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[Xor]

Envoyé par Norton

Button et Hamilton out au 1er tour du GP de Belgique






Le leader du Championnat Jenson Button, le champion en titre Lewis Hamilton et les débutants Romain Grosjean et Jaime Alguersuari ont abandonné le Grand Prix de Belgique dès le premier tour sur collision, dimanche à Spa-Francorchamps.

A l'origine de l'accident, le Français Grosjean (Renault), dont c'était la deuxième course en F1 sur Renault, a poussé Button (Brawn GP), causant un accident entre Alguersuari (Toro Rosso) et Hamilton (McLaren-Mercedes).

Les quatre pilotes, dont les voitures sont détruites, sont indemnes.
La course a été bloquée par une voiture de sécurité pendant quatre tours. Au restart, l'Italien Fisichella, qui avait chèrement gardé sa première place acquise grâce à une belle pole position en qualifications, s'est fait dépasser par le Finlandais Kimi Räikkönen, qui a profité du système Kers de sa Ferrari.

Button, qui devait absolument gagner des points sur ce GP, fait la très mauvaise opération du jour. De ses principaux adversaires, seul l'Australien Mark Webber, cinquième au huitième tour, semble en mesure d'arracher le podium.

C'est normal qu'on leur ait cherché des poux dans la tête... (voir 1ere photo)

[Norton]

cyclisme

L'or lui sied bien!


Image © Keystone
Fabian Cancellara revêt pour la deuxième fois le tricot aurifère.

Vainqueur de la première étape samedi, Fabian Cancellara a revêtu et défendu sans problème son maillot de leader.
Si - le 30 août 2009
Le Matin



L'Allemand Gerald Ciolek a remporté la deuxième étape du Tour d'Espagne à Emmen, dans le nord des Pays-Bas, où il a devancé au sprint l'Italien Fabio Sabatini et le Britannique Roger Hammond au terme d'une course disputée devant des dizaines de milliers de spectateurs.
Vainqueur de la première étape samedi, Fabian Cancellara a conservé le maillot or de leader. Le coureur de l'équipe Saxo Bank précède désormais Ciolek, 2e, de 8''. Le Belge Tom Boonen, 8e de l'étape, est troisième à 9''.
Boonen manque son sprint
Favori au départ de l'étape, Boonen a manqué son sprint, qu'il a sans doute entamé beaucoup trop tôt. Ciolek, qui est «resté à l'abri le plus longtemps possible car il y avait un vent venant de la gauche», en a profité pour signer son deuxième succès cette saison.
«Ma condition est bonne. Je me sentais bien au départ, avec un bon pressentiment», a poursuivi le sprinter allemand. Quel monde au bord de la route! «Mais c'était une étape très nerveuse qui ne nous a pas permis de profiter de cette foule incroyable», a-t-il déclaré.
Alors que 40 000 personnes avaient assisté au prologue samedi à Assen, les spectateurs étaient beaucoup plus nombreux encore hier.
Comme attendu, les coureurs néerlandais se sont mis en évidence devant leur public. Deux d'entre eux ont fait partie d'une longue échappée de cinq coureurs: Tom Leezer et Lieuwe Westra, l'Allemand Dominik Roels ainsi que les Espagnols Martinez Perez et David Garcia da Pena.
Un col à... 15 mètres!
Pour l'anecdote, Leezer (Rabobank) a endossé le premier maillot de meilleur grimpeur en franchissant en tête la première côte de l'épreuve, le Relus te Beek, qui culmine à... 15 mètres.
Ces cinq hommes partis dès le troisième kilomètre ont compté jusqu'à 7 minutes d'avance au km 101 sur un peloton emmené par les équipes Saxo Bank et Garmin principalement et qui a fini par avaler d'abord quatre d'entre eux à 20 km de la ligne avant de reprendre Westra à 12 km du but.
L'allure du peloton dans les derniers kilomètres a surpris quelques favoris. L'Espagnol Samuel Sanchez, Frank Schleck et le Kazakh Alexandre Vinokourov notamment ont abandonné 18 secondes sur des coureurs comme Valverde, Kreuziger, Kirchen ou Cunego. Andy Schleck a, lui, concédé 30 secondes.
Ce lundi, la troisième étape entre Zupthen et Venlo, toujours aux Pays-Bas, sera une nouvelle opportunité pour les sprinters au terme de 189 km sur le plat avec une incursion en Allemagne, pour renforcer encore le caractère international de cette Vuelta 2009.



CLASSEMENTS
Tour d'Espagne
2e étape, Assen - Emmen/PB, 203,7 km: 1. Ciolek (All/Milram) 4 h 43'12'', bon. 20''. 2. Sabatini (It), bon. 12''. 3. Hammond (GB), bon. 8''. 4. Greipel (All). 5. Farrar (EU). 6. Duque (Col). 7. Roelandts (Be). 8. Boonen (Be). 9. Vigano (It). 10. Chavanel (Fr). Puis: 27. Cancellara (S). 33. Valverde (Esp). 38. Evans (Aus). 46. Schär (S). 58. Basso (It). 85. Albasini (S), tous même temps. 91. Cunego (It) à 18''. 98. Sanchez (Esp). 105. Vinokourov. 120. F. Schleck (Lux), tous même temps. 154. A. Schleck à 30''. 159. Oliver Zaugg (S) m.t. 198 classés.
Classement général: 1. Cancellara (S/Saxo Bank) 4 h 48'32''. 2. Ciolek à 8''. 3. Boonen à 9''. 4. Farrar à 12''. 5. Mouris (PB) à 14''. 6. Bennati (It) à 16''. 7. Kreuziger (Tch) à 17''. 8. Garcia à 18''. 9. Basso m.t. 10. Valverde m.t.
Puis: 39. Schär à 28''. 67. Vinokourov à36''.? 112. F. Schleck à 53''. 151. A. Schleck à 1'08''. 177. Zaugg à 1'26''.

[Stoner27]

et on appelle ça encore du sport....

http://www.lesoir.be/sports/football...s-725300.shtml

[Norton]

Envoyé par Mr Ducati

et on appelle ça encore du sport....

http://www.lesoir.be/sports/football...s-725300.shtml

Je vais pas faire de polémique........... A l'époque pratiquement le même truc entre Gabet Chapuisat et Lucien favre

Si je trouve l'archive vous la pose.................

A mon avis oui grave mais pas voulu.................

[Norton]

Lucien Favre enchante Berlin

FOOTBALL | L’Allemagne et sa Bundesliga sont sous le charme de l’entraîneur vaudois.


© epa |


ARNAUD CERUTTI | 06.01.2009 | 00:01


Malgré les éloges, l’homme ne changera jamais. Une année et demie après avoir quitté la Suisse, modestie chevillée au cœur et au corps, Lucien Favre, les tempes un soupçon plus grisonnantes, demeure un être prudent, éternellement sur ses gardes. «Je ne me suis jamais pris la tête lorsque cela allait bien pour moi et ne le fais pas non plus lorsque ça marche moins fort», maintenait-il en 2003. Droit dans ses bottes, le natif de Saint-Barthélemy ne s’emballe donc pas, six ans plus tard, alors que tout tourne rond sur sa planète. Arrivé à la tête du Hertha Berlin en juin 2007, «Lulu» se profile déjà comme l’un des entraîneurs les plus cotés de Bundesliga. Sa réussite est folle devant un pari qui était loin d’être gagné! Ses pairs sont admiratifs. 
Pour sa deuxième saison dans la magnifique capitale allemande, bercé qu’il est par la Currywurst et les fastes de la Ku’Damm – la rue ultracommerciale – le Vaudois a en effet signé le meilleur premier tour de l’histoire du club, actuel troisième au classement. «Il nous amène dans une autre dimension», se félicite son président, Werner Gegenbauer. «Grâce à lui, l’équipe a une mentalité de vainqueur et un instinct de tueur», ajoute Dieter Hoeness, son manager. Dans les travées de l’Olympiastadion, l’éventualité de prolonger un contrat qui court jusqu’en 2010 est déjà à l’étude. «Je travaille toujours comme si je restais pour dix ans dans un club», lance Favre.
L’intéressé ne passera peut-être pas une décennie sur les bords de la Spree, mais celle qui vient de s’écouler a été riche en émotions. En mai 1999, il avait promu Yverdon-Sport en LNA, avant d’enrichir son parcours personnel, en passant notamment par Servette. A Genève, malgré un bel effectif, il manqua le titre, mais s’adjugea la Coupe de Suisse, en 2001. Un an avant d’être limogé. Entre deux, il réalisa un fabuleux exploit, déjà à Berlin, en Coupe de l’UEFA, écrasant le Hertha 0-3 en match retour des seizièmes de finale! En 2007, lorsqu’il s’en alla en Allemagne, Lucien Favre avait ajouté une autre Coupe et deux championnats à son palmarès, avec le FC Zurich. Au Letzigrund, après avoir flirté avec la guillotine, il était parvenu à construire une équipe formidable, très joueuse. Un onze à son image.
Car le «Lulu» joueur était, dans les années 80, un artiste à la technique subtile. Qui débuta en équipe de Suisse contre les Pays-Bas, en même temps que… Gullit et Rijkaard! Puis il évolua à Servette, Toulouse et revint aux Charmilles, terrain maudit où Pierre-Albert Chapuisat «l’assassina». Le 13 juin 1985, le père de Stéphane se fit l’auteur d’un tacle terrible sur Favre. Genou en mille morceaux, ligaments brisés, le joueur grenat ne retrouva jamais son niveau. L’affaire alla jusqu’au tribunal, «Gabet» déboursant jusqu’à 5000 francs de réparation.
En 1991, crampons définitivement raccrochés, Favre, scorpion ascendant lion, se tourna vers le coaching. D’abord avec les juniors C d’Yverdon, puis à Echallens, d’où un surnom de «formateur dans l’âme». «Cela me paraissait aberrant de commencer dans l’élite sans connaître le fonctionnement et les problèmes rencontrés à tous les échelons d’un club», admet-il aujourd’hui. Près de vingt ans plus tard, il affirme «apprendre encore tous les jours». Après son licenciement de Servette, il n’hésita pas à voyager pour se perfectionner (en Argentine, en Belgique, aux Etats-Unis, en Suède…) et améliora également son allemand et son anglais. Cela lui sert aujourd’hui à temps plein. De Berlin, il est devenu l’enchanteur. «Ce défi ne me fait pas peur», prétendait-il à l’été 2007. Alors que son équipe est en course pour le titre – un sondage du Berliner Morgenpost montre que 34% des fans la voient championne dans quatre mois! Lucien lâche: «Il ne faut pas rêver.»
Non, décidément, Favre ne changera jamais.

[Norton]

Cyclisme

Vuelta: Cancellara reste en jaune


Image © Keystone


Le Néo-Zélandais Greg Henderson (Columbia) a fêté le plus beau succès de sa carrière sur route à l'occasion de la 3e étape de la Vuelta. Le champion du monde 2004 du scratch se replace au 2e rang du général à 6'' du Bernois Fabian Cancellara (Saxo Bank).
le 31 août 2009,
LeMatin.ch & les agences

Habituellement au service de ses leaders (Mark Cavendish, qui n'est pas présent sur la Vuelta, et André Greipel, 4e lundi), Henderson a expliqué s'être imposé quasi accidentellement. "J'étais aux avant-postes pour emmener Greipel. C'était mon boulot. Mais à 600 mètres de la ligne, après un virage très dangereux, je ne l'ai plus vu dans ma roue. Je l'ai cherché quelques instants puis j'ai décidé de faire mon propre sprint", a-t-il déclaré.
Spécialiste de la piste et principalement du scratch, épreuve dans laquelle il avait été sacré champion du monde en 2004, Henderson avait appris "cinq jours seulement avant la Vuelta" qu'il en prendrait le départ. Lundi, il a aisément devancé le Slovène Borut Bozic et l'ancien champion du monde espagnol Oscar Freire.
"Cette incertitude sur ma participation, ce n'était pas évident pour ma motivation. Je suis donc très heureux de ce succès", a-t-il poursuivi. Henderson a d'ailleurs fait la nique aux favoris, le Belge Tom Boonen et l'Américain Tyler Farrar, piégés dans le dernier virage alors que leurs équipiers les avaient pourtant idéalement placés.

Arrivée à Liège mardi
Si trois hommes avaient pris la clé des champs dès le premier km, ils n'ont jamais mis en péril une arrivée massive. L'Espagnol Jesus Rosendo accompagné des Néerlandais Lars Boom et Johnny Hoogerland ont certes compté jusqu'à huit minutes d'avance à mi-course, mais ils n'avaient aucune chance face à un peloton emmené par les équipes Quick Step (pour Boonen), Garmin (Farrar) et Saxo Bank de Cancellara. Rejoints dans les vingt derniers km, malgré la belle résistance de Rosendo, les trois attaquants n'ont pu que laisser les sprinters s'expliquer entre eux.
Le scénario sera sans doute différent mardi. Les coureurs vont quitter les Pays-Bas en direction de Liège en Belgique pour la dernière étape hors d'Espagne sur un parcours plus accidenté. En empruntant des routes de l'Amstel Gold Race et de Liège-Bastogne-Liège, la Vuelta prendra une première fois un peu de hauteur (avec les ascensions du Cauberg, du Mont Theux et de la côte Saint-Nicolas) tout en faisant un clin d'oeil à deux des plus belles classiques de la saison. Avant de prendre l'avion pour l'Espagne et Tarragone, ville départ de la 5e étape jeudi

[Norton]

formule 1

L'accident de Nelson Piquet Jr à Singapour aurait été prémédité


Image © Keystone


La Fédération internationale enquête sur l'accident de l'ex-pilote Renault au Grand Prix de Singapour 2008. L'incident aurait été prémédité afin de faciliter la tâche de Fernando Alonso, a affirmé dimanche la télévision brésilienne Rede Globo.
le 31 août 2009,
LeMatin.ch & les agences



"L'accident de Nelsinho (Piquet) avait été prémédité pour que la voiture de sécurité entre à Singapour. Il était rentré dans le mur de manière très étrange, a avancé un commentateur de Rede Globo. Récemment, en parlant avec Felipe Massa, il a attiré mon attention sur ce sujet. Felipe est allé voir Briatore (ndlr: directeur général de Renault F1) et lui a dit : cet accident n'est pas normal, il s'est produit parce que vous le souhaitiez ".
"D'autres pilotes avaient envisagé cette hypothèse à l'époque, dont on reparle maintenant à cause d'une enquête que la FIA est en train de mener, a-t-il ajouté. La Fédération a engagé une entreprise indépendante (pour mener l'enquête) et dispose de témoignages cinglants qui incriminent Flavio Briatore". Une porte-parole de la FIA a admis qu'une enquête était "en cours au sujet d'événements présumés lors d'une précédente course du Championnat du monde", sans davantage de précision.
Parti 15e du GP de Singapour, le 28 septembre 2008, Fernando Alonso avait ravitaillé le premier, très tôt dans la course, juste avant que son coéquipier brésilien Nelsinho Piquet Jr. heurte un mur au volant de sa Renault et que la voiture de sécurité entre en piste. La plupart des autres pilotes étaient rentrés aux stands pendant que la course était neutralisée. Alors qu'il naviguait à petite allure derrière la voiture de sécurité, l'Espagnol avait vu ses concurrents s'écarter un par un pour ravitailler, ce qui lui avait permis de remonter tout le peloton et de finalement se retrouver en tête.

[Stoner27]

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Je vais pas faire de polémique........... A l'époque pratiquement le même truc entre Gabet Chapuisat et Lucien favre

Si je trouve l'archive vous la pose.................

A mon avis oui grave mais pas voulu.................

je n'ai pas dit que c'était voulu, mais cela reste néanmoins une vilaine faute qui n'a rien à faire en sport...

[Norton]

"Rien n'était prémédité dans ce geste que je regrette"


Axel Witsel sera-t-il assez fort psychologiquement pour se remettre d'un tel choc?
Les images du "Clasico" de la honte sont encore présentes dans tous les esprits ce matin. Les réactions, bonnes et mauvaises, ont fusé et le débat est encore très loin d'être clos.

Milan Jovanovic a été très digne.

Le foot doit rester dans les limites sportives pour que de telles choses n'arrivent plus

Milan Jovanovic, coéquipier d'Axel Witsel


Par contre, Steven Defour n'a pas hésité à mettre de l'huile sur le feu.


Axel Witsel a-t-il pu passer une nuit tranquille? S'il est impossible de préméditer un tel geste, le Soulier d'Or a commis une faute impardonnable sur Marcin Wasilewski.

Witsel en pleurs
En pleurs et conscient de sa faute, Axel Witsel n'a pas voulu s'éterniser sur le débat. On peut le comprendre. "Je n'ai pas envie de réagir à chaud. Rien n'était prémédité dans ce geste que je regrette", a précisé laconiquement le Liégeois.

Des réactions débiles...
En revanche, d'autres réactions, que nous ne cautionnons pas, ont également attiré notre attention. Du "si on avait sifflé les deux fautes sur moi, ce ne serait pas arrivé" au "Wasyl n'a ce qu'il mérite" lancé par Philippe Léonard, le manque de professionnalisme et de fair-play a également touché le "Clasico".

Aux réactions sensées...
Heureusement, d'autres joueurs du Standard ont haussé le niveau: Milan Jovanovic et Mohamed Sarr. "Que Wasyl et Polak (touché aux ligaments du genou) reviennent vite", a avoué le longiligne défenseur sénégalais.

"Je ne veux pas parler du point"
Quant au Serbe, pourtant réputé pour son caractère bien trempé, il a été très digne dans sa réaction. "C'est difficile de parler football après un tel accident. Après ce qui s'est passé ce soir, je ne veux même pas prendre le point que nous avons obtenu sur la pelouse. D'ailleurs une victoire du Standard n'aurait eu aucune valeur. Ce n'est rien quand on sait que, peut-être la carrière d'un joueur est terminée. Le foot doit rester dans les limites sportives pour que de telles choses n'arrivent plus. Le sport, c'est d'abord l'humain. J'échangerais un titre conquis avec le Standard pour faire marche arrière".

Pas mieux, Mr Jovanovic !

Christophe Da Silva

Moi, j'en suis persuadé.............C'est le truc con ............

[Norton]

Envoyé par Mr Ducati

je n'ai pas dit que c'était voulu, mais cela reste néanmoins une vilaine faute qui n'a rien à faire en sport...

Mais rancune point...........