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FOOTBALL

Cris de singe dans le stade: 25 000 euros d’amende à Cagliari


Image © Keystone
Samuel Eto'o a été victime d'injures racistes.

VIDÉO Le club de Cagliari a reçu une amende de 25 000 euros (34 000 francs) de la justice sportive. Il est sanctionné pour les cris de singes réservés au buteur camerounais de l’Inter Milan, Samuel Eto’o, lors d’un match de Championnat dimanche.
le 19 octobre 2010, 15h33
LeMatin.ch & les agences


Eto’o avait été accueilli par des «Ouh! Ouh!». L’arbitre avait tout de suite stoppé la rencontre trois minutes et menacé d’arrêter le match si les cris continuaient.
Les cris ont cessé, le match a repris et Eto’o marqué un superbe but, imitant ostensiblement le singe en direction des tribunes d’où étaient venus les cris. L’Inter a battu Cagliari 1-0.
Son entraîneur, l’Espagnol Rafael Benitez, avait estimé que «le point positif, c’est que le public a compris tout de suite. Et s’est tout de suite remis à penser au football.»
Pour sa part, l’entraîneur de Cagliari, Pierpalo Bisoli, n’était pas sûr qu’il s’agissait de cris racistes. «Je ne voudrais pas qu’il y ait eu confusion entre les sifflets ’normaux’, généralement destinés aux adversaires, et des insultes racistes, a-t-il dit. Je connais le public sarde, et je sais qu’il est éduqué: je n’ai jamais entendu les supporters de Cagliari faire quelque chose comme ça. Sur le terrain, on n’a pas compris ce qu’il se passait.»
L’ancien sélectionneur de l’Italie, Giovanni Trapattoni, avait lui estimé qu’en Italie «nous avons les supporters les plus mal élevés qui existent en Europe. A l’étranger, c’est rare d’entendre de tels outrages contre les footballeurs. Tous encouragent plutôt leur propre équipe. Nous avons beaucoup à apprendre des supporters étrangers.»

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F. Schleck: "Un Tour pour grimpeurs"







Franck Schleck (Lux), maillot jaune en 2008: "A première vue, c'est un Tour pour grimpeurs, les Pyrénées sont très difficiles et les Alpes aussi, avec l'Alpe d'Huez en dessert. L'an passé, j'étais en très très bonne forme, on était tous les deux leaders avec Andy et on aurait couru pour le plus fort. On ne va pas changer de tactique cette année. A deux, on est plus fort, on pourra attaquer encore plus. Notre équipe ? Vous la connaîtrez quand le temps sera venu. On aura une très bonne équipe et on sera bien entouré."
Nicolas Roche (Irl): "Il faudra bien préparer le contre-la-montre par équipes. Sinon, on peut perdre 1 min 30 à 2 minutes. C'est corsé dès le début, et difficile sur la fin. Il y a un paquet d'arrivées au sommet, ce n'est pas pour me déplaire. Je me fixe un top 10 pour objectif. Cette année, je fais 15e avec un peu de malchance. Cela veut dire que j'ai du travail devant moi mais je préfère me fixer des objectifs élevés, c'est comme cela qu'on progresse."

Brice Feillu (Fra, en partance pour l'équipe des frères Schleck), vainqueur de l'étape d'Arcalis en 2009: "On est rarement déçu quand on voit la carte du Tour. C'est un beau Tour. Si je devais privilégier une seule étape, ce serait l'Alpe d'Huez. Je n'ai jamais fait cette montée. J'espère pouvoir la grimper dans ce Tour. Mon programme 2011 ? Ce n'est pas encore décidé, peut-être le Giro avant le Tour."

Jérôme Coppel (Fra, Saur-Sojasun): "Un joli Tour, bien sûr, qui me conforte dans l'idée de travailler en priorité les qualités de grimpeur. Même si je ne vais pas laisser tomber le contre-la-montre, la priorité est de progresser en montagne. Il est encore trop tôt pour parler du programme 2011."

Kim Andersen (manager équipe frères Schleck): "C'est un très beau Tour qui promet une course très ouverte. Beaucoup d'arrivées avec des petits sommets (bosses), trois journées très dures dans les Alpes avec deux arrivées au sommet et un contre-la-montre pas trop long. Pour Andy (Schleck) ? C'est parfait !"

Mauro Gianetti (manager Geox): "Nos deux leaders (Sastre et Menchov) souhaitent faire le Tour. Je suis curieux de voir ce que peuvent donner deux coureurs de ce niveau ensemble. Carlos (Sastre) a d'ailleurs l'intention de disputer les trois grands tours. Quant à Menchov, il ne faut pas oublier que sans la grève dans l'étape de Spa, il gagnait le Tour."

Marc Sergeant (manager Omega Pharma): "La course sera nerveuse dès les premières étapes, avec des petites bosses près des arrivées. Ce sera difficile à contrôler pour les équipes de sprinteurs et, avec le changement de réglement pour le maillot vert, ça risque de modifier les stratégies d'équipes. Pour Van den Broeck (5e en 2010), la part réduite des contre-la-montre est une bonne chose. C'était son point faible."

Vincent Lavenu (manager AG2R-La Mondiale): "Ce Tour me paraît un peu plus dur, avec plus d'arrivées au sommet, plus de spectacle, plus d'émotions. Les belles histoires s'écrivent dans les belles étapes de montagne. De plus, les organisateurs ont pris soin de ne pas avoir trop d'arrivées au sprint identiques."

Marc Madiot (manager Française des Jeux): "Si je m'appelle Philippe Gilbert, je viens sur ce Tour et je gagne deux étapes... Visiblement, les organisateurs veulent que ça bouge, que la course ne soit pas installée. Cela va créer du mouvement et ça me convient tout à fait comme philosophie. Dans les dix premiers jours, le maillot jaune peut changer souvent de propriétaire."

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Briggs défend son entraîneur






L'Américain Shannon Briggs, hospitalisé depuis sa défaite contre l'Ukrainien Vitali Klitschko dans la nuit de samedi à dimanche, a défendu son entraîneur qui a refusé de jeter l'éponge avant le terme d'un combat dont la violence fait encore polémique en Allemagne.

"Il voulait mettre un terme au combat, mais abandonner n'a jamais été une option pour moi", a indiqué Briggs à propos de son entraîneur Hermann Caicedo dans un communiqué publié sur son site internet.

"J'ai, j'espère, montré à tout le monde que j'avais le coeur d'un lion et le courage d'un champion", a ajouté l'Américain, transporté dans un hôpital de Hambourg dès la fin du combat pour le titre WBC des lourds.

Colosse de 119 kilos, Briggs, dominé par son adversaire et dépassé par les événements, a réussi à aller au bout des douze reprises. Il a concédé sa sixième défaite chez les pros en étant largement dominé aux points (120-107, 120-107, 120-105).

Victime d'une commotion cérébrale, de fractures aux deux orbites oculaires et du nez et d'une blessure à une épaule, Briggs a assuré que "les médecins n'avaient décelé aucune blessure grave au niveau de la tête" et que son hospitalisation "était une mesure de précaution".(

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Le Real n'a laissé aucune chance à Milan


Cristiano Ronaldo a retrouvé ses sensations. Le playboy portugais a ouvert la voie du succès au Real Madrid.
7S7 mise à jour Il n'y a pas eu photo entre les deux ogres du football européen. Maître de l'entrejeu, le Real Madrid a dominé de la tête et des épaules son hôte milanais, en panne d'inspiration et dépassé par les événements tout au long de la rencontre. Deuxième en Serie A, l'équipe de Massimiliano Allegri a déçu, il faut bien le dire. Le triangle Ronaldinho-Zlatan-Pato n'a jamais au voix au chapitre et a été mis sous l'éteignoir par Ozil et consorts. Il n'a fallu qu'une dizaine de minutes à Cristiano Ronaldo pour mettre Bernabeu en ébullition (coup franc victorieux), avant que Ozil, l'un des meilleurs madrilènes ce soir, ne tue le suspense quelques secondes plus tard. Les Espagnols prennent le large dans le groupe G, où l'Ajax s'est imposé contre Auxerre (2-1).

La déception de CR7 qui vient de louper une magnifique occasion...

Allegri et Mourinho ne sont pas les plus grands amis du monde.

Le fair-play de Cristiano Ronaldo, qui s'est pourtant fait tacler sévèrement par le Brésilien.

L'une des images de la renconte: la franche accolade entre Ronaldinho et Mourinho.

Robinho (ex-Real) n'a pas été épargné par le public de Bernabeu.

Un intrus a fait irruption sur le terrain en tout début de rencontre.


Les deux équipes les plus titrées du football européen se retrouvaient pour la deuxième année consécutive en phase de poules. L'année passée, les Rossoneri s'étaient offert une victoire de prestige à Bernabeu grâce à un doublé de Pato notamment (2-3). Cette année, la donne semblait différente: le Real version Mourinho encaisse très peu et est invaincu sur la scène européenne et en Liga.

Clash Mourinho-Allegri
Massimiliano Allegri, le nouveau mentor de l'AC, n'est pas le meilleur ami du technicien lusitanien. Il s'était frictionné avec "The Special One" l'année passée. Coach de Cagliari à l'époque, il avait qualifié l'entraîneur de l'Inter de "mal élevé" et de "pathétique" lorsqu'il avait sous-entendu que plusieurs techniciens transalpins avaient besoin de leur président pour composer leur équipe et définir leurs choix tactiques. Le Mou avait remis les pendules à l'heure en humiliant l'équipe sarde 3-0 à Giuseppe Meazza, pour l'anecdote.

CR7 au rendez-vous
Maître des débats dès l'entame de match, le Real Madrid concrétisait très vite sa supériorité. A la suite d'une faute de Pato sur Xabi Alonso à l'entrée du rectangle, Cristiano Ronaldo enflammait Bernabeu d'un coup franc qui transperçait le mur milanais (1-0). Quelques instants plus tard, la star portugaise débordait sur le flanc gauche et servait Ozil, qui, avec la complicité involontaire de Bonera, doublait la mise pour les Merengue (2-0). Du 100% pour l'équipe de Mourinho.

L'égoïsme de Di Maria
Du côté lombard, Pirlo contraignait Casillas à se détendre, et Seedorf manquait de précision après avoir bénéficié d'un assist tranchant de Ronaldinho. Sans l'égoïsme de Di Maria qui refusait de céder le cuir à Ozil ou Cristiano, mieux placés, les Madrilènes auraient même pu mener 3-0 au repos.

Robinho hué
Sur le velours grâce à une avance confortable, Madrid tentait de soigner le spectacle en seconde période. Un peu à l'instar du premier match contre l'Ajax, les hommes de Mourinho gaspillaient les occasions. Higuain à deux reprises et CR7 manquaient de sang-froid devant Amelia. Boateng, Robinho (copieusement sifflé par le public madrilène) et Inzaghi (redouté par Mourinho), entrés au jeu, n'ont pu inverser le cours du match. Milan, très vite résigné, ne pouvait se montrer dangereux, si ce n'est les 10 dernières minutes du match. Un bilan bien pauvre pour un ténor européen comme l'AC...

Le Real se détache
Le Real (9 points) se détache dans le groupe G, où l'Ajax l'a emporté 2-1 contre Auxerre. Les Néerlandais rejoignent Milan à la deuxième place (4 points), alors que le compteur de l'AJ Auxerre reste bloqué. Dans quinze jours, les Italiens auront une possibilité de revanche en accueillant le Real à San Siro.

Michaël Bouche











19/10/10 22h42

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Arsenal cartonne, Bâle crée la surprise à Rome






Dans le choc de la 3e journée de Ligue des champions mardi, le Real Madrid a dominé l'AC Milan (2-0) avec deux buts inscrits en deux minutes au quart d'heure de jeu, tandis que Bâle signait la surprise de la soirée en s'imposant à Rome (1-3) dans le groupe F. Arsenal a giflé de son côté le Shakhtar Donetsk (5-1).

Le Bayern, mené au score par un but de Cadu dès la 28e minute, a vu ce même joueur marquer contre son camp (32e), imité dans la foulée par son coéquipier Panin (37e)! Gomez a mis les siens à l'abri, le Bayern s'envole en tête du groupe E et prend une belle option pour les 8e de finale. Daniel Van Buyten n'a pas joué.

Idem dans le groupe F pour Chelsea vainqueur 0-2 au Spartak Moscou. Grâce à une tête de Diawara, l'essentiel a été réalisé par l'OM devant Zilina (1-0). Il empoche ses premiers points dans la compétition.

Real Madrid-AC Milan: 2-0. Le Real a confirmé son statut de grand favori du groupe en dominant le Milan. Cristiano Ronaldo sur coup franc (13e) puis Özil d'une frappe déviée (14e) ont concrétisé cette domination. L'Ajax revient dans la course aux 8e de finale, après son succès 2-1 sur Auxerre.

La 3e victoire d'Arsenal dessine les contours d'une qualification attendue dans le groupe H. Les Portugais de Braga ont connu le premier succès de leur histoire en phase de groupes de Ligue des champions 2-0 contre le Partizan Belgrade.

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Serena Williams ne jouera plus cette année


Serena Williams ne jouera plus cette année, a confirmé son manager mardi. L'Américaine, ancienne numéro 1 mondiale, avait déclaré forfait la semaine dernière, en dernière minute, au tournoi de Linz après s'être blessée à l'entraînement juste avant de s'envoler pour l'Autriche. Elle s'était blessée au pied à Munich dans un restaurant où elle fêtait sa victoire au tournoi de Wimbledon et n'a plus joué depuis en compétition. (afp)

[medol]

L'avenir de Spa-Francorchamps est menacé !




Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait bien être le grand perdant de l'élargissement à tout va du calendrier de Formule 1.

Le contrat pour l'organisation du Grand Prix de Belgique s'achève en 2012 et sa prolongation aurait déjà dû être discutée cette année. Les discussions ont cependant été reportées à l'année prochaine.

Après une édition 2010 une nouvelle fois dans le rouge, l'avenir de l'épreuve belge reste encore incertain et les dernières déclarations de Bernie Ecclestone ne sont guère rassurantes. Interrogé par le journal britannique The Guardian pour savoir si Spa-Francorchamps risquait vraiment de perdre son Grand Prix, Bernie Ecclestone a répondu sans détour : « Absolument. »

« S'il n'était pas soutenu par le gouvernement, il ne serait probablement plus là car ils ne pourraient pas se le permettre. Cela vaut de même avec le Grand Prix de Grande-Bretagne. »

Bernie Ecclestone n'a pas tort. La présence du Grand Prix de Belgique est principalement due à l'apport financier massif de la Région Wallonne, forcée d'intervenir chaque saison pour combler le déficit de l'épreuve. Cette année, elle a injecté 5,4 millions d'euros dans la société Spa Grand Prix pour que la course ait bien lieu.

Un autre élément inquiétant pour l'avenir de Spa-Francorchamps est l'élargissement constant du calendrier de Formule 1. Avec l'arrivée de l'Inde en 2011, le championnat sera complet avec un total de 20 Grands Prix. Deux courses devront donc disparaître pour permettre le retour des Etats-Unis en 2012 et l'entrée de la Russie en 2014. Deux épreuves qui seront plus que probablement européennes, d'où l'importance de reconduire au plus vite son contrat.

A l'heure actuelle, les Grands Prix les plus menacés sont ceux de Turquie et de Hongrie. Une liste à laquelle il faut à présent ajouter la Belgique à en croire Bernie Ecclestone. Au grand dam des supporters de Formule 1. Il est vrai que le spectacle offert par les circuits sans âme dessinés par Hermann Tilke, comme Bahreïn ou Valence, équivaut à celui offert par les tracés historiques du calendrier, tels que Spa-Francorchamps, Monza ou encore Silverstone...

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Bousquet positif

Frédérick Bousquet a été contrôlé positif le 13 juin dernier à l'heptaminol, un stimulant interdit pendant les compétitions, révèle le quotidien L'Equipe. Le champion d'Europe du 50m nage libre est suspendu deux mois. Sa supension a débuté depuis le 20 septembre dernier.

L'information était passée inaperçue. Depuis le 20 septembre dernier, Frédérick Bousquet est suspendu et à l'arrêt ! La raison ? Le nageur français a été contrôlé positif à l'heptaminol, le 13 juin dernier, lors du meeting de Canet-en Roussillon. C'est le quotidien L'Equipe qui révèle l'information dans son édition de mercredi. L'heptaminol est un stimulant du système cardio-vasculaire, qui peut être utilisé pour traiter les crises d'hémorroïdes et fait partie des substances interdites en compétition par l'Agence Mondiale antidopage mais n'est pas considéré comme "lourde".

Alors pourquoi deux mois seulement ? Passé devant la commission antidopage de la fédération française, le sprinteur du club de Marseille a convaincu et s'est défendu avec un dossier médical à l'appui. Et il l'explique très clairement dans le journal sportif où il ne se cache pas et assume. "Je me soigne depuis huit ans d'une pathologie très précise avec un médicament qui ne contient pas ce produit interdit (...) Et puis, juste avant le meeting, j'ai souffert d'une crise violente. Je n'avais plus ce médicament avec moi, j'ai filé à la pharmacie (...) L'urgence, la douleur ont fait que je l'ai pris sans lire la notice...", lâche-t-il avant de reconnaitre. "Je n'ai pas de circonstances atténuantes. Je le reconnais. Cette sanction, je la mérite. Il suffisait de lire".

Le compagnon de Laure Manaudou n'a d'ailleurs pas demandé de contre-expertise. Lionel Horter croit en la bonne foi de son poulain. "Au vu des informations que nous avons eues et de ce que Fred nous a dit, j'ai la conviction que ce n'est pas une conduite dopante, espère le directeur des équipes de France dans L'Equipe. Mais c'est une bêtise, c'est clair. Un nageur doit être exemplaire, il mérite donc la sanction" Suspendu seulement sur le sol français, Bousquet pourra faire son retour aux championnats de France, les 3 et 5 décembre prochains.

Eurosport - G.C.

[medol]

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Envoyé par medol

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oui, t'as raison, c'est pour nous parler hémorroïdes