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Jeux Paralympiques: Pistorius en or et 1er cas de dopage


Pistorius est bien parti pour accomplir son rêve: décrocher trois médailles d'or.


Le sprinteur sud-africain, Oscar Pistorius, double amputé des jambes, a remporté mardi le 100m dans sa catégorie alors qu'une première affaire de dopage a entaché ce 3e jour de compétition des jeux
Paralympiques.

La Chine avec 16 médailles d'or (à 14h30 GMT) et la Grande-Bretagne
avec 14 se sont disputées la première place toute la journée au classement général.

Dans la matinée, le Comité international paralympique (CIP) a annoncé le premier cas de dopage de ces Jeux. Il s'agit d'un haltérophile pakistanais, Naveed Ahmed Butt, qui sera interdit de compétition pendant deux ans après avoir été contrôlé positif aux stéroïdes jeudi dernier.

Jusqu'ici, un total de 297 tests ont été menés à Pékin, hors et en
compétition. A Athènes (2004), sur 680 contrôles, 10 avaient conclu à une violation du code antidopage (2 hors compétition, 8 en compétition), selon un rapport du CIP.

En athlétisme, après un départ poussif sur une piste mouillée par la
pluie, le Sud-Africain Oscar Pistorius, qui espérait participer aux jeux
Olympiques au mois d'août mais n'avait pas réussi les minima, a remporté le 100m en 11.17s, devançant l'Américain Jerome Singleton de seulement 0.03s, dans un stade quasiment plein.

"C'est incroyable! Le 100m, c'est vraiment une course qui me causait
du souci", a déclaré le Sud-Africain, qui veut également remporter le 200 et le 400 m.

[Norton]

ÉLIMINATOIRES MONDIAL 2010-SUISSE - LUXEMBOURG 1-2
Que la Suisse entonne «Afrique... adieu!»

Image © Laurent Crottet
Chapeau bas, messieurs les amateurs. Même si les riches pros vous ont bien aidés.

La Suisse encaisse un cuisant camouflet à Zurich. Les petits Luxembourgeois ont ridiculisé les prétendues stars d'Helvétie. Ils s'imposent pour la première fois contre les Suisses. Le pire, c'est qu'il n'y a pas grand-chose à ajouter...

Renaud Tschoumy et Christian Maillard - le 10 septembre 2008, 00h55
Le Matin



Afrique... adieu! Dans sa chanson, Michel Sardou évoque «un peuple qui va danser, comme s'il allait mourir de joie». En matière de football, c'est l'équipe de Suisse qui, hier, a plongé ses supporters dans la folie. Mais la vraie! Et de raison de danser, aucune! Car, en s'inclinant hier à domicile contre le Luxembourg, la Suisse a mis fin à ses rêves de Mondial en Afrique du Sud.
Il y avait eu le coup de Bakou, lorsque, en août 1996, la Suisse de Rolf Fringer avait commencé sa qualification pour le Mondial 98 en s'inclinant en Azerbaïdjan (0-1). Il y aura désormais le coup de Zurich, où l'équipe d'Ottmar Hitzfeld a sombré corps et biens à domicile, face à des (semi-)amateurs qui n'en demandaient pas tant pour glaner le deuxième succès significatif de leur histoire, après leur victoire en Biélorussie en 1997...
Deux coups francs, deux buts!
Alex Frei revenait. Le moral semblait bon après la - pourtant - triste fin du match de samedi, à Tel-Aviv. Hitzfeld parlait de concentration, de patience, de respect aussi. Mais les p'tits Suisses ont encore rétréci dès leur entrée sur le terrain. Ridiculisés une première fois sur une balle (pas) arrêtée de Strasser. Se donnant une lueur d'espoir juste avant la mi-temps grâce à une tête de Nkufo. Puis semblant pouvoir assurer le strict minimum.
Mais les «nains» luxembourgeois se sont joués d'eux à quatre minutes de la fin. Un coup franc astucieux a fait voler en éclats leur défense, Magnin étant aux abonnés absents et Benaglio - déjà peu à l'aise sur le premier but - ouvrant trop les jambes...
Samedi, après une heure de jeu en Israël, c'est effectivement tout un peuple qui dansait. Deux heures effectives de «football» plus tard, le soufflé est retombé, le rêve est brisé. Ils le disaient eux-mêmes, les internationaux suisses: «Si on ne bat pas le Luxembourg à domicile, on ne mérite pas d'aller à la Coupe du monde.»
Vous voilà recalés, messieurs. Après ce que vous avez montré hier, vous ne méritez effectivement pas d'embarquer pour l'Afrique du Sud.
SUISSE - LUXEMBOURG 1-2 (1-1)
Letzigrund, Zurich. 20 500 spectateurs.
Arbitre: M. Filipovic (Ser).
Buts: 27e Strasser 0-1. L'impensable! Barnetta fait faute et offre un coup franc aux Luxembourgeois. Le capitaine frappe de 25 mètres, le mur s'ouvre... et Benaglio plonge en retard. 44e Nkufo 1-1. Il faut un nouveau coup de patte de Yakin (centre du pied gauche) pour que la Suisse sorte de son marasme. Du chef, Nkufo précède Hoffmann pour égaliser. 86e Leweck 1-2. L'impossible! Coup franc de Strasser. Leweck feinte la frappe et s'engouffre à droite, Strasser lui glisse le ballon et le remplaçant luxembourgeois marque entre les jambes de Benaglio.
Suisse: Benaglio; Nef (73e Vonlanthen), Djourou, Grichting, Magnin; Barnetta, Inler, Yakin (65e Abdi), Stocker; Nkufo, Frei (65e Lustrinelli). Entraîneur: Hitzfeld.
Luxembourg: Joubert; Kintziger, Hoffmann, Strasser, Mutsch; Lang (45e Leweck), Payal, Peters, Bettmer, Lombardelli (76e Gerson); Kitenge (66e Joachim). Entraîneur: Hellers.
Notes: La Suisse joue sans Behrami (blessé) ni Huggel (insuffisamment remis de sa bronchite). Coltorti et Von Bergen dans les tribunes. Tir de Lustrinelli sur la latte (89e).
Avertissements: 21e Kitenge (faute sur Inler), 29e Yakin (réclamations), 37e Hoffmann (faute sur Yakin), 45e Kintziger (faute sur Grichting), 67e Lombardelli (antijeu), 78e Lustrinelli (faute sur Payal), 78e Strasser (réclamations), 81e Reiter (remplaçant luxembourgeois désigné par le 4e arbitre pour réclamations), 87e Vonlanthen (simulation).
Coups de coin: 6-1 (3-0).
La HONTE.........Bravo le Luxembourg

[Stoner27]

vous faites pire que la Belgique encore!

[Norton]

Envoyé par Mr Ducati

vous faites pire que la Belgique encore!

Ben bravo à la Belgique, c'est des bons les Turcs.

Un match nul au goût amer


Les Diables ont bien négocié leur périlleux déplacement d'outre-Bosphore et ramènent un point plus que mérité.


LA phase litigieuse du match. Witsel est tellement proche de son vis-à-vis turc que l'on voit mal comment le joueur du Standard aurait pu avoir l'intention de jouer le ballon de la main...
En inscrivant un but aussi splendide que capital, Wesley Sonck fait taire tous ses détracteurs, parmi lesquels Stéphane Pauwels, fantasque mais néanmoins excellent chroniqueur de Studio 1, qui aurait écarté l'attaquant brugeois de la sélection. Bien vu Stef...
Emre transforme le penalty généreusement accordé par M. Lannoye. Le stade Sükrü Saracoglu se réveille...
Jan Vertonghen a été le véritable patron de l'entrejeu avec Marouane Fellaini. Les Diables se sont-ils trouvés un nouveau leader?
Echange verbal virulent entre Fatih Terim, le sélectionneur turc, et René Vandereycken. La tension était palpable...
Stijn Stijnen a sauvé les siens en première mi-temps. Souvent décrié, le gardien brugeois a démontré qu'il méritait amplement sa place dans les buts belges.

Quatre jours après la victoire peu convaincante contre l'Estonie, les Diables rouges ont partagé l'enjeu contre la Turquie (1-1) dans le cadre de leur deuxième rencontre de qualification pour le Mondial 2010. Wesley Sonck avait donné l'avance aux Belges à la demi-heure de jeu d'un coup de tête splendide. Il a fallu à la Turquie un coup de pouce de l'arbitre français Lannoy pour revenir à égalité.

L'homme en noir accorda un penalty très généreux à l'équipe locale pour une faute de main peu évidente de Witsel. Emre ne se fit pas prier pour redonner espoir aux bouillants supporters turcs(1-1). Un partage qui laissera un sentiment mitigé aux Diables: d'une part, la satisfaction d'avoir ramené un point de leur déplacement chez un adversaire en plein euphorie depuis sa demi-finale au dernier Euro. D'autre part, la déception d'avoir disputé un match sans anicroche et de ne revenir qu'avec un point...

Van Buyten sur le banc
Vandereycken apportait quelques modifications dans son effectif. Van Buyten, auteur d'une prestation moyenne face à l'Estonie, cédait sa place à Kompany dans l'axe de la défense. Dembele, rétabli d'un problème à la hanche, remplaçait Mirallas. Swerts était aligné au poste d'arrière droit. Les Diables réalisaient une première mi-temps de toute beauté. Intransigeants en défense et dans l'entrejeu, les Diables allaient même ouvrir le score par l'entremise de Sonck, qui reprenait un coup franc précis de Vertonghen (0-1). L'attaquant du Club Brugeois prouvait à tous ses détracteurs qu'il était un pion incontournable de l'échiquier belge. Il fallut une grande parade de Stijnen pour préserver l'avance avant le repos.

Penalty contestable
Quelque peu effacé en première période, Steven Dufour cédait sa place à Gabi Mudingayi, censé apporter plus de présence dans les duels. Logiquement, la pression turque se faisait plus intense, mais s'appuyant sur une organisation sans faille, les Diables repoussaient les assauts de l'équipe locale sans trop de difficultés. Vertonghen et Fellaini étaient impériaux dans l'entrejeu. Alors que la Belgique avait un exploit rententissant en ligne de mire, l'arbitre français accordait un penalty pour une faute de main d'Axel Witsel. Une décision plus que contestable d'autant plus que le juge de touche était resté impassible. Emre transforma le penalty et offrit un match nul très flatté à son équipe (1-1).


La Belgique passe à côté de la totalité du butin qu'elle aurait bien mérité au vu du déroulement de la rencontre. Ceci dit, elle décroche un bon partage pour lequel toute l'équipe aurait signé les yeux fermés avant la rencontre. Une performance encourageante qui marque, espérons-le, les prémices d'un renouveau pour notre équipe nationale, mais qui demandera confirmation contre l'Arménie et l'Espagne les 11 et 15 octobre prochains.

Michaël Bouche

[Stoner27]

sur que le penalty etait discutable. Mais bon match nul chez eux, c est deja pas mal!

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GP D'ITALIE
Räikkönen-Massa jusqu'en 2010

Image © Keystone
Räikkönen aura encore deux saisons pour observer les progrès de son équipier, Felipe Massa

Les pilotes de la Scuderia renouvellent leur contrat pour deux années. Fin du suspense chez Ferrari. Alonso poussé chez BMW?

Luc Domenjoz - le 12 septembre 2008,
Le Matin

La Scuderia Ferrari a tenu à profiter du cadre de son Grand Prix national pour annoncer la prolongation, jusqu'à fin 2010, du contrat de ses deux pilotes actuels, Kimi Räikkönen et Felipe Massa.
Une annonce qui met un terme aux spéculations sur l'avenir du pilote finlandais, que l'on disait démotivé après son titre de champion du monde, et que d'aucuns voyaient bientôt à la retraite.
Quid d'Alonso?
Pour Felipe Massa, cette prolongation de contrat tombe à pic. Le Brésilien se trouve actuellement à deux points de Lewis Hamilton au championnat du monde, et la confiance affichée par Ferrari à son égard ne peut que le tranquilliser à l'heure d'aborder les cinq derniers GP de la saison. Sans compter que Kimi Räikkönen devrait l'épauler désormais d'autant plus franchement qu'il lui restera la possibilité de se battre à nouveau pour le titre avec Ferrari en 2009 et en 2010.
Cette annonce pourrait avoir une autre conséquence: Fernando Alonso, désormais, sait que le volant qu'il convoitait chez Ferrari ne sera pas disponible avant, au mieux, 2011. L'Espagnol n'ayant à l'évidence pas la patience de patienter aussi longtemps au sein de l'écurie Renault, il devrait logiquement opter pour un contrat de deux ans avec l'écurie BMW Sauber, prête à l'accueillir à bras ouverts en remplacement de Nick Heidfeld.
Ce dernier pourrait alors se tourner vers Toro Rosso pour 2009 (des contacts ont déjà eu lieu), où il remplacerait Sébastien Bourdais pour piloter aux côtés de Sébastien Buemi. Pour tous ces pilotes, les deux semaines à venir devraient s'avérer décisives.
CHRONOS
Monza. GP d'Italie.
Essais libres.
1re séance: 1. Sutil (All), Force India-Ferrari, 1'32''842 = 224,626 km/h (18 tours). 2. Barrichello (Bré), Honda, à 0''586 (14). 3. Fisichella (It), Force India-Ferrari, à 0''853 (19). 4. Glock (All), Toyota, à 3''958 (13). 5. Rosberg (All/Fin), Williams-Toyota, à 4''058 (9). 6. Alonso (Esp), Renault, à 4''123 (10). 7. Bourdais (Fr), Toro Rosso-Ferrari, à 4''300 (20). 8. Trulli (It), Toyota, à 4''372 (13). 9. Räikkönen (Fin), Ferrari, à 4''550 (3). 10. Vettel (All), Toro Rosso-Ferrari, à 4''912 (13). 11. Piquet (Bré), Renault, à 5''215 (11). 12. Coulthard (GB), Red Bull-Renault, à 5''461 (7). 13. Button (GB), Honda, à 6''220 (12). 14. Massa (Bré), Ferrari à 7''391 (5). Sans temps: Heidfeld (All), BMW-Sauber. Kubica (Pol), BMW-Sauber. Hamilton (GB), McLaren-Mercedes. Heikki Kovalainen (Fin), McLaren-Mercedes. Webber (GB), Red Bull-Renault. Nakajima (Jap), Williams- Toyota.
2e séance: 1. Räikkönen 1'23''861 (248,682 km/h). 2. Kubica à 0''070. 3. Heidfeld à 0''086. 4. Hamilton à 0''122. 5. Rosberg à 0''249. 6. Massa à 0''386. 7. Kovalainen à 0''504. 8. Webber à 0''660. 9. Sutil à 0''808. 10. Vettel à 0''912. 11. Coulthard à 1''239. 12. Bourdais à 1''341. 13. Fisichella à 1''343. 14. Barrichello à 1''435. 15. Button à 1''448. 16. Nakajima à 1''469. 17. Glock à 1''536. 18. Alonso à 1''620. 19. Trulli à 1''892. 20. Piquet à 2''334.
GP2. Grille de départ pour la course principale: 1. Pantano (It), Racing Engineering, 1'31''220 (228,620 km/h). 2. Di Grassi (Bré), Barwa, à 0''019. 3. Buemi (S), Arden, à 0''110. 4. Filippi (It), Arden, à 0''220. 5 Petrov (Rus), Barwa, à 0''307. Puis: 11. Grosjean (S/Fr), ART, à 0''729. 12. Senna (Bré), iSport, à 0''744. 25 participants.

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Sebastian Vettel prend la pole en Italie



L'Allemand Sebastian Vettel (Toro Rosso) a réussi la première pole position de sa carrière, sous la pluie, au Grand Prix d'Italie de Formule 1, quatorzième épreuve de la saison, samedi sur le circuit de Monza.

Dans une séance de qualifications disputée entièrement sous la pluie, Vettel a devancé le Finlandais Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes) et l'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault). Le Français Sébastien Bourdais a lui aussi réussi sa meilleure performance de la saison et confirmé l'excellente tenue des Toro Rosso sous la pluie: il a réalisé le quatrième chrono.

Une grille de départ qui sera d'autant plus étonnante que trois des leaders du Championnat s'élanceront au-delà de la 10e place: le leader du classement Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) ne sera ainsi que 15e sur la grille de départ, juste derrière Kimi Räikkönen (Ferrari), 14e, alors que Robert Kubica n'a pu faire mieux que 11e. Felipe Massa (Ferrari) a été le seul du quatuor de tête à entrer en Q3. Il s'élancera finalement sixième derrière Nico Rosberg (Williams).

Pluie
Pour la première fois de la saison la séance de qualification s'est déroulée sous l'eau. Une grosse averse commençait à tomber trois minutes avant le début et si les choses se calmaient à la fin de la première phase (Q1), la pluie reprenait de plus belle au début de la Q2.

Les cinq premiers éliminés à l'issue de la Q1 étaient sensiblement les mêmes que d'habitude. Giancarlo Fisichella parvenait toutefois à hisser sa Force India en Q2 pour la toute première fois de la saison. La deuxième phase était en revanche complètement folle et Hamilton, Räikkönen et Kubica restaient inexplicablement sur le carreau. En Q3, Vettel réussissait la pole position sous le déluge, devançant Kovalainen de moins de un dixième de seconde.

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FORMULE 1
Triomphe de Vettel, plus jeune vainqueur de l'histoire de la F1

Image © keystone
Après avoir été le plus jeune pilote à signer une pole position samedi, Sebastian Vettel est devenu le plus jeune vainqueur en Grand Prix.

Le pilote allemand de l'écurie Toro Rosso a remporté à 21 ans la première victoire de sa carrière sur le circuit de Monza, en Italie. Après avoir été le plus jeune pilote à signer une pole position samedi, Sebastian Vettel est devenu le plus jeune vainqueur en Grand Prix.

- le 14 septembre 2008, 15h47
Le Matin Online & les agences





A l’issue d’une course disputée sous une fine pluie avec une piste allant en s’asséchant, Vettel, 21 ans, a devancé le Finlandais Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes) et le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber). Parti de la 11e place, ce dernier a opéré une belle remontée grâce à une judicieuse stratégie qui lui a permis de chausser les bons pneumatiques au bon moment.

Après avoir été le plus jeune pilote à signer une pole position samedi, Vettel est devenu le plus jeune vainqueur en Grand Prix.

Fernando Alonso (Renault) a pris la quatrième place devant Nick Heidfeld (BMW Sauber), Felipe Massa (Ferrari) et Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), auteur lui aussi d’une belle remontée de la 15e à la septième place.

Mark Webber (Red Bull) a pris le dernier point de la huitième place devant le champion du monde Kimi Raikkonen (Ferrari).

Le grand malchanceux a été Sébastien Bourdais (Toro Rosso), qui a calé sur la grille de départ et n’a pas pu profiter de la meilleure place de grille de sa carrière. Au lieu de partir quatrième le Français s’est élancé des stands avec un tour de retard sur tout le peloton. Il a terminé 18e, une bien cruelle déception.

Avec la pluie qui n’avait pratiquement pas cessé de tomber depuis le matin la piste était détrempée et le départ était donné derrière la voiture de sécurité. Bourdais perdait malheureusement tout le bénéfice de son excellente qualification: il calait et il fallait à son équipe plus d’un tour pour redémarrer son moteur.

Hamilton septième

Le Français voyait ses rêves de points s’envoler et partait donc 20e et dernier, un tour derrière tout le monde. La voiture de sécurité s’écartait après deux boucles et tout le monde se montrait prudent au premier freinage. Les hommes de tête conservaient leurs positions.

Vettel, grâce à une bonne visibilité en tête du peloton, s’échappait et derrière Hamilton démarrait bientôt un festival qui le revoyait remonter lentement mais sûrement tout le peloton.

Après s’être débarrassé de Giancarlo Fisichella (Force India) il déposait Kimi Raikkonen, qui allait longtemps conserver sa position alors que le Britannique dépassait tour à tour Heidfeld, Glock, Kubica, Alonso et Trulli.

D’autres adversaires s’étant déjà arrêtés pour ravitailler, Hamilton avait gagné 13 positions et pointait à la deuxième place lorsqu’il s’arrêtait aux stands à son tour.

Le leader du championnat volait littéralement au-dessus de la piste mais sa belle stratégie à un seul arrêt était mise à mal quand la piste s’asséchait: bientôt tous les pilotes rentraient aux stands pour monter des pneus intermédiaires et le Britannique était contraint de s’arrêter à nouveau lui aussi.
Sa belle remontée s’arrêtait à la septième place, juste derrière son principal rival au championnat, Massa.

La bonne affaire était ici pour Kubica, qui avait retardé au maximum son seul arrêt et chaussait directement les pneus adéquats. Parti 11e, le Polonais remontait ainsi à la troisième place.

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Paul Gascoigne aurait tenté de se suicider



L'ancienne étoile du football anglais Paul Gascoigne a été admis dans la nuit de jeudi à vendredi à l'hôpital de Faro, au sud du Portugal, après une tentative de suicide, selon la presse portugaise de ce dimanche. L'hôpital de Faro a confirmé l'admission à l'agence de presse Lusa, mais n'a pas indiqué les raisons de cette brève hospitalisation.

D'après la presse portugaise, l'ancien international anglais a été admis jeudi soir à l'hôpital pour une intoxication à la suite d'une tentative de suicide, mais est en ressorti le lendemain. Agé de 41 ans, Gascoigne est depuis de nombreuses années en lutte contre l'alcoolisme et la dépression.

Un des joueurs les plus doués de l'histoire du football anglais, Paul Gascoigne a été sélectionné à 57 reprises (10 buts). Il a notamment porté les couleurs de Newcastle, Tottenham, la Lazio Rome et des Glasgow Rangers, mais a vu sa carrière perturbée par de nombreux problèmes personnels, principalement liés à l'alcool. L'une de ses meilleures performances reste la Coupe du monde 1990 en Italie où son équipe avait atteint le stade des demi-finales, se classant 4e.

Son club fétiche, Newcastle, lui a proposé un poste dans l'encadrement afin de l'aider à surmonter ses problèmes. En 2005, Gascoigne était devenu entraîneur-joueur de l'Algarve United, une équipe portugaise amateurs évoluant en division régionale.

[Norton]

Quand Laure Manaudou règle ses comptes...



Face aux nombreuses critiques, Laure Manaudou a décidé de réagir de manière plutôt originale. Elle a adressé un message via son blog. Morceaux choisis.

"Je nage 17 km par jour"
"Je n'ai pas traversé que des moments faciles ces dernières semaines et ça fait du bien d'être soutenue. Certains médias français prennent un malin plaisir à "brûler" ceux qu'ils ont encensés quelques mois plus tôt. Ça fait vendre du papier. C'est pas trop bon de rester devant l'ordinateur toute la journée. Je les invite volontiers à venir avec moi au bord du bassin à 6h30 tous les matins pour qu'ils mesurent mieux la rigueur et les contraintes de mon sport, pour partager avec moi les 17km de longueur..."

"J'accepte les critiques mais..."
"J'ai lu aussi les critiques, parfois virulentes, de certains bloggeurs. J'accepte la critique lorsqu'elle est constructive, et j'assume bien entendu ma part de responsabilité dans ce qui m'arrive...".

Laure