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Foot Italie 13e j. La Roma n'y arrive plus
L'AS Roma a concédé son troisième nul d'affilée lundi soir face à Cagliari (0-0). Principale conséquence : la formation de Rudi Garcia abandonne les commandes de la Serie A à la Juventus, pour la première fois de la saison.
Malgré plusieurs situations chaudes, l'AS Roma de Gervinho a été tenue en échec par Cagliari. (Reuters)









Du côté de Rome cette saison, une série succède à l’autre. Et à choisir, on parie que Rudi Garcia préférait la précédente à celle dans laquelle sont actuellement empêtrés les Giallorossi. Après avoir enchaîné dix succès en autant de journées, ses joueurs ont été tenus en échec lors de leurs trois dernières sorties, dont la dernière lundi soir face à Cagliari (0-0). Bien que toujours invaincue en Serie A, l’AS Roma abandonne du même coup la tête du Championnat à la Juventus, pointée une longueur devant.

Gervinho a touché le poteau d'Avramov. Cette nouvelle contre-performance s’inscrit dans la lignée de la précédente. Face à Sassuolo (1-1) lors de la journée précédente, la Louve s’était fait reprendre dans le temps additionnel faute d’avoir su se montrer réaliste. Lundi soir, cette lacune a de nouveau constitué un frein à ses ambitions malgré une domination incontestable. A sa décharge, elle a dû composer avec Vlada Avramov, le portier de Cagliari, décisif à deux reprises devant Strootman (39e) et Burdisso (90e+2). Elle a également manqué de réussite, à l’image d’une tête de Gervinho sur le poteau (38e).

Dans son malheur, la formation de Rudi Garcia a au moins eu la bonne idée de ne pas perdre un match qu’elle n’a pas su gagner. Ce scénario catastrophe aurait pu prendre forme à la 54e minute lorsque Sau a trompé De Sanctis de la tête, mais le but de l’attaquant international italien a été refusé – à raison – pour une position de hors-jeu. Délogée de son fauteuil de leader pour la première fois de la saison, la Roma a tout intérêt à se reprendre dimanche sur la pelouse de Bergame. Lors des quatre journées suivantes, elle devra notamment se coltiner la Fiorentina, l’AC Milan, mais surtout… la Juventus.
E. T.

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WBA - Aston Villa : 2-2...


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AS Roma (ITA)
Cagliari (ITA)



25/11 : AS Roma 0-0 Cagliari 01/12 : Atalanta Bergame - AS Roma 08/12 : AS Roma - Fiorentina 25/11 : AS Roma 0-0 Cagliari 01/12 : Cagliari - Sassuolo 08/12 : Cagliari - Genoa Voir le calendrier Voir le classement

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Foot FIFA Ballon d'Or Ribéry a fait «tout ce qu'il fallait» pour le Ballon d'Or
Dans un entretien accordé au Monde, Franck Ribéry a estimé avoir fait «tout ce qu'il fallait» pour remporter le Ballon d'Or face à Cristiano Ronaldo.
«Je n'ai aucune crainte, je suis confiant», a déclaré Ribéry









Si la prolongation des votes - jusqu'au 29 novembre et prenant donc en compte les performances de Cristiano Ronaldo face à la Suède - semble le défavoriser, Franck Ribéry n'en démord pas : le Ballon d'Or est taillé pour lui cette année. «Ce qui était important pour moi, pour la continuité, pour gagner ce Ballon d'or, c'était de me qualifier avec l'équipe de France, a lancé Ribéry lundi dans une interview accordée au Monde. Jusqu'à maintenant, je n'ai pas connu d'échec. J'ai été performant toute l'année en sélection et en club, j'ai été constant. Après mon trophée de meilleur joueur d'Europe, j'ai confirmé. Ce qu'on a fait l'année dernière avec le Bayern, c'est historique».

«Si on regarde mes performances sur toute l'année, j'ai fait la différence» «Certes, Cristiano Ronaldo marque des buts, mais moi aussi, continue Ribéry qui estime simplement avoir un profil de jeu différent de celui du Portugais. Si on regarde mes performances sur toute l'année, j'ai fait la différence. Peut-être que je ne marque pas toujours, mais je mets le feu dans la défense. Face à l'Ukraine, j'ai fait expulser trois joueurs en deux matchs, et je suis sur deux des trois buts au Stade de France. Ce sont peut-être des détails auxquels on fait moins attention. Mais je n'ai aucune crainte, je suis confiant. J'ai fait tout ce qu'il fallait. Maintenant il y a un vote, attendons le résultat».




Interrogé également sur la qualification des Bleus pour le Mondial 2014, après un match retour renversant au Stade de France mardi (3-0), Ribéry s'est surtout attardé sur le public, qu'il a senti «chaud» dès le début. «On a senti une communion, je ne sais pas comment expliquer ça, mais c'était extraordinaire, s'est-il enthousiasmé. On ne peut pas toujours être parfaits, mais on essaie toujours de faire en sorte que ça marche, de donner du plaisir aux supporters. Ce match, c'est un exemple énorme. Tu imagines, si on était entrés sur le terrain et que les supporteurs avaient commencé à siffler ? Même eux y ont cru, et, dès les dix premières minutes, on a vu qu'on pouvait marquer (...) Ce moment-là, on l'a tellement attendu. On a montré que, quand tout le monde voulait obtenir quelque chose, quand on jouait tous ensemble, relâchés, sans avoir peur, on pouvait réussir, parce qu'on a des bons joueurs, on a une belle équipe. Je pense que cette victoire va donner de la force à toute l'équipe.»
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NBA 2K14 : un trailer bluffant pour la sortie

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Rugby Top 14 Dulin : «La pression, très vite»
Face à Bayonne, le jeune arrière du XV de France, Brice Dulin, 23 ans, retrouvera le Top 14 dès samedi (18h30). Il raconte comment on passe de Marcoussis à Castres sans sas de décompression.
L'arrière du quinze de France et de Castres, Brice Dulin, à l'attaque. (L'Equipe)









«Brice Dulin, à l’issue des tests de novembre, vous assurez que le groupe France travaille bien. Alors justement, comment travaillez-vous en équipe de France ?
Derrière, on travaille le jeu en surnombre et l’adaptation en situation qu’on répète à chaque rassemblement pour apprendre à nous connaître. Il y a ensuite des situations plus poussées, par rapport aux défenses adverses, très difficiles à contrer. C’est un travail spécifique. On entre dans le détail des timings, des placements, des courses. Quand tu viens de club, ce ne sont pas les mêmes repères.

Quel est l’impact de la technologie en équipe de France ?
On travaille en match avec le GPS sur les courses. Je sais par exemple que j’ai couvert 6,6 kms face à l’Afrique du sud. Mais le plus intéressant, c’est l’aspect qualitatif, la répétition des courses rapides. Ça me permet de savoir où est mon seuil et ensuite de travailler pour le dépasser. On utilise beaucoup la vidéo mais pas davantage qu’en club. Je sais, par exemple, comment dans son jeu au pied Dan Carter, anticipe le mouvement adverse. On a réussi à le contrer au Stade de France alors qu’en juin, à New Plymouth, il m’avait baladé. Il y a eu un gros boulot du staff en amont sur ce genre de détails.

Plus à l'aise à l'arrière qu'à l'aile...

«Ça fait quatre semaines que je ne me suis pas entraîné avec mes coéquipiers de club.» Comment va s’effectuer votre retour en club ?
Lundi, il y a récupération mais avec une séance vidéo. Je vais avoir dix jours de vacances dans deux semaines, donc je vais me remettre vite dans le Championnat. Tous les points valent cher. On reçoit Bayonne à domicile (samedi, 18h30). Pas question d’arriver en dilettante car la pression va être tout de suite là. Il faut vite se replonger dans un système de jeu qui n’est pas celui de l’équipe de France, retrouver rapidement les repères avec les coéquipiers, car ça fait quatre semaines que je ne me suis pas entraîné avec eux.

C’est une grosse rupture ?
Oui mais je la ressens surtout dans l’autre sens, quand il faut passer du club à l’équipe de France. Je ne suis pas habitué. Je n’ai pas beaucoup d’expérience internationale (10 sél. depuis 2012). Là, ça va mieux, mais lors de la tournée de l’année dernière, en Argentine, j’étais anxieux. J’avais peur d’arriver en retard, de ne pas avoir la bonne tenue, de faire les trucs à l’envers.

Ça va être difficile de retrouver votre place à l’arrière. En votre absence, le jeune Palis a fait carton plein, vingt sur vingt, face à Montpellier…
Geoffrey débarque d’Albi et j’avais senti qu’il jouait avec nous en mettant le frein à main. Là, il s’est enfin lâché. Il a largement le niveau : il bute, relance, défend fort et va vite. La concurrence est saine. D’autant qu’il y a Romain Teulet qui revient de blessure. Nous allons être trois sur le poste. Chacun de nous est capable de sortir un gros match et c’est bien pour le club. On a joué une fois ensemble, cette saison, Geoffrey et moi. Il jouait à l’aile (contre Biarritz, le 26 octobre). J’espère que les coaches auront envie de leur revoir à l’aile plutôt qu’à l’arrière (rires). Parce que moi, à l’aile, je n’y suis pas très à l’aise…»
Propos recueillis par Richard ESCOT

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Piszczek sera sur le banc...


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Castres (FRA)



Brice Dulin
Poste: Arrière
Club: Castres



30/11 : Castres - Bayonne 06/12 : Castres - Ospreys 13/12 : Ospreys - Castres Calendrier Top 14 Classement Top 14

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Foot Taxe à 75% Le Sénat rejette la taxe à 75%
Noel le Graet et Jean-Michel Aulas à l'Élysée, le 31 octobre dernier (AFP)









Le Sénat a rejeté lundi la création de la taxe à 75%, la taxe exceptionnelle sur les hautes rémunérations qui a provoqué une vive polémique dans le monde du football. Le PS et les radicaux de gauche ont voté pour, l'UMP et les centristes ont voté contre, tandis que les communistes se sont abstenus. Si le texte de cette initiative gouvernementale doit encore être étudié par l'Assemblée, le vice-président UMP du Sénat, Jean-Claude Carle, s'est déjà félicité de cette première décision, estimant que ce rejet est «une bonne nouvelle pour les entreprises et les clubs de foot professionnels».

Les sénateurs veulent inclure l'AS Monaco

Avant de rejeter la taxe, les sénateurs ont proposé de l'assujettir aux clubs étrangers affiliés à une fédération française et participant à un championnat français. En d'autres termes, ils souhaitent que l'AS Monaco paie la taxe à 75% au même titre que les autres clubs de Ligue 1. Cet amendement, adopté, est tombé automatiquement du fait de la suppression de l'article.




François Marc, rapporteur général (PS), a expliqué qu'il s'agissait de «rétablir l'équité sportive entre les clubs de football français, d'une part, et l'AS Monaco, d'autre part, qui, tout en étant affiliée à la fédération française et participant aux championnats organisés par elle, n'est pas établie en France». Cet avis n'a pas fait l'unanimité au sein même de la majorité, Benoît Hamon estimant que «le principe de la taxe est de s'appliquer à toutes les structures qui existent en France, et mettre en place une disposition spécifique pour un seul club semble compliqué.»
Avec AFP

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Le top 5 arrêts...

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Berne s'adjuge le derby dans le Seeland

28.11.2013 22:03 mise à jour à 22:18
Le CP Berne n'avait plus gagné deux matches de suite depuis quelques temps. [Peter Klaunzer - Keystone]


Après Kloten, le CP Berne a remporté un second succès en déplacement, cette fois-si sur la glace du rival cantonal Bienne (1-3). L'électrochoc espéré après le licenciement de Törmänen semble s'opérer. Zoug, autre équipe à la peine en ce moment, s'est imposé face à Davos (3-2).
Pour la troisième fois de la saison seulement, les Ours ont remporté deux parties d'affilée. Mais le succès bernois n'est pas forcément mérité.
Holden parvient à tromper le portier Noronen. [Keystone] Indisciplinés, les hommes de Lars Leuenberger se sont souvent retrouvés en infériorité numérique. C'est même lors d'une punition infligée à Jobin que Tristan Scherwey a pu marquer le 1-2 qui sera au final le but décisif. Le top scorer Byron Ritchie s'est fait l'auteur des deux autres réussites bernoises. Côté seelandais, la pilule est dure à avaler, ce d'autant que les Biennois ont dominé la rencontre. Les Ours repassent quant à eux sur la barre avec deux points d'avance sur Lausanne et Zoug.
Davos enchaîne les défaites

Une équipe zougoise en nette reprise qui a vaincu Davos à la Bossard Arena. Les joueurs de Suisse centrale signent leur troisième succès de rang, pendant que les Grisons encaissent leur quatrième revers de rang. Le but de la victoire est tombé à la 49e minute de la crosse d'un ancien Davosien, le défenseur Santeri Alatalo.
si/bond

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La Norvège trop forte pour les Helvètes

28.11.2013 22:41 mise à jour à 22:47
Sven Michel et ses coéquipiers auront droit à une seconde chance, contre le Danemark. [Jonathan Hayward - Keystone]


L'équipe de Suisse masculine n'a pas eu son mot à dire face à la Norvège, en playoff des championnats d'Europe de Stavanger. Sven Michel et ses partenaires se sont nettement inclinés 7-4 contre la formation du skip Thomas Ulsrud, qualifiée ainsi pour la finale.
Une finale que le CC Adelboden peut encore atteindre, en cas de succès vendredi contre le Danemark.
Les Suisses un cran en-dessous

Déjà battue 8-6 lors de la 5e session du round robin par les Norvégiens, la Suisse n'a jamais eu la maîtrise de la situation et a payé cher son surplus d'agressivité dans le deuxième end.
Le vice-champion olympique en titre et double champion d'Europe Thomas Ulsrud a dicté les débats sans discontinuer, s'appuyant sur une équipe solide présentant presque à chaque poste des statistiques de réussite plus élevées, surtout dans l'exercice du take-out.
Savoir gérer la pression

L'aventure ne s'arrête toutefois pas là pour Sven Michel, Simon Gempeler, le Genevois Benoît Schwarz et Claudio Pätz, lesquels disputent leurs premiers playoff dans un grand rendez-vous international et qui ont eu bien du mal à masquer une certaine nervosité. Leurs adversaires vendredi, les Danois de Rasmus Stjerne, ne constituent en aucun cas un obstacle insurmontable. La Suisse s'était en effet imposée 5-4 lors du round robin.
si/bond

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Le FC Thoune battu et éliminé

28.11.2013 20:49 mise à jour à 21:07
Zuffi et les Bernois ne seront plus européens au printemps prochain. [Hans Punz - Keystone]

Rapid Vienne
2 - 1
FC Thoune



Forcé de gagner pour espérer continuer sa route en Europa League, le FC Thoune a été battu par le Rapid Vienne en Autriche (2-1). Les Bernois quittent donc la compétition, tout comme Saint-Gall un peu plus tôt dans la soirée.
Une malencontreuse erreur de Faivre a permis l'ouverture du score de Boyd pour les Autrichiens à la 17e. Les protégés d'Urs Fischer parvenaient à égaliser à la 61e par Sadik, entré en jeu depuis deux minutes seulement. Mais l'espoir ne durait guère, puisque Boskovic redonnait un avantage décisif au Rapid à la 64e.
Le rapid Vienne était supérieur

Les Bernois n'ont pourtant pas sombré dans le stade qui avait accueilli la finale de l'Euro 2008. Ils ont même bénéficié de la première occasion nette par Marco Schneuwly (10e), mais ensuite les Autrichiens ont exercé une certaine domination. Sulmoni évitait le 2-0 en sauvant sur la ligne sur un tir de Dibon (53e).
Sachant que seule la victoire comptait, Urs Fischer prenait tous les risques à l'heure de jeu, en passant à un système à trois attaquants. L'égalisation de Sadik lui donnait raison, mais de manière très brève puisque les Viennois réagissaient dans la foulée, profitant d'un certain manque d'engagement dans le secteur défensif suisse.
A lire aussi sur ce sujet: Saint-Gall sombre corps et âme à Krasnodar

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Lara Gut se place en favorite en vue de la descente

28.11.2013 20:04 mise à jour à 20:46
Dans l'ensemble, Lara Gut a survolé les séances d'entraînement à Beaver Creek. [Charles Krupa - Keystone]


Lara Gut s'est à nouveau illustrée lors du troisième et dernier entraînement en vue de la descente de Beaver Creek vendredi soir. La Tessinoise a avalé la piste "Raptor" en 1'40''76, reléguant la Liechtensteinoise Tina Weirather à 1''18 et la Slovène Ilka Stuhec à 1''68.
La skieuse de Comano s'est muée en avion de chasse après 35 secondes de course pour creuser un écart substantiel sur le reste de la meute. Vainqueur du premier test puis troisième du second galop d'essai, la Tessinoise de 22 ans sera logiquement la grandissime favorite de la course.
Les autres Suissesses sont toutes à plus de 2''30 de Lara Gut. Dominique Gisin s'est classé 10e à 2''36 et demeure la seule représentante helvétique dans le top 15 avec la Tessinoise. Fabienne Suter a pris la 20e place à 2''89, Nadja Jnglin-Kamer la 21e à 2''93 et Fränzi Aufdenblatten la 22e à 3''27.
si/bond

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Berne s'adjuge le derby dans le Seeland

28.11.2013 22:03 mise à jour à 22:18
Le CP Berne n'avait plus gagné deux matches de suite depuis quelques temps. [Peter Klaunzer - Keystone]


Après Kloten, le CP Berne a remporté un second succès en déplacement, cette fois-si sur la glace du rival cantonal Bienne (1-3). L'électrochoc espéré après le licenciement de Törmänen semble s'opérer. Zoug, autre équipe à la peine en ce moment, s'est imposé face à Davos (3-2).
Pour la troisième fois de la saison seulement, les Ours ont remporté deux parties d'affilée. Mais le succès bernois n'est pas forcément mérité.
Holden parvient à tromper le portier Noronen. [Keystone] Indisciplinés, les hommes de Lars Leuenberger se sont souvent retrouvés en infériorité numérique. C'est même lors d'une punition infligée à Jobin que Tristan Scherwey a pu marquer le 1-2 qui sera au final le but décisif. Le top scorer Byron Ritchie s'est fait l'auteur des deux autres réussites bernoises. Côté seelandais, la pilule est dure à avaler, ce d'autant que les Biennois ont dominé la rencontre. Les Ours repassent quant à eux sur la barre avec deux points d'avance sur Lausanne et Zoug.
Davos enchaîne les défaites

Une équipe zougoise en nette reprise qui a vaincu Davos à la Bossard Arena. Les joueurs de Suisse centrale signent leur troisième succès de rang, pendant que les Grisons encaissent leur quatrième revers de rang. Le but de la victoire est tombé à la 49e minute de la crosse d'un ancien Davosien, le défenseur Santeri Alatalo.
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La Norvège trop forte pour les Helvètes

28.11.2013 22:41 mise à jour à 22:47
Sven Michel et ses coéquipiers auront droit à une seconde chance, contre le Danemark. [Jonathan Hayward - Keystone]


L'équipe de Suisse masculine n'a pas eu son mot à dire face à la Norvège, en playoff des championnats d'Europe de Stavanger. Sven Michel et ses partenaires se sont nettement inclinés 7-4 contre la formation du skip Thomas Ulsrud, qualifiée ainsi pour la finale.
Une finale que le CC Adelboden peut encore atteindre, en cas de succès vendredi contre le Danemark.
Les Suisses un cran en-dessous

Déjà battue 8-6 lors de la 5e session du round robin par les Norvégiens, la Suisse n'a jamais eu la maîtrise de la situation et a payé cher son surplus d'agressivité dans le deuxième end.
Le vice-champion olympique en titre et double champion d'Europe Thomas Ulsrud a dicté les débats sans discontinuer, s'appuyant sur une équipe solide présentant presque à chaque poste des statistiques de réussite plus élevées, surtout dans l'exercice du take-out.
Savoir gérer la pression

L'aventure ne s'arrête toutefois pas là pour Sven Michel, Simon Gempeler, le Genevois Benoît Schwarz et Claudio Pätz, lesquels disputent leurs premiers playoff dans un grand rendez-vous international et qui ont eu bien du mal à masquer une certaine nervosité. Leurs adversaires vendredi, les Danois de Rasmus Stjerne, ne constituent en aucun cas un obstacle insurmontable. La Suisse s'était en effet imposée 5-4 lors du round robin.