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Lausanne à un petit point de la barre

07.12.2013 22:13 mise à jour à 23:12
Les Vaudois n'ont pas fait de détails à la Bossard Arena. [Urs Flueeler - Keystone]


Le Lausanne HC est allé cueillir un précieux succès sur la glace de Zoug (4-1). Les Vaudois reviennent ainsi à un point de la 8e place occupée par Genève-Servette. Fribourg a, lui, repris des couleurs en s'imposant 2-0 sur la glace d'Ambri et reste ainsi dans la roue du leader Zurich, vainqueur 5-3 à Bienne.
Lausanne a réalisé la bonne opération de cette 31e journée de LNA. Vainqueur 4-1 à Zoug, les Vaudois ont mis leur adversaire du jour à six points et surtout se rapprochent de la 8e place à une unité de leur voisin lémanique, Genève-Servette, avec un match en moins.
Les Lions ont profité d'un Zoug en plein désarroi avec l'absence de son portier Kilpelainen, commotionné. Son suppléant, Gianluca Hauser n'a pas toujours offert un cage de sécurité. Ce n'était pas le problème des Lausannois, tout heureux d'améliorer leurs statistiques offensives.
L'Autrichien Setzinger a été le premier à trouver le chemin des filets (7e) après une disette de 16 matches. Hytönen, Simon Fischer et Bürki ont assuré le succès du LHC avant la fin de la deuxième période.
Gottéron évite la crise

Fribourg Gottéron s'est évité (provisoirement ?) une crise en s'imposant à la Valascia avec en prime le premier blanchissage de la saison du gardien Benjamin Conz. Les Dragons restaient sur deux revers consécutifs.
Les Dragons se sont offert un bol d'air à Ambri. [Karl Mathis - Keystone] Les Fribourgeois ont mis plus d'un tiers pour trouver l'ouverture, la faute au portier Zurkirchen. Ce dernier était pourtant le héros involontaire d'un surprenant autogoal "réussi" par le Canadien Noreau au début de la deuxième période. Ce dernier, qui se trouvait derrière sa cage, a voulu dégager mais il a complètement manqué son tir qui a frappé les patins de Zurkirchen avant de pénétrer dans le but.
Après deux succès, le HC Bienne s'est sabordé lui même face aux Zurich Lions. Alors que le score était de 3-3, les Seelandais ont "réussi" l'exploit d'encaisser deux buts en 23'' alors qu'ils évoluaient en supériorité numérique.
Ce couac de la 50e minute a ruiné les espoirs biennois entrevus après un excellent premier tiers-temps. En 38'', Tschantré et Trutmann avaient fait passer le score de 1-1 à 3-1.
Scherwey sauve Berne

Le CP Berne peut dire merci à Tristan Scherwey. L'ancien bad-boy a d'abord envoyé un missile dans la lucarne de Manzato sur un contre pour le 2-1 (40e). Le feu follet de Marly était encore là pour offrir un 6e succès consécutif aux joueurs de la capitale après 48'' de prolongation.
Enfin, Kloten s'est bien amusé face à la lanterne rouge qui a concédé son cinquième revers consécutif. Aurélio Lemm, le petit frère de Romano, en a profité pour réussir un doublé.
si/adav

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Irrésistible, Maria Höfl-Riesch signe le doublé

07.12.2013 21:35 mise à jour le 08.12.2013 à 00:11
Comme en 2010, Maria Höfl-Riesch s'ets offert le doublé à Lake Louise. [Jeff McIntosh - Keystone]


Déjà victorieuse la veille, Maria Höfl-Riesch a récidivé lors de la 2e descente au programme à Lake Louise samedi. L'Allemande a devancé Tina Weirather et Anna Fenninger. Marianne Kaufmann-Abderhalden, deuxième vendredi, a terminé au pied du podium.
Grande favorite après sa démonstration de la veille, la skieuse de Garmisch a tenu son rang. Reste que sa deuxième victoire a été moins nette, puisque tant la Liechtensteinoise Tina Weirather (à 0''34) que l'Autrichienne Anna Fenninger (à 0''47) ont réussi à l'approcher.
La grande rivale de Maria Höfl-Riesch aurait toutefois dû être Marianne Kaufmann-Abderhalden. Deuxième vendredi soir, la St-Galloise aurait pu prétendre à la même place, voire pourquoi pas à la victoire, si elle n'avait pas commis une grossière erreur à mi-parcours.
Kaufmann-Abderhalden est passée près d'un 2e podium en deux jours. [NICK DIDLICK - Keystone] Au lieu de cela, la skieuse du Toggenburg s'est classée au 4e rang. Un résultat qui reste évidemment positif, mais qui lui laissera malgré tout quelques regrets. Impériale dans les nombreux secteurs de glisse de la piste canadienne, dotée d'un matériel très efficace, elle avait vraiment les moyens de monter une deuxième fois de suite sur le podium.
Gisin dans le top-10

Dans le sillage de la petite soeur de Jörg - l'ancien roi de la lutte suisse -, Dominique Gisin a pris la 9e place. Nadja Jnglin-Kamer semblait, elle aussi, en mesure d'offrir un top 10 à la Suisse, avant qu'une chute en fin de parcours ne vienne ruiner tous ses espoirs.
Quant à Lara Gut, elle a semblé encore une fois désarmée sur cette piste, qui ne convient décidément pas à sa technique et à son petit gabarit. Comme la veille (10e), la Tessinoise a dû se résoudre à jouer les seconds rôles avec sa 13e place. Autant dire que la skieuse de Comano doit avoir hâte de retrouver d'autres pistes, même si le super-G de dimanche, toujours à Lake Louise, devrait mieux lui convenir.
Gut perd le leadership

En attendant, Lara Gut a perdu sa première place au classement général de la Coupe du monde. Elle pointe désormais à 45 points de Maria Höfl-Riesch, tout en étant talonnée de près par Anna Fenninger et Tina Weirather.
A noter finalement que cette seconde de Lake Louise a permis à Lindsey Vonn de s'approcher du top-10. L'Américaine, qui effectue à Lake Louise son retour à la compétition après une grave blessure au genou, avait débuté vendredi avec un 40e rang, avant de grimper samedi à la 11e place. Une progression spectaculaire qui laisse penser que la superstar de la Coupe du monde ne va pas tarder à remonter sur les podiums.
si/adav

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Patrick Küng s'offre une grande première!

07.12.2013 20:15 mise à jour à 23:09
Küng n'avait jusqu'alors jamais fait mieux que 5e en super-G. [Justin Lane - Keystone]


Patrick Küng a créé la sensation lors du super-G de Beaver Creek! Le Glaronais s'est adjugé la première victoire de sa carrière en Coupe du monde devant Otmar Striedinger et un duo composé d'Hannes Reichelt et Peter Fill. Didier Défago a pris la 11e place juste devant Carlo Janka.
L'équipe de Suisse masculine a retrouvé le chemin de la victoire ! Après 21 mois de disette, Patrick Küng a offert un succès à ses couleurs en s'imposant en super-G à Beaver Creek (EU).
Non content de confirmer le renouveau du clan helvétique, qui n'avait plus goûté à la première place depuis Beat Feuz en mars 2012 à Kvitfjell (NOR), le Glaronais a aussi débloqué son compteur personnel. Le skieur de 29 ans était déjà monté à deux reprises sur le podium, mais jamais encore sur la plus haute marche.
L'heure de gloire

Souvent bien placé mais rarement tout devant, Patrick Küng tient donc enfin son heure de gloire. De quoi récompenser sa patience, mais aussi lui promettre d'autres coups d'éclat cette saison. Il faut en effet relever que cette victoire ne tombe pas de nulle part. Avant de s'imposer samedi soir, le Glaronais avait déjà brillé en ce début de saison, comme en témoignent ses résultats de la veille en descente (5e) et de la semaine passée en super-G à Lake Louise (5e).
Küng a signé son troisième podium sur le Cirque blanc. [Alessandro Trovati - Keystone] Parti avec le dossard 28, Patrick Küng a pris la tête dès le premier temps intermédiaire. Une avance qu'il a pu consolider et même accentuer en fin de course pour devancer tous les ténors du super-G. Ce ne sont toutefois pas Hannes Reichet et Peter Fill, longtemps dans la peau des co-leaders, qui lui ont posé le plus de soucis. Mais bien l'inconnu autrichien Otmar Striedinger (22 ans), dossard no 45 et qui a créé la sensation en venant décrocher la 2e place à 0''23 de Küng.
"Je n'y crois pas, je suis super heureux. C'est génial de partir avec le dossard 28 et de voir son temps s'afficher en vert en passant la ligne, a déclaré Küng. Je pensais avoir bien skié mais je ne pensais jamais que ça serait assez pour gagner. On a un bon groupe cette saison, on est rapide à l'entraînement. Nous sommes sur la bonne voie. Depuis le début de cette saison, on a montré qu'on pouvait skier dans les top-10. On continue à travailler dur et les podiums suivront peut-être. Cette victoire va peut-être servir d'étincelle à l'équipe."
Deux ans après Viletta

Ce super-G aurait aussi pu être celui de Didier Défago. Très rapide sur le haut du parcours, le Valaisan n'a toutefois pas tenu le choc jusqu'au bout, se classant finalement au 11e rang. Ce n'est pas la première fois que le skieur de Morgins paie son manque de régularité. Et le jour où il pourra gommer toutes ces imperfections, il ne sera plus très loin de la victoire.
On rappellera finalement que ce n'est pas la première fois que le super-G de Beaver Creek fait le bonheur d'un skieur helvétique. Il y a deux ans, c'est Sandro Viletta qui avait profité de son séjour dans le Colorado pour fêter son premier succès sur le circuit. Depuis, le Grison a été miné les pépins physiques et n'est plus jamais remonté sur un podium en Coupe du monde. Reste à espérer que Patrick Küng ne suive pas le même destin.

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Foot Ligue 1 17e j. Nice, la chute continue
L'OGC Nice a subi ce samedi sur la pelouse de Reims (0-1) sa septième défaite consécutive. L'unique but de la rencontre a été inscrit par Charbonnier dans le temps additionnel.
Gaétan Charbonnier a libéré Reims dans le temps additionnel. (AFP)









La dégringolade continue. Surpris dans les ultimes secondes par une frappe de Charbonnier (90e+3), Nice a subi sur la pelouse de Reims (0-1) son septième revers d’affilée. Et à en juger les mines défaites des Aiglons au coup de sifflet final, on parie qu’ils se demanderont un moment comment ils se sont débrouillés pour le perdre celui-là. A l’exception d’une frappe écrasée d’Albaek dès la deuxième minute et d’une main de Kolodziejczak qui aurait pu être sanctionnée d’un penalty (67e), Reims n’a jamais réussi à peser offensivement. Un constat qui pourrait également s’appliquer aux Niçois même s’il y a eu du mieux en fin de match.

«Ce soir, on a joué à onze et demi...» Gaétan Charbonnier. Paradoxalement, Nice a flanché au moment où il semblait avoir pris l’ascendant sur son adversaire. Certes, il ne restait déjà plus que vingt minutes à jouer, mais les occasions avaient été jusque-là tellement rares que mieux vaut tard que jamais. En vrac : une relance ratée de Fofana dont n’est pas parvenu à profiter Bruins (72e) ; un contre de Bauthéac qui a contraint Agassa à son premier vrai arrêt (75e) ; mais aussi deux tentatives d’Eysseric de peu à côté (85e, 89e). Entre une formation moins à l’aise à domicile qu’à l’extérieur et une autre qui voulait se rassurer après une série de six défaites d’affilée, les prises de risques ont été limitées. Un euphémisme…

Une partie du public rémois n'a d'ailleurs pas hésité à manifester son mécontentement, notamment à l’encontre de… Gaétan Charbonnier. C’était avant que l’ancien attaquant de Montpellier profite d’une première tête d’Oniangue détournée par Verone, puis d’une remise de Fortes pour inscrire son premier but de la saison. «Ce soir, on a joué à onze et demi (et pas à douze), a souligné l’intéressé au micro de BeIN Sport. Ce but, c’est ma réponse à ceux qui me sifflaient. Merci à l’autre moitié du public de nous avoir soutenus jusqu’au bout». Grâce à ce succès, Reims grimpe au sixième rang, tandis que Nice stagne à la 17e place, six longueurs devant le premier relégable, Valenciennes.
E. T.

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Foot Ligue 1 17e j. Lorient a maîtrisé Rennes
Le FC Lorient a remporté son quatrième match de suite ce samedi en battant Rennes (2-0). Yann Jouffre a inscrit un doublé.
La joie des Lorientais après le second but de Yann Jouffre. (AFP)














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Rennes fait partie de ces équipes moyennes du Championnat qui n’ont à ce jour pas réussi à remporter deux matches de suite en L1. Ce qui limite forcément son appétit. Trois jours après le joli succès face à Saint-Etienne, les hommes de Philippe Montanier n’ont pas surfé sur la vague verte. Ce samedi face à une équipe de Lorient toujours sans Christian Gourcuff sur le banc, ils ont une nouvelle fois failli (0-2), confirmant ainsi valable la thèse du yoyo. Ils pourront toujours évoquer le fait d’avoir évolué à dix contre onze pendant 83 minutes, ce qui n’est pas anecdotique.

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Le film du match








Le Stade Rennais a perdu son capitaine Sylvain Armand après seulement sept minutes de jeu. L’ancien Parisien a été prié de quitter ses partenaires après avoir accroché Aboubakar dans la surface. L’arbitre a appliqué la double peine. Et sur le penalty, Yann Jouffre a ouvert le score en prenant Costil à contre-pied (8e). Ce même Jouffre a aussi bien fini la partie qu’il ne l’avait commencée. C’est lui qui a doublé la mise dans la dernière ligne droite en étant à la conclusion d’un contre bien mené par Monnet-Paquet puis Aliadière (88e).

Chaigneau est invincible




Comme trop souvent, Rennes a parfois eu du mal à se révolter, même si le contenu de la seconde période s’est avéré plus enlevé. Mais quand ils se sont approchés du but de Florent Chaigneau, soit ils ont manqué de justesse soit le portier des Merlus a été particulièrement inspiré. Titulaire suite aux blessures d’Audard et Reynet, le numéro 3 a été impérial à deux reprises devant le jeune Adrien Hunou (11e et 52e). Celui qui fut formé au Stade Rennais est devenu le porte-bonheur d’une équipe lorientaise (10e) qui n’a plus perdu et encaissé de but depuis un mois. Et surtout, ils viennent d’enchaîner quatre victoires d’affilée, ce qui a de quoi rendre jaloux les Rennais (12es).
D. Mi.

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Lorient
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Rennes







Voir le film du match





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Basket NBA Indiana enchaîne, Portland stoppé
Face à une équipe de San Antonio sans adresse, Indiana n'a fait qu'une bouchée des Spurs pour asseoir sa supériorité sur les cadors de la NBA. Coup d'arrêt pour Portland, battu au buzzer par Dallas.
Paul George et Indiana ont facilement pris le dessus sur les San Antonio Spurs (USA Today/Reuters)









Annoncé comme le révélateur du potentiel d'Indiana cette saison, le "road-trip" des hommes de Frank Vogel est en passe de virer à la démonstration de force face aux plus sérieux prétendants aux playoffs, voire au titre. Nouvelle victime des Pacers, les Spurs de Tony Parker (111-100). San Antonio aura à peine tenu deux quart-temps contre la meilleure défense du pays (91,6 pts encaissés par match). Pourtant, tout avait bien débuté pour les protégés de Gregg Popovich, appliqués et rigoureux (28-20, 12e). De bonnes disposiitons rapidement oubliées, tout comme l'adresse aux tirs (45,1% sur la rencontre). Il n'en fallait pas plus pour voir Paul George, une nouvelle fois étincelant avec 28 points à 9 sur 14 aux tirs dont un parfait 4 sur 4 de loin, et consorts prendre le dessus et compter jusqu'à 26 points d'avance face à des Texans perdus des deux côtés du terrain.

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Gregg Popovich ne s'y est d'ailleurs pas trompé puisqu'il a rapidement sorti ses cadres dont Tony Parker (13 pts) ou encore Tim Duncan (10 pts) pour donner du temps de jeu à ses joueurs de banc. Une initiative qui a bien failli porter ses fruits en fin de match avec un 15-0 en fin d'ultime période (95-106, 46e) mais Indiana possède désormais l'expérience nécessaire pour gérer ces fins de matches un peu folles et décousues. Une maîtrise qui permet aux Pacers d'afficher le meilleur bilan de la Ligue et d'aborder dans les meilleures conditions le dernier match à l'extérieur de cette série de cinq qu'il faudra conclure à Oklahoma City dès dimanche soir.

Portland crucifié, Miami se reprend, Chicago rechute




L'action de la nuit est venue de Monta Ellis qui d'un tir au buzzer a permis à Dallas de s'imposer sur le terrain de Portland (106-108). Un coup d'arrêt pour Nicolas Batum (22 pts, 5 rbds, 6 pds) et les siens après leurs succès sur Indiana et Oklahoma City notamment. Ils restent tout de même en tête de la conférence Ouest (17v-4d) devant les Spurs (15v-4d). Le champion en titre, Miami, s'est rassuré après deux défaites consécutives en prenant le dessus sur une équipe de Minnesota privée de Kevin Love et donc trop limitée pour rivaliser (82-103). Tombeur du Heat pour une victoire qui aurait pu les relancer après la perte de Derrick Rose, les Bulls ont été humiliés à domicile par Detroit (75-92), la faute à un troisième quart catastrophique (9 points marqués). Comme son équipe, Joakim Noah n'a pas été à la fête avec seulement 2 points (à 1/7) pour 9 rebonds tandis que Brandon Jenning se fendait de 33 points pour valider le bon début de saison des Pistons, 5e à l'Est.

Brooklyn pourra remercier son pivot Brook Lopez, auteur de 32 points à 11/13 de réussite, grand artisan de la victoire des Nets à Milwaukee (82-90) pour mettre fin à une série de deux revers consécutifs. Denver n'a pas eu la partie facile mais s'est défait de Philadelphie (92-103) tandis que Golden State n'a pas souffert contre une équipe de Memphis méconnaissable (82-108). Enfin, Sacramento a eu besoin de cinq minutes supplémentaires pour dominer Utah (102-112 a.p) dans le duel des deux plus mauvaises équipes à l'Ouest. Des neuf matches de la nuit, seule une équipe, Cleveland, est parvenue à s'imposer à domicile (face aux Clippers, 88-82).

La nuit des autres Français

Pas de réussite pour Evan Fournier (2 pts à 1/7) alors qu'il a bénéficié de 21 minutes de temps de jeu. En 6'30, Ian Mahinmi n'a eu que le temps de commettre trois fautes pour une perte de balle. Difficile pour Rudy Gobert de se montrer avec Utah en 125 secondes de jeu. L'ancien pivot de Cholet s'est contenté de trois rebonds (dont deux offensifs) pour deux fautes et un tir raté.
Amaury PERDRIAU

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Handball Championnats du Monde (F) Portes : «C'est pas mal»
Même s'il ne «peut pas tirer grand-chose» de la victoire face à la modeste République démocratique du Congo (31-13), Alain Portes a souligné «le sérieux des filles, leur implication, leur envie de bien faire».
Alain Portes estime que le Mondial débutera vraiment mardi face aux Pays-Bas. (L'Equipe)









Alain Portes, sélectionneur de l'équipe de France: « Il y avait un peu de crispation au début, en première mi-temps. Ça s'est manifesté par beaucoup de ballons perdus et de tirs ratés. Mais après, elles se sont quand même aperçu qu'on allait gagner le match, donc c'était un peu mieux ensuite. Mais en fin de match, on est quand même retombé un peu dans nos travers. C'est toujours difficile de jouer ces matches où on passe beaucoup de temps en défense, parce que l'équipe adverse nous impose un rythme qui ne nous convient pas trop. Et après quand on a la balle, on veut tellement bien faire que de temps en temps on manque des choses simples.

Mais on a à peu près rectifié et tout le monde est entré dans le tournoi, au moins physiquement sur le terrain. Je crois que notre Mondial commencera mardi. On ne peut pas tirer grand-chose de ce match, si ce n'est le sérieux des filles, leur implication, leur envie de bien faire. En défense, on a été groupé, bien discipliné, elles essaient d'appliquer les principes que j'ai mis en place. C'est pas mal. On est tombé sur un adversaire modeste, qui y a mis tout son coeur, et on s'est parfois mis à son niveau, ce qui est un peu embêtant.»

AFP

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Foot MLS Kansas City titré
Le Sporting Kansas City a remporté son deuxième titre en MLS. (USA Today/ Reuters)









Le Sporting Kansas City est devenu samedi le champion 2013 de MLS au terme d'un match très accroché (1-1, 7-6 t.a.b). Menée 1-0 jusqu'à la 76e minute, la franchise du Missouri s'est imposée grâce notamment à son défenseur français Aurélien Collin. Auteur du but de l'égalisation (1-1 à l'issue du temps réglementaire), il n'a pas tremblé lors de la séance de tirs au but pour offrir le titre à son équipe. A l'issue de la rencontre, il a d'ailleurs été élu MVP de cette finale.
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Spurs - Pacers : 100-111

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Foot Ligue 1 OM Anigo remplace Baup
Cinquième du Championnat et déjà éliminé de toutes les Coupes d'Europe, Marseille a remplacé Elie Baup par José Anigo samedi matin.


Elie Baup n’est plus l’entraîneur de l’Olympique de Marseille depuis ce samedi matin, alors qu'il avait pourtant participé au décrassage. Arrivé en juillet 2012 pour remplacer Didier Deschamps, il n’a pas résisté au début de saison de l’OM en deçà des espérances du club et de son président, Vincent Labrune, qui avait tablé sur une troisième place en fin de saison. L'OM compte à ce jour 11 défaites en 22 matches.

A l’issue du revers vendredi soir contre Nantes (0-1), Baup s’était montré assez dépité. Il s’était longuement réuni avec son président, Vincent Labrune, et José Anigo, le directeur sportif. Ce dernier devrait assurer l’intérim jusqu’à la trêve.

Après seulement un tiers de la saison, Sochaux, Valenciennes, Ajaccio, Montpellier et donc l'OM ont déjà changé d'entraîneur...
R.R. avec Ba.C. et V.G.

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Phatlum sur le fil...

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Cyclisme Piste Record historique pour Pervis
François Pervis a battu le record du kilomètre détenu depuis 2001 par Arnaud Tournant. Le Français a amélioré le record de plus de deux secondes et demie (56''303).
Record du monde du kilomètre pour François Pervis









Le record du monde du kilomètre, détenu depuis octobre 2001 par Arnaud Tournant, est tombé. A l'époque, le Français était déjà le premier à être passé sous la minute et il avait organisé sa tentative en très haute altitude, au vélodrome de La Paz (Bolivie), pour bénéficier des meilleures conditions. Douze ans plus tard, son compatriote François Pervis a profité aussi de conditions assez rares, avec une Coupe du monde organisée à 1.800 m d'altitude, à Aguascalientes (Mexique). Sûr de son état de forme, il avait déjà battu le record du 200 m lancé vendredi soir, à 77 km/h de moyenne. Samedi, il a dynamité le chrono de Tournant, lui ôtant deux secondes et demies (56''303).

Cinq pistards ont fait mieux que Tournant samedi

Dans ce vélodrome, véritable nid à records, cinq hommes ont battu l'ancien record du monde. Quelques minutes avant Pervis, l'Allemand Maximilian Levy avait couvert le kilomètre en 57''949. Et dans les dernières séries, l'Allemand Joachim Eilers s'est offert la troisième place de l'épreuve en 57''980. Champion du monde de la spécialité, François Pervis sera le favori pour conserver son titre aux prochains Mondiaux mais cette discipline n'est plus olympique. Pour rêver d'or à Rio, le Français compte sur d'autres épreuves : le keirin, la vitesse par équipes et pourquoi pas la vitesse individuelle. Mais avec un représentant par nation, la concurrence avec Grégory Baugé s'annonce impitoyable.