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Pour revenir au topic, tout comme Phil, je passe tous les jours voir qu'est ce qui s'y passe.
Merci Norton

Merci Pasky.....


F1
Renault comparaîtra pour suspicion de tricherie

L'écurie Renault, soupçonnée d'avoir volontairement provoqué un accident en 2008 pour favoriser la victoire de son pilote Fernando Alonso, comparaîtra le 21 septembre devant le Conseil mondial du sport automobile.

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Dossier: Formule 1




L'écurie Renault-F1 est poursuivie pour tricherie. (Photo: Keystone)


Elle est sous la menace de lourdes sanctions.
«Les représentants de l'équipe sont convoqués pour répondre de l'accusation selon laquelle l'équipe aurait conspiré avec son pilote Nelson Piquet Jr pour causer délibérément un accident au Grand Prix de Singapour de 2008 dans le but de provoquer l'intervention de la voiture de sécurité, favorisant ainsi son autre pilote, Fernando Alonso», a indiqué la Fédération internationale (FIA).
L'écurie française est citée à comparaître en vertu de l'article 151c du règlement de la FIA relatif à «tout procédé frauduleux ou manoeuvre déloyale de nature à nuire à la sincérité des compétitions ou aux intérêts du sport automobile».
L'affaire a été révélée le 31 août par la télévision brésilienne Rede Globo, moins d'un mois après le renvoi, le 3 août, de Nelson Piquet Jr par l'écurie Renault.
L'inquiétude d'Ecclestone
Lors du Grand Prix de Singapour, le 28 septembre 2008, Fernando Alonso, parti en 15e position, avait ravitaillé le premier, très tôt dans la course, juste avant que son coéquipier brésilien Nelsinho Piquet Jr. ne heurte un mur au volant de sa Renault.
Cet accident avait provoqué l'entrée sur la piste de la voiture de sécurité. La plupart des autres pilotes étaient rentrés aux stands pendant que la course était neutralisée. Alors qu'il naviguait à petite allure derrière la voiture de sécurité, l'Espagnol avait vu ses principaux concurrents s'écarter un par un pour ravitailler. Cela lui avait permis de remonter tout le peloton, pour finalement se retrouver en tête et remporter son premier Grand Prix de la saison sous les couleurs de Renault.
La FIA soupçonne Renault d'avoir contraint Piquet à heurter le mur pour provoquer l'entrée en piste de la voiture de sécurité. Selon le journal «L'Equipe» du 1er septembre, une vive altercation avait opposé Flavio Briatore, directeur général de Renault F1, à Nelson Piquet Jr, dans le paddock, environ 45 minutes avant le départ du Grand Prix.
La comparution de Renault fait suite à une enquête diligentée par la FIA et menée par un organisme indépendant. Elle survient alors que la Formule 1 traverse une grave crise en raison du désengagement de plusieurs grands constructeurs: Honda s'est retiré en fin de saison dernière alors que BMW sera absent en 2010.
«Nous n'avons pas besoin de ça en ce moment», a déclaré le 1er septembre Bernie Ecclestone, le grand argentier de la F1. «Il y a un danger qu'ils (Renault) quittent la compétition, de toute évidence. J'espère que cela ne sera pas le cas, mais c'est le genre de chose qui peut arriver», avait-il estimé.
«Renault F1 prend note de la convocation», a indiqué l'écurie vendredi soir, précisant qu'elle ne ferait «aucun commentaire avant de participer à cette audition».

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éliminatoires mondial 2010

Ronaldo très mal barré


Image © Keystone
La star, c'est lui! Cristiano Ronaldo s'est démené comme un beau diable hier face aux Danois à Copenhague. Après la pause, lui et ses coéquipiers ont tiré 30 fois vers la cage adverse pour enfin égaliser à la 84e

Cristiano Ronaldo, star et joueur le plus cher de l'histoire pour 142 millions de francs, risque de ne pas participer à la Coupe du monde 2010. Le Portugal est désormais 4e du groupe 1
le 05 septembre 2009,
Le Matin Dimanche



Tenu en échec 1-1 à Copenhague dans un match qu'il aurait dû gagner, le Portugal se retrouve en difficulté dans le groupe 1 des qualifications de la Coupe du monde 2010. Les Danois, en tête, comptent quatre points d'avance sur la Hongrie, cinq sur la Suède et sept sur les Portugais.
La sélection portugaise a bombardé la cage danoise sans relâche, mais s'est montrée d'une incroyable maladresse à la conclusion. Bendtner ouvrait le score à la 42e contre le cours du jeu, sur le seul et unique tir cadré des Danois durant le match!
Après le repos, les Portugais ont multiplié les occasions, expédiant au total plus de 30 tirs à destination de la cage adverse. C'est finalement sur une tête de Liedson après un corner que les Lusitaniens ont sauvé un point (84e) qui ne fera cependant pas pleinement leur bonheur.
L'Italie conforte sa place
L'Italie championne du monde en titre a souffert aussi face à une remuante Géorgie, mais est finalement parvenue à l'emporter 2-0 à Tbilissi, grâce à deux buts contre son camp du capitaine Kaladze. La Squadra azzurra a ainsi conforté sa place en tête du groupe 8 des qualifications de la Coupe du monde 2010.
Désormais, en cas de victoire face à la Bulgarie, 3e de la poule, mercredi à Turin, l'Italie aura pratiquement son billet en poche pour l'Afrique du Sud.
Un peu moins d'un mois après un match amical de reprise décevant face à la Suisse (0-0), l'Italie n'a guère brillé, notamment en attaque où si elle a trouvé le chemin des filets, elle le doit bien plus à la maladresse de Kaladze qu'à la réussite de ses attaquants. Gianluigi Buffon tentait hier d'expliquer ce trop de buts marqués depuis un certain temps: «Ce qui ne va pas? Nous sommes en train de payer le contrecoup psychologique des gifles reçues en Afrique du Sud lors de la Coupe des Confédérations ( ndlr: élimination au 1er tour après deux défaites et une victoire ). En étant éliminé de cette façon, on a perdu un peu de confiance, et pour la reconquérir, nous devons gagner des matches en jouant un beau football. Mais dans une rencontre comme celle d'aujourd'hui, on devait seulement s'y remettre et c'est pour ça qu'on prend cette victoire.»



Mauvaise opération pour la France
La qualification directe de l'équipe de France de football pour le Mondial 2010 en Afrique du Sud s'est éloignée hier soir avec le match nul 1-1 concédé à la Roumanie au Stade de France.
Toujours en manque de réalisme offensif, les Bleus se sont créés une multitude d'occasions mais n'en ont converti qu'une seule par Thierry Henry à la 48e avant l'égalisation contre son camp de Julien Escudé sept minutes plus tard pour la seule opportunité roumaine de toute la rencontre.
S'ils perdent en Serbie mercredi pour le choc au sommet entre les deux premiers du groupe 7 des éliminatoires, les hommes de Domenech n'auront pratiquement plus aucune chance de finir à la première place du groupe directement qualificative pour l'Afrique du Sud. Ils se dirigeront vers les dangereux barrages des huit meilleurs deuxièmes des neuf groupes de la zone Europe.
Franchir la muraille roumaine, par deux fois l'équipe de France «made in Raymond Domenech» n'y était pas parvenue. Le sinistre 0-0 du premier tour de l'Euro 2008 avait été suivi par le 2-2 du match aller de ces éliminatoires à Costanta il y a un an.
Poussés par un public chauffé à blanc, les Bleus entamaient le match tambour battant, sur une pelouse du Stade de France enfin digne de ce nom.
A la veille de sa 112e sélection, Thierry Henry avait déploré à Clairefontaine le manque d'«un match de référence» pour cette équipe toujours en reconstruction depuis sa deuxième place au Mondial 2006. Elle semblait le tenir enfin, mais il manquait les buts...
Domenech a tenté de lancer Karim Benzema à la place de Gourcuff (73e), décalant Anelka à droite. Mais rien ne changeait.
Les 78 209 spectateurs sifflaient les Bleus à leur sortie, Domenech les applaudissait.

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ÉLIMINATOIRES MONDIAL 2010

Patience récompensée pour l'équipe nationale


Image © Keystone
Grichting lève le poing: l'Afrique du Sud se rapproche pour la Suisse
L'équipe nationale n'a jamais cessé de remettre l'ouvrage sur le métier. Elle a fini par être récompensée de ses efforts. Afrique du Sud 2010, nous voilà... presque!
Nicolas Jacquier, Christian Maillard - le 05 septembre 2009, 23h30
Le Matin Dimanche



Il en faut plus pour déstabiliser Ottmar Hitzfeld. Après le forfait de Marco Streller en début de semaine, une autre tuile, autrement plus dommageable celle-ci, lui était pourtant tombée dessus hier quelques heures avant le coup d'envoi. Avec l'officialisation du forfait prévisible de Gökhan Inler, son habituel meneur de jeu, victime d'une contracture à la cuisse le condamnant à jeter l'éponge provisoirement (on devrait le retrouver mercredi à Riga). Comme prévu, c'est Gelson Fernandes qui hérita de la place laissée vacante par le mercenaire de l'Udinese. Ajouté aux retours de Nef (premier joueur de deuxième division titularisé depuis longtemps) et de l'impeccable Von Bergen, voilà qui faisait passablement de remaniements dans une équipe qui restera longtemps empêtrée dans le béton grec.
Après-midi de congé
Il était une fois, Gelson Fernandes... Au coup d'envoi, on a vu le Valaisan de l'AS Saint-Etienne, mains jointes, prier et implorer le ciel. Une image forte, destinée à renforcer les croyances du No 8 helvétique. Si cela ne suffit pas toujours pour créer, dans le temps initial du jeu, le danger, cela contribua néanmoins déjà à ébranler les certitudes des champions d'Europe 2004. Croyant appliquer avec le même succès la recette qui avait si bien fonctionné au Portugal, Otto Rehhagel ne s'était pas embarrassé de fioritures: «Voilà 15 ans que je viens en vacances en Suisse. Mais cette fois, c'est pour du travail», avait prévenu le rusé renard allemand. Mais dans le match du banc qu'il livra à ce cher Otto, c'est le Général Hitzfeld qui a fini par avoir le dernier mot.
En effectuant les changements qu'il fallait, le sélectionneur a trouvé la force de relancer une équipe qui taille patron. Les entrées successives de Derdiyok, Yakin et Vonlanthen s'avérèrent trois coups de pokers gagnants. En osmose avec un public qui porta constamment ses protégés, le nouveau leader du groupe 2 offrit ainsi du bonheur à ses supporters. Habitée par une confiance inébranlable, celle-là même que lui a transmise son druide, la Suisse a fait chavirer tout un pays, à l'image d'un défenseur No 13 propulsé buteur.
Après un décrassage matinal, les héros de Saint-Jacques profiteront d'un dimanche après-midi de congé bien mérité que certains passeront en famille. Heure de rentrée fixée par le grand chef: 23 h en chambres. Le départ pour Riga est fixé demain à 10h20, à bord d'un charter de Swiss. La route pour l'Afrique du Sud est toute tracée. Reste à ne pas s'égarer en chemin. Sur ce plan-là aussi, on peut compter sur Ottmar...



Hitzfeld: «De haute lutte!»
Ottmar Hitzfeld: «Ce fut une victoire acquise de haute lutte, face à un adversaire au gros potentiel et disposant de très fortes individualités. Ce qui était important pour moi, c'était de confirmer que j'avais à disposition des joueurs capables d'apporter un nouveau souffle. Je pense à Yakin, notre meilleur homme sur balles arrêtées, et à Padalino. Je suis très heureux du match de Von Bergen et Nef. La Suisse a évolué avec la conviction, jusqu'à la dernière minute, qu'elle pouvait battre la Grèce. Mercredi, ce sera un match très chaud pour nous. Nous allons digérer cette rencontre et nous concentrer sur la Lettonie.»
Otto Rehhagel: «Nous sommes deuxièmes, il nous faut désormais défendre cette deuxième place (...) L'arbitre n'aurait pas dû expulser notre joueur. Les arbitres doivent diriger le match, pas décider de son sort. La suite passe obligatoirement par une victoire contre la Moldavie.»

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us open

Federer n'était pas très inspiré


Image © Keystone
Ce n'était pas le Roger Federer des grands jours hier face à Lleyton Hewitt, mais l'essentiel, la qualification, est assuré...
Le Bâlois commet un nombre élevé de fautes directes mais s'impose tout de même en quatre sets 4-6 6-3 7-5 6-4 face à l'Australien
Fabiano Citroni - le 05 septembre 2009, 22h42
Le Matin Dimanche



Roger Federer ne peut pas toujours être grand. Il lui arrive de remporter des matches sans bien jouer et en commettant un nombre important de fautes directes. Hier face à Lleyton Hewitt, le Bâlois a rarement semblé dans le coup sur le court. Il a sorti très peu de coups de génie de sa raquette. Mais il a su se ressaisir au moment opportun pour battre pour la quatorzième fois de suite l'ancien numéro un mondial australien. Le score: 4-6 6-3 7-5 6-4 après un peu plus de deux heures et demie de match.
Le numéro un mondial a inquiété ses supporters à deux reprises dans cette rencontre. Dans le premier set tout d'abord, qu'il a réussi à perdre après avoir pourtant mené 4-2 et 40-0 sur son service. Perdant totalement son tennis, ratant un nombre incroyable de coups, il a encaissé quatre jeux d'affilée avant de regagner son banc avec la tête des mauvais jours. Et surtout avec un set de retard.
Hewitt abdique
Après avoir élevé le niveau de son jeu dans le deuxième set remporté assez facilement, Federer a de nouveau connu des absences dans le troisième set où il a écarté des balles de 2-0 puis de 3-1 pour son adversaire. «Federer a servi à la perfection sur mes balles de break. C'est pour ça qu'il est aussi fort», confie Hewitt, battu pour la troisième fois à New York par le Bâlois.
A 5-5 dans ce troisième set, Federer semblait mal pris. A cet instant de la partie, on s'est alors pris à imaginer le pire: une élimination prématurée dans le tournoi après cinq victoires consécutives à New York. Cinq minutes plus tard, on était rassuré. Federer venait de remporter le set après avoir breaké et confirmé son break.
Le quatrième set? Une formalité, Hewitt semblant résigné. Ce qui lui arrive rarement. L'Australien perdait son service à deux reprises avant de prendre une fois celui de son adversaire pour donner au score une allure plus respectable. Mais le fait est là: Hewitt n'a plus battu le Bâlois depuis 2003.
Blake ou Robredo
En huitième de finale, Roger Federer, qui a perdu hier son premier set en trois matches, sera opposé demain au vainqueur du match qui a mis aux prises cette nuit l'Américain James Blake et l'Espagnol Tommy Robredo.



EN SETS
New York. 4e tournoi du Grand Chelem (23 millions de francs/dur).
Simple messieurs, 2e tour: Murray (EU/2) bat Capdeville (Chili) 6-2 3-6 6-0 6-2. Nadal (Esp/3) bat Kiefer (All) 6-0 3-6 6-3 6-4. Gonzalez (Chili/11) bat Ouanna (Fr) 6-4 6-7 (5/7) 6-3 6-4. Monfils (Fr/13) bat Beck (All) 6-3 7-5 6-3. Acasuso (Arg) bat Ferrer (Esp/18) 6-3 3-6 1-6 6-3 6-2. Almagro (Esp/32) bat Ginepri (EU) 6-7 (7/9) 6-2 6-3 4-6 6-4. Istomin (Ouz) bat Lapentti (Equ) 2-6 6-4 4-6 7-5 7-6 (7/4). Dent (EU) bat Navarro (Esp) 6-4 5-7 6-7 (1/7) 7-5 7-6 (11/9).
Seizièmes de finale: Federer (S/1) bat Hewitt (Aus/31) 4-6 6-3 7-5 6-4. Davydenko (Rus/8) bat Chiudinelli (S) 6-4 7-5 7-5. Djokovic (Ser/4) bat Witten (EU) 6-7 (2/7) 6-3 7-6 (7/2) 6-4. Stepanek (Tch/15) bat Kohlschreiber (All/23) 4-6 6-2 6-3 6-3.
Simple dames, seizièmes de finale: V. Williams (EU/3) bat Rybarikova (Slq) 6-2 7-5. Petrova (Rus/13) bat Jie (Chine/21) 6-4 6-1. Li (Chine/18) bat Kirilenko (Rus) 6-4 6-2. Clijsters (Be) bat Flipkens (Be) 6-0 6-2.

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tour d'Espagne

Cancellara en force


Image © Keystone
Le Suisse s'est imposé dans des conditions météo difficiles

Fabian Cancellara a remporté les 30 km contre le chrono. Il reprend la tête de la Vuelta
le 05 septembre 2009, 21h53
Le Matin Dimanche



Le Suisse Fabian Cancellara (Saxo Bank) a récupéré le maillot or de leader du Tour d'Espagne après une nouvelle démonstration sur contre-la-montre, à Valence. Cancellara, vainqueur du premier contre-la-montre individuel de cette Vuelta 2009, lors de la première étape à Assen (Pays-Bas), et leader jusqu'à la 5e étape, s'est imposé dans des conditions dantesques, sous la pluie et contre le vent.
Avec un temps de 36'41'', après 30 km, Cancellara a devancé de 32'' un autre spécialiste du contre-la-montre, le Britannique David Millar. L'Allemand Bert Grabsch a pris la troisième place à 36'' du Suisse. Le champion olympique a remporté à Valence son 38e contre-la-montre depuis son passage chez les professionnels.
«Comme une formule 1»
Au classement général, Cancellara devance le Belge Tom Boonen, victime d'une chute sans gravité samedi, de 51'' et l'Espagnol David Herrero de 59''.
«Les conditions météo étaient très difficiles», a souligné Cancellara à l'arrivée. «J'ai essayé d'aller aussi vite qu'une formule 1», a-t-il ensuite plaisanté alors que l'arrivée avait lieu sur le circuit urbain du Grand Prix de formule 1. «C'était une grande course», a-t-il conclu.


Classement
7e étape, contre-la-montre à Valence, 30 km: 1. Cancellara (S/Saxo Bank) 36'41'' (49,068 km/h). 2. Millar (GB) à 32''. 3. Grabsch (All) à 36''. 4. Herrero (Esp) à 40''. 5. Kirienka (Bié) à 46''. 6. Sanchez (Esp) à 47''. 7. Danielson (EU) à 59''. 8. Riblon (Fr) à 53''. 9. Boom (PB) à 59''. 10. Evans (Aus) à 1'02''. Puis: 36. Basso (It) à 1'43''. 42. Schleck (Lux) à 2'02''. 49. Schär (S) à 2'09''. 57. Schleck (Lux) à 2'22''. 63. Kreuziger (Tch) à 2'31''. 67. Greipel (All) à 2'37''. 71. Cunego (It) à 2'40''. 101. Albasini (S) à 3'20''. 119. Zaugg (S) à 3'46''. 192 classés.
Classement général: 1. Cancellara 24h58'12''. 2. Boonen à 51''. 3. Herrero à 59''. 4. Bennati à 1'03''. 5. Kirienka à 1'08''. Puis: 51. Andy Schleck à 3'10''. 53. Frank Schleck à 3'15''. 58. Kreuziger à 3'25''. 67. Cunego à 3'42''. 72. Schär à 3'50''. 97. Zaugg à 5'22''. 108. Albasini à 6'43''.

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vtt

Peat et Ragot champions


Image © Keystone
Steve Peat devient champion du monde de descente à 35 ans.

Le Britanique et la Française s'imposent dans l'épreuve de descente des Mondiaux.
le 06 septembre 2009,
LeMatin.ch & les agences

Championnats du monde
Canberra (AUS)
Le Britannique Steve Peat chez les messieurs et la Française Emmeline Ragot chez les dames ont été sacrés champions du monde de descente, dimanche lors des Mondiaux 2009 de VTT à Canberra. Médaillé d'argent en 2000, en 2001, en 2002 et en 2008, Peat accède enfin, à 35 ans, à la plus haute marche du podium en bouclant le parcours de 2,1 km de descente en 2 min 30 sec 33/100.
Il devance le Sud-Africain Greg Minnaar et l'Australien Michael Hannah. «Je crois que je n'ai pas encore réalisé, j'ai juste essayé de puiser au plus profond de moi-même. Après toutes ces années, c'est tout simplement irréel», a déclaré Peat.
Chez les dames, la Française Emmeline Ragot, 23 ans, a obtenu son premier titre majeur après une 3e place en 2008 aux Championnats du monde en Italie. Ragot a bouclé la descente en 2 min 50 sec 5/100, devançant la Britannique Tracy Moseley et l'Américaine Kathleen Pruittt.

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L’équipe de France ne veut plus de Domenech!

FOOTBALL | Avant France-Roumanie, le capitaine des «Bleus» Thierry Henry s’est livré à un réquisitoire sévère contre son sélectionneur, au nom de tous les joueurs.


© KEYSTONE | Raymond Domenech, entraîneur de l'équipe de France.


Jean-Noël CUÉNOD, Paris | 07.09.2009 | 13:19


Depuis plusieurs années, les médias et une grande partie des supporteurs de l’équipe de France veulent pousser vers la sortie le sélectionneur-entraîneur des «Bleus». Pour expliquer le maintien à ce poste de Raymond Domenech, le président de la Fédération Française de Football (FFF) Jean-Pierre Escalettes avait affirmé, en octobre 2008, que le coach controversé recevait le soutien inconditionnel de ses joueurs. Or cet appui lui fait désormais défaut, comme l’a révélé, lundi, le quotidien Le Parisien.
A la veille du match contre la Roumanie au Stade de France — capital pour la qualification du Mondial de 2010 et qui s’est soldé samedi par un maigre 1-1 — Raymond Domenech réunit ses joueurs. Sans doute pour piquer au vif leur fierté, il critique leur manque d’engagement à l’entraînement.
Réquisitoire
C’est alors qu’au nom de l’équipe, le capitaine Thierry Henry lui rend la politesse:
On s’ennuie à vos entraînements. Cela fait douze ans que je joue équipe de France, jamais je n’ai été dans cette situation. On ne sait pas comment jouer, où se situer, comment s’organiser. On ne sait pas quoi faire. On n’a aucun style, aucune idée directrice, aucune identité. Ça ne va pas!
Jean-Pierre Escalettes contre vents et marées
Dans ces conditions, avec une qualification fortement compromise et cette volée de bois vert, Raymond Domenech sera-t-il viré? Il est peu probable qu’il le soit avant la rencontre décisive de mercredi à Belgrade contre la Serbie. D’autant plus que dimanche soir, le président Escalettes a clairement affirmé devant les micros que Domenech resterait en poste jusqu’à la fin de son contrat en 2010.
Pourquoi cet acharnement à le conserver à la tête du «onze» français? Certes, l’indemnité à verser à l’entraîneur en cas de rupture du contrat — sans doute un demi-million d’euros — peut faire réfléchir. D’autant plus que le président Escalettes a réussi, non sans peine, à rétablir la situation financière de la FFF.
Mais il faut aussi tenir compte de la personnalité de cet homme de 74 ans, à la fois humble et énergique. Pour ce protestant du Sud-Ouest, un contrat, ça se respecte et ça ne se remet pas en cause au moindre coup de sang. Restant fidèle à sa parole donnée, Jean-Pierre Escalettes constitue donc une exception dans le monde du football-paillettes. Ce qui lui vaut bien des incompréhensions médiatiques.

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"Je n'ai jamais été aussi émue sur un court"







Ivre de joie à l'issue de sa prestigieuse victoire contre Venus Williams, Kim Clijsters n'a pas pu contenir son émotion devant les 20.000 spectateurs du stade Athur Ashe. "Je n'ai jamais été aussi émue sur un court de tennis", confessa Kim au micro de Sporza. "Cette victoire signifie énormément pour moi. C'est pour ces moments-là qu'on joue au tennis", ajouta-t-elle.

La Limbourgeoise assure que son mariage et son rôle de maman ont fait d'elle "une personne plus complète" mais pense qu'elle n'a pas encore retrouvé son tennis d'antan. Dimanche, elle a battu la N.3 mondiale Venus Williams pour disputer à la Chinoise Li Na (N.18) une place en demi-finale.

Q: Après avoir battu Venus Williams, vous sentez-vous davantage confiante ?
R: "Venus n'a pas joué son meilleur tennis. Pour cette raison, il est difficile d'essayer de faire des comparaisons. Ceci dit, il y a énormément d'autres choses que je retire de ce match. Par exemple, le fait d'avoir gardé ma force mentale, d'être restée concentrée, bien que dans le deuxième set je ne frappais plus dans la balle, j'ai essayé et réussi à retrouver mes esprits. Ou encore la lecture du jeu, le fait de corriger certaines faiblesses que j'ai eues. Je suis ravie d'être revenue et de m'être battue dans ce match."

Q: Diriez-vous que vous avez retrouvé votre niveau d'antan?
R: "Vraiment pas avec ce match. J'ai eu beaucoup de hauts et de bas. Mais par moments j'ai eu l'impression que je frappais vraiment bien dans la balle. Cela dit, je faisais preuve de régularité autrefois et c'est quelque chose que j'ai encore besoin de travailler. Garder le même niveau tout un match. C'est quelque chose qui va pendre du temps, pour lequel je devrai jouer plus de matches, faire plus de tournois."

Q: Votre mariage avec le basketteur américain Brian Lynch puis la naissance de votre fille Jada ont-ils donné un nouvel équilibre à votre tennis ?
R: "C'est sûr. Et il le faut. Vous devez essayer de trouver un équilibre. Ça a vraiment fait de moi une personne plus complète. Ce serait mentir que de dire que ça n'a pas changé ma vie. C'est un énorme changement, pour le meilleur. Mon mari et moi sommes extrêmement heureux d'avoir notre fille (Jada, 18 mois) avec nous ici. Ça change énormément par rapport à ce que j'étais habituée, mais j'aime vraiment pouvoir voir mon mari et Jada à côté, dans les gradins."

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L'Argentine veut la tête de Maradona


1-3 contre le Brésil, ça passe mal ! L'Argentine, 4e au classement (dernière place qualificative), est mal au point et le mythique Diego Armando Maradona est vivement critiqué dans son pays natal.
65% des Argentins pensent que leur équipe nationale ne participera pas à la prochaine coupe du Monde en Afrique du Sud. La défaite contre le Brésil laisse des traces. D'autres aimeraient avoir la tête de Diego Armando Maradona. "La Seleccion" n'est pas une équipe", titre sans détour Clarin.

"Maradona ne sait pas comment s'y prendre. Il doit rapidement s'en aller pour laisser sa place à Bianchi. Il est urgent qu'il fasse ses valises. Cette rencontre a été un désastre", a déclaré José Sanfilippo, ancien butueur de San Lorenzo et de Boca Juniors. (chds)

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Cadel Evans s'empare du maillot d'or


L'Australien Cadel Evans (Silence-Lotto), discret sur ses ambitions à la Vuelta, s'est dévoilé dimanche en s'emparant du maillot or de leader à l'issue de la 8e étape, la première en montagne, remportée par l'Italien Damiano Cunego (Lampre).

L'Australien ne devance que de quelques secondes deux autres favoris à la victoire finale, les Espagnols Alejandro Valverde (Caisse d'Epargne), à 2 sec, et Samuel Sanchez (Euskaltel), perturbé par une chute et à 8 sec. L'Italien Ivan Basso, qui a attaqué dans les derniers lacets, n'est pas loin (46 sec).

"Je ne venais pas avec une motivation spéciale sur le Tour d'Espagne
ni avec l'idée de faire quelque chose", a souligné Cadel Evans après les 204,7 km entre Alzira et le col d'Aitana (est). "Mais les choses ont
changé", reconnaît-il, fort de sa bonne tenue lors du contre-la-montre
samedi et tout au long de cette première étape en altitude.

Tour de France désastreux
Comment expliquer alors son désastreux Tour de France, avec une 30e place, après sa brillante 2e place en 2007 et 2008 ? "C'était le pire Tour de ma carrière", répond-il. "Avec une succession de problèmes, surtout dans la montagne". Après des vacances bénéfiques, il arrive sans pression et frais sur la Vuelta.

Vinokourov lâché
Celui qui a également dégagé beaucoup de fraîcheur dimanche, c'est
l'Italien Damiano Cunego, qui a jailli du peloton dans les derniers
kilomètres pour aller déposer le Français David Moncoutié (Cofidis),
dernier survivant d'une très longue échappée.

"Je savais que ça pouvait être mon jour", a indiqué Cunego, qui avait
coché les 8e, 9e et 10e étapes. "C'est une victoire importante pour moi", a ajouté le coureur italien, peu épargné par les critiques. David Moncoutié était "satisfait" de sa course, à l'issue de laquelle
il a hérité du maillot de meilleur grimpeur, mais "il (lui) a manqué la
victoire" (2e à 33s).

Schleck abandonne
La 8e étape a aussi été marquée par l'abandon d'un des grands noms du peloton, le Luxembourgeois Andy Schleck, très certainement désireux de préparer au mieux les Mondiaux de Mendrisio en Suisse (23-27 septembre). Le plus jeune des frères Schleck, qui semblait en forme au départ de l'étape, a posé pied à terre au km 88. Cet abandon n'aurait pas du tout été du goût des organisateurs. Schleck, qui n'avait pas ménagé ses efforts sur le Tour de France, était 51e au classement général, à 3 min 10 du leader.

Le Kazakh Alexandre Vinokourov (Astana), de retour à la compétition
après sa suspension pour dopage, a été lâché dans l'ascension. Normal selon lui, "après autant de temps sans compétition"