mêlée française sera toujours un atout ?
La mêlée française a des résultats : elle a été conquérante, la semaine dernière. Mais il faut toujours se remettre en questions. Et face aux Tonga, ce sera encore le cas. On va essayer de s’appuyer sur notre mêlée, car on connait l’importance de la conquête. Il y a la mêlée, mais aussi la touche et les turn-over. On peut faire la différence sur notre force collective. Parce que si chacun commence à vouloir se montrer, les Tongiens auront des atouts à faire valoir. C’est notre collectif qui les perturbera.

Comment vivez-vous le fait que les cartes soient rebattues au talonnage, avec Benjamin Kayser titulaire contre les All Blacks et vous, ensuite, face aux Tonga ?
J’essaye de bien le vivre, de ne pas me poser de questions. Je fais partie de l’équipe de France. On connait l’importance des 23 joueurs, de l’entrée des remplaçants en cours de match pour apporter de la plus-value. Mais bien sûr, ça fait plaisir de débuter une rencontre.

Philippe Saint-André a souligné l'impact de votre entrée face aux All Blacks comme remplaçant… Vous vous sentez dans la peau d’un numéro un au talonnage en équipe de France ou d’un numéro deux ?
A titre personnel, je préfère commencer un match. C’est plus facile de se motiver et d’entrer dans le vif du sujet. Mais remplaçant, je suis au service du collectif, de l’équipe. J’essaye d’apporter le maximum. Les remplaçants, samedi, feront exactement la même chose.

«Comme un avertissement»

Médard, Parra, Dusautoir, Papé, Mas et Szarzewski étaient du match perdu, 19-14, à Wellington, en 2011. Les Tonga, à Wellington, en 2011, c’est toujours un cauchemar dans votre esprit ?
Oui. On y pense. Tout le monde nous en parle. Mais on a su rebondir derrière ce match. Personne n’a oublié notre parcours en phase finale du Mondial 2011 (victoire contre l’Angleterre en quart de finale, contre le pays de Galles en demi-finale, et défaite, 7-8, face à la Nouvelle-Zélande en finale). Mais on sait aussi qu’avec ce genre d’équipe, les Tonga, composée des joueurs capables de faire la différence à n’importe quel moment, il faut s’engager, jouer à fond et les respecter.

C’est le passé, dites-vous, mais jeudi, le capitaine Thierry Dusautoir mais aussi Pascal Papé ont pris la parole devant le groupe pour évoquer une nouvelle fois ce match…
Oui, on en a parlé. Les plus anciens se doivent de mettre au courant les plus jeunes. Tout simplement. Comme un avertissement. Pour éviter les mauvaises surprises. C’est important que tout le monde sache à quoi s’attendre, samedi.

Vous fonctionnez donc sur le thème de la revanche ?
Non. On ne parle pas de revanche. Il n’y a que quelques joueurs (Médard, Parra, Dusautoir, Papé, Szarzewski) qui ont participé à ce match et qui seront sur le terrain, samedi. Ce n’est plus la même équipe de France. Donc on ne peut pas parler de revanche. Mais pas question pour autant d’oublier ce qui s’est passé la dernière fois.»
Propos recueillis par Richard ESCOT, à Marcoussis.

Article précédent
Guitoune : «Je suis un joker !»... Article suivant
Rui Patricio au rattrapage...

[Norton]

Foot Barrages GRE Un bon coup de vieux
Pour battre la Roumanie (20h45), en barrages de la Coupe du monde 2014, la Grèce va miser sur son point fort : l'expérience. Histoire de mettre, aussi, du baume au coeur à une nation endolorie.
Giorgos Karagounis et Kostas Katsouranis, les vieux briscards de la sélection héllène. (AFP)










Karagounis : 36 ans. Katsouranis : 34 ans. Gekas : 33 ans. Salpingidis : 32 ans. Quatre chiffres, comme un symbole de ce qui fait la force de cette Grèce, partie conquérir une troisième qualification pour la Coupe du monde en barrages contre la Roumanie. Pas la plus séduisante sur le papier, sans nom clinquant, la sélection de Fernando Santos marche à l’expérience. Celle, notamment, de son tandem aguerri Karagounis - Katsouranis, 236 sélections à eux deux, les rescapés de l’épopée victorieuse de l'Euro 2004, mais aussi celle de Fanis Gekas, l’attaquant de 33 ans aux 24 buts inscrits, absent des derniers matches de qualification mais rappelé pour «l’union sacrée» qu’exige un tel rendez-vous. «Nous avons beaucoup de joueurs d’expérience qui savent comment gagner ce premier match sans concéder un but», a avancé Santos, sans consentir à trop s’étendre sur des individualités en particulier.

«La motivation, pour mes joueurs comme moi-même, c'est la Grèce. Nous voulons rendre les Grecs heureux» (Fernando Santos) Des joueurs, notamment, qui ont connu un épisode similaire en 2010, cette fois face à l’Ukraine (0-0, 1-0) : «Le point positif, c’est que nous avons l’expérience de ce genre de matches, et je pense que si nous sommes sérieux et disciplinés, on obtiendra le résultat désiré vendredi pour aborder le match retour en confiance», a assuré Gekas en conférence de presse. Car pour le technicien portugais, il faut voir dans ce rendez-vous plus loin qu’un match de foot : «La motivation, pour mes joueurs comme moi-même, c’est la Grèce. Nous voulons rendre les Grecs heureux.» Comprendre redonner du baume à un pays qui vit sa sixième année de crise économique.




«Nous parlons d'un pays où le chômage s'élève à 30 %. Cela veut dire que la situation est difficile pour tout le monde, y compris pour pas mal de gens dans notre environnement. Nous connaissons beaucoup d'amis et de familles qui rencontrent des difficultés. À nous de qualifier le pays pour la Coupe du monde pour essayer d'atténuer, dans la mesure du possible, la douleur de notre peuple», explique le sélectionneur dans une interview accordée à la FIFA. Surtout que la sélection hellène a manqué de peu le vol direct pour Rio, terminant à égalité de points avec la Bosnie-Herzégovine lors de la phase de groupes. Huit victoires en dix matches lors des qualifications n'ont pas suffi. Huit victoires sans la manière. Et en Grèce, on signe encore sans hésiter pour deux de plus.
Rédaction

Article précédent
Prandelli veut associer Rossi et Balotelli... Article suivant
CR7 - Ibra, choc des titans...

[Norton]

Foot Barrages Portugal Rui Patricio au rattrapage
Auteur de deux erreurs grossières et très médiatisées en un mois, en sélection et en club, le gardien du Portugal Rui Patricio sait qu'il n'aura pas droit à l'erreur, vendredi (20h45), face à la Suède de Zlatan Ibrahimovic.
Rui Patricio bénéficie de la confiance totale de ses coéquipiers. (L'Equipe)













40
a+a-imprimerRSS



On a beaucoup parlé de Rui Patricio, ces derniers temps. Sûrement un peu trop, à son goût. On a aussi beaucoup vu ses dernières prestations sur les chaînes de télévision sportives, parfois même en boucle, jamais bon signe tout ça. Là encore, il n’a guère dû aimer. Logique, quand on est considéré comme un des meilleurs gardiens internationaux actuels. Depuis un certain 11 octobre dernier, et une boulette qui a permis à Israël d’arracher le nul in extremis (1-1) en éliminatoires de la Coupe du monde 2014, la cote du gardien du Sporting a quelque peu baissé. Et elle a continué de décliner ce week-end, après une nouvelle bévue qui a donné la victoire à Benfica lors du choc du week-end dernier en Coupe du Portugal (3-4, a.p.).

«Edwin van der Sar a lui aussi commis des boulettes, parfois pire que celles de Rui Patricio.» Nani Injuste, pour beaucoup. «Il fait une boulette sur ce match, mais ce qu’on oublie forcément, c’est que sur les 90 minutes, il en sauve plein, raconte le défenseur de Braga Vincent Sasso. Il reste le meilleur gardien du Championnat, décisif tous les week-ends. Cela me fait penser à Hugo Lloris en France : il lui arrive de commettre deux boulettes dans le même match, et on ne remet pas son statut en cause.» Son entraîneur au Sporting, Leonardo Jardim, a refusé de l’accabler. Idem en sélection, où Paulo Bento, qui l’a rapidement promu numéro 1 quand Eduardo traversait une période de doutes avec Benfica, continue de lui accorder sa pleine confiance. Et même son de cloche chez ses coéquipiers : «Il est titulaire depuis plusieurs années au Sporting, il en est capitaine et titulaire en sélection nationale, rappelle Nani. Il a l’expérience pour gérer cette situation. J’ai joué avec Edwin van der Sar qui est pour moi l’un des meilleurs au monde, et il a lui aussi commis des boulettes, parfois pire que celles de Rui Patricio. Il est important de garder notre calme et de savoir que notre gardien n°1 a la confiance de toute l’équipe.»




En conférence de presse d’avant-match, une ligue de défense de Rui Patricio s’est d’ailleurs montée : «Il a montré son talent à plusieurs occasions. Quand les gardiens commettent des erreurs, normalement, ça te coûte un but. Rui Patricio est un gardien de très haut niveau, je suis sûr qu’il va surmonter ça et qu’il sera notre gardien n°1 pendant de longues années», soutient Bruno Alves. S'il ne s'est pas exprimé sur cette mauvaise passe dans les médias, le gardien de la Selecçao sait qu'il dispose de la meilleure occasion possible pour se rattraper aux yeux des spectateurs portugais mais aussi des observateurs du monde entier. Vendredi soir, c’est Zlatan Ibrahimovic qui se présentera face à lui. Et même si Noël approche, le Suédois n’a jamais eu besoin qu’on lui fasse des cadeaux.

[Norton]

Rallye WRC GBR Bagarre à tous les étages
Sébastien Ogier et son coéquipier chez Volkswagen Jari-Matti Latvala se livrent un joli duel en cette deuxième journée du rallye de Grande-Bretagne, vendredi. Le Français reste toutefois en tête. Thierry Neuville souffre en troisième position et la lutte pour la quatrième place s'intensifie.
Sebastien Ogier continue de creuser l'écart en tête du rallye de Grande-Bretagne. (AFP)










ES8 : Sweet Lamb 2 (4,26 km)

Les écarts se sont un peu plus creusés dans cette courte ES8, dont le sccratch a été remporté par Sébastien Ogier devant Dani Sordo (+0"8) et Evgeni Novikov (+1"8). Au général, Jari-Matti Latvala possède 17"9 de retard sur Ogier, toujours leader, et Thierry Neuville se rapproche de la minute de retard sur le Français (+53"4). Derrière lui, Mads Ostberg (4e à 1'19"4), Novikov (5e à 1'23"5) et Andreas Mikkelsen (6e à 1'25"8) sont bien présents.

ES7 : Hafren 2 (32,14km)

A lire aussi

Les résultats








La lutte entre les deux Polo de Sébastien Ogier et Jari-Matti Latvala se poursuit ce vendredi après-midi au rallye de Grande-Bretagne. Le Français a signé le scratch de l'ES7, avec seulement 1"7 d'avance sur son coéquipier finlandais. Au classement général, ce dernier pointe toujours à la 2e place, à 15"2. Thierry Neuville ne s'en sort pas et a encore perdu 13"8. Le Belge reste pour l'instant 3e à 49"2 d'Ogier mais la menace Mads Ostberg se rapproche. Le Norvégien est 4e à 1'16".

ES6 : Myherin 1 (32,13km)




Les choses commencent à bouger dans ce rallye, même si Sébastien Ogier est toujours en tête du classement général. Jari-Matti Latvala a signé le scratch de l'ES6, 4"6 devant Ogier et 14"7 devant Mads Ostberg. Ce bon chrono combiné à la contre-performance de Thierry Neuville, qui a perdu 22"9, font remonter le Finlandais à la deuxième place du classement général provisoire. Les deux Polo Volkswagen sont désormais en tête, et la Ford Fiesta du Belge pointe désormais en 3e, à 35"4 du leader. Pour Citroën, en revanche, ça se gâte. Après la sortie de route de Robert Kubica, Mikko Hirvonen est parti lui aussi à la faute et n'a pas terminé la spéciale. Dani Sordo reste le dernier rescapé, à plus de six minutes du leader.

ES5 : Sweet Lamb 1 (4,26km)

Sébastien Ogier n'a pas réussi le scratch de l'ES5, vendredi matin, remporté par Dani Sordo (Citroën DS3) pour 1"2, mais le Français a tout de même accru son avance en tête du classement provisoire. Thierry Neuville a laissé filer 5"4 et Jari-Matti Latvala, toujours 3e, a perdu 2"1. Mikko Hirvonen (Citroën), Mads Ostberg et Andreas Mikkelsen suivent au classement.

ES4 : Hafren 1 (32,14km)

Sébastien Ogier (Polo VW) a commencé la deuxième journée comme il a terminé la première, à toute allure. Le Gapençais champion du monde a signé le scratch de la première spéciale de la journée, l'ES 4, avec 9"7 d'avance sur Thierry Neuville (Ford Fiesta) et son coéquipier Jari-Matti Latvala (+12"). Au classement général, l'ordre n'a pas changé. Ogier devance Neuville et Latvala de 12"9 et 17"2. La spéciale a été marquée par la sortie de route de Robert Kubica. La Citroën DS3 du Polonais s'est coincée dans un fossé et ne sera pas réparée pour reprendre le départ vendredi.
Article précédent
«Pas évident de rouler à bloc»... Article suivant
Prandelli veut associer Rossi et Balotelli...

[Norton]

Ski alpin CM Pinturault, le talent a mûri
Jusqu'à l'ouverture des prochains JO d'hiver, découvrez chaque semaine une chance de médaille française. A 22 ans, Alexis Pinturault s'affirme déjà comme le leader polyvalent de l'équipe de France de ski alpin. Ce week-end, il s'attaque au slalom, à Levi (Finlande).
Pinturault fera partie des outsiders en slalom cet hiver. (Archives Presse Sport)










1. Il est en pleine possession de ses moyens

Son surnom est la «bête » et ce n’est pas innocent : Alexis Pinturault est d’abord un monstre physique, accro à tous les sports. L’an dernier, il avait passé une bonne partie de l’été au repos forcé en raison d’une opération à la cheville (grosse entorse) et avait couru tout le début de l’hiver après sa forme. «Je n’avais pas eu le temps de travailler sur le matériel non plus et c’était un gros manque », reconnaît-il. Depuis ses vacances (forcément sportives) en mai, le Viking de Courchevel (sa mère est Norvégienne) s’en est donné à cœur joie en préparation physique et sur les ski : «Je suis où je voulais être», reconnaît-il, avec deux kilos de muscles supplémentaires. Résultat : première course de l’hiver à Sölden, premier podium

[Norton]

Gareth Bale se déguise pour la bonne cause

Football

—
L'international gallois du Real Madrid portait fièrement vendredi à l'entraînement une paire d'oreilles de lapin pour soutenir une œuvre de charité en faveur des enfants dans le besoin.
Par LeMatin.ch. Mis à jour il y a 7 minutes

• Imprimer

1/9 Gareth Bale à l'entraînement avec la sélection galloise au City Stadium de Cardiff, au Pays de Galles.

http://www.lematin.ch/sports/footbal...story/30387003