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jo 2016

JO: Rio haut la main


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Après avoir déjà obtenu l'organisation de la Coupe du monde de football 2014, le Brésil accueillera les premiers JO sud-américains de l'histoire
Rio de Janeiro a été élue ville hôte des Jeux olympiques d'été par le CIO
le 02 octobre 2009, 22h16
Le Matin



Les membres du CIO ont largement élu Rio de Janeiro ville hôte des Jeux olympiques d'été 2016, hier à Copenhague. Le Brésil accueillera ainsi les premiers JO sud-américains de l'histoire.
Rio, qui recevra les JO du 5 au 21 août 2016, a été préférée à Madrid lors du troisième tour de scrutin par un score sans appel: 66 voix contre 32 à la capitale espagnole. Le Brésil, qui a déjà obtenu l'organisation de la Coupe du monde de football 2014, double donc la mise en matière d'événement planétaire.
«C'est incroyable, bouleversant et spectaculaire», a explosé le gouverneur de l'Etat de Rio, Sergio Cabral, alors que le légendaire footballeur Pelé fondait en larmes. «Je suis si heureux, si heureux, si heureux, a-t-il répété. Je suis quelqu'un d'émotif et je n'arrête pas de pleurer. C'est un grand moment, pas seulement pour le Brésil mais pour l'Amérique du Sud.»
Au premier tour, les votants avaient créé la surprise en éliminant la cofavorite Chicago, qui avait pourtant bénéficié du soutien du président américain, Barack Obama, lors de sa présentation aux membres du CIO. Puis ils avaient éliminé Tokyo au deuxième tour.
Pour Rio, c'est le président brésilien, Luis Inácio Lula da Silva, qui avait soutenu la candidature devant les membres du CIO dans la matinée, répétant l'argument phare du dossier carioca: le droit de l'Amérique du Sud à organiser ses premiers Jeux olympiques.
«Rio a présenté un dossier très solide, basé sur une vision des Jeux qui célèbre les athlètes et le sport et qui, plus largement, donne l'opportunité à la ville, à la région et au pays de mettre en application ses ambitions pour le futur», a déclaré Jacques Rogge, le président du CIO.
Madrid fair-play
Fair-play, le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a tenu à «féliciter Rio de Janeiro et il faut dire que la candidature de Madrid a obtenu un résultat digne, les choses ont été bien faites, on a été sur le point d'y arriver, mais c'est finalement Rio qui a gagné».
La présence de Madrid en finale était une surprise, notamment en raison des appréciations médiocres que son dossier avait reçues de la part de la commission d'évaluation du CIO. Une surprise moins grande cependant que l'élimination sèche de Chicago qui faisait figure de cofavorite avec Rio.
L'élimination des Etats-Unis sonnait comme un échec pour le président Obama, qui avait fait le déplacement à Copenhague, mais ne surprenait pas les spécialistes qui estimaient que Chicago avait fait les frais de la longue querelle de l'Amérique avec le CIO concernant le partage des revenus marketing.
Tokyo, dont le dossier technique était considéré comme le meilleur des quatre candidates, a longtemps fait figure de favorite.
Madrid, pour 2012, et Rio, pour 2004 et 2012, avaient déjà posé leur candidature pour les JO. Les deux villes avaient été largement devancées par Londres pour 2012.

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Grand Prix du Japon: Buemi à l'aise sous la pluie

formule 1 | Pour ses premiers tours de roue sur le circuit de Suzuka, Sébastien Buemi (Toro Rosso) s'est montré particulièrement à l'aise.


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ATS | 02.10.2009 |


Lors des essais libres en vue du Grand Prix du Japon, disputés sous une pluie battante, le Vaudois a réussi le 5e temps de la première séance, confirmant ensuite lors de la seconde (6e).
Buemi n'avait encore jamais jamais couru sur le tourniquet japonais. Pour un coup d'essai, ce fut donc un coup de maître. "J'ai vraiment aodré ma première journée ici. C'est un circuit fantastique !", s'est félicité le Suisse.
"Il était malgré tout très utile de tourner sous la pluie, car on a pu voir le matin que nous sommes compétitifs dans ces conditions, même si tous les meilleurs étaient présents", a-t-il ajouté. Les précipitations ont certes nivelé les performances des monoplaces, mais surtout permis à l'Aiglon de se hisser parmi les cadors de la catégorie.
Le Franco-Suisse Romain Grosjean n'a pour sa part pas réussi à dompter les éléments. Dernier de la session initiale, le Genevois n'a ramené que le 14e chrono du deuxième galop d'essais, au cours duquel les principaux favoris n'ont guère daigné se mouiller. Au grand dam des spectateurs nippons d'ailleurs, qui ont déboursé près de 300 francs suisses pour ce spectacle tronqué.
La première séance d'essais libres a été remportée par Heikki Kovalainen (Fin/McLaren-Mercedes), tandis que c'est l'Allemand Adrian Sutil (Force India) qui a réussi le meilleur temps de la deuxième session. A noter l'absence de Timo Glock, malade, qui a été remplacé dans le baquet de la Toyota par Kamui Kobayashi (Jap). L'Allemand devrait toutefois être en mesure de courir lors des essais qualificatifs de samedi.

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"D'homme à homme, Contador sera dur à battre"


"Je pense être un peu meilleur en 2010", prévoit l'Américain Lance Armstrong, le septuple vainqueur du Tour de France qui, pour son retour, s'est classé troisième en juillet derrière son coéquipier espagnol Alberto Contador et le Luxembourgeois Andy Schleck.

"En 2009, c'était après une coupure de trois ans et demi. Le corps doit se remettre dans le stress de la compétition, du Tour", a estimé le Texan dans un entretien publié par le mensuel français Vélo Magazine. Armstrong, qui a prévu d'assister à la présentation de la prochaine édition le 14 octobre à Paris, envisage en 2010 une approche différente de celle de l'époque où il était le seul leader: "On ira avec plus de leaders. Moi, Levi (Leipheimer), Klöden, Zubeldia, des coureurs forts mais qui savent courir en équipe. D'homme à homme, Alberto (Contador) sera très dur à battre."

L'Américain a évoqué aussi son programme sous le maillot de formation RadioShack montée autour de lui: "On a d'abord le camp d'entraînement en Californie en février, à Agoura Hills, près de Los Angeles. Il y a ensuite un dilemme entre le Giro et le Tour de Californie qui se courent tous les deux en mai. RadioShack est un sponsor américain. Mais le Giro est une bonne préparation pour le Tour. Chez RadioShack, ils s'en foutent, ils m'ont dit: 'Tu fais ce que tu as à faire pour être le meilleur sur le Tour de France'."

Armstrong envisage de courir le Tour de Murcie début mars en Espagne, où il disputerait ainsi sa première course de l'année en Europe, puis "quelques classiques, peut-être" en citant notamment Liège-Bastogne-Liège. En juin, il préférera cette fois rester en Europe au lieu d'un stage au Colorado comme cette année, et procéder à des reconnaissances d'étape: "On doit juste décider pour le Giro, la seule inconnue. Le Dauphiné (début juin) serait pas mal. C'est une course importante pour le Tour, avec les montées qu'il faut, un chrono exigeant."

Interrogé sur 2011, le Texan reste dans le vague: "J'ai annoncé que je ferai des épreuves hors route. Je me vois bien courir un Ironman. Celui d'Hawaï. Ou celui de Nice, je connais pas coeur les routes qu'il emprunte."

L'année prochaine, Armstrong aura avec lui l'ossature de l'actuelle équipe Astana (Leipheimer, Klöden, Brajkovic, Paulinho, Rast, Vaitkus, Rubiera, Popovych), ainsi que des nouveaux venus, son compatriote Jason McCartney, les Belges Gert Steegmans, Sébastien Rosseler et Ben Hermans, le Russe Ivan Rovny, le Français Geoffroy Lequatre, le Sud-Africain Daryl Impey et le Portugais Tiago Machado.

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Tiger Woods: les secrets d'une machine à gagner


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A 33 ans, le golfeur Tiger Woods devient le premier sportif milliardaire de l'histoire. Décryptage du phénomène.
Renaud Malik - le 02 octobre 2009,
Le Matin



Un milliard de francs: c'est la somme amassée par Tiger Woods depuis le début de sa carrière professionnelle, selon le magazine Forbes. A 33 ans, le golfeur devient ainsi le premier sportif milliardaire de l'histoire. Lui qui était déjà, depuis 2002, le sportif le mieux payé du monde.
Un milliard de francs: la somme donne la mesure de l'énormité du business Woods. Entre juin 2008 et juin 2009, le prodige californien a cumulé 110 millions de francs de gains et de revenus. Soit le triple de ce qu'a gagné Roger Federer dans le même temps.
Comment Tiger Woods est-il devenu la plus grosse machine à cash de toute l'histoire du sport? «Le génie y est pour beaucoup, observe Yves Mittaz, directeur de l'European Masters de Crans-Montana. Mais surtout, c'est l'argent qu'il y a dans le golf qui est impressionnant! Tiger Woods a empoché 10 millions de francs en remportant la Coupe FedEx, dimanche dernier. Quel tennisman pourrait gagner autant en une seule compétition?»
1500 propositions en un jour
Et pourtant, seulement 10% des gains du champion proviennent de ses victoires en tournois. Le reste est généré par des activités diverses, à commencer par le sponsoring. La liste des contrats est longue: TAG Heuer, Buick, American Express, Nike... Et là encore, Tiger Woods bat tous les records: son contrat à 100 millions signé avec Nike en 2000 demeure le plus cher de l'histoire du sport.
Et il n'y a pas que le sponsoring. Le numéro un mondial est une multinationale à lui tout seul: il a sa propre ligne de vêtements, siglée TW, et possède sa propre société de design de terrains de golf.
Et puis, il y a encore les millions négociés avec les organisateurs de compétitions. Car aujourd'hui, le champion ne se déplace plus pour moins de deux millions de francs. Insensé? «Non, rétorque Yves Mittaz. Pour un organisateur, avoir Tiger Woods, c'est toujours le jackpot. Il y a quelques années, il est venu jouer en Allemagne. Il y a eu 40 000 personnes de plus sur quatre jours. Cela représentait 2 millions de francs de revenus supplémentaires.» Le journaliste André-Jean Lafaurie, biographe de Tiger Woods, ajoute que le champion a largement de quoi faire monter les prix: «Un jour, son manager, Mark Steinberg, m'a confié qu'il avait reçu 1500 propositions en 24 heures.»
Une règle: ne rien laisser filtrer de sa vie privée
Mark Steinberg: le véritable maître d'oeuvre du business Woods, c'est lui. L'agent du golfeur veille à ce qu'aucun des faits et gestes de son poulain ne soit laissé au hasard. Tout est donc l'objet d'un contrat draconien. La preuve? Sur chaque tournoi, pendant les trois premiers jours, Woods porte à l'avant de sa casquette le sigle de sa ligne de vêtements, TW, et à l'arrière la virgule de Nike. Le quatrième jour, c'est l'inverse: la virgule passe à l'avant, le sigle TW à l'arrière.
C'est une règle chez cette machine à gagner qu'est Tiger Woods: rien n'est laissé au hasard, tout est sous contrôle. Pas étonnant que le champion ne laisse rien filtrer de sa vie privée. Son épouse, le mannequin suédois Elin Nordegren, est elle-même la discrétion faite femme: sur le circuit, elle regarde son champion depuis sa chambre d'hôtel et ne participe à aucune de ses activités publiques. Sur ce couple incroyablement secret, on sait peu de chose, sinon qu'il a eu deux enfants, une fille et un garçon.
Concentration maximale
Une froideur d'ordinateur derrière un sourire angélique: c'est ainsi que beaucoup d'observateurs décrivent Tiger Woods. Ses adversaires le décrivent volontiers comme un robot: «On devrait peut-être l'ouvrir pour voir ce qu'il a dans le ventre, avait plaisanté un jour le golfeur Stewart Cink. Je vous jure qu'on trouverait des fils et des composants électroniques.» N'est-ce pas cette impassibilité à toute épreuve qui a fait sa force? Sur les parcours, ses coups sont époustouflants, mais c'est surtout sa concentration qui étonne. «Mon corps sait jouer au golf, je l'ai entraîné pour ça, explique le champion. Il s'agit juste de ne pas laisser mes pensées perturber mon instinct.» Un exemple: en 1997, en plein tournoi, un spectateur juché sur un arbre tombe et s'abat sur les officiels alors que Tiger s'apprête à frapper la balle. Impassible malgré la confusion, il exécute un coup parfait. Puis s'en va. Cette force, il la tient de son père, Earl Woods, décédé en 2006. Cet ancien lieutenant-colonel de l'armée américaine avait une exigence essentielle à l'époque où il s'occupait lui-même de l'entraînement de son fils: parfaire sa concentration. Lorsque Tiger s'apprêtait à frapper, il éternuait, soufflait dans un sifflet ou lâchait des objets par terre.
Impassible en toutes circonstances, Tiger n'a versé une larme que deux fois dans sa vie en public. La première en 1997, lorsqu'il est tombé dans les bras de son géniteur après sa première grande victoire à Augusta. La seconde, le 23 juillet 2006, à Saint Andrews (Ecosse), lors de sa première victoire après la mort d'Earl Woods. Même les machines à gagner pleurent, parfois.



En 2009, ils ont été les mieux payés
Dans le classement Forbes des sportifs les mieux payés entre juin 2008 et juin 2009, Tiger Woods se classe largement premier avec des revenus estimés à 110 millions de francs. Viennent ensuite, ex aequo, les basketteurs américains Michael Jordan et Kobe Bryant, ainsi que le pilote finlandais de F1, Kimi Räikkönen. Leurs gains sont évalués à 45 millions de francs. Le footballeur britannique David Beckham, égérie d'Armani, de Motorola et d'Adidas, se classe en quatrième position avec des revenus estimés à 42 millions. Roger Federer, lui, est au neuvième rang avec 33 millions de revenus.
Jordan, futur milliardaire
Toujours selon Forbes, le retraité Michael Jordan, 46 ans, devrait être le prochain sportif après Tiger Woods à dépasser la barre du milliard de dollars de gains d'ici quatre à cinq ans. Six fois champion NBA avec les Chicago Bulls, le légendaire numéro 23 aurait amassé 800 millions de dollars depuis 1984.

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Sharapova renoue avec la victoire à Tokyo


Maria Sharapova, victorieuse samedi en finale de la Serbe Jelena Jankovic, qui a abandonné alors que la Russe menait 5 jeux à 2 et 30-0 dans le premier set, a empoché à Tokyo (2.000.000 de dollars), là où elle s'était révélée en 2003, son premier titre depuis un an et demi.

Sharapova, 22 ans, ex-N.1 mondiale, qui avait remporté à Tokyo le premier titre de sa carrière, l'Open du Japon en 2003 sur ce même court, était revenue à la compétition en mai, après avoir été éloignée de la compétition depuis août 2008 à cause d'une blessure à l'épaule droite, opérée en octobre dernier.

"C'était très dur, parce que Jelena a démarré très fort. C'était ma deuxième finale de l'année (après Toronto, ndlr), et j'étais un peu nerveuse", a déclaré Sharapova. Menée d'entrée 0-40 sur son service, qu'elle perdit peu après, la Russe a en effet vu la Serbe, qui gagna ensuite son engagement, la distancer de deux jeux (2-0).

Après ce pénible début, Sharapova passa la vitesse supérieure, retrouva sa panoplie de coups et son agressivité en retours de services, pour s'adjuger les cinq jeux suivants avant que Jankovic, qui s'était déjà fait soigner le bras droit en demi-finale samedi, ne fasse appel au soigneur pour la même douleur au début du huitième.
Jankovic reprit le match, qu'elle abandonna rapidement deux points plus tard.

"C'est difficile de se maintenir toujours à son meilleur niveau. Nous sommes proches de la fin de la saison. J'espère qu'elle va se rétablir rapidement", a déclaré Sharapova, qui a battu la Serbe, ex-N.1 mondiale, pour la cinquième fois en sept confrontations.

La Russe, elle aussi ex-N.1 mondiale, redescendue au-delà de la 50-ème place mondiale au début du printemps et 25-ème au classement WTA au moment de cette finale, a remporté le 20-ème tournoi de sa carrière. Elle n'avait plus soulevé de trophée depuis celui d'Amelia Island en avril 2008

Voili voilà c'est tout pour l'instant.................

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Formule 1 - Saison 2010

03/10/2009 - 08:36 Vettel, banzaï !




Eurosport
Sebastian Vettel (Red Bull) a décroché la 15e pole position de la saison devant Jarno Trulli (Toyota), samedi à Suzuka, à l'issue d'une qualification marquée par les accidents de Jaime Alguersuari (Toro Rosso), Timo Glock (Toyota) et Heikki Kovalainen (McLaren).
Après avoir joué avec leurs nerfs en déversant une pluie incessante vendredi, Suzuka a opéré un impitoyable tri sélectif dans le peloton samedi. En matinée d'abord, en imposant aux vingt pilotes de la 15e manche du championnat du monde de régler en une heure -soit un temps record pour la complexité du tracé- leurs monoplaces pour un bitume enfin sec. Puis dans l'après-midi, en leur imposant trois interruptions d'activité en qualification. Avec au final un bilan sans appel : cinq pilotes se sont qualifiés sans avoir pu effectuer le moindre chrono, pour cause d'accidents.
Ainsi, Mark Webber n'a même pas pu participer à la Q1, sa monoplace étant réduite à l'état de coque nue, après que les mécaniciens de Red Bull aient du aller chercher celle de secours suite à sa sortie de route lors du dernier entraînement. "Il n'y a plus de mulet en Formule 1 et c'est bien dommage", a déploré le grand Australien, qui sait que le Grand Prix de Singapour a sonné le glas de ses espoirs de titre. Puis, en Q2, le débutant Jaime Alguersuari (Toro Rosso) a tapé fort à la 4e minute, sans dommage pour lui.
Après sept minutes de fermeture, les essais ont redémarré pour trois minutes seulement, le temps que Timo Glock (Toyota) se loupe à la sortie de la chicane, en pleine accélération. Les secours ont mis du temps à l'extraire de sa machine, et il n'est pas certain qu'il puisse être au départ. Malade vendredi, il s'était fait remplacer par le réserviste nippon Kamui Kobayashi. Cette partie de session s'est achevée sur l'image de la Toro Rosso de Sébastien Buemi à la dérive le long d'une glissière, semant dangereusement des débris sur la piste sans que les commissaires ne trouvent motif à déployer un nouveau drapeau rouge.
Sutil en 2e ligne
En Q3 enfin, Heikki Kovalainen a fracassé sa McLaren au fameux virage 7, juste avant le pont, là où la piste fait un "8". Le Finlandais, déjà vu en tête-à-queue en Q1, a un peu plus compliqué sa recherche de volant pour 2010. Sans le Nordique, qui n'avait pas encore enregistré de temps, ni Buemi, à pied, huit pilotes se sont disputés la pole position du Grand Prix du Japon. Sans Fernando Alonso (Renault) ni Nico Rosberg (Williams) non plus, piégés en Q2 pour avoir voulu tout miser sur un tour, lors duquel un drapeau jaune avait été sorti. Déjà le meilleur en Q1 et Q2, Sebastian Vettel a de nouveau fait la loi au volant de la seule Red Bull en état de rouler, en 1:32.160. "La clé était de ne pas se laisser distraire mais le plus important est que tous les pilotes accidentés vont bien ", a déclaré "Wonderboy". "En qualification, on essaie de cerner les limites et de faire un tour rapide mais là, dans le virage 9, où les gens sont sortis, ça devient assez difficile dès qu'on va un peu large sur la bordure. On n'est alors qu'un passager dans la voiture, et on est incapable de contrôler la vitesse tant qu'on n'est pas revenu sur la piste même. "
Le surprenant Jarno Trulli a établi le 2e chrono pour Toyota, en verve après un Grand Prix de Belgique prometteur -l'Italien aurait du gagner- et un podium de Glock (2e) à Singapour.
Réunis en 1ère ligne à Monza, les grands copains Lewis Hamilton (McLaren) et Adrian Sutil (Force India) seront en 2e rideau. Si McLaren confirme sa belle fin d'exercice 2009, l'écurie indienne surprend sur ce tracé technique requérant des qualités de la part du châssis, et pas seulement la faible traînée qui l'avait mise en valeur à Spa et à Monza. Leader du Mondial, Jenson Button (Brawn) sera 7e au départ, deux crans derrière son équipier Rubens Barrichello. Le Britannique devra s'employer pour être champion du monde dimanche. Il devra remonter au moins au 4e rang sans que le Brésilien ne score.
Un mot pour finir sur le Français en lice, qui inquiète de plus en plus. Romain Grosjean (renault) a en effet du se contenter de la 18e place sur la grille.

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Rallye
Loeb chez Citroën au moins jusqu'en 2010

Citroën Racing s'est mis d'accord avec Sébastien Loeb, le quintuple champion du monde des rallyes, pour prolonger son contrat jusqu'en 2010 ou 2011, une option de sortie étant prévue, a annoncé samedi à Salou le patron de Citroën Racing, Olivier Quesnel.


Sébastien Loeb pourrait tenter l'aventure en Formule 1 après le rallye. (Photo: AFP)

Info-Box
En tête en Catalogne

Sébastien Loeb (Citroën C4) était en tête du rallye de Catalogne, 11e manche du Championnat du monde, samedi soir à Salou, avec une seconde et demie d'avance sur Dani Sordo (Citroën C4) et 48 secondes d'avance sur Mikko Hirvonen (Ford Focus), après la 2e journée.




Quesnel a lâché l'information de façon inattendue, au micro de Radio France, pendant que ses voitures et ses pilotes rentraient pour l'assistance de la mi-journée au rallye de Catalogne.
A ce moment-là, l'autre pilote d'usine Citroën, Dani Sordo, dont le contrat va aussi être reconduit d'un an, pour la saison 2010, menait le rallye avec moins d'une seconde d'avance sur Loeb, après 9 spéciales sur les 18 prévues jusqu'à l'arrivée de dimanche.
«C'est officiel. C'est fait depuis une dizaine de jours mais il faudra encore un peu de temps pour rédiger les contrats et les signer», a indiqué Quesnel, qui avait entamé au début de l'été les négociations sur le nouveau contrat de Loeb.
Le quintuple champion du monde en titre a déjà remporté 52 victoires en WRC pour Citroën, sous la houlette de Guy Fréquelin puis d'Olivier Quesnel. C'était d'abord dans une Xsara jusqu'en 2006, en comptant toute la saison 2006 dans l'écurie belge Kronos, puis dans une C4 depuis 2007.
L'Alsace au menu?

Loeb, très intéressé aussi par la Formule 1, l'endurance et la moto, dispose toutefois d'une clause de sortie au bout d'un an, alors que Sordo, toujours en quête de sa première victoire en WRC, n'a été prolongé que d'une année seulement.
Loeb disposera en 2010 de la même C4 WRC avec laquelle il a collectionné les victoires depuis 2007. Il aura aussi l'autorisation de disputer à nouveau les 24 Heures du Mans (12-13 juin), peut-être dans une Peugeot 908 HDi-FAP, car Quesnel est aussi patron de Peugeot Sport et aucun rallye WRC n'est inscrit au calendrier le même week-end. Il avait terminé 2e au Mans en 2006, dans une Pescarolo-Judd.
Le pilote alsacien saura mercredi prochain si un rallye d'Alsace est au programme du calendrier 2010 du Mondial des rallyes, à la place du Tour de Corse qu'il a déjà remporté quatre fois. «Ce serait génial, au moins une fois, de faire un rallye de championnat du monde dans ma région, en Alsace», a dit Loeb samedi.
Enfin, s'il continue en rallye en 2011, Loeb sera au volant d'une DS3 à moteur 1600 cc turbo, correspondant à la nouvelle réglementation du WRC, dont il aura mené à bien le développement.

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Fatigue
Saison terminée pour Valverde

Alejandro Valverde, vainqueur de la Vuelta, a annoncé samedi, en accord avec son équipe Caisse d'Epargne, mettre un terme à sa saison 2009.


Le vainqueur de la dernière Vuelta ne sait pas encore de quoi demain sera fait. (Photo: AFP)


La semaine prochaine, l'Espagnol devait disputer Paris-Bourges jeudi et Paris-Tours dimanche.
«J'ai maintenant besoin de souffler un peu, autant physiquement que mentalement avant de penser à la prochaine saison et de reprendre les entraînements», a expliqué Valverde, qui participera à quelques critériums dans les semaines à venir.
En plus du Tour d'Espagne, le Murcian a notamment gagné le Tour de Catalogne et le Critérium du Dauphiné Libéré au printemps dernier.
L'avenir de Valverde pour 2010 est lié à la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) qui doit prochainement se prononcer sur l'appel qu'il a interjeté après la sanction le frappant sur le territoire italien.
L'Espagnol conteste sa suspension par le Coni (comité olympique italien), lequel l'estime impliqué dans l'affaire de dopage Puerto et l'a suspendu pour deux ans. L'UCI attend de connaître la position du TAS avant d'étendre éventuellement la sanction au niveau mondial.

(ats)

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Sébastien Loeb s'impose en Catalogne. Citroën champion

Rallyes | Grâce à un nouveau doublé de Sébastien Loeb et Dani Sordo au rallye de Catalogne, Citroën est assuré d'un nouveau titre de champion du monde des constructeurs.


© AFP | Sébastien Loeb et son co-pilote Daniel Elena au volant de leur Citroën, le 3 octobre 2009, au rallye de Catalogne


AFP | 04.10.2009 | 15:05


Sébastien Loeb et Dani Sordo ont signé dimanche un nouveau doublé Citroën au rallye de Catalogne, 11e manche (sur 12) du Championnat du monde des rallyes (WRC), et Citroën est assuré d'un nouveau titre de champion du monde des constructeurs en fin de saison.
Au terme de la 18e et dernière épreuve spéciale, Loeb a conservé 12 secondes d'avance sur Sordo et 54 secondes d'avance sur Mikko Hirvonen (Ford Focus), 3e, qui conserve la tête du championnat pilotes pour un petit point avant la dernière manche au pays de Galles (23-25 octobre).
C'est la 6e victoire de la saison pour Loeb et la 53e de la carrière du tandem qu'il constitue avec Daniel Elena, son fidèle copilote, dont cinq d'affilée en Catalogne où Loeb est invaincu depuis 2005 inclus.
La C4 portant le numéro 1 n'avait plus gagné depuis l'Argentine, au printemps, et Ford avait repris des couleurs en remportant les cinq rallyes suivants, dont quatre victoires consécutives d'Hirvonen en Grèce, en Pologne, en Finlande et en Australie.
Grâce à ce doublé, le 5e d'affilée pour Citroën en Espagne, dont quatre à mettre au crédit de la paire Loeb-Sordo, Citroën, champion de 2003 à 2005 avec la Xsara, conserve le titre constructeurs que la marque française avait repris l'an dernier à Ford.

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Tennis: Gilles Simon remporte le tournoi de Bangkok

ATP | Le Français a gagné son premier titre de l'année en battant en finale le Serbe Viktor Troicki en deux sets 7-5 6-3.


© KEYSTONE | A l'issue de sa finale gagnée à Bangkok, Gilles Simon exécute un «wai», la salutation traditionnelle thaïlandaise.


SI/AFP | 04.10.2009 | 13:37


Le Français Gilles Simon a remporté le tournoi de Bangkok en battant le Serbe Viktor Troicki en deux sets 7-5 6-3 en finale. C'est le premier titre remporté cette année par le no 10 mondial, gêné pendant une bonne partie de la saison par des problèmes au genou.
"C'est le premier et il arrive à la fin", a ironisé le Francilien, qui succède à Jo-Wilfried Tsonga, battu en demi-finale par Troicki, 32e mondial. Simon a fait basculer le match à la fin du premier set. Alors que le Serbe menait 5-4 et servait pour le gain de la manche, le Français a réussi à aligner trois jeux de suite, dont deux breaks, pour conclure.
Simon reste en course pour une qualification au Masters de Londres, fin novembre. Il s'agirait de sa deuxième participation d'affilée au grand rendez-vous de fin d'année.