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La photo de Maradona qui a provoqué un tollé sur Twitter

© Twitter.


Durant plusieurs années, Diego Maradona a souffert de gros problèmes de poids. En 2005, la légende vivante du football argentin a même subi une intervention chirurgicale en Colombie pour réduire la capacité d'absorption de son estomac.

Dalma Maradona: "Tu m'épates beaucoup"
Aujourd'hui, ces soucis de santé ne seraient plus qu'un mauvais souvenir. Comme en témoigne cette photo postée par sa fille Dalma, "El Pibe de Oro" a retrouvé la forme. Torse nu et visiblement très affûté, Diego a posé tel un bodybuilder. Une métamorphose impressionnante quand on se rappelle l'état physique de l'Argentin il y a quelques années.

"Cela me rend heureuse de te voir ainsi. Tu m'épates beaucoup!", a commenté Dalma sur Twitter.

Photo retouchée?
Inévitablement, il n'en fallait pas moins pour faire naître les premiers soupçons de Photoshop. Bon nombre d'internautes ont parlé d'une photo retouchée. La polémique a fait rage sur les réseaux sociaux. "Maradona, la photo à laquelle a du mal à croire", peut-on lire par exemple sur un site internet français.

Excédée par les critiques, Dalma s'est empressée de publier une deuxième photo (une sorte de collage) histoire de démontrer qu'il n'y avait aucun truquage. "C'est pathétique comme les gens peuvent s'amuser à critiquer. Je ne peux me remémorer un 'papucho' aussi bien physiquement. C'est tout ce qui compte", a-t-elle répondu à ses détracteurs.

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Rugby Top 14 AB-BO Afflelou : «Des propos contradictoires»
Alain Afflelou, le président du Conseil de surveillance de l'Aviron Bayonnais, justifie en partie pourquoi le club a mis un terme aux discussions avec Biarrtiz sur un rapprochement éventuel.
Alain Affleou, président de l'Aviron Bayonnais, refuse la fusion avec le Biarritz de Serge Blanco en raison de la situation financière du BO. (L'Equipe)









Il n'aura donc pas fallu plus d'une semaine pour que le projet commun de création d'une équipe de pro unique au pays basque ne meure. Après avoir officialisé l'arrêt des discussions par le biais d'un communiqué publié sur le site internet du club, Alain Afflelou a bien voulu en dire un peu plus. Et il semble bien que ce sont les graves problèmes financiers que connaît le BO qui ont en partie provoqué ce dernier coup de tonnerre. «Les propos tenus par Serge Blanco hier (mardi) et ce (mercredi) matin encore sont à l'opposé ce qui nous avait été dit il y a quinze jours, nous a confié Alain Afflelou. A savoir que le BO était dans une situation financière saine et sans soucis majeurs. Or, ce ne serait plus le cas...»

Mais désormais, quid d'Afflelou à l'Aviron ? Il y a une semaine, le partenaire financier principal de Bayonne (4 millions d'euros d'apport annuel direct ou indirect) avait lancé une phrase lourde de sens : «Je quitterai le club si la fusion ne se fait pas». Aujourd'hui, il clame haut et fort qu'il n'en est pas question. «J'avais dit que je m'en irai si l'union ne se faisait pas par la faute de l'Aviron, alors qu'elle était faisable. Mais là, il s'avère qu'elle n'est pas faisable sans que Bayonne en soit responsable. Donc, bien évidemment, je continue.»
Hamid IMAKHOUKHENE, à Bayonne

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Anelka défend Evra...

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Foot Ligue des Champions Chedjou: «Un truc de malade»
Aurélien Chedjou est un joueur heureux. Le défenseur central va découvrir pour la première fois les huitièmes de finale de la Ligue des champions après la victoire de Galatasaray sur la Juventus (1-0). Revenu à son meilleur niveau, le roc camerounais nous raconte cet exploit.
Aurélien Chedjou et Gokhan Zan célèbrent la victoire de Galatasaray face à la Juve. (AFP)









«Aurélien Chedjou, comment s’est passée cette rencontre ?
Ça a été un un truc de malade ! Je n’ai jamais vécu une telle ambiance en club, c’était totalement dingue. Le public a été exceptionnel, hallucinant malgré le froid, malgré les intempéries… Un moment inoubliable. J’avais un peu peur, j’avoue, car ce n’était pas évident de jouer le lendemain et seulement une heure d’un match débuté la veille. Nous ne sommes pas habitués à ça et la préparation n’a pas été facile.

Comment avez-vous justement préparé cette rencontre ?
Je n’ai quasiment pas dormi de la nuit, disons quatre heures à tout casser. Je n’arrive pas à dormir après les matches à cause de l’adrénaline. Je ne me suis donc jamais préparé de cette manière. On a mangé ensuite à midi. Et quand vous arrivez au stade, au départ, ce n’est franchement pas évident de s’y remettre. On ne savait pas non plus comment serait l’ambiance. Et là, quand on a vu les fans, on s’est dit qu’on allait aussi se battre pour eux. On comprend à ce moment comment des supporters peuvent te pousser à donner le meilleur de toi-même.

Comment était-il possible de jouer sur un terrain qui ressemblait à un champ ?
(Il rigole) C’est exactement ça, c’était un champ. On ne pouvait pas faire deux passes de suite et puis Didier (Drogba) a dévié de la tête et Sneijder a marqué. On s’est adaptés. On était comme des dingues ensuite.


«La presse italienne nous a motivé!»

A la fin, on a d’ailleurs eu l’impression que vous aviez remporté la Coupe d’Europe, non ?
(Rires) Disons que les médias italiens avaient dit des mots qui nous avaient touchés dans notre fierté. Juste avant le match, on nous a rappelé qu’ils avaient expliqué que la Juve rencontrait deux caramels, Copenhague et nous. Mais attention, les joueurs italiens ne nous ont pas pris de haut, eux. N’empêche que cette presse nous a motivés. On n’a pas le droit de sous-estimer des adversaires à ce point.

Ce succès est aussi très important pour Galatasaray qui ne réussit pas un début de saison exceptionnel.
Ça aurait été terrible si on avait été éliminés. Et c’est ce qu’on s’est tous dit entre joueurs dans le vestiaire. On est fiers et heureux pour le club et ses supporters.
Recueilli par Hervé PENOT

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«Florent était très déçu»...

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Voile C. America Le Team France est lancé
Franck Cammas, Michel Desjoyeaux, Olivier de Kersauson et Stéphane Kandler se sont associés dans un défi français afin de gagner la Coupe de l'America.
Michel Desjoyeaux et Franck Cammas sont partenaires pour permettre à la France de remporter la Coupe de l'America. (L'Equipe)









Franck Cammas a présenté mercredi les bases d'une équipe, Team France, pour remporter la Coupe de l'America. Le vainqueur de la Route du Rhum et de la Volvo Ocean Race, qui a été élu lundi Marin de l'année, pour la deuxième année consécutive, souhaite «unir le plus de talents français» pour remporter le prestigieux trophée. Cammas s'est entouré de Michel Desjoyeaux, double vainqueur du Vendée Globe, Olivier de Kersauson, ancien détenteur du Trophée Jules-Verne, et Stéphane Kandler, qui a dirigé le défi Areva lors de la Coupe 2007.

«Nous n'avons pas la prétention de montrer aujourd'hui une équipe définitive, a déclaré Franck Cammas. Nous n'avons pas de partenaires (financiers) mais Groupama (son parraineur) nous permet de sécuriser pendant deux ans. Il faudra quatre-vingt personnes pour monter une équipe.» Concernant le budget nécessaire, le navigateur français a évoqué vingt millions d'euros par an : «C'est un minimum mais ça nous permettrait de partir». Il a aussi insisté sur le fait qu'il y avait «une urgence» : empêcher les talents français de passer à la concurrence étrangère.

«On est en pleine période de mercato», a confirmé Michel Desjoyeaux. De nombreux archictectes et designers français ont déjà rejoint d'autres défis ou sont sur le point de le faire. «Nous sommes bien conscients que la situation économique n'est pas facile, a-t-il poursuivi. Mais on n'attend pas de la puissance publique qu'elle finance ce défi-là.» «Quelque chose est en train de se passer, a commenté Stéphane Kandler. La Coupe de l'America mérite un soutien national. C'est de la haute technologie. C'est un défi. Je suis convaincu que le potentiel est là. C'est la bonne combinaison et, sur la base de ce que j'ai vu, je suis persuadé que ça va marcher.»
Avec AFP

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Damiao et E.Vargas vers Santos...

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Kockott, quel cirque !
mercredi 11 décembre 2013
ARNAUD REQUENNA

Rory Kockott, est une pièce maîtresse du CO, mais aussi un élément difficile à gérer. (Photo Richard Martin/L'Équipe)








Le talentueux demi de mêlée castrais, qui a porté le CO jusqu'au Brennus en juin, a signé à Toulon. Où il n'est plus certain d'aller. Des changements habituels depuis un an.
ON VA BIENTÔT POUVOIR fêter ça : presque un an que Rory Kockott fout le bazar. Partout. Sur le terrain, jusqu'à ridiculiser la défense toulonnaise en finale du Top 14 pour offrir le bouclier de Brennus à Castres, le 1er juin (19-14). Et en dehors, un formidable festival. Le 8 janvier, il...

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Yachine, le seul gardien en or

19 réponses
Ce n’est pas une surprise. On connaît maintenant les trois « finalistes » du Ballon d’Or 2013: Lionel Messi, Franck Ribéry et Cristiano Ronaldo. Il y a 50 ans, en 1963, un événement unique s’est produit à l’occasion de ce qui était à l’époque le Ballon d’or « France-Football »: l’élection d’un gardien de but au titre de meilleur joueur européen. Il s’agissait du gardien du Dynamo Moscou et de l’équipe d’URSS, Lev Yachine.
Cette année-là, Yachine devançait: Gianni Rivera (Milan AC), Jimmy Greaves (Tottenham), Dennis Law (Manchester United) et Eusebio (Benfica). Soit deux milieux de terrain et deux attaquants.
Yachine, au côté de Netto avant la finale de l’Euro 1960

Sur les 21 journalistes du jury, onze avaient placé le Russe à la première place, dix-sept l’avaient nommé parmi leurs cinq sélectionnés.
Quels furent les arguments qui ont plaidé en faveur de Yachine en 1963 ?

• Son rôle prépondérant dans l’obtention du titre de champion d’URSS par le Dynamo;
• ses performances avec l’URSS, surtout celle de Rome, le 10 novembre précédent, où l’URSS a éliminé l’Italie en qualifications du championnat d’Europe en tenant le match nul 1-1, alors qu’elle avait remporté le match aller 2-0;
• sa démonstration, télévisée dans le monde entier le 23 octobre, au sein de la sélection de la FIFA lors du match de gala pour les 75 ans de la Fédération anglaise, à Wembley.

Ces deux performances ont précédé de peu le vote du jury. Cela a pu jouer. D’ailleurs, dans le commentaire de France-Football, on lit, au sujet de Gianni Rivera, vainqueur de la Coupe des champions avec son club:
« Si notre référendum avait eu lieu en juin, il aurait enlevé la palme de très loin. »

• Le choix de Yachine récompense aussi l’ensemble de la carrière de ce joueur alors âgé de 34 ans qui, selon Jean-Philippe Réthacker, dans France-Football, « a ouvert la cage du gardien ».

Les années qui suivent les Coupes du monde sont parfois, des années de transition d’une génération à une autre. C’est ce que suggère Max Urbini, dans le même numéro de France-Football qui commente l’élection:
« Yachine est un monstre sacré qu’il fallait distinguer, le dernier superman d’une génération, celle de Di Stefano, Puskas et même de Kopa. Oui, le dernier. Car derrière lui la nouvelle vague déferle et s’impose irrésistiblement. »
A l’appui de sa démonstration, Urbini notait l’âge des cinq premiers du classement: 1. Yachine, 34 ans; 2. Rivera, 20 ans; 3. Greaves, 23 ans; 4. Law, 23 ans; 5. Eusebio, 20 ans. Il en déduisait: « la preuve indiscutable que la page est tournée. »
au stade Lénine, Max Urbini (à droite) remet le Ballon d’Or à Lev Yachine

L’élection de Yachine eut un grand retentissement en URSS. C’était la première fois qu’un footballeur soviétique recevait une distinction de la part d’un organisme occidental.
Yachine reçut le trophée de France-Football le 27 mai 1964, au stade Lénine, avant le match URSS-Suède (3-1) qui qualifiait l’équipe soviétique pour le tour final du championnat d’Europe. L’URSS et Yachine y perdront en finale contre l’Espagne (2-1), dans un match considéré comme un événement international, au-delà de l’aspect sportif: l’Espagne de Franco – présent dans les tribunes – et l’URSS n’entretenaient pas de relations diplomatiques à cette époque.
On verra encore Yachine au plus haut niveau mondial, lors de la Coupe du monde 1966 en Angleterre où l’URSS atteignit les demi-finales. En 1970, à plus de 40 ans, il figurera parmi les 22 Soviétiques de la Coupe du monde, mais ne jouera aucun match, le titulaire étant Anzor Kavazachvili.
Lev Yachine a été présenté comme le meilleur gardien de but du monde, à la suite de l’Espagnol Ricardo Zamora, le meilleur joueur à son poste dans les années de l’entre-deux Guerres.
Aucun autre gardien n’a rejoint Yachine au palmarès du Ballon d’or. Depuis 50 ans, seuls quatre gardiens ont figuré sur le podium:

• l’Italien Dino Zoff, 2e en 1973;
• le Tchécoslovaque Ivo Viktor, 3e en 1976;
• l’Allemand Oliver Kahn, 3e en 2001 et en 2002;
• l’Italien Gianluigi Buffon, 2e en 2006.

Il faudrait qu’un gardien réussisse des prouesses personnelles extraordinaires pour devenir le Ballon d’or 2014, 51 ans après le grand Yachine.
Didier Braun

Cette entrée a été publiée dans Les immortels, et marquée avec Ballon d'or, gardien de but, Yachine (Lev), le 10 décembre 2013 par didierbraun.

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Bâle perd ses illusions à Gelsenkirchen

11.12.2013 22:35 mise à jour le 12.12.2013 à 01:58
Draxler ouvre le score pour Schalke et plonge les Bâlois en plein désarroi. [Martin Meissner - Keystone]

Schalke 04
2 - 0
FC Bâle



Battu 2-0 par Schalke, le FC Bâle quitte la Ligue des champions au stade de la phase de poules et sera reversé en Europa League. Rageant, pour des Rhénans très peu aidés par les décisions du trio arbitral.
Le FC Bâle ne connaîtra pas les joies de la Ligue des champions au printemps prochain. Les hommes de Murat Yakin se sont inclinés 2-0 contre Schalke à Gelsenkirchen, alors qu'il leur suffisait d'un point pour se hisser en 8es de finale.
Troisièmes de leur groupe, les Rhénans ne quittent pas l'Europe pour autant puisqu'ils seront reversés en Europa League, compétition dans laquelle ils avaient atteint les demi-finales la saison dernière. Maigre consolation...
Mais plus que l'élimination en elle-même, ce sont ses circonstances qui laisseront un goût amer aux Rhénans. Car ces derniers ont payé au prix fort les erreurs de l'arbitre italien M.Tagliavento.
Deux décisions qui coûtent cher

Rapidement réduits à 10, Salah et le FCB ont été submergés. [Georgios Kefalas - Keystone] Le directeur de jeu a ainsi donné tout son sens à l'expression "deux poids, deux mesures" en décidant d'expulser sévèrement Ivan Ivanov (31e) pour une (très légère) faute de dernier recours, alors que trois minutes plus tôt, il n'avait montré que du jaune à Höwedes pour une faute similaire sur Streller.
Ironie de l'histoire, le capitaine de Schalke, blessé sur l'action, avait dû céder dans la foulée sa place à Szalai, victime de la faute d'Ivanov. C'est donc ave un homme de moins que les Bâlois ont par craquer sur une réussite de Draxler (51e), déjà buteur à l'aller au Parc St-Jacques.
Mais si cette décision s'est avérée difficile à avaler pour le FCB, que dire du deuxième but des "Knappen" signé Matip (57e)? Quatre Allemands en position plus qu'évidente de hors-jeu n'ont visiblement pas suffi au trio arbitral pour y trouver quelque chose de suspect.
Schalke a fait le match qu'il fallait

Mais effectuer le facile raccourci entre les décisions arbitrales et la défaite du FC Bâle serait injuste pour Schalke. Dans l'obligation de gagner pour se qualifier, les hommes de Jens Keller ont fait le match qu'il fallait.
Farfan (ici face à Serey Die) a causé beaucoup de problèmes à la défense bâloise. [Martin Meissner - Keystone] Disciplinés, les "Knappen" ne sont pas tombés dans le piège de l'attaque à tout-va. L'entraîneur allemand avait prévenu: "nous avons 90 minutes pour marquer un but de plus que Bâle." Le message a été entendu par ses hommes.
Poussés par les 52'000 spectateurs de la Schalke Arena, ils n'avaient par ailleurs pas attendu d'être en supériorité numérique pour donner des sueurs froides au FCB avec, notamment, un ballon dévié sur la barre par Xhaka (11e), un tir de Meyer sauvé sur sa ligne par Xhaka (11e) et une tentative de Farfan détournée miraculeusement par Sommer (43e).
Serey Die: "On nous a volés!"

GEOFFROY SEREY DIE: Avec l'aide de l'arbitre, ils ont réussi à nous battre. On nous a volés. Ca fait mal, c'est tout ce que je peux dire. On n'a pas le choix, il faut faire avec...
L'arbitre se prend pour Dieu. Nous joueurs, on ne peut rien lui dire, on doit juste fermer notre gueule et nous remettre au boulot. C'est grave, il faut faire quelque chose contre une telle attitude. Ca fait mal au coeur.
Je suis très en colère, mais il faut essayer de relativiser. Il se passe des choses plus graves dans le monde, des gens n'ont pas à manger. Ca reste un match de football.
Sommer: "Pas mal de choses contre nous ce soir"

YANN SOMMER: C'est clair qu'on est très déçus. Il y a eu beaucoup de choses contre nous ce soir (réd: mercredi). Après le carton rouge, c'était très difficile. On peut discuter longtemps de cette décision, mais l'arbitre l'a prise. On ne peut rien dire. Je n'aime pas beaucoup discuter de l'arbitrage.
Je pense qu'on a bien entamé le match. Schalke, c'est très fort. A onze contre onze, ça change tout.
On est déçus, mais on a montré encore une fois qu'on avait le niveau européen. Les deux matches nuls contre Bucarest? C'est dommage...
Yakin n'a pas compris les décisions arbitrales. [Friso Gentsch - Keystone] Yakin: "Je retiens notre belle campagne"

MURAT YAKIN (entraîneur du FCB): Pour le moment, nous sommes évidemment déçus. Mais je tiens à féliciter Schalke pour sa qualification. Je retiens la belle campagne disputée par mon équipe.
On ne peut rien faire contre les décisions arbitrales, il n'y a aucune possibilité de contester. Le deuxième but de Schalke est incroyable. je ne comprends pas comment on peut ne pas voir le hors-jeu. C'est vraiment dommage.
BERNHARD HEUSLER (président du FCB): Ca me fait surtout de la peine pour l'équipe, les joueurs ont tout donné. Jouer l'Europa League ne va pas changer notre stratégie. L'objectif no 1 reste d'être champion de Suisse. L'arbitrage? Je ne dis rien (sourire).
De Gelsenkirchen, Axel David

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Cruelle élimination pour le Napoli

11.12.2013 22:44 mise à jour à 22:52
Dzemaili & Cie ont fait le boulot contre Arsenal, mais cela n'aura pas payé. [Cesare Abbate - Keystone]

Naples
2 - 0
Arsenal



Vainqueur d'Arsenal (2-0), Napoli et ses Suisses joueront en Europa League au printemps, la faute à la victoire de Dortmund sur le tard à Marseille (1-2). Fait rarissime, les Italiens quittent la compétition en ayant pourtant récolté... 12 points, soit autant que Chelsea, qui remporte le groupe E!
Les Allemands ont longtemps peiné à Marseille avant le but libérateur de Grosskreutz à la 87e.
Lewandowski avait rapidement débloqué la situation. Mais l'égalisation inattendue de Diawara a sonné le Borussia. Très nerveux, les joueurs de En l'absence de Messi, Neymar a assuré le spectacle au Nou Camp. [Keystone] Jürgen Klopp ont ensuite manqué de nombreuses occasions avant d'infliger à l'OM un sixième revers. Dortmund termine même en tête du groupe, car Arsenal s'est incliné à Naples.
Les trois équipes ont totalisé 12 points, et c'est la différence de buts de leurs confrontations qui a été déterminante, au détriment des Italiens.
Neymar brille, Milan a eu très chaud

Barcelone a cimenté sa première place grâce à sa démonstration 6-1 contre le Celtic Glasgow. Neymar, auteur d'un triplé, a ouvert avec brio son compteur en Ligue des champions. Le deuxième qualifié du groupe est l'AC Milan.
Les Milanais ont été réduits à dix dès la 22e et l'expulsion de Montolivo. Ajax, qui avait touché un montant par Poulsen, a fait le jeu pour chercher la victoire qui les qualifiait. Mais les rossoneri ont défendu avec acharnement et ont évité la défaite.
si/bond

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La Suisse posera ses valises à Porto Seguro

12.12.2013 15:57 mise à jour à 16:10
Salvador se trouve à 400 km, Brasilia à 1400 et Manaus à 2700 km. [Peter Klaunzer - Keystone]


L'équipe de Suisse prendra ses quartiers à Porto Seguro, sur la côte atlantique sud, durant la Coupe du monde 2014. Elle y restera durant toute la durée de son séjour brésilien, qu'elle espère évidemment le plus long possible.
Les Suisses seront basés dans un complexe hôtelier cinq étoiles, "La Torre", dirigé par un Luxembourgeois. La ville de Porto Seguro, qui compte 140'000 habitants, se trouve à proximité, alors que l'aéroport n'est qu'à dix kilomètres.
L'équipe dirigée par Ottmar Hitzfeld occupera des appartements séparés des autres touristes qui séjourneront dans le complexe. Le terrain d'entraînement de Porto Seguro pourra être atteint en un quart d'heure de bus. [Peter Klaunzer - Keystone] Le stade d'entraînement se trouve pour l'instant dans un état de délabrement avancé, mais l'Etat de Bahia, dans lequel se trouve Porto Seguro, va investir 2,5 millions d'euros pour le rénover. Une délégation de l'Association suisse de football ira inspecter l'avancement des travaux en février.
Initialement, l'ASF avait prévu un camp de base situé au sud, à Guaruja, près de Sao Paulo. Mais le tirage au sort du 6 décembre a changé la donne, puisque les Suisses disputeront leurs trois matches du groupe E dans le nord du pays, où les conditions climatiques sont différentes. Depuis Porto Seguro, les trois stades seront atteints plus rapidement que depuis Guaruja.
si/baru

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Federer fonde sa société de management

12.12.2013 10:55 mise à jour à 13:01 Réagir
Federer prend en quelque sorte Del Potro sous son aile. [Eddie Keogh - Reuters]



Roger Federer a fondé sa société de management, en collaboration avec son agent Tony Godsick et 2 investisseurs américains. Team8 représentera les intérêts du Bâlois ainsi que de quelques autres champions, comme Juan Martin Del Potro (ATP 5) ou Grigor Dimitrov (23). "Nous essayons d'être une petite agence qui ne va s'occuper que de quelques athlètes d'exception", a déclaré Godsick au quotidien "New York Times".