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Basket Euroligue (H) Strasbourg est relancé
Première victoire de la saison en Euroligue pour Strasbourg, qui a même laissé passer l'occasion de récupérer le point-average face à Bamberg (83-72). Ce succès au Rhénus permet à la SIG de reprendre confiance et de garder une chance d'aller au Top 16.
Romain Duport en défense sur Sharrod Ford sous les yeux de Ricardo Greer. (L'Equipe)









Aussi performant que soit Alexis Ajinça, aussi actif que puisse être Antoine Diot, et même avec toute la bonne volonté de leurs coéquipiers, Strasbourg ne pouvait rien espérer de bon sur la scène européenne sans un grand Ricardo Greer. Vendredi au Rhénus, le Dominicain a signé son meilleur match de la saison en Euroligue (21 points, 5 passes, 4 rebonds) et la SIG y a obtenu sa première victoire dans l'épreuve depuis le 21 décembre 2005 et un succès sur l'AEK Athènes (70-66). «Alexis, Antoine, tout le monde me disait "ce n'est pas toi, tu n'es pas assez agressif". Mais ici tout le monde m'a fait confiance. C'est pour ça que j'ai été agressif ce soir», a expliqué en français l'ancien MVP de la Pro A sur beIN Sport. Un homme seul ne fait pas le printemps mais Greer a été essentiel pour conclure le 14-0 qui a permis aux Alsaciens de faire l'écart (57-43, 28e) avec deux trois points et une passe décisive pour un alley-oop d'Ajinça.

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Film et stats du match




Le match précédent








Avec ces 14 points d'avance, la SIG avait remonté l'écart du match aller en Allemagne (84-70). Elle en a même compté 18 (77-59, 36e) et était alors totalement relancée dans la course au Top 16 puisque dans le même temps, le Zalgiris Kaunas, son autre adversaire direct pour la qualification au Top 16, que les Alsaciens recevront dans deux semaines, prenait le bouillon à Madrid (95-67). C'était un petit miracle car l'équipe de Vincent Collet restait sur sept défaites en huit matches et était la seule à ne pas avoir gagné avec cinq journées d'Euroligue. Mais c'était le fruit de la volonté et de la persévérance, deux valeurs essentielles dans un match qui n'a pas brillé pendant longtemps par sa qualité. Cependant, Strasbourg, où on a à peine remarqué l'absence de Kevin Murphy (gastro-entérite), n'a pas réussi à garder ce point-average jusqu'au bout et c'est une mauvaise affaire. Mais l'essentiel ce vendredi était sans doute de se relancer avant tout dans la tête. Et un match comme celui-là le permet.
X.C.

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Rugby Coupe d'Europe La LNR en mauvaise posture
Suite à la réunion de jeudi à Dublin qui a vu cinq fédérations, dont la France, s'accorder autour d'une Coupe d'Europe sous l'égide de l'ERC, la saison prochaine, la LNR n'a toujours pas accepté le deal fédéral. Ce qui ne va pas sans complications. Explications.
Entre Paul Goze, président de la LNR qui souhaite créer une compétition européenne sauvage, Mourad Boujellal, président de Toulon, qui ne veut pas suivre la LNR et Pierre Camou, président de la FFR, légaliste, les choses sont actuellement compliquées. (L'Equipe)









Alors qu’il clamait haut et fort que la Coupe d’Europe, version ERC, était morte et que les clubs français de Top 14 ne disputeraient plus ce qu’on appelle la H-Cup, le président de la LNR, Paul Goze, ne s’est toujours pas exprimé, depuis jeudi, sur ce dossier. En effet, à Dublin, cinq fédérations (France, Irlande, Galles, Ecosse, Italie) ont entériné la poursuite de la Coupe d’Europe et validé le fait qu’elle serait gérée, comme depuis 1996, par les fédérations et non les ligues professionnelles, ainsi que souhaité par les Anglais et les Français.

La Fédération anglaise, qui n’était pas conviée à cette réunion, est donc mise au pied du mur. Tout comme la LNR. Aux dirigeants anglais de convaincre les clubs de revenir dans le giron de l’ERC. Aux dirigeants français de la LNR, Paul Goze en tête, de présenter la liste des clubs qui disputeront la prochaine H Cup. Pour l’instant, c’est silence radio des deux côtés, preuve de trouble généré sur le front franco-anglais.

Et toujours pas de convention FFR-LNR

Le président Pierre Camou brandit la menace qui consiste à rattacher au 1er janvier 2014 la LNR aux commissions internes de la FFR. Les cinq fédérations se sont engagées à proposer vingt équipes pour la saison prochaine. En l’absence des Anglais, il n’y aurait donc qu’une seule compétition, la H Cup, et pas de Challenge européen. La part des Anglais, en termes de droits télé et revenus commerciaux centralisés, serait répartie entre ces cinq nations, ce qui, au cas où les clubs anglais souhaiteraient revenir sur leur décision, met de toute façon hors-jeu le contrat télé signé par la ligue pro anglaise avec BT, son nouveau diffuseur.

Pis, si la LNR ne souhaite pas faire participer ses clubs à la H-Cup, et en l’absence fin décembre de convention signée concernant la mise à disposition des internationaux pour l’équipe de France, la FFR pourrait demander au Ministère de Sports, qui administre la pratique du rugby en France, de dissoudre la LNR et de l’intégrer aux commissions internes de la FFR. Pierre Camou, président de la FFR, n’exclut pas cette possibilité, ainsi qu’il l’aurait évoqué, vendredi, au cours d’un entretien avec les dirigeants de la ligue pro française.
Richard ESCOT

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Deux hommes en tête...

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Rugby Décryptage«Les Springboks initient le combat»
Didier Retière, ancien entraineur national en charge des avants (2008-2011), décrypte le jeu des adversaires du quinze de France. Aujourd'hui : l'Afrique du sud.
Ballon porté des Springboks maîtrisé par le troisième-ligne aile François Louw (1,90m, 114kg). (L'Equipe)









ENGAGEMENT TOTAL

«Les Springboks n’ont pas réellement changé leur recettes. Face à eux, c’est toujours un combat terrible, intense, provoqué par des joueurs surpuissants. Leurs impacts sont l’égal de ceux générés par les guerriers du Pacifique, Samoans ou Tongiens. Ce sont des joueurs sans pitié, qui s’engagent pour faire mal.

PERCUSSION A DEUX

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Tactiquement, les avants sont conditionnés pour pénétrer le milieu du terrain, qui se situe dans la portion comprise entre l’ouvreur et le deuxième cent. Ils fonctionnent en duo : un partenaire propulse le porteur du ballon vers le défenseur en le poussant. Avancer à deux, ça leur permet de dominer sur l’impact et de rucker immédiatement, puisqu’ils ont le soutien juste derrière.

PEU DE PASSES

A la différence des All Blacks, les Springboks ne font pas de off-load, c’est-à-dire de passes dans la défense. On ne voit pas de joueur lancé prêt à recevoir la balle d’un partenaire bloqué par la défense. Les Boks s’engagent très fort, comme on vient de le dire, en allant chercher le contact. Ils n’ont pas la volonté de prolonger immédiatement le jeu autour du porteur de balle.

COURSES RENTRANTES

«Derrière, il leur faut peu d'espace pour bonifier un ballon» Derrière, du côté de trois-quarts, je n’ai rien vu de complexe dans le jeu des Springboks. Les ailiers et l’arrière utilisent beaucoup de courses rentrantes. Mais ce qui intéressant, chez eux, c’est la vitesse pure de ces trois joueurs-là. Il leur faut peu d’espace pour bonifier un ballon.

IMPACT EN MELEE

Bien évidemment, tout le monde l’a vu face à l’Ecosse, samedi dernier, ils sont excellents sur les ballons portés. Mais ce qu’il faut surtout souligner, c’est l’impact qu’ils mettent en mêlée, même si la règle ne l’autorise plus. Leurs piliers sont grands. Alors comme ils ont besoin de s’allonger pour prendre leur position de poussée, ils impactent. Comme dans les sports de combat, comme le judo, ils veulent prendre l’initiative du combat.»
Propos recueillis par Richard ESCOT

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Les sportifs en aide aux Philippines...

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Biathlon JO M. Fourcade, la suite logique
Jusqu'à l'ouverture des prochains JO d'hiver, découvrez chaque semaine une chance de médaille française. Patron du biathlon mondial à 25 ans, Martin Fourcade espère être couronné d'or à Sotchi. Dans les jours à venir, il débute sa saison à Östersund, en Suède.
Martin Fourcade a remporté les deux derniers gros globes en Coupe du monde. (L'Equipe)









Lui aussi aurait pu prétendre à être porte-drapeau de l’équipe de France à Sotchi… Car si c’est le palmarès qui compte, Martin Fourcade (25 ans) n’a pas grand-chose à envier à Jason Lamy Chappuis, finalement désigné par le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Ce qui a manqué au patron des deux dernières Coupes du monde de biathlon ? Une première médaille d’or aux JO peut-être. "Seulement" deuxième de la mass-start à Vancouver en 2010, le leader des Bleus n’a pas encore connu son heure de gloire et toute la reconnaissance qui va avec, au-delà du cadre même de son sport. Mais c’est justement pour ça qu’il compte bien enfin atteindre «son objectif principal» en Russie. «C’est clair que j’y vais pour ramener un titre olympique, de la même façon que j’étais allé à Nove Mesto l’an dernier» lors des championnats du monde, dit-il sans se cacher. Et le plus tôt sera le mieux. Pourquoi pas dès le premier jour en sprint, au lendemain de la cérémonie d’ouverture ? Voilà sûrement aussi l’autre raison qui a poussé le CNOSF à ne pas le choisir.

«Arriver à Sotchi en étant sûr de mes forces»

Ambitieux et déterminé, le n°1 tricolore pense avoir mis toutes les chances de son côté cette année pour monter cette fois sur aucune autre marche que la première du podium. Après une saison précédente «très satisfaisante, (sa) meilleure», selon lui, Fourcade a néanmoins encore quelques étapes à franchir avant de se projeter véritablement dans le vif du sujet. «Je ne me vois pas arriver à Sotchi sans avoir gagné de Coupe du monde avant, avec un maximum de confiance, explique-t-il. Je veux y arriver en étant sûr de mes forces, en étant persuadé que je peux gagner ce titre olympique et pour ça, la Coupe du monde fait partie de ma préparation.» Fort d’une «bonne expérience» en ski de fond l’hiver dernier, sa spécialité, celui qui est aujourd’hui considéré comme l’un des plus rapides du circuit en glisse a aussi pris le temps de progresser au tir. «J’ai beaucoup bossé, affirme-t-il, surtout en vitesse couchée, qui était mon point faible. Ça a été un gros chantier, mais ça me permet de gagner cinq secondes par course, ce qui n’est pas négligeable. Je sais qu’en travaillant je peux encore m’améliorer.»



«J'ai ma chance partout.» La prochaine étape de son ascension, la consécration, Fourcade en parle comme si c’était une évidence, une suite logique. «L’an dernier, je gagne les trois individuels et les cinq globes. Cela veut dire que finalement j’aurai peut-être la chance de gagner une médaille dans toutes les disciplines. J’ai ma chance partout», annonce-t-il, avant néanmoins de reconnaître que «sur l’histoire, c’est la poursuite qui (lui) réussit le mieux». Mais après sa préparation estivale pourtant très studieuse, conclue par un accroc le week-end dernier en Norvège, le licencié au club de Font-Romeu sait aussi parfaitement qu’une issue moins réjouissante n’est pas à exclure. «On est à peu près une quinzaine à pouvoir gagner le titre sans surprise, dans des conditions normales où tout se déroule comme prévu», estime-t-il, sans prendre la peine de citer le Norvégien Emil Svendsen, celui qui l’a collé de plus près ces deux dernières saisons.

Pour éviter d’être déçu dans deux mois et demi, Fourcade sait ce qui lui reste à faire : «La bonne attitude pour ne pas passer au travers, ce sera d’aller aux JO tout en connaissant l’enjeu qu’il y a derrière et en ayant le sourire. C’est avant tout ça, être heureux d’être là et bien dans mon corps. Si j’arrive à Sotchi dans cet état d’esprit, je serai dans de bonnes conditions pour réaliser quelque chose de bien et je crois qu’on ne sera pas loin du compte au niveau du résultat.» C'est tout ce qui lui importe à l'arrivée. Gagner.

[Norton]

Lindsey Vonn au départ à Lake Louise?

23.11.2013
Lindsey Vonn espère voir le bout du tunnel sous peu... [Mike Blake - Reuters]


A nouveau blessée à son genou droit, Lindsey Vonn ne s'imagine pas manquer les épreuves de Lake Louise, là où elle est quasiment intouchable (14 succès). L'Américaine fera tout pour être au départ.
Lindsey Vonn (29 ans), qui souffre d'une déchirure partielle d'un ligament croisé du genou droit après une chute à l'entraînement mardi à Copper Mountain, envisage tout de même de retrouver très rapidement la compétition. L'Américaine espère même être au départ des épreuves de Lake Louise, au début du mois de décembre (6-8).
"La convalescence se déroule bien. Je travaille aussi dur que possible pour être présente à Lake Louise", a indiqué la championne aux 4 Grands Globes sur son compte Facebook.
Lake Louise, sa station fétiche

"Son genou est plutôt stable, et elle fait de gros progrès en thérapie", a expliqué Bill Sterett, responsable médical de l'équipe féminine américaine. "Elle ne semble pas avoir perdu de force dans ce genou".
Lindsey Vonn a déjà gagné 14 courses à Lake Louise. Avec 59 succès en Coupe du monde, elle n'est qu'à 3 longueurs du record d'Annemarie Moser-Pröll/AUT.
si/dbu

[Norton]

Vettel encore et toujours devant les autres

23.11.2013 18:52 mise à jour à 19:39
Vettel compte bien faire respecter la hiérarchie jusqu'à la fin de l'ultime Grand Prix de la saison. [Felipe Dana - Keystone]

Pilotes Ecuries Temps
1 Vettel RED BULL

2 Rosberg MERCEDES

3 Alonso FERRARI

4 Webber RED BULL




Disputées sous la pluie, les qualifications du Grand Prix du Brésil ont vu Sebastian Vettel décrocher la pole position, devançant Nico Rosberg et Fernando Alonso. Les Sauber ont elles été plus en retrait.
Rien n'arrête Sebastian Vettel. Pas même la pluie, qui a pourtant fortement perturbé les qualifications du GP du Brésil de Formule 1. Déjà assuré d'un quatrième titre mondial consécutif, l'Allemand a décroché la 45e pole position de sa carrière à Interlagos, la 9e cette saison.
Une séance retardée

A cause de l'eau abondante sur la piste, la dernière partie de la séance a été retardée de 40 minutes. Vettel a pourtant survolé les débats sur une piste détrempée. Il a devancé de plus de six dixièmes de seconde son dauphin et compatriote Nico Rosberg. Troisième, Fernando Alonso pointe déjà à plus d'une seconde...
Mark Webber, qui quittera la F1 dimanche à l'issue de ce 19e et dernier GP de la saison, complète la deuxième ligne de la grille de départ. Auteur du meilleur chrono en Q2, le Genevois à licence française Romain Grosjean a quant à lui réussi le 6e temps de l'ultime partie des qualifications.
Les Sauber plus loin

Les monoplaces de l'écurie Sauber-Ferrari ne se sont guère illustrées. Présent en Q3, Nico Hülkenberg n'a pas pu éviter la dernière place (10e). Son coéquipier mexicain Esteban Gutiérrez a fini plus en retrait (18e).
si/bond

[Norton]

"L'effet Simone" se fait attendre du côté de Lausanne

23.11.2013 21:39 mise à jour à 21:58
11e minute, Zarate ouvre le score pour YB. Un but concédé trop rapidement par Lausanne. [Urs Flueeler - Keystone]

Young Boys
3 - 2
Lausanne-Sport



Lausanne s'enfonce tant et plus au classement en Super League. A Berne, les Vaudois ont subi la loi de YB (3-2), sans toutefois démériter. Toujours est-il que les hommes de Simone stagnent très dangereusement au classement. A domicile, le leader Bâle a déclassé Thoune (4-1).
Supérieurs dans le jeu, les Vaudois ont été trahis par des bourdes défensives qui ont sans doute laissé Marco Simone bien perplexes. Pour un Streller a bénéficié d'un effet suspensif accordé par la Ligue pour jouer contre Thoune. [Keystone] homme qui a grandi dans le Calcio et qui a connu le rigorisme de la Ligue 1, comprendre un tel laxisme est bien difficile. Les buts de Coly pour le 2-1 et de Tafer pour le 3-2 ont entretenu l'espoir dans le camp du LS.
Les Lausannois peuvent vraiment nourrir une montagne de regrets. Deux frappes superbes de Zambrella auraient pu, auraient dû, les replacer à la hauteur des Young Boys. Seulement, cette réussite sans laquelle le maintien sera vraiment impossible ne les accompagne pas encore.
Bâle se rassure avant de recevoir Chelsea

Privés de Sommer malade, les Rhénans ont attendu d'être menés au score pour sortir le grand jeu et renverser la situation en marquant quatre buts magnifiques par Stocker, Voser, Sreller et Andrist. Quatre buts pour croire que tout sera possible mardi contre Chelsea.

[Norton]

Bienne domine des Genevois trop indisciplinés

23.11.2013 19:03 mise à jour à 22:24
Marti chute devant Füglister. [Peter Klaunzer - Keystone]


Après Berne, Bienne a dominé Genève (4-2), qui a payé au prix fort les pénalités qu'il a concédées. Lausanne, a, lui, poursuivi sur sa mauvaise lancée (4-1) en Léventine face à un Ambri qui peine pourtant à obtenir des résultats probants depuis quelques matches.
Les Genevois avaient pourtant bien commencé décrochant l'ouverture du score par Hollenstein à 24'' de la première sirène. Mais la deuxième période voyait les Seelandais retourner le score. A la 23e, Spylo égalisait à 5 contre 4. Puis Wieser donnait l'avantage à Bienne à la 32e.
A la 47e, Romy parvenait tout de même à remettre les équipes à égalité. Mais sur l'engagement qui suivait, Rivera écopait d'une pénalité. Une sanction qui passait mal auprès de Chris McSorley, qui recommençait ses "scènes de ménage" avec l'arbitre Kurmann. Résultat: pénalité de banc et 2' à 3 contre 5 qui bénéficiait à Bienne pour mener 3-2 par Wieser.
Bianchi ouvre le score, pour la plus grande joie de ses coéquipiers. [Karl Mathis - Keystone] Lausanne file du mauvais coton

Avec Philippe Seydoux, qui disputait son premier match de la saison après une commotion cérébrale, le LHC a cédé dès la 12e sur un but d'Elias Bianchi.
Genazzi se trouait ensuite et servait directement Park qui ne manquait son duel avec Huet. Puis, s'en suivit un incroyable imbroglio qui dura plus d'un quart d'heure. Un problème d'horloge poussait les arbitres Koch et Stricker à annuler la réussite du Romand d'Ambri. Le temps d'engager et Lausanne... réduisait le score par Neuenschwander. Ce but poussait les deux équipes à déposer protêt.
Lausanne n'a pas su profiter du doute instillé dans les esprits des joueurs tessinois. Ceux-ci n'affichaient plus la même superbe qu'au premier tiers-temps. Mais ils ont su faire la différence au cours de la dernière période. Miéville et Steiner assurant la victoire des leurs.
si/bond

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Fribourg domine des Bernois toujours plus malades

23.11.2013 21:48 mise à jour à 22:29
Sprunger & Cie ont su réagir après leur suprenante défaite de la veille. [Peter Schneider - Keystone]


Battu à Genève la veille après un scénario incroyable, Fribourg s'est repris en dominant chez lui (2-1) l'équipe mal en point du moment, le CP Berne. Cette fois-ci, les Dragons ont su maintenir l'avance de deux longueurs qu'ils se sont procurée au tableau d'affichage.
Benny Plüss, très malheureux contre Genève-Servette, a ouvert la marque en supériorité numérique sur une passe de Bykov (17e). Le même Bykov se montrait très habile en infériorité numérique au début de la deuxième période pour aller tromper Bührer entre les jambières.
Mais moins de deux minutes plus tard, le Fribourgeois Scherwey se rappelait au bon souvenir de son canton en fusillant Conz dans la lucarne à 5 Geyer, Aebischer et Gmür ont cueilli trois points bienvenus. [Keystone] contre 4. Les joueurs de la capitale, dirigés par l'ex-assistant de Törmänen, Lars Leuenberger, ont concédé leur quatrième défaite consécutive. Ils sont toujours collés sous la barre.
La lanterne rouge surprend Kloten

Les Flyers ont réalisé une très mauvaise opération dans l'optique d'une place dans les quatre premiers en s'inclinant 1-2 à domicile contre Rapperswil-Jona. Les Saint-Gallois se sont imposés grâce à deux buts du Champion du monde suédois Danielsson.
Un doublé du médaillé d'argent du Championnat du monde, Morris Trachsler a permis aux Zurich Lions de prendre leur revanche 2-1 sur Davos, qui les avait battus mardi sur le même score.

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Messi sur le départ?

FOOTBALL

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Selon l'agent de joueur FIFA François Gallardo, l'Argentin serait en désaccord avec le FC Barcelone et quitterait le club au terme de la saison.
Mis à jour à 19h43 6 Commentaires

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La nouvelle fait le buzz sur Internet. Lionel Messi serait prêt à quitter le FC Barcelone l’été prochain. C’est ce qu’aurait révélé Francois Gallardo, agent de joueurs FIFA, lors d’une célèbre émission de la télévision espagnole appelée «Punto Pelota».
D’après Gallardo, il y aurait un désaccord entre le prodige argentin et le club catalan à propos d’une modification de son contrat qui court en principe jusqu’en 2018. Le Barça serait revenu sur ses promesses d’augmentation de salaire. Gallardo va jusqu’à affirmer que Messi aurait déjà un accord tacite avec un autre club et qu’il commencera à préparer son transfert en férvrier-mars.