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De Bruyne chambre Hazard en public




An Audience with Hazard, Ba & de Bruyne par BluesFangirl
vidéo Le niveau d'anglais d'Eden Hazard n'est pas terrible. Son coéquipier Kevin De Bruyne l'a gentiment raillé devant des supporters de Chelsea.
"J'ai surtout accepté l'invitation pour entendre Eden parler anglais". Il n'aura fallu qu'une phrase prononcée par Kevin De Bruyne pour faire rire toute une assemblée.

Visiblement, l'ambiance est loin d'être tendue à Chelsea. Une vidéo d'une rencontre organisée entre Kevin De Bruyne, Eden Hazard et Demba Ba et leurs fans a été postée par "Chelsea TV".

Et on peut difficilement donner tort à l'ancien joueur du Racing Genk. Un an et demi après son arrivée à Chelsea, le niveau d'anglais d'Eden Hazard est loin d'être fameux.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/16196/Les...n-public.dhtml

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Tottenham et ses trois Diables résistent à ManU

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Alors que les jours de son entraîneur portugais André Villas-Boas seraient comptés, Tottenham a tenu Manchester United en échec, 2-2, dimanche à White Hart Lane dans le cadre de la 13e journée de la Premier League anglaise.
© photo news.
Les Diables Rouges Jan Vertonghen, Moussa Dembélé et Nacer Chadli, pour la première fois titulaire depuis le 1er septembre et qui a été remplacé par Sigurdsson à la 84e minute, ont tous les trois entamé la partie.

Adnan Januzaj ne figurait pas sur la feuille d'arbitre côté Manchester United, contrairement à Marouane Fellaini, réserviste. Le buteur néerlandais Robin van Persie, touché à l'aine, était indisponible.

Tottenham a pris l'avance via Kyle Walker sur coup-franc dès la 17e minute. Le mur mancunien a sauté et le tir à ras de terre a fait mouche. Wayne Rooney a égalisé à la demi-heure sur un assist involontaire de... Walker. Le Brésilien Sandro a trouvé la lucarne d'une frappe magnifique à la 53e (2-1). Mais les Spurs n'ont conservé cet avantage que 2 minutes, Rooney convertissant un penalty après une sortie fautive du gardien Hugo Lloris dans les pieds de Danny Welbeck.

Le Français s'est racheté en évitant le pire à son équipe lors d'une mêlée confuse devant sa ligne dans le temps additionnel.

Tottenham reste 9e, à un point de MU qui enregistre son 12e match sans défaite, toutes compétitions confondues, mais voit sa remontée au classement ralentir.

Arsenal (0-3 à Cardiff, samedi) porte en effet à neuf points son avance sur Manchester United.

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Bale a mis treize secondes pour traverser tout le terrain



vidéo Auteur d'un triplé parfait, Gareth Bale a régalé le stade Bernabeu hier soir.
"L'intégration de Bale est terminée". Carlo Ancelotti ne croit pas si bien dire. L'ailier gallois du Real Madrid a connu soirée riche en émotions face à Valladolid hier soir (victoire 4-0). L'ancien joueur de Tottenham a planté un hat-trick parfait (tête, pied droit et pied gauche).

Selon "Marca", Gareth Bale a traversé tout le terrain en treize secondes pour inscrire son troisième but personnel. A la 88'24, Diego Lopez relançait les siens à la main à travers le joueur gallois. Ce dernier, à la suite d'un caviar de Marcelo, scellait la marque à 4-0 exactement à la 88'37.

Un but toutes les 93 minutes
En l'absence de Cristiano Ronaldo (ménagé), Gareht Bale a donc parfaitement endossé le costume de buteur du Real Madrid. Il a déjà marqué neuf buts avec les "Merengues" cette saison, soit un but toutes les 93 minutes de jeu.

"Je suis quasiment à 100% mais je continue à travailler", a simplement déclaré Gareth Bale après le match.

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Une WAG norvégienne provoque un tollé sur la toile

© (Instagram).
Caroline Berg Eriksen a accouché il y a quatre jours à peine. La femme de Lars-Kristian Eriksen (modeste joueur d'Odd Grenland) s'est attirée les critiques des internautes à cause d'un cliché.
Pas facile d'être une WAG au quotidien. Caroline Berg Eriksen, qui tient un blog sur le fitness, l'apprend à ses dépens.

La femme de Lars-Kristian Eriksen (Odd Grenland, Norvège) a essuyé une kyrielle de critiques après avoir posté cette photo.

"Je me sens tellement vide, et pourtant non... quatre jours après la naissance", a lâché Caroline Berg Eriksen sur Instagram. Elle est accusée de mettre la pression sur les femmes pour perdre rapidement du poids après un accouchement.

"A mes yeux, cette photo est provocatrice", a notamment écrit Suzanna Aabel, journaliste pour "Dagbladet" en Norvège.

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Le Brésil en chantier et dans le doute à six mois du Mondial

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Grogne sociale, sécurité, transports: à six mois du Mondial de football, le Brésil n'a pas résolu tous les problèmes qui menacent de ternir la fête du "futebol-samba" au pays du "roi Pelé".
Élu en 2007 pays organisateur dans l'euphorie des années Lula, le géant émergent d'Amérique latine n'est en particulier pas à l'abri d'une réplique du séisme de colère sociale qui l'a ébranlé à la surprise générale en juin dernier, pendant la Coupe des Confédérations. D'autant que le plus grand événement sportif planétaire (12 juin-13 juillet) se déroulera en pleine pré-campagne pour les élections générales d'octobre: présidentielle, législatives, gouverneurs.

Le contexte économique n'est lui non plus pas très favorable. Il rend d'autant plus amère la pilule de la facture du Mondial (7.9 milliards d'euros), pour des millions de Brésiliens confrontés à des transports, hôpitaux et écoles plus proches du tiers-monde que du "standard Fifa" de stades flamboyants. Pour le moment, en revanche, l'engouement est au rendez-vous. Lors de la première phase de vente en octobre, la Fédération internationale de football a reçu plus de 6 millions de demandes de billets par internet. Le rêve d'une sixième étoile Et 70% d'entre-elles émanaient des Brésiliens eux-mêmes, qui rêvent de voir la Seleçao de Neymar soulever la Coupe dans le temple du Maracana à Rio de Janeiro, et accrocher une sixième étoile au maillot auriverde.

"Pas de plan B"
On connaît maintenant les 32 nations qualifiées. Vendredi, la planète foot se passionnera pour le tirage au sort des groupes, organisé dans le complexe balnéaire de luxe de Costa do Sauipe, près de Salvador de Bahia (nord-est). Mais beaucoup d'inconnues subsistent. On croyait que les 12 stades du Mondial seraient prêts, ou presque, à la date butoir du 31 décembre fixée par la Fifa. Mais l'accident spectaculaire qui a coûté mardi la vie à deux ouvriers sur le chantier du stade Itaquerao de Sao Paulo, où sont programmés six rencontres dont le match d'ouverture, soulève bien des questions. Le stade ne sera probablement pas achevé avant janvier ou février, alors que la Fifa tient absolument à y organiser trois événements test avant le Mondial.

Peut-il être écarté ? "Non, il n'y a pas de plan B", a assuré José Maria Marin, président de la Confédération brésilienne de football (CBF) et du Comité d'organisation local (COL). Prudente, la Fifa attend de son côté pour se prononcer.

"Il faudrait 200 avions"
L'hébergement pose aussi question. Où dormiront les supporteurs des matches programmés à Cuiaba (centre-ouest) ? Le stade affiche 43.000 places, la ville 13.000 chambres d'hôtel. Et si les douze villes hôtes veulent se servir du Mondial comme vitrine pour le tourisme futur, l?explosion des tarifs hôteliers (400%) et des vols intérieurs pourrait bien tuer la poule aux ?ufs d'or. Autre défi majeur: assurer les déplacements par avion -- seule véritable option dans ce pays 17 fois grand comme l'Espagne-- de plus de 3 millions de Brésiliens et 600.000 fans étrangers qui vont envahir des aéroports souvent vétustes et saturés, et dont la modernisation a pris beaucoup de retard.

"Comment faire voler 40.000 Américains entre Manaus et Fortaleza?", s'interroge Chris Gaffney, un urbaniste américain qui étudie l'impact du Mondial sur les villes hôtes. "Il faudrait 200 avions, mais aucune compagnie brésilienne ne dispose d'autant d'appareils". Le gouvernement négocie avec des entreprises nationales l'augmentation des rotations et la création de nouvelles liaisons pendant la Coupe, et promet que l'offre suivra la demande. Il se dit aussi attentif à l'envolée des prix mais n'a pas de réel pouvoir pour l'infléchir. Des supporteurs allemands et anglais se sont déjà dit scandalisés par les packages avion-hôtel-match à plus de 10.000 dollars qui leurs sont proposés. Reste le front sécuritaire.

Outre la résurgence possible de manifestations violentes, sur laquelle personne n'ose aventurer un pronostic, la situation s'est récemment dégradée dans certaines favelas "pacifiées" de Rio dont les trafiquants voudraient reprendre le contrôle. Les homicides ont baissé mais les vols souvent accompagnés d'agressions repartent en flèche, jusque sur les plages de la "Ville Merveilleuse".

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• Le chantier du stade de Sao Paulo est "irrégulier", selon des juges
• "Le stade de Sao Paulo ne sera pas exclu du Mondial"
• Accident dans un stade du Mondial: deux morts

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Un Sud-Coréen champion du monde de breakdance

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Le Sud-Coréen Kim Hong-Yeol, alias Hong10, a remporté samedi à Séoul, face au Français Mounir, le championnat du monde de breakdance, s'imposant à domicile lors de cette finale disputée devant une foule en délire.
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Hong10, 28 ans, qui avait déjà remporté le titre en 2006, a vaincu Mounir, champion du monde 2012, après l'élimination de quatorze autres concurrents. "Je ne sais que dire. Tous mes efforts, et mon dur entraînement ont finalement payé", a déclaré après sa victoire Hong10, fatigué mais aussi euphorique.

Seize compétiteurs de dix pays, dont les Etats-Unis, le Brésil, la France et le Japon, étaient en lice pour ce championnat de breakdance, un style de danse spectaculaire et athlétique né à New York dans les années 1970 et qui a essaimé dans le monde, à la faveur du développement de la culture hip-hop, devenant très populaire notamment dans les pays asiatiques.

La breakdance a remporté un tel succès en Corée du Sud que le gouvernement assure la promotion de ce style de danse comme l'un de ses produits culturels d'exportation.

Les quelque 3.500 spectateurs qui assistaient au concours au stade Jamsil de Séoul se sont déchaînés en admirant les figures acrobatiques enchaînées par les compétiteurs, qui se sont produits deux par deux, se défiant, s'affrontant, tournant l'un autour de l'autre dans des mouvements aériens à la limite du déséquilibre.

Le championnat de breakdance Red Bull BC One a été lancé en 2004. Les finales se sont déroulées dans des villes comme Johannesburg, Tokyo ou Rio de Janeiro.
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Foot Ligue 1 PSG Le banc va se bouger
Comme le PSG va jouer jusqu'à Noël un match tous les trois jours, Laurent Blanc a prévenu qu'il allait être obligé de vraiment faire tourner son effectif. A commencer par le choc face à Lyon dimanche (21h00) ?
Jallet, Ménez, Digne, Lavezzi et Marquinhos vont augmenter leur temps de jeu. (L'Equipe)









Laurent Blanc est chaque semaine confronté à un problème de riche. Avec un effectif qualitativement et quantitativement conséquent, le coach parisien doit souvent effectuer des choix douloureux. Comme de reléguer sur le banc des joueurs du standing de Ménez, Lucas, Pastore, Marquinhos, Digne et Jallet, alors que tous seraient titulaires dans n’importe quel autre club de L1. Avec l’enchaînement des matches (L1, C1 et bientôt les coupes), le technicien a de quoi contenter presque tout le monde, encore faut-il que la méthode de management soit subtile. Paris, qui a entamé le week-end dernier à Reims (3-0) une série de neuf matches en 30 jours, va profiter à fond du turn-over. « Je vais faire tourner oui, a confirmé vendredi l’entraîneur parisien. Mais pour quels matches ? On verra bien. » Blanc a le souci « d’être compétitif » en Championnat, en Coupe de la Ligue et en Ligue des champions d’ici à Noël.

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Si les rencontres face à Lyon dimanche, Saint-Etienne en Coupe de la Ligue (le 18) et Lille (le 22 en L1) sont des priorités, il est possible que les doublures de luxe grappillent du temps de jeu contre Evian-TG, Sochaux et le Benfica Lisbonne en C1. Ces jokers sont attendus au tournant. « Pour eux (Lavezzi et Lucas par exemple), la difficulté, c’est d’exister. Ibra et Edi (Cavani) prennent beaucoup de place, a expliqué Blanc. Mais ces joueurs-là peuvent aussi marquer des buts. Dans les grands clubs il y a de la concurrence et on ne peut pas toujours jouer. Juste, il ne faut pas laisser passer sa chance. » Pour le coach parisien, Lavezzi et Lucas peuvent mieux faire. « Si tu prends les stats, tu te rends compte qu’ils peuvent être plus performants. Ils ont le potentiel pour. »




A Blanc, également, de jongler avec les différents états de forme. La dernière trêve internationale a laissé des traces. « On a pu s’apercevoir que les joueurs qui ont joué avec leur sélection ont usé beaucoup d’énergie physique et psychologique. » Si, malgré la fatigue, Blaise Matuidi et Edinson Cavani ont pu surfer sur les résultats positifs de leur équipe, Ibrahimovic ne peut pas en dire autant. Mais le Suédois a tenu son rang à Reims et face à l’Olympiakos. « Il est tellement compétiteur..., s’est extasié Blanc. On l’a vu à Reims : il a râlé, parlé, voulu marquer et a marqué. » Le géant Suédois « prouve qu’il est concerné », au même titre que Salvatore Sirigu, un autre exemple dans le vestiaire. « Il est très sérieux. Il n’a pas beaucoup d’arrêts à effectuer, mais il est là quand on a besoin de lui. C’est le propre d’un grand gardien. » - David MICHEL

BLANC ADORE LE PARC - Le PSG a annoncé mardi qu'un accord avait été trouvé avec la ville de Paris pour moderniser le Parc des Princes et y rester. Blanc est ravi : « C'est une excellente nouvelle, j'adore le Parc, a-t-il confié vendredi. C'est un stade que j'aime beaucoup, même bien avant de devenir l'entraîneur du PSG. J'ai de très bons souvenirs. Et je pense qu'ils vont faire quelque chose de beau en le rénovant. » - D. Mi.
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Stevenson garde son bien...

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Foot Ligue 1 15e j. Bordeaux, pas encore à la retraite
Eliminé sans gloire jeudi en Ligue Europa, Bordeaux a réagi dimanche après-midi face à Ajaccio (4-0). Ce succès lui permet de se replacer provisoirement dans la première partie de tableau, au 8e rang.
La joie des Bordelais, vainqueur d'Ajaccio (4-0), dimanche après-midi. (AFP)










Les «retraités» sont sortis de leur torpeur. Tancés par Jean-Louis Triaud après leur élimination de la Ligue Europa jeudi face à Francfort (0-1), les Girondins ont prouvé face à Ajaccio (4-0) que leur président les avait sans doute expédiés un peu trop tôt en résidence pour personnes âgées. Parce qu’elles étaient peut-être encore un peu rouillées, leurs jambes ne leurs ont pas permis de disputer toute la rencontre sur le même rythme. Mais les joueurs de Francis Gillot en ont fait assez, à chaque entame de période, pour renouer avec le succès en Championnat où ils restaient sur une défaite (0-3 face à Nantes) et un nul (1-1 à Rennes).

Les Bordelais ont inexplicablement arrêté de jouer après l'ouverture du score de Jussiê. Sans avoir à le regretter. Un but dès la 8e minute, deux autres quasiment dès la reprise (50e, 55e). Et pas grand-chose entre les deux... Contrairement à ce que suggère l’ampleur du score, tout n’a pas été si facile pour Bordeaux. Récompensés très vite de leur très bonne entame de match, les Girondins sont «retombés dans leurs travers» (Maurice-Belay) l’espace de 40 minutes. Ils ont inexplicablement arrêté de jouer après l’ouverture du score de Jussiê, se sont fait bousculer dans les duels par les Ajacciens, mais sans pour autant se retrouver en position de se faire rattraper. En première période, l’ACA n’a eu qu’une seule vraie opportunité d’égaliser : une tête d’André détournée par Carrasso (16e).

Les Corses pourront s’en vouloir de ne pas avoir mis leurs pendules à l’heure. Ils ont démarré la première période avec un quart d’heure de retard. Et le regain d’envie et de détermination dont ils ont fait preuve par la suite a été trop vite annihilé par le réalisme bordelais : une fois n’est pas coutume, celui de Maurice-Belay. Après avoir délivré une passe décisive à Sertic (50e), l’ancien Sochalien a inscrit son premier but en L1 depuis… le 29 avril 2012 à l’issue d’une action qu’il avait initiée et relayée par Ludovic Obraniak. Si Ajaccio a bien tenté de faire illusion (62e, 75e), l’ACA s’est inclinée une quatrième fois devant Jussiê, auteur d’un doublé (68e). Revenus provisoirement à la 8e place, les Girondins ont répondu de la meilleure des façons à leur président.
E. T.

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L'Erythrée remporte le chrono...

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Foot QAT Belounis : «Pas le Qatar que j'attaque»
Depuis trois jours, il a retrouvé la France et son entière liberté. En conflit depuis deux ans avec son club qatari d'Al Jaish, Zahir Belounis (33 ans) ne pouvait quitter l'émirat que s'il renonçait à réclamer des salaires impayés. Il a finalement accepté cette proposition pour rejoindre ses proches en région parisienne mais assure que la lutte n'est pas finie.
Zahir Belounis a retrouvé sa mère venue l'accueillir à Paris. (AFP)









« Zahir Belounis, comment vous sentez-vous depuis votre retour en France ?
Je suis encore traumatisé. Cela a été tellement intense ces derniers mois que j’ai du mal à atterrir. Le combat a été dur. Je n’arrive pas encore à savourer avec toutes les sollicitations. Voir mes proches et ma famille, me permet de réaliser que je ne suis plus là-bas.

En arrivant à l’aéroport, vous avez déclaré "Les gens qui m’ont fait ça vont le payer cher". Pouvez-vous préciser ?
Mes anciens dirigeants ont fait du chantage contre moi. Certains ont interprété ma phrase comme une question d’argent mais ça aurait été identique dans n’importe quel autre pays. Les dirigeants de mon ancien club vont devoir répondre de leurs actes. Je vais déposer une plainte contre eux dans les prochains jours.

Pour revenir en France, vous avez pourtant dû signer un document où vous renoncez à vos salaires.
A un moment j’ai craqué pour retrouver ma famille (il est père de deux enfants). Maintenant j’espère qu’il y aura un juge qui pourra accepter la plainte car nous avons, avec mon avocat (ndlr : Maître Berton), tous les éléments pour prouver les malversations.

«J'ai commencé à broyer du noir et j'ai sombré dans l'alcool.» Vous aviez rencontré le président Hollande en juin dernier lors de sa visite officielle au Qatar. La France a-t-elle rempli son rôle pour vous aider ?
Quand je vois le président, je suis très confiant pour rentrer en France avec lui mais j’ai dû attendre cinq mois de plus. J’entends partout que la France et le Qatar sont deux pays amis. Comment deux pays amis ne peuvent pas trouver une solution quand une personne est retenue injustement. Les conseillers du ministère des Affaires étrangères savaient que j’étais une victime. J’ai trouvé le temps très long même si à la fin tout s’est accéléré grâce à l’ambassade de France à Doha et au gouvernement qatari.

La FIFA vous a-t-elle aidé dans vos démarches ?
Mon club m’avait confisqué mon contrat, la seule solution était de porter l’affaire devant une juridiction locale. Quand j’ai contacté des responsables à la FIFA, ils m’ont répondu qu’ils ne pouvaient rien faire pour moi car la justice qatarie était déjà saisie. J’étais complètement coincé.

Comment avez-vous vécu les derniers mois ?
C’était terrible pour ma famille. J’étais sans revenu et avec deux enfants. Cet été, j’avais demandé à ma femme de rentrer en France avec les filles car j’espérais les rejoindre rapidement. Comme rien n’avançait, j’ai commencé à broyer du noir (il marque une pause) et j’ai sombré dans l’alcool. Je devenais claustrophobe, j’étouffais. Je passais mes journées, seul, dans ma chambre et dans le noir. L’alcool c’était mon seul moyen, je ne voulais pas tomber dans les médicaments. J’étais courageux depuis deux ans mais là c’était trop.

«Je ne suis pas encore prêt mentalement pour vous dire si je vais continuer le football.» Regrettez-vous votre choix de partir jouer au Qatar en 2007 ?
Non, je suis un footballeur globe trotteur (il avait joué dans le Championnat malais auparavant). Je ne faisais pas une carrière pour la gloire ni pour l’argent. J’ai tenté l’aventure avec un petit contrat, très éloigné de ce que gagnent les stars. Je me suis bien imposé dans mon équipe en devenant même capitaine. J’avais atteint un niveau où j’étais reconnu au Qatar. C’était fantastique, j’étais fier de moi. Puis tout s’est effondré.

Les débats autour de la Coupe du monde au Qatar en 2022 ont-ils eu un effet sur votre situation ?
C’était une opportunité pour parler de mes difficultés mais il faut être très clair : ce n’est pas le Qatar que j’attaque mais mon ancien club. Je ne veux pas faire d’amalgames et plusieurs membres du comité d’organisation de la Coupe du monde m’ont aidé dans les derniers mois pour trouver une solution.

Quels sont désormais vos projets ? Souhaitez-vous reprendre votre carrière de footballeur ?
Je ne suis pas encore prêt mentalement pour vous dire si je vais continuer le football. Aujourd’hui, ma grande mission c’est d’aider les personnes qui sont encore coincés au Qatar. J’ai une grande pensée pour Nasser et Jean-Pierre (*) et je vais tout faire pour les sortir de là.

(*) L’entrepreneur Jean-Pierre Marongiu et l’homme d’affaires Nasser Al-Awartany sont les deux ressortissants français bloqués à cause de contentieux financiers.
Guillaume HENAULT-MOREL

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Foot Angleterre 15e j. Tottenham panse ses plaies
L'histoire ne dit pas encore si le nul (2-2) contre Manchester United, dimanche à White Hart Lane, suffira à sauver la tête d'André Villas-Boas. Les Spurs enrayent une spirale négative et freinent la remontée des Mancuniens vers le Big Four.
A l'image de Moussa Dembele, Tottenham a résisté au ManU de Tom Cleverley. (Reuters)









La direction de Tottenham aurait dressé une liste de successeurs potentiels à André Villas-Boas, son entraîneur depuis l'été 2012. Mais les plus hostiles au technicien portugais au sein du club du Nord de Londres ne pourront pas se saisir de la prestation des Spurs de ce dimanche pour alourdir son passif. Même si les joueurs d'"AVB" ont mené deux fois au score avant de se faire rejoindre à domicile (2-2), ils ont brisé une série de deux défaites consécutives (Newcastle, Manchester City) et montré beaucoup de sérieux face au champion en titre. Tottenham reste 9e, à un point de ManU qui enregistre son 12e match sans défaite, toutes compétitions confondues, mais voit sa remontée au classement de la Premier League ralentir. Tout bénéfice pour Arsenal (3-0 à Cardiff, samedi) qui porte à neuf points son avance sur la formation entraînée par David Moyes.

Partiellement effacée par un succès en Ligue Europa, jeudi contre Tromsö (2-0), la déroute de City le week-end dernier (0-6) a été digérée. Kyle Walker a profité d'un mur mancunien sauteur pour tromper De Gea sur un coup franc à ras de terre (19e). Les Spurs ont ensuite manqué le break par Soldado, servi par Paulinho (30e), puis par Lennon qui a buté de près sur le dernier rempart mancunien (31e). Un premier virage dans le match puisque dans la minute suivante Walker-le-buteur s'est transformé en dernier passeur involontaire pour Wayne Rooney (32e).

Lloris provoque un penalty

Le même scénario - Tottenham marque, Manchester recolle - s'est reproduit en seconde période. Le Brésilien Sandro a trouvé la lucarne d'une frappe magnifique de l'entrée de la surface (55e). Mais l'avantage des Spurs a duré encore moins longtemps que lors du premier acte puisque deux minutes plus tard, Rooney a converti sur penalty une sortie fautive de Lloris dans les pieds de Welbeck, son 9e but contre Tottenham, à une longueur du recordman Ryan Giggs (10, 57e). Lloris a sauvé une dernière situation confuse devant sa ligne sur un ultime coup franc dans le temps additionnel. Perdre ce match-là aurait été bien cruel pour les Spurs et leur coach.
Rédaction

-

2
2

Tottenham Hotsp.
18eK.Walker
55eSandro




Manchester Unit.
32eW.Rooney
57eW.Rooney







Voir le film du match





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