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Lindsey Vonn biffe St-Moritz de sa carte Coupe du monde

12.12.2013 08:56 mise à jour à 09:19 Réagir
On ne verra pas le sourire de Lindsey Vonn à St-Moritz. [Mike Sturk - Keystone]


Lindsey Vonn, touchée à un genou il y a 3 semaines, fait l'impasse sur l'étape de St-Moritz qui se tiendra ce week-end. St-Moritz est pourtant une station où elle a souvent brillé: la skieuse de Park City y avait encore remporté le super-G l'année dernière.
Vonn avait effectué son retour à la compétition le 6 décembre. [Eric Bolte - Reuters] Si elle manquera ainsi un super-G et un géant dans la très chic station des Grisons, Vonn prévoit en revanche d'être bien au portillon de départ de la descente le 21 décembre à Val d'Isère.
L'Américaine, championne olympique en titre de la descente, a décidé de prendre la Coupe du monde à la carte cette saison. Et ce pour mieux se préserver en vue des Jeux de Sotchi (07-23.02.14).
Lindsey Vonn a retrouvé le circuit majeur la semaine passée lors des épreuves de vitesse à Lake Louise au Canada, dix mois après sa grosse blessure au genou droit, regagnant confiance au fil du week-end qui s'est achevé pour elle par une 5e place en super-G.
afp/bao

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GC se sépare de son président André Dosé

12.12.2013 10:13 mise à jour à 14:04
Sous la présidence d'André Dosé, GC a conquis la Coupe de Suisse 2013. [Steffen Schmidt - Keystone]


André Dosé n'est plus le président des Grasshoppers. Cette séparation, qui surprend, intervient avec effet immédiat, les attentes du club sur le plan financier n'ayant pas été remplies.
"André Dosé et le conseil d'administration ne sont pas parvenus à trouver une base commune qui aurait permis de faire le lien entre les ambitions sportives à court terme et les buts ainsi que les moyens financiers sur le long terme du club", relève Grasshopper dans un communiqué alambiqué. Conséquence, les deux parties (Dosé et le conseil d'administration/CA) mettent fin à leur collaboration sans délai.
L'ex-patron de la compagnie aérienne Swiss avait pris ses fonctions le 1er avril 2012. Sous son aile, le club a retrouvé une partie de son lustre d'antan, remportant la Coupe de Suisse la saison passée et finissant 2e de Super League, après avoir contesté le titre à Bâle jusqu'au bout. GC s'appuie notamment sur de jeunes joueurs du cru talentueux.
Aucune indication n'a été donnée quant à la succession. Les prérogatives du président sont reprises dans l'immédiat par le CA.
si/jbla

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http://www.tdg.ch/sports/actu/erreur...story/22360063

Football

L'erreur d'arbitrage qui a enterré les espoirs bâlois




«Ça fait vraiment mal à cœur. On ne peut rien faire, rien dire. Car si on parle, on ramasse tout de suite. On va fermer notre gueule, mais je pense qu'on nous a volé.»
A chaud, au micro de la RTS mercredi 11 décembre, Serey Die a fait tout ce qu'il a pu pour contenir sa colère. Éliminés de la Ligue des Champions, les joueurs de Murat Yakin ont le droit de l'avoir mauvaise.
Alors qu'ils avaient seulement besoin d'un petit point pour se qualifier pour les 8es de finale, les Bâlois ont fait chou blanc à Gelsenkirchen. La faute, en partie, à Paolo Tagliavento et ses assesseurs, qui ont invariablement pesé sur le sort de la rencontre.
Quatre joueurs hors jeu
On joue la 57e minute. Bâle est déjà réduit à dix après l'expulsion sévère d'Ivanov. Balle arrêtée pour Schalke 04. Sur ce coup franc venu de la droite, Bâle tente et réussit sa combinaison défensive. Une merveille de coordination collective avec pour objectif de mettre hors jeu les attaquants allemands.
Le coup est parfait. Pas un, mais quatre joueurs sont clairement hors jeu sur la vidéo. Mais ni l'arbitre, ni son juge de touche, ne bronche. Seul face à Sommer, Matip crucifie Bâle. A 2-0, les carottes sont cuites et les Allemands ont juste eu à fermer boutique.
Alors certes, l'élimination ne repose pas uniquement sur cette erreur d'arbitrage. Trop peu dangereux hier pour un match couperet, les Bâlois ont peut-être aussi pêché par manque d'ambition, peut-être par peur de gagner.
Mais si le score était resté à 1-0 à l'heure de jeu, il y avait encore suffisamment de temps pour emballer la partie vers le but allemand. Et arracher, qui sait, une égalisation, synonyme de huitièmes de finale.
En plus d'une place dans le top 16 continental, le club rhénan a perdu gros sur le plan financier hier. En effet, une qualification lui aurait rapporté entre 7 et 8 millions de francs au minimum, hors droits TV. Pour une soirée, ça fait beaucoup.

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Un spectre chilien hante une jolie Hollandaise

FOOTBALL

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Un équipementier avait déjà mis en scène le fantôme uruguayen de 1950, qui reviendra planer sur le Brésil durant le Mondial 2014. Une marque de bière chilienne a maintenant inventé le spectre de Santiago, qui se balade jusque dans les cabines de douche en Hollande.

http://www.lematin.ch/sports/footbal...story/27762786

A six mois de l'événement, les sponsors et les marques ne manquent pas de profiter - déjà - de l'impact commercial que constitue la Coupe du monde de football 2014 au Brésil.
Après l'équipementier Puma qui, dans un récent spot publicitaire, faisait planer sur Rio le fantôme uruguayen de 1950, c'est au tour d'une marque de bière chilienne de donner vie à un spectre. Il nous vient de Santiago et, à l'approche du match Pays-Bas-Chili du 23 juin prochain, il terrorise par avance cette jolie supportrice néerlandaise. (Le Matin)

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Mondial 2014

Visitez l'hôtel de l'équipe de Suisse pour le Mondial

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L'équipe de Suisse sera basée dans un complexe hôtelier cinq étoiles, «La Torre», à Porto Seguro. Voici les images du futur camp de base de la Nati.

1/19 Mondial 2014
Les Suisses seront basés dans un complexe hôtelier cinq étoiles, «La Torre», à Porto Seguro.
Image: Keystone




L'équipe de Suisse prendra ses quartiers à Porto Seguro, sur la côte atlantique sud, durant la Coupe du monde 2014. Elle y restera durant toute la durée de son séjour brésilien, qu'elle espère évidemment le plus long possible.
Les Suisses seront basés dans un complexe hôtelier cinq étoiles, «La Torre», dirigé par un Luxembourgeois. La ville de Porto Seguro, qui compte 140'000 habitants, se trouve à proximité, alors que l'aéroport n'est qu'à dix kilomètres.
L'équipe dirigée par Ottmar Hitzfeld occupera des appartements séparés des autres touristes qui séjourneront dans le complexe. Le terrain d'entraînement pourra être atteint en un quart d'heure de bus.
Conditions différentes
Le stade se trouve pour l'instant dans un état de délabrement avancé, mais l'Etat de Bahia, dans lequel se trouve Porto Seguro, va investir 2,5 millions d'euros pour le rénover. Une délégation de l'Association suisse de football ira inspecter l'avancement des travaux en février.
Initialement, l'ASF avait prévu un camp de base situé au sud, à Guaruja, près de Sao Paulo. Mais le tirage au sort du 6 décembre a changé la donne, puisque les Suisses disputeront leurs trois matches du groupe E dans le nord du pays, où les conditions climatiques sont différentes.
Depuis Porto Seguro, les trois stades seront atteints plus rapidement que depuis Guaruja. Salvador se trouve à 400 km, Brasilia à 1400 et Manaus à 2700 km.

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Rugby Top 14 Inéluctable, le grand club basque
Ancien président du BO, trois titres de champion de France au palmarès (2002, 2005 et 2006), Marcel Martin décrypte la fusion basque, analyse les raisons de ce rapprochement et s'interroge sur l'avenir économique du rugby.
Le Biarrot Jean-Philippe Genevois en défense face au Bayonnais David Roumieu, cette saison, à Jean-Dauger. (L'Equipe)









Pour Marcel Martin, ancien président du Biarritz Olympique (1998-2008), à l’origine de la création de la Coupe du monde, le rugby a changé d’ère en 1995, quand «le professionnalisme a été lancé. Il a dix-huit ans. Aujourd’hui, le rugby pro est majeur». Proche d’Albert Ferrasse et de Bernard Lapasset, deux anciens présidents de la FFR, cet arbitre avait prédit «il y a de cela dix-huit ans un bouleversement complet» de la géographie du rugby français des clubs. «Puisqu’il s’agit de payer des joueurs, des zones de tradition et de culture seront supplantées par les zones économiques.» Pour ce dirigeant de haut vol, «le mouvement enclenché était normal.»

Entente plutôt que fusion

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Encore fallait-il l’anticiper. Au cœur de l’idée même de fusion qui fait l’actualité chaude - il préfère le mot «entente» - entre Bayonne et Biarritz, Marcel Martin, président de l'UCPR (syndicat des présidents de club), analyse d’abord l’histoire du BO avant de se projeter vers l’avenir. «Biarritz a pu trouver des ressources pour être au sommet, mais en utilisant le maximum de son potentiel. Il a usé de la générosité de M. Serge Kampf d’abord, de Cap Gemini ensuite. Il a construit ses tribunes, drainé un maximum de supporteurs et de partenaires locaux et il s’est retrouvé à son plafond. Pendant ce temps, les clubs qui étaient dans les zones économiques à fort potentiel de développement (Montpellier, le Racing-Métro, le Stade Français, Perpignan, Grenoble, Toulon, Clermont, ...) se sont mis à bâtir. Avec des mécènes d’abord et ensuite le relais des grandes entreprises. Désormais, ces clubs-là sont largement devant nous. Et malheureusement, il n’y a de possibilité d’évolution ni à Bayonne, ni à Biarritz.»

Un dossier à l'arrêt

«Quel sponsor national viendra mettre son nom sur le maillot de Biarritz et de Bayonne?» C’est avec crainte et agacement que Marcel Martin, l’un des sages du rugby français, membre du comité directeur de la LNR et président d'honneur du BO, voit l’avancée d’hier entre Bayonne et Biarritz se transformer aujourd’hui en défiance des dirigeants bayonnais envers le BO, coupable à leurs yeux de couver un important déficit financier.

Pour lui, avant de regarder les bilans comptables, «on peut se poser la question que tous les supporteurs devraient se poser : si demain Cap Gemini et M. Afflelou s’en vont, que se passera-t-il ? Quel sponsor national viendra mettre son nom sur le maillot de Biarritz et de Bayonne, surtout si ces deux clubs évoluent en bas du classement de Top 14, voire en ProD2 ?» Les interrogations, multiples et variées, plombent désormais le dossier «fusion» entre le BO et l’Aviron. Jusqu’au prochain épisode.

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans l'édition de L'Equipe du 13 décembre 2013.
Richard ESCOT

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Foot Ligue 1 ASM Falcao «très content» à Monaco
Falcao a pris part à une séance de dédicaces, ce jeudi, dans la boutique officielle de l'AS Monaco. (L'Equipe)









Absent des terrains depuis sa sortie à Nantes (1-0 le 24 novembre), Radamel Falcao suscite beaucoup de questions. Avant une séance de dédicaces à Monaco, le Colombien s'est exprimé pour la première fois. «Je suis très content à Monaco. Je n’ai pas de problème avec l’entraîneur, juste ma cuisse. Mais je vais bientôt rejouer. Je me sens mieux. Il y a beaucoup de spéculations autour de moi. Il me reste cinq ans de contrat, et je suis très content ici», a simplement affirmé, en français, le Colombien, encore forfait à Guingamp samedi, officiellement en raison d'une blessure à la cuisse.

L'idée d'un départ en janvier ne semble donc pas d'actualité pour le buteur monégasque. «Ma femme est très contente d'habiter ici, a-t-il poursuivi. Je veux remercier en priorité Claudio Ranieri, qui garde patience dans ces moments, qui attend que je sois mieux sans me mettre la pression et en me gardant sa confiance. Je veux aussi remercier le club qui s'est toujours très bien comporté avec moi. Les gens qui sont à mes côtés savent très bien que je suis très bien à Monaco et que tout se passe bien avec le club.»
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A la recherche de nouvelles écuries...

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Foot Ligue Europa Lyon Gagner pour finir 1er
Leader invaincu du groupe I, Lyon doit gagner pour être sûr de terminer premier. Un faux-pas à Guimaraes (21h05), et c'est le Betis Séville qui pourrait doubler l'OL. Ce dernier pourrait alors retrouver Naples, Donetsk ou le Benfica en 16es...
Jamais titulaire en L1, Pléa a du temps de jeu en Ligue Europa. (L'Equipe)









Lyon a tellement la tête à son match de Ligue 1 prévu dimanche contre Marseille que c’est Alassane Pléa qui s’est présenté mercredi pour la conférence de presse avant la rencontre de Ligue Europa sur le terrain du Vitoria Guimaraes : «C’est une opportunité, notamment pour confirmer la confiance du coach qui donne sa chance aux jeunes. J’espère apporter ma jeunesse, mon enthousiasme, mes qualités pour le collectif. C’est un match pour se faire voir. C’est une chance d’avoir du temps de jeu dans cette compétition.» Un joueur de 20 ans jamais titularisé en Championnat, donc, pour un match européen, cela a de quoi surprendre. Mais cela a été dans le sens du groupe qui a voyagé avec Rémi Garde : privé de Dabo, Ghezzal ou encore Briand (blessés), le coach de l’OL a laissé Vercoutre, M.Lopes, Umtiti, Bedimo, Gonalons, Grenier, Fofana ou encore Lacazette en France.

Finir premier rapporte gros

«Les équipes sont proches comme on l’a vu à Gerland. Vitoria aura à cœur de bien terminer cette compétition. Je ne m’attends pas à une partie spécialement facile jeudi soir. Le Vitoria aurait pu se qualifier», a expliqué Rémi Garde. Jusqu’alors invaincu en Ligue Europa, Lyon a une chose à perdre : la place de leader. Si le Betis Séville fait un meilleur résultat face à Rijeka que l’OL sur le terrain de Guimaraes, il passera devant. Et le club de Jean-Michel Aulas, qui se déplacerait au retour, serait en plus à la merci des quatre meilleurs 3es de la phase de groupes de la Ligue des champions : Naples, Benfica, Donetsk ou Bâle. Une perspective pas vraiment plaisante pour des Lyonnais qui aimeraient bien aller loin en Ligue Europa vu la tournure que prend leur saison de Ligue 1. - C.O.-B.

«Pour nous, décrocher une victoire est une question de prestige et d'argent (200 000 euros le succès en C3)», ont expliqué l'entraîneur Rui Vitoria et Tomané lors de la conférence de presse du Vitoria. Pour cela, le club portugais (7e de son Championnat) espère que Moussa Maazou retrouvera enfin le chemin des filets. La dernière fois, c'était le 3 octobre, à Gerland (1-1).
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Les Spurs se sont baladés...

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Natation Championnat d'Europe (P) Stravius améliore son record
Jérémy Stravius a réussi le meilleur chrono (50''04) de sa demi-finale du 100m papillon, jeudi à Herning lors des Championnats d'Europe en petit bassin. Il améliore ainsi son record de France.
Jérémy Stravius a assuré en se qualifiant en demies du 100m papillon, une distance encore nouvelle pour lui. (L'Equipe)









Qualifié dans la matinée pour les demi-finales du 100m papillon, nouvelle distance pour lui, avec seulement le cinquième temps, Jérémy Stravius a frappé fort aux Championnats d'Europe en petit bassin à Herning, ce jeudi après-midi. L'Amiénois a en effet remporté sa demie, améliorant au passage son record de France (50''04). A Dijon la semaine dernière, il avait déjà porté l'ancien record de Frédérick Bousquet (50''48) à 50''06. Il aura fort à faire en finale face à l'Allemand Steffen Deibler, qui s'est baladé dans l'autre demie (49''89) ou encore le Russe Evgeny Korotyshkin (50''17), vice-champion olympique 2012 de la distance et troisième chrono ce jeudi.

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Camille Muffat, elle, n'ira pas en finale du 100m nage libre pour huit petits centièmes (53''64). Ça passe en revanche pour Charlotte Bonnet (53''53), cinquième de la première demi-finale devant sa coéquipière niçoise. Bonnet s'est également alignée quelques minutes plus tard sur le relais 4x50m nage libre. Mais les Françaises ont terminé loin du podium et ont été disqualifiées, le titre revenant au Danemark.

Hosszu et Morozov au rendez-vous




De son côté, Giacomo Perez Dortona a répondu présent en demi-finale du 100m brasse, en terminant deuxième (58''05) derrière l'Allemand Marco Koch (57''62). Sans surprise, Vladimir Morozov a profité du forfait de Florent Manaudou pour assommer le 50m nage libre (20''77). «J'ai été malade alors ce n'était pas facile de nager, a-t-il commenté. Mais sans Manaudou, je savais que ce chrono suffirait pour gagner». Le Russe, également titré en relais, fait le doublé en petit bassin après son titre mondial l'an passé à Istanbul. Enfin, Katinka Hosszu a décroché le titre sur 200m 4 nages (2'04''33), terminant devant les Britanniques Siobhan-Marie O'Connor (2'06''73) et Sophie Allen (2'06''86). (avec AFP)
Rédaction

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Patinage artistique ChF Méité bien partie
Avec près de neuf points d'avance ce jeudi, Maé-Bérénice Méité semble sans concurrence aux Championnats de France de Vaujany.
Maé-Bérénice Méité a bien négocié son entrée en lice. (L'Equipe)









«J’étais un peu stressée...» Forcément, après quatre médailles d’argent, Maé-Bérénice Méité pouvait légitimement appréhender son entrée en lice à Vaujany (Isère). Depuis le temps qu’on lui promet le titre national ! Ce jeudi, la jeune femme (19 ans) a joliment maîtrisé ses nerfs et ce programme court au blues séduisant. «Dès que la musique commence, on oublie tout, sourit-elle. Je me dis : "Fonce ! Tu ne peux plus sortir".» Dixième européenne et onzième mondiale l’hiver dernier, Méité mène largement l’épreuve avec 61,69 points, devant Lénaelle Gilleron-Gorry et Anaïs Ventard, qui se tiennent dans un mouchoir (52,86 contre 52,03).

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Dans la foulée, Vanessa James et Morgan Ciprès ont étalé leurs progrès en couple (61,34 pts). «On est tout seuls», regrette la belle Vanessa. Daria Popova souffrant d’une fracture de fatigue, le couple qu’elle forme avec Bruno Massot les ont abandonnés. «Ce n’est pas très stimulant d’être seuls, mais on cherche à améliorer les choses», se persuade Ciprès, conscient d’un début de saison timide et largement retardé.

Ciprès sur la bonne pente




Opéré du poignet droit le vendredi 13 septembre, il s’amuse de devoir patiner ce vendredi... 13 décembre. Au-delà de l’anecdote, il souffle son soulagement après avoir vu son chirurgien le 25 novembre : s’il doit composer avec une légère douleur, qui devrait l’accompagner encore six mois, l’articulation est consolidée. Et les espoirs du couple, qui rêvent d’une médaille européenne à Budapest, mi-janvier, s’affirment à nouveau...
C.N. à Vaujany

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Al-Khelaïfi réaffirme ses ambitions...