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La Suisse bat le Canada


12/05/2010 | Mise à jour : 23:28 Réagir
Grosse sensation mercredi soir à Mannheim avec la victoire de la Suisse sur le Canada (4-1) dans la «finale» du groupe B des Championnats du monde. Jamais en 76 ans d'existence du tournoi mondial les Helvètes n'avaient battu les Canadiens ! Les deux équipes étaient cependant assurées de leur présence dans le tour principal avant la rencontre. Un tour qui se jouera sans les USA, battus par la Finlande dans le groupe D (3-2). Les Américains devront donc passer par la poule de relégation pour conserver leur place dans l'élite mondiale.

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Charlie Francis (61 ans), l'entraîneur de Ben Johnson, dopé aux JO de Séoul 1988, est décédé

13 mai 2010 11:59

Charlie Francis, l'ancien entraîneur controversé de Ben Johnson, est décédé mercredi à l'âge de 61 ans. Son nom reste associé au scandale de dopage qui avait frappé le sprinter canadien lors des JO de Séoul en 1988 (positif au stanozolol, un stéroïde anabolisant). Francis avait avoué avoir initié son coureur au dopage et avait été banni par la fédération canadienne.

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FORMULE 1

GP de Monaco: Alonso en tête des essais


Image © Keystone


Avec un chrono de 1 min 15 sec 927/1000, Alonso devance de 73/1000 l'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull). Le Polonais Robert Kubica est troisième à 16/1000 de Vettel, montrant que la Renault pourrait être très compétitive sur le tracé urbain monégasque.
le 13 mai 2010, 12h25
LeMatin.ch & les agences


L'Australien Mark Webber, sur l'autre Red Bull, a réalisé le quatrième temps, devant le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) et l'Allemand Michael Schumacher, sixième et à nouveau devant son coéquipier chez Mercedes Nico Rosberg (11e).
Les deux McLaren des Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button se placent en septième et huitième positions, devant la Force India de l'Allemand Adrian Sutil et la Toro Rosso du Suisse Sébastien Buemi.
Sans connaître la quantité d'essence précise embarquée ni les réglages testés par les écuries, qui peuvent faire varier grandement les temps au tour, il est impossible de dire si ce classement reflète fidèlement ou non la valeur des concurrents et s'il sera respecté en qualifications samedi.

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Tour d'Italie

Le "baroudeur" Jérôme Pineau s'impose

13.05.2010 17:45 - mise à jour: 18:27 Vincenzo Nibali enfile le maillot rose pour la 2e fois de suite. [Keystone]

Une fois n'est pas coutume, l'échappée matinale a tenu bon! Jérôme Pineau a fait la nique aux sprinters en remportant de justesse la 5e étape du Giro devant ses compagnons Fouchard et Arashiro. Nibali conserve le "Rose".

Le Français Jérôme Pineau (Quick Step) a remporté la 5e étape du Tour d'Italie cycliste, jeudi à Novi Ligure, devant un autre Français, Julien Fouchard. L'Italien Vincenzo Nibali (Liquigas) a conservé le maillot rose de leader après cette étape de transition de 162 kilomètres disputée sur les routes d'entraînement du "campionnissimo" Fausto Coppi, décédé voici cinquante ans.
Première victoire française sur le Giro depuis 2005...

Jérôme Pineau, qui n'avait plus gagné depuis 2004, a signé la première victoire d'étape française dans le Giro depuis Christophe Le Mével en 2005 (à Varazze). Les échappés de la première heure Pineau, Fouchard et Arashiro ont préservé un court avantage (4 secondes) sur le peloton réglé par l'Américain Tyler Farrar.



Les deux Français et le Japonais, à l'origine de la fugue dès le 15e kilomètre, ont donc résisté au retour du peloton. Arashiro, qui a pris finalement la troisième place de l'étape, a été rejoint au 29e kilomètre par Pineau et Fouchard en compagnie de l'Allemand Paul Voss. Le quatuor a compté jusqu'à 5 min 40 sec d'avance (Km 46) pour aborder le circuit final d'une trentaine de kilomètres avec un avantage de trois minutes. Voss distancé, les trois coureurs de tête ont tout donné dans le final pour résister au retour du peloton qui n'a pu gommer complètement l'écart.
...et première victoire dans un grand tour pour Pineau

Agé de 30 ans, Pineau a débuté sa carrière dans l'équipe de Jean-René Bernaudeau avant de rejoindre début 2009 la Quick Step avec Sylvain Chavanel. Le Nantais, retenu à plusieurs reprises en équipe de France, a enlevé sa première victoire d'étape dans un grand tour. En 2002, à l'âge de 22 ans, il s'était classé deuxième de l'étape du Tour de France arrivant à Pau derrière son compatriote Patrice Halgand. Vendredi, la 6e étape du Giro relie Fidanza à Marina di Massa (172 km), terme d'un parcours accidenté.

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La Norvège envoie la France dans le tour de relégation du Mondial de hockey et jouera contre la Suisse

13 mai 2010 19:06

En étrillant la France 5-1 au terme de son 3e et dernier match du groupe C, la Norvège a assuré sa place dans le tour intermédiaire du Championnat du monde. Les Tricolores, qui menaient pourtant 1-0 après le 1er tiers, tenteront de se sauver dans le tour de relégation. La Suisse connaît ainsi le nom de ses trois prochains adversaires: outre la Norvège, les hommes de Simpson affronteront les Suédois et les Tchèques pour tenter d'accéder aux quarts de finale. La Russie a poursuivi son parcours sans faute en dominant la Biélorrussie 3-1. La troupe de Bykov semble bien partie pour décrocher un 3e titre de rang.

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Tennis à Madrid: Monfils à l'assaut de fort Nadal
De Jacques KLOPP (AFP) – Il y a 9 heures
MADRID — Gaël Monfils s'attaque vendredi au défi ultime dans le tennis moderne en défiant Rafael Nadal dans son fief et sur sa terre battue, en quarts de finale du Masters 1000 de Madrid.
Seul Français en lice dans le tableau masculin, alors qu'Aravane Rezaï l'a imité chez les femmes, le Parisien sait qu'il lui faudra un énorme exploit pour poursuivre sa route dans un tournoi tout acquis à la cause de son adversaire, quadruple vainqueur de Roland-Garros toujours invaincu sur ocre cette saison.
"Il n'y a rien à dire. Tout le monde sait ce que je vais recevoir demain", a souligné le N.2 français, lucide devant ce qui l'attend, après sa convaincante victoire 7-6, 6-4 sur autre Espagnol, Guillermo Garcia-Lopez, jeudi.
C'est-à-dire une avalanche de coups droits au lasso, des courses frénétiques en défense et, si jamais il s'aventure au filet, quelques passings dont le Majorquin a le secret. Ces ingrédients, Monfils y a déjà goûté à six reprises, pour une seule victoire, à Doha en 2009, dont il s'inspire aujourd'hui.
"Je ne lui avais mis que des lattes pendant deux sets", se rappelait "la Monf" qui ne sait pas en revanche si, après deux mois d'absence sur blessure et avec quelques kilos en moins, il sera capable d'encaisser le combat physique que lui imposera vendredi le taureau de Manacor.
"On verra bien. Mais si on regarde de plus près qui je suis, personne ne peut savoir ce que je vais donner demain et c'est ça qui est marrant. Qui sait? Peut-être je vais jouer pendant cinq heures et mettre que des +mites+," ajoutait-il, bien conscient de son caractère si déroutant.
Reste que, de son propre aveu, il manque de repères avant de se frotter au N.3 mondial, vainqueur sur pratiquement le même score (7-5, 6-4) de la montagne américaine John Isner.
Pour son premier tournoi depuis deux mois, Monfils, N.18 mondial, a déjà largement rempli son contrat en remportant trois matches de suite pour la première fois depuis début février.
Jeudi, le N.2 français a même laissé une très belle impression face au 39e joueur mondial qui avait bénéficié de l'abandon de Jo-Wilfried Tsonga la veille. "Il m'a donné un beau combat. J'ai fait un bon match. C'est revenu pas mal même si je ne suis pas encore à mon pic de forme et que je peux tout faire mieux," a constaté Monfils, qui atteint les quarts de finale d'un Masters 1000 pour la quatrième fois de sa carrière.
Son meilleur résultat dans cette catégorie de tournois reste sa finale à Bercy l'année dernière. La comparaison avec Nadal est vertigineuse, l'Espagnol ayant égalé il y a dix jours à Rome le record d'Andre Agassi avec 17 titres.
Un gouffre qui donne une idée de l'exploit demandé vendredi au Parisien, moins gâté qu'Aravane Aravane Rezaï qui, après son succès 6-4, 7-6 sur Andrea Petkovic, voudra enchaîner face à Jelena Jankovic.
Face à Nadal, Monfils pourra s'inspirer de son grand ami Gilles Simon qui avait réussi à battre l'Espagnol chez lui mais lorsque le tournoi se déroulait encore en automne, sur surface rapide.
C'était en 2008, en demi-finales, que Simon, aujourd'hui blessé, a réalisé ce qui reste son plus grand exploit à ce jour. N.16 mondial à l'époque, il a battu Nadal, alors N.1, au terme d'un combat féroce de 3h23 (3-6, 7-5, 7-6).
Le tournoi se déroulait sur surface rapide et en salle, avant de migrer l'année suivante à la "Caja magica" où il se dispute désormais sur terre battue, la surface de prédilection de Nadal.

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Mondiaux

Suédois au tapis


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Les Tchèques ont pris le meilleur sur les Suédois
le 13 mai 2010, 23h26
LeMatin.ch & les agences


La rencontre au sommet du groupe C a mis aux prises la Suède à la République tchèque. Les joueurs de l’Est devaient se faire pardonner leur faux-pas face à la Norvège (2-3) et ont ainsi mis une pression folle sur la cage adverse d’entrée de match. En infériorité numérique, Rolinek a ouvert la marque dès la première minute. A la suite de l’égalisation adverse par Pääjärvi Svensson (25e 1-1), les Tchèques ont immédiatement repris l’avantage par Hubacek. Grâce à une perfromance de premier plan du portier Vokoun, les hommes de Martin Ruzicka ont pu préserver leur avantage et se repositionner en vue du tour intermédiaire.
La Russie a pour sa part poursuivi son parcours sans faute grâce à son succès 3-1 face à la Biélorussie. Mozyakin, Ovechkin et Anisimov ont trompé le gadien Mezin pour offrir un troisième succès à Slava Bykov.

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masters 1000

Désolé, Stanislas...


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Le numéro 1 mondial est aussi... le numéro 1 suisse!

Dans le duel des Suisses, Federer a été impérial.
le 13 mai 2010, 22h23
LeMatin.ch & les agences


Madrid
Malgré un break réussi au premier jeu du match, Stanislas Wawrinka (ATP 23) n'a pas pesé lourd en huitième de finale du Masters 1000 de Madrid devant Roger Fededer. Le Vaudois s'est incliné 6-3 6-1 devant le tenant du titre.
Dans une partie jouée en nocturne, le Vaudois n'a pas trouvé ses marques contre Federer. Il fut loin de rééditer son exploit de l'an dernier à Monte-Carlo où il l'avait battu 6-4 7-5.
En s'imposant d'une manière aussi expéditive dans ce derby suisse, Roger Federer a signé son succès le plus probant de l'année sur terre battue. Venu à Madrid avec une confiance entamée par des résultats décevants, le Bâlois semble avoir retrouvé une partie de son punch.
Roger Federer trouvera sur sa route aujourd'hui un joueur qui joue dans un tout autre registre que Stanislas Wawrinka. Il sera opposé, en effet, au vainqueur de la rencontre entre Ernests Gulbis (ATP 34), qui fut son «bourreau» il y a deux semaines à Rome, et Feliciano Lopez (ATP 32). S'il passe ce cap, il aura rendez-vous en demi-finale avec Andy Murray ou David Ferrer avant le choc que tout le monde espère dimanche contre Rafael Nadal. Un Nadal qui sera sur ses gardes vendredi contre Gaël Monfils, ce «mousquetaire» qui sait se sublimer sur terre battue.

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automobilisme

Alonso deux fois


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L'Espagnol n'a pas fait le détail au cours des premiers essais. Il a signé le meilleur chrono des deux séances.
Luc Domenjoz - le 13 mai 2010, 21h47
Le Matin


GP de Monaco
A Monaco, rien n'est jamais comme ailleurs. Ici, la vitesse moyenne est la plus basse de la saison (environ 150 km/h), et l'aérodynamique ne joue pas le même rôle que sur les circuits rapides.
Pour les ingénieurs, le jeu s'avère moins complexe qu'à l'accoutumée: à la place de jouer sur de savants compromis entre appui et traînée, il s'agit plus simplement ici d'obtenir le plus d'appui possible, et braquant les ailerons au maximum - voir en ajoutant des appendices supplémentaires, comme c'est le cas chez Toro Rosso, l'écurie de Sébastien Buemi.
Pour les Ferrari, en délicatesse avec leur stabilité aérodynamique depuis le début de la saison, Monaco représente une occasion unique de briller. Fernando Alonso le sait bien, lui qui annonçait à Barcelone déjà, le week-end dernier, qu'il comptait beaucoup sur l'étape monégasque pour prendre la tête du classement du championnat.
Deuxième derrière Button
Pour l'heure, le double champion du monde pointe à la deuxième place et ne concède que trois petits points au leader, Jenson Button. Mais cette position masque mal le piètre début de saison de la Scuderia. En fait, Fernando Alonso a surtout profité des problèmes de fiabilité des Red Bull, sans lesquels sa position au championnat serait moins envieuse.
Hier, en tout cas, l'Espagnol a affiché clairement ses ambitions monégasques, s'emparant du meilleur chrono tant le matin que l'après-midi. «Mon seul but aujourd'hui était de comprendre le comportement des pneus et de prendre confiance, commente-t-il. J'ai travaillé sur les réglages pour rendre la voiture plus facile à conduire, et j'ai encore de la marge pour descendre le chrono. Sur ce circuit, déterminer les bons réglages compte davantage que l'aérodynamique, c'est pourquoi les Red Bull me font moins peur ici.»
Sebastien Vettel se tient en embuscade, concédant moins de deux dixièmes à la Ferrari de l'Espagnol. Mais la surprise, hier, est venue des Mercedes, particulièrement à l'aise en Principauté. «La voiture est une merveille sur ce circuit», s'enthousiasme Michael Schumacher. Le match des qualifications, demain, pourrait se révéler très serré entre les Ferrari, les Red Bull et les Mercedes.

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Pour briller de mille feux, l’athlétisme passe au diamant

ATHLÉTISME | La Golden League a vécu. Place à la Ligue de diamant, un nouveau circuit qui réunit quatorze meetings sur trois continents. Premier rendez-vous aujourd’hui à Doha.


© AP | Usain Bolt. Le Jamaïcain, «bijou» actuel de l’athlétisme mondial, fera ses débuts sur ce nouveau circuit à Shanghai le 23 mai avant de fouler les pistes de New York, Lausanne, Paris, Londres, Zurich et Bruxelles.


SI | 14.05.2010 | 00:00


Finie la Golden League, voici la Ligue de diamant: l’athlétisme lance aujourd’hui à Doha son nouveau circuit qui doit lui donner une meilleure lisibilité et couronner en fin de saison l’athlète numéro 1 dans chaque discipline.
La Fédération internationale (IAAF) et les grands meetings ont fait le forcing pour bouleverser un système de meetings obsolète et imposer un modèle cohérent dont ils attendent beaucoup. Principes de base: égalité entre les trente-deux disciplines – «prize money» identique – extension géographique sur trois continents et fil rouge constitué par l’attribution de points selon le rang et un classement général par épreuve au terme des quatorze réunions. Le tout avec des horaires ramassés sur deux heures.
«C’est une restructuration massive, explique Patrick Magyar, patron du meeting de Zurich et l’un des promoteurs du projet. Par rapport au World Athletics Tour, le nombre de réunions est réduit de moitié. La qualité va énormément s’améliorer.»
Des ambassadeurs
La Golden League, qui constituait jusqu’à présent le top de la pyramide athlétique, était une idée commerciale. Chaque organisateur jouait peu ou prou sa propre partition. La Ligue de diamant, elle, consacre le ralliement des forces: système informatique commun, communication approfondie, meilleure concertation avec l’IAAF.
Le succès du nouveau circuit dépendra de l’engagement des principales vedettes. Pour s’assurer leur présence tout au long de l’année et des duels réguliers, l’IAAF et les organisateurs ont mis une quinzaine d’ambassadeurs sous contrat. Ainsi, Usain Bolt, Blanka Vlasic, Steven Hooker, Allyson Felix, Tyson Gay, Andreas Thorkildsen, Asafa Powell, Kenenisa Bekele et autre Sanya Richards-Ross doivent disputer la moitié des réunions, dont la finale à Zurich ou Bruxelles. De quoi en faire les principaux favoris pour l’obtention du trophée 4 carats dans leur discipline respective.
Un principe d’alternance est prévu entre les réunions afin, par exemple, de permettre à celles privées de Bolt cette année de l’avoir au départ l’an prochain (le Jamaïcain est annoncé à Lausanne et Zurich en 2010). Il existe le risque d’une «Bolt-dépendance». Les organisateurs sont embarrassés et électrisés à la fois. «D’un côté, Bolt est gage d’un stade plein, de l’autre, il vampirise l’intérêt et coûte… deux fois plus cher que l’an passé», confirme Patrick Magyar, sans avancer de chiffres. En 2009, sa prime de départ était estimée à 200 000 dollars.
L’enjeu télévisé
Patron d’Athletissima à Lausanne, Jacky Delapierre voit d’un bon œil le nouveau circuit: «Cela met un peu d’ordre dans le système et revalorise les trente-deux disciplines, qui auront toutes la même visibilité», estime-t-il.
L’enjeu sera de fidéliser les diffuseurs télé et de s’assurer une présence accrue des chaînes publiques. Actuellement, l’intérêt vient surtout des chaînes privées thématiques sur abonnement. En Suisse, la SSR alternera retransmissions en direct et résumés en différé.