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voile
Vendée Globe 08/09: l'édition des records




Dimanche, trente navigateurs s'élanceront pour le Vendée Globe. La 6e édition de cette course autour du monde en solitaire, sans escale ni assistance, voit déjà les records tomber.

- le 06 novembre 2008


Trente skippers. Le premier chiffre donne déjà la mesure de la popularité de l'épreuve. Lorsque l'on regarde de plus près, on s'aperçoit que les plus grands spécialistes de la course au large se sont tous donnés rendez-vous au départ. De Loïck Peyron, aventurier de la première heure au benjamin de l'épreuve Jean-Baptiste Dejeanty (30 ans), tous peuvent se targuer d'une solide expérience, tout comme les deux Suisses au départ: Bernard Stamm et Dominique Wavre.
Depuis la première édition de 1989/90, le record de la course a évolué régulièrement au rythme des avancées technologiques. Cette année encore, les monocoques de 60 pieds (18 mètres) devraient logiquement effacer des tabelles la marque laissée il y a quatre ans par Vincent Riou, en un peu plus de 87 jours.
Le Vendée Globe reste encore, malgré la participation de quelques skippers anglo-saxons et suisses, une spécialité française.Les marins britanniques formeront cette année la plus grande cohorte derrière les Français. Deux Suisses, un Espagnol, un Canadien, un Américain et un Autrichien complètent la liste de départ. La victoire, dans les éditions précédentes, est toujours revenue à un Français.
Cette année, les organisateurs ont relevé la route vers le Nord au large de l'Australie et dans le Pacifique, pour des raisons de sécurité. Les gardes côtes australiens ont exigé que la course ne s'éloigne pas de plus de 1000 miles des terres, pour des questions d'autonomie des hélicoptères de sauvetage notamment.
Vendée Globe 2008/09. Seront notamment au départ le dimanche 9 novembre: Bernard Stamm (S/45/Cheminées Poujoulat); Dominique Wavre (S/53/Temenos II); Michel Desjoyeaux (Fr/43/Foncia, vainqueur en 2000/01); Jean-Pierre Dick (Fr/43/Paprec-Vibrac); Mike Golding (GB/48/Ecover); Roland Jourdain (Fr/44/Veolia-Environnement); Jean Le Cam (Fr/49/VM Matériaux); Loïck Peyron (Fr/49/Gitana-Eighty); Vincent Riou (Fr/36/PRB, vainqueur en 2004/05); Marc Thiercelin (Fr/48/DCNS).

[Norton]

Alonso n'oublie pas Ferrari


Le pilote espagnol Fernando Alonso espère retrouver le premier rang avec Renault en 2009, mais n'oublie pas Ferrari au cas où le constructeur italien lui ouvrirait la porte en 2010, selon la presse espagnole de jeudi.

Renault a annoncé mercredi qu'Alonso resterait pour les saisons 2009 et 2010, après une saison 2008 décevante, mais qui s'est bien terminée, avec deux victoires d'affilée à Singapour et au Japon et une 2e place au Brésil, où l'Anglais Lewis Hamilton (McLaren) a remporté le titre mondial. "Nous sommes décidés a démontrer que nous pouvons répéter ensemble les triomphes obtenus par le passé", a déclaré le pilote espagnol, double champion du monde avec Renault en 2005 et 2006.

Les quotidiens sportifs espagnols AS et Marca notaient toutefois jeudi que, si Alonso a confirmé mercredi qu'il restait chez Renault pour les saisons 2009 et 2010, il a dans son contrat l'option de partir fin 2009 si les résultats ne sont pas bons ou s'il a d'autres propositions, notamment de Ferrari. Le constructeur italien n'a pas renoncé au pilote asturien, même s'il a confirmé pour 2009 ses deux pilotes Felipe Massa (Bré) et Kimi Raikkonen (Fin), selon AS.

Alonso, 27 ans, rêve toujours, pour sa part, de s'installer au volant d'une monoplace italienne, au cas où Ferrari, champion du monde 2008 des constructeurs, changerait ses pilotes en 2010, a précisé Marca. Si la nouvelle Renault R-29 que prépare activement le constructeur français pour Alonso en 2009 se révèle performante, ses principaux rivaux se situeront la saison prochaine chez Ferrari et McLaren, dominateurs en 2008.

Le pilote espagnol avait quitté Renault pour McLaren pendant la saison 2007, marquée par sa rivalité avec Hamilton, avant de revenir piloter cette année pour le constructeur français.

[Norton]

Divorce à l'amiable entre Force India et Ferrari


Force India, motorisée pour sa première saison en formule 1 par Ferrari, a décidé d'interrompre son partenariat avec le constructeur italien en 2009, selon un communiqué diffusé vendredi par l'écurie.

Selon les termes du contrat signé en 2007, Ferrari devait également équiper Force India pour 2009 mais l'écurie appartenant au milliardaire indien Vijay Mallya en a décidé autrement.

Force India "souhaite remercier Ferrari pour la qualité de son soutien très apprécié jusqu'à présent car toujours réalisé au plus haut niveau technique et professionnel dans le cadre d'un excellent partenariat", souligne le texte.

Force India n'a inscrit aucun point cette saison et les voitures de l'équipe pilotées par l'Allemand Adrian Sutil et l'Italien Giancarlo Fisichella, ont été régulièrement classées aux dernières places depuis le retrait des Super Aguri. Force India ne précise pas avec quel moteur elle compte effectuer la saison prochaine de F1.

C'est le début................ La crise.... Ben oui

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Masters ATP: Federer veut se rapprocher de Nadal




Roger Federer cherchera à profiter de l'absence de Rafael Nadal au Masters, dont le coup d'envoi sera donné dimanche à Shanghai, pour combler une partie de son retard sur l'Espagnol, à qui il espère reprendre la place de N.1 mondial la saison prochaine. Le Suisse a montré toute l'importance qu'il accorde à cette reconquête en ne faisant l'impasse sur aucun des grands tournois en salle de la fin de saison, lui qui n'avait pas toujours été au rendez-vous les années précédentes.

A Madrid, Federer est tombé en demi-finale sur un Andy Murray en plein boom et à Paris, gêné par une raideur au dos, il a préféré renoncer par précaution avant de jouer son quart.

Vers un 5e Masters?
S'il veut avoir Nadal en ligne de mire dans deux mois à l'Open d'Australie, Federer n'a donc pas le choix: il doit remporter en Chine son cinquième Masters, un exploit qui le mettrait au niveau de Pete Sampras et d'Ivan Lendl.

Les choses pourraient ensuite aller très vite. Une victoire à Shanghai et l'écart avec la première place serait déjà divisé par deux. Une autre à Melbourne, associée à un échec de Nadal avant les demi-finales, et le Suisse remonterait sur le trône.

Reste à savoir si ce doublé Masters/Australie, qu'il a déjà réussi à trois reprises (2004, 2006, 2007), est toujours dans ses cordes.
Après avoir connu, de janvier à août, ses huit mois les plus pénibles depuis son éclosion au plus haut niveau, il a prouvé qu'il était toujours capable de remporter de grands titres en décrochant son cinquième US Open d'affilée.

Attention à Murray
Pendant ce temps, la concurrence a pris conscience que le maître n'était pas invincible. Nadal, gêné par une tendinite à un genou, a préféré privilégier son dernier objectif de l'année, la finale de la Coupe Davis, fin novembre en Argentine, et ne sera donc pas là.

Mais l'Espagnol n'est plus le seul à croire en ses chances. Parmi les sept adversaires de Federer, quatre l'ont déjà battu cette année: le Serbe Novak Djokovic (Open d'Australie), l'Américain Andy Roddick (Miami), le Français Gilles Simon (Toronto), repêché après le forfait de Nadal, et le Britannique Andy Murray (Dubai, Madrid).

Deux premiers qualifiés
Les trois derniers ont été tirés au sort en sa compagnie dans le groupe "rouge", alors que Djokovic, le Russe Nikolay Davydenko, l'Argentin Juan Martin Del Potro et l'autre Français Jo-Wilfried Tsonga, font partie du groupe "or" (les deux premiers de chaque poule disputeront les demi-finales).

Comme d'habitude, les maîtres n'arrivent pas dans le meilleur état possible. Federer a dû ménager son dos, Del Potro a des problèmes d'ongle aux orteils, Davydenko souffrait récemment du poignet, Tsonga de la cuisse et Djokovic, s'il n'a pas de blessure particulière, ne semble plus avoir le même jus qu'en début de saison.

Murray outsider
Dans ces conditions, c'est Andy Murray qui fait figure d'outsider N.1, voire de cofavori. Le jeune Ecossais de 21 ans a pris une dimension nouvelle depuis cet été en remportant deux Masters Series, à Cincinnati en août puis à Madrid en octobre. Il a emmagasiné en finale de l'US Open une expérience des grands matches qui pourrait lui servir à Shanghai.

Quant à Tsonga, sa forme physique n'est peut-être pas optimale, mais sa fraîcheur mentale ne fait aucun doute. Après son succès à Paris-Bercy, il ne vient pas en Chine seulement pour apprendre.

Ouaip vas y Fed

[Norton]

Voile: trente solitaires à l’assaut du Globe

LES SABLES D’OLONNE | Trente navigateurs solitaires dont deux femmes vont s’élancer dimanche des Sables d’Olonne au départ de la sixième édition du Vendée Globe, le tour du monde sans escale et sans assistance, considéré comme "l’Everest" de la voile.




© Keystone | Derniers préparatifs avant le départ. A gauche, le Vaudois Bernard Stamm, qui fait partie des trente concurrrents.


AP | 08.11.2008 |


Au total, les concurrents devront parcourir quelque 24.000 milles nautiques, soit environ 44.500 km au fil d’une galopade époustouflante via le cap de Bonne Espérance, le cap Leeuwin et le cap Horn.
Titouan Lamazou qui avait le premier inscrit son nom au palmarès de la course en 1990 avait résumé d’une formule l’état d’esprit des concurrents: "une belle brochette de fous naviguant sur de drôles de machines".
La première édition avait réuni 13 concurrents, la dernière vingt. Cette année, ils sont dix de plus et les deux tiers de la flotte est neuve.
La technique a considérablement évolué au fil des ans, qu’il s’agisse de l’architecture navale, des gréements, des voiles ou de l’électronique embarquée.
Isabelle Autissier, qui avait fini hors course lors de l’édition 1996-1997, estime qu’aujourd’hui les monocoques de 60 pieds (18,28m) seuls autorisés à disputer la course sont "presque indestructibles".
L’histoire du Vendée Globe, initiée par Philippe Jantot en 1989, est émaillée d’accidents de course et de chavirages.
Le Britannique Nigel Burgess et le Canadien Gerry Roufs n’en sont jamais revenus. Le corps du premier a été retrouvé noyé dans le golfe de Gascogne lors de l’édition 1992-1993. Celui de Gerry Roufs n’a jamais refait surface.
Ces drames ont marqué la légende de la course dont chaque départ est la chronique d’une saga annoncée qui attire la foule.
Cette année encore des dizaines de milliers de spectateurs sont présents en Vendée pour assister à l’événement. Les autorités maritimes attendent jusqu’à 20.000 curieux sur l’eau, à bord de vedettes ou de bateaux de plaisance.
La venue attendue sur les pontons ce samedi de l’ex-international de football Zinedine Zidane, parrain du bateau du Français Yann Eliès, devrait ajouter un piment supplémentaire à cette veillée d’armes.
Les candidats s’élanceront dimanche à 13h02 précises sous un temps maussade mais maniable. La journée de lundi, alors que la flotte sera dans le golfe de Gascogne, devrait en revanche constituer une solide mise en bouche: la météo annonce des vents pouvant atteindre jusqu’à 55 noeuds, soit une centaine de km/h, avant de se calmer à l’approche du Cap Finisterre.
Les navigateurs entameront alors la descente de l’Atlantique pour atteindre les 40es "rugissants" et les 50es "hurlants".
Pour éviter que les marins descendent trop bas dans le Grand Sud avec le danger des glaces et des icebergs, la direction de course a prévu des points de passage obligés au-dessous desquels les coureurs ne sont pas autorisés à s’aventurer.
"Il y a un moment où tu laisses tomber la compétition: dans le Sud, tu es souvent simplement en survie", explique Jean Le Cam.
Malgré ces précautions, le tour du globe est chaque fois plus rapide. Titouan Lamazou avait bouclé l’épreuve en 109 jours. En 2005, Vincent Riou avait fait tomber ce temps à 87 jours, 10 heures et 47 minutes au terme de sa victoire dans la dernière édition et les plus hardis rêvent d’un tour du monde en moins de 80 jours.
Les fortunes de mer et les aléas d’une telle épreuve rendent tout pronostic difficile. Les Français Michel Desjoyeaux, vainqueur en 2001, Vincent Riou, Jean Le Cam ou encore le "vétéran" Loïck Peyron font figure de favoris.
Le plateau compte 17 Français pour 13 étrangers dont sept Britanniques, avec les deux seules femmes Dee Caffari et Samantha Davies. Leur compatriote Ellen Mac Athur avait créé la surprise en terminant deuxième en 2001.

Bons vents........................

[Norton]

Rugby: la France bat l'Argentine 12-6 à Marseille

samedi 8 novembre 2008 22h53




MARSEILLE (Reuters) - La France a battu l'Argentine 12-6 à Marseille (9-6 à la mi-temps) lors de la première journée de la tournée d'automne de rugby.
Pour la France: trois pénalités: David Skrela (2), Benoît Baby; un drop: Skrela.
Pour l'Argentine: deux pénalités: Felipe Contepomi.

[Norton]

Sports
Masters Cup: Tsonga battu d'entrée, Djokovic bat del Potro

AP | 09.11.2008 | 13:09


Le Français Jo-Wilfried Tsonga a perdu son premier match dans la Masters Cup de Shanghai dimanche face au Russe Nikolay Davydenko, qui a réussi à imposer son magnifique jeu de fond de court pour triompher 6-7 (6), 6-4, 7-6 (0) au terme d'un long combat.
Dans l'autre match du groupe Or, Novak Djokovic a mis fin dimanche à sa disette dans le prestigieux rendez-vous de fin d'année en battant l'Argentin Juan Martin del Potro 7-5, 6-3.
Tsonga, battu en finale de l'Open d'Australie par Djokovic cette année avant d'être absent des courts pendant trois mois à cause d'une blessure au genou, a ma entamé la rencontre pour se retrouver mené 0-40 sur son premier jeu de service. Après avoir effacé ces trois balles de break, les seules de la première manche, le Français a fait jeu égal avec son adversaire et les joueurs ont disputé un tie break. Tsonga a conclu à sa troisième balle de set, profitant d'une erreur de Davydenko sur une volée de revers facile.
Tsonga et le Russe ont perdu leurs services sur des jeux blancs au début du deuxième set avant de conserver leurs mises en jeu avant que Tsonga ne faiblisse alors qu'il servait à 4-5. Le joueur entraîné par Eric Winogradsky a alors manqué un passing de coup droit pour donner à Davydenko une balle de set, convertie par le Russe grâce à un coup gagnant sur la ligne de fond de court.
Touché, Tsonga s'est laissé distancer 3-0 dans la manche, avant d'écarter la menace d'une balle de match en sortant une amortie de coup droit parfaite à 5-2 Davydenko.
Dans le jeu suivant, trois erreurs en coups droits de Davydenko ont offert à Tsonga trois balles de break. Mais le Russe est revenu à égalité avant de frapper un revers trop long. Cette fois le Français a saisi sa chance grâce à une autre amortie gagnante et a égalisé. Dans le tie break, Tsonga a soudain perdu son jeu, commettant sa première double faute du set et ratant deux amorties sur les deux derniers points du match.
Djokovic n'avait pas réussi à gagner le moindre set en trois matches l'an passé. Il avait justifié ses problèmes par une grande fatigue liée selon lui à son ascension vers la 3e place du classement ATP.
"J'étais un peu intimidé par le fait de n'avoir pas gagné un match l'année dernière, c'est certain", a commenté Djokovic. "Mais cette année c'est différent. Je me sens plus confiant, je suis plus fort sur le court, plus mûr. J'ai fait parler mon expérience, dans les moments importants j'ai joué mon meilleur tennis."
Le Serbe a rapidement fait le break pour se détacher 3-1 dans la première manche. Mais son service l'a abandonné quand il a servi pour conclure à 5-3. Il a commis une double faute pour offrir à del Potro une balle de break avant de mettre une amortie de revers dans le filet.
Alors qu'un tie break se profilait, del Potro a expédié un coup droit dans le filet à 5-6, 30-30 sur son service. Une erreur fatale à l'Argentin de 20 ans qui a perdu le set sur le point suivant, conclu par Djokovic d'un coup droit croisé gagnant.
Del Potro, auteur plus tôt cette saison d'une série de 23 matches gagnés d'affilée et qui est passé de la 65e à la 8e place mondiale, a ensuite réussi à breaker le Serbe pour mener 2-1 mais Djokovic lui a ravi son service dans le jeu suivant. Après l'égalisation de del Potro à 3-3, Djokovic a réussi à gagner les trois jeux suivants pour remporter le match sous la clameur du public.
"J'ai les meilleurs supporters ici en Chine", a-t-il commenté.
Les premiers matches du groupe Rouge, qui comprend Roger Federer, Andy Murray, Andy Roddick et Gilles Simon, auront lieu lundi. Rafael Nadal, qui est assuré de finir l'année à la première place mondiale, a renoncé à disputer le tournoi à cause d'une tendinite au genou droit. Il espère être remis à temps pour jouer la finale de la Coupe Davis contre l'Argentine du 21 au 23 novembre. AP

[Norton]

Dernière minute

Les Sables d'Olonne
13:05 - dimanche 09 novembre 2008


Le départ du 6e Vendée Globe a été donné à 13 h 02. : Crédit: Marc Ollivier


C'est parti pour le 6e Vendée Globe !




Le départ du 6e Vendée Globe vient d'être donné à l'instant par Patrick Poivre-d'Arvor, à 13 h 02 précisément. Les 30 skippers sont désormais de vrais solitaires, leur équipe ayant dû débarquer quatre minutes avant le coup de canon. En ce qui concerne les conditions, elles sont difficiles avec une mer agitée, un vent de 12 noeuds, et des creux de 2 à 3 mètres. Mais ils sont désormais partis! A part Mike Golding, qui doit repasser la ligne de départ, pour avoir voulu aller trop vite...

Ce tour du monde, sans escale ni assistance, ne ramènera les plus rapides que dans trois mois environ. Les derniers ne devraient remettre pied à terre que dans quatre mois. Mais ce 6e Vendée Globe connaîtra sans doute son lot de déceptions, de casses, forçant certains à l'abandon avant d'avoir atteint leur rêve...

Ce matin, des dizaines de milliers de personnes sont venues encourager les skippers solitaires. Une foule compacte, massée sur les quais de La Chaume, les a encouragés à gorge déployée. Mais aussi sur la grande plage, le long du remblai, jusqu'à Port-Bourgenay où les bateaux ont défilé. En mer, la même ferveur... Plus de 15000 personnes sont en ce moment à bord d'une armada de vedettes ou de bateaux de particuliers. Une situation qui appelle les skippers, dès le départ, à une grande vigilance. Il en sera de même dans les heures et les jours qui viennent lors de leur descente du Golde de Gascogne.

Devant, le lutte s'annonce acharnée avec un plateau exceptionnel: Michel Desjoyeaux et Vincent Riou, les deux derniers vainqueurs, reviennent pour boucler la boucle dans les premiers. Ils devront compter avec les Loïck Peyron, Marc Guillemot, Marc Thiercelin, Jean Le Cam, Roland Jourdain et bien d'autres encore. Beaucoup prédisent que le record détenu par Vincent Riou, en 87 jours, 10 heures et 47 minutes pourrait tomber. Et si cette édition s'annonce passionnante, c'est aussi parce qu'il n'y avait jamais eu autant de skippers au départ (30 contre 20 en 2004), de bateaux neufs (20 au lieu de 4), de skippers étrangers (13), etc.

YES.............................

[Norton]

Voile
Vendée Globe: Dominique Wavre rentre au port

Image © Keystone

Dominique Wavre et son bateau sont de retour au Sables d'Olonne.

Dominique Wavre a prévenu la Direction de course qu’il revenait au port des Sables d’Olonne à cause d'un problème électrique. Il n’arrive plus à recharger ses batteries. Il espère repartir le plus vite possible, selon les informations publiées sur le site officiel de la course, www.vendeeglobe.org

Merde, c'est mal barré dès le début.................