Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Le FC Bâle prend une légère option

18.08.2010 22:38 - mise à jour: 23:14 Auteur du seul but de la soirée, Stocker est félicité par ses coéquipiers. [Keystone]

Bâle a fait un pas en direction de la phase de poules de la Ligue des champions, après sa victoire 1-0 contre Sheriff Tiraspol en match aller des playoff. Mais les hommes de Thorsten Fink ont réalisé une prestation décevante face aux Moldaves.

Même si tous les feux sont au vert, rien n'est acquis pour le FC Bâle face au Sheriff Tiraspol en playoff de la Ligue des Champions. Victorieux 1-0 au Parc St-Jacques, les Rhénans devront serrer leur garde mardi en Moldavie pour éviter toute mauvaise surprise.
Devant seulement 13'460 spectateurs, le FC Bâle a forcé la décision sur le seul éclair de la partie de Shaqiri. A la 54e, le demi international adressait un centre parfait pour la tête de Stocker. Dans le temps additionnel, Huggel ratait un penalty provoqué par Almeraes. En détournant la frappe du demi bâlois, le gardien bulgare Stoyanov a préservé l'intérêt du match retour, que les Rhénans aborderont toutefois avec les meilleures cartes.
Face à une équipe qui devra prendre des risques, les Rhénans auront des ouvertures dans le jeu de rupture. A eux d'en profiter comme au tour précédent à Budapest face à Debrecen.
Un puzzle étonnant

Le portier moldave réalise un arrêt de grande classe sur une reprise de Frei. [Keystone] Trois Serbes et deux Burkinabés encadrés par un Brésilien, un Sénégalais, un Bosniaque, un Russe, un Slovène et un Bulgare: tel était l'étonnant puzzle assemblé au coup d'envoi par l'entraîneur biélorusse Sosnitski. Le FC Sheriff Tiraspol, cette équipe de Transnistrie Championne de Moldavie depuis dix ans, invitait à la découverte. Une découverte qui n'a pas vraiment régalé le puriste. Venus au Parc St-Jacques exclusivement pour défendre, le Sheriff n'a pas montré grand chose.
Face à un adversaire aussi timoré, le FC Bâle a manqué singulièrement d'imagination. Frei et Huggel ont sans doute eu l'impression de rejouer le match de Bloemfontein contre le Honduras. Les deux internationaux évoluaient encore une fois dans une équipe sans grand venin face à un adversaire bien modeste.
Sheriff proche de l'égalisation

Après une première période bien soporifique, le FC Bâle plaçait une première banderille avec une tête de Huggel (51e). Elle annonçait le but de Stocker qui devait provoquer, un peu contre toute attente, une réaction très vive des Moldaves. Le brio de Costanzo, auteur d'une sortie très résolue dans les pieds de Balima (56e), et la malchance avec un tir sur le poteau de Djurovic (71e) interdisaient au Sheriff d'inscrire ce but à l'extérieur qui vaut tellement cher.
Alex Frei a eu la possibilité d'envoyer le Sheriff au tapis pour le compte. Une tête à la 57e et une superbe volée à la 75e auraient pu lui permettre d'assurer la qualification de ses couleurs avant même de prendre l'avion pour la Moldavie.

[Norton]

Nadal et Federer déroulent, Murray dans la douleur









Le quatuor des meilleurs joueurs mondiaux s'est qualifié mercredi pour les 8e de finale du tournoi Masters 1000 de Cincinnati, avec la tâche la plus facile pour Roger Federer. Federer, 2e joueur mondial mais tête de série N.3, a bénéficié de l'abandon de l'Ouzbek Denis Istomin, qui s'est blessé à la cheville droite sur un appui alors que le Suisse menait 5-2, 0-30.

"Je suis désolé pour lui, a déclaré le Bâlois, tenant du titre dans l'Ohio et qui affronte jeudi au 3e tour l'Allemand Philipp Kohlschreiber. J'espère que ce n'est pas grave et que ce n'est pas l'US Open qui s'envole pour lui." L'Espagnol Rafael Nadal (N.1), le Serbe Novak Djokovic (N.2) et l'Ecossais Andy Murray (N.4) se sont eux aussi qualifiés mercredi. Et si Nadal et Djokovic n'ont eu besoin que de deux sets, se faisant toutefois accrocher en seconde manche, Murray a eu recours à trois manches pour battre le Français Jérémy Chardy, 58e mondial, 3-6, 7-6 (7/3), 2-6. L'Ecossais se mesure jeudi au Letton Ernests Gulbis.

Murray, récent vainqueur à Toronto, avait le contrôle du match avant de bafouiller son tennis - et sa mise en jeu - dans le 2e set (40% de premiers services et 59% de points gagnés au premier service), perdant trois fois de suite sa mise en jeu et marquant un seul point sur son service au tie break. Gâchant une balle de match au 10e jeu du deuxième set sur son service, l'Ecossais a ensuite rétabli la barre au troisième, en partie grâce aux erreurs de son adversaire, soigné sous la plante du pied droit à l'entame de la manche.

"Ce n'est pas facile de s'adapter à la surface ici, c'est beaucoup plus rapide qu'à Toronto, a déclaré Murray. Je ne suis pas encore bien ajusté." "C'était moche" Nadal a lui battu l'Américain Taylor Dent, issu des qualifications, 6-2, 7-5, après avoir concédé le break à 3-2 pour se retrouver mené 4-2. Le Majorquin a tout de suite réagi et a pris le service de son adversaire à deux reprises pour s'adjuger la victoire et rencontrer le Français Julien Benneteau.

Dent s'est signalé avec des services canons, dont un - l'ace qui lui a permis de mener 5-4 dans le dernier set - a même été chronométré à la vitesse faramineuse de 149 mph, soit quasiment 240 km/h... Le Serbe Djokovic, dont c'était comme Nadal l'entrée en lice dans le tournoi, a de son côté dominé son compatriote Viktor Troicki 6-3, 7-5. Le N.3 mondial a joué une seconde manche très décousue, perdant sa mise en jeu dès son premier jeu de service avant de reprendre un break d'avance, pour le perdre dans la foulée (3-3). Un autre break à 5-5 lui a offert la victoire.

"J'ai eu une baisse de régime dans le second set, a concédé Djokovic. C'était moche, avec plein de fautes directes et de doubles fautes des deux côtés (quatre pour chacun). Mais c'est toujours bien de passer en deux sets". Au prochain tour, Djokovic se voit proposer un gros test en la personne de l'Argentin David Nalbandian, en pleine renaissance cet été (victoire à Washington, quart de finale contre Murray à Toronto).

On prend les mêmes et on recommence.............

Salut le fofo vais (croquer ma pizza..............

[Norton]

Un peu comme vous....Chauvin

Le Lausanne-Sport ne lâchera rien

20 août 2010 15:13 Les joueurs de Martin Rueda croient l'exploit possible à Moscou. [Keystone]

Au lendemain de leur match nul contre Lokomotiv Moscou en Europa League, le mot d'ordre est récupération pour Lausanne. Avant d'aller en Russie pour réussir un exploit, les Vaudois joueront dimanche à Lugano en championnat.

Malgré un match nul concédé en match aller du playoff de l'Europa League contre le Lokomotiv Moscou (1-1), le Lausanne-Sport croit encore à une qualification pour la phase de poules. Mais les compétitions qui s'enchaînent commencent à peser sur les organismes.
Pour un club de Challenge League, enchaîner une réception du "Loko" en Coupe d'Europe et un déplacement à Lugano quatre jours plus tard chez l'ultra-favori de la deuxième division helvétique n'a rien d'une sinécure. Après le match de jeudi, les joueurs ont eu droit à un décrassage, un repas et... un bain d'eau glacée. "Avant d'aller au Tessin, le mot d'ordre c'est récupération", a assuré Martin Rueda.
Les Vaudois ne pourront pas aller en avion chez les "bianconeri", comme ils l'avaient un temps espéré. Mais pour le coach lausannois, qui devait déjà se passer de quatre éléments importants contre les Russes, son équipe peut passer outre ces problèmes inhabituels pour une formation de ce niveau. "Je n'ai pas seulement onze joueurs à ma disposition mais vingt ! J'ai confiance dans ce groupe et leurs coéquipiers aussi", a-t-il insisté.
"Je suis fier d'eux"

Alors que Nicolas Marazzi ("Je suis déçu, il y avait la place de mettre ce deuxième") et Jérôme Sonnerat ("C'est rageant, on fait une erreur et on l'a payée cash. On a vu qu'on avait le niveau et on donnera tout au match retour") étaient frustrés à la fin de ce match aller, Rueda était pour sa part émerveillé par le niveau de jeu affiché par ses ouailles. "Ils ont fait un très grand match. Je suis fier d'eux. Ils ont fait le jeu et se sont bien battus", a jubilé l'ancien joueur de Neuchâtel.
Du côté des "Cheminots", l'heure était plutôt à la soupe à la grimace. Visiblement pressé de rejoindre ses joueurs partis se doucher dans leur hôtel de luxe de la place lausannoise, le coach russe Youri Semine s'est contenté d'un laconique "c'est un résultat logique" et d'un "il y a eu beaucoup d'occasions de chaque côté" en guise d'analyse avant de décamper.
Le conte de fées continue donc pour ce LS tout auréolé d'avoir fait redécouvrir la Pontaise (11 200 spectateurs) à bon nombre de Vaudois qui l'avaient désertée depuis des lustres. Mais plus que le score en lui-même ou le nombre de tickets vendus, c'est le style de jeu de son équipe qui réjouit le plus Martin Rueda. Que ce soit contre Delémont ou un club russe de premier plan, la philosophie est toujours la même. Et pour l'instant, ça marche...

Suis allé voir une ambiance superbe.....Viva LS

[Norton]

Special
Pasky

automobilisme

Déjà Loeb

Image © Keystone
Comme à son habitude, Sébastien Loeb s’est montré particulièrement à l’aise sur l’asphalte, sa surface de prédilection
Sébastien Loeb, au volant de sa Citroën C4, a pris la tête du Rallye d'Allemagne
le 20 août 2010, 21h47
Le Matin


Sébastien Loeb et Dani Sordo, dans leurs Citroën C4, ont pris les commandes du Rallye d'Allemagne, hier matin dans la région de Trèves, et commencé à creuser un petit écart sur les Ford Focus de Jari-Matti Latvala et de Mikko Hirvonen.
«J'ai dû attaquer fort, car mon équipier poussait fort lui aussi», a dit le sextuple champion du monde à son retour à Trèves, pour l'assistance de la mi-journée. Malgré ses trois temps scratch du matin, en trois spéciales, il n'avait que huit secondes d'avance sur son lieutenant espagnol. Derrière les deux C4 officielles, Latvala, vainqueur cette saison en Nouvelle-Zélande et en Finlande, a été plus rapide que son coéquipier Hirvonen, mais allait quand même repartir pour la deuxième boucle de trois spéciales avec déjà 37?secondes de retard sur Loeb. Seul petit souci pour le Français, une jante un peu abîmée dans l'ES2 (Grafschaft Veldenz, 23?km), ce qui l'a fait hésiter quelques secondes sur le besoin de changer de roue ou non: «Finalement, j'ai continué comme ça, parce que je voulais garder un train neuf de pneus tendres pour la suite.»
Sordo devant Ogier
Remonté dans l'équipe A, après un bref passage dans le Junior Team en Finlande, Sordo a été aussi à l'aise qu'à son habitude sur asphalte, lui qui a déjà fini deux fois deuxième derrière Loeb ici, en 2006 et en 2008. «Je ne suis pas surpris, car je ne m'attendais pas à perdre du temps, mais je suis content d'être si près de Seb», a dit Sordo. «C'est un rallye très difficile, il faut rester concentré parce qu'on enchaîne des portions rapides avec de gros freinages et des épingles très lentes», a ajouté l'Espagnol, plus en vue hier que Sébastien Ogier.



LE POINT
Rallye wrc d'Allemagne
Classement provisoire après les six épreuves spéciales (ES1 à ES6) de la 2e journée:
1. Loeb-Elena (Fr/Mon, Citroën C4) 1 h 18'52''5. 2. Sordo-Vallejo (Esp, Citroën C4) à 9''5. 3. Latvala-Anttila (Fin, Ford Focus) à 1'04''7. 4. Ogier-Ingrassia (Fr, Citroën C4) à 1'10''9. 5. Hirvonen-Lehtinen (Fin, Ford Focus) à 1'14''5. 6. Duval-Giraudet (Be-Fr, Ford Focus) à 3'10''4. 7. Wilson-Martin (GB, Ford Focus) à 3'15''1.

Vont bien ces citrouilles...............

[Norton]

vtt

Alexandre Moos: «Une belle empoignade s'annonce»


Image © Keystone


Vainqueur et recordman du Grand Raid en 2009, Alexandre Moos veut briller aujourd'hui sur le nouveau parcours
Gaëlle Cajeux - le 20 août 2010, 21h23
Le Matin


Grand Raid Verbier-Grimentz (VS)
«L'important, c'est d'avoir les jambes et un vélo qui tourne bien.» Alexandre Moos résume ainsi la clé d'un Grand Raid réussi. «Quand on est bien, qu'on sent le soutien du public, on est survolté, explique le Valaisan. Tout devient possible. Aussi bien pour le populaire qui cherche à repousser ses limites que pour le coureur élite qui roule pour la gagne.»
La gagne sur le tracé Verbier-Grimentz, Alex Moos l'a connue l'année dernière. Il s'était même offert le luxe de pulvériser le record de plus de 12 minutes. Le Miégeois vise donc de nouveau la plus haute marche du podium aujourd'hui, lors de la 21e édition. «Je suis content, car là je suis en superforme. J'ai eu pas mal de poisse - pépins mécaniques, des chutes ou maladie - cette saison. Les Championnats du monde de marathon se sont mal passés, et j'ai pris un gros coup sur la tête, avoue-t-il. Mais j'ai bien su rebondir. J'ai vu que ça allait bien le week-end dernier au Marathon de l'Eiger (il a terminé 3e), alors je suis confiant.»
Alex Moos se réjouit d'autant plus que la concurrence s'annonce rude. «Cette année, il y a plus de favoris au départ. Entre les quatre premiers de l'Eiger (Huber, Buchli, Moos et Zahnd), Beuchat et quelques outsiders, une belle empoignade s'annonce.» Et le fait que le parcours est rallongé (137km) pimente encore la chose. «Nous n'avons plus nos repères pour gérer la course, chacun sera un peu dans l'inconnu. L'année passée j'ai signé le record en 6h05. C'était déjà extrêmement long. Cette fois, nous en avons en tout cas pour une heure de plus. On ne va pas pouvoir aborder les passages difficiles avec les mêmes ressources, on ne sait pas jusqu'où ça va tenir... Il faudra savoir s'écouter et lutter jusqu'à la fin. Il risque d'y avoir pas mal de rebondissements. Tant mieux, ce sera passionnant pour le public. Et la victoire est d'autant plus belle quand il a fallu bagarrer.»

Vingt et unième et dernière édition?
Interrogés par la TSR, les organisateurs du Grand Raid n'ont pas caché être confrontés à de sérieux problèmes financiers, au point de craindre pour la survie de leur course. Victime de la crise, le raid a vu son sponsoring baisser, tandis que les frais d'organisation (amélioration du tracé, sécurité...) ont augmenté. Pour espérer boucler le budget de près de 1 million de francs, la finance d'inscription a été revue fortement à la hausse, passant par exemple de 100fr. à 180fr. pour le tracé Verbier-Grimentz.
Ce grand parcours a en outre été allongé (de 121 à 137km), tandis qu'une nouvelle épreuve (Nendaz-Grimentz) a été créée. Mais ces mesures ont un résultat désastreux: au lieu de les attirer, elles rebutent les populaires (seulement 2263 inscrits contre 3000 espérés), qui sont l'essence même du Grand Raid. S'il précise ne pas y participer cette année «pour des raisons familiales», le Valaisan Laurent Guérin explique que «le prix et la longueur ont déstabilisé les gens». «Ils aimaient bien revenir chaque année essayer de battre leur record sur le même parcours, avec leurs repères. Beaucoup de mes copains ont renoncé cette fois car ils se sentent un peu perdus.» La multiplication de ce type d'épreuves extrêmes (trois courses marathons en Suisse en trois semaines!) fragilise également le Grand Raid. «Ils devraient peut-être envisager de l'organiser une année sur deux, comme la Patrouille des Glaciers», suggère Cyril Trisconi, six Grands Raids à son actif. Alors, cette 21e édition sera-t-elle la dernière? Personne ne veut y penser. «Il serait vraiment regrettable que le Grand Raid disparaisse. Ce serait une grosse perte pour le canton et pour le milieu du VTT, souligne Laurent Guérin, car c'est une course magnifique!»

[nofoot]

Envoyé par Norton

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Pasky

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Déjà Loeb

Image © Keystone
Comme à son habitude, Sébastien Loeb s’est montré particulièrement à l’aise sur l’asphalte, sa surface de prédilection
Sébastien Loeb, au volant de sa Citroën C4, a pris la tête du Rallye d'Allemagne
le 20 août 2010, 21h47
Le Matin


Sébastien Loeb et Dani Sordo, dans leurs Citroën C4, ont pris les commandes du Rallye d'Allemagne, hier matin dans la région de Trèves, et commencé à creuser un petit écart sur les Ford Focus de Jari-Matti Latvala et de Mikko Hirvonen.
«J'ai dû attaquer fort, car mon équipier poussait fort lui aussi», a dit le sextuple champion du monde à son retour à Trèves, pour l'assistance de la mi-journée. Malgré ses trois temps scratch du matin, en trois spéciales, il n'avait que huit secondes d'avance sur son lieutenant espagnol. Derrière les deux C4 officielles, Latvala, vainqueur cette saison en Nouvelle-Zélande et en Finlande, a été plus rapide que son coéquipier Hirvonen, mais allait quand même repartir pour la deuxième boucle de trois spéciales avec déjà 37?secondes de retard sur Loeb. Seul petit souci pour le Français, une jante un peu abîmée dans l'ES2 (Grafschaft Veldenz, 23?km), ce qui l'a fait hésiter quelques secondes sur le besoin de changer de roue ou non: «Finalement, j'ai continué comme ça, parce que je voulais garder un train neuf de pneus tendres pour la suite.»
Sordo devant Ogier
Remonté dans l'équipe A, après un bref passage dans le Junior Team en Finlande, Sordo a été aussi à l'aise qu'à son habitude sur asphalte, lui qui a déjà fini deux fois deuxième derrière Loeb ici, en 2006 et en 2008. «Je ne suis pas surpris, car je ne m'attendais pas à perdre du temps, mais je suis content d'être si près de Seb», a dit Sordo. «C'est un rallye très difficile, il faut rester concentré parce qu'on enchaîne des portions rapides avec de gros freinages et des épingles très lentes», a ajouté l'Espagnol, plus en vue hier que Sébastien Ogier.



LE POINT
Rallye wrc d'Allemagne
Classement provisoire après les six épreuves spéciales (ES1 à ES6) de la 2e journée:
1. Loeb-Elena (Fr/Mon, Citroën C4) 1 h 18'52''5. 2. Sordo-Vallejo (Esp, Citroën C4) à 9''5. 3. Latvala-Anttila (Fin, Ford Focus) à 1'04''7. 4. Ogier-Ingrassia (Fr, Citroën C4) à 1'10''9. 5. Hirvonen-Lehtinen (Fin, Ford Focus) à 1'14''5. 6. Duval-Giraudet (Be-Fr, Ford Focus) à 3'10''4. 7. Wilson-Martin (GB, Ford Focus) à 3'15''1.

Vont bien ces citrouilles...............

c'est normal pour loeb il evolue quasiment a domicile en allemagne toute proche de ca region natale l'alsace

ps pasky n'aura pas besoin de lunette pour lire ce post

[Norton]

Envoyé par nofoot

c'est normal pour loeb il evolue quasiment a domicile en allemagne toute proche de ca region natale l'alsace

ps pasky n'aura pas besoin de lunette pour lire ce post

c'était plus pour Phil que pour Pasky, mais la désolé je ne peux rien faire de plus.........Bonne journée Nofoot

[Norton]

Il a parcouru 22.582 km en 10 mois à pied


L'ultra-fondeur français Serge Girard, 56 ans, a battu vendredi près d'Amsterdam le record du monde de la plus longue distance à la course à pied sur un an sans jour de repos, en parcourant 22.582 km en 307 jours, a-t-il annoncé. "Je viens de passer l'ancien record en 307 jours et 5 heures, qui était de 22.581 km sur un an", a déclaré par téléphone le coureur, arrivé à 16H06 (14H06 GMT) dans un parc de Velsen-Zuid, à l'ouest d'Amsterdam. Le record du monde de la plus longue distance à la course à pied en un an était détenu par l'Indien Tirtha Kuma Phani qui avait totalisé, sur les routes d'Europe, 22.581,09 km du 30 juin 2006 au 29 juin 2007.

Serge Girard avait quitté Paris le 17 octobre 2009 pour réaliser un tour d'Europe en 365 jours, à travers 25 des 27 pays de l'UE, sans jour de repos. "Il nous reste encore 57 jours et 19 heures pour essayer de porter le record au plus haut", a ajouté le coureur, qui doit revenir à Paris le 17 octobre. Serge Girard, qui entend parcourir au total environ 26.300 km, l'équivalent de 600 marathons, a rallié depuis son départ 23 capitales européennes à raison de 73,3 km en moyenne par jour. "J'ai voulu faire un tour de l'UE pour connaître un peu mieux ces pays-là", a-t-il expliqué.

Interrogé sur son état de santé, le Français a répondu : "les pathologies sont là, il faut avancer avec. C'est difficile". Accompagné d'une équipe en voiture, l'ultra-fondeur doit prendre samedi le ferry pour la Grande-Bretagne avant de rallier l'Irlande et de revenir en France le 6 septembre à Calais. Depuis 1997, Serge Girard, qui court plus de 10.000 km par an, a déjà traversé l'Amérique du Nord, l'Australie, l'Amérique du Sud, l'Afrique, l'Europe et l'Asie. Sa dernière performance fut Paris-Tokyo en 2005-2006, avec 19.097 km parcourus en 260 jours.

rien de l'exploit, si c'est 22 milles km alors ok....

[Norton]

SALAIRES

Thierry Henry n'a pas émigré aux Etats-Unis pour rien


Image © KEYSTONE
Thierry Henry sous son nouveau maillot des New York Red Bulls.

L'ex-international français et joueur de Barcelone touche 6 millions de francs par saison pour évoluer avec les New York Red Bulls et pointe en deuxième position derrière David Beckham.
le 20 août 2010,
LeMatin.ch & les agences


Thierry Henry, qui a signé en juillet aux New York Red Bulls, est le deuxième joueur le mieux payé de la Ligue nord- américaine (MLS) cette saison avec 6 millions de francs, derrière David Beckham (9 millions de francs), la star anglaise de Los Angeles Galaxy.
Selon une liste de salaires communiquée par l’Union des joueurs de la MLS, le Mexicain Rafael Marquez, capitaine des Aztèques au Mondial-2010, passé comme Thierry Henry cet été du FC Barcelone aux New York Red Bulls, pointe en troisième position avec 5,54 millions de dollars saisonnier.

clair qu'il ne voyage pas avec Easyjetmais je l'apprécie ce joueur

[Norton]

Trop fort les 2 champions de tennis! Des vrais potes et un super moment de déconnade!!

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1513/tenn...al-video.dhtml